FR2852108A1 - Verre de lunettes notamment aspherique - Google Patents

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Abstract

L'invention concerne un verre de lunettes dont l'une des surfaces est une surface asphérique à asymétrie de rotation. Lorsqu'une courbure ayant pour coordonnées (h,θ) de la surface extérieure est représentée par C1(h,θ), une courbure de coordonnées (h,θ) de surface intérieure est représentée par C2(h,θ) et une différence entre les courbures des deux surfaces est représentée par C2-1(h,θ)= C2(h,θ)-C1(h,θ), si C2-1(0,θ)>0, dans les plages de 10 mm<h ≤20 mm et 30°<<T 369><150°, le verre de lunettes satisfait à la condition (1) :C2-1(h,θ+180)-C2-1(h,θ) > 0 ... (1),et si C2-1(0,θ)<0, le verre de lunettes satisfait à une condition (2) :C2-1(h,θ+180)-C2-1(h,θ) < 0 ... (2).Domaine d'application : lunettes à verres unifocaux pour la vision d'objet à toutes distances, etc.

Description

L'invention concerne un verre asphérique unifocal
(à simple foyer) utilisé pour-la correction de la puissance de réfraction des yeux humains. L'invention concerne en particulier un verre de lunettes unifocal qui est utilisé 5 lorsqu'un porteur (une personne portant le verre de lunettes) ayant une amplitude d'accommodation observe un objet placé à diverses distances allant d'une courte distance à une longue distance.
Lorsque le porteur utilise le verre de lunettes, 10 il utilise souvent une partie supérieure du verre pour la vision de loin et une partie inférieure pour la vision de près. Pour cette raison, on souhaite que la partie supérieure du verre de lunettes fonctionne convenablement pour la vision de loin et que la partie inférieure du verre 15 fonctionne convenablement pour la vision de près.
Chacune des publications provisoires de Brevets Japonais n HEI 4-45419 et no HEI 10-78566 décrit un verre de lunettes conçu pour fonctionner convenablement dans sa partie supérieure et dans sa partie 20 inférieure.
Le verre de lunettes décrit dans la publication HEI 4-45419 présente une surface de réfraction configurée de façon qu'un rythme de variation de courbure qui est mesuré dans une partie supérieure de la surface de 25 réfraction précitée, suivant une ligne s'étendant sur la surface depuis le centre de la partie supérieure jusqu'à la périphérie de la partie supérieure, soit supérieur à un rythme de variation de courbure correspondant mesuré dans la partie inférieure de la surface.
Cependant, dans chacun des quatre exemples de la publication HEI 4-45419, seules les courbures sur deux lignes méridiennes (OA, OB) et le fait que des courbures sur les autres lignes méridiennes prennent des valeurs intermédiaires entre les 35 courbures des lignes OA et OB sont décrites. Par conséquent, il est impossible à un spécialiste de la technique de réaliser concrètement un verre de lunettes en se basant sur la description de la publication HEI 4-45419.
Autrement dit, il est impossible de configurer en pratique un verre de lunettes fonctionnant convenablement en ce qui 5 concerne sa partie supérieure et sa partie inférieure en se basant sur la description de la publication HEI 4-45419.
De plus, à partir de graphiques d'astigmatisme décrits dans chacun des exemples 2, 3 et 4 de la publication HEI 4-45419, on comprend qu'une lentille négative décrite dans 10 les exemples 2, 3 et 4 et corrigée en astigmatisme afin que l'astigmatisme pour la vision de loin soit sensiblement nulle. Lorsque l'astigmatisme pour la vision de loin de la lentille négative prend une valeur nulle, une erreur de puissance dioptrique de la lentille négative prend des 15 valeurs positives.
En outre, dans un cas o le verre de lunettes présente une erreur de puissance dioptrique positive, le champ de vision du porteur pour la vision de loin est rendu flou si le porteur se trouve dans du brouillard. Ceci est 20 dû au fait qu'il est impossible pour le porteur de diminuer davantage la puissance de réfraction des yeux pour la vision de loin du fait que la puissance de réfraction des yeux prend sa valeur la plus faible dans le cas de la vision de loin, bien que, lorsque le verre de lunettes 25 présente une erreur de puissance dioptrique positive, un effet de l'erreur de puissance dioptrique puisse être annulé en diminuant la puissance de réfraction des yeux pour la vision de loin.
Par conséquent, l'équilibre entre des aberrations 30 du verre de lunettes décrit dans les exemples de la publication HEI 4-45419 n'est pas bon.
Le verre de lunettes décrit dans la publication HEI 10-78566 présente une surface asphérique à symétrie de rotation, verre dans lequel le centre de la surface 35 asphérique est décalé par rapport au centre de contour du verre afin d'obtenir les performances appropriées pour la partie supérieure et la partie inférieure du verre de lunettes.
Cependant, la surface asphérique du verre de lunettes décrit dans chaque exemple de la publication HEI 5 10-78566 est une surface à symétrie de rotation pour faciliter le traitement du verre de lunettes. Il existe donc une limite pour les performances optiques que le verre de lunettes de la publication HEI 10-78566 peut atteindre.
L'invention est avantageuse par le fait qu'elle 10 procure un verre de lunettes configuré de façon qu'une partie supérieure du verre fonctionne convenablement pour la vision de loin et qu'une partie inférieure du verre fonctionne convenablement pour la vision de près.
Conformément à un aspect de l'invention, il est 15 proposé un verre de lunettes ayant une surface extérieure et une surface intérieure, l'une des surfaces extérieure et intérieure étant configurée de façon à être une surface asphérique à asymétrie de rotation. Lorsqu'une courbure de coordonnées (h,O) de la surface extérieure est représentée 20 par Cl(h,0), une courbure de coordonnées (h,0) de la surface intérieure est représentée par C2(h,0) et une différence entre les courbures de la surface extérieure et de la surface intérieure aux coordonnées (h,0) est représentée par C2_l(h,0)=C2(h,0)-Cl(h,0), si C2-1(0,0)>0, le 25 verre de lunettes satisfaisant à une condition (1) : C2-1(h,0+180)-C2_l(h,O) > O... (1), et si C21(0,0) < 0, le verre de lunettes satisfait à une condition (2) : C2-1(h,0+180)-C2l(h,0) < 0... (2).
Les conditions (1) et (2) sont valables dans les plages de 10 mm<20<mm et 30 <0< 150 . En outre, étant donné qu'une ligne normale, qui est normale à la surface extérieure en passant par un point de centrage, est considérée comme étant un axe zl, une direction qui est 35 perpendiculaire à l'axe zl et qui correspond à une direction orientée vers le haut lorsque le verre de lunettes est porté, est considérée comme étant un axe y, et une direction qui est perpendiculaire à l'axe Yi et à l'axe z1 dans un système de coordonnées orienté à gauche est considéré comme étant un axe x1, les coordonnées (h,O) de 5 la surface extérieure sont définies comme étant un point ayant une hauteur h (unité : mm) à partir de l'axe z1 sur une ligne d'intersection qui est formée entre la surface extérieure et un plan contenant l'axe z1 et formant un angle 0 (unité : degré) par rapport à l'axe x1.
En outre, étant donné une ligne normale, qui est normale à la surface intérieure en passant par un point de centrage, est considérée comme étant un axe Z2, une direction qui est perpendiculaire à l'axe z2 et qui correspond à la direction orientée vers le haut lorsque le 15 verre de lunettes est porté, est considérée comme étant un axe Y2 et qu'une direction, qui est perpendiculaire à l'axe Y2 et à l'axe Z2 dans le système de coordonnées orienté à gauche est considérée comme étant un axe x2, les coordonnées (h,O) de la surface intérieure sont définies 20 comme étant un point ayant une hauteur h (unité : mm) à partir de l'axe Z2 sur une ligne d'intersection qui est formée entre la surface intérieure et un plan contenant l'axe Z2 et formant un angle 0 (unité : degré) par rapport à l'axe X2.
Le point de centrage est défini comme étant un 25 point qui coïncide avec la position de la pupille du porteur lorsque le verre de lunettes est vu depuis le côté antérieur alors qu'il est porté.
Avec la configuration mentionnée ci-dessus, le verre de lunettes peut atteindre des performances optiques 30 appropriées dans lesquelles une partie supérieure du verre est conçue pour la vision de loin et une partie inférieure du verre est conçue pour la vision de près.
Facultativement, lorsque la surface intérieure est configurée de façon à être la surface asphérique à 35 asymétrie de rotation, si C21(0,O)>O, le verre de lunettes peut satisfaire à une condition (3) : C2(h,0+180)-C2(h, 0) > 0... (3), et si C21(0,0) < 0, le verre de lunettes peut satisfaire à une condition (4) : C2(h,0+180)-C2(h,0) < 0.. (4). Les conditions (3) et (4) sont valables dans les plages de mm<h<20 mm et 30 <0<150 . En variante, lorsque la surface extérieure est configurée de façon à être la surface asphérique à asymétrie de rotation, si C2-1(0,0)>0, le verre de lunettes 10 peut satisfaire à une condition (5) : C1(h,0+180)-Cl(h,0) < 0.
(5), et si C21(0,0)<0, le verre de lunettes peut satisfaire à une condition (6) : C1(h,0+180)-C1 (h,0)>0... (6). Les conditions (5) et (6) sont valables dans les plages de mm<h<20 mm et 30 <0<1500...DTD: Dans un cas particulier, la surface extérieure peut être configurée de façon à être une surface sphérique, et la surface intérieure peut être configurée de façon à 20 être la surface asphérique à asymétrie de rotation.
Dans un cas particulier, la surface extérieure est configurée de façon à être la surface asphérique à asymétrie de rotation, et la surface intérieure est configurée de façon à être une surface sphérique.
Dans un cas particulier, la surface extérieure peut être configurée de façon à être la surface asphérique à asymétrie de rotation, et la surface intérieure peut être configurée de façon à être une surface torique.
Dans un cas particulier, les surfaces extérieure 30 et intérieure peuvent être toutes deux configurées de façon à être des surfaces asphériques.
Dans un cas particulier, la surface extérieure peut être configurée de façon à être une surface asphérique à symétrie de rotation, et la surface intérieure peut être 35 configurée de façon à être la surface asphérique à asymétrie de rotation.
Dans un cas particulier, la surface extérieure peut être configurée de façon à être la surface asphérique à asymétrie de rotation, et la surface intérieure peut être configurée de façon à être une surface asphérique à symétrie de rotation.
Dans un cas particulier, les surfaces extérieure et intérieure peuvent être toutes deux configurées de façon à être les surfaces asphériques à asymétrie de rotation.
Facultativement, l'une des surfaces extérieure et 10 intérieure peut avoir une puissance de réfraction cylindrique pour la correction d'une vision astigmatique.
L'invention sera décrite plus en détail en référence aux dessins annexés à titre d'exemples nullement limitatifs et sur lesquels: la figure lA est une vue en coupe d'un verre de lunettes selon une première forme de réalisation de l'invention, vu depuis une surface latérale; la figure 1B est une vue de face du verre de lunettes selon la première forme de réalisation, vu depuis 20 le côté de sa surface antérieure; la figure 2A est une vue en coupe d'un verre de lunettes selon une deuxième forme de réalisation, vu depuis une surface latérale; la figure 2B est une vue de face du verre de 25 lunettes selon la deuxième forme de réalisation, vu depuis le côté de sa surface antérieure; la figure 3 montre un agencement optique qui est utilisé lors du calcul d'aberrations; la figure 4 montre un agencement optique qui est 30 utilisé pour le calcul des aberrations et qui indique divers paramètres associés à un rayon de lumière; la figure 5A est un tableau montrant une distribution de courbure C1(h,O) d'une surface extérieure d'un verre de lunettes selon un premier exemple; la figure 5B est un tableau montrant une distribution de courbure (C2(h,O) d'une surface intérieure du verre de lunettes selon le premier exemple; la figure 6A est un graphique illustrant une 5 variation de la courbure C1(h,O) du premier exemple pour chacun d'angles 0 en fonction d'une variation d'une hauteur h; la figure 6B est un graphique illustrant une variation de la courbure C2(h,O) du premier exemple pour chacun d'angles 0 en fonction d'une variation de hauteur h; la figure 7A est un graphique illustrant une variation de la courbure C1(h,O) du premier exemple pour chacune des hauteurs h en fonction d'une variation de l'angle 0; la figure 7B est un graphique illustrant une 15 variation de la courbure C2(h,O) du premier exemple pour chacune des hauteurs h en fonction d'une variation de l'angle 0; la figure 8A est un graphique illustrant une variation d'une valeur de C1(h,0+180)-CI(h,O) du premier 20 exemple pour chacune des hauteurs h en fonction d'une variation de l'angle O; la figure 8B est un graphique illustrant une variation d'une valeur de C2(h, 0+180)-C2(h,O) du premier exemple pour chacune des hauteurs h en fonction de la 25 variation de l'angle 0; la figure 9 est un graphique illustrant une variation d'une valeur de C21(h,0+180)-C21(h,O) du premier exemple pour chacune des hauteurs h en fonction de la variation de l'angle 0; la figure 1OA est un graphique tridimensionnel illustrant une erreur de puissance de réfraction moyenne du verre de lunettes du premier exemple; la figure lOb est un graphique tridimensionnel illustrant l'astigmatisme du verre de lunettes du premier 35 exemple; la figure l1A est un tableau montrant une distribution de courbure C1(h,O) d'une surface extérieure d'un verre de lunettes selon un deuxième exemple; la figure lB est un tableau montrant une 5 distribution de courbure C2(h,O) d'une surface intérieure du verre de lunettes selon le deuxième exemple; la figure 12A est un graphique illustrant une variation de courbure C1(h,O) du deuxième exemple pour chacun des angles 0 en fonction d'une variation d'une 10 hauteur h; la figure 12B est un graphique illustrant une variation de courbure C2(h,O) du deuxième exemple pour chacun des angles 0 en fonction d'une variation d'une hauteur h; la figure 13A est un graphique illustrant une variation de courbure Cl(h,O) du deuxième exemple pour chacune des hauteurs h en fonction d'une variation de l'angle 0; la figure 13B est un graphique illustrant une 20 variation de la courbure C2(h,O) du deuxième exemple pour chacune des hauteurs h en fonction d'une variation de l'angle 0; la figure 14A est un graphique illustrant une variation d'une valeur de C1(h,0+180)-Cl-(h,O) du deuxième 25 exemple pour chacune des hauteurs h en fonction d'une variation de l'angle 0; la figure 14B est un graphique illustrant une variation d'une valeur de C2(h, 0+180)-C2(h,O) du deuxième exemple pour chacune des hauteurs h en fonction d'une 30 variation de l'angle 0; la figure 15 est un graphique illustrant une variation d'une valeur de C21(h,0+180)-C21(h,O) du deuxième exemple pour chacune des hauteurs h en fonction de la variation de l'angle 0; la figure 16A est un graphique tridimensionnel illustrant une erreur de puissance de réfraction moyenne du verre de lunettes du deuxième exemple; la figure 16B est un graphique tridimensionnel 5 illustrant l'astigmatisme du verre de lunettes du deuxième
exemple;
la figure 17A est un tableau montrant une distribution de courbure C1(h,O) d'une surface extérieure d'un verre de lunettes selon un premier exemple 10 comparatif; la figure 17B est un tableau montrant une distribution de courbure C2(h,O) d'une surface intérieure du verre de lunettes selon le premier exemple comparatif; la figure 18A est un graphique illustrant une 15 variation de la courbure C1(h,O) du premier exemple comparatif pour chacun d'angles O en fonction d'une variation d'une hauteur h; la figure 18B est un graphique illustrant une variation de la courbure C2(h,O) du premier exemple 20 comparatif pour chacun d'angles O en fonction d'une variation d'une hauteur h; la figure 19A est un graphique illustrant une variation de la courbure C1(h,O) du premier exemple comparatif pour chacune des hauteurs h en fonction d'une 25 variation de l'angle 0; la figure 19B est un graphique illustrant une variation de la courbure C2(h, O) du premier exemple comparatif pour chacune des hauteurs h en fonction d'une variation de l'angle 0; la figure 20A est un graphique illustrant une variation d'une valeur de C1(h,0+180)-CI(h,O) du premier exemple comparatif pour chacune des hauteurs h en fonction de la variation de l'angle 0; la figure 20B est un graphique illustrant une 35 variation d'une valeur de C2(h,0+180)-C1(h,0) du premier exemple comparatif pour chacune des hauteurs h en fonction de la variation de l'angle 0; la figure 21 est un graphique illustrant une variation d'une valeur de C21(h, 0+180)-C21(h,O) du premier 5 exemple comparatif pour chacune des hauteurs h en fonction de la variation de l'angle 0; la figure 22A est un graphique tridimensionnel illustrant une erreur de puissance de réfraction moyenne du verre de lunettes du premier exemple comparatif; la figure 22B est un graphique tridimensionnel illustrant l'astigmatisme du verre de lunettes du premier
exemple comparatif;
la figure 23A est un tableau montrant une distribution de la courbure C1(h,O) d'une surface extérieure d'un 15 verre de lunettes selon un troisième exemple; la figure 23B est un tableau montrant une distribution d'une courbure C2(h,O) d'une surface intérieure du verre de lunettes selon le troisième exemple; la figure 24A est un graphique illustrant une 20 variation de la courbure C1(h,O) du troisième exemple pour chacun d'angles 0 en fonction d'une variation d'une hauteur h; la figure 24B est un graphique illustrant une variation de la courbure C2(h,O) du troisième exemple pour chacun d'angles 0 en fonction d'une variation d'une hauteur h; la figure 25A est un graphique illustrant une variation de la courbure C1(h,O) du troisième exemple pour chacune des hauteurs h en fonction d'une variation de l'angle 0; la figure 25B est un graphique illustrant une 30 variation de la courbure C2(h,O) du troisième exemple pour chacune des hauteurs h en fonction d'une variation de l'angle 0; la figure 26A est un graphique illustrant une variation d'une valeur de C1(h,0+180)- Cl(h,O) du troisième 35 exemple pour chacune des hauteurs h en fonction de la variation de l'angle 0; 1l la figure 26B est un graphique illustrant une variation d'une valeur de C2(h,0+180)-C2(h,O) du troisième exemple pour chacune des hauteurs h en fonction de la variation de l'angle 0; la figure 27 est un graphique illustrant une variation d'une valeur de C21(h,O+180)-C2-1(h,0) du troisième exemple pour chacune des hauteurs h en fonction de la variation de l'angle 0; la figure 28A est un graphique tridimensionnel 10 illustrant une erreur de puissance de réfraction moyenne du verre de lunettes du troisième exemple; la figure 28B est un graphique tridimensionnel illustrant l'astigmatisme du verre de lunettes du troisième
exemple;
la figure 29A est un tableau montrant une distribution de courbure C1(h,O) d'une surface extérieure d'un verre de lunettes selon un quatrième exemple; la figure 29B est un tableau montrant une distribution de courbure C2(h,O) d'une surface intérieure 20 du verre de lunettes selon le quatrième exemple; la figure 30A est un graphique illustrant une variation de la courbure C1(hO) du quatrième exemple pour chacun d'angles 0 en fonction d'une variation d'une hauteur h; la figure 30B est un graphique illustrant une 25 variation de la courbure C2(h,O) du quatrième exemple pour chacun d'angles 0 en fonction d'une variation d'une hauteur h; la figure 31A est un graphique illustrant une variation de la courbure C1(h,O) du quatrième exemple pour chacune des hauteurs h en fonction d'une variation de 30 l'angle- ; la figure 31B est un graphique illustrant une variation de la courbure C2(h,O) du quatrième exemple pour chacune des hauteurs h en fonction d'une variation de l'angle 0; la figure 32A est un graphique illustrant une variation d'une valeur de Cl(h, 0+180)-Cl(h,O) du quatrième exemple pour chacune des hauteurs h en fonction d'une variation de l'angle 0; la figure 32B est un graphique illustrant une variation d'une valeur de C2(h,0+180)-C2(h,O) du quatrième 5 exemple pour chacune des hauteurs h en fonction d'une variation de l'angle 0; la figure 33 est un graphique illustrant une variation d'une valeur de C2-1 (h,O+180)-C2-1(h,0) du quatrième exemple pour chacune des hauteurs h en fonction 10 de la variation de l'angle 0; la figure 34A est un graphique tridimensionnel illustrant une erreur de puissance de réfraction moyenne du verre de lunettes du quatrième exemple; la figure 34B est un graphique tridimensionnel 15 illustrant l'astigmatisme du verre de lunettes du quatrième
exemple;
la figure 35A est un tableau montrant une distribution de courbure C1(h,O) d'une surface extérieure d'un verre de lunettes selon un deuxième exemple comparatif; la figure 35B est un tableau montrant une distribution de courbure C2(h,O) d'une surface intérieure du verre de lunettes selon le deuxième exemple comparatif; la figure 36A est un graphique illustrant une variation de la courbure C1(h,O) du deuxième exemple 25 comparatif pour chacun d'angles 0 en fonction de la variation d'une hauteur h; la figure 36B est un graphique illustrant une variation de la courbure C2(h,O) du deuxième exemple comparatif pour chacun d'angles 0 en fonction de la 30 variation d'une hauteur h; la figure 37A est un graphique illustrant une variation de la courbure C1(h,O) du deuxième exemple comparatif pour chacune des hauteurs h en fonction d'une variation de l'angle 0; la figure 37B est un graphique illustrant une variation de la courbure C2(h,O) du deuxième exemple comparatif pour chacune des hauteurs h en fonction d'une variation de l'angle 0; la figure 38A est un graphique illustrant une variation d'une valeur de C1(h, 0+180)-Cl(h,O) du deuxième 5 exemple comparatif pour chacune des hauteurs h en fonction de la variation de l'angle 0; la figure 38B est un graphique illustrant une variation d'une valeur de C2(h,0+180)-C2(h,O) du deuxième exemple comparatif pour chacune des hauteurs h en fonction 10 de la variation de l'angle 0; la figure 39 est un graphique montrant la variation d'une valeur de C21(h,0+180)-C21(hO) du deuxième exemple comparatif pour chacune des hauteurs h en fonction de la variation de l'angle 0; la figure 40A est un graphique tridimensionnel illustrant une erreur de puissance de réfraction moyenne du verre de lunettes du deuxième exemple comparatif; la Figure 40B est un graphique tridimensionnel illustrant l'astigmatisme du verre de lunettes du deuxième 20 exemple comparatif; la figure 41A est un tableau montrant une distribution de courbure C1(h,O) d'une surface extérieure d'un verre de lunettes selon un cinquième exemple; la figure 41B est un tableau montrant une 25 distribution de courbure C2(h,O) d'une surface intérieure du verre de lunettes selon le cinquième exemple; la figure 42A est un graphique illustrant une variation de la courbure C1(h,O) du cinquième exemple pour chacun d'angles 0 en fonction de la variation d'une hauteur h; la figure 42B est un graphique illustrant une variation de la courbure C2(h,O) du cinquième exemple pour chacun d'angles 0 en fonction de la variation d'une hauteur h; la figure 43A est un graphique illustrant une variation de la courbure C1(h,O) du cinquième exemple pour 35 chacune des hauteurs h en fonction d'une variation de l'angle 0; la figure 43B est un graphique illustrant une variation de la courbure C2(h,O) du cinquième exemple pour chacune des hauteurs h en fonction d'une variation de l'angle 0; la figure 44A est un graphique illustrant une variation d'une valeur de Cl(h,0+180)-Cl(h,O) du cinquième exemple pour chacune des hauteurs h en fonction de la variation de l'angle 0; la figure 44B est un graphique illustrant une 10 variation d'une valeur de C2(h,0+180)-C2(h,O) du cinquième exemple pour chacune des hauteurs h en fonction de la variation de l'angle 0; la figure 45 est un graphique illustrant la variation d'une valeur de C21(h,O+180)-C21(h,0) du 15 cinquième exemple pour chacune des hauteurs h en fonction de la variation de l'angle O; la figure 46A est un graphique tridimensionnel illustrant une erreur de puissance de réfraction moyenne du verre de lunettes du cinquième exemple; la figure 46B est un graphique tridimensionnel illustrant l'astigmatisme du verre de lunettes du cinquième
