FR2590124A1 - Dispositif de traitement de fruits a ecorces, notamment pour decortiquer des baies de cafeier - Google Patents

Dispositif de traitement de fruits a ecorces, notamment pour decortiquer des baies de cafeier Download PDF

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    • A23FOODS OR FOODSTUFFS; TREATMENT THEREOF, NOT COVERED BY OTHER CLASSES
    • A23NMACHINES OR APPARATUS FOR TREATING HARVESTED FRUIT, VEGETABLES OR FLOWER BULBS IN BULK, NOT OTHERWISE PROVIDED FOR; PEELING VEGETABLES OR FRUIT IN BULK; APPARATUS FOR PREPARING ANIMAL FEEDING- STUFFS
    • A23N5/00Machines for hulling, husking or cracking nuts
    • BPERFORMING OPERATIONS; TRANSPORTING
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Abstract

L'INVENTION CONCERNE UN DISPOSITIF DE TRAITEMENT DE FRUITS A ECORCES, NOTAMMENT POUR DECORTIQUER DES BAIES DE CAFEIER. LEDIT DISPOSITIF 1 PRESENTE UN TAMIS 46 ENTOURANT AU MOINS PARTIELLEMENT UN COMPARTIMENT DE DECORTICAGE 45. UN ROTOR DE TRAITEMENT 50, PREVU A L'INTERIEUR DUDIT COMPARTIMENT 45, PEUT ETRE ENTRAINE EN ROTATION POUR APPLIQUER, A DES BAIES DE CAFEIER, UNE FORCE AGISSANT EN DIRECTION DU TAMIS 46. POUR DECORTIQUER LESDITES BAIES EN DOUCEUR, LE TAMIS 46 EST FORME PAR UN TISSU PRESENTANT UN RESEAU DE FILS DE CHAINE ET DE TRAME DONT LA LARGEUR DES MAILLES EST, AU MOINS DANS UNE DIRECTION, SUPERIEURE AUX GRAINES, MAIS INFERIEURE AUX BAIES. LE ROTOR 50 EST DOTE DE SURFACES DE TRAITEMENT 60 SENSIBLEMENT DEPOURVUES D'ARETES VIVES. APPLICATION AU TRAITEMENT DES FRUITS ET CEREALES A ECORCES.

Description

La présente invention se rapporte à un dispositif pour décortiquer des baies de caféier, comprenant un tamis qui présente un orifice de délivrance et entoure au moins
partiellement un compartiment de décorticage, ainsi
qu'un rotor de traitement qui se trouve à l'intérieur du compartiment de décorticage et peut être entrainé en ro
tation, à l'aide d'un entrainement, en vue de développer une force agissant sur les baies en direction du tamis, les graines sensiblement libérées de leurs écorces pouvant être poussées à travers les ouvertures du tamis.
Un tel décortiqueur pour baies de caféier est connu
d'après le brevet FR-A-2 396 589. Bien que, dans ce document de la littérature spécialisée, toutes les pièces
soient illustrées d'une manière purement schématique et soient décrites de façon très générale, la réalisation
pratique de dispositifs de ce genre utilise toujours une
plaque perforée en tant que crible ou tamis. Les parois des trous sont très souvent cintrées vers l'intérieur en
direction du rotor de traitement, à la manière d'une râpe, et l'idée qui sous-tend l'ensemble consiste à éliminer la
pulpe des graines par frottement.
Dans la pratique, cette élimination de la pulpe par frottement est couronnée de succès, mais les rotors de traitement sont en général pourvus de surfaces de traitement en saillie qui impriment, à l'intérieur du compartiment de décorticage, une accélération aux baies de caféier.
Lorsque ces baies tombent ensuite sur les arêtes dures des perforations, il se développe sur ces arêtes, qu'il
s'agisse de perforations recourbées à la manière d'une
râpe ou de plaques de crible lisses, une importante force
de pression superficielle spécifique se traduisant par une fracture des graines d'une ampleur correspondante et,
de ce fait, par une mauvaise qualité marchande.
