FR2617380A1 - Chaussure comportant un dispositif de reglage de l'inclinaison de l'axe d'articulation de la tige sur la coque - Google Patents

Abstract

La chaussure comprend une tige 3 articulée 5 sur une coque 1 autour d'un axe transversal 5' matérialisé par des pièces d'articulation 5, de part et d'autre reliées entre elles par un étrier 6. Les pièces d'articulation 5 fixes par rapport à la tige 3 peuvent se déplacer 52 approximativement verticalement par rapport à la coque 1 et être arrêtées en position. L'étrier 6 est disposé dans la partie supérieure de la coque 1 et entoure le dessus du cou-de-pied du porteur, ce qui répartit les contraintes d'appui de la tige 3 sur la coque 1 dans la zone du cou-de-pied. Utilisation en particulier pour chaussures de ski, alpinisme, randonnée.

Description

I

La présente invention est relative aux chaussures compor-

tant en partie inférieure une coque rigide solidaire d'une semelle et sur laquelle, en partie supérieure, est montée une tige articulée autour d'un axe géométrique transversal joignant les deux côtés de la coque. Ce genre de chaussures est utilisé en particulier pour la pratique du ski, de l'alpinisme, de la randonnée. Pour adapter la forme de la chaussure à la

morphologie notamment au niveau du pied et de la cheville, propre à l'ana-

tomie de chaque porteur, et pour que celui-ci soit au cours de ses évolu-

tions dans des conditions d'équilibre optimales, des dispositifs ont déjà été proposés, non seulement pour varier l'inclinaison de la tige, donc du

bas de la jambe du porteur, par rapport à la coque, autour de l'axe trans-

versal, mais aussi pour varier l'inclinaison de cet axe transversal autour

d'un axe géométrique, matérialisé ou non par des points fixes, de direc-

tion longitudinale par rapport à la chaussure. C'est le cas notamment du

dispositif de réglage exposé dans la demande de brevet FR 2 433 311.

Selon l'enseignement dispensé par ce document, les extré-

mités de l'axe transversal d'articulation du bas de tige sur la coque peuvent être déplacées chacune le long d'un moyen de guidage de sorte que l'axe transversal subisse une rotation autour d'un axe longitudinal par rapport à la chaussure et ensuite bloquées dans la position, le bon réglage obtenu. Les deux parties d'extrémité de l'axe transversal sont déplaçables et immobilisables le long de deux lumières ménagées sur les

côtés opposés de la coque.

Deux moyens généraux différents pour assurer le réglage

en position et l'immobilisation dans cette position y sont proposés.

Dans le premier, une partie au moins d'extrémité de l'axe transversal est solidaire d'une lame crantée, déplaçable, et pouvant être arrêtée en position le long des crans d'un profil conjugué porté par une plaquette solidarisée de la coque présentant les lumières. Dans le second, qui peut

d'ailleurs être combiné au premier, c'est un système vis-écrou de direc-

tion parallèle à la lumière correspondante qui est utilisé, la vis étant fixe en translation par rapport à la partie d'axe et mobile par rapport à

la coque relativement à laquelle l'écrou est fixe ou réciproquement.

Quant au résultat obtenu, ces moyens connus donnent tout-à-fait satisfaction. Cependant, ils- restent d'une mise en oeuvre encore relativement longue et délicate. En effet, pour régler correctement la position et l'inclinaison de l'axe d'articulation transversal, il est -2nécessaire de déplacer vers le haut une extrémité d'axe le long de sa lumière, et de déplacer vers le bas l'autre extrémité dans-la lumière correspondante. Il y a donc deux opérations de-réglage qui doivent se faire séparément et indépendamment l'une de l'autre, et il est d'autre part souvent nécessaire de faire un premier réglage de-position relativement grossier de chaque côté et de le parfaire ensuite par un réglage fin au moins d'un côté, ce que le porteur souhaite évidemment éviter, et

se dispense parfois de faire au détriment de son propre confort.