exemple;
la figure 47A est un tableau montrant une distribution de courbure C1(h,O) d'une surface extérieure 25 d'un verre de lunettes selon un sixième exemple; la figure 47B est un tableau illustrant une distribution de courbure C2(h,O) d'une surface intérieure d'un verre de lunettes selon le sixième exemple; la figure 48A est un graphique illustrant une 30 variation de la courbure C1(h,O) du sixième exemple pour chacun d'angles 0 en fonction de la variation d'une hauteur h; la figure 48B est un graphique illustrant une variation de la courbure C2(h,O) du sixième exemple pour chacun d'angles 0 en fonction de la variation d'une hauteur h; la figure 49A est un graphique illustrant une variation de la courbure C1(h,O) pour chacune des hauteurs h en fonction d'une variation de l'angle 0; la figure 49B est un graphique illustrant une 5 variation de la courbure C2(h,O) du sixième exemple pour chacune des hauteurs h en fonction d'une variation de l'angle 0; la figure 50A est un graphique illustrant la variation d'une valeur de C1(h,0+180)-Cl(h,O) du sixième 10 exemple pour chacune des hauteurs h en fonction de la variation de l'angle 0; la figure 50B est un graphique illustrant la variation d'une valeur de C2(h,0+180)-C2(h,O) du sixième exemple pour chacune des hauteurs h en fonction de la 15 variation de l'angle 0; la figure 51 est un graphique illustrant la variation d'une valeur de C21(h,0+180)-C21(h,O) du sixième exemple pour chacune des hauteurs h en fonction de la variation de l'angle 0; la figure 52A est un graphique tridimensionnel illustrant l'erreur de puissance de réfraction moyenne du verre de lunettes du sixième exemple; la figure 52B est un graphique tridimensionnel illustrant l'astigmatisme du verre de lunettes du sixième 25 exemple; la figure 53A est un tableau montrant une distribution de courbure C1(h,O) d'une surface extérieure d'un verre de lunettes selon un troisième exemple comparatif; la figure 53B est un tableau montrant une 30 distribution de courbure C2(h,O) d'une surface intérieure du verre de lunettes selon le troisième exemple comparatif; la figure 54A est un graphique illustrant une variation de la courbure C1(h,0) du troisième exemple comparatif pour chacun d'angles O en fonction de la 35 variation d'une hauteur h; la figure 54B est un graphique illustrant une variation de la courbure C2(h,0) du troisième exemple comparatif pour chacun d'angles 0 en fonction de la variation d'une hauteur h; la figure 55A est un graphique illustrant une variation de la courbure Cj(h,O) du troisième exemple comparatif pour chacune des hauteurs h en fonction d'une variation de l'angle 0; la figure 55B est un graphique illustrant une 10 variation de la courbure C2(h,O) du troisième exemple comparatif pour chacune des hauteurs h en fonction d'une variation de l'angle 0; la figure 56A est un graphique illustrant une variation d'une valeur de Cl(h, 0+180)-Cl(h,O) du troisième 15 exemple comparatif pour chacune des hauteurs h en fonction de la variation de l'angle 0; la figure 56B est un graphique illustrant la variation d'une valeur de C2(h,0+180)-C2(h,O) du troisième exemple comparatif pour chacune des hauteurs h en fonction 20 de la variation de l'angle 0; la figure 57 est un graphique illustrant la variation d'une valeur de C21(h,O+180)-C21(h,0) du troisième exemple comparatif pour chacune des hauteurs h en fonction de la variation de l'angle 0; la figure 58A est un graphique tridimensionnel illustrant une erreur de puissance de réfraction moyenne du verre de lunettes du troisième exemple comparatif; la figure 58B est un graphique tridimensionnel illustrant l'astigmatisme du verre de lunettes du troisième 30 exemple comparatif; la figure 59A est un tableau montrant une distribution de courbure C1(h,O) d'une surface extérieure d'un verre de lunettes selon un septième exemple; la figure 59B est un tableau montrant une 35 distribution de courbure C2(h,O) d'une surface intérieure du verre de lunettes selon le septième exemple; la figure 60A est un graphique illustrant une variation de la courbure C1(h,O) du septième exemple pour chacun d'angles 0 en fonction de la variation d'une hauteur h; la figure 60B est un graphique illustrant une 5 variation de la courbure C2(h,O) du septième exemple pour chacun d'angles 0 en fonction de la variation d'unehauteur h; la figure 61A est un graphique illustrant une variation de la courbure C1(h,O) du septième exemple pour chacune des hauteurs h en fonction d'une variation de 10 l'angle 0; la figure 61B est un graphique illustrant une variation de la courbure C2(h, O) du septième exemple pour chacune des hauteurs h en fonction d'une variation de l'angle 0; la figure 62A est un graphique illustrant la variation d'une valeur de C1(h,0+180)-Cl(h,O) du septième exemple pour chacune des hauteurs h en fonction de la variation de l'angle 0; la figure 62B est un graphique illustrant la 20 variation d'une valeur de C2(h,0+180)-C2(h,O) du septième exemple pour chacune des hauteurs h en fonction de la variation de l'angle 0; la figure 63 est un graphique illustrant la variation d'une valeur de C21(h,0+180)-C21(h,O) du septième 25 exemple pour chacune des hauteurs h en fonction de la variation de l'angle 0; la figure 64A est un graphique tridimensionnel illustrant une erreur de puissance de réfraction moyenne du verre de lunettes du septième exemple; la figure 64B est un graphique tridimensionnel illustrant l'astigmatisme du verre de lunettes du septième
exemple;
la figure 65A est un tableau montrant une distribution de courbure C1(h,O) d'une surface extérieure 35 d'un verre de lunettes selon un huitième exemple; la figure 65B est un tableau montrant une distribution de courbure C2(h,O) d'une surface intérieure du verre de lunettes selon le huitième exemple; la figure 66A est un graphique illustrant une 5 variation de la courbure C1(h,O) du huitième exemple pour chacun d'angles 0 en fonction de la variation d'une hauteur h; la figure 66B est un graphique illustrant une variation de la courbure C2(h,O) du huitième exemple pour chacun d'angles 0 en fonction de la variation d'une hauteur h; la figure 67A est un graphique illustrant une variation de la courbure C1(h,O) du huitième exemple pour chacune des hauteurs h en fonction d'une variation de l'angle 0; la figure 67B est un graphique illustrant une 15 variation de la courbure C2(h,O) du huitième exemple pour chacune des hauteurs h en fonction d'une variation de l'angle 0; la figure 68A est un graphique illustrant la variation d'une valeur de C1(h,0+180)-Cl(h,O) du huitième 20 exemple pour chacune des hauteurs h en fonction de la variation de l'angle O; la figure 68B est un graphique illustrant la variation d'une valeur de C2(h,0+180)-C2(h,O) du huitième exemple pour chacune des hauteurs h en fonction de la 25 variation de l'angle 0; la figure 69 est un graphique illustrant la variation d'une valeur de C2 1(h, O+180)-C2 1(h,O) du huitième exemple pour chacune des hauteurs h en fonction de la variation de l'angle 0; la figure 70A est un graphique tridimensionnel illustrant l'erreur de puissance de réfraction moyenne du verre de lunettes du huitième exemple; la figure 70B est un graphique tridimensionnel illustrant l'astigmatisme du verre de lunettes du huitième 35 exemple; la figure 71A est un tableau montrant une distribution de courbure C1(h,O) d'une surface extérieure d'un verre de lunettes selon un quatrième exemple comparatif; la figure 71B est un tableau montrant une 5 distribution de courbure C2(h,O) d'une surface intérieure du verre de lunettes selon le quatrième exemple comparatif; la figure 72A est un graphique illustrant une variation de la courbure C1(h, O) du quatrième exemple comparatif pour chacun d'angles 0 en fonction de la 10 variation d'une hauteur h; la figure 72B est un graphique illustrant une variation de la courbure C2(h,O) du quatrième exemple comparatif pour chacun d'angles O en fonction de la variation d'une hauteur h; la figure 73A est un graphique illustrant une variation de la courbure C1(h,O) du quatrième exemple comparatif pour chacune des hauteurs h en fonction d'une variation de l'angle 0; la figure 73B est un graphique illustrant une 20 variation de la courbure C2(h,O) du quatrième exemple comparatif pour chacune des hauteurs h en fonction d'une variation de l'angle 0; la figure 74A est un graphique illustrant la variation d'une valeur de Cl(h,0+180)-CI(h,O) du quatrième 25 exemple comparatif pour chacune des hauteurs h en fonction de la variation de l'angle 0; la figure 74B est un graphique illustrant la variation d'une valeur de C2(h,0+180)-C2(h,O) du quatrième exemple comparatif pour chacune des hauteurs h en fonction 30 de la variation de l'angle 0; la figure 75 est un graphique illustrant la variation d'une valeur de C21(h, 0+180)-C21(h,0) du quatrième exemple comparatif pour chacune des hauteurs h en fonction de la variation de l'angle 0; la figure 76A est un graphique tridimensionnel illustrant une erreur de puissance de réfraction moyenne du verre de lunettes du quatrième exemple comparatif; la figure 76B est un graphique tridimensionnel 5 illustrant l'astigmatisme du verre de lunettes du quatrième
exemple comparatif;
la figure 77A est un tableau montrant une distribution de courbure Cj(h,O) d'une surface extérieure d'un verre de lunettes selon un neuvième exemple; la figure 77B est un tableau montrant une distribution de courbure C2(h,O) d'une surface intérieure d'un verre de lunettes selon le neuvième exemple; la figure 78A est un graphique illustrant une variation de la courbure CI(h,O) du neuvième exemple pour 15 chacun d'angles 0 en fonction de la variation d'une hauteur h; la figure 78B est un graphique illustrant une variation de la courbure C2(h,O) du neuvième exemple pour chacun d'angles 0 en fonction de la variation d'une hauteur h; la figure 79A est un graphique illustrant une 20 variation de la courbure Cj(h,O) du neuvième exemple pour chacune des hauteurs h en fonction d'une variation de l'angle 0; la figure 79B est un graphique illustrant une variation de la courbure C2(h,O) du neuvième exemple pour 25 chacune des hauteurs h en fonction d'une variation de l'angle 0; la figure 80A est un graphique illustrant la variation d'une valeur de C1(h,0+180)-Cl(h,O) du neuvième exemple pour chacune des hauteurs h en fonction de la 30 variation de l'angle 0; la figure 80B est un graphique illustrant la variation d'une valeur de C2(h,0+180)-C2(h,O) du neuvième exemple pour chacune des hauteurs h en fonction de la variation de l'angle 0; la figure 81 est un graphique illustrant la variation d'une valeur de C21(h, 0+180)-C21(h,O) du neuvième exemple pour chacune des hauteurs h en fonction de la variation de l'angle 0; la figure 82A est un graphique tridimensionnel illustrant une erreur de puissance de réfraction moyenne du verre de lunettes du neuvième exemple; la figure 82B est un graphique tridimensionnel illustrant l'astigmatisme du verre de lunettes du neuvième
exemple;
la figure 83A est un tableau montrant une 10 distribution de courbure C1(h,O) d'une surface extérieure d'un verre de lunettes selon un dixième exemple; la figure 83B est un tableau montrant une distribution de courbure C2(h,O) d'une surface intérieure d'un verre de lunettes selon le dixième exemple; la figure 84A est un graphique illustrant une variation de la courbure C1(h,O) du dixième exemple pour chacun d'angles 0 en fonction de la variation d'une hauteur h; la figure 84B est un graphique illustrant une variation de la courbure C2(h,O) du dixième exemple pour 20 chacun d'angles 0 en fonction de la variation d'une hauteur h; la figure 85A est un graphique illustrant une variation de la courbure C1(h, O) du dixième exemple pour chacune des hauteurs h en fonction d'une variation de l'angle 0; la figure 85B est un graphique illustrant une variation de la courbure C2(h,O) du dixième exemple pour chacune des hauteurs h en fonction d'une variation de l'angle 0; la figure 86A est un graphique illustrant la 30 variation d'une valeur de C1(h,0+180)-Cl(h,O) du dixième exemple pour chacune des hauteurs h en fonction de la variation de l'angle 0; la figure 86B est un graphique illustrant la variation d'une valeur de C2(h,0+180)-C2(h,O) du dixième exemple pour chacune des hauteurs h en fonction de la variation de l'angle 0; la figure 87 est un graphique illustrant la variation d'une valeur de C21(h, 0+180)-C21(h,O) du dixième exemple pour chacune des hauteurs h en fonction de la variation de l'angle 0; la figure 88A est un graphique tridimensionnel illustrant une erreur de puissance de réfraction moyenne du verre de lunettes du dixième exemple; la figure 88B est un graphique tridimensionnel illustrant l'astigmatisme du verre de lunettes du dixième 10 exemple; la figure 89A est un tableau montrant une distribution de courbure C1(h,O) d'une surface extérieure d'un verre de lunettes selon un cinquième exemple comparatif; la figure 89B est un tableau montrant une 15 distribution de courbure C2(h,O) d'une surface intérieure d'un verre de lunettes selon le cinquième exemple comparatif; la figure 90A est un graphique illustrant une variation de la courbure C1(h,O) du cinquième exemple comparatif pour chacun d'angles O en fonction de la 20 variation d'une hauteur h; la figure 90B est un graphique illustrant une variation de la courbure C2(h,O) du cinquième exemple comparatif pour chacun d'angles O en fonction de la variation d'une hauteur h; la figure 91A est un graphique illustrant une variation de la courbure C1(h,O) du cinquième exemple comparatif pour chacune des hauteurs h en fonction d'une variation de l'angle 0; la figure 91B est un graphique illustrant une 30 variation de la courbure C2(h,O) du cinquième exemple comparatif pour chacune des hauteurs h en fonction d'une variation de l'angle 0; la figure 92A est un graphique illustrant la variation d'une valeur de C1(h, 0+180)-Cl(h,O) du cinquième 35 exemple comparatif pour chacune des hauteurs h en fonction de la variation de l'angle 0; la figure 92B est un graphique illustrant la variation d'une valeur de C2(h,0+180)-C2(h,O) du cinquième exemple comparatif pour chacune des hauteurs h en fonction de la variation de l'angle 0; la figure 93 est un graphique illustrant la variation d'une valeur de C21(h,0+180)-C2-1(h,O) du cinquième exemple comparatif pour chacune des hauteurs h en fonction de la variation de l'angle 0; la figure 94A est un graphique tridimensionnel 10 illustrant une erreur de puissance de réfraction moyenne du verre de lunettes du cinquième exemple comparatif; la figure 94B est un graphique tridimensionnel illustrant l'astigmatisme du verre de lunettes du cinquième
exemple comparatif;
la figure 95A est un tableau montrant une distribution de courbure C1(h,O) d'une surface extérieure d'un verre de lunettes selon un onzième exemple; la figure 95B est un tableau montrant une distribution de courbure C2(h, O) d'une surface intérieure 20 d'un verre de lunettes selon le onzième exemple; la figure 96A est un graphique montrant une variation de la courbure C1(h,O) du onzième exemple pour chacun d'angles 0 en fonction de la variation d'une hauteur h; la figure 96B est un graphique montrant une 25 variation de la courbure C2(h,O) du onzième exemple pour chacun d'angles 0 en fonction de la variation d'une hauteur h; la figure 97A est un graphique montrant une variation de la courbure C1(h,O) du onzième exemple pour chacune des hauteurs h en fonction d'une variation de 30 l'angle O; la figure 97B est un graphique montrant une variation de la courbure C2(h,O) du onzième exemple pour chacune des hauteurs h en fonction d'une variation de l'angle 0; la figure 98A est un graphique illustrant la variation d'une valeur de Cl(h,0+180)-Cl(h,O) du onzième exemple pour chacune des hauteurs h en fonction de la variation de l'angle 0; la figure 98B est un graphique illustrant la variation d'une valeur de C21(h,0+180)-C21(h,O) du onzième 5 exemple pour chacune des hauteurs h en fonction de la variation de l'angle 0; la figure 99 est un graphique illustrant la variation d'une valeur de C2-1(h,0+180)- C2-1(h,O) du onzième exemple pour chacune des hauteurs h en fonction de la 10 variation de l'angle 0; la figure 1OA est un graphique tridimensionnel illustrant une erreur de puissance de réfraction moyenne du verre de lunettes du onzième exemple; la figure 100B est un graphique tridimensionnel 15 illustrant l'astigmatisme du verre de lunettes du onzième
exemple;
la figure lOA est un tableau montant une distribution de courbure Cj(h,O) d'une surface extérieure d'un verre de lunettes selon un douzième exemple; la figure lObB est un tableau montant une distribution de courbure C2(h, O) d'une surface intérieure d'un verre de lunettes selon le douzième exemple; la figure 102A est un graphique illustrant une variation de la courbure CI(h,O) du douzième exemple pour 25 chacun d'angles 0 en fonction de la variation d'une hauteur h; la figure 102B est un graphique illustrant une variation de la courbure C2(h,O) du douzième exemple pour chacun d'angles 0 en fonction de la variation d'une hauteur h; la figure 103A est un graphique illustrant une 30 variation de la courbure Cj(h,O) du douzième exemple pour chacune des hauteurs h en fonction d'une variation de l'angle 0; la figure 103B est un graphique illustrant une variation de la courbure C2(h,O) du douzième exemple pour 35 chacune des hauteurs h en fonction d'une variation de l'angle 0; la figure 104A est un graphique illustrant la variation d'une valeur de C1(h,0+180)-Cl(h,O) du douzième exemple pour chacune des hauteurs h en fonction de la variation de l'angle 0; la figure 104B est un graphique illustrant la variation d'une valeur de C2(h,0+180)-C2(h,O) du douzième exemple pour chacune des hauteurs h en fonction de la variation de l'angle 0; la figure 105 est un graphique illustrant la 10 variation d'une valeur de C21(h,0+180)-C21(h,O) du douzième exemple pour chacune des hauteurs h en fonction de la variation de l'angle 0; la figure 106A est un graphique tridimensionnel illustrant une erreur de puissance de réfraction moyenne du 15 verre de lunettes du douzième exemple; la figure 106B est un graphique tridimensionnel illustrant l'astigmatisme du verre de lunettes du douzième
exemple;
la figure 107A est un tableau montrant une 20 distribution de courbure Cl(h,O) d'une surface extérieure d'un verre de lunettes selon un sixième exemple comparatif; la figure 107B est un tableau montrant une distribution de courbure C2(h,O) d'une surface intérieure 25 d'un verre de lunettes selon le sixième exemple comparatif; la figure 108A est un graphique illustrant une variation de la courbure C1(h,O) du sixième exemple comparatif pour chacun d'angles O en fonction de la 30 variation d'une hauteur h; la figure 108B est un graphique illustrant une variation de la courbure C2(h,O) du sixième exemple comparatif pour chacun d'angles O en fonction de la variation d'une hauteur h; la figure 109A est un graphique illustrant une variation de la courbure C1(h,O) du sixième exemple comparatif pour chacune des hauteurs h en fonction d'une variation de l'angle 0; la figure 109B est un graphique illustrant une variation de la courbure C2(h,O) du sixième exemple 5 comparatif pour chacune des hauteurs h en fonction d'une variation de l'angle 0; la figure llOA est un graphique illustrant la variation d'une valeur de C1(h, 0+180)-Cl(h,O) du sixième exemple comparatif pour chacune des hauteurs h en fonction 10 de la variation de l'angle 0; la figure llOB est un graphique illustrant la variation d'une valeur de C2(h,0+180)-C2(h,O) du sixième exemple comparatif pour chacune des hauteurs h en fonction de la variation de l'angle 0; la figure 111 est un graphique illustrant la variation d'une valeur de C2-1(h,0+180)-C2-1(h,O) du sixième exemple comparatif pour chacune des hauteurs h en fonction de la variation de l'angle 0; la figure 112A est un graphique tridimensionnel 20 illustrant une erreur de puissance de réfraction moyenne du verre de lunettes du sixième exemple comparatif; et la figure 112B est un graphique tridimensionnel illustrant l'astigmatisme du verre de lunettes du sixième
exemple comparatif.
Les figures lA et 1B montrent un verre de lunettes 1 selon une première forme de réalisation de l'invention. La figure lA est une vue en coupe du verre de lunettes 1 vu depuis une surface latérale du verre de lunettes 1, et la figure 1B est une vue de face du verre de 30 lunettes 1 vu depuis le côté d'une surface antérieure de ce verre.
Les figures 2A et 2B montrent un verre de lunettes 11 selon une deuxième forme de réalisation de l'invention. La figure 2A est une vue en coupe du verre de 35 lunettes 11 vu depuis une surface latérale du verre de lunettes 11, et la figure 1B est une vue de face du verre de lunettes 11 vu depuis le côté d'une surface antérieure de ce verre 11.
On décrira ci-après le verre de lunettes 1 selon la première forme de réalisation. Comme montré sur la 5 figure lA, le verre de lunettes 1 présente une surface extérieure 2 et une surface intérieure 3 configurées de façon à être respectivement une surface ayant une propriété symétrique (par exemple une surface sphérique) et une surface asphérique à asymétrie de rotation. Un point 4 est 10 un point de centrage. Le point de centrage est défini comme étant un point qui coïncide avec la position d'une pupille du porteur de lunettes lorsque le verre est vu depuis le côté antérieur alors qu'il est porté.
Sur la figure lA, une ligne normale, qui est 15 normale à la surface intérieure 3 en passant par le point 4 de centrage, est considérée comme étant un axe Z2. Une direction qui est perpendiculaire à l'axe Z2 et qui correspond à une direction verticale lorsque le verre de lunettes est monté, est considérée comme étant un axe y2. 20 Une direction qui est perpendiculaire à la direction de l'axe Y2 et à la direction de l'axe z2 dans un système de coordonnées orienté à gauche est considérée comme étant un axe x2.
Pour configurer un verre de lunettes afin qu'une 25 partie supérieure du verre soit destinée à la vision de loin et que la partie inférieure du verre soit destinée à la vision de près, la correction des aberrations doit être conçue individuellement pour la partie supérieure et pour la partie inférieure du verre. Par conséquent, si le verre 30 de lunette est configuré en utilisant des surfaces à symétrie de rotation, une telle conception pour la correction des aberrations devient très difficile. C'est la raison pour laquelle il est nécessaire qu'au moins l'une d'une surface extérieure et d'une surface intérieure du 35 verre de lunettes soit considérée de façon à être une surface asphérique à asymétrie de rotation.