L'invention a par conséquent pour objet d'obtenir une amélioration qualitative du produit décortiqué et, conformément à l'invention, cet objet-est atteint par la combinaison des caractéristiques consistant en ce que le tamis est formé par un tamis tissé muni d'un réseau de fils de chaine et de fils de trame dont la largeur des mailles est, au moins dans une direction, plus grande que les graines mais plus petite que les baies ; et en ce que le rotor de traitement est muni de surfaces de traitement dépourvues d'arêtes vives.Il en résulte un divorce d'avec le principe actuel de traitement par impacts des baies de caféier, et c'est pourquoi, d'une part, le tamis est formé par un tamis tissé dont les perforations sont exclusivement délimitées par des arrondis et, d'autre part, le rotor de traitement présente des surfaces de traitement dépourvues d'arêtes vives afin d'éviter, de la sorte, de fortes contraintes superficielles spécifiques. Le fait que ce principe nouveau ne relève pas de la pure théorie a été démontré par des expériences poussées, au cours desquelles le taux de rebut a pu être réduit d'au moins 40 %.
Bien que le tamis tissé puisse aussi être éventuellement fabriqué en matière plastique, notamment en des touffes de matière plastique, il s'est révélé particulièrement commode que le tissu de ce tamis soit un tissu en fils métalliques, de préférence en acier à ressorts. L'acier à ressorts accuse alors une propension moindre à des déformations permanentes dues à la pression superficielle exercée sur les baies de caféier.
L'on obtient pour ainsi dire un "effet de passoire" lorsque, selon une réalisation, le tamis tissé ou, respectivement,le compartiment de décorticage qu'il entoure présente une section polygonale, en particulier hexagonale, ce qui donne naissance à des surfaces de tamisage prismatiques et provoque, au voisinage des arêtes du polygone, un espacement maximal de la surface de traitement considérée du rotor de traitement, et un espacement minimal, au centre, entre les surfaces de tamisage prismatiques voisines. Dans ce contexte, il est précisément important que la largeur des mailles soit plus grande quelles graines, mais plus petite que les baies, si bien- que lesdites graines peuvent franchir de part en part sans aucune dété- rioration les mailles du tamis, la pulpe desdites baies étant en revanche éliminée par raclement.Dans ce cas, la différence entre l'espacement maximal et l'espacement minimal sera, bien entendu, d'autant plus grande que le nombre des coins de ce polygone est restreint (le cas minimal étant celui d'un triangle), tandis que, lorsque ce nombre de coins augmente, il en résulte approximativement une circonférence et par conséquent une réduction des différences, si bien que l'effet de passoire devient très faible dans le cas extrême. D'autre part, il est à craindre que l'entrainement des baies ne soit plus assuré lorsque la différence entre les espacements maximal et minimal est trop forte, et que ces baies s'accumulent dans les coins. Des expériences ont révélé que la configuration hexagonale doit être considérée comme un compromis optimal entre les extrêmes.
Or, lorsqu'il convient d'obtenir un effet de passoire et qu'on utilise, dans ce cas, un tamis tissé se singularisant en particulier par sa souplesse vis-à-vis d'un crible perforé, il est judicieux de prévoir, sur la face externe d'au moins une surface de tamisage prismatique opposée au rotor de traitement et au compartiment de décorticage, un support complémentaire commodément situé dans une région centrale entre les surfaces de tamisage prismatiques adjacentes, de préférence une barrette qui s'étend parallèlement à l'axe du rotor de traitement et est notamment munie d'une face externe à inclinaison vers le bas.
Cette face externe à inclinaison vers le bas assure alors que le produit décortiqué ne stagne pas dans cette zone, mais qu'il accomplisse une chute.
Cependant, l'effet de passoire peut également être obtenu, soit seul, soit en combinaison avec le prisme polygonal, par le fait que les surfaces de traitement du rotor de traitement s'étendent à l'oblique par rapport à ses rayons et, dans ce cas, en considérant la direction de rotation du rotor de traitement, les espacements entre ces surfaces de traitement se rapprochent de la surface du tamis jusqu'à un espacement minimal prédéterminé correspondant, de préférence, au maximum à la grosseur d'une baie de caféier.
