FR2751258A1 - Dispositif a levier manuel de commande d'appareil - Google Patents

Abstract

L'invention concerne un dispositif à levier manuel. Elle se rapporte à un dispositif à levier manuel, qui comprend un carter (20) destiné à être monté sur un manche (7), et un levier principal (30) supporté de manière pivotante par le carter (20) et destiné à tirer un câble raccordé à un organe mené (CV), le carter (20) ayant une structure triple composée d'un premier organe latéral, d'un organe intermédiaire et d'un autre organe latéral de carter, le carter (20) étant démonté du manche (7) par séparation de l'autre organe latéral de carter du premier organe latéral de carter et de l'organe intermédiaire de carter, le levier principal (30) étant maintenu entre le premier organe latéral et l'organe intermédiaire de carter même lorsque le carter (20) est démonté ou séparé du manche (7). Application aux débroussailleuses.

Description

La présente invention concerne un appareil à levier manuel destiné à la manoeuvre d'un organe mené, tel qu'un papillon des gaz, d'un moteur à combustion interne, par l'intermédiaire d'un câble. En particulier, le dispositif à levier manuel est de préférence monté sur une machine telle qu'une machine de taille de haies ou une débroussailleuse, à proximité d'une poignée afin qu'il soit facile et commode de manoeuvrer le papillon des gaz ou analogues par l'intermédiaire d'un câble ou analogue.

Par exemple, dans une machine destinée à la taille des haies ou une débroussailleuse, qui comporte une partie de travail ayant une lame de coupe ou analogue entraînée par un moteur à combustion interne, un dispositif a levier manuel est destiné à régler le degré d'ouverture d'un papillon des gaz du moteur à combustion interne. Ce levier manuel est monté au voisinage d'une poignée d'un manche en U, d'un manche en forme de barre ou analogue de la machine afin que la force fournie par le moteur à combustion interne puisse être réglée manuellement.

Le dispositif à levier manuel comporte en général une détente de commande d'accélération (levier du papillon des gaz) manoeuvrée par les doigts de l'opérateur, le levier étant déplacé par pivotement afin que le degré d'ouverture du papillon des gaz soit réglé par l'intermédiaire d'un câble. En général, le papillon des gaz est toujours rappelé dans le sens d'ouverture minimale qui permet un fonctionnement du moteur au ralenti. Ainsi, le papillon des gaz est normalement maintenu en position d'ouverture de ralenti et, lorsque le câble a été tiré d'une quantité prédéterminée afin que le jeu disparaisse, il commence à s'ouvrir de la position d'ouverture de ralenti (fonctionnement à faible vitesse) du moteur à une position d'ouverture de fonctionnement du moteur (à plus grande vitesse).

De tels dispositifs connus à levier manuel destinés à régler le papillon des gaz sont d'un type à retour automatique au ralenti ou d'un type qui peut être immobilisé. Dans le premier type, lorsque le levier est libéré de sa position déplacée par pivotement, ll revient automatiquement à sa position initiale de ralenti, si bien que le papillon des gaz est ramené à la position de ralenti. Dans le second type, lorsque les doigts relâchent le levier du papillon des gaz, celui-ci est d'abord immobilisé dans la position voulue obtenue par pivotement (voir la demande publiée et examinée de modèle d'utilité japonais nO 19 944/1982, etc.).

Dans le type à retour automatique, lorsque les doigts libèrent le levier du papillon des gaz, le moteur revient automatiquement au ralenti. En conséquence, lorsqu'on utilise un tel appareil à retour automatique sur une machine, lorsque la force fournie par le moteur est transmise à une partie de travail comprenant une lame de coupe par l'intermédiaire d'un embrayage centrifuge, celui-ci est mis en position de débrayage qui supprime la transmission de la force motrice à la partie de travail. Ainsi, le fonctionnement de la machine peut être stoppé immédiatement par retour du papillon des gaz au degré d'ouverture de ralenti en cas accident, si bien qu'une meilleure sécurité est avantageusement obtenue. D'autre part, le papillon des gaz doit être constamment maintenu à la main en position voulue de pivotement pour que la machine ait le fonctionnement voulu. Des problèmes se posent alors, car cette utilisation est peu commode à des degrés intermédiaires d'ouverture étant donné que les doigts risquent de se fatiguer, et la vitesse du moteur risque d'être instable.

Il est souhaitable en général, pour la commodité de fonctionnement, qu'un levier qui est déplacé par pivotement par les doigts, par exemple un levier de commande de papillon des gaz, puisse être déplacé en alternance entre deux positions, c'est-à-dire une position libérée et une position de réglage (position poussée) sans maintien en position intermédiaire quelconque. Ainsi, il est préférable au point de vue de la commodité de mise en oeuvre que le levier soit mis dans une même position de pivotement (position réglée) indépendamment du fait que la condition d'ouverture voulue d'un papillon des gaz est intermédiaire (position d'ouverture partielle) ou totale (position de travail).

D'autre part, le type immobilisable permet la solution des problèmes précités posés par le retour automatique au degré d'ouverture de ralenti. Le type immobilisable assure avantageusement le maintien du levier du papillon des gaz en position voulue déplacée par pivotement sans que le levier soit maintenu par les doigts de l'opérateur. Cette disposition permet une exécution facile de l'opération de coupe puisque que les doigts sont libérés et n'ont pas à tenir le levier. Cependant, comme il faut une manoeuvre supplémentaire pour relâcher le levier de la position immobilisée, il est impossible d'arrêter immédiatement la machine en cas d'accident. Ainsi, un problème de sécurité est posé puisque cet appareil de type immobilisable est inférieur à ce point de vue à l'appareil de retour automatique en position de ralenti.