Comme décrit en détail ci-après, en configurant la surface intérieure 3 du verre de lunettes 1 de la première forme de réalisation en tant que surface asphérique à asymétrie de rotation, on corrige les 5 aberrations du verre de lunettes 1 de façon que la partie supérieure du verre de lunettes 1 soit conçue pour la vision de loin et que la partie inférieure du verre de lunettes 1 soit conçue pour la vision de près.
Sur la figure lB, un point ayant une hauteur h 10 [mm] à partir de l'axe z2 sur une ligne d'intersection 7, qui est formée entre la surface intérieure 3 et un plan contenant l'axe z2 est formé à l'angle 0 [ ] par rapport à l'axe x2, est représenté par des coordonnées polaires (h,O). De plus, C2(h,O) représente une courbure mesurée le 15 long de la ligne d'intersection 7 au point (h,O). L'angle 0 est de O' lorsque la ligne d'intersection 7 coïncide avec l'axe x2, et il augmente au fur et à mesure que la ligne d'intersection 7 tourne dans le sens inverse de celui des aiguilles d'une montre sur la figure 1B.
Les sens positifs de l'axe x2, de l'axe y2, de l'axe z2 et des coordonnées polaires (h,O) sont indiqués par des flèches respectives sur les figures lA et 1B. Le point de centrage 4 correspond à un point d'origine de chacun de l'axe x2, de l'axe y2, de l'axe z2 et des 25 coordonnées polaires (h,O) en considérant le verre de lunettes depuis le côté de sa surface antérieure. Un sens positif de l'axe z2 correspond à un côté tourné vers l'oeil du verre 1 de lunettes. Un sens positif de l'axe Y2 correspond à un côté supérieur lorsque le verre de lunettes 30 1 est porté.
Dans un cas o h et 0 sont compris dans des plages respectives telles que lO<h<20 et 30<0<150, le verre de lunettes 1 satisfait à une condition (3) lorsque C2-1(0,0)>O est valable, et satisfait à une condition (4) lorsque 35 C2 1(0,0)<O est valable. La valeur C21(0,0) représente une différence entre la courbure C2(0,O) de la surface intérieure 3 aux coordonnées polaires de (0,0), et la courbure C1(0,0) de la surface extérieure 2 aux coordonnées polaires de (0,0).
C2(h,0+180)-C2(h,0) > 0... (3) C2(h,0+180)-C2(h,0) < 0... (4) Dans les conditions (3) et (4), la courbure C2(h,0) est une courbure prise dans une zone R indiquée par un motif de hachures sur la figure 1B. Autrement dit, la courbure C2(h,0) est une courbure de la partie supérieure de la surface intérieure 3 du verre de lunettes 1. En 10 outre, dans les conditions (3) et (4), la courbure C2(h,0+180) est une courbure prise dans une zone placée de façon opposée à la zone R sur la surface intérieure 3 par rapport au point 4 de centrage. Autrement dit, la courbure C2(h,0+180) est une courbure de la partie inférieure de la 15 surface intérieure 3 du verre de lunettes 1.
La condition (3) signifie que la courbure de la partie supérieure de la surface intérieure 3 est plus faible que celle de la partie inférieure de la surface intérieure 3 lorsque C21(0,0)>0 est valable. La condition 20 (4) signifie que la courbure de la partie supérieure de la surface intérieure 3 est plus grande que celle de la partie inférieure de la surface intérieure 3 lorsque C21(0,0) < 0 est valable.
Si un verre de lunettes possède une puissance de 25 réfraction cylindrique pour la correction d'une vision astigmatique, la puissance de réfraction cylindrique exerce un effet uniforme sur une paire de points qui sont situés sur une surface du verre symétriquement par rapport à un point d'origine de la surface du verre. Par conséquent, les 30 conditions (3) et (4) sont également valables si le verre de lunettes 1 possède une puissance de réfraction cylindrique.
En déterminant la courbure de la partie supérieure de la surface intérieure 3 et la courbure de la 35 partie inférieure de la surface intérieure 3 de façon que les courbures satisfassent aux conditions (3) et (4), il devient possible de réaliser un verre de lunettes configuré de façon que la partie supérieure du verre soit adaptée à la vision de loin et que la partie inférieure du verre soit adaptée à la vision de près. De telles performances 5 appropriées à la fois en vision de loin et en vision de près peuvent être maintenues même si le verre de lunettes 1 possède une puissance de réfraction cylindrique.
On décrira ensuite le verre de lunettes 11 selon la deuxième forme de réalisation. Comme montré sur la 10 figure 2A, le verre de lunettes 11 présente une surface extérieure 12 et une surface intérieure 13 configurée de façon à être respectivement une surface asphérique à asymétrie de rotation et une surface ayant une propriété symétrique (par exemple une surface sphérique). Un point 14 15 est le point de centrage qui coïncide avec la position de la pupille d'un oeil 5 lorsque le verre de lunettes Il est fixé sur une monture (non représentée).
Sur la figure 2A, une ligne normale, qui est normale à la surface extérieure 12 en passant par le point 20 de centrage 14, est considérée comme étant un axe z1. Une direction qui est perpendiculaire à l'axe z1 et qui correspond à une direction verticale lorsque le verre de lunettes est porté, est considérée comme étant un axe y,.
Une direction qui est perpendiculaire à la direction de 25 l'axe y, et à la direction de l'axe z1 dans le système de coordonnées orienté à gauche est considérée comme étant un axe xi.
Comme décrit en détail ci-après, en configurant la surface extérieure 12 du verre de lunettes 11 de la 30 deuxième forme de réalisation sous la forme de la surface asphérique à asymétrie de rotation, on corrige les aberrations du verre de lunettes 11 de façon que la partie supérieure du verre 11 soit adaptée à la vision de loin et que la partie inférieure du verre 11 soit adaptée à la 35 vision de près.
Sur la figure 2B, un point ayant une hauteur h [mm] à partir de l'axe z1 sur une ligne d'intersection 17, qui est formée entre la surface extérieure 12 et un plan contenant l'axe z1 et formant un angle 0 [o] par rapport à 5 l'axe x1, est représenté par des coordonnées polaires (h,0). De plus, C1(h,0) représente une courbure mesurée le long de la ligne d'intersection 17 au point (h,0). L'angle 0 est de 0 lorsque la ligne d'intersection 7 coïncide avec l'axe x1, et il augmente au fur et à mesure que la ligne 10 d'intersection 17 tourne dans le sens inverse de celui des aiguilles d'une montre sur la figure 2B.
Les sens positifs de l'axe xl, de l'axe Y,, de l'axe z1 et des coordonnées polaires (h,0) sont indiqués par des flèches respectives sur les figures 2A et 2B. Le 15 point 14 de centrage correspond à un point d'origine de chacun des axes x1, de l'axe y,, de l'axe zi et des coordonnées polaires (h,0). Un sens positif de l'axe z1 correspond au côté de l'oeil du verre de lunettes 11. Un sens positif de l'axe Y, correspond à un côté supérieur 20 lorsque le verre de lunettes 11 est porté.
Dans un cas o h et 0 sont compris dans des plages respectives de 10<h<20 et 30<0<150, le verre de lunettes 11 satisfait à la condition (5) lorsque C21(0,0)>0 est valable, et satisfait à une condition (6) 25 lorsque C21(0,0)<0 est valable.
C1(h,0+180)-Cl(h,0) < 0... (5) C1(h,0+180)-Cl(h,0) > 0... (6) Dans les conditions (5) et (6), la courbure C1(h,0) est une courbure prise dans une zone R1 indiquée 30 par un motif en hachures sur la figure 2B. Autrement dit, la courbure C1(h,0) est une courbure de la partie supérieure de la surface extérieure 12 du verre de lunettes 11. En outre, dans les conditions (5) et (6), la courbure C1(h,0+180) est une courbure prise dans une zone située à l'opposé de la 35 zone R1 sur la surface extérieure 12 par rapport au point 14 de centrage. Autrement dit, la courbure C1(h,0+180) est une courbure de la partie inférieure de la surface extérieure 12 du verre de lunettes 11.
La condition (5) signifie que la courbure de la partie supérieure de la surface extérieure 12 est plus 5 grande que celle de la partie inférieure de la surface extérieure 12 lorsque C21(0,0) > 0 est valable. La condition (6) signifie que la courbure de la partie supérieure de la surface extérieure 12 est plus petite que celle de la partie inférieure de la surface extérieure 12 10 lorsque C2 1(0,0) < 0 est valable.
En déterminant la courbure de la partie supérieure de la surface extérieure 12 et la courbure de la partie inférieure de la surface extérieure 12 de façon que les courbures satisfassent aux conditions (5) et (6), il 15 devient possible de réaliser un verre de lunettes configuré de façon que la partie supérieure du verre soit adaptée à la vision de loin et que la partie inférieure du verre soit adaptée à la vision de près. De telles performances appropriées à la fois aux visions de loin et aux visions de 20 près peuvent être maintenues même si le verre de lunettes 11 possède une puissance de réfraction cylindrique.
En combinant les conditions (3) et (4), qui sont appliquées à une situation dans laquelle le verre de lunettes présente une surface intérieure configurée de 25 façon à être la surface asphérique à asymétrie de rotation, aux conditions (5) et (6), qui s'appliquent à une situation dans laquelle le verre de lunettes présente une surface extérieure configurée de façon à être la surface asphérique à asymétrie de rotation, on obtient les conditions (1) et 30 (2) suivantes.
A savoir, dans un cas o h et 0 sont compris dans les plages respectives de lO<h<20 et 30<0<150, le verre de lunettes selon les formes de réalisation de l'invention satisfait à la condition (1) lorsque C21(0,0)> 0 est 35 valable, et satisfait à la condition (2) lorsque C21(0,0)<O estvalable (C21(0,0) =C2(0,0)-C1(0,0)).
C2 1(h,O+l80)-C2 1(hO) > O... (1) C21(h,O+180)-C21(h,O) < 0... (2) On expliquera en détail ci-après les fondements théoriques concernant les conditions (1) à (6) indiquées 5 ci-dessus. Habituellement, les performances optiques d'un verre de lunettes peuvent être représentées par une erreur de puissance de réfraction moyenne et un astigmatisme dans la périphérie du verre de lunettes. Lorsque de telles aberrations sont calculées, on utilise un agencement 10 optique représenté sur la figure 3.
Sur la figure 3, le centre de rotation d'un oeil 51 est positionné sur un axe optique Ax d'un verre de lunettes 60, et une surface sphérique de sommet 50 est définie comme étant une surface sphérique qui est tangente 15 à une surface intérieure 62 du verre de lunettes 60 au sommet de la surface intérieure 62 et qui présente un centre de courbure coïncidant avec le centre de rotation de l'oeil 51. On obtient chaque aberration par rapport à un angle 3 [O] d'un faisceau lumineux passant par le centre de 20 rotation de l'oeil 51. L'angle P est formé entre le faisceau lumineux et l'axe optique Ax.
Plus particulièrement, l'angle 3 est défini comme étant un angle sur lequel l'oeil du porteur tourne afin qu'une ligne de visée de l'oeil coïncide avec un faisceau 25 lumineux cible par rapport à une situation dans laquelle une ligne de visée de l'oeil coïncide avec l'axe optique Ax.
L'angle 3 est appelé angle de rotation.
On suppose qu'une distance allant du sommet de la surface intérieure 62 jusqu'à une position d'image lorsque 30 f est de 0O est représentée par Lo [m], et qu'une distance, qui est mesurée le long du faisceau lumineux tombant sur l'oeil avec l'angle de rotation f, depuis la surface sphérique 50 de sommet jusqu'à la position de l'image dans une section transversale méridienne est représentée par Lm 35 [m]. On suppose en outre qu'une distance, qui est mesurée le long du faisceau lumineux tombant sur l'oeil tourné vers l'angle de rotation À, allant de la surface sphérique 50 de sommet jusqu'à la position de l'image dans une section transversale sagittale, est représentée par Ls [m]. Dans ce cas, une erreur de puissance de réfraction moyenne DM [D] 5 et une erreur de puissance de réfraction sagittale DS [D] sont déterminées par les équations (7) et (8) suivantes DM=l/Lm - 1/Lo... (7) DS=l/Ls - 1/Lo... (8) Etant donné que la distance allant d'un point 10 jusqu'à la position de l'image change en fonction du degré de convergence et du degré de divergence du faisceau lumineux incident (à savoir, la dioptrie Do [D] ; l'inverse d'une distance d'un objet [m]), DM et DS changent en même temps que la valeur dioptrique Do change même si l'angle de 15 rotation P est maintenu constant.
Etant donné qu'une erreur de puissance de réfraction moyenne AP est définie comme étant une moyenne des valeurs DM et DS, et que l'astigmatisme AS est défini comme étant une différence entre les valeurs DM et DS, les 20 valeurs AP et AS sont exprimées par les équations (9) et (10) suivantes: AP=(DM+DS)/2... (9) AS= DM-DS... (10) En général, lors de la conception du verre de 25 lunettes, les grandeurs des aberrations DM, DS, AP et AS sont calculées tandis que l'on fait varier l'angle de rotation 3 et la valeur dioptrique Do. Ensuite, une valeur d'asphéricité d'une surface du verre de lunettes est déterminée de façon que les valeurs DM, DS, AP et AS 30 deviennent aussi faibles que possible.
Il est impossible de rendre simultanément nulles les valeurs DM et DS ou de rendre simultanément nulles les valeurs AS et AP en ce qui concerne toutes les valeurs possibles de l'angle de rotation P même si la valeur 35 dioptrique Do est maintenue constante. De plus, il est impossible de rendre nulle chacune des aberrations DM, DS, AS et AP en ce qui concerne toutes les valeurs dioptriques possibles Do même si l'angle de rotation P est maintenu à une valeur constante autre que zéro.
Cependant, l'inventeur de la présente invention a 5 trouvé que chaque aberration (DM, DS, AP, AS) varie linéairement par rapport à la valeur dioptrique Do lorsque l'angle de rotation 3 est maintenu à une valeur constante, et que les aberrations peuvent être définies par les expressions d'approximations (11) à (14) suivantes: 10 DM _A Do + B... (11) DS C... (12) AP (A/2) Do+(B+C)/2... (13) AS A Do+(B-C) ... (14) Dans les expressions (11) à (14), A, B et C sont 15 des coefficients déterminés en fonction d'un certain angle de rotation p. Comme montré sur la figure 4, si les indices de réfraction d'un côté avant et d'un côté arrière d'une i-ième surface réfringente sont représentés par ni-1 et ni, respectivement, les cosinus d'un angle d'incidence Oi et 20 d'un angle d'émergence Oi' d'un rayon lumineux par rapport à la i-ième surface réfringente sont représentés par i et ', respectivement, et les courbures dans la section transversale méridienne et dans la section transversale sagittale, en un point o le rayon lumineux passe à travers 25 la i-ième surface réfringente, sont représentées par Cmi et Csi, respectivement, les coefficients A, B et C sont exprimés par les équations (15) à (17) suivantes. Lorsqu'on obtient les équations (15) à (17), le rayon lumineux émis depuis un point objet, situé à une distance "do" de la 30 surface extérieure du verre, est tracé conformément à l'expression de Coddington, en supposant que le verre est suffisamment mince.
A.(.1/.1 t) 2, (42/X2 t (15) B =(nle"'-1)' (2/12')2'1 '-2 Cmi-(nl-1) .Cl+ (16) C35 (2( ' -ni 2) ' 2- '-2. Cm2- (1-nl) 1C2 C (nui r'- )'Csl- (n-1) 'l + ( 2'-nl2) 'Cs2- (1-nl) '2... 17) La valeur du coefficient A est un rythme de variation de DM par rapport à la valeur dioptrique Do. Le coefficient B est une valeur de DM proprement dite lorsque la valeur dioptrique Do=O (c'est-à-dire que la distance de 5 l'objet est infinie). Le coefficient C est une valeur de DS proprement dite et prend une valeur constante sans dépendre de la valeur dioptrique Do.
En ce qui concerne l'équation (15), le coefficient A ne dépend que de l'angle formé entre le rayon 10 lumineux et une normale à la surface du verre, et il ne dépend pas de la courbure d'une surface asphérique en un point o le rayon lumineux passe à travers la surface asphérique. Autrement dit, le coefficient A ne varie pas lorsque le degré de la surface asphérique change dans une 15 mesure o une courbe de base ne varie pas.
Sauf dans une situation particulière o la courbe de base du verre est extrêmement prononcée, une relation 41<42' est valable et le coefficient A est donc négatif lorsque la puissance de réfraction du verre est négative, 20 et une relation 1>42' est valable et, par conséquent, le coefficient A est positif lorsque la puissance de réfraction du verre est positive. En ce qui concerne l'équation (16), étant donné que l'équation (16) comprend la courbure de la section transversale méridienne de la 25 surface asphérique au point o le rayon lumineux passe à travers la surface asphérique, le coefficient B change en même temps que la courbure de la surface asphérique change.
Par conséquent, une ligne droite représentant l'aberration DM se déplace parallèlement à elle-même en même temps que 30 le degré de la surface asphérique change.
L'équation (17) comprend la courbure de la section transversale sagittale de la surface asphérique. En général, la courbure d'une section transversale sagittale d'une surface asphérique à symétrie de rotation Cs(h) est 35 déterminée par l'équation suivante: 3 7 Cs Z' (h) h 41+Z'(h) 2 (18) o Z(h) représente la forme de la section transversale méridienne. Autrement dit, la courbure de la 5 section transversale sagittale dépend du gradient de la section transversale méridienne, et ne change pas en même temps que le degré de la surface asphérique change dans une certaine mesure.
Par conséquent, après qu'on a déterminé un indice 10 de réfraction de la matière du verre de lunettes et une courbe de base, un moyen efficace qu'un concepteur voulant corriger convenablement les aberrations du verre de lunettes peut adopter, consiste tout simplement à déterminer le coefficient B afin de trouver un équilibre 15 entre les aberrations en faisant varier la courbure de la section transversale méridienne pour chaque point sur la surface asphérique. Autrement dit, il est impossible de réaliser un verre de lunettes ayant des performances convenables aussi bien pour la vision de loin que la vision 20 de près en n'utilisant que la surface à symétrie de rotation, car seul le coefficient B peut être commandé et, par conséquent, la conception optique du verre de lunettes est limitée pour l'obtention d'un équilibre approprié entre les aberrations.
Pour la raison mentionnée ci-dessus, le verre de lunettes selon les formes de réalisation de l'invention utilise une surface asphérique à asymétrie de rotation dont la partie supérieure et la partie inférieure ont des formes différentes qui conviennent respectivement à la vision de 30 loin et à la vision de près.
Pour calculer les aberrations de points qui sont symétriques par rapport à un centre optique sur la surface du verre, on considère un faisceau lumineux tombant sur la surface du verre en formant l'angle +p (c'est-àdire 35 tombant depuis le côté supérieur) et un faisceau lumineux tombant sur le verre en formant l'angle -y (c'est-à-dire tombant sur le verre depuis le côté inférieur.
Ci-après, chaque symbole (un coefficient, une variable, etc.) qui représente une quantité concernant la 5 partie supérieure du verre est suivi de l'indice (+) et chaque symbole qui représente une quantité concernant la partie inférieure du verre est suivi de l'indice (-). La partie supérieure et la partie inférieure du verre ont des valeurs asphériques différentes pour différencier la 10 caractéristique des aberrations dans la partie supérieure de la caractéristique des aberrations dans la partie inférieure du verre. En outre, la partie supérieure et la partie inférieure du verre ont sensiblement la même forme.
Par conséquent, bien que les formes de la partie 15 supérieure et de la partie inférieure du verre soient différentes l'une de l'autre, le coefficient A (et C) est commun à la fois à la partie supérieure et à la partie inférieure du verre. Il est donc nécessaire que le coefficient B soit déterminé individuellement pour la 20 partie supérieure et pour la partie inférieure du verre.
En ce qui concerne la partie supérieure et la partie inférieure du verre, l'équation (16) est exprimée par les équations suivantes (16a) et (16b).
B c+) = (ni ' +j - )' (+)/ ' t+ 2.' +j -2- Ml (n_) Cl + 25 (2' (+)-nl 2 +) ) '2' (1+)-2 Cm2(+)- (1-nl)'C2.,, (16a) B (_) = (ni l ' (-) -4 c-> ) ( _2 -)/42' (_- ) 2. ' (_) -2. Cm _) (ni -1) ' Cl+ (42 (-) -ni 2 (_) ) ' s2, (_) 2' - CM2 (-) - (1 -ni) 'C2... (16b) Etant donné qu'un angle formé par un rayon 30 lumineux avec la surface réfringente dans la partie supérieure du verre et qu'un angle formé par un rayon lumineux avec la surface réfringente dans la partie inférieure du verre sont sensiblement égaux, on a les relations suivantes 1(+)=1() , ' (+)=1' (-) , 2(+)=2(-) , et 35 2 2(+)= 2 (-) . Par conséquent, lorsque ces angles sont représentés par j, 1', r 2 et 2', respectivement, et l'équation (16b) est soustraite de l'équation (16a), on obtient l'équation (19) suivante: B(+) -B(_)= (né ' -)' (2/e2' ) z'*l,-2. (Cml (+) -Cml (-)) + (2 / -n1 2) * '2 t-2' (C +)-Cm2 () ) *-- (19) Dans l'équation (19), (n1ii'-1I) (42/2' ) 2 I, -2 et (2'-n12) 2'-2 sont considérés comme des contributions de la courbure de la surface du verre aux aberrations et deviennent (nl-1) et (1-nl) , respectivement, lorsque le rayon lumineux tombe perpendiculairement sur la surface du 10 verre.
Lorsque la surface intérieure du verre est une surface asphérique à asymétrie de rotation et que la surface extérieure du verre est une surface ayant une propriété symétrique (par exemple une surface sphérique, 15 une surface torique, une surface à symétrie de rotation, et analogues) , on a Cml (+)-Cml ()=0, et par conséquent, l'équation (19) peut être remplacée par l'équation (20) suivante: B(+)-B(-)=(2' -n1 2) '2'-2' (Cm2(+ )-Cm2(-)) ... (20) Dans le cas d'un verre négatif, on a C2-C1>0. En outre, chacune des aberrations DM, AP et AS augmente en même temps que la valeur dioptrique Do diminue (c'est-àdire que la distance de l'objet diminue), car le coefficient A est négatif. Par conséquent, pour empêcher un 25 accroissement de chaque aberration pour la vision de près, B(_) doit être inférieur à B(+) (c'est-à-dire, B(+)>B(_)). En considérant en outre (%2'-nlI2) 2' -2<0 est valable, la relation suivante peut être dérivée de l'équation (20).
Cm2(-) - Cm2(+) > O L'inégalité ci-dessus (Cm2()-Cm2 (+)>0) signifie que la courbure de la surface intérieure dans sa partie supérieure est plus petite que la courbure de la surface intérieure dans sa partie inférieure. On a ainsi présenté les fondements de la condition (3).
Dans le cas d'un verre positif, on a C2-C1<0. En outre, chacune des aberrations DM, AP et AS diminue en même temps que la valeur dioptrique Do diminue car le coefficient A est positif. Par conséquent, à la différence du cas du verre négatif, pour s'opposer à une augmentation de chaque aberration pour la vision de près, B(_) doit être 5 supérieur à B(+ ) (c'est-à-dire B(+)<B()). En considérant en outre que (2'-n12) 2'-2<0 est valable, la relation suivante peut être dérivée de l'équation (20).