L'espacement minimal obtenu sur le tamis polygonal et/ou par l'intermédiaire d'un tel rotor doit mesurer au maximum 12 mm, bien que, avec un espacement plus grand, il se produise une pression d'une baie à l'autre moyennant un emplissage correspondant du compartiment de décorticage.
Toutefois, avec un espacement minimal de 12 mm au maximum, l'on obtient que pratiquement chaque baie individuelle soit traitée par les surfaces de traitement du rotor spécialement conçues à cet effet, et non pas par des surfaces irrégulières de baies de caféier voisines. D'autre part, la pression exercée sur les baies ne doit pas être telle que ces dernières puissent être écrasées entre deux perforations du tamis lorsqu'elles occupent une position défavorable. Par conséquent, des espacements minimaux compris entre 5 mm et 11 mm, notamment entre 6 mm et 9 mm, se sont révélés judicieux.
Précisément à des fins de nettoyage, il est avantageux que le rotor de traitement soit relié au mécanisme d'entrainement par l'intermédiaire d'un accouplement amovible, en particulier d'un accouplement à griffes. Par ailleurs, il est judicieux de prévoir, coaxialement au rotor de traitement et dans la continuité de ce dernier, une vis sans fin d'amenée qui possède un entraînement commun avec ce rotor de traitement. Une telle conception confère cependant une similitude de réalisation avec des machines de traitement du riz,comprenant un tamis qui présente un orifice de délivrance au voisinage d'une extrémité axiale et entoure au moins partiellement un compartiment de traitement, ainsi qu'un rotor de traitement qui se trouve à l'intérieur dudit compartiment de traitement et peut être entraîné en rotation à l'aide d'un mécanisme d'entraînement.
De telles machines fonctionnent toutefois selon le principe du raclement, selon lequel les grains de riz ne doivent absolument pas franchir le crible (consistant fréquemment en une plaque perforée), mais sortent du compartiment de traitement par l'extrémité frontale opposée à l'orifice de délivrance.
De ce fait, en se fondant sur un tel dispositif de traitement, il est avantageux, pour permettre une fabrication en série moins onéreuse et un stockage plus simple, d'appliquer la combinaison des caractéristiques consistant en ce que le rotor de traitement est relié à son mécanisme d'entraînement par l'intermédiaire d'un dispositif d'accouplement amovible ; en ce qu'il est prévu,à l'extré- mité axialement opposée à l'orifice de délivrance, un dispositif de fixation pouvant être démonté sans aucune perturbation et sélectivement associé à une paroi ou à un orifice de sortie ; et en ce qu'un dispositif de fixation amovible est associé au tamis.Grâce à la coopération de ces trois caractéristiques, une seule et même partie de base d'un tel dispositif de traitement peut être sélectivement équipée d'un tamis, d'un rotor de traitement ou d'un dispositif d'évacuation correspondant pour des baies de caféier ou du riz.
Pour un tel cas précisément, il est avantageux que le rotor de traitement porte au moins une moulure saillante qui se trouve en vis-à-vis du tamis tissé, à une distance prédéterminée, et s'étend au moins approximativement parallèlement à son axe. Cette moulure saillante peut alors être prévue dans la continuité de la région superficielle de la surface de traitement inclinée qui forme l'espacement minimal d'avec le tamis, comme cela est classique dans des machines de traitement du riz. Dans ce cas néanmoins, une telle moulure a pour fonction un nettoyage du tamis, afin d'empêcher qu'une couche de pulpe se dépose à la face interne de ce tamis.
Cependant, la réalisation peut être telle qu'il soit prévu un certain nombre de moulures a impact qui forment les surfaces de traitement, s'achèvent à une première distance à partir d'une surface cylindrique du rotor de traitement et font saillie, jusqu'à une seconde distance prédéterminée, en direction du tamis tissé en particulier cylindrique et coaxial.De la sorte, le rotor de traitement prend sensiblement l'apparence d'une roue cellulaire ; certes, la disposition de moulures analogues est connue par elle-même mais, conjuguée à la réalisation des surfaces de traitement dépourvues d'arêtes vives, elle provoque dans ce cas une contrainte superficielle des baies de caféier que les moulures à impact poussent en partie tangentiellement, en partie radialement contre le tamis où elles sont à nouveau soumises, sur les fils de ce tamis tissé, à un effort de pression avec absence relative ou totale d'arêtes vives.