En outre, dans les deux types, lorsque le levier de commande du papillon des gaz, qui a été relâché pour suspendre le fonctionnement, est ramené au degré précédent d'ouverture pour la reprise de l'opération (comme cela est fréquent dans le cas d'une débroussailleuse), la position pivotée du levier doit être réajustée. A cause de cette opération peu commode, il faut que les possibilités de manoeuvre soient encore améliorées.

La demanderesse a déjà proposé, pour la solution des problèmes précités, par exemple un dispositif à levier manuel qui comporte un levier manuel et un sous-levier commandés de manière pivotante, le sous-levier étant destiné à tirer un câble raccordé à un organe mené par un organe sur lequel s'enroule un câble, tel qu'une poulie, et cet organe est déplacé par le levier principal (comme décrit dans la demande de brevet japonais mise à l'inspection publique no 303 262/1996).

Dans un tel dispositif à levier manuel, on peut obtenir des avantages en ce que le degré d'ouverture d'un papillon des gaz, constituant un organe mené, peut être ajusté de façon convenable à l'aide d'un câble etle papillon peut être maintenu au degré voulu d'ouverture puis immédiatement ramené au degré minimal d'ouverture (ouverture de ralenti) donnant la sécurité, la fatigue des doigts peut être réduite, et le papillon des gaz peut être mis au degré d'ouverture qu'il occupait avant retour au degré minimal d'ouverture sans qu'il soit nécessaire d'effectuer un nouvel ajustement.

Dans le dispositif proposé à levier manuel cependant, l'amplitude de tirage du câble du papillon des gaz correspond directement à l'amplitude du mouvement de pivotement du levier principal. Ainsi, le levier principal doit être manoeuvré par pivotement d'une quantité relativement grande de manière que le câble du papillon des gaz soit tiré de la quantité nécessaire. Pour que l'amplitude nécessaire de pivotement du levier principal soit obtenue, il faut un espace relativement grand pour le pivotement du levier principal entre une poignée du manche et le levier principal. En conséquence, le dispositif à levier principal n'a pas une dimension et un poids satisfaisants et ne convient pas à la commodité de mise en oeuvre.

Pour la solution de ce problème, la demanderesse a déjà proposé un dispositif à levier manuel ayant la structure suivante, comme mode de réalisation fondamental de la présente invention. Le dispositif proposé à levier manuel comprend
un carter destiné à être monté sur un manche,
un levier principal supporté de manière pivotante par le carter afin qu'il tire un câble raccordé à un organe mené par un organe d'enroulement de câble,
un mécanisme de multiplication de l'amplitude de tirage, placé entre le levier principal et le câble dans le carter pour l'amplification du mouvement de pivotement du levier principal afin que le câble soit tiré avec une amplitude accrue, et
un mécanisme d'ajustement de position destiné à déplacer l'organe d'enroulement de câble dans la direction de tirage du câble avec maintien de l'organe d'enroulement de câble en position voulue.

En outre, les dispositifs classiques à levier manuel ont en général un carter à structure double (composé d'organes droit et gauche de carter) pour le support et la retenue de l'organe mobile, tel qu'un levier principal, comme décrit par exemple dans la demande publiée et examinée de brevet japonais nO 106 098/1995. Les organes droit et gauche qui constituent le carter sont mis en coopération avec interposition d'un manche qui est maintenu à l'intérieur, et ils sont serrés par des boulons ou des organes analogues permettant le montage du dispositif à levier manuel sur le manche.

Dans un tel dispositif classique à levier manuel ayant un carter à structure double cependant, comme des organes mobiles, tels qu'un levier manuel, sont supportés ou logés entre les organes droit et gauche du carter, il est difficile de maintenir de façon convenable les organes mobiles, tels que le levier principal, dans l'un des organes de carter au moment où ces organes droit et gauche sont séparés, c'est-à-dire au moment où le carter est démonté ou séparé du manche, par exemple avant montage du dispositif à levier manuel sur le manche ou lors de la maintenance. Ainsi, le montage du dispositif à levier manuel sur le manche et la maintenance sont peu commodes.

En outre, comme un tel dispositif classique à levier manuel est monté sur un manche uniquement par disposition des organes droit et gauche du carter en coopération et par serrage mutuel par des boulons ou analogues, un problème est posé par le fait que le carter dans son ensemble peut tourner ou se déplacer longitudinalement par rapport au manche. Cette rotation ou ce déplacement du carter par rapport au manche provoque non seulement une réduction des possibilités de manoeuvre, mais aussi des difficultés de déplacement de l'extrémité du câble. Ainsi, l'amplitude de tirage du câble n'est pas obligatoirement constante pour des amplitudes déterminées de pivotement du levier principal et d'un sous-levier. En conséquence, le degré d'ouverture d'un papillon des gaz ou analogue ne peut pas être réglé avec précision.