Cm2 (-) - Cm2(+) < O L'inégalité ci-dessus (Cm2()-Cm2(+)<0) signifie 10 que la courbure de la surface intérieure dans sa partie supérieure est plus grande que la courbure de la surface intérieure dans sa partie inférieure. On a ainsi présenté les fondements de la condition (4).
Lorsque la surface extérieure du verre est une 15 surface asphérique à asymétrie de rotation et la surface intérieure du verre est une surface ayant une propriété symétrique (par exemple une surface sphérique, une surface torique, une surface à symétrie de rotation et analogues), on a Cm2(+)-Cm2()=0 et, par conséquent, l'équation (19) peut 20 être remplacée par l'équation (21) suivante.
B(+)-B(-)=(nl '- -l) ('2/12') '1'-2' (Cml(+y-Cml(-)) ... (21) Dans le cas d'un verre négatif, on a C2-C1>0. En outre, il est nécessaire qu'on ait B(+)>B(_). En considérant en outre que (n1ll'-1) (2/2') 2 1'-2>0 est valable, la 25 relation suivante peut être dérivée de l'équation (21).
Cml(-)-Cml (+) < O L'inégalité ci-dessus (Cm1()-Cml(+) <0) signifie que la courbure de la surface extérieure dans sa partie supérieure est plus grande que la courbure de la surface 30 extérieure dans sa partie inférieure. On a ainsi présenté les fondements de la condition (5).
Dans le cas du verre positif, on a C2-C1<0. En outre, il est nécessaire qu'on ait B(+)<B<(). En considérant en outre que (n1lj'--l) (2/2' ) 21'-2> 0 est valable, la 35 relation suivante peut être dérivée de l'équation (21).
Cml (-) - Cml (+) > 0 L'inégalité ci-dessus (Cml(-)-Cml(+)>0) signifie que la courbure de la surface extérieure dans sa partie supérieure est plus petite que la courbure de la surface extérieure de sa partie inférieure. On a ainsi présenté les fondements de la condition (6).
Dans un cas o les deux surfaces extérieure et intérieure du verre sont des surfaces asphériques à asymétrie de rotation, il est nécessaire d'utiliser l'équation (19) telle quelle. Cependant, et ' doivent 10 être supprimés des conditions devant être satisfaites par le verre de lunettes car les valeurs et 4' sont des cosinus des angles formés par le rayon lumineux et la surface de réfraction. Par conséquent, en négligeant le rayon lumineux qui tombe obliquement sur la surface du 15 verre (c'est-àdire en remplaçant respectivement (nîl'/ 12 I-2 1) (42/42) 241 -2 et (42' -n12) 42'-2 par (nl-1) et (1-nj), on a pour le rayon lumineux tombant perpendiculairement sur la surface du verre), l'équation (19) peut être remplacée par une équation (22) comme indiqué ci-dessous.
B(+)-B(_)=(nl-l)[Cml(+)-Cml(-)]+(1-nl)[Cm2(+)-Cm2(-)] = (nl-1) [[Cm2(-)-Cml(-)]-[Cm2(+)-Cml(+)]] ... (22) Dans le cas du verre négatif, on a C2-C1>0. En outre, il est nécessaire qu'on ait B(+)>B(). En considérant en outre qu'on a (n1-1)>0, la relation suivante peut être 25 dérivée de l'équation (22).
[Cm2(-)-Cml(-)]-[Cm2(+)-Cml(+)] > O Cette inégalité signifie qu'une différence entre la courbure de la partie supérieure de la surface intérieure et la courbure de la partie supérieure de la 30 surface extérieure est plus petite qu'une différence entre la courbure de la partie inférieure de la surface intérieure et la courbure de la partie inférieure de la surface extérieure. On a ainsi présenté les fondements de la condition (1).
Dans le cas du verre positif, on a C2-C1<0. Il faut en outre qu'on ait B(+ )<B(_>. En considérant en outre que (n1-l) < 0 est valable, la relation suivante peut être dérivée de l'équation (22).
[Cm2 (_ -Cm1 ()]-[Cm2 (+1 -Cm1 (+)] < O Cette inégalité signifie que la différence entre 5 la courbure de la partie supérieure de la surface intérieure et la courbure de la partie supérieure de la surface extérieure est plus grande que la différence entre la courbure de la partie inférieure de la surface intérieure et la courbure de la partie inférieure de la 10 surface extérieure. On a ainsi présenté les fondements de la condition (2).
On décrira ci-après douze exemples concrets selon les formes de réalisation de l'invention et six exemples comparatifs. Deux exemples et un exemple comparatif sont 15 montrés ci-après pour chacun des six types de puissance dioptrique. Tous les verres de lunettes montrés dans les exemples et exemples comparatifs suivants ont le même indice de réfraction de 1,67.
PREMIER EXEMPLE
On décrira ci-dessous un verre de lunettes selon un premier exemple en utilisant des références numériques indiquées sur la figure 1. Le verre de lunettes selon le premier exemple est un verre négatif qui n'est pas d'une puissance de réfraction cylindrique prescrite (puissance 25 cylindrique) . Des spécifications du verre de lunettes du premier exemple sont indiquées dans le Tableau 1. Comme montré dans le Tableau 1, la surface extérieure 2 est une surface sphérique ayant une courbure indiquée dans le Tableau 1, et la surface intérieure 3 est une surface 30 asphérique à asymétrie de rotation.
TABLEAU 1
PUISSANCE SPHERIQUE SPH -4,00[D] COURBURE DE LA SURFACE EXTERIEURE Cl 1, 35[D] (SURFACE SPHERIQUE) COURBURE DE LA SURFACE INTERIEURE C2 7,36[D] (SURFACE ASPHERIQUE A ASYMETRIE DE ROTATION) EPAISSEUR AU CENTRE 1,10[mm] La figure 5A est un tableau montrant une distribution de la courbure C1(h, O) qui est obtenue sur la 5 surface extérieure 2 en chaque point ayant les coordonnées polaires (h,O) représentées par la hauteur h à partir du point de centrage 4 et l'angle 0 de la ligne d'intersection 7 par rapport à l'axe x. Etant donné que la surface extérieure 2 est sphérique, les courbures C1(h,O) de tous 10 les points sur la surface extérieure 2 sont les mêmes. La figure 5B est un tableau montrant une distribution de la courbure C2(h,O) qui est obtenue sur la surface intérieure 3 en chaque point ayant les coordonnées polaires (h,O).
La figure 6A est un graphique illustrant la 15 variation de la courbure C1(h,O) pour chacun des angles 0 de 0 , 45 , 90 , 135 , 180 , 225 , 270 et 315 en fonction de la variation de la hauteur h. Sur la figure 6A (et sur les graphiques similaires suivants), l'axe horizontal représente la courbure et l'axe vertical représente la 20 hauteur h. Etant donné que la surface extérieure 2 est sphérique, la variation de la courbure C1(h,O) est représentée par une ligne droite sur laquelle toutes les variations de la courbure Cl(h,O) à différents angles 0 sont superposées.
La figure 6B est un graphique illustrant la variation de la courbure C2(h, O) pour chacun des angles 0 de 0 , 45 , 90 , 135 , 180 , 225 , 270 et 315 en fonction de la variation de la hauteur h. Sur la figure 6B, les courbes des angles 0 de O' et de 1800 sont superposées. Sur le côté de gauche de la courbe de l'angle 0 de O0 (1800) sur la figure 6B, une courbe sur laquelle les variations des courbures des angles 0 de 450 et 135 sont superposées 5 et une courbe des angles 0 de 90 sont indiquées dans l'ordre de la valeur décroissante de la courbure. Sur le côté de droite de la courbe de l'angle 0 de O' (1800) sur la figure 6B, une courbe sur laquelle les variations des courbures des angles O de 225 et de 3150 se chevauchent et 10 une courbe des angles 0 de 270 sont indiquées dans l'ordre de la valeur croissante de la courbure.
La figure 7A est un graphique illustrant la variation de la courbure CI(h, O) pour chacune des hauteurs h de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 25 mm en fonction de 15 la variation de l'angle 0. Sur la figure 7A (et sur les graphiques similaires suivants), l'axe horizontal représente l'angle 0, et l'axe vertical représente la courbure. Etant donné que la surface extérieure 2 est sphérique, la variation de la courbure Cl(h,O) est 20 représentée par une ligne droite sur laquelle toutes les variations de la courbure C1(h,O) à différentes hauteurs h sont superposées.
La figure 7B est un graphique illustrant la variation de la courbure C2(h, O) pour chacune des hauteurs 25 h de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 25 mm, en fonction de la variation de l'angle 0. Comme montré sur la figure 7B, pour toutes les courbes des hauteurs de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 25 mm, la courbure C2(h,O) prend la valeur minimale à l'angle 0 de 90 (c'est-à-dire dans la partie 30 supérieure) et prend la valeur maximale à l'angle 0 de 270 (c'est-à-dire dans la partie inférieure).
La figure 8A est un graphique illustrant la variation de la valeur de C1(h,0+180)-Cl(h,0) de la condition (3) pour chacune des hauteurs h de 10 mm, de 35 15 mm, de 20 mm et de 25 mm en fonction de la variation de l'angle 0. Sur la figure 8A (et sur les graphiques similaires suivants), l'axe horizontal représente l'angle et l'axe vertical représente C1(h,0+ 180)-Cl(h,0). Etant donné que la surface extérieure 2 est sphérique, la variation de C1(h,0+180)-Cl(h,O) est représentée par une 5 ligne droite sur laquelle toutes les variations de C1(h,0+180)-Cl(h,0) à différentes hauteurs h sont superposées les unes aux autres.
La figure 8B est un graphique illustrant la variation de la valeur de C2(h,0+180)-C2(h,0) de la 10 condition (3) pour chacune des hauteurs h de 10 mm, de mm, de 20 mm et de 25 mm en fonction de la variation de l'angle 0. Comme montré sur la figure 8B, pour toutes les courbes des hauteurs h de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 25 mm, la valeur de C2(h,0+180)-C2(h,0) prend la valeur 15 maximale à l'angle 0 de 90 (c'est-à-dire dans la partie supérieure) et prend la valeur minimale à l'angle 0 de 270 (c'est-à-dire dans la partie inférieure).
En outre, comme montré sur la figure 8B, l'amplitude de la variation de C2(h,O+180)-C2(h,O) augmente 20 en même temps que la hauteur h augmente. Sur la figure 8B, un point sur la courbe de la hauteur h=10 à l'angle 0=90 prend la valeur de C2(10,270)-C2(10,90). Comme on peut le voir sur la figure 5B, C2(10,270) et C2(10,90) sont respectivement de 7,00 et 6,70. Par conséquent, la valeur 25 de la courbe de la hauteur h=10 à l'angle 0=90 est de 0,30. Il ressort de façon évidente de la figure 8B que C2(h,0+180)-C2(h,O) est positif pour chacune des hauteurs h de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 25 mm dans la plage de 30<0<150. Le verre de lunettes selon le premier exemple 30 satisfait donc à la condition (3).
La figure 9 est un graphique illustrant la variation de la valeur de C21(h,0+180)-C2-1(h,0) de la condition (1) pour chacune des hauteurs h de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm, et de 25 mm en fonction de la variation de 35 l'angle 0. Comme montré sur la figure 9, pour toutes les courbes des hauteurs h de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de mm, la valeur de C21(h,0+ l80)-C21(h,0) prend la valeur maximale à l'angle 0 de 900 (c'est-à-dire dans la partie supérieure) et prend la valeur minimale à l'angle 0 de 270 (c'est-à-dire dans la partie inférieure).
Il est évident d'après la figure 9 que C21(h,0+l80)-C2-1(h,O) est positif pour chacune des hauteurs h de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 25 mm dans la plage de 30<0<150. Le verre de lunettes selon le premier exemple satisfait donc à la condition (1).
Les figures lOA et lOB représentent les performances optiques du verre de lunettes du premier exemple. Les figures lOA et lOB sont des graphiques tridimensionnels de l'erreur de puissance de réfraction moyenne et de l'astigmatisme, respectivement. Dans chacune 15 des figures 10A et lOB (et sur les graphiques similaires suivants), un graphique plan a un axe d'angle de rotation Pv dans la direction verticale et a un axe d'angle de rotation f3h dans la direction horizontale. En outre, un axe vertical sur la figure 1OA représente la valeur de 20 l'aberration AP [D] (l'erreur de puissance de réfraction moyenne). En outre, un axe vertical sur la figure lOB représente la valeur de l'aberration AS [d] (l'astigmatisme).
Sur chacun des graphiques des figures 1OA et lOB, 25 l'aberration est indiquée en affectant en continu la distance de l'objet allant de l'infini (Do=0) à 250 mm (Do=-4) à la plage de 50 sur 50 de l'angle de rotation 1v dans l'axe vertical. Autrement dit, l'aberration est évaluée pour chaque distance de l'objet qui est affecté à 30 l'angle de rotation Pv correspondant.
Plus particulièrement, une distance d'objet plus longue est utilisée pour évaluer l'aberration dans la partie supérieure du verre car les performances optiques pour la vision de loin sont importantes dans la partie 35 supérieure du verre. Par ailleurs, une distance d'objet plus courte est utilisée pour évaluer l'aberration dans la partie inférieure du verre car les performances optiques pour la vision de près sont importantes dans la partie inférieure du verre. Les propriétés indiquées ci-dessus des graphiques tridimensionnels des aberrations impliquent 5 aussi des graphiques similaires montrés dans les exemples et les exemples comparatifs suivants.
DEUXIEME EXEMPLE
Un verre de lunettes selon un deuxième exemple sera décrit ci-dessous en utilisant les valeurs numériques 10 représentées sur la figure 2. Le verre de lunettes conforme au deuxième exemple est un verre négatif qui n'est pas d'une puissance cylindrique prescrite. Les spécifications du verre de lunettes du deuxième exemple sont indiquées dans le Tableau 2. Comme indiqué dans le Tableau 2, la 15 surface intérieure 13 est une surface sphérique ayant une courbure indiquée dans le Tableau 2 et la surface extérieure 12 est une surface asphérique à asymétrie de rotation.
TABLEAU 2
PUISSANCE SPHERIQUE SPH -4,OO[D] COURBURE DE LA SURFACE EXTERIEURE Cl (SURFACE ASPHERIQUE A ASYMETRIE DE 6,77[D] ROTATION) COURBURE DE LA SURFACE INTERIEURE C2 12,80[D] (SURFACE SPHERIQUE) EPAISSEUR AU CENTRE 1, 10[mm] La figure lA est un tableau montrant une distribution de la courbure C1(h,O) qui est obtenue sur la surface extérieure 12 en chaque point ayant les coordonnées polaires (h,O). La figure llB est un tableau montrant une 25 distribution de la courbure C2(h,O) qui est obtenue sur la surface intérieure 13 en chaque point ayant les coordonnées polaires (h,O). Etant donné que la surface intérieure 13 est sphérique, les courbures (C2(h,O) en tous les points sur la surface intérieure 13 sont les mêmes.
Les figures 12A et 12B sont des graphiques illustrant respectivement les variations des courbures C1(h,O) et C2(h,O) pour chacun des angles 0 de 00, 450, 900, 135 , 1800, 225 , 2700 et 3150 en fonction de la variation de la hauteur h. Sur la figure 12A, les courbes des angles 0 de O0 et de1800 sont superposées l'une à l'autre. Sur le côté de gauche de la courbe de l'angle 0 de 0 (1800) sur la figure 12A, une courbe sur laquelle les variations des courbures 10 des angles O de 2250 et 315 se chevauchent et une courbe des angles O de 270 sont indiquées dans l'ordre de la valeur décroissante de la courbure. Sur le côté de droite de la courbe de l'angle 0 de 0 (1800) sur la figure 12A, une courbe sur laquelle les variations des courbures des 15 angles 0 de 450 et de 135 se chevauchent et une courbe des angles 0 de 900 sont indiquées dans l'ordre de la valeur croissante de la courbure.
Etant donné que la surface intérieure 13 est sphérique, la variation de la courbure C2(h,O) est 20 représentée par une ligne droite sur laquelle toutes les variations de la courbure C2(h,O) pour des angles 0 différents sont superposées les unes aux autres sur la figure 12B.
Les figures 13A et 13B sont des graphiques 25 illustrant respectivement les variations des courbures C1(h,O) et C2(h,O) pour chacune des hauteurs h de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 25 mm en fonction de la variation de l'angle 0.
Comme montré sur la figure 13A, pour toutes les 30 courbes des hauteurs de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de mm, la courbure C1(h,O) prend la valeur maximale à l'angle 0 de 90 (c'est-à-dire dans la partie supérieure) et prend la valeur minimale à l'angle 0 de 2700 (c'est-àdire dans la partie inférieure). Etant donné que la surface 35 intérieure 13 est sphérique, la variation de courbure C2(h,O) est représentée par une ligne droite sur laquelle toutes les variations de la courbure C2(h,0) à des hauteurs h différentes sont superposées les unes aux autres.
Les figures 14A et 14B sont des graphiques illustrant respectivement les variations de la valeur de 5 Cl(h,0+180)-Cl(h,O) de la condition (5) et de la valeur de C2(h,0+180)-C2(h,0) de la condition (3) pour chacune des hauteurs h de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 25 mm en fonction de la variation de l'angle 0.
Comme montré sur la figure 14A, pour toutes les 10 courbes des hauteurs h de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de mm, la valeur de Cl(h,0+180)-Cl(h,0) prend la valeur minimale à l'angle 0 de 90 (c'est-à-dire dans la partie supérieure) et prend la valeur maximale à l'angle 0 de 270 (c'est-à-dire dans la partie inférieure).
En outre, comme montré sur la figure 14A, l'amplitude de la courbe de Cl(h,0+180)-Cl(h,O) augmente en même temps que la hauteur h augmente. Il ressort de façon évidente de la figure 14A que Cl(h,0+180)-Cl(h,O) est négatif pour chacune des hauteurs h de 10 mm, de 15 mm, de 20 20 mm et de 25 mm dans la plage de 30<0<150. Le verre de lunettes selon le deuxième exemple satisfait donc à la condition (5). Etant donné que la surface intérieure 13 est sphérique, la variation de C2(h,O+180)-C2(h,0) est représentée par une ligne droite sur laquelle toutes les 25 variations de C2(h,0+180)-C2(h,O) à différentes hauteurs h sont superposées les unes aux autres.
La figure 15 est un graphique illustrant la variation de la valeur de C21(h,0+180)-C2-l(h,0) de la condition (1) pour chacune des hauteurs h de 10 mm, de 30 15 mm, de 20 mm et de 25 mm en fonction de la variation de l'angle 0. Comme montré sur la figure 15, pour toutes les courbes de hauteurs h de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 25 mm, la valeur de C2-1(h, 0+180)-C2-1(h,0) prend la valeur maximale à l'angle 0 de 900 (c'est-àdire dans la partie 35 supérieure) et prend la valeur minimale à l'angle 0 de 270 (c'est-à-dire dans la partie inférieure).
Il est évident d'après la figure 15 que C2-1(h,0+180)-C21(h,0) est positif pour chacune des hauteurs h de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 25 mm dans la plage de 30<0<150. Le verre de lunettes selon le deuxième exemple satisfait donc à la condition (1).
Les figures 16A et 16B représentent les performances optiques du verre de lunettes du deuxième exemple. Les figures 16A et 16B sont des graphiques tridimensionnels d'erreur de puissance de réfraction 10 moyenne et de l'astigmatisme, respectivement.
PREMIER EXEMPLE COMPARATIF
On décrira ci-dessous un verre de lunettes selon un premier exemple comparatif en utilisant les références numériques indiquées sur la figure 2. Le verre de lunettes 15 du premier exemple comparatif présente la même puissance de réfraction sphérique (puissance sphérique) et la même épaisseur au centre que ceux des premier et deuxième exemples. Les spécifications du verre de lunettes du premier exemple comparatif sont indiquées dans le Tableau 20 3. Comme montré dans le Tableau 3, la surface intérieure 13 est une surface sphérique ayant une courbure indiquée dans le Tableau 3 et la surface extérieure 12 est une surface asphérique à symétrie de rotation.
TABLEAU 3
PUISSANCE SPHERIQUE SPH -4, 00[Dj COURBURE DE LA SURFACE EXTERIEURE Cl (SURFACE ASPHERIQUE A SYMETRIE DE 2,44[D] ROTATION) COURBURE DE LA SURFACE INTERIEURE C2 8,46[D] (SURFACE SPHERIQUE) EPAISSEUR AU CENTRE 1,10[mm] La figure 17A est un tableau montrant une distribution de la courbure Ci(h,0) qui est obtenue sur la surface extérieure 12 en chaque point ayant les coordonnées polaires (h,O) . La figure 17B est un tableau montrant une distribution de la courbure C2(h,O) qui est obtenue sur la surface intérieure 13 en chaque point ayant les coordonnées polaires (h,O) . Etant donné que la surface intérieure 13 5 est sphérique, les courbures C2(h,O) en tous les points sur la surface intérieure 13 sont les mêmes.
Les figures 18A et 18B sont des graphiques illustrant respectivement les variations des courbures C1(h,O) et C2(h,O) pour chacun des angles 0 de 00, 450, 90 , 10 135 , 1800, 2250, 270 et 3150 en fonction de la variation de la hauteur h. La surface extérieure 12 est la surface asphérique à symétrie de rotation. Par conséquent, bien que la variation de la courbure C1(h,O) soit représentée par 15 une courbe, toutes les variations de la courbure C1(h,O) à différents angles 0 sont superposées les unes aux autres sur la courbe représentée sur la figure 18A. Etant donné que la surface intérieure 13 est sphérique, la variation de la courbure C2(h,O) est représentée par une ligne droite 20 sur laquelle toutes les variations de courbure C2(h,O) sont superposées les unes aux autres.
Les figures 19A et 19B sont des graphiques illustrant respectivement les variations des courbures C1(h,O) et C2(h,0) pour chacune des hauteurs h de 10 mm, de 25 15 mm, de 20 mm et de 25 mm en fonction de la variation de l'angle 0.
Etant donné que la courbure C1(h,O) ne varie pas en fonction de la variation de l'angle O, la courbure C1(h,O) est représentée par une ligne droite pour chacune 30 des hauteurs de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 25 mm sur la figure 19A. Etant donné que la surface intérieure 13 est sphérique, la variation de la courbure C2(h,O) est représentée par une ligne droite sur laquelle toutes les variations de la courbure C2(h,O) à différentes hauteurs h 35 sont superposées les unes aux autres sur la figure 19B.
Les figures 20A et 20B sont des graphiques illustrant respectivement les variations de la valeur de Cl(h,0+180)-Cl(h,O) de la condition (5) et de la valeur de C2(h,0+180)-C2(h,O) de la condition (3) pour chacune des 5 hauteurs h de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 25 mm en fonction de la variation de l'angle 0. La figure 21 est un graphique illustrant la variation de la valeur de C2 1(h,O+10)-C21(h,O) de la condition (1) pour chacune des hauteurs h de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 25 mm en 10 fonction de la variation de l'angle 0.
Etant donné que les surfaces extérieure et intérieure sont toutes deux à symétrie de rotation, la valeur de Cl(h,0+180)-Cl(h,O) de la condition (5) , la valeur de C2(h,0+180)-C2(h,O) de la condition (3) et la 15 valeur de C21(h,O+180)-C21(h,0) de la condition (1) prennent une valeur constante égale à zéro. Par conséquent, le premier exemple comparatif ne satisfait pas aux conditions (1), (3) et (5).
