WO2011135462A4 - Siège avec une assise à appuis différenciés - Google Patents

Abstract

Siège avec une assise à appuis différenciés pour éradiquer les problèmes cardiovasculaires, les troubles de la circulation sanguine et les maux du bas du dos invalidants et très onéreux en permettant à toutes les personnes d'être assise en hauteur suffisante ( 550 mm ) pendant de longues périodes tout en faisant, sans manipulations, des exercices actifs des jambes consistant en des mouvements combinés d'écartement, d'abaissement et de relèvement de chacune des deux cuisses appuyées en antagonisme avec des forces élastiques et ou pneumatiques agissantes sur leurs appuis fémoraux ( 2 et 3 ) entraînés séparément par les muscles locomoteurs et de plus, d'immobiliser fermement des postures fémorales variables avec inclinaisons asymétriques à angles ouverts ( de 90° à 120° ) par rapport au tronc invariablement à la verticale en évitant l'horizontalité défavorable des cuisses ( dos arrondi ). Le siège selon l'invention est destiné à être utilisé aux postes informatisés et est particulièrement salutaire pour les personnes nombreuses de grande taille.

Claims

REVENDICATIONS MODIFIÉES reçues par le Bureau international le 12 Janvier 2012 (12.01.2012)

13 -

1 ) Siège avec une assise à appuis différenciés élaboré en mettant en oeuvre deux appuis fémoraux obtenus par la fragmentation d'assise comprise dans l'état de la technique connu depuis la publication du brevet national : DE 800488 C ( Drabert Fritz DR - ING ) le 28 décembre 1950 ( 1950-12-28 ) et cela , en ne mettant en oeuvre ni aucun des mécanismes d'articulation et d'interdépendance ( à bascule ) revendiqués par après qui sont repris dans les documents pertinents du rapport de recherche internationale du 9 novembre 2011 dudit PCT / IB 2011 / 001496 ni leur mobilité exclusivement longitudinale qui autorise seulement les inclinaisons vers l'avant et vers le bas des cuisses appuyées , caractérisé en ce que les deux « appuis fémoraux » ( 2 et 3 fig 1 ) ont chacun , indépendamment de l'autre , une mobilité transversale praticable isolément à toutes leurs inclinaisons respectives vers l'avant et vers le bas depuis l'horizontale ( de 90° à 120° ) et cela , par le fait qu'ils sont séparément articulés par deux « articulations combinées d'écartements équidistants et d'inclinaisons » dont les deux « tubes-appuis » ( 7 et 8 fig 2 ) coulissent en provoquant les déblocages automatiques respectifs des deux « dispositifs d'immobilisation » ( 9 et 10 fig 2 ) qui les maintiennent fermement immobiles en position de repos contre « appui d'entre-deux cuisses »( 1 figl ) ; ladite mobilité transversale autorise des mouvements simples actifs qui sont praticables pour les personnes de grande taille de plus en plus nombreuses ( augmentation de 1 cm par décennie ) empêchées d'élever à suffisance leur zone fessière pour pouvoir incliner leurs cuisses en dessous des plans de travail, de hauteur normalisée insuffisante , des postes informatisés et autres utilisés longuement à domicile ( télétravail ) et en salles collectives sans pouvoir discontinuer , et qui consistent en des écartements et des rapprochements successifs d'une seule ou des deux cuisses appuyées avec adhérence en antagonisme avec deux forces respectives exercées par le « ressort hélicoïdal commun de rappel d'écartement » ( 12 fig 2 ) et cela , par la force motrice des muscles fémoraux latéraux ( adducteurs et abducteurs ) qui induisent alors leurs propres contractions et relâchements répétitifs se répercutant sur les muscles fessiers et par delà lombaires ; lesdits mouvements simples actifs sont des exercices de défoulement et d'activation de la circulation sanguine et sont alors antistress , antistases et antilombalgiques , caractérisé en ce que les deux « appuis fémoraux » ( 2 et 3 fig 1 et fig 2 ) ont chacun , indépendamment de l'autre , des mobilités combinées autorisant des mouvements actifs combinés qui sont transversaux et longitudinaux et qui consistent , pour une ou pour les deux cuisses séparément , en des écartements de déblocages respectifs de leurs fermes immobilisations , inclinaisons , relèvements et rapprochements successifs en antagonisme avec les forces respectives exercées par le « ressort hélicoïdal » ( 12 fig 2 ) et les deux « ressorts à gaz blocables ( 21 et 22 fig 1 ) qui ont l'avantage d'être silencieux et cela , par les forces motrices musculaires fémorales d'adduction , d'abduction et de locomotion qui induisent des contractions et des relâchements de tous les muscles fémoraux , 2 ) Siège selon la revendication 1 caractérisé en ce que lesdits deux « appuis fémoraux » ( 2 et 3 fig 1 ) sont séparément :