L'expression "absence relative d'arêtes vives" doit être plus ou moins comprise dans le sens absence quasitotale d'arêtes vives", bien qu'il soit à peine possible d'éviter la présence d'arêtes aux extrémités des moulures à impact. Par conséquent, l'on franchit une étape de perfectionnement supplémentaire lorsque la seconde distance prédéterminée correspond sensiblement à la grosseur d'une baie de caféier et lorsqu'elle mesure de préférence au maximum 12 mm, est notamment comprise entre 5 mm et 11 mm et mesure commodément 9 mm : il s'est en effet révélé dans la pratique que, avec une telle conception, les arêtes extrêmes des moulures à impact, pouvant être éventuellement arrondies en plus, n'exercent pratiquement aucun effet ou n'entrent que rarement en action, si bien que le fonctionnement du dispositif a lieu pour l'essentiel "avec absence totale d'arêtes vives".
Ces distances peuvent varier, dans les plages indiquées, du fait que la grosseur moyenne d'une baie de caféier peut être différente selon les variétés. Bien entendu, cela peut être pris en compte par le fait que le rotor est remplaçable, ce qui constitue un autre avantage du rotor de traitement désaccouplable susmentionné. De préférence cepen dant, pour procéder à l'adaptation, les distances prédéterminées peuvent être réglées à l'aide d'un dispositif d'ajustement. Ce dispositif d'ajustement peut comporter, pour chaque moulure réglable considérée, deux excentriques respectifs qui sont distants l'un de l'autre, se trouvent en particulier à proximité des faces extrêmes du rotor de traitement, et traversent des orifices de ladite moulure.
L'on a déjà mentionné que l'invention se fonde sur un principe autre que le principe traditionnel. Ainsi, lorsqu'il est question ci-dessus de "moulures à impact", il ne faut pas entendre, par là, des chocs violents imposés aux baies de caféier; C'est la raison pour laquelle, de préférence, le rotor de traitement peut être mené, au moyen de son mécanisme d'entraînement, à une vitesse angulaire inférieure à 800 tours par minute, de préférence inférieure à 500 tr/min, comprise notamment entre 100 tr/min et 400 tr/min, commodément entre 200 tr/min et 300 tr/min. Des broyeurs normaux tournent à une vitesse de 1400 à 1600 tours, de ce fait nettement plus rapidement, auquel cas, conformément aux lois physiques, les forces d'impact développées représentent largement plus du double en comparaison de la vitesse angulaire maximale de 800 tours indiquée dans le présent mémoire. Ainsi, dans le cas préférentiel, il en résultera une vitesse angulaire qui représente environ seulement 1/5 de la vitesse classique, de façon à obtenir un traitement en douceur des baies de caféier.
Il s'est avéré que cela n'implique nullement une baisse du rendement, d'autant moins que la combinaison avec un tamis tissé, présentant une surface non plane, permet une élimination relativement bonne de la pulpe des baies. D'autre part, comme déjà précisé, le traitement en douceur diminue considérablement la part de rebut.
L'invention va à présent être décrite plus en détail à titre d'exemples nullement limitatifs, en regard des dessins annexés sur lesquels
la figure 1 est une coupe longitudinale d'une première forme de réalisation, selon la ligne I-I de la figure 2
la figure 2 est une coupe transversale selon la ligne
II-II de la figure 1
les figures 3A et 3B montrent deux réalisations commodes d'un tamis tissé
la figure 4 est une coupe transversale d'une deuxième forme de réalisation
la figure 5 représente schématiquement une troisième forme de réalisation
la figure 6 est une demi-coupe axiale du rotor de traitement
la figure 7 est une coupe fragmentaire selon la ligne
VII-VII de la figure 6 ; et
la figure 8 est une vue en perspective d'une variante de réalisation par rapport aux figures 5 à 7.