Les figures 22A et 22B représentent les 20 performances optiques du verre de lunettes du premier exemple comparatif. Les figures 22A et 22B sont des graphiques tridimensionnels de l'erreur de puissance de réfraction moyenne et de l'astigmatisme, respectivement. En comparant la figure 22A aux figures 10A et 16A et en 25 comparant la figure 22B aux figures 12B et 16B, on comprend que les aberrations sont suffisamment corrigées pour chacun des premier et deuxième exemples.
TROISIEME EXEMPLE
On décrira ci-dessous un verre de lunettes selon 30 un troisième exemple en utilisant les références numériques indiquées sur la figure 1. Le verre de lunettes selon le troisième exemple est un verre négatif qui est d'une puissance cylindrique prescrite. Les spécifications du verre de lunettes du troisième exemple sont indiquées dans 35 le Tableau 4. Comme montré dans le Tableau 4, la surface extérieure 2 est une surface sphérique ayant une courbure indiquée dans le Tableau 4, et la surface intérieure 3 est une surface asphérique à asymétrie de rotation.
TABLEAU 4
PUISSANCE SPHERIQUE SPH -4,00[D] PUISSANCE CYLINDRIQUE CYL -4,00[D] AXE D'ASTIGMATISME AX 0[ ] COURBURE DE LA SURFACE EXTERIEURE Cl 1,35[D] (SURFACE SPHERIQUE) COURBURE DE LA SURFACE INTERIEURE C2 7,36-13,38[D] (SURFACE ASPHERIQUE A ASYMETRIE DE ROTATION) EPAISSEUR AU CENTRE 1,10[mm] La figure 23A est un tableau montrant une distribution de la courbure C1(h,O) qui est obtenue sur la surface extérieure 2 en chaque point ayant les coordonnées polaires (h,O). La figure 23B est un tableau montrant une 10 distribution de la courbure C2(h,O) qui est obtenue sur la surface intérieure 3 en chaque point ayant les coordonnées polaires (h,O). Etant donné que la surface extérieure 2 est sphérique, les courbures (C1(h,O) en tous les points sur la surface extérieure 2 sont les mêmes.
Les figures 24A et 24B sont des graphiques illustrant respectivement les variations des courbures C1(h,O) et C2(h,O) pour chacun des angles 0 de 0 , 45 , 90 , 135 , 180 , 225 , 270 et 315 en fonction de la variation de la hauteur h. Etant donné que la surface extérieure 2 est sphérique, la variation de la courbure C1(h,O) est représentée par une ligne droite sur laquelle toutes les variations de la courbure C1(h,O) à différents angles 0 sont superposées les unes aux autres sur la figure 24A.
Sur la figure 24B, les courbes des angles 0 de 0 et de 180 sont superposées l'une à l'autre et prennent la valeur minimale de la courbure C2(h,O) de toutes les courbes ayant des angles 0 différents. Sur le côté de droite de la courbe de l'angle 0 de 0 (180 ) sur la figure 24B, une courbe sur laquelle les variations des courbures des angles 0 de 450 et de 135 sont superposées, une courbe 5 sur laquelle les variations des courbures des angles 0 de 225 et de 315 sont superposées, une courbe des angles 0 de 900 et une courbe des angles 0 de 2700 sont indiquées dans l'ordre de la valeur croissante de courbure. Etant donné que la surface intérieure 3 possède une puissance 10 cylindrique, les courbes des courbures pour différents angles 0 prennent des valeurs différentes à la hauteur h=0.
Les figures 25A et 25B sont des graphiques illustrant respectivement les variations des courbures C1(h,O) et C2(h,O) pour chacune des hauteurs h de 10 mm, de 15 15 mm, de 20 mm et de 25 mm en fonction de la variation de l'angle 0.
Etant donné que la surface extérieure 2 est sphérique, la variation de la courbure C1(h,O) est représentée par une ligne droite sur laquelle toutes les 20 variations de la courbure C1(h,O) à différentes hauteurs h sont superposées les unes aux autres sur la figure 25A.
Comme montré sur la figure 25B, pour toutes les courbes de hauteurs de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 25 mm, la courbure C2(h,O) varie sous la forme d'une sinusoïde en 25 fonction de la variation de l'angle 0, et prend une valeur de crête à l'angle 0 de 90 (c'est-à-dire dans la partie supérieure) et une valeur de crête à l'angle 0 de 270 (c'est-à-dire dans la partie inférieure). La valeur de crête à l'angle 0 de 90 est inférieure à la valeur de 30 crête à l'angle 0 de 270 .
Les figures 26A et 26B sont des graphiques illustrant respectivement les variations de la valeur de C1(h,0+180)-Cl(h,O) de la condition (5) et de la valeur de C2(h,O+180)-C2(h,O) de la condition (3) pour chacune des 35 hauteurs h de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 25 mm en fonction de la variation de l'angle 0.
Etant donné que la surface extérieure 2 est sphérique, la variation de la valeur de C1(h,0+180)-Cl(h,0) est représentée par une ligne droite sur laquelle toutes les variations de C1(h,0+180)-Cl(h,0) à différentes 5 hauteurs h sont superposées les unes aux autres sur la figure 26A.
Comme montré sur la figure 26B, pour toutes les courbes de hauteurs h de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 25 mm, la valeur de C2(h,0+180)-C2(h,0) prend la valeur 10 maximale à l'angle 0 de 90 (c'est-à-dire dans la partie supérieure) et prend la valeur minimale à l'angle 0 de 270 (c'està-dire dans la partie inférieure). En outre, comme montré sur la figure 26B, l'amplitude de la courbe de C2(h,0+180)-C2(h,O) augmente en même temps que la hauteur h 15 augmente. Il est évident d'après la figure 26B que C2(h,O+180)-C2(h,O) est positif pour chacune des hauteurs h de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 25 mm dans la plage de 30<0<150. Le verre de lunettes selon le troisième exemple satisfait donc à la condition (3).
La figure 27 est un graphique illustrant la variation de la valeur de C21(h,0+180)-C2(h,0) de la condition (1) pour chacune des hauteurs h de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 25 mm en fonction de la variation de l'angle 0. Comme montré sur la figure 27, pour toutes les 25 courbes des hauteurs h de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de mm, la valeur de C21(h,0+ 180)-C2-1(h,0) prend la valeur maximale à l'angle 0 de 90 (c'est-à-dire dans la partie supérieure) et prend la valeur minimale à l'angle 0 de 270 (c'est-à-dire dans la partie inférieure).
Il est évident d'après la figure 27 que C21(h,0+180)-C2(h,O) est positif pour chacune des hauteurs h de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 25 mm dans la plage de 30<0<150. Le verre de lunettes selon le troisième exemple satisfait donc à la condition (1).
Les figures 28A et 28B représentent les performances optiques du verre de lunettes du troisième exemple. Les figures 28A et 28B sont des graphiques tridimensionnels de l'erreur de puissance de réfraction moyenne et de l'astigmatisme, respectivement.
QUATRIEME EXEMPLE
On décrira ci-dessous un verre de lunettes selon un quatrième exemple en utilisant les références numériques montrées sur la figure 2. Le verre de lunettes selon le quatrième exemple est un verre négatif et présente une puissance cylindrique. Les spécifications du verre de 10 lunettes du quatrième exemple sont indiquées dans le Tableau 5. Comme montré dans le Tableau 5, la surface intérieure 13 est une surface torique ayant une courbure indiquée par le Tableau 5, et la surface extérieure 12 est une surface asphérique à asymétrie de rotation. 15
TABLEAU 5
PUISSANCE SPHERIQUE SPH -4, 00O[D] PUISSANCE CYLINDRIQUE CYL -4,00[D] AXE D'ASTIGMATISME AX 0[O] COURBURE DE LA SURFACE EXTERIEURE Cl 2,44[D] (SURFACE ASPHERIQUE A SYMETRIE DE ROTATION) COURBURE DE LA SURFACE INTERIEURE C2 8,46-14,47[D] (SURFACE TORIQUE) EPAISSEUR AU CENTRE 1,10[mm] La figure 29A est un tableau montrant une distribution de la courbure Cl(h,O) qui est obtenue sur la 20 surface extérieure 12 en chaque point ayant les coordonnées polaires (h,O). La figure 29B est un tableau montrant une distribution de la courbure C2(h,O) qui est obtenue sur la surface intérieure 13 en chaque point ayant les coordonnées polaires (h,O).
Les figures 30A et 30B sont des graphiques illustrant respectivement les variations des courbures Cl(h,O) et C2(h,O) pour chacun des angles 0 de 0 , 45 , 90 , 1350, 1800, 2250, 2700 et 3150 en fonction de la variation de la hauteur h. Sur la figure 30A, des courbes des angles 0 de 0 et de 1800 représentées en traits pleins sont superposées 5 l'une à l'autre. Sur le côté de gauche de la courbe de l'angle 0 de 0 (1800) sur la figure 30A, une courbe sur laquelle les variations des courbures des angles 0 de 2250 et 3150 sont superposées et une courbe des angles 0 de 2700, sont indiquées dans l'ordre de la valeur décroissante 10 de la courbure. Sur le côté de droite de la courbe de l'angle 0 de GO (1800) sur la figure 30A, une courbe de l'angle 0 de 90 et une courbe sur laquelle les variations des courbures des angles 0 de 450 et de 1350 sont superposées, sont indiquées dans l'ordre de la valeur 15 croissante de la courbure.
Etant donné que la surface intérieure 13 est la surface torique, une ligne droite (en trait plein) sur laquelle les variations des courbures C2(h,O) des angles 0 de GO et de 1800 sont superposées, une ligne droite sur 20 laquelle les variations des courbures C2(h,O) des angles 0 de 450, 1350, 2250 et 3150 sont superposées, et une ligne droite sur laquelle les variations des courbures C1(h,O) des angles 0 de 900 et de 2700 sont superposées, sont indiquées dans l'ordre de la valeur croissante de la 25 courbure.
Les figures 31A et 31B sont des graphiques illustrant respectivement les variations des courbures Cl(h,O) et C2(h,O) pour chacune des hauteurs h de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 25 mm en fonction de la variation de 30 l'angle 0.
Comme montré sur la figure 31A, pour toutes les courbes d'une hauteur de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 25 mm, la courbure C1(h,O) prend la valeur maximale dans la plage de l'angle 0=450 à 1350 (c'est-à-dire dans la partie 35 supérieure), et prend la valeur minimale à l'angle 0 de 2700 (c'est-à-dire dans la partie inférieure) . En outre, comme montré sur les figures 31A, dans une plage considérable de l'angle 0, la courbure C1(h,O) augmente en même temps que la hauteur h augmente pour chacune des courbes, et la différence entre la courbure à la partie 5 supérieure et la courbure à la partie inférieure augmente pour chacune des courbes en même temps que la hauteur h augmente.
Comme montré sur la figure 31B, étant donné que la surface intérieure 13 est la surface torique, la 10 variation de la courbure C2(h,O) est représentée par une courbe analogue à une sinusoïde sur laquelle toutes les variations de la courbure C2(h,O) à différentes hauteurs h sont superposées les unes aux autres.
Les figures 32A et 32B sont des graphiques 15 illustrant respectivement les variations de la valeur de C1(h,0+180)-Cl(h,O) de la condition (5) et de la valeur de C2(h,O+180)-C2(h,O) de la condition (3) pour chacune des hauteurs h de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 25 mm en fonction de la variation de l'angle 0.
Comme montré sur la figure 32A, pour toutes les courbes de hauteurs h de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 25 mm, la valeur de C1(h,0+180)-Cl(h,O) prend la valeur minimale à l'angle 0 de 90 (c'est-à-dire dans la partie supérieure) et prend la valeur maximale à l'angle 0 de 270 25 (c'est-àdire dans la partie inférieure). En outre, comme montré sur la figure 32A, l'amplitude de la courbe Cl(h,0+180)-Cl(h,O) augmente en même temps que la hauteur h augmente. Il est évident d'après la figure 32A que C1(h,0+ 180)-Cl(h,O) est négatif pour chacune des hauteurs h 30 de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 25 mm dans la plage de 30<0<150. Le verre de lunettes selon le quatrième exemple satisfait donc à la condition (5).
Etant donné que la surface intérieure 13 est la surface torique, des courbures sur des points symétriques 35 sur la surface sont les mêmes et, par conséquent, la variation de C2(h,0+180)-C2(h,O) est représentée par une ligne droite sur laquelle toutes les variations de la valeur de C2(h, 0+180)-C2(h,0) à différentes hauteurs h sont superposées les unes aux autres sur la figure 32A.
La figure 33 est un graphique illustrant la 5 variation de la valeur de C21(h,0+10)-C21(h,0) de la condition (1) pour chacune des hauteurs h de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 25 mm en fonction de la variation de l'angle 0. Comme montré sur la figure 33, pour toutes les courbes des hauteurs h de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 10 25 mm, la valeur de C21(h,0+180)-C21(h,0) prend la valeur maximale à l'angle 0 de 900 (c'està-dire dans la partie supérieure) et prend la valeur minimale à l'angle 0 de 2700 (c'est-à-dire dans la partie inférieure).
Il est évident d'après la figure 33 que 15 C21(h,O+180)-C21(h,O) est positif pour chacune des hauteurs h de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 25 mm dans la plage de 30<0<150. Le verre de lunettes selon le quatrième exemple satisfait donc à la condition (1).
Les figures 34A et 34B représentent des 20 performances optiques du verre de lunettes du troisième exemple. Les figures 34A et 34B sont des graphiques tridimensionnels de l'erreur de puissance de réfraction moyenne et de l'astigmatisme, respectivement.
DEUXIEME EXEMPLE COMPARATIF
On décrira ci-dessous un verre de lunettes selon un deuxième exemple comparatif en utilisant les références numériques indiquées sur la figure 2. Le verre de lunettes du deuxième exemple comparatif présente la même puissance sphérique, la même puissance cylindrique et la même 30 épaisseur au centre que celles des troisième et quatrième exemples. Les spécifications du verre de lunettes du deuxième exemple comparatif sont indiquées dans le Tableau 6. Comme montré dans le Tableau 6, la surface intérieure 13 est une surface torique ayant une courbure indiquée dans le 35 Tableau 6, et la surface extérieure 12 est une surface asphérique à symétrie de rotation.
TABLEAU 6
PUISSANCE SPHERIQUE SPH -4,00[D] PUISSANCE CYLINDRIQUE CYL -4,00[D] AXE D'ASTIGMATISME AX 0[O] COURBURE DE LA SURFACE EXTERIEURE Cl 2,44[D] (SURFACE ASPHERIQUE A SYMETRIE DE ROTATION) COURBURE DE LA SURFACE INTERIEURE C2 8,46-14,47[D] (SURFACE TORIQUE) EPAISSEUR AU CENTRE 1,10[mm] La figure 35A est un tableau montrant une 5 distribution de la courbure C1(h,O) qui est obtenue sur la surface extérieure 12 en chaque point ayant les coordonnées polaires (h,O). La figure 35B est un tableau montrant une distribution de la courbure C2(h,O) qui est obtenue sur la surface intérieure 13 en chaque point ayant les coordonnées 10 polaires (h,O).
Les figures 36A et 36B sont des graphiques illustrant respectivement les variations des courbures C1(h,O) et C2(h,O) pour chacun des angles 0 de 0 , 45 , 90 , 135 , 180 , 225 , 270 et 315 en fonction de la variation 15 de la hauteur h. La surface extérieure 12 est la surface asphérique à symétrique de rotation. Par conséquent, bien que la variation de la courbure C1(h,O) soit représentée par une courbe, toutes les variations de la courbure 20 C1(h,O) à différents angles 0 sont superposées les unes aux autres sur la courbe représentée sur la figure 36A. Etant donné que la surface intérieure 13 du deuxième exemple comparatif est la surface torique dont la configuration est la même que celle de la surface intérieure du quatrième 25 exemple, le graphique de la figure 36B est identique au graphique de la figure 30B.
Les figures 37A et 37B sont des graphiques illustrant respectivement les variations des courbures C1(h,0) et C2(h,O) pour chacune des hauteurs h de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 25 mm en fonction de la variation de l'angle 0.
Etant donné que la courbure C1(h,0) ne varie pas en fonction de la variation de l'angle 0, la courbure C1(h,O) est représentée par une ligne droite pour chacune des hauteurs de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 25 mm sur 10 la figure 37A. De plus, la courbure C1(h,0) augmente en même temps que la hauteur h augmente. Comme montré sur la figure 37B, étant donné que la surface intérieure 13 est la surface torique, la variation de la courbure C2(h,0) est représentée par une courbe analogue à une sinusoïde sur 15 laquelle toutes les variations de la courbure C2(h,0) à différentes hauteurs h sont superposées les unes aux autres.
Les figures 38A et 38B sont des graphiques illustrant respectivement les variations de la valeur de 20 C1(h,0+180)-Cl(h,0) de la condition (5) et de la valeur de C2(h,0+180)-C2(h,0) de la condition (3) pour chacune des hauteurs h de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 25 mm en fonction de la variation de l'angle 0. La figure 39 est un graphique illustrant la variation de la valeur de 25 C2-(h,0+180)C21(h,0) de la condition (1) pour chacune des hauteurs h de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 25 mm en fonction de la variation de l'angle 0.
Etant donné que la surface extérieure présente une symétrie de rotation et que la surface intérieure est 30 la surface torique qui est symétrique par rapport à l'axe optique, la valeur de Cl(h,0+180)-Cl(h,0) de la condition (5), la valeur de C2(h,0+180)-C2(h,0) de la condition (3) et la valeur de C21(h,0+180)-C2-1(h,0) de la condition (1) prennent une valeur constante égale à zéro quels que soient 35 la hauteur h et l'angle 0. Par consequent, le deuxième exemple comparatif ne satisfait pas aux conditions (1), (3) et (5) Les figures 40A et 40B représentent les performances optiques du verre de lunettes du deuxième 5 exemple comparatif. Les figures 40A et 40B sont des graphiques tridimensionnels de l'erreur de puissance de réfraction moyenne et de l'astigmatisme, respectivement. En comparant la figure 40A aux figures 28A et 34A et en comparant la figure 40B aux figures 28B et 34B, on comprend 10 que les aberrations sont suffisamment corrigées dans chacun des troisième et quatrième exemples.
CINQUIEME EXEMPLE
On décrira ci-dessous un verre de lunettes selon un cinquième exemple en utilisant les références numériques 15 indiquées sur la figure 1. Le verre de lunettes conforme au cinquième exemple est un verre négatif qui n'est pas d'une puissance cylindrique prescrite. Les spécifications du verre de lunettes du cinquième exemple sont indiquées dans le Tableau 7. Comme montré dans le Tableau 7, la surface 20 extérieure 2 est une surface sphérique ayant une courbure représentée dans le Tableau 7, la surface intérieure 3 est une surface asphérique à asymétrie de rotation.
TABLEAU 7
PUISSANCE SPHERIQUE SPH -8, 00[D] COURBURE DE LA SURFACE EXTERIEURE Cl 0, 68[D] (SURFACE SPHERIQUE) COURBURE DE LA SURFACE INTERIEURE C2 12,71[D] (SURFACE ASPHERIQUE A ASYMETRIE DE ROTATION) 1, 10[mm]
EPAISSEUR AU CENTRE
La figure 41A est un tableau montrant une distribution de la courbure C1(h,O) qui est obtenue sur la surface extérieure 2 en chaque point ayant les coordonnées polaires (h,O). Etant donné que la surface extérieure 2 est sphérique, les courbures C1(h,O) en tous les points sur la surface extérieure 2 sont les mêmes. La figure 41B est un tableau montrant une distribution de la courbure C2(h,O) qui est obtenue sur la surface intérieure 3 en chaque point ayant les coordonnées polaires (h,O).
Les figures 42A et 42B sont des graphiques illustrant respectivement les variations des courbures C1(h,O) et C2(h,O) pour chacun des angles 0 de 00, 450, 900, 135 , 1800, 2250, 2700 et 315 en fonction de la variation 10 de la hauteur h. Etant donné que la surface extérieure 2 est sphérique, la variation de la courbure C1(h,O) est représentée par une ligne droite sur laquelle toutes les variations de la courbure C1(h,O) à différents angles O sont superposées les unes-aux autres sur la figure 42A.
Sur la figure 42B, des courbes des angles 0 de 0O et de 1800 sont superposées l'une à l'autre. Sur le côté de gauche de la courbe de l'angle 0 de 0 (1800) sur la figure 42B, une courbe sur laquelle les variations des courbures des angles 0 de 45 et de 135 sont superposées et une 20 courbe des angles 0 de 90 sont indiquées dans l'ordre de la valeur décroissante de la courbure. Sur le côté de droite de la courbe de l'angle 0 de O' (1800) sur la figure 42B, une courbe sur laquelle des variations des courbures des angles 0 de 2250 et 3150 sont superposées et une courbe25 de l'angle 0 de 270 sont indiquées dans l'ordre de la valeur croissante de la courbure.
Les figures 43A et 43B sont des graphiques illustrant respectivement les variations des courbures Cl(h,O) et C2(h,O) pour chacune des hauteurs h de 10 mm, de 30 15 mm, de 20 mm et de 25 mm en fonction de la variation de l'angle 0. Etant donné que la surface extérieure 2 est sphérique, la variation de la courbure C1(h,O) est représentée par une ligne droite sur laquelle toutes les variations de la courbure C1(h,O) à différentes hauteurs h 35 sont superposées les unes aux autres.
Comme montré sur la figure 43B, pour toutes les courbes de hauteurs de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 25 mm, la courbure C2(h,0) prend la valeur minimale allant de l'angle 0 de 90 , (c'est-à-dire dans la partie 5 supérieure) et prend la valeur maximale à l'angle 0 de 270 (c'est-à-dire dans la partie inférieure).
* Les figures 44A et 44B sont des graphiques illustrant respectivement les variations de la valeur de Cl(h,O+180)-Cl(h,O) de la condition (5) et de la valeur de 10 C2(h,0+180)-C2(h,0) de la condition (3) pour chacune des hauteurs h de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 25 mm en fonction de la variation de l'angle 0.
Etant donné que la surface extérieure 2 est sphérique, la variation de la valeur de Cl(h,0+180)-Cl(h,0) 15 est représentée par une ligne droite sur laquelle toutes les variations des valeurs de Cl(h,0+180)-Cl(h,O) à différentes hauteurs h sont superposées les unes aux autres sur la figure 44A.
Comme montré sur la figure 44B, pour toutes les 20 courbes des hauteurs h de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de mm, la valeur de C2(h,O+180)-C2(h,O) prend la valeur maximale à l'angle 0 de 90 (c'est-à-dire dans la partie supérieure) et prend la valeur minimale à l'angle 0 de 270 (c'est-à-dire dans la partie inférieure).
En outre, comme montré sur la figure 44B, l'amplitude de la variation de la valeur de C2(h,0+180)C2(h,0) augmente en même temps que la hauteur h augmente.
Il est évident d'après la figure 44B que C2(h,0+180)C2(h,0) est positif pour chacune des hauteurs h de 10 mm, 30 de 15 mm, de 20 mm et de 25 mm dans la plage de 30<0<150.
Le verre de lunettes selon le cinquième exemple satisfait donc à la condition (3).
