FR2666794A1 - Dispositif elevateur pour vehicules automobiles. - Google Patents

Abstract

Il comporte en combinaison une colonne verticale (1) dont la base est solidaire d'un socle horizontal solidarisé au sol; un chariot (4) apte à se déplacer en translation verticale le long de la colonne (1), et formé d'un manchon de section sensiblement carrée constitué de deux flasques latéraux (41, 42), d'une plaque avant (40) sous laquelle est soudée une traverse horizontale (45) et de trois traverses horizontales superposées (46, 47, 48) disposées à l'arrière; une plateforme élévatrice (6) solidaire du chariot (4), constituée d'une part de deux poutrelles à larges ailes (60, 61) soudées à la base du chariot (4) et d'autre part de deux plaques de tôle (62, 63) soudées transversalement aux poutrelles (90, 61) et prolongées à leurs extrémités par quatre rampes (621, 622, 631, 632); quatre semelles (64, 65, 66, 67) mobiles en translation et en rotation le long des plaques (62, 63) et munies à leur extrémité d'une tête porteuse (64', 65', 66', 67') pour le maintien du véhicule; et un dispositif anti-basculement constitué de quatre bras télescopiques (72) montés pivotants sur les poutrelles (60, 61) et à l'extrémité desquels est fixée une tête de soutien (73) associée à un ressort tronconique, montée sur une tige filetée coulissant dans un perçage ménagé à l'extrémité du bras (72).

Description

a présente invention a pour objet un dispositif élévateur pour véhicules automobiles, notamment en cours de réparation, mettant en oeuvre une seule colonne d'élévation dont la structure mécano-soudée utilise tels quels, sans usinage, les profilés de la sidérurgie.

On connaît déjà des dispositifs élévateurs de véhicules automobiles utilisant quatre colonnes, mais ces dispositifs présentent le double inconvénient d'occuper au sol une surface importante et de comporter des câbles demandant des vérifications fréquentes. C'est pourquoi ils ont été en grande partie remplacés par des élévateurs à deux colonnes portant chacune deux bras télescopiques et mobiles.

Toutefois ces dispositifs présentent à leur tour des inconvénients qui ont trait à leur utilisation, et plus particulièrement au fait qu'ils ne permettent pas d'effectuer les travaux auxquels ils sont destinés dans de parfaites conditions de sécurité pour l'utilisateur. En effet, le démontage d'organes tels que moteur, bote de vitesses ou tout autre organe de poids important, entraîne un déplacement du centre de gravité du véhicule et peut aboutir à son basculement, en sorte que la réalisation de ces travaux est à proscrire avec ce type d'élévateur.

La présente invention a pour but de proposer un dispositif présentant les avantages des élévateurs à deux colonnes, à savoir prix réduit et faible occupation au sol, sans les inconvénients précités.

La présente invention a ainsi pour objet un dispositif élévateur de véhicules automobiles qui se caractérise essentiellement en ce qu'il comporte une seule colonne d'élévation dont la structure mécano-soudée utilise les profilés de la sidérurgie, en ce qu'il est muni de moyens interdisant le basculement du véhicule, quels que soient les travaux exécutés, lesdits moyens convenant à tous les types de véhicules, qu'ils soient récents ou anciens, en bon état ou accidentés.

Le dispositif élévateur selon l'invention comprend une colonne verticale de section carrée ou rectangulaire, utilisée telle quelle sans usinage, solidaire d'un socle auquel elle est soudée, constitué de deux tubes de section rectangulaire posés en superstructure, perpendiculairement à la colonne verticale et l'encadrant au niveau de leurs extrémités arrière, une barre d'acier plate posée sur le chant étant soudée à la base de la face arrière de la colonne et aux extrémités postérieures des deux tubes , lesquels sont fixés au sol par l'intermédiaire de quatre semelles soudées sous les extrémités de ladite barre et sous chacune des extrémités des deux tubes, servant à la fixation au sol du dispositif.

Un manchon entourant la colonne peut se déplacer le long de celle-ci par des moyens de roulement ou de coulissement.