La figure 1 représente un dispositif 1 pour décortiquer des baies de caféier, auquel se raccorde un séparateur pneumatique 2 de dimensions réduites par rapport au dispositif de décorticage. Ce dispositif 1 présente un orifice de délivrance 3, qui est par exemple pourvu d'une trémie de déversement 2 et par l'intermédiaire duquel des baies de caféier peuvent être délivrées à une vis sans fin d'amenée 4'. Cette vis 4 assure l'alimentation uniforme d'un compartiment de décorticage 45,qui s'y raccorde axialement et est entouré par un tamis tissé 46.
Comme le montre en particulier la figure 2, le tamis 46 est entouré, à ses extrémités frontales, par un cadre respectif 47 duquel partent deux étriers de support 48 qui s'étendent dans le sens longitudinal ou, respectivement, vers le cadre 47 opposé considéré. Si on le souhaite, plusieurs étriers ou supports 48 de ce type peuvent également être prévus, mais les cadres 47 s'avèrent éventuellement suffisants, sans la présence de supports 48, du fait de la rigidité du tamis 46. Dans tous les cas, le tamis 46 peut être fixé aux supports 48 à l'aide de boulons de serrage 49. il est évident que, dans la réalisation illustrée, le tamis se compose de deux parties, mais qu'il peut aussi éventuellement comprendre plus de deux parties, par exemple trois ou six. La réalisation en plusieurs parties favorise alors l'interchangeabilité.
Un rotor de traitement 50, calé sur un arbre creux 51, est prévu à l'intérieur du compartiment 45 de décorticage ou de tamisage, respectivement. En soi, l'arbre 51 pourrait également être conçu en tant qu'arbre plein, mais le rotor de traitement 50 peut être remplacé par un rotor analogue associé à un arbre creux, dans lesquels des orifices 52 et 53 répartiteurs d'air désignés par des pointillés sur la figure 2 sont pratiqués en vue du traitement du riz. A cette fin, conformément à la figure 1 l'arbre 51 est relié, par l'intermédiaire d'un accouplement 55 à griffes, à la vis d'amenée 4 et à un arbre d'entrainement 54 relié à cette dernière.Cet arbre 54 est également réalisé sous la forme d'un arbre creux auquel de l'air peut être délivré, soit par l'intermédiaire d'orifices périphériques 56, soit à partir de sa face extrême pourvue d'une roue d'entraînement 57, dans le cas où du riz doit être traité à la place des baies de caféier dans le compartiment 45.
Dans ce but, d'une part le rotor 50 et son arbre 51 sont désaccouplés de l'arbre d'entraînement 54 et, d'autre part, le tamis 46 est remplacé par un crible à plaque perforée. Du fait que, de surcroît, dans le cas du traitement du riz, seules les particules fines passent à travers le tamis, mais que le produit poli est évacué par la face extrême du compartiment 45 opposée à l'orifice de délivrance 3, une paroi frontale 58 est également fixée amoviblement à l'aide de boulons 59, de sorte qu'elle peut être remplacée par un système classique d'évacuation du riz décortiqué et poli.
Comme déjà précisé ci-avant, les traitements respectifs des baies de caféier et du riz obéissent à des principes différents : dans le cas du riz, il s'agit principalement d'éliminer par frottement des résidus d'écorces adhérents tandis que, en revanche, les baies de caféier sont tassées à travers le tamis 46, à la manière d'une passoire,
A cette fin, d'une part le tamis 46 est réalisé sous la forme d'un tamis polygonal (voir la figure 2), de sorte que, en présence d'un rotor cylindrique, l'on obtient déjà un espacement maximal de la surface de ce dernier dans les coins du polygone, cependant que, sensiblement au centre entre des surfaces de tamisage prismatiques respectivement voisines, l'on obtient un espacement minimal.Cet effet peut encore être amplifié de la manière illustrée sur la figure 2 (ou également, en variante, par la seule présence d'un tamis cylindrique), par le fait que le rotor de traitement 50 présente une forme s'écartant de la forme cylindrique et que ses surfaces de traitement 60, observées en coupe, s'étendent spiroIdalement. Ainsi, par coopération de cette forme spiroldale des surfaces 60 et de la forme polygonale du tamis, il en résulte un espacement minimal m d'un côté du rotor 50 et dans la région centrale entre des surfaces de tamisage prismatiques adjacentes, et un espacement maximal M à l'autre extrémité d'une surface de traitement 60 ou, respectivement, au voisinage d'une arête du prisme polygonal.