On a cherché à supprimer ces inconvénients en proposant

des dispositifs de réglage d'inclinaison de-l'axe transversal autour d'une.

direction longitudinale,edéplaçant approximativement verticalement en

sens opposés les deux extrémités de l'axe transversal par une seule opé-

ration et par ailleurs, en garantissant néanmoins une tenue optimale de la tige sur le bas de coque quelle que soit la position de réglage de cette tige sur le bas de coque, et ce, en employant un seul moyen de

manoeuvre et de blocage en position de réglage.

Ainsi, les brevets FR 2 536 966, FR 2 545 020 et la demande EP O 171 384 décrivent des chaussures dans lesquelles les deux extrémités de l'axetransversal, c'est-à-dire les points d'articulation de la tige sur la coque sont reliées par une pièce en forme d'étrier souple entourant dans un plan transversal la partie inférieure du pied du porteur dans la zone de l'appui plantaire jusqu'à la hauteur des malléoles

o se trouvent les articulations de la tige sur la coque. L' moyén.

- e mahoeuvre E;t de blocage en position de réglage de l'étrier est disposé dans l'épaisseur de la semelle de la chaussure. Dans les brevets FR 2 536 966 et FR 2 545 701, l'étrier est disposé entre la paroi extérieure du bas-:de coque et la paroi intérieure de la tige. Dans la demande EP 0 171

384, l'étrier est disposé à l'intérieur même du bas de coque de la chaussu-

re avec lequel coopère une pièce intermédiaire de guidage de l'étrier.

Si ces dispositions permettent le déplacement simultané

des points d'articulation de la tige sur la cogue qui déf nissent'l'axe -

transversal, elles restenE dff'cilement accessibles au skieur lorsque la chaussure est montée sur le ski du fait de leurs aménagements-situés dans l'intérieur de la semelle. Par ailleurs, elles concentrent les efforts latéraux entrer la tige et la coque pour un bon appui dans des zones très restreintes o les contraintes peuvent atteindre des valeurs par trop importantes, voire critiques. Conservant la solution d'un étrier reliant les extrémités de l'axe transversal, la présente invention vise à éviter

ces inconvénients.

-3- Les caractéristiques de l'invention telle que définie à la

revendication 1 et ses avantages apparaitront à la lumière de la descrip-

tion qui-suit et pour l'intelligence de laquelle on se référera aux dessins, dont: - la figure 1 montre en coupe longitudinale (sauf pour l'étrier) une chaussure à entrée avant comportant un dispositif selon l'invention, - la figure 2 est une coupe selon le plan II-II de la figure 1, la chaussure étant en position d'inclinaison de l'axe transversal vers la droite, la manoeuvre et le blocage se faisant au moyen d'un dispositif à excentrique,

- la figure 3 est similaire à-la figure 2, mais en position extrême.

d'inclinaison vers la gauche, - la figure 4 montre le détail d'un dispositif de manoeuvre et blocage

par vis-écrou, -

- la figure 5 est une coupe correspondant au plan II-II de la figure 1 mais avec un autre dispositif de manoeuvre et de blocage de réglage, ia rigure la montrant un détail d'aménagements correspondants sur la tige et la coque de la chaussure, - les figures 6 et 7 sont des vues en coupe correspondant au plan II-II de la figure 1, montrant d'autres modes de réalisation de dispositifs du réglage de l'inclinaison de la tige, les figures 6a et 7a représéntant des détails agrandis, - la figure 8 est similaire à la figure 1 mais-illustre l'utilisation d'un

dispositif selon l'invention dans une chaussure du type à entrée arrière.