La présente invention a été réalisée pour la solution de ces problèmes. Elle a donc pour objet la réalisation d'un dispositif à levier manuel qui permet une retenue convenable d'organes mobiles, tel qu'un levier principal, même lorsque le carter est démonté ou séparé d'un manche, si bien que le montage sur le manche et la maintenance peuvent être réalisés.

L'invention a aussi pour objet la réalisation d'un dispositif à levier manuel de structure relativement simple, permettant d'éviter en toute sécurité la rotation ou le déplacement d'un carter par rapport à un manche.

A cet effet, le dispositif à levier manuel selon l'invention comprend essentiellement
un carter destiné à être monté sur un manche, et
un levier principal supporté de manière pivotante par le carter afin qu'il permette le tirage, par un organe d'enroulement de câble, d'un câble qui est raccordé à un organe mené. Dans un mode de réalisation préféré, un mécanisme d'amplification de l'amplitude de tirage est placé entre le levier principal et le câble afin qu'il amplifie l'amplitude de tirage du câble par le levier principal, et un mécanisme d'ajustement de position peut être incorporé afin qu'il maintienne l'organe d'enroulement de câble en position voulue.

Le carter a une structure triple comprenant un premier organe latéral, un organe intermédiaire et un autre organe latéral, et le carter est démonté du manche par séparation de l'autre organe latéral du premier organe latéral et de l'organe intermédiaire. Le levier principal, le mécanisme d'amplification de l'amplitude de tirage, l'organe d'enroulement et le mécanisme d'ajustement de position sont retenus uniquement par un organe latéral de carter et l'organe intermédiaire de carter, même lorsque le carter est démonté ou séparé du manche.

Lorsque le dispositif à levier manuel selon la présente invention, ayant la construction précitée, est monté sur le manche, des organes mobiles, tels que le levier principal, le mécanisme d'amplification de l'amplitude de tirage, l'organe d'enroulement et le mécanisme d'ajustement de position, sont mis en position et supportés entre un premier organe latéral et l'organe intermédiaire de carter, et le premier organe latéral et l'organe intermédiaire sont serrés en coopération par des vis ou analogues.

Ensuite, l'ensemble partiel résultant, formé par le premier organe latéral et l'organe intermédiaire du carter, qui supportent les organes mobiles, et l'autre organe latéral sont mis en coopération avec interposition du manche et sont serrés par des vis ou analogues. Le premier organe latéral, l'organe intermédiaire et l'autre organe latéral de carter sont donc montés sous forme fixe sur le manche.

Le dispositif à levier manuel selon l'invention, qui a été monté sur le manche de cette manière, est démonté du manche par séparation de l'autre organe latéral de carter du premier organe et de l'organe intermédiaire qui sont combinés.

Au moment où le carter est démonté et le premier organe latéral, l'organe intermédiaire et l'autre organe latéral qui constituent le carter sont retirés du manche comme décrit précédemment, par exemple avant le montage du dispositif à levier manuel sur le manche ou lors de la maintenance, les organes mobiles, tels que le levier principal, le mécanisme d'amplification de l'amplitude de tirage, l'organe d'enroulement et le mécanisme d'ajustement de position sont retenus par le premier organe de carter et l'organe intermédiaire de carter.

De cette manière, dans le dispositif à levier manuel selon l'invention, le montage sur un manche, la maintenance et analogues peuvent être réalisés bien plus facilement qu'avec les dispositifs classiques à levier manuel à carter double, présentant l'inconvénient d'une retenue difficile des organes mobiles dans l'un des organes de carter.

En outre, dans un mode de réalisation préféré de l'invention, le manche ou un organe de carter au moins (l'un des organes latéraux et de l'organe intermédiaire) a une cavité et l'organe de carter ou le manche respectivement une saillie destinée à se loger dans la cavité. Lorsque les organes de carter sont montés sur le manche, l'ensemble du carter est monté sur le manche de manière que la saillie se loge dans la cavité.

Grâce en outre au fait que le carter est monté à demeure sur le manche avec la saillie logée dans la cavité, dans le manche et l'organe de carter, le carter ne peut pas tourner par rapport au manche et ne peut pas se déplacer dans la direction longitudinale grâce à la coopération de la cavité et de la saillie.

Ainsi, on conserve toujours des possibilités de mise en oeuvre stables et l'extrémité avant du câble ne présente pas de décalage, et l'amplitude de tirage du câble est constante pour des amplitudes déterminées de fonctionnement du levier principal et du mécanisme d'ajustement de position. En conséquence, le degré d'ouverture du papillon des gaz ou analogue peut être réglé avec précision.

D'autres caractéristiques et avantages de l'invention seront mieux compris à la lecture de la description qui va suivre d'exemples de réalisation, faite en référence aux dessins annexés sur lesquels
la figure 1 est une vue en perspective d'un exemple de débroussailleuse comprenant un exemple de dispositif à levier manuel selon l'invention
la figure 2 est une vue en élévation de gauche du dispositif à levier manuel de la figure 1
la figure 3 est une vue en plan du dispositif à levier manuel de la figure 1
la figure 4 est une vue en élévation de droite du dispositif à levier manuel des figures 1 à 3
la figure 5 est une vue agrandie en élévation latérale du dispositif à levier manuel de la figure 2 après enlèvement de l'organe gauche de carter
la figure 6 est une coupe suivant la ligne VI-VI de la figure 5, dans le sens des flèches correspondantes de la figure 5
la figure 7 est une coupe suivant la ligne VII-VII de la figure 6, dans le sens des flèches
la figure 8 est une vue en perspective représentant schématiquement un mécanisme amplificateur de l'amplitude de tirage et des organes coopérants
la figure 9 est une vue en perspective d'un organe intermédiaire de carter du dispositif à levier manuel représenté sur la figure 5
la figure 10 est une coupe agrandie suivant la ligne
X-X, dans le sens des flèches de la figure 2 ; et
la figure 11 est une coupe sous forme éclatée du dispositif à levier manuel représenté sur la figure 6, dans laquelle un ensemble partiel formé des organes droit et intermédiaire du carter et un organe gauche de carter sont démontés d'un manche.