La figure 45 est un graphique illustrant la variation de la valeur C21(h, 0+180)-C2-1(h,0) de la 35 condition (1) pour chacune des hauteurs h de 10 mm, de mm, de 20 mm et de 25 mm en fonction de la variation de l'angle 0. Comme montré sur la figure 45, pour toutes les courbes de hauteurs h de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 25 mm, la valeur de C21(h,0+180)-C21(h,0) prend la valeur maximale à l'angle 0 de 90 (c'est-à-dire dans la partie 5 supérieure) et prend la valeur minimale à l'angle 0 de 270 (c'est-à-dire dans la partie inférieure).
Il est évident d'après la figure 45 que C21 (h,O+180)-C21(h,O) est positif pour chacune des hauteurs h de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 25 mm dans la plage de 10 30<0<150. Le verre de lunettes selon le cinquième exemple satisfait donc à la condition (1).
Les figures 28A et 28B représentent les performances optiques du verre de lunettes du cinquième exemple. Les figures 28A et 28B sont des graphiques 15 tridimensionnels de l'erreur de puissance de réfraction moyenne et d'astigmatisme, respectivement.
SIXIEME EXEMPLE
On décrira ci-dessous un verre de lunettes selon un sixième exemple en utilisant les références numériques 20 montrées sur la figure 1. Le verre de lunettes conforme au sixième exemple est un verre négatif qui n'est pas d'une puissance cylindrique prescrite. Les spécifications du verre de lunettes du sixième exemple sont indiquées dans le Tableau 8. Comme montré dans le Tableau 8, la surface 25 extérieure 2 est une surface asphérique à symétrie de rotation et la surface intérieure 3 est une surface asphérique à asymétrie de rotation.
TABLEAU 8
PUISSANCE SPHERIQUE SPH -8,00[D] COURBURE DE LA SURFACE EXTERIEURE Cl 1, 73[D] (SURFACE ASPHERIQUE A SYMETRIE DE ROTATION) COURBURE DE LA SURFACE INTERIEURE C2 13,76[D] (SURFACE ASPHERIQUE A ASYMETRIE DE ROTATION) EPAISSEUR AU CENTRE 1,10[mm] La figure 47A est un tableau montrant une distribution de la courbure C1(h,O) qui est obtenue sur la 5 surface extérieure 2 en chaque point ayant les coordonnées polaires (h,O). La figure 47B est un tableau montrant une distribution de la courbure C2(h,O) qui est obtenue sur la surface intérieure 3 en chaque point ayant les coordonnées polaires (h,O).
Les figures 48A et 48B sont des graphiques illustrant respectivement les variations des courbures CI(h,O) et C2(h,O) pour chacun des angles 0 de 0 , 45 , 90 , 135 , 180 , 225 , 270 et 315 en fonction de la variation de la hauteur h. Etant donné que la surface extérieure 2 15 présente une symétrie de rotation, la variation de la courbure Cl(h,O) est représentée par une courbe sur laquelle toutes les variations de la courbure C1(h,O) à différents angles 0 sont superposées les unes aux autres sur la figure 48A.
Sur la figure 48B, les courbes des angles 0 de 0 et 180 , représentées en traits pleins, sont superposées l'une à l'autre. Sur le côté de gauche de la courbe de l'angle 0 de 0 (180 ) sur la figure 48B, une courbe sur laquelle les variations des courbures des angles 0 de 45 25 et 135 sont superposées et une courbe des angles O de 90 sont indiquées dans l'ordre de la valeur décroissante de la courbure. Sur le côté de droite de la courbe de l'angle 0 de 0 (180 ) sur la figure 48B, une courbe sur laquelle les variations des courbures des angles 0 de 225 et 315 sont superposées et une courbe de l'angle 0 de 270 sont indiquées dans l'ordre de la valeur croissante de la courbure.
Les figures 49A et 49E sont des graphiques illustrant respectivement les variations des courbures Cl(h,0) et C2(h,0) pour chacune des hauteurs h de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 25 mm en fonction de la variation de l'angle 0. Etant donné que la surface extérieure 2 présente 10 une symétrie de rotation, la variation de la courbure Cl(h,O) pour toutes les hauteurs h de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 25 mm est représentée par une ligne droite.
Autrement dit, la courbure C1(h,0) ne varie pas en fonction de la variation de l'angle 0. De plus, la courbure CI(h,0) 15 augmente en même temps que la hauteur h augmente.
Comme montré sur la figure 49B, pour toutes les courbes des hauteurs de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 25 mm, la courbure C2(h,0) prend la valeur minimale à l'angle 0 de 90 (c'est-à-dire dans la partie supérieure) 20 et prend la valeur maximale à l'angle 0 de 270 (c'est- àdire dans la partie inférieure).
Les figures 50A et 50B sont des graphiques illustrant respectivement les variations de la valeur de C1(h,0+180)-Cl(h,0) de la condition (5) et de la valeur de 25 C2(h,0+180) (C2(h,0) de la condition (3) pour chacune des hauteurs h de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 25 mm en fonction de la variation de l'angle 0.
Comme montré sur la figure 50A, la variation de la valeur de Cl(h,0+180)Cl(h,0) est représentée par une 30 ligne droite sur laquelle toutes les variations des valeurs de C1(h,0+180)-Cl(h,O) à différentes hauteurs h sont superposées les unes aux autres. Comme montré sur la figure 50B, pour toutes les courbes de hauteurs h de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 25 mm, la valeur de C2(h,0+180)35 C2(h,0) prend la valeur maximale à l'angle 0 de 90 (c'est-à-dire à la partie supérieure) et prend la valeur minimale à l'angle 0 de 2700 (c'est-à-dire dans la partie inférieure).
En outre, comme montré sur la figure 50B, l'amplitude de la variation de la valeur de C2(h,0+180)5 C2(h,0) augmente en même temps que la hauteur h augmente.
Il est évident d'après la figure 50B que C2(h,0+180)C2(h,0) est positif pour chacune des hauteurs h de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 25 mm dans la plage de 30<0<150.
Le verre de lunettes selon le sixième exemple satisfait 10 donc à la condition (3).
La figure 51 est un graphique illustrant la variation de la valeur de C21(h,0+180)-C21(h,O) de la condition (1) pour chacune des hauteurs h de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 25 mm en fonction de la variation de 15 l'angle 0. Comme montré sur la figure 51, pour toutes les courbes des hauteurs h de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 25 mm, la valeur de C21(h,0+ l80)-C2(h,0) prend la valeur maximale à l'angle 0 de 900 (c'est-à-dire à la partie supérieure) et prend la valeur minimale à l'angle 0 de 270 20 (c'est-à-dire à la partie inférieure). De plus, l'amplitude de chaque courbe augmente en même temps que la hauteur h augmente.
Il est évident d'après la figure 51 que C21 (h,0+l80)-C21(h,0) est positif pour chacune des hauteurs h 25 de 10 mm, 15 mm, 20 mm et 25 mm dans la plage de 30<0<150.
Le verre de lunettes selon le sixième exemple satisfait donc à la condition (1).
Les figures 52A et 52B représentent les performances optiques du verre de lunettes du sixième 30 exemple. Les figures 52A et 52B sont des graphiques tridimensionnels de l'erreur de puissance de réfraction moyenne et de l'astigmatisme, respectivement.
TROISIEME EXEMPLE COMPARATIF
On décrira ci-dessous un verre de lunettes selon 35 un troisième exemple comparatif en utilisant les références numériques indiquées sur la figure 2. Le verre de lunettes du troisième exemple comparatif présente la même puissance sphérique et la même épaisseur au centre que ceux des cinquième et sixième exemples. Les spécifications du verre de lunettes du troisième exemple comparatif sont indiquées 5 dans le Tableau 9. Comme montré dans le Tableau 9, la surface intérieure 13 est une surface sphérique et la surface extérieure 12 est une surface asphérique à symétrie de rotation.
TABLEAU 9
PUISSANCE SPHERIQUE SPH -8,00[D] COURBURE DE LA SURFACE EXTERIEURE Cl 1, 73[D] (SURFACE ASPHERIQUE A SYMETRIE DE ROTATION) COURBURE DE LA SURFACE INTERIEURE C2 13,76[D] (SURFACE SPHERIQUE) EPAISSEUR AU CENTRE 1,10[mm] La figure 53A est un tableau montrant une distribution de la courbure C1(h,O) qui est obtenue sur la surface extérieure 12 en chaque point ayant les coordonnées 15 polaires (h,O). La figure 53B est un tableau montrant une distribution de la courbure C2(h,O) qui est obtenue sur la surface intérieure 13 en chaque point ayant les coordonnées polaires (h,O). Etant donné que la surface intérieure 13 est sphérique, les courbures C2(h,O) en tous les points sur 20 la surface intérieure 13 sont les mêmes.
Les figures 54A et 54B sont des graphiques illustrant respectivement les variations des courbures C1(h,O) et C2(h,O) pour chacun des angles 0 de 0 , 45 , 90 , 135 , 180 , 225 , 270 et 315 en fonction de la variation 25 de la hauteur h. La surface extérieure 12 est la surface asphérique à symétrie de rotation. Par conséquent, bien que la variation de la courbure C1(h,O) soit représentée par une courbe, toutes les variations de la courbure C1(h,O) à des angles 0 différents sont superposées les unes aux autres sur la courbe montrée sur la figure 54A. Etant donné que la surface intérieure 13 est sphérique, la variation de la courbure C2(h, 0) est représentée par une ligne droite 5 sur laquelle toutes les variations de la courbure C2(h,O) à des angles 0 différents sont superposées les unes aux autres.
Les figures 55A et 55B sont des graphiques illustrant respectivement les variations des courbures 10 C1(h,O) et C2(h,O) pour chacune des hauteurs h de 10 mm, de mm, de 20 mm et de 25 mm, en fonction de la variation de l'angle 0.
Etant donné que la courbure C1(h,O) ne varie pas en fonction de la variation de l'angle 0, la courbure 15 C1(h,O) est représentée par une ligne droite pour chacune des hauteurs de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 25 mm sur la figure 55A. De plus, la courbure C1(h,O) augmente en même temps que la hauteur h augmente. Etant donné que la surface intérieure 13 est sphérique, la variation de la 20 courbure C2(h,e) est représentée par une ligne droite sur laquelle toutes les variations de la courbure C2(h,O) à des hauteurs h différentes sont superposées les unes aux autres sur la figure 55B.
Les figures 56A et 56B sont des graphiques 25 illustrant respectivement les variations de la valeur de C1(h,0+180)-Cl(h,O) de la condition (5) et de la valeur de C2(h,O+180)-C2(h,O) de la condition (3) pour chacune des hauteurs h de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 25 mm en fonction de la variation de l'angle 0. La figure 57 est un 30 graphique illustrant la variation de la valeur C21(h,O+180)-C2-1(h,O) de la condition (1) pour chacune des hauteurs h de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 25 mm en fonction de la variation de l'angle 0.
Etant donné que les surfaces extérieure et 35 intérieure présentent toutes deux une symétrie de rotation, la valeur de CI(h,0+180)-Cl(h,O) de la condition (5), la valeur de C2(h,0+180)-C2(h,O) de la condition (3) et la valeur de C21(h,0+180)-C21(h,0) de la condition (1) prennent une valeur constante égale à zéro quel que soit l'angle 0. Par conséquent, le troisième exemple comparatif ne satisfait pas aux conditions (1), (3) et (5).
Les figures 58A et 58B représentent les performances optiques du verre de lunettes du troisième exemple comparatif. Les figures 58A et 58B sont des graphiques tridimensionnels de l'erreur de puissance de 10 réfraction moyenne et de l'astigmatisme, respectivement. En comparant la figure 58A aux figures 46A et 52A et en comparant la figure 58B aux figures 46B et 52B, on comprend que les aberrations sont suffisamment corrigées dans chacun des cinquième et sixième exemples. 15 SEPTIEME EXEMPLE On décrira ci-dessous un verre de lunettes selon un septième exemple en utilisant les références numériques montrées sur la figure 1. Le verre de lunettes selon le septième exemple est un verre négatif qui présente une 20 puissance cylindrique prescrite. Les spécifications du verre de lunettes du septième exemple sont indiquées dans le Tableau 10. Comme montré dans le Tableau 10, la surface extérieure 2 est une surface sphérique ayant une courbure indiquée dans le Tableau 10, et la surface intérieure 3 est 25 une surface asphérique à asymétrie de rotation.
TABLEAU 10
PUISSANCE SPHERIQUE SPH -8,00[D] PUISSANCE CYLINDRIQUE CYL -4,00[D] AXE D'ASTIGMATISME AX 90[ ] COURBURE DE LA SURFACE EXTERIEURE Cl 0,68[D] (SURFACE SPHERIQUE) COURBURE DE LA SURFACE INTERIEURE C2 12,71-18,72[D] (SURFACE ASPHERIQUE A ASYMETRIE DE ROTATION) EPAISSEUR AU CENTRE 1,10[mm] La figure 59A est un tableau montrant une distribution de la courbure C1(h,O) qui est obtenue sur la 5 surface extérieure 2 en chaque point ayant les coordonnées polaires (h,O). La figure 59B est un tableau montrant une distribution de la courbure C2(h,O) qui est obtenue sur la surface intérieure 3 en chaque point ayant les coordonnées polaires (h,O). Etant donné que la surface extérieure 2 est 10 sphérique, les courbures C1(h,O) en tous les points sur la surface extérieure 2 sont les mêmes.
Les figures 60A et 60B sont des graphiques illustrant respectivement les variations des courbures C1(h,O) et C2(h,O) pour chacun des angles 0 de 0 , 45 , 90 , 15 135 , 180 , 225 , 270 et 315 en fonction de la variation de la hauteur h. Etant donné que la surface extérieure 2 est sphérique, la variation de la courbure C1(h,O) est représentée par une ligne droite sur laquelle toutes les 20 variations de la courbure C1(h,O) à différents angles 0 sont superposées les unes aux autres sur la figure 60A.
Sur la figure 60B, des courbes des angles 0 de 0 et 180 , sont superposées l'une à l'autre et prennent la valeur maximale de la courbure C2(h,O) de toutes les 25 courbes ayant différents angles 0. Sur le côté de gauche de la courbe de l'angle 0 de 0 (180 ) sur la figure 60B, une courbe sur laquelle les variations des courbures des angles 0 de 2250 et de 3150 sont superposées, une courbe sur laquelle les variations des courbures des angles 0 de 450 et de 135 sont superposées, une courbe des angles 0 de 2700 et une courbe des angles 0 de 90 sont indiquées dans 5 l'ordre de la valeur décroissante de la courbure. Etant donné que la surface intérieure 3 présente une puissance cylindrique, les courbes des courbures pour différents angles 0 prennent différentes valeurs à la hauteur h=0.
Les figures 61A et 61B sont des graphiques 10 illustrant respectivement les variations des courbures Cl(h,O) et C2(h,O) pour chacune des hauteurs h de 10 mm, 15 mm, 20 mm et 25 mm en fonction de la variation de l'angle 0.
Etant donné que la surface extérieure 2 est 15 sphérique, la variation de la courbure Cl(h,O) est représentée par une ligne droite sur laquelle toutes les variations de la courbure C1(h,O) à différentes hauteurs h sont superposées les unes aux autres sur la figure 61A.
Comme montré sur la figure 61B, pour toutes les courbes des 20 hauteurs de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 25 mm, la courbure C2(h,0) prend une valeur minimale locale à l'angle 0 de 90 (c'est-à-dire dans la partie supérieure) et prend une valeur minimale locale à l'angle 0 de 2700 (c'est-àdire dans la partie inférieure). La valeur minimale locale 25 à l'angle 0 de 900 est inférieure à la valeur minimale locale à l'angle 0 de 270 .
Les figures 62A et 62B sont des graphiques illustrant respectivement les variations de la valeur de Cl(h,0+180)-CI(h,O) de la condition (5) et de la valeur de 30 C2(h,O+l80)-C2(h,O) de la condition (3) pour chacune des hauteurs h de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 25 mm en fonction de la variation de l'angle 0.
Etant donné que la surface extérieure 2 est sphérique, la variation de la valeur de Cl(h,0+180)-CI(h,O) 35 est représentée par une ligne droite sur laquelle toutes les variations de la valeur de Cl(h,0+180)-Cl(h,O) à différentes hauteurs h sont superposées les unes aux autres sur la figure 62A.
Comme montré sur la figure 62B, pour toutes les courbes des hauteurs h de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 5 25 mm, la valeur de C2(h,0+180)-C2(h,0) prend la valeur maximale dans la plage de 0=45 à 135 (c'est-à-dire dans la partie supérieure) et prend la valeur minimale dans la plage de 0=225 à 315 (c'est-à-dire dans la partie inférieure). En outre, comme montré sur la figure 62B, 10 l'amplitude de la courbe de C2(h,0+180)-C2(h,0) augmente en même temps que la hauteur h augmente. Il est évident d'après la figure 62B que C2(h,0+180)-C2(h,0) est positif pour chacune des hauteurs h de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 25 mm dans la plage de 30<0<150. Le verre de lunettes 15 selon le septième exemple satisfait donc à la condition (3).
La figure 63 est un graphique illustrant la variation de la valeur de C21(h,0+180)-C2-1(h,0) de la condition (1) pour chacune des hauteurs h de 10 mm, de 20 15 mm, de 20 mm et de 25 mm en fonction de la variation de l'angle 0. Comme montré sur la figure 63, pour toutes les courbes des hauteurs h de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 25 mm, la valeur de C21(h,0+ 180)-C2(h,0) prend la valeur maximale dans la plage de 0=45 à 135 (c'est-à-dire dans 25 la partie supérieure) et prend la valeur minimale dans la plage de 0 = 225 à 315 (c'est-à-dire dans la partie inférieure). En outre, comme montré sur la figure 63, l'amplitude de la courbe de la valeur de C21(h,0+180)-C2-1 (h,0) augmente en même temps que la hauteur h augmente.
Il est évident d'après la figure 63 que C2-1 (h,0+180)-C21(h,0) est positif pour chacune des hauteurs h de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 25 mm dans la plage de 30<0<150. Le verre de lunettes selon le septième exemple satisfait donc à la condition (1).
Les figures 64A et 64B représentent les performances optiques du verre de lunettes du septième exemple. Les figures 64A et 64B sont des graphiques tridimensionnels d'erreur de puissance de réfraction moyenne et de l'astigmatisme, respectivement.
HUITIEME EXEMPLE
On décrira ci-dessous un verre de lunettes selon un huitième exemple en utilisant les références numériques indiquées sur la figure 1. Le verre de lunettes selon le huitième exemple est un verre négatif qui présente une puissance cylindrique prescrite. Les spécifications du 10 verre de lunettes du huitième exemple sont indiquées dans le Tableau 11. La surface extérieure 2 est une surface asphérique à symétrie de rotation et la surface intérieure 3 est une surface asphérique à symétrie de rotation.
TABLEAU 11
PUISSANCE SPHERIQUE SPH -8, 00[D] PUISSANCE CYLINDRIQUE CYL -4,00[D] AXE D'ASTIGMATISME AX 90[O] COURBURE DE LA SURFACE EXTERIEURE Cl 1,01[D] (SURFACE ASPHERIQUE A SYMETRIE DE ROTATION) COURBURE DE LA SURFACE INTERIEURE C2 13,04-19,05[D] (SURFACE ASPHERIQUE A ASYMETRIE DE ROTATION) EPAISSEUR AU CENTRE 1,10[mm] La figure 65A est un tableau montrant une distribution de la courbure C1(h,O) qui est obtenue sur la surface extérieure 2 en chaque point ayant les coordonnées 20 polaires (h,O). La figure 65B est un tableau montrant une distribution de la courbure C2(h,O) qui est obtenue sur la surface intérieure 3 en chaque point ayant les coordonnées polaires (h,0).
Les figures 66A et 66B sont des graphiques 25 illustrant respectivement les variations des courbures C1(h,O) et C2(h,O) pour chacun des angles 0 de 0 , 45 , 90 , 7 6 1350, 1800, 2250, 2700 et 3150 en fonction de la variation de la hauteur h. Etant donné que la surface extérieure 2 présente une symétrie de rotation, la variation de la courbure C1(h,O) est représentée par une courbe sur 5 laquelle toutes les variations de la courbure C1(h,O) à différents angles 0 sont superposées les unes aux autres sur la figure 66A.
Sur la figure 66B, des courbes des angles 0 de 0 et 1800, représentées en traits pleins, sont superposées 10 l'une à l'autre à des valeurs élevées de la courbure. Sur le côté de gauche de la courbe de l'angle 0 de O' (1800) sur la figure 66B, une courbe sur laquelle les variations des courbures des angles 0 de 225 et 315 sont superposées, une courbe sur laquelle les variations des 15 courbures des angles 0 de 450 et de 1350 sont superposées, une courbe des angles 0 de 270 et une courbe des angles 0 de 90 sont indiquées dans l'ordre de la valeur décroissante de la courbure.
Les figures 67A et 67B sont des graphiques 20 illustrant respectivement les variations des courbures C1(h,O) et C2(h,O) pour chacune des hauteurs h de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 25 mm en fonction de la variation de l'angle 0. Etant donné que la surface extérieure 2 présente une symétrie de rotation, la variation de la courbure 25 C1(h,O) pour toutes les hauteurs h de 10 mm, de 15 mm, de mm et de 25 mm est représentée par une ligne droite.
Autrement dit, la courbure C1(h,O) ne varie pas en fonction de la variation de l'angle 0. De plus, la courbure C1(h,O) augmente en même temps que la hauteur h augmente.
Comme montré sur la figure 67B, pour toutes les courbes des hauteurs de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 25 mm, la courbure C2(h,O) prend une valeur minimale locale à l'angle 0 de 90 (c'est-à-dire dans la partie supérieure) et prend une valeur minimale locale à l'angle 0 de 2700 35 (c'est-à-dire dans la partie inférieure). La valeur minimale locale à l'angle 0 de 90 est inférieure à la valeur minimale locale à l'angle 0 de 270 .
Les figures 68A et 68B sont des graphiques illustrant respectivement les variations de la valeur de 5 Cl(h,0+180)-Cl(h,0) de la condition (5) et de la valeur de C2(h,0+180)-C2(h,0) de la condition (3) pour chacune des hauteurs h de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 25 mm en fonction de la variation de l'angle 0.
La surface extérieure 2 présente une symétrie de 10 rotation. Par conséquent, une différence de courbure en des points symétriques sur la surface est nulle et la variation de la valeur de C1(h,0+180)-Cl(h,0) est dont représentée par une ligne droite sur laquelle toutes les variations des valeurs de C1(h,0+180)-Cl(h,0) à différentes hauteurs h sont superposées les unes aux autres sur la figure 68A.
Comme montré sur la figure 68B, pour toutes les courbes des hauteurs h de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 25 mm, la valeur de C2(h,0+180)-C2(h,0) prend la valeur maximale dans la plage de 0=45 à 135 (c'est-à-dire dans 20 la partie supérieure) et prend la valeur minimale dans la plage de 0=225 à 315 (c'est-à-dire dans la partie inférieure). En outre, comme montré sur la figure 62B, l'amplitude de la courbe C2(h,0+180)-C2(h,0) augmente en même temps que la hauteur h augmente. Il est évident 25 d'après la figure 68B que C2(h,0+180)-C2(h,0) est positif pour chacune des hauteurs h de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 25 mm dans la plage de 30<0<150. Le verre de lunettes selon le huitième exemple satisfait donc à la condition (3).