Ce manchon, de section sensiblement carrée, ou rectangulaire, selon la colonne, est constitué latéralement de deux flasques et à l'avant d'une plaque, la quatrième face étant composée de trois traverses horizontales, dont deux superposées soudées à l'intérieur des flasques à leur partie supérieure, et la troisième soudée à leur base base et débordant de chaque côté.

La plaque avant du manchon comporte à sa base une traverse soudée horizontalement et débordant de chaque côté, des tirants la reliant de chaque côté au flasque correspondant.

Sous cette traverse horizontale, de chaque côté du manchon, sont soudées, à une certaine distance, au moyen de deux plaques de liaison, deux poutrelles à larges ailes, soudées également par leur extrémité arrière à la plus basse des trois traverses constituant la face arrière dudit manchon, et s'étendant vers l'avant pour constituer la plateforme de support du véhicule.

Sur ces deux poutrelles sont soudées transversalement deux plaques de tôles qui constituent les chemins de roulement de mise en place du véhicule, et le long desquelles peuvent se déplacer des semelles pivotantes et coulissantes qui servent au soutien du véhicule.

A cet effet, la plaque la plus éloignée de la colonne est munie d'une rainure longitudinale, renforcée par deux barres parallèles en acier, dans laquelle peuvent se déplacer les axes de pivotement de deux semelles, deux autres semelles ayant leur axe de pivotement coulissant dans une rainure formée par deux barres d'acier plat soudées sous la traverse horizontale proche de la plaque avant du manchon.

Ces quatre semelles sont munies de têtes porteuses pouvant s'adapter à la configuration du dessous du véhicule.

Ces têtes porteuses sont composées d'une bague-écrou emboîtée dans un alésage pratiqué à l'extrémité des semelles, dans laquelle se visse une tige filetée dont le sommet est soudé sur ne rondelle munie d'une matière anti-dérapante.

Un dispositif anti-basculement est d'autre part monté sur la plateforme, consistant en quatre bras télescopiques pivotant dans un plan horizontal, fixés sur les poutrelles de la plateforme entre les rampes d'accès aux chemins de roulement, chacun de ces bras étant muni à son extrémité libre d'une tête vissée sur une tige filetée traversant verticalement le bras et pouvant y coulisser librement, associée à un ressort tronconique placé autour de ladite tige entre le bras et une butée placée endessous de la tête, ce ressort permettant de maintenir avec efficacité le contact entre la tête et le soubassement du véhicule.

A cet effet un écrou est monté sur la tige filetée, étant solidaire d'une bague tronconique qui entoure le ressort et qui, lors de la mise en place du dispositif sous le véhicule, doit être amenée au contact du bras télescopique, par vissage de l'écrou.

Le guidage du manchon sur la colonne est assuré sur chaque côté par deux rouleaux d'axes horizontaux montés à chaque extrémité d'un fer en U positionné verticalement entre la colonne et le manchon et maintenu au moyen d'un axe vissé dans le flasque et traversant le fer en U en son centre. Pour que les rouleaux s'appliquent bien sur la surface de la colonne, deux pions sont placés dans le flasque contre le fer en U en regard des rouleaux, les pions étant remplacés pour les autres rouleaux par deux vis à bout sphérique et contre écrou que l'on peut serrer à volonté dans le flasque pour régler le guidage latéral, ce système permettant de déposer si nécessaire les fers en U en dévissant les axes.

Le guidage avant et arrière est assuré par deux séries de galets , une montée à l'arrière et en haut entre les deux traverses les plus hautes constituant la face arrière du manchon, l'autre à l'avant et sous la traverse horizontale.

Les galets supérieurs sont montés sur un axe fixe horizontal, alors que les galets inférieurs sont montés sur un axe oscillant horizontal lui-même monté sur un axe vertical fixé sous la traverse horizontale.

Ces galets sont dits "guidés", les axes des bagues intérieure et extérieure étant maintenus pour chacun dans un même plan horizontal orthogonal avec la surface de roulement du galet sur la colonne. Ce résultat est obtenu à l'aide d' une plaque horizontale qui, parallèle à l'axe de roulement, est léchée par les génératrices de la surface cylindrique du galet.

Le chariot ainsi constitué est mu par un vérin hydraulique simple effet avec piston plongeur, d'axe longitudinal sensiblement parallèle à la colonne et placé en retrait de la face avant du chariot, l'extrémité de la tige s'appliquant sur le socle.