La figure 1 représente un exemple de débroussailleuse comprenant un dispositif à levier manuel selon un mode de réalisation de l'invention. La débroussailleuse représentée 1 comprend un manche 7 sous forme d'une barre (tige de manoeuvre) ayant des poignées 11, 12 séparées par une certaine distance, et une partie de travail 3 placée à l'extrémité externe du manche 7. La partie de travail 3 comporte une lame 13 de coupe, un couvercle 14 de sécurité, etc. La débroussailleuse 1 comporte en outre un moteur à combustion interne 2, par exemple un petit moteur à essence à deux temps, refroidi par air, destiné à être placé à l'extrémité interne du manche 7. Le moteur 2, qui comporte un dispositif 6 de lancement par traction et un réservoir 4 de carburant, transmet de l'énergie d'entraînement de la lame de coupe 13 par l'intermédiaire d'un arbre menant (non représenté) dépassant du manche 7 dans lequel il est placé.

Le moteur 2 a un carburateur (non représenté) ayant un papillon des gaz CV et une bougie d'allumage 5.

Dans cet exemple, le papillon des gaz CV est toujours rappelé dans le sens d'ouverture minimale (de ralenti)
Lorsqu'un câble 17 de papillon des gaz (câble interne) qui lui est raccordé (comme indiqué sur la figure 5), comme décrit dans la suite, est tiré depuis une position de repos d'une quantité prédéterminée pour l'élimination du jeu, le papillon CV commence à s'ouvrir depuis la position d'ouverture minimale de ralenti.

Un exemple de dispositif 10 à levier manuel selon l'invention est placé au voisinage de la poignée 11, qui est l'une des poignées 11 et 12 serrées de façon générale par la main droite de l'opérateur. Le levier manuel 10 est utilisé pour l'ajustement du degré d'ouverture du papillon des gaz
CV.

Comme l'indiquent les figures 2 à 4, le dispositif 10 à levier manuel possède un carter 20 monté à demeure sur le manche 7 à proximité de la poignée interne 11. Dans le carter 20, un levier principal 30 a une première extrémité maintenue de manière pivotante afin qu'il puisse tirer le câble 17 de commande du papillon des gaz, passant dans un tube externe 16 d'un câble 15 à gaine souple raccordé au papillon des gaz CV.

Le carter 20 a une structure triple comprenant un organe droit 21, un organe intermédiaire 22 et un organe gauche 23 de carter qui sont formés d'une résine de synthèse, comme mieux représenté sur les figures 6 et 7.

Chacun des organes droit et gauche 21, 23 de carter a un aspect de plateau pratiquement rectangulaire. Comme indiqué sur les figures 1 et 10, celle-ci étant une coupe suivant la ligne X-X dans le sens des flèches de la figure 2, chacun des organes droit et gauche 21, 23 de carter a quatre trous au total, c'est-à-dire deux trous supérieurs et deux trous inférieurs. Plus précisément, les organes droit et gauche 21, 23 de carter ont des trous taraudés 21a, 21b et des trous débouchants 23a, 23b. Des vis supérieures 24 passent dans les trous taraudés supérieurs 21a et les trous supérieurs 23a et sont serrées, et des vis inférieures 25 pénètrent dans les trous taraudés inférieurs 21b et passent dans les trous inférieurs 23b et sont serrées.

Les organes droit et gauche 21, 23 de carter sont ainsi montés à demeure sur le manche 7, l'organe intermédiaire 22 étant placé entre eux, les parties 21A, 23A de butée en demi-cercle qui sont formées aux extrémités avant et arrière étant en butée contre la surface circonférentielle du manche 7 afin que celui-ci soit maintenu entre les organes.

Comme mieux représenté sur la figure 5 qui représente le dispositif 10 à levier manuel après enlèvement de l'organe gauche 23 de carter et sur la figure 9 qui représente l'organe intermédiaire 22 sous forme isolée ainsi que sur la figure 10, l'organe intermédiaire 22 placé entre les organes droit et gauche 21, 23 est disposé entre les trous taraudés inférieurs 21b et les trous débouchants inférieurs 23b et comporte des trous débouchants 22b pour le passage des vis 25. Cet organe intermédiaire 22 a en outre une partie 22A de paroi de butée de section en demi-cercle, et la partie 22A de paroi a sa partie supérieure qui a des trous débouchants 22c au voisinage de ses extrémités avant et arrière. Les vis 26, passant dans les trous débouchants 22c, pénètrent dans les trous taraudés 21c et sont serrées.

L'organe intermédiaire 22 est ainsi fermement fixé à l'organe droit 21 du carter par les vis 26.