T articulés ( fig 1 ) par deux « articulations combinées d' écartements équidistants et d'inclinaisons » dont les deux « tubes-appuis » ( 7 et 8 ) tournent et coulissent tout en appuyant respectivement les deux zones de pli fessier de la personne assise ▼ et poussés vers le haut par deux « dispositifs de poussée vers le haut » à deux ressorts mécaniques non représentés ou à deux ressorts pneumatiques ( ressorts à gaz 21 et 22 )

T et attirés vers Γ « appui élevé d'entre-deux cuisses » ( 1 ) par la force du

« ressort hélicoïdal commun de rappel d'écartement » ( 12 fig 2 ) agissante sur les deux « dispositifs d'immobilisation » mécaniques ( embrayages 9 et 10 fig 2 ) ou pneumatiques ( têtes des ressorts à gaz blocables 21 et 22 ) et cela , pour pouvoir exécuter , par la force musculaire des deux cuisses bien appuyées avec adhérence sans devoir distraire l'activité en cours en position attablée , leurs mouvements séparés d'écartement en antagonisme avec l'attraction du « ressort hélicoïdal commun » ( 12 ) provoquant leurs déblocages respectifs en autorisant alors leurs mouvements séparés d'élévation et d'abaissement à angles ouverts en antagonisme avec la poussée vers le haut des « ressorts à gaz »( 21 et 22 ) et en finalité leurs mouvements séparés de rappel d'écartement par le relâchement musculaire de chacune des deux cuisses au moment de l'obtention des inclinaisons fémorales symétriques ou asymétriques du changement de posture fémorale visé ; des exercices actifs sont ainsi praticables sans devoir quitter son poste de travail ( informatisé ) par la répétition desdits changements de posture , tout en maintenant leurs écartements de déblocage

3 ) Siège selon les revendications 1 et 2 caractérisé en ce que les deux « articulations combinées d'écartements équidistants et d'inclinaisons » ( fîg 2 ) sont formées respectivement par deux « tubes-appuis » ( 7 et 8 ) qui tournent et coulissent sur un « axe tubulaire commun » ( 11 ) qui transperce en y étant solidarisé Γ « appui élevé d'entre-deux cuisses ( 1 ) et qui renferme le « ressort hélicoïdal commun de rappel d'écartement » ( 12 ) tendu entre les deux « embouts de terminaison » ( 13 et 14 ) desdits deux « tubes-appuis » ( 7 et 8 ) , en ce que les deux

« dispositifs d'immobilisation » mécaniques comportent , aux extrémités respectives rentrantes des deux « tubes-appuis » ( 7 et 8 ) , les deux parties mobiles ( 9 et 10 ) des « embrayages à dents chanfreinées »

4 ) Siège selon les revendications 1 et 2 caractérisé en ce que lesdits deux

« appuis fémoraux » ( 2 et 3 fig 1 ) sont à chaque départ de la personne antérieurement assise , ramenés automatiquement en position de repos : à l'horizontale ou à une inclinaison vers le bas modérée ( de l'ordre de 98° ) permettant de prendre place en position assise de manière habituelle , l'information de départ est donnée par un détecteur de suppression de charge corporelle existant ( sièges du parlement européen ) qui est inséré dans le vérin à gaz réglable en hauteur de « appui élevé du fessier » ( 4 ) ou dans un amortisseur de chocs pour les chaises de hauteur invariable ; ladite information de départ est alors transmise simultanément par câble aux deux têtes respectives de déclenchement des deux ressorts à gaz biocables ( 21 et 22 ) .

5 ) Siège selon la revendication 1 caractérisé en ce que lesdits deux « appuis fémoraux » ( 2 et 3 fig 3 ) sont séparément :

A articulés ( fig 3 ) par deux « articulations combinées d'écartements angulaires et d'inclinaisons entraînées » qui comportent :

E] deux « rotules de pivotement azimutal et d'inclinaison vers le bas » ( 30 et 31 ) respectivement insérées d'une part aux extrémités latérales de la bordure frontale de Γ « appui élevé du fessier » ( 4 ) et d'autre part dans les deux angles arrières latéraux de chacun desdits « appuis fémoraux » ( 2 et 3 ) et cela , à proximité des articulations de la hanche de la personne assise ( évitement des déplacements relatifs entre cuisses appuyées entraînantes et appuis fémoraux )