Les caractéristiques et les avantages de la présente invention ressortiront plus clairement de la description qui suit et qui se rapporte au dessin annexé, lequel en représente un mode de réalisation non limitatif.

Dans le dessin annexé
- la figure 1 représente une vue en perspective d'un dispositif élévateur selon l'invention.

- la figure 2 représente une vue de face de ce même dispositif
- la figure 3 représente ce même dispositif en vue de profil
- la figure 4 représente une vue en plan de ce même dispositif
- la figure 5 représente une vue en coupe latérale du chariot élévateur
- la figure 6 représente une vue en plan et en coupe de ce même chariot ;
- la figure 7a représente une vue en plan du guidage latéral du chariot élévateur ;
- la figure 7b représente une vue de profil et en coupe de ce même guidage latéral ;
- la figure 7c représente une vue en coupe selon l'axe
XX de la figure 7b
- la figure 8 représente à plus grande échelle le bras téléscopique du dispositif anti-basculement.

Si on se réfère aux figures 1, 2 et 3 on voit que le dispositif élévateur selon l'invention comporte une colonne 1 de section carrée dont la base est encastrée et soudée entre deux tubes 2 et 3 de section rectangulaire et une barre plate 20 posée sur chant elle-même soudée aux tubes 2 et 3.

La barre 20 et les tubes 2 et 3 sont solidarisés au sol par l'intermédiaire de semelles 21, 22, 31, 32 soudées à leurs extrémités et ancrées dans le sol par des goujons (non représentés).

Sur cette colonne peut coulisser un chariot 4, comportant latéralement deux flasques 41 et 42, à l'arrière entre les deux flasques trois traverses horizontales superposées, respectivement de haut en bas 46, 47, 48, et à l'avant une plaque 40 sous laquelle est soudée une traverse 45 reliée aux flasques 41 et 42 par deux tirants, respectivement 43 et 44.

Une plateforme 6 s'étend en avant du chariot 4, constituée de deux poutrelles parallèles horizontales 60, 61 passant de chaque côté dudit chariot 4, fixées par soudage, à une certaine distance de la traverse 45, à deux plaques de liaison 68 dont l'extrémité arrière est soudée à la traverse 48.

Sur ces poutrelles 60 et 61 sont soudées transversalement deux plaques de tôle 62 et 63 servant de chemin de roulement au véhicule, prolongées à leurs extrémités par quatre rampes 621, 622, 631, 632 et supportant quatre semelles 64, 65, 66, 67 coulissantes et pivotantes munies à leur extrémité libre de têtes porteuses, respectivement 64', 65', 66', 67', dont l'extrémité est garnie de matière anti-dérapante. Sur les poutrelles 60 et 61 sont d'autre part fixés quatre bras télescopiques 72 munis d'une tête élastique 73, qui sont décrits en détail à l'appui de la figure 8.

Le chariot 4 est mû par un vérin hydraulique 7 d'axe sensiblement parallèle à la colonne 1, fixé au chariot 4, traversant le tirant 43, et dont l'extrémité de la tige est en appui sur le tube 2 du socle, étant guidée par une bague crapaudine 7'.

Si on se réfère à la figure 4 on voit que les semelles 66 et 67 peuvent pivoter et coulisser dans une rainure ménagée dans la plaque avant 63 et renforcée par deux barres plates 80 et 81 en acier au moyen d'un axe vertical 82, respectivement 83 les traversant à l'opposé du point de fixation de la tête porteuse 66', 67'. I1 en est de même pour les semelles 64 et 65, qui peuvent pivoter et coulisser entre des barres 84 et 85 par l'intermédiaire d'axes 86 et 87, à cette différence que les semelles 64 et 65 sont également emboîtées sous la traverse 45 qui assure l'effort de résistance et à laquelle sont soudées les barres 84 et 85 formant la rainure dans laquelle coulissent les semelles 64 et 65, à proximité de la plaque arrière 62.