En outre, la partie 22A de paroi de butée de l'organe 22 a une saillie 29 empêchant la rotation, logée dans un trou borgne circulaire constituant une cavité 9 dans la partie médiane du côté droit de la surface circonférentielle du manche tubulaire 7 (comme indiqué sur la figure 6).

Comme l'indiquent les figures 5 à 8, le levier principal 30 maintenu par le carter 20 afin qu'il puisse pivoter a une partie pratiquement rectiligne 31 de manoeuvre qui est commandée de manière pivotante par les doigts afin qu'il soit rapproché d'un organe lia d'appui de levier formé à la partie inférieure de la poignée interne 11, une partie cylindrique 32 logée avec du jeu sur une broche 35 formant pivot, et une partie courbe 33 dont l'extrémité de base est raccordée à la partie cylindrique 32 et l'autre partie d'extrémité est recourbée vers le haut. L'extrémité droite de la broche 35 est emmanchée à force dans un trou 21d d'insertion formé près du coin inférieur arrière de l'organe droit 21 de carter, et l'extrémité gauche de la broche 35 est emmanchée à force dans un trou 22d d'insertion formé dans l'organe intermédiaire 22 de carter et introduit avec du jeu dans un trou 23d d'introduction formé dans l'organe gauche 23 du carter.

Dans ce mode de réalisation, le câble 17 du papillon des gaz est tiré par le levier principal 30 ayant la construction précitée par l'intermédiaire d'un mécanisme 40 d'amplification de l'amplitude de tirage et d'une poulie 45 (voir figure 5) constituant un organe d'enroulement de câble.

Comme l'indiquent les figures 7 et 8, le mécanisme 40 d'amplification de l'amplitude de tirage comporte une pièce 41 de levier montée de manière pivotante sur une broche 42 formant pivot dont une première extrémité est supportée par un trou 21g de logement de broche formé dans une partie inférieure de l'organe droit 21 de carter, l'autre extrémité étant supportée par une partie 21f formée à peu près au milieu de l'organe droit 21 de carter et une partie de support de broche formée dans l'organe intermédiaire 22. Une pièce métallique d'extrémité 19 fixée à l'extrémité avant du câble 17 se loge dans une partie d'extrémité (extrémité gauche) d'une moitié relativement longue 41A de la pièce 41 de levier.

L'extrémité avant du tube externe 16 du câble 15 à gaine souple, dans lequel passe le câble 17 de commande du papillon des gaz, est fixée dans une partie 22i de retenue formée dans l'organe intermédiaire 22. Le câble 17 est conduit par une fente 22j réalisée à l'extrémité avant de la partie de retenue 22i à la moitié relativement longue 41A de la pièce 41 de levier et lui est raccordé.

Une moitié plus courte 41B de la pièce 41 de levier et une extrémité cylindrique 33a de la partie courbe 33 du levier principal 30, et des pièces métalliques 19 d'extrémité fixées aux extrémités d'un câble 18 enroulé sur la poulie 45 qui constitue un organe d'enroulement du câble qui passe autour d'elle, sont respectivement incorporées à une partie d'extrémité (droite).

Dans une telle structure, comme l'indique la figure 8, lorsque la partie 31 de manoeuvre du levier principal 30 est déplacée de manière pivotante dans le sens qui la rapproche de la poignée interne 11, la moitié relativement courte 41B de la pièce 41 de levier est tirée vers l'arrière par l'intermédiaire du câble 18. La pièce 41 de levier est ainsi tournée dans le sens des aiguilles d'une montre, en vue en plan. En conséquence, le câble 17 est tiré vers l'avant par la moitié relativement longue 41A de la pièce 41 de levier.

A cet égard, l'amplitude de tirage du câble 17 par le levier principal 30 est amplifiée d'après le rapport existant entre les moitiés relativement longue et relativement courte 41A et 41B, c'est-à-dire le rapport de multiplication correspondant aux moitiés relativement longue et relativement courte.

Dans ce mode de réalisation, un mécanisme 50 d'ajustement de position est destiné à déplacer la poulie 45 dans la direction de tirage du câble (vers l'arrière) afin que la poulie 45 reste immobilisée à la position prévue.

Comme l'indiquent les figures 4 à 7, le mécanisme 50 d'ajustement de position comprend une broche 60 formant pivot ayant une partie crénelée 62 à son extrémité droite et un organe 64 de recouvrement destiné à contenir la poulie 45, un sous-levier 51 ayant une partie crénelée 52 en prise avec la partie crénelée 62 et fixée à son extrémité droite de la broche 60 par une vis 55. L'extrémité gauche de la broche 60 tourillonne dans une partie 22e de palier formée du côté droit de l'organe intermédiaire 22 de palier, et l'extrémité droite de la broche 60 tourillonne dans une partie 21e de palier formée dans l'organe droit 21 du carter. Dans l'organe 64 de recouvrement, la poulie 45 est supportée sur une broche 46 afin qu'elle puisse pivoter. La broche 46 qui porte la poulie 45 est décalée par rapport à la broche 60 du sous-levier 51 de manière que l'axe 0' de la broche 46 soit séparé par une distance prédéterminée E de l'axe de pivotement 0 du sous-levier 51 (axe de la broche 60), vers le haut. Lorsque le sous-levier 51 pivote vers l'arrière, la poulie 45 se déplace dans la direction de tirage du câble de commande du papillon des gaz (vers l'arrière).