La chaussure représentée aux figures 1 à 5- compprte de façon connue une coque rigidel 1, par exemple moulée, porteuse d'une semelle 2, et une partie supérieure ou tige 3-constituée d'une seule pièce s'ouvrant vers l'.avant et pourvue de moyens de fermeture usuels 4. La tige 3 est articulée par rapport à la-coque 1 autour.d'un axe.transversal 5' matérialisé par deux parties d'extrémité 5 traversant de chaque côté la coque 1 et la tige 3 et fixes en translation le long de la direction de l'axe 5'. " Selon l'invention, la chaussure comporte un étrier 6 en forme de lame métallique ou plastique relativement souple, situé dans la partie -'- supérieure du bas de coque 1 de la chaussure et entourant le dessus du cou-de-pied du porteur. Les extrémités d'axe 5 ou-pièces d'articulation de la tige 3 sur la coque 1 sont rendues solidaires des extrémités de l'étrier 6. Par cette disposition, la partie supérieure du bas de coque 1 depuis les articulations 5, est prise en sandwich entre l'étrier 6 et - 4 - la partie inférieure de la tige 3, ce qui répartit sur toute cette zone

les efforts d'appui du bas de la tige 3 sur la coque 1.

Dans le mode d'exécution de l'invention représenté aux figures

1 à 3, les pièces d'articulation 5 de la tige 3 sur la coque 1 sont cons-

tituées d'une part (côté gauche aux figures 2 et 3) par un dispositif à excentrique qui peut par exemple être d'un type de construction connu en soi,et d'autre part, (côté droit) par une articulation classique dont l'axe fixe par rapport à la tige-3 est susceptible de se déplacer dans une lumière approximativement verticale 52 ménagée dans le bas de coque. La lO manoeuvre de l'excentrique 51 déplace de son côté l'articulation de la tige 3 par rapport au bas de coque l, ce déplacement étant transmis en sens inverse par l'étrier 6 à l'articulation opposée 5, celle-ci suivant la lumière 52 du bas de coque 1. Les figures 2 et 3 illustrent respectivement les positions d'inclinaison extrêmes de l'axe 5' dans un sens ou l'autre

et par suite de l'axe moyen de la tige 3.

A la figure 4, est illustré un autre dispositif de manoeuvre de l'étrier 6 selon l'invention. Il est du type à vis et écrou connu dans

les dispositifs sans étrier ou à étrier traversant la semelle, aussi n'est-

il pas utile de le décrire davantage.

Dans le mode d'exécution représenté à la figure 5, les articu-

lations 5 sont identiques, du type rivet assujetti à la tige 3 et à l'étrier 6 et susceptibles de se.déplacer verticalement dans une lumière 52 ménagée dans le bas de coque 1.' En partie suoérieure, l'étrier 6 est assujetti à une vis 7 qui traverse le bas de coque 1 dans une lumière 8 transversale horizontale et la tige 3 sans jeu autre qu'axial. La vis 7

coopère avec un écrou 9 s'appuyant sur la tige 3 sur le dessus du cou-de-

pied. Après desserrage de l'écrou 9, l'ensemble constitué par l'écrou 9, la vis 7, la tige 3 et l'étrier 6 peut basculer dans un sens ou l'autre par rapport au bas de coque 1, les articulations 5 et la vis 7 se déplaçant dans les lumières correspondantes 52, 8. La position recherchée ayant été obtenue, l'écrou 9 est alors resserré pour fixer cette position, le bas de

coque 1 se trouvant-pincé,positivement entre l'étrier 6 et la tige 3.

Dans ce mode d'exécution du dispositif de manoeuvre de l'étrier 6, la flexion éventuelle de la tige 3 par rapport au bas de coque l, dans le sens avant et/ou arrière, est empêchée par la vis 7 qui est guidée dans la lumière 8 s'étendant transversalement au sens de la flexion. Par contre, il est envisageable de permettre le déplacement relatif de la tige 3 par rapport au bas de coque 1 avec un tel dispositif de manoeuvre; en effet,

(figure 5a) il suffit de réaliser une lumière 10 dans la tige 3 à l'en-

, - J- 1 - A7.4 'n.rf 1p lumière dans le sens du - 5--

déplacement avant-arrière de la tige 3.