La figure 69 est un graphique illustrant la 30 variation de la valeur de C2-1(h,0+180)-C2-1(h,0) de la condition (1) pour chacune des hauteurs h de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 25 mm en fonction de la variation de l'angle 0. Comme montré sur la figure 69, pour toutes les courbes des hauteurs h de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 35 25 mm, la valeur de C21(h,0+180)-C2-1(h,0) prend la valeur maximale dans la plage de 0=45 à 135 (c'est-à-dire dans la partie supérieure) et prend la valeur minimale dans la plage de 0=2250 à 3150 (c'est-à-dire dans la partie inférieure) . En outre, comme montré sur la figure 69, l'amplitude de la courbe de la valeur de C21(h,0+l80)-C21(h,0) augmente en même temps que la hauteur h augmente.
Il est évident d'après la figure 69 que C21 (h,0+180)-C2.1(h,0) est positif pour chacune des hauteurs h de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 25 mm dans la plage de 30<0<150. Le verre de lunettes selon le huitième exemple 10 satisfait donc à la condition (1).
Les figures 70A et 70B représentent les performances optiques du verre de lunettes du huitième exemple. Les figures 70A et 70B sont des graphiques tridimensionnels de l'erreur de puissance de réfraction 15 moyenne et de l'astigmatisme, respectivement.
QUATRIEME EXEMPLE COMPARATIF
On décrira ci-dessous un verre de lunettes selon un quatrième exemple comparatif en utilisant les références numériques indiquées sur la figure 2. Le verre de lunettes 20 du quatrième exemple comparatif présente la même puissance sphérique, la même puissance cylindrique et la même épaisseur au centre que celles des septième et huitième exemples. Les spécifications du verre de lunettes du quatrième exemple comparatif sont indiquées dans le Tableau 25 12. Comme montré dans le Tableau 12, la surface intérieure 13 est une surface torique ayant une courbure montrée dans le Tableau 12, et la surface extérieure 12 est une surface asphérique à asymétrie de rotation.
TABLEAU 12
PUISSANCE SPHERIQUE SPH -8,00[D] PUISSANCE CYLINDRIQUE CYL -4,00[D] AXE D'ASTIGMATISME AX 90[ ] COURBURE DE LA SURFACE EXTERIEURE Cl 1,01[D] (SURFACE ASPHERIQUE A SYMETRIE DE ROTATION) COURBURE DE LA SURFACE INTERIEURE C2 13,0419,05[D] (SURFACE TORIQUE) EPAISSEUR AU CENTRE 1,10[mm] La figure 71A est un tableau montrant une distribution de la courbure Cl(h,O) qui est obtenue sur la 5 surface extérieure 12 en chaque point ayant les coordonnées polaires (h,O). La figure 71B est un tableau montrant une distribution de la courbure C2(h,O) qui est obtenue sur la surface intérieure 13 en chaque point ayant les coordonnées polaires (h,O).
Les figures 72A et 72B sont des graphiques illustrant respectivement les variations des courbures Cl(h,O) et C2(h,O) pour chacun des angles 0 de 0 , 45 , 90 , 135 , 180 , 225 , 270 et 315 en fonction de la variation de la hauteur h. La surface extérieure 12 est la surface asphérique à symétrie de rotation. Par conséquent, bien que la variation de la courbure Cl(h,O) soit représentée par une courbe, toutes les variations de la courbure C1(h,O) à différents angles 0 sont superposées les unes aux autres 20 sur la courbe représentée sur la figure 72A.
Etant donné que la surface intérieure 13 est la surface torique, une lignedroite (un trait plein) sur laquelle les variations des courbures C2(h,O) des angles 0 de 0 et de 180 sont superposées, une ligne droite sur 25 laquelle les variations des courbures C2(h,O) des angles 0 de 45 , 135 , 225 et 315 sont superposées, et une ligne droite sur laquelle les variations des courbures C2(h,O) des angles 0 de 90 et 270 sont superposées, sont indiquées dans l'ordre de la valeur décroissante de la courbure.
Les figures 73A et 73B sont des graphiques 5 illustrant respectivement les variations des courbures C1(h,O) et C2(h,0) pour chacune des hauteurs h de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 25 mm en fonction de la variation de l'angle 0.
Etant donné que la courbure C1(h,O) ne varie pas 10 en fonction de la variation de l'angle 0, la courbure Cl(h,O) est représentée par une ligne droite pour chacune des hauteurs de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 25 mm sur la figure 73A. De plus, la courbure C1(h,O) augmente en même temps que la hauteur h augmente. Comme montré sur la 15 figure 73B, étant donné que la surface intérieure 13 est la surface torique, la variation de la courbure C2(h,O) est représentée par une courbe analogue à une sinusoïde sur laquelle toutes les variations de la courbure C2(h,O) à différentes hauteurs h sont superposées les unes aux 20 autres.
Les figures 74A et 74B sont des graphiques illustrant respectivement les variations de la valeur de C1(h,0+180)-Cl(h,O) de la condition (5) et de la valeur de C2(h,0+180)-C2(h,O) de la condition (3) pour chacune des 25 hauteurs h de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 25 mm en fonction de la variation de l'angle 0. La figure 75 est un graphique illustrant la variation de la valeur de C2-1 (h,O+180)-C2l(h,O) de la condition (1) pour chacune des hauteurs h de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 25 mm en 30 fonction de la variation de l'angle 0.
Etant donné que la surface extérieure présente une symétrie de rotation et que la surface intérieure est la surface torique qui est symétrique par rapport à son axe optique, la valeur de C1(h,0+180)-Cl(h,O) de la condition 35 (5), la valeur de C2(h,0+180)-C2(h,O) de la condition (3) et la valeur de C2-1(h,O+180)-C2-1(h,O) de la condition (1) prennent une valeur constante égale à zéro quels que soient la hauteur h et l'angle 0. Le quatrième exemple comparatif ne satisfait donc pas aux conditions (1), (3) et (5).
Les figures 76A et 76B représentent des 5 performances optiques du verre de lunettes du quatrième exemple comparatif. Les figures 76A et 76B sont des graphiques tridimensionnels de l'erreur de puissance de réfraction moyenne et de l'astigmatisme, respectivement. En comparant la figure 76A aux figures 64A et 70A, et en 10 comparant la figure 76B aux figures 64B et 70B, on comprend que les aberrations sont suffisamment corrigées dans chacun des septième et huitième exemples.
NEUVIEME EXEMPLE
On décrira ci-dessous un verre de lunettes selon 15 un neuvième exemple en utilisant les références numériques indiquées sur la figure 1. Le verre de lunettes selon le neuvième exemple est un verre positif qui ne présente pas une puissance cylindrique prescrite. Les spécifications du verre de lunettes du neuvième exemple sont indiquées dans 20 le Tableau 13. Comme montré dans le Tableau 13, la surface extérieure 2 est une surface sphérique ayant une courbure montrée sur le Tableau 13, et la surface intérieure 3 est une surface asphérique à asymétrie de rotation.
TABLEAU 13
PUISSANCE SPHERIQUE SPH -4,00[D] COURBURE DE LA SURFACE EXTERIEURE Cl 6, 96[D] (SURFACE SPHERIQUE) COURBURE DE LA SURFACE INTERIEURE C2 l,02[D] (SURFACE ASPHERIQUE A ASYMETRIE DE ROTATION) EPAISSEUR AU CENTRE 3,80[mm] La figure 77A est un tableau montrant une distribution de la courbure Cl(h,O) qui est obtenue sur la surface extérieure 2 en chaque point ayant les coordonnées polaires (h,O). Etant donné que la surface extérieure 2 est sphérique, les courbures CI(h,O) en tous les points sur la surface extérieure 2 sont les mêmes. La figure 77B est un tableau montrant une distribution de la courbure C2(h,O) 5 qui est obtenue sur la surface intérieure 3 en chaque point ayant les coordonnées polaires (h,O).
Les figures 78A et 78B sont des graphiques illustrant respectivement les variations des courbures Cl(h,O) et C2(h,O) pour chacun des angles 0 de 0 , 450, 90 , 10 1350, 1800, 225 , 2700 et 315 en fonction de la variation de la hauteur h. Etant donné que la surface extérieure 2 est sphérique, la variation de la courbure Cl(h,O) est représentée par une ligne droite sur laquelle toutes les variations de la courbure CI(h,O) à différents angles 0 15 sont superposées les unes aux autres sur la figure 78A.
Sur la figure 78B, les courbes des angles 0 de GO et 1800, représentées en traits pleins, sont superposées l'une à l'autre. Sur le côté de droite de la courbe de l'angle 0 de O' (1800) sur la figure 78B, une courbe sur 20 laquelle les variations des courbures des angles 0 de 450 et 1350 sont superposées et une courbe des angles 0 de 90 sont indiquées dans l'ordre de la valeur croissante de la courbure. Sur le côté de gauche de la courbe de l'angle 0 de GO (1800) sur la figure 78B, une courbe sur laquelle les 25 variations des courbures des angles 0 de 2250 et 3150 sont superposées et une courbe de l'angle 0 de 2700 sont indiquées dans l'ordre de la valeur décroissante de la courbure.
Les figures 79A et 79B sont des graphiques 30 illustrant respectivement les variations des courbures CI(h,O) et C2(h,O) pour chacune des hauteurs h de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 25 mm en fonction de la variation de l'angle 0. Etant donné que la surface extérieure 2 est sphérique, la variation de la courbure Cl(h,O) est 35 représentée par une ligne droite sur laquelle toutes les variations de la courbure Cl(h,O) à différentes hauteurs h sont superposées les uns aux autres.
Comme montré sur la figure 79B pour toutes les courbes des hauteurs de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 5 25 mm, la courbure C2(h,0) prend la valeur maximale à l'angle 0 de 90 (c'est-à-dire dans la partie supérieure) et prend la valeur minimale à l'angle 0 de 270 (c'est-àdire dans la partie inférieure).
Les figures 80A et 80B sont des graphiques 10 illustrant respectivement les variations de la valeur de C1(h,0+180)-Cl(h,O) de la condition (6) et de la valeur C2(h,0+180)-C2(h,O) de la condition (4) pour chacune des hauteurs h de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 25 mm en fonction de la variation de l'angle 0.
Etant donné que la surface extérieure 2 est sphérique, la variation de la valeur de Cl(h,0+180)-Cl(h,O) est représentée par une ligne droite sur laquelle toutes les variations des valeurs de C1(h,O+180)-Ci(h,0) à différentes hauteurs h sont superposées les unes aux autres 20 sur la figure 80A.
Comme montré sur la figure 80B, pour toutes les courbes des hauteurs h de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 25 mm, la valeur de C2(h,0+180)-C2(h,O) prend la valeur minimale à l'angle 0 de 90 (c'est-à-dire dans la partie 25 supérieure) et prend la valeur maximale à l'angle 0 de 270 (c'est-à-dire dans la partie inférieure).
En outre, comme montré sur la figure 80B, l'amplitude de la variation de la valeur de C2(h,0+180)C2(h,O) augmente en même temps que la hauteur h augmente. 30 Il est évident d'après la figure 80B que C2(h,0+180)C2(h,O) est négatif pour chacune des hauteurs h de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 25 mm dans la plage de 30<0<150.
Le verre de lunettes selon le neuvième exemple satisfait donc à la condition (4).
La figure 81 est un graphique illustrant la variation de la valeur de C21(h,O+180)-C2-1(h,O) de la condition (2) pour chacune des hauteurs h de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 25 mm en fonction de la variation de l'angle 0. Comme montré sur la figure 81, pour toutes les courbes des hauteurs h de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 5 25 mm, la valeur de C21(h, O+180)-C21(h,0) prend la valeur minimale à l'angle 0 de 900 (c'est-à-dire dans la partie supérieure) et prend la valeur maximale à l'angle 0 de 270 (c'est-à-dire dans la partie inférieure).
Il est évident d'après la figure 81 que C21 10 (h,O+180)-C21(h,O) est négatif pour chacune des hauteurs h de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 25 mm dans la plage de 30<0<150. Le verre de lunettes selon le neuvième exemple satisfait donc à la condition (2).
Les figures 82A et 82B représentent les 15 performances optiques du verre de lunettes du neuvième exemple. Les figures 82A et 82B sont des graphiques tridimensionnels de l'erreur de puissance de réfraction moyenne et de l'astigmatisme, respectivement.
DIXIEME EXEMPLE
On décrira ci-dessous un verre de lunettes selon un dixième exemple en utilisant les références numériques indiquées sur la figure 2. Le verre de lunettes selon le dixième exemple est un verre positif ayant la même puissance sphérique que celle du neuvième exemple, et n'est 25 pas d'une puissance cylindrique prescrite. Les spécifications du verre de lunettes du dixième exemple sont indiquées dans le Tableau 14. La surface intérieure 13 est une surface asphérique à symétrie de rotation et la surface extérieure 12 est une surface asphérique à asymétrie de 30 rotation.
TABLEAU 14
PUISSANCE SPHERIQUE SPH -4,00[D] COURBURE DE LA SURFACE EXTERIEURE Cl 7, 18[D] (SURFACE ASPHERIQUE A ASYMETRIE DE ROTATION) COURBURE DE LA SURFACE INTERIEURE C2 1,26[D] (SURFACE ASPHERIQUE A SYMETRIE DE ROTATION) EPAISSEUR AU CENTRE 4,30[mm] La figure 83A est un tableau montrant une distribution de la courbure C1(h,O) qui est obtenue sur la 5 surface extérieure 12 en chaque point ayant les coordonnées polaires (h,O). La figure 83B est un tableau montrant une distribution de la courbure C2(h,O) qui est obtenue sur la surface intérieure 13 en chaque point ayant les coordonnées polaires (h,O) .
Les figures 84A et 84B sont des graphiques illustrant respectivement les variations des courbures C1(h,O) et C2(h,O) pour chacun des angles 0 de 0 , 45 , 90 , 135 , 180 , 225 , 270 et 315 en fonction de la variation de la hauteur h. Sur la figure 84A, les courbes des angles 0 de 0 et 180 , représentées en traits pleins, sont superposées l'une à l'autre. Sur le côté de gauche de la courbe de l'angle 0 de 0 (180 ) sur la figure 84A, une courbe sur laquelle les variations des courbures des angles 0 de 45 20 et 135 sont superposées et une courbe des angles 0 de 90 sont indiquées dans l'ordre de la valeur décroissante de la courbure. Sur le côté de droite de la courbe de l'angle 0 de 0 (180 ) sur la figure 84A, une courbe sur laquelle les variations des courbures des angles 0 de 225 et 315 sont 25 superposées et une courbe de l'angle 0 de 270 sont indiquées dans l'ordre de la valeur croissante de la courbure.
Etant donné que la surface intérieure 13 présente une symétrie de rotation, toutes les variations de la courbure C2(h,O) à différents angles 0 sont superposées les unes aux autres sur une courbe représentée sur la figure 84B.
Les figures 85A et 85B sont des graphiques illustrant respectivement les variations des courbures Cl(h,O) et C2(h,O) pour chacune des hauteurs h de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 25 mm en fonction de la variation de 10 l'angle 0.
Comme montré sur la figure 85A, pour toutes les courbes des hauteurs de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 25 mm, la courbure Cl(h,O) prend la valeur minimale à l'angle 0 de 90 (c'est-à-dire dans la partie supérieure) 15 et prend la valeur maximale à l'angle 0 de 270 (c'est- àdire dans la partie inférieure).
Etant donné que la courbure C2(h,O) ne varie pas en fonction de la variation de l'angle 0, la courbure C2(h,O) est représentée par une ligne droite pour chacune 20 des hauteurs de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 25 mm sur la figure 85B. En outre, la courbure C2(h,O) augmente en même temps que la hauteur h augmente.
Les figures 86A et 86B sont des graphiques illustrant respectivement les variations de la valeur de 25 C1(h,0+180)-Cl(h,O) de la condition (6) et de la valeur C2(h,O+180)-C2(h,O) de la condition (4) pour chacune des hauteurs h de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 25 mm en fonction de la variation de l'angle 0.
Comme montré sur la figure 86A, pour toutes les 30 courbes des hauteurs h de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de mm, la valeur de Cl(h,0+180)-Cl(h,O) prend la valeur maximale à l'angle 0 de 90 (c'est-à-dire dans la partie supérieure) et prend la valeur minimale à l'angle 0 de 270 (c'est-à-dire dans la partie inférieure).
En outre, comme montré sur la figure 86A, l'amplitude de la courbe de C1(h,0+180)-Cl(h,O) augmente en même temps que la hauteur h augmente. Il est évident d'après la figure 86A que C1(h,0+180)-Cl(h,0) est positif pour chacune des hauteurs h de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 25 mm dans la plage de 30<0<150. Le verre de lunettes 5 selon le dixième exemple satisfait donc à la condition (6).
Etant donné que la surface intérieure 13 présente une symétrie de rotation, la variation de C2(h,0+180)-C2(h,O) est nulle quels que soient la hauteur h et l'angle 0.
La figure 87 est un graphique illustrant la 10 variation de la valeur de C2-1(h,0+l80)-C2-1(h,O) de la condition (2) pour chacune des hauteurs h de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 25 mm en fonction de la variation de l'angle 0. Comme montré sur la figure 87, pour toutes les courbes des hauteurs h de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 15 25 mm, la valeur C21(h,0+ 180)-C21(h,0) prend la valeur minimale à l'angle 0 de 900 (c'est-à-dire dans la partie supérieure) et prend la valeur maximale à l'angle 0 de 270 (c'est-à-dire dans la partie inférieure) . En outre, la valeur de C21(h,0+180)-C21(h,0) augmente en même temps que 20 la hauteur h augmente.
Il est évident d'après la figure 87 que C21 (h,0+180)-C21(h,O) est négatif pour chacune des hauteurs h de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 25 mm dans la plage de 30<0<150. Le verre de lunettes selon le dixième exemple 25 satisfait donc à la condition (2).
Les figures 88A et 88B représentent les performances optiques du verre de lunettes du dixième exemple. Les figures 88A et 88B sont des graphiques tridimensionnels de l'erreur de puissance de réfraction 30 moyenne et de l'astigmatisme, respectivement.
CINQUIEME EXEMPLE COMPARATIF
On décrira ci-dessous un verre de lunettes selon un cinquième exemple comparatif en utilisant les références numériques indiquées sur la figure 2. Les spécifications du 35 verre de lunettes du cinquième exemple comparatif sont indiquées dans le Tableau 15. Le verre de lunettes du cinquième exemple comparatif présente une surface intérieure 13 dont la puissance sphérique est indiquée dans le Tableau 15, et une surface extérieure 12 qui est une surface asphérique à symétrie de rotation.
TABLEAU 15
PUISSANCE SPHERIQUE SPH -4,00[D] COURBURE DE LA SURFACE EXTERIEURE CI 7, 17[D] (SURFACE ASPHERIQUE A SYMETRIE DE ROTATION) COURBURE DE LA SURFACE INTERIEURE C2 1,26[D] (SURFACE SPHERIQUE) EPAISSEUR AU CENTRE 4,30[mm] La figure 89A est un tableau montrant une distribution de la courbure C1(h,O) qui est obtenue sur la 10 surface extérieure 12 en chaque point ayant les coordonnées polaires (h,O). La figure 89B est un tableau montrant une distribution de la courbure C2(h,O) qui est obtenue sur la surface intérieure 13 en chaque point ayant les coordonnées polaires (h,O). Etant donné que la surface intérieure 13 15 est sphérique, les courbures C2(h,O) en tous les points sur la surface intérieure 13 sont les mêmes.
Les figures 90A et 90B sont des graphiques illustrant respectivement les variations des courbures C1(h,O) et C2(h,O) pour chacun des angles 0 de 0 , 45 , 90 , 20 135 , 180 , 225 , 270 et 315 en fonction de la variation de la hauteur h. La surface extérieure 12 est la surface asphérique à symétrie de rotation. Par conséquent, bien que la variation de la courbure C1(h,O) soit représentée par 25 une courbe, toutes les variations de la courbure C1(h,O) à différents angles 0 sont superposées les unes aux autres sur la courbe montrée sur la figure 90A. Etant donné que la surface intérieure 13 est sphérique, la variation de la courbure C2(h,O) est représentée par une ligne droite sur laquelle toutes les variations de la courbure C2(h,0) à différents angles 0 sont superposées les unes aux autres.
Les figures 91A et 91B sont des graphiques illustrant respectivement les variations des courbures 5 Cl(h,O) et C2(h,0) pour chacune des hauteurs h de 10 mm, de mm, de 20 mm et de 25 mm en fonction de la variation de l'angle 0.
Etant donné que la courbure C1(h,0) ne varie pas en fonction de la variation de l'angle 0, la courbure Cl(h,0) est représentée par une ligne droite pour chacune des hauteurs de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 25 mm sur la figure 91A. De plus, la courbure C1(h,O) diminue en même temps que la hauteur h augmente. Etant donné que la surface intérieure 13 est sphérique, la variation de la courbure 15 C2(h,0) est représentée par une ligne droite sur laquelle toutes les variations de la courbure C2(h,0) à différentes hauteurs h sont superposées les unes aux autres sur la figure 91B.
Les figures 92A et 92B sont des graphiques 20 illustrant respectivement les variations de la valeur de C1(h,0+180)-Cl(h,0) de la condition (6) et de la valeur de C2(h,0+180)-C2(h,O) de la condition (4) pour chacune des hauteurs h de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 25 mm en fonction de la variation de l'angle 0. La figure 93 est un 25 graphique illustrant la variation de la valeur de C2-1 (h,0+180)-C21(h,0) de la condition (2) pour chacune des hauteurs h de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 25 mm en fonction de la variation de l'angle 0.
Etant donné que les surfaces extérieure et 30 intérieure présentent toutes deux une symétrie de rotation, la valeur de Cl(h,0+180)-Cl(h,0) de la condition (6), la valeur de C2(h,0+180)-C2(h,0) de la condition (4) et la valeur de C2-1 (h, 0+180)-C2-1 (h, 0) de la condition (2) prennent une valeur constante égale à zéro quel que soit 35 l'angle 0. Le cinquième exemple comparatif ne satisfait donc pas aux conditions (2), (4) et (6).
Les figures 94A et 94B représentent les performances optiques du verre de lunettes du cinquième exemple comparatif. Les figures 94A et 94B sont des graphiques tridimensionnels de l'erreur de puissance de 5 réfraction moyenne et de l'astigmatisme, respectivement. En comparant la figure 94A aux figures 82A et 88A et en comparant la figure 94B aux figures 82B et 88B, on comprend que les aberrations sont suffisamment corrigées dans chacun des neuvième et dixième exemples. 10 ONZIEME EXEMPLE On décrira cidessous un verre de lunettes selon un onzième exemple en utilisant les références numériques indiquées sur la figure 1. Le verre de lunettes selon le onzième exemple est un verre positif ayant une puissance 15 cylindrique prescrite. Les spécifications du verre de lunettes du onzième exemple sont indiquées dans le Tableau 16. Comme montré dans le Tableau 16, la surface extérieure 2 est une surface sphérique ayant une courbure indiquée dans le Tableau 16, et la surface intérieure 3 est une 20 surface asphérique à asymétrie de rotation.