Un bouton-poussoir tubulaire 53 à extrémité supérieure fermée (sans fond) est introduit afin qu'il puisse coulisser verticalement à la partie supérieure du sous-levier 51. Un manchon 57 à fond fermé, qui est toujours rappelé vers le bas par un ressort hélicoïdal 56, est logé dans le boutonpoussoir 53. Le bouton 53 est monté afin qu'il puisse coulisser alternativement, le fond du manchon 57 venant en butée contre un épaulement droit de organe 21 de carter.

A gauche de l'extrémité inférieure du bouton-poussoir 53, une partie crénelée mobile 58 est placée avec un crénelage dépassant vers le haut. Dans une partie supérieure de l'organe droit 21 du carter, comme indiqué sur les figures 3 et 4, une partie fixe crénelée 28 est disposée avec un crénelage qui dépasse vers le bas, dans la direction longitudinale, suivant un arc de cercle centré sur l'axe O de pivotement du sous-levier 51, la partie crénelée mobile 58 étant en prise avec cette partie crénelée.

Dans le mécanisme 50 d'ajustement de position ayant cette structure, lorsque le bouton-poussoir 53 est enfoncé, la partie crénelée mobile 58 et la partie crénelée fixe 28 se séparent. Dans ces conditions, lorsque le bouton 53 est tiré vers l'arrière en position voulue, le sous-levier 51 peut pivoter vers l'arrière. En conséquence, la poulie 43 est déplacée dans la direction de tirage du câble du papillon des gaz (vers l'arrière) . Le bouton-poussoir 53 est alors libéré de la force de pression. La partie mobile 58 et la partie fixe 28 sont ainsi remises en coopération. En conséquence, le sous-levier 51 et la poulie 45 sont maintenus en position pivotante commandée.

Un interrupteur 67 de type coulissant est placé près du centre de la partie supérieure du carter 20 afin qu'il interrompe l'application du courant à la bougie d'allumage 5 du moteur à combustion interne 2 et arrête le moteur 2 d'une manière telle qu'il est maintenu entre des encoches rectangulaires 21k, 23k respectivement formées aux parties supérieures des organes droit et gauche 21, 23 du carter.

Lorsque le dispositif à levier manuel 10 de ce mode de réalisation, ayant la construction indiquée, doit être monté sur le manche 7, les organes mobiles, tels que le levier principal 30, le mécanisme 40 d'amplification de l'amplitude de tirage, la poulie 45 et le mécanisme 50 d'ajustement de position, sont montés dans les organes droit et intermédiaire 21, 22 du carter, et l'organe intermédiaire 22 est fixé à l'organe droit 21 par deux vis 26 (voir figures 5, 10 et 11).

L'ensemble partiel de l'organe droit 21 et de l'organe intermédiaire 22, qui porte les organes mobiles tels que le levier principal 30, le mécanisme 40, la poulie 45 et le mécanisme 50, et l'organe gauche 23 de carter sont alors fixés en coopération avec le manche 7 entre eux. Dans cette opération, la saillie 29 formée sur l'organe intermédiaire 22 se loge dans le trou borgne 9 du manche 7 et assure le positionnement (comme représenté sur la figure 6). Ensuite, l'organe gauche 23 et l'ensemble le carter 20 sont retirés du manche 7 comme décrit précédemment, par exemple au moment du montage du dispositif à levier principal 10 sur le manche 7 ou pendant la maintenance, l'ensemble partiel formé par les organes droit et intermédiaire 21, 22 du carter, qui porte les organes mobiles tels que le levier principal 30, le mécanisme 40, la poulie 45 et le mécanisme 50, peut rester assemblé.

De cette manière, dans le dispositif à levier manuel 10 de ce mode de réalisation, le montage sur un manche, la maintenance ou analogue peuvent être réalisés plus facilement qu'avec les dispositifs classiques à levier manuel à structure double de carter qui présentent l'inconvénient d'assurer une retenue délicate des organes mobiles dans l'un des organes du carter.

Grâce en outre au fait que le carter 20 est monté à demeure sur le manche 7 avec la saillie 29 logée dans la cavité 9 formée dans l'organe intermédiaire 22 et le manche 7 respectivement, le carter 20 ne peut pas tourner par rapport au manche 7 et ne peut pas se déplacer dans la direction longitudinale grâce à la coopération de la cavité 9 et de la saillie 29.

Ainsi, on peut obtenir des possibilités stables de manoeuvre, un déplacement de l'extrémité avant du câble 17 n'est pas provoqué, et l'amplitude de tirage du câble 17 est constante, en fonction des amplitudes de manoeuvre du levier principal 30 et du mécanisme 50 d'ajustement de position. En conséquence, le degré d'ouverture du papillon des gaz CV ou analogue peut être réglé avec précision.

Dans le dispositif 10 à levier manuel de ce mode de réalisation, ayant la construction indiquée, lorsque le levier manuel 30 est manoeuvré par pivotement vers la position de réglage rapprochée de la poignée interne 11 du manche 7, le câble 17 est tiré d'une amplitude prédéterminée par l'intermédiaire du mécanisme amplificateur 40 à l'aide de la pièce 41 de levier et de la poulie 45 formant un organe d'enroulement de câble qui élimine le jeu.