Les quatre têtes porteuses 64', 65', 66', 67' définissent le polygone de sustentation du véhicule sur l'élévateur. En effet le logement des roues dans l'ensemble châssis-carosserie limite la longueur de ce polygone de sustentation à environ 1,80 m. Une des particularités du dispositif élévateur selon l'invention consiste à établir des points d'appui supplémentaires en direction de l'avant ou de l'arrière du véhicule. Ces points d'appui peuvent s'installer rapidement et ne gênent pas l'exécution des travaux à effectuer sur le véhicule, et ils peuvent en outre s'escamoter en vue d'éviter des difficultés lors de la mise en place du véhicule sur le platef orme élévatrice.

Si on se réfère maintenant aux figures 5 et 6 on voit que le chariot 4 est guidé sur la colonne 1 d'une part latéralement par des galets 9 montés autour d'axes 91 fixés dans un fer en U 90, l'ensemble étant inséré entre la colonne 1 et les flasques latéraux 41 et 42, d'autre part à l'arrière et en position haute par des galets 92 portés chacun par un roulement à rotule à deux rangées de rouleaux, montés sur un axe fixe 93 et guidés par une plaque 47' fixée sur la traverse 47, et enfin à l'avant et en position basse par des galets 94 portés également par un roulement à rotule à deux rangées de rouleaux mais montés sur un axe oscillant 95, lui-même monté sur un axe vertical 49 fixé à la traverse 45, les galets 94 étant guidés par une plaque 96.

Si on se réfère ensuite aux figures 7a, 7b et 7c, on voit que la fixation du fer en U 90 dans un flasque est effectuée au moyen d'un axe 97 vissé dans le flasque, et que le réglage d'appui des galets 9 sur la colonne 1 se fait au moyen de deux vis 98 et de deux contre-écrous 98' et de deux pions 99 servant de butées sur le flasque 41 (ces deux derniers visibles sur la figure 6).

On voit également que le fer en U 90 est placé le plus près possible verticalement le long de la plaque 40 de manière à ce que les axes 91 des galets 9 servent d'appui contre celle-ci pour assurer la parfaite verticalité dudit fer en U 90.

Si on se réfère enfin à la figure 8, on voit que la tête de soutien 73 munie d'une garniture 75 est vissée sur une tige filetée 76 coulissant librement dans un perçage 72' ménagé à l'extrémité du bras 72 et munie de deux écrous dont l'un, 77, est soudé à la tête 73 qu'il permet de séparer si nécessaire de la tige 76 et l'autre, 78, sert à la mise en place du dipositif sous le véhicule, étant soudé à une barrette 79 à laquelle est soudée une bague tronconique 74' qui entoure un ressort tronconique 74, lequel vient par son extrémité inférieure en appui contre le bras télescopique 72, l'ensemble ainsi formé constituant une tête élastique.

La mise en place de chaque bras télescopique 72 se fait de la façon suivante : le véhicule ayant été levé par les quatre têtes porteuses 64', 65', 66' et 67', on introduit dans le perçage 72' du bras 72 la tige filetée 76 munie d'une tête de soutien 73.

Après avoir règlé l'allongement du bras 72 et sa disposition angulaire, on place la tête élastique 73 dans une position favorable pour qu'elle puisse exercer une poussée verticale dirigée de bas en haut puis on visse l'écrou 78 à l'aide de la barrette 79 en comprimant le ressort 74, la tête 73 venant alors en contact avec le soubassement du véhicule à l'emplacement choisi. On arrête le vissage de l'écrou 78 lorsque la bague 74' entourant le ressort 74 arrive au contact du bras télescopique 72, puls on bloque ce dernier en position en vissant l'écrou 83 disposé sur son axe de rotation 81, ledit écrou 83 étant associé à une vis 82.

Les bras télescopiques du dispositif anti-basculement selon l'invention, ainsi que leurs chappes d'articulation et leurs bagues coniques sont conçus de manière à pouvoir supporter les contraintes les plus importantes susceptibles de s'exercer en dehors des têtes porteuses, en cas de déséquilibre du véhicule.

I1 va de soi que la présente invention ne saurait être limitée à la description qui précède d'un de ses modes de réalisation, susceptible de subir un certain nombre de modifications sans pour autant sortir du cadre de l'invention. En particulier quatre chemins de roulement peuvent être fixés au sol dans le prolongement des tôles constituant les chemins de roulement de la plateforme afin de faciliter l'accès de cette dernière aux véhicules à faible garde au sol.