Dans les modes d'exécution des dispositifs de réglage et de manoeuvre venant d'être décrits en référence aux figures 1 à 5, L'étrier 6 est toujours directement relié à l'un des éléments constitutifs desdits dispositifs tel que l'excentrique 51, l'axe vis-écrou 5, et la vis 7. Cependant, sans sortir pour cela du cadre de l'invention, l'étrier 6 peut

aussi être assujetti en position par rapport au bas de coque i par l'inter-

médiaire de la tige 3. Celle-ci est alors reliée à cet étrier 6 au niveau des axes d'articulation 5 tandis que les dispositifs de manoeuvre peuvent

être situés au niveau de la tige et du bas-de coque pour interagir essen--

tiellement entre eux. Les figures 6 et 7 représentent deux exemples de construction de ce type. Dans la figure 6, le dispositif de réglage 20 comporte une vis sans fin 22, portée par la tige 3, qui coopère avec des moyens de positionnemenlttels que des dents 21' se présentant sous la forme d'une crémaillère obtenue sur le bas de coque 1. Le dispositif de réglage s'étend transversalement à l'axe médian longitudinal du bas de coque 1 approximativement dans la zone du cou-de-pied. Comme on l'a vu précédemment,

l'étrier 6 est relié à la tige 3 par l'intermédiaire des axes d'articula-

tions 5 qui sont susceptibles de se déplacer dans les lumières 52 ménagées

dans le bas de coque 1.

Le dispositif de réglage et de manoeuvre 20 qui vient d'être décrit en référence à la figure 6 est adapté à une chaussure dans laquelle les moyens de contrôle de la flexion de la tige 3 dans le sens avant et/ou arrière par rappoit au bas de coque 1 sont situés dans la. zone supérieure du cou-de-pied, entre le dispositif de réglage et l.a partie de tige 3 qui entoure le bas oe jambe du skieur. Toutefois, tel que représenté en figure

6a, le dispositif de réglage 20 peut être adapté pour autoriser le dépla-

cement relatif de la tige 3 dans le sens avant et/ou arrière par rapport au bas de coque 1. A cet effet, les moyens de positionnement 21 qui forment la crémaillère sont constitués par un coulisseau guidé en translation sur

le bas de coque 1 dans une glissière correspondante 23.

En référence à la figure 7, l'étrier 6 est relié à la tige 3 de la même manière qu'en figure 6. Par contre, le dispositif de réglage 30 comporte, dans ce cas de.construction, un levier cranté 32 monté pivotant

sur la tige 3 et des moyens de positionnement 31 constitués par une plura-

lité de crantages réalisés sur le bas de coque 1 en correspondance avec les crans du levier 32; une ouverture 34 est réalisée dans la tige 3 pour autoriser la coopération du levier cranté 32 avec les dents 31 portées par le bas de coque 1. Des moyens de retenue en position verrouillée du levier -6-

manoeuvre du levier; ces moyens de retenue sont, dans cet exemple, cons-

titués par des poussoirs escamotables 35, assujettis à l'action d'un ressort 36, lesquels poussoirs coopbrent avec des logements 37 obtenue sur la tige 3 pour la position verrouillée du levier 32. Dans cet exemple de construction du dispositif, la flexion de la tige"3 par rapport au bas de coque 1 est aisément envisageable; en effet, il suffit que les dents 31 portées par le bas de coque 1 soient orientées sensiblement dans le sens du déplacement avant-artrière de la tige 3 et s'étendent sur une longueur au moins supérieure à celle du déplacement relatif de l tige 3 par rapport au bas de coque 1. Bien entendu, les dents 31 peuvent aussi être obtenues sur un élément constituant un-coulisseau, lequel est alors prévu guidé sur le bas de coque 1 dans une glissière correspondante, orientée dans le sens du

déplacement relatif de la. tige 3, c'est-à-dire avant et/ou arrière.

Comme on peut le voir à la figure 8, qui montre une chaussure du type à entrée arrière, tout ce qui vient d'être dit pour une chaussure à entrée avant comme celle de la figure 1, est transposable -directement à

une chaussure à entrée arrière.