TABLEAU 16
PUISSANCE SPHERIQUE SPH -4,00[D] PUISSANCE CYLINDRIQUE CYL -4,00[D] AXE D'ASTIGMATISME AX 45[O] COURBURE DE LA SURFACE EXTERIEURE Cl 6,96[D] (SURFACE SPHERIQUE) COURBURE DE LA SURFACE INTERIEURE C2 1,02-7,04[D] (SURFACE ASPHERIQUE A ASYMETRIE DE ROTATION) EPAISSEUR AU CENTRE 3,80[mm] La figure 95A est un tableau montrant une 25 distribution de la courbure C1(h,O) qui est obtenue sur la surface extérieure 2 en chaque point ayant les coordonnées polaires (h,O). La figure 95B est un tableau montrant une distribution de la courbure C2(h,O) qui est obtenue sur la surface intérieure 3 en chaque point ayant les coordonnées polaires (h,O). Etant donné que la surface extérieure 2 est sphérique, les courbures C1(h,O) en tous les points sur la surface extérieure 2 sont les mêmes.
Les figures 96A et 96B sont des graphiques illustrant respectivement les variations des courbures C1(h,O) et C2(h,O) pour chacun des angles 0 de 00, 450, 900, 135 , 1800, 2250, 2700 et 3150 en fonction de la variation 10 de la hauteur h. Etant donné que la surface extérieure 2 est sphérique, la variation de la courbure C1(h,O) est représentée par une ligne droite sur laquelle toutes les variations de la courbure C1(h,O) à différents angles O 15 sont superposées les unes aux autres sur la figure 96A.
Sur la figure 96B, les courbes des angles 0 de 0 et 1800 sont superposées l'une à l'autre. Sur le côté de gauche de la courbe de l'angle 0 de 0 (1800) sur la figure 96B, une courbe sur laquelle les variations des courbures 20 des angles 0 de 270 , une courbe de la courbure des angles 0 de 450 et une courbe de la courbure des angles 0 de 2250 sont indiquées dans l'ordre de la valeur décroissante de la courbure.
Sur le côté de droite de la courbe de l'angle O 25 de 0 (1800) sur la figure 96B, une courbe de la courbure de l'angle O de 90 , une courbe de la courbure de l'angle 0 de 3150 et une courbe de la courbure de l'angle 0 de 135 sont indiquées dans l'ordre de la valeur croissante de la courbure. Etant donné que la surface intérieure 3 présente 30 une puissance cylindrique, les courbes des courbures pour différents angles 0 prennent différentes valeurs à la hauteur h=0.
Les figures 97A et 97B sont des graphiques illustrant respectivement les variations des courbures 35 C1(h,O) et C2(h,0) pour chacune des hauteurs h de 10 mm, de mm, de 20 mm et de 25 mm en fonction de la variation de l'angle 0.
Etant donné que la surface extérieure 2 est sphérique, la variation de la courbure Cl(h,O) est 5 représentée par une ligne droite sur laquelle toutes les variations de la courbure C1(h,O) à différentes hauteurs h sont superposées les unes aux autres sur la figure 97A.
Comme montré sur la figure 97B, pour toutes les courbes des hauteurs de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 25 mm, la 10 courbure Cl(h,0) prend une valeur minimale locale à l'angle O d'environ 45 (c'est-à-dire dans la partie supérieure) et prend une valeur minimale locale à l'angle 0 d'environ 225 (c'est-à-dire dans la partie inférieure). Comme montré sur la figure 97B, pour toutes les hauteurs d'image, la valeur 15 minimale locale à l'angle 0 d'environ 45 est plus grande que la valeur minimale locale à l'angle O d'environ 225 .
Les figures 98A et 98B sont des graphiques illustrant respectivement les variations de la valeur de C1(h,0+180)-Cl(h,O) de la condition (6) et de la valeur 20 C2(h,0+180)-C2(h,O) de la condition (4) pour chacune des hauteurs h de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 25 mm en fonction de la variation de l'angle 0.
Etant donné que la surface extérieure 2 est sphérique, la variation de la valeur de Cl(h,0+180)-Cl(h,O) 25 est représentée par une ligne droite sur laquelle toutes les variations de la valeur de C1(h,O+180)-Cl(h,O) à différentes hauteurs h sont superposées les unes aux autres sur la figure 98A.
Comme montré sur la figure 98B, pour toutes les 30 courbes des hauteurs h de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de mm, la valeur de C2(h,O+180)-C2(h,O) prend la valeur minimale à l'angle 0 d'environ 65 (c'est-à-dire dans la partie supérieure) et prend la valeur maximale à l'angle 0 d'environ 245 (c'est-à-dire dans la partie inférieure). En 35 outre, comme montré sur la figure 98B, l'amplitude de la courbe de C2(h,0+180)-C2(h,O) augmente en même temps que la hauteur h augmente. Il est évident d'après la figure 98B que C2(h,0+180)-C2(h,0) est négatif pour chacune des hauteurs h de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 25 mm dans la plage de 30<0<150. Le verre de lunettes selon le onzième exemple satisfait donc à la condition (4).
La figure 99 est un graphique illustrant la variation de la valeur de C21(h,0+180)-C21(h,0) de la condition (2) pour chacune des hauteurs h de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 25 mm en fonction de la variation de 10 l'angle 0. Comme montré sur la figure 99, pour toutes les courbes des hauteurs h de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 25 mm, la valeur C21(h,0+ 180)-C21(h,0) prend la valeur minimale à l'angle 0 d'environ 650 (c'est-àdire dans la partie supérieure) et prend la valeur maximale à l'angle 0 15 d'environ 2450 (c'est-à-dire dans la partie inférieure). En outre, comme montré sur la figure 99, l'amplitude de la courbe de la valeur de C21(h,0+l80)-C21(h,0) augmente en même temps que la hauteur h augmente.
Il est évident d'après la figure 99 que C2-1 20 (h,0+10)-C21(h,0) est négatif pour chacune des hauteurs h de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 25 mm dans la plage de 30<0<150. Le verre de lunettes selon le onzième exemple satisfait donc à la condition (1).
Les figures 100A et 100B représentent les 25 performances optiques du verre de lunettes du onzième exemple. Les figures 100A et 100B sont des graphiques tridimensionnels de l'erreur de puissance de réfraction moyenne et de l'astigmatisme, respectivement.
DOUZIEME EXEMPLE
On décrira ci-dessous un verre de lunettes selon un douzième exemple en utilisant les références numériques indiquées sur la figure 1. Le verre de lunettes selon le douzième exemple est un verre positif ayant la même puissance sphérique et la même puissance cylindrique que 35 celles du onzième exemple. Les spécifications du verre de lunettes du douzième exemple sont indiquées dans le Tableau 17. Comme montré dans le Tableau 17, la surface extérieure 2 et la surface intérieure 3 sont toutes deux des surfaces asphériques à asymétrie de rotation.
TABLEAU 17
PUISSANCE SPHERIQUE SPH -4, 00[D] PUISSANCE CYLINDRIQUE CYL -4,00[D] AXE D'ASTIGMATISME AX 45[ ] COURBURE DE LA SURFACE EXTERIEURE Cl 7,184,23[D] (SURFACE ASPHERIQUE A ASYMETRIE DE ROTATION) COURBURE DE LA SURFACE INTERIEURE C2 1,26-4,27[D] (SURFACE ASPHERIQUE A ASYMETRIE DE ROTATION) EPAISSEUR AU CENTRE 4,30[mm] La figure 101A est un tableau montrant une distribution de la courbure C1(h,O) qui est obtenue sur la surface extérieure 2 en chaque point ayant les coordonnées 10 polaires (h,O) . La figure 101B est un tableau montrant une distribution de la courbure C2(h,O) qui est obtenue sur la surface intérieure 3 en chaque point ayant les coordonnées polaires (h,O).
Les figures 102A et 102B sont des graphiques 15 illustrant respectivement les variations des courbures Cl(h,O) et C2(h,O) pour chacun des angles 0 de 0 , 45 , 90 , 135 , 180 , 225 , 270 et 315 en fonction de la variation de la hauteur h. Comme montré sur la figure 102A, entre deux 20 courbes qui prennent la courbure de 4,23 à la hauteur h égale à zéro, la courbe sur le côté de gauche est une courbe de l'angle de 135 , et la courbe sur le côté de droite est une courbe de l'angle de 3150. De plus, parmi trois courbes qui prennent la courbure de 5,71 à la hauteur 25 h égale à zéro, une courbe représentée en traits pleins est une courbe sur laquelle des courbes des angles de 0 et 1800 sont superposées entre elles, une courbe (représentée par une ligne tiretée) sur le côté de gauche est une courbe de l'angle de 90 , et une courbe (représentée par une ligne tiretée) sur le côté de droite est une courbe des angles de 5 270 . En outre, entre deux courbes qui prennent la courbure de 7,18 à la hauteur h égale à zéro, la courbe sur le côté de gauche est une courbe de l'angle de 450, et la courbe sur le côté de droite est une courbe de l'angle de 2250.
Sur la figure 102A, une courbe sur laquelle les 10 courbes des angles de 45 et 225 sont superposées, une courbe sur laquelle les courbes des angles de 0 , 90 , 1800 et 2700 sont superposées et une courbe sur laquelle les courbes des angles de 1350 et 315 sont superposées, sont indiquées.
Les figures 103A et 103B sont des graphiques illustrant respectivement les variations des courbures Cj(h,O) et C2(h,O) pour chacune des hauteurs h de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 25 mm en fonction de la variation de l'angle 0. Comme montré sur la figure 103A, pour toutes les courbes des hauteurs de
10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 25 mm, la courbure C1(h,O) de la surface extérieure 2 prend des valeurs maximales locales aux angles 0 d'environ 450 et 2250. Comme montré sur la figure 103A, pour toutes les 25 hauteurs d'image, la valeur maximale locale à l'angle 0 d'environ 225 est plus grande que la valeur maximale locale à l'angle 0 d'environ 450.
Comme montré sur la figure 103B, pour toutes les courbes des hauteurs de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 30 25 mm, la courbe de la courbure C2(h,O) de la surface intérieure 3 présente une forme sinusoïdale.
Les figures 104A et 104B sont des graphiques illustrant respectivement les variations de la valeur de C1(h,0+180)-Cl(h,O) de la condition (6) et de la valeur 35 C2(h,0+180)-C2(h,O) de la condition (4) pour chacune des hauteurs h de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 25 mm en fonction de la variation de l'angle 0.
Comme montré sur la figure 104A, pour toutes les courbes des hauteurs h de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 5 25 mm, la valeur de Cl(h,0+180)-Cl(h, O) prend la valeur maximale à l'angle 0 d'environ 60 (c'est-à-dire dans la partie supérieure) et prend la valeur minimale à l'angle 0 d'environ 240 (c'est-à-dire dans la partie inférieure). En outre, comme montré sur la figure 104A, l'amplitude de la 10 courbe de Cl(h,0+180)-Cl(h,O) augmente en même temps que la hauteur h augmente.
Comme montré sur la figure 104B, étant donné que la courbe de la courbure C2(h,O) varie à la manière d'une sinusoïdale, des points symétriques sur la surface ont la 15 même courbure. Par conséquent, la variation de la valeur de C2(h,0+180)-C2(h,O) est indiquée par une ligne droite sur laquelle toutes les courbes à différentes hauteurs h sont superposées entre elles.
La figure 105 est un graphique illustrant la 20 variation de la valeur de C2-1(h,O+180)-C2-1(h,O) de la condition (2) pour chacune des hauteurs h de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 25 mm en fonction de la variation de l'angle 0. Comme montré sur la figure 105, pour toutes les courbes des hauteurs h de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 25 25 mm, la valeur de C21(h,O+180)-C2-1(h,O) prend la valeur minimale à l'angle 0 d'environ 65 (c'est-à-dire dans la partie supérieure) et prend la valeur maximale à l'angle 0 d'environ 240 (c'est-à-dire dans la partie inférieure). En outre, comme montré sur la figure 105, l'amplitude de la 30 courbe de la valeur de C2-1(h,O+180)-C2-1(h,O) augmente en même temps que la hauteur h augmente.
Il est évident d'après la figure 105 que C2-1 (h,O+180)-C21(h,O) est négatif pour chacune des hauteurs h de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 25 mm dans la plage de 35 30<0<150. Le verre de lunettes selon le douzième exemple satisfait donc à la condition (2).
Les figures 106A et 106B représentent les performances optiques du verre de lunettes du douzième exemple. Les figures 106A et 106B sont des graphiques tridimensionnels de l'erreur de puissance de réfraction moyenne et de l'astigmatisme, respectivement.
SIXIEME EXEMPLE COMPARATIF
On décrira ci-dessous un verre de lunettes selon un sixième exemple comparatif en utilisant les références numériques indiquées sur la figure 2. Le verre de lunettes 10 du sixième exemple comparatif présente la même puissance sphérique et la puissance cylindrique que celles des onzième et douzième exemples. Les spécifications du verre de lunettes du sixième exemple comparatif sont indiquées dans le Tableau 18. Comme montré dans le Tableau 18, la 15 surface intérieure 13 est une surface torique ayant une courbure indiquée dans le Tableau 18, et la surface extérieure 12 est une surface asphérique à symétrie de rotation.
TABLEAU 18
PUISSANCE SPHERIQUE SPH -4, 00[D] PUISSANCE CYLINDRIQUE CYL -4,OO[D] AXE D'ASTIGMATISME AX 45[O] COURBURE DE LA SURFACE EXTERIEURE Cl 7,17[D] (SURFACE ASPHERIQUE A SYMETRIE DE ROTATION) COURBURE DE LA SURFACE INTERIEURE C2 1,26-7,27[D] (SURFACE TORIQUE) EPAISSEUR AU CENTRE 4,30[mm] La figure 107A est un tableau montrant une distribution de la courbure Cl(h,0) qui est obtenue sur la surface extérieure 12 en chaque point ayant les coordonnées 25 polaires (h,O) . La figure 107B est un tableau montrant une distribution de la courbure C2(h,0) qui est obtenue sur la surface intérieure 13 en chaque point ayant les coordonnées polaires (h,O).
Les figures 108A et 108B sont des graphiques illustrant respectivement les variations des courbures 5 Cl(h,O) et C2(h,O) pour chacun des angles 0 de 00, 450, 900, 135 , 1800, 2250, 270 et 3150 en fonction de la variation de la hauteur h. La surface extérieure 12 est la surface asphérique à symétrie de rotation. Par conséquent, bien que 10 la variation de la courbure C1(h,O) soit représentée par une courbe, toutes les variations de la courbure C1(h,O) à différents angles 0 sont superposées les unes aux autres sur la courbe montrée sur la figure 108A.
Etant donné que la surface intérieure 13 est la 15 surface torique, une ligne droite (en trait plein) sur laquelle les variations de la courbure C2(h,O) des angles 0 de 45 et 225 sont superposées, une ligne droite sur laquelle les variations de la courbure C2(h,O) des angles 0 de 0 , 900, 1800 et 270 sont superposées, et une ligne 20 droite sur laquelle les variations de la courbure C2(h,O) des angles 0 de 135 et 3150 sont superposées, sont indiquées dans l'ordre de la valeur croissante de la courbure.
Les figures 109A et 109B sont des graphiques 25 illustrant respectivement les variations des courbures Cl(h,O) et C2(h,0) pour chacune des hauteurs h de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 25 mm en fonction de la variation de l'angle 0.
Etant donné que la courbure CI(h,O) ne varie pas 30 en fonction de la variation de l'angle 0, la courbure C1(h,O) est présentée par une ligne droite pour chacune des hauteurs de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 25 mm sur les figures 109A. De plus, la courbure C1(h,O) augmente en même temps que la hauteur h augmente. Comme montré sur la figure 35 109B, étant donné que la surface intérieure 13 est la surface torique, la variation de la courbure C2(h,0) est représentée par une courbe analogue à une sinusoïde sur laquelle toutes les variations de la courbure C2(h,O) à différentes hauteurs h sont superposées les unes aux autres.
Les figures 110OA et 110B sont des graphiques illustrant respectivement les variations de la valeur de C1(h,0+180)-Cl(h,O) de la condition (6) et de la valeur C2(h,0+180)-C2(h,O)-C2(h,O) de la condition (4) pour chacune des hauteurs h de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 25 mm en 10 fonction de la variation de l'angle 0. La figure 111 est un graphique illustrant la variation de la valeur de C2-1 (h,O+180)-C2-1(h,O) de la condition (2) pour chacune des hauteurs h de 10 mm, de 15 mm, de 20 mm et de 25 mm en fonction de la variation de l'angle 0.
Etant donné que la surface extérieure présente une symétrie de rotation et que la surface intérieure est la surface torique qui est symétrique par rapport à son axe optique, la valeur de Cl(h,0+180)-Cl(h,O) de la condition (6), la valeur de C2(h,0+180) de la condition (4) et la valeur de C21(h,0+180)-C2l(h,O)-C2(h,O) de la condition (2) prennent une valeur constante égale à zéro quels que soient la hauteur h et l'angle 0. Le sixième exemple comparatif ne satisfait donc pas aux conditions (6), (4) et (2).
Les figures 112A et 112B représentent les 25 performances optiques du verre de lunettes du sixième exemple comparatif. Les figures 112A et 112B sont des graphiques tridimensionnels de l'erreur de puissance de réfraction moyenne et de l'astigmatisme, respectivement. En comparant la figure 112A aux figures 100OA et 106A et en 30 comparant la figure 112B aux figures 10OB et 106B, on comprend que les aberrations sont corrigées suffisamment dans chacun des onzième et douzième exemples.
Comme décrit ci-dessus, selon les formes de réalisation de l'invention, un verre unifocal de lunettes 35 configuré de façon qu'une partie supérieure du verre présente des performances appropriées pour la vision de loin et qu'une partie inférieure du verre présente des performances appropriées pour la vision de près peut être obtenu.
Il va de soi que de nombreuses modifications 5 peuvent être apportées au verre de lunettes décrit et représenté sans sortir du cadre de l'invention.

Claims (11)

REVENDICATIONS
1. Verre de lunettes (1, 11) ayant une surface extérieure (2, 12) et une surface intérieure (3, 13), caractérisé en ce que l'une des surfaces extérieure et 5 intérieure est configurée de façon à être une surface asphérique à asymétrie de rotation, lorsqu'une courbure en un point de coordonnées (h,0) de la surface extérieure est représentée par C1(h,0), une courbure en un point de coordonnées (h,0) de la surface intérieure est représentée 10 par C2(h,0) et une différence entre les courbures de la surface extérieure et de la surface intérieure au point de coordonnées (h,0) est représentée par C2-1(h,0)=C2(h,0)Cl(h,0), si C21(0,0)>0, ledit verre de lunettes satisfaisant à une condition (1) : C2-1(h,0+180)-C2-1(h, 0)> 0... (1), et si C21(0,0)<0, ledit verre de lunettes satisfaisant à une condition (2) : C21(h,0+180)-C2-1(h,0) < 0... (2) dans lequel les conditions (1) et (2) sont 20 valables dans des plages de 10 mm<h<20 mm et 30 <0<150 , dans lequel, étant donné qu'une ligne normale, qui est normale à la surface extérieure en passant par le centrage (4, 14), est considérée comme étant un axe z1, une direction qui est perpendiculaire à l'axe z1 et qui 25 correspond à une direction orientée vers le haut dans l'état o le verre de lunettes est porté, est considérée comme étant un axe yi, et une direction qui est perpendiculaire à l'axe Y, et à l'axe z1 dans un système de coordonnées orienté à gauche est considérée comme étant un 30 axe xl, les coordonnées (h,0) de la surface extérieure sont définies conmme étant un point ayant une hauteur h (unité : mm) à partir de l'axe z1 sur une ligne d'intersection (17) qui est formée entre la surface extérieure (12) et un plan contenant l'axe z1 et formant un angle 0 (unité : degré) 35 par rapport à l'axe x1, dans lequel, étant donné qu'une ligne normale, qui est normale à la surface intérieure en passant par le centrage, est considérée comme étant un axe Z2, une direction qui est perpendiculaire à l'axe Z2 et qui 5 correspond à la direction orientée vers le haut dans l'état o le verre de lunettes est porté est considérée comme étant un axe Y2, et une direction qui est perpendiculaire à l'axe Y2 et à l'axe Z2, dans le système de coordonnées orienté à gauche, est considérée comme étant un axe x2, les 10 coordonnées (h,O) de la surface intérieure sont définies comme étant un point ayant une hauteur h (unité : mm) à partir de l'axe z2 sur une ligne d'intersection qui est formée entre la surface intérieure et un plan contenant l'axe Z2 et formant un angle 0 (unité : degré) par rapport 15 à l'axe x2, dans lequel le point de centrage étant défini comme étant un point qui coïncide avec la position de la pupille d'un porteur lorsque le verre de lunettes est vu depuis un côté antérieur dans un état o le verre de 20 lunettes est porté.
2. Verre de lunettes selon la revendication 1, caractérisé en ce que, lorsque la surface intérieure est configurée de façon à être la surface asphérique à asymétrie de rotation, si C21(0,O)>0, ledit verre de 25 lunettes satisfait à une condition (3) : C2(h,O+180)-C2(h,O) > 0... (3), et si, C21(0,0)<0, le verre de lunettes satisfait à une condition (4) : C2(h,O+180)-C2(h,O) < 0... (4) o les conditions (3) et (4) sont valables dans les plages de 10 mm<h<20 mm et 300<0<1500.
3. Verre de lunettes selon la revendication 1, caractérisé en ce que, lorsque la surface extérieure est configurée de façon à être la surface asphérique à 35 asymétrie de rotation, si C21(O,0)>O, le verre de lunettes satisfait à une condition (5) : C1(h,0+180)-Cl(h,0) < O... (5), et si C21(0,0)<0, le verre de lunettes satisfait à une condition (6) : Cl(h,0+180)-Cl(h,0) > 0... (6) o les conditions (5) et (6) sont valables dans les plages de 10 mm<h<20 mm et 30 <0<150 .
4. Verre de lunettes selon la revendication 1, caractérisé en ce que la surface extérieure est configurée de façon à être une surface sphérique, et la surface 10 intérieure est considérée de façon à être la surface asphérique à asymétrie de rotation.
5. Verre de lunettes selon la revendication 1, caractérisé en ce que la surface extérieure est configurée de façon à être la surface asphérique à asymétrie de 15 rotation et la surface intérieure est configurée de façon à être une surface sphérique.
6. Verre de lunettes selon la revendication 1, caractérisé en ce que la surface extérieure est configurée de façon à être la surface asphérique à asymétrie de 20 rotation et la surface intérieure est configurée de façon à être une surface torique.
7. Verre de lunettes selon la revendication 1, caractérisé en ce que les surfaces extérieure et intérieure sont configurées toutes deux de façon à être des surfaces 25 asphériques.
8. Verre de lunettes selon la revendication 1, caractérisé en ce que la surface extérieure est configurée de façon à être une surface asphérique à symétrie de rotation et la surface intérieure est configurée de façon à 30 être la surface asphérique à asymétrie de rotation.
9. Verre de lunettes selon la revendication 1, caractérisé en ce que la surface extérieure est configurée de façon à être la surface asphérique à asymétrie de rotation et la surface intérieure est configurée de façon à 35 être une surface asphérique à symétrie de rotation.
10. Verre de lunettes selon la revendication 1, caractérisé en ce que les surfaces extérieure et intérieure sont toutes deux configurées de façon à être les surfaces asphériques à asymétrie de rotation.
11. Verre de lunettes selon la revendication 1, caractérisé en ce que l'une des surfaces extérieure et intérieure a une puissance de réfraction cylindrique pour la correction d'une vision astigmatique.
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