Il faut noter que, étant donné que l'amplitude de tirage (amplitude de déplacement) du câble 17 sous l'action du levier principal 30 est amplifiée par le mécanisme 40, l'amplitude angulaire a du pivotement du levier principal 30 peut être plus petite que dans les dispositifs classiques (comme indiqué sur la figure 2). Ainsi, l'espace nécessaire au pivotement du levier principal 30 peut être réduit au minimum entre la poignée 11 du manche 7 et le levier principal 30. Un dispositif peut alors être réalisé avec une petite dimension et un faible poids si bien que les possibilités de manoeuvre sont encore meilleures.

Ensuite, lorsque le bouton-poussoir 53 du mécanisme 50 d'ajustement de position est enfoncé afin que le sous-levier 51 se déplace vers la position arrière voulue, le levier principal 30 reste en position réglée, et la poulie 45 peut se déplacer dans le sens du tirage du câble de commande du papillon des gaz (vers l'arrière). En conséquence, le câble 17 est encore tiré par l'intermédiaire du mécanisme 40 et de la poulie 45, et le papillon des gaz CV est tiré du degré minimal d'ouverture (degré d'ouverture du ralenti) vers un degré d'ouverture plus important, permettant un réglage convenable du degré d'ouverture du papillon des gaz CV.

Il faut noter que le papillon des gaz est tiré par la poulie 45 à l'aide du câble 18 enroulé autour de la poulie 45 si bien qu'il est tiré avec une amplitude double de celle du déplacement de la poulie 45. L'amplitude de manoeuvre du sous-levier 51 du mécanisme 50 et, en d'autres termes, l'amplitude de déplacement de la poulie 45, peuvent donc être réduites d'une manière nécessaire à un ajustement convenable du degré d'ouverture du papillon des gaz CV.

Grâce à cette caractéristique aussi, le dispositif peut être réalisé avec une dimension et un poids réduits.

Il faut en outre noter que, même si les doigts relâchent le sous-levier 51, celui-ci reste immobilisé en position manoeuvrée par coopération de la partie mobile 58 et de la partie fixe 28 qui sont crénelées, si bien que le papillon des gaz CV reste au degré d'ouverture ajusté (degré d'ouverture réglé). Ainsi, les contraintes dans les doigts sont supprimées.

Dans les conditions décrites précédemment dans lesquelles le degré d'ouverture du papillon des gaz CV est ajusté, s'il est nécessaire de réduire immédiatement la vitesse du moteur 10 à la suite d'un accident ou analogue, le levier principal 30 est relâché. Le levier principal 30 et la pièce 41 de levier du mécanisme 40 d'amplification sont tirés en sens inverse au sens précité et reviennent à la position d'origine car le câble 17 est toujours rappelé dans le sens de l'ouverture minimale du papillon des gaz CV.

En conséquence, le câble 17 est ramené dans la position non manoeuvrée et le papillon des gaz CV est ramené au degré d'ouverture précité de ralenti. Le moteur 10 est ainsi mis à l'état de ralenti. Dans le cas d'une machine 1 réalisée afin qu'une force d'entraînement en rotation du moteur 2 soit transmise à la partie de travail 3 qui comprend la lame de coupe 13 et analogue par l'intermédiaire d'un embrayage centrifuge, cet embrayage centrifuge est débrayé pour interrompre la transmission de la force d'entraînement à la partie de travail 3, si bien que le fonctionnement de la partie de travail 3, comprenant la lame de coupe 13 et analogue, est interrompu immédiatement.

Lorsque le levier principal 30 est à nouveau manoeuvré par pivotement afin qu'il se déplace vers la position réglée plus proche de la poignée 11 du manche 7 après avoir été libéré, le jeu du câble 17 est éliminé et le sous-levier 51 du mécanisme 50 est encore immobilisé dans la position antérieure de commande. En conséquence, le papillon des gaz
CV est ramené au degré d'ouverture antérieur à la libération du levier principal 30, sans qu'il soit nécessaire d'ajuster à nouveau le sous-levier 51.

Comme décrit précédemment, dans le dispositif 10 à levier manuel de ce mode de réalisation, le degré d'ouverture du papillon des gaz CV, formant un organe mené, est ajusté par l'intermédiaire du câble 17, et le papillon des gaz CV peut être maintenu au degré voulu d'ouverture et peut aussi être ramené immédiatement au degré minimal d'ouverture (degré d'ouverture de ralenti). De cette manière, la sécurité est élevée et la fatigue des doigts est réduite. En outre, lorsque le papillon des gaz CV doit être mis au degré d'ouverture qu'il occupait avant le retour du papillon des gaz CV au degré d'ouverture de ralenti, un nouvel ajustement n'est pas nécessaire. De plus, la réalisation d'un dispositif dont la dimension et le poids sont réduits, est efficacement obtenue et les possibilités de manoeuvre sont meilleures.

On a décrit l'invention en détail en référence à un mode de réalisation. Cependant, l'invention n'est nullement limitée à celui-ci car diverses modifications peuvent être apportées dans le cadre de l'invention tel que défini dans les revendications.

Par exemple, dans la description qui précède, le dispositif 10 à levier manuel est utilisé pour le réglage du degré d'ouverture du papillon des gaz CV d'un moteur à combustion interne 2. Cependant, il faut noter que le dispositif à levier manuel selon l'invention peut évidemment être utilisé dans d'autres applications que le réglage du degré d'ouverture du papillon des gaz CV.