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REV E N D I C A T I ONS

1.- Chaussure comprenant une tige (3) articulée sur une coque (1) autour d'un axe transversal (5') matérialisé de chaque côté de la chaussure par une pièce d'articulation (5) fixe par rapport à la tige (3) mais susceptible d'être réglée en position approximativement verticalement par rapport au bas de coque (1), ces pièces d'articulation (5) étant reliées entre elles par un étrier (6), caractérisée par le fait que l'étrier (6) est disposé à l'intérieur et dans la partie

supérieure du bas de coque (1) de manière à entourer le dessus du cou-de-

pied du porteur.

2.- Chaussure selon la revendication 1, caractérisée par le

fait que l'étrier (6) est constitué par une lame souple.

3.- Chaussure selon la revendication 1 ou la revendication 2, caractérisée par le fait que l'une des pièces d'articulation (5) comporte un excentrique (51) coopérant avec le bas de coque (1), l'autre pièce d'articulation (5) étant susceptible de se déplacer le long d'une lumière

(52) ménagée dans le bas de coque (1).

4.- Chaussure selon la revendication 1 ou la revendication 2, caractérisée par le fasit que les pièces d'articulation (5) sont du type vis-écrou et sont susceptibles de-se déplacer chacune le long d'une

lumière (52) ménagée dans le bas de coque (1).

5.- Chaussure selon la revendication 1 ou la revendication 2, caractérisée par le fait que les pièces d'articulation (5) sont du type rivet, susceptibles de se déplacer chacune le long d'une lumière (52)

ménagée dans le bas de coque (1)-..

6.- Chaussure-selon-la-revendication 5, caractérisée par le fait que l'étrier(6)est.-assujetti en-partie supérieure à une-fis-(7-) traversant le-bas de-.coque (1) dans-une lumière. transversale (8)..et la tige (3) sans jeu autre qu'axial et coopérant-avec un écrou de-manoeuvre

(9).disposé extérieurementsur la tige(3)-. -

7.-. Chaussure selon 'La revendication 5,- caractérisée-par le -fait que l'étrier (6).est assujetti en partie supérieure à une vis (7) traversant le bas de coque (11 dans une lumière transversale (8) et la tige (3) dans une autre lumière (10) sensiblement perpendiculaire à celle

(8), cette vis (7) coopérant avec un écrou de manoeuvre (9) disposé exté-

rieurement sur la tige (3).

8.- Chaussure selon la revendication 4, caractérisée par le fait que l'une au moins des pièces d'articulation (5) du type vis-écrou est susceptible d'être bloquée en position sur le bas de coque (1) de la

chaussure par serrage de l'un quelconque de la vis ou de l'écrou.

9.- Chaussure selon l'une quelconque des revendications 1, 2,

4 et 5, caractérisée par le fait que la tige (3) comporte un dispositif de réglage (20, 30) de l'inclinaison de l'axe transversal(5')de cette dernière, ce dispositif de réglage coopérant avec des moyens de positionnement (21,

31) situés sur le bas de coque (1).

10.- Chaussure selon la revendication 9, caractérisée par le fait que le dispositif de réglage (20) comporte une vis sans fin (22) d'axe transversal à celui médian longitudinal du bas de coque qui coopère avec

les moyens de positionnement (21) du bas de coque (1), ces moyens présen-

tant une denture constituant une crémaillère venant en prise avec la vis

(22) supportée par la tige (3).

11.- Chaussure selon la revendication 9, caractérisée par le fait que le dispositif de réglage (30) comporte d'une part, un levier cranté (32) monté pivotant sur la tige (3) par une de ses extrémités et d'autre part, des moyens de positionnement (31) constitués par des crantages

obtenus sur le bas de coque (1) et coopérant avec ledit levier cranté (32) .

12.- Chaussure selon la revendication 9, caractérisée par le fait que les moyens de positionnement (2]., 31) soot mobiles en translation

sur le bas de coque (1) dans un guidage (23) orienté dans le sens du dépla-

cement relatif de la tige (3) sur le bas de coque (1).

13.- Chaussure selon l'une quelconque des revendications 1 à

, caractérisée par le fait qu'elle est du type à entrée avant.

14.- Chaussure.selon l'une quelconque des revendications 1 à

, caractérisée par le fait qu'elle est du type à entrée arrière.