E\ et deux « parallélogrammes articulés élastiquement et inclinables transversalement » ( 32 et 33 )

T qui sont normalement immobilisés au repos dans leur forme rectangulaire ou inclinée et cela , par deux « arrêts d'abaissement » ( 41 et 42 )

T qui s'intercalent transversalement entre les bases frontales respectives desdits deux « appuis fémoraux » ( 2 et 3 ) ainsi supportés à l'avant et les deux côtés respectifs du « support transversal frontal » ( 34 ) qui transperce « appui élevé d'entre-deux cuisses » ( 1 )

T et qui sont attachés chacun , d'une part , par un « pivot de retenue » ( 35 ou 36 ) qui transperce son côté inférieur et un côté gauche ou droit du « support transversal frontal » ( 34 ) et d'autre part , par un « pivot d'entraînement » ( 37 ou 38 ) qui transperce son côté supérieur et le bord frontal d'un de ses deux « appuis fémoraux » ( 2 ou 3 ) et cela , dans son angle latéral

▼ et qui sont formés respectivement par quatre barres rigides ( en métal ou en matière plastique ) reliées entre elles par quatre angles articulés constitués par des équerres ou par des coudes rectangulaires ( 40 ) en matière élastique ( en caoutchouc synthétique )

— L'ajout d'un « ressort hélicoïdal commun de rappel d'écartement » ( 39 ) réglable ou non en tension , accroît l'antagonisme élastique aux écartements desdits « appuis fémoraux » ( 2 et 3 ) et compense la diminution d'attraction dûe à la préinclinaisson latérale desdits deux « parallélogrammes articulés » ( 32 et 33 ) . les écartements séparés desdits deux « appuis fémoraux » ( 2 et 3 ) entraînés musculairement sont ainsi ramenés automatiquement en position de repos à la hauteur habituelle de « appui élevé du fessier » ( 4 ) au relâchement musculaire de chacune des deux cuisses et donc à chaque départ de la personne qui était assise ; les exercices actifs de dégourdissement des jambes consistent en des mouvements séparés et répétitifs d'écartements angulaires des deux cuisses appuyées avec adhérence qui enentraînent automatiquement les abaissements des bords frontaux respectifs des deux »appuis fémoraux » ( 2 et 3 ) et ainsi leurs inclinaisons à angles ouverts .

6 ) Siège selon la revendication 1 caractérisé en ce que ledit « piètement commun » adapté aux mouvements d'abaissement et d'écartement des deux « appuis fémoraux » ( 2 et 3 fig 1 et fig 3 ) est formé :

^■ par un piètement à cinq pieds ( fig 3 ) : quatre pieds situés sous P « appui élevé du fessier » ( 4 ) et un pied situé sous le bord frontal de F « appui d'entre-deux cuisses » ( 1 )

^■ ou par un piètement fourchu ouvert à l'avant du siège ( fig 1 ) et qui comporte : O une « structure montante d'entre-deux jambes » ( P : 420 mm ) qui est essentiellement portante , qui a sur toute sa hauteur , la même délimitation en largeur ( de l'ordre de 80 mm ) que F « appui élevé d'entre-deux cuisses » ( 1 ) , qui est susceptible , pour les sièges à hauteur fixe , d'être réalisé esthétiquement ( deux « montants étroits » 15 et 16 ) et qui est réalisé , pour les sièges à hauteur réglable en forme de double té par une « armature médiane étroite » ( L : 80 mm- P : 420 mm ) de F « assise à appuis différenciés » , un « ressort à gaz biocable » avec une colonne non pivotante (existante) ou pivotante avec rappel en position de départ en relevant les deux pieds du sol (existe par la suppression de charge au départ de l'occupant) et un « longeron étroit de base » ( 17 ) qui repose sur le sol par l'intermédiaire de deux pieds ou de deux roulettes pivotantes fixées à ses extrémités

O et une « structure périphérique de base » en forme de U qui est essentiellement stabilisatrice , qui comporte une « traverse du fond » ( 18 ) solidarisée à l'extrémité arrière du « longeron médian étroit de base » ( 17 ) et deux « longerons latéraux » ( 19 et 20 ) et qui repose sur le sol par l'intermédiaire de deux pieds ou de deux roulettes pivotantes fixées à ses deux extrémités avancées libres

7) Siège selon la revendication 1 caractérisé en ce que son dossier est fixe ( 6 fig 1 ) ou réglable en profondeur (non représenté) selon la technique existante , en permettant l'ajustement de la superposition entre les plis de la région fessière de la personne assise et les deux « tubes-appuis » ( 7 et 8 fig 1 et fig 2 ).