Claims (5)

1. REVENDICATIONS

   - une plate-forme élévatrice (6) solidaire du chariot (4), constituée d'une part de deux poutrelles à larges ailes (60, 61) soudées au moyen de deux plaques de liaison (68) à la plus basse (48) des trois traverses (46, 47, 48) qui forment la face arrière du chariot (4), et d'autre part de deux plaques de tôle (62, 63) soudées transversalement aux poutrelles (60, 61) et prolongées à leurs extrémités par quatre rampes (621, 622, 631, 632) de manière à constituer le chemin de roulement des véhicules.

   - un chariot (4) apte à se déplacer en translation verticale le long de la colonne (1), ce chariot (4) étant formé d'un manchon de section sensiblement carrée constitué de deux flasques latéraux (41, 42), d'une plaque avant (40) sous laquelle est soudée une traverse horizontale (45) et de trois traverses horizontales superposées (46, 47, 48) disposées à l'arrière, ledit chariot (4) étant mû par un vérin hydraulique (7) dont l'axe est sensiblement parallèle à la colonne (1) et dont l'extrémité de la tige vient en appui sur le tube (2) du socle

   - une colonne verticale (1) de section carrée ou rectangulaire dont la base est solidaire d'un socle horizontal formé de deux tubes (2, 3) posés en super structure et solidarisés au sol par l'intermédiaire de quatre semelles (21, 22, 31, 32) soudées à leurs extrémités, et d'une barre plate (20) posée sur le chant et soudée à la base de la colonne (1) ainsi qu'aux extrémités arrière des tubes (2, 3)

   Dispositif élévateur pour véhicules automobiles, notamment en cours de réparation, caractérisé en ce qu'il comporte en combinaison
2. 2) Dispositif élévateur selon la revendication 1, caractérisé en ce que le guidage du manchon (4) sur la colonne (1) est assuré, d'une part sur chaque côté par deux rouleaux (9) montés sur des axes horizontaux (91) fixés à un fer en U (90) vertical inséré entre la colonne (1) et chaque flasque latéral (41, 42), auquel il est solidarisé par vissage en son centre d'autre part à l'arrière et en position haute par des galets (92) portés chacun par un roulement à rotule à deux rangées de rouleaux, montés sur un axe fixe horizontal (93) et guidés par une plaque (47') fixée sur la traverse (47) ; et enfin à l'avant et en position basse par des galets (94) portés également par un ruulement à rotule à deux rangées de rouleaux mais montés sur un axe oscillant horizontal (95), lui-même monté sur un axe vertical (49) fixé à la traverse (45), les galets (94) étant guidés par une plaque (96).
3. 3) Dispositif selon la revendication 2, caractérisé en ce que l'appui des rouleaux (9) sur la colonne (1) est assuré à une extrémité de chaque fer en U (90) par un pion (99) et à l'autre extrémité par une vis (98) associée à un contre-écrou (98').
4. 4) Dispositif selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que le long des plaques de tôle (62, 63) formant le chemin de roulement peuvent se déplacer en translation et en rotation quatre semelles (64, 65, 66, 67) munies à leur extrémité libre d'une tête porteuse (64', 65', 66', 67') destinée au maintien du véhicule.
5. 5) Dispositif selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce qu'il comporte en outre un dispositif anti-basculement constitué de quatre bras télescopiques (72) montés pivotants sur les poutrelles (60, 61), entre les rampes d'accès (621, 622, 631, 632), et à l'extrémité de chacun desquels est fixée une tête de soutien (73) associée à un ressort tronconique (74), chaque tête (73) étant montée sur une tige filetée (76) coulissant dans un perçage 72' ménagé à l'extrémité du bras (72) et munie de deux écrous dont l'un (77) est soudé à la tête (73) et l'autre (78) sert à la mise en place du dispositif sous le véhicule, étant soudé à une barrette (79) à laquelle est soudée une bague tronconique (74') qui entoure le ressort (74), lequel vient par son extrémité inférieure en appui contre le bras télescopique (72).