Dans ces conditions, lorsque le rotor de traitement 50 accomplit une rotation dans le sens des aiguilles d'une montre, les baies de caféier renfermées par le compartiment de décorticage 45 sont exprimées à travers les surfaces de tamisage prismatiques (par exemple une surface 46') du fait que les surfaces de traitement 60 se rapprochent progressivement de ces surfaces de tamisage ; ou bien, respectivement, elles sont également exprimées à travers le tamis 46 lorsqu'elles sont entraînées des coins de ce tamis 46 vers les surfaces du polygone. Pour assurer cet entrainement et pour éviter la formation d'une couche de pulpe, le rotor de traitement 50 possède commodément une moulure 61 à l'extrémité de chaque surface 60.Etant donné que la compression traversante des baies de caféier provoque une certaine contrainte de pression imposée au tamis 46, et que celui-ci peut être relativement flexible du fait de sa réalisation en tant que tamis tissé, il est judicieux de prévoir des supports complémentaires du côté du tamis 46 qui est opposé au rotor. Ainsi, dans la réalisation d'après la figure 2, deux barrettes 62 de support complémentaire sont prévues de part et d'autre du tamis 46.
Ces barrettes 62 s'étendent entre les deux cadres de tamisage 47 et elles comportent commodément,à leur surface supérieure, une face inclinée 63 provoquant une déviation vers le bas, de façon à éviter que des résidus d'écorces ou matières analogues restent déposés sur ces surfaces.
Bien entendu, si on le souhaite, plusieurs barrettes de ce type peuvent également être prévues.
Après que des écorces et des graines ont été pressées à travers les mailles du tamis 46, elles parviennent sur un toboggan 64 et, de là, dans une trémie d'alimentation 65 du séparateur pneumatique 2 réalisé d'une manière connue. Il est alors prévu une plaque 66 chargée élastiquement qui, lorsqu'une quantité déterminée est at- teinte, fait parvenir la matière dans un canal d'aspiration 67 raccordé à une soufflerie correspondante (non représentée). L'on fera toutefois observer que, si on le souhaite, un espace externe 68 du tamis 46 peut être relié à une source de dépression,de manière à favoriser le nettoyage du tamis 46. En variante, le rotor 50 peut être percé des orifices 52 et 53 visibles sur la figure 2, à travers lesquels de l'air insufflé dans l'arbre creux respectif 54 ou 51 est expulsé afin de nettoyer le tamis 46.
Comme il ressort de la figure 1, le tamis tissé 46 se compose d'une chaine et d'une trame présentant chacune la même densité, ce qui donne, conformément à la figure 3A sur laquelle ce tamis 46 est illustré à échelle agrandie, des perforations de tamisage 69 de forme au moins approximativement rectangulaire,dans laquelle un espace intermédiaire 1 entre deux fils de chaine 70 respectifs est, pour l'essentiel, exactement de même dimension qu'un espace intermédiaire b entre deux fils de trame 71.Un tel tissu de tamisage peut être fabriqué en des touffes de matière plastique, mais de l'acier à ressorts se prête particulièrement bien à cette fin du fait que, par suite de la pression des surfaces de traitement 60 (figure 2), il se produit des déformations élastiques répétitives des surfaces de tamisage 46', qui se compensent à nouveau élastiquement lorsqu'on utilise de l'acier à ressorts. Lorsque les densités respectives de la chaine 70 et de la trame 71 répondent à un rapport de 1 à 1 comme illustré sur la figure 3A, les baies sont décortiquées uniformément de toutes parts dans la mesure où seulement la largeur de maillage de la dimension respective 1 ou b est choisie plus petite que la grosseur moyenne d'une baie de caféier, mais légèrement plus grande que la grosseur des graines.