En outre, le dispositif 10 du levier manuel, tel quel, peut être utilisé par montage sur un manche en U ou analogue et pas seulement sur un manche rectiligne 7.

Comme l'indique la description qui précède, dans le dispositif à levier manuel selon l'invention, les organes mobiles, tels qu'un levier principal, peuvent être retenus de façon convenable dans des organes de carter même lorsque le carter est démonté ou séparé du manche. En conséquence, son montage sur le manche et la maintenance peuvent être réalisés facilement.

Grâce au fait que le carter est monté à demeure sur le manche avec la saillie logée dans la cavité formée dans le manche et l'un des organes de carter respectivement, le carter ne peut pas tourner par rapport au manche et ne peut pas se déplacer dans la direction longitudinale grâce à la coopération de la cavité et de la saillie. Ainsi, les possibilités de manoeuvre sont toujours obtenues de manière stable, un déplacement de l'extrémité avant du câble n'est nullement provoqué, et l'amplitude de tirage du câble reste constante suivant l'amplitude déterminée de manoeuvre du levier principal et du mécanisme d'ajustement de position.

En conséquence, le degré d'ouverture du papillon des gaz CV ou analogue peut être réglé avec précision.

Bien entendu, diverses modifications peuvent être apportées par l'homme de l'art aux dispositifs qui viennent d'être décrits uniquement à titre d'exemple non limitatif sans sortir du cadre de l'invention.

Claims (9)

REVENDICATIONS

1. Dispositif (10) à levier manuel, caractérisé en ce qu'il comprend

un carter (20) destiné à être monté sur un manche (7), et

un levier principal (30) supporté de manière pivotante par le carter (20) et destiné à tirer un câble (17) raccordé à un organe mené (CV),

le carter (20) ayant une structure triple composée d'un premier organe latéral (21), d'un organe intermédiaire (22) et d'un autre organe latéral (23) de carter, le carter (20) étant démonté du manche (7) par séparation de l'autre organe latéral (23) de carter du premier organe latéral de carter (21) et de l'organe intermédiaire de carter (22), le levier principal (30) étant maintenu entre le premier organe latéral (21) et l'organe intermédiaire (22) de carter même lorsque le carter (20) est démonté ou séparé du manche (7).

2. Dispositif (10) à levier manuel, caractérisé en ce qu'il comprend

un carter (20) destiné à être monté sur un manche (7),

un levier principal (30) supporté de manière pivotante par le carter (20) pour le tirage d'un câble (17) raccordé à un organe mené (CV), et

un mécanisme (40) d'amplification d'amplitude de tirage, interposé entre le levier principal (30) et un câble (17) de commande d'organe mené placé dans le carter (20) pour l'amplification de l'amplitude de tirage du câble (17) par le levier principal (30),

le carter (20) ayant une structure triple composée d'un premier organe latéral (21), d'un organe intermédiaire (22) et d'un autre organe latéral (23) de carter, le carter (20) étant démonté du manche (7) par séparation de l'autre organe latéral (23) du premier organe latéral (21) et de l'organe intermédiaire (22) du carter, le levier principal (30) et le mécanisme (40) d'amplification d'amplitude de tirage étant maintenus entre le premier organe latéral (21) et l'organe intermédiaire (22) du carter même lorsque le carter (20) est démonté ou séparé du manche (7).

3. Dispositif à levier manuel selon l'une des revendications 1 et 2, caractérisé en ce que le levier principal (30) est raccordé par un organe (45) d'enroulement de câble au câble (17) de commande qui est raccordé à l'organe mené (CV), et le dispositif (10) à levier manuel a un mécanisme (50) d'ajustement de position destiné à maintenir l'organe (45) d'enroulement de câble en position voulue, l'organe (45) d'enroulement de câble et le mécanisme (50) d'ajustement de position étant maintenus entre le premier organe latéral (21) et l'organe intermédiaire (22) du carter même lorsque le carter (20) est démonté ou séparé du manche (7).

4. Dispositif à levier manuel selon l'une quelconque des revendications 1 à 3, caractérisé en ce que le manche (7) ou le carter (20) possède une cavité (9), et le carter (20) ou le manche (7) respectivement possède une saillie (29) destinée à se loger dans la cavité (9).

5. Dispositif à levier manuel selon la revendication 4, caractérisé en ce que le manche (7) est tubulaire et a un trou borgne formant la cavité (9), et l'organe intermédiaire (22) de carter possède une saillie (29) destinée à se loger dans la cavité (9).

6. Dispositif à levier manuel selon l'une quelconque des revendications 2 à 5, caractérisé en ce que le mécanisme (40) d'amplification de l'amplitude de tirage comporte une pièce de levier (41).

7. Dispositif à levier manuel selon l'une quelconque des revendications 3 à 6, caractérisé en ce que le mécanisme (50) d'ajustement de position possède un sous-levier (51), et l'organe (45) d'enroulement de câble est décalé par rapport à l'axe de pivotement (O) du sous-levier (51).

8. Dispositif à levier manuel selon l'une quelconque des revendications 3 à 7, caractérisé en ce que l'organe (45) d'enroulement de câble est une poulie.

9. Dispositif à levier manuel selon l'une quelconque des revendications 1 à 8, caractérisé en ce que l'organe mené est un papillon des gaz (CV) d'un moteur à combustion interne (2)