En tenant compte de ces conditions préalables, un tamis 46 présentant des perforations 69 rectangulaires s'avérerait en soi le plus favorable. En fait, il s'est révélé que, en présence d'un tamis de ce genre, la séparation des écorces et des graines obtenue par l'appareillage selon la figure 1 se déroule optimalement.
Cependant, un bon fonctionnement doit satisfaire à la condition préalable que respectivementr - une baie soit pressée à travers une perforation 69 et que, par exemple, aucune baie ne se place en travers au-dessus des fils (métalliques) 70 et 71. Néanmoins, comme cela ne peut pas être complètement empêché, il est évident que, également avec un tel tamis 46, il se produit un certain pourcentage de fracture qui est assurément moindre qu'avec des dispositifs classiques. Par conséquent, pour des qualités de café inférieures, un tamis 46 à perforations 69 rectangulaires s'avérera suffisant, d'autant plus que les interventions peuvent être réduites lors du processus de séparation des écorces et des graines.
Cependant, avec des variétés de café de qualité supérieure, il convient de diminuer le pourcentage respectif de rebut ou de fracture. Il a déjà été mentionné ci-avant, à l'appui de la figure 2, que le rotor 50 tourne dans le sens horaire. Sur les figures 3A et 3B, cette direction de rotation est indiquée par une flèche 72.Or, il a été établi que, pour réduire le pourcentage de fracture du café, il n'est pas absolument indispensable de modifier la grosseur des mailles du tamis dans les deux dimensions, mais que, bien au contraire, la dimension b peut demeurer inchangée lorsque seulement l'autre dimension L de la grosseur est modifiée de telle sorte qu'on obtienne, dans un tamis 146, des perforations de tamisage 169 rectangulaires pour lesquelles le rapport entre b et L doit être inférieur à 1 : 1,1 ; ainsi, la densité d'un réseau de fils, par exemple des fils de chaine 70, est inférieure d'au moins 10 % à celle de l'autre réseau de fils, par exemple des fils de trame 71.Une telle conception du tamis 146 confère déjà en soi une certaine amélioration, mais il s'est avéré que cette amélioration est encore plus grande lorsque le petit côté b se trouve dans la direction de rotation 72 du rotor 50 (voir la figure 2), le grand côté L s'étendant, en revanche, perpendiculairement à la direction de rotation 72. Vraisemblablement, cela est dû en partie au fait que les baies de caféier sont mises en mouvement au-dessus du tamis 146 par le rotor effectuant une rotation dans le sens de la lèche 72, puis s'immobilisent pour finir entre deux fils de trame 71, sans que leur position par rapport aux fils de chaîne 70 soit influencée par le mouvement du rotor.
Pour obtenir un centrage des baies de caféier non seulement par rapport aux fils de trame 71, mais également par rapport aux fils de chaîne 70, il serait bien envisageable d'imprimer au rotor 50, en plus de son mouvement rotatoire, un mouvement axial alternatif. Dans ce cas, pour des variétés de café de haute qualité, l'on pourrait également utiliser un tamis 46 à perforations 69 rectangulaires, préférable en soi pour la séparation.
Il convient de démontrer, à l'appui de la figure 4, qu'il n'est pas absolument indispensable d'employer un tamis polygonal 46 selon les figures 1 et 2, mais qu'il est également possible d'utiliser un cylindre de tamisage conjugué à des surfaces de traitement du rotor s'étendant sensiblement le long d'une spirale, tout comme, inversement, il est envisageable de disposer dans un prisme polygonal un rotor muni, par exemple, seulement de saillies pour entrainer les baies de caféier. La figure 4 montre par conséquent deux variantes possibles d'un rotor 150, à l'intérieur d'un tamis cylindrique 246. Par exemple, il peut être prévu une seule et unique surface de traitement 160 accusant respectivement, à une extrémité et à l'autre extrémité, un espacement minimal m et un espacement maximal M vis-à-vis du tamis cylindrique 246.Alors que l'espacement maximal M correspond de préférence environ à la grosseur de deux baies de caféier sans revêtir toutefois aucun caractère particulièrement critique, l'espace- ment minimal m doit correspondre de préférence environ à la grosseur d'une baie et mesurer au maximum 12 mm, de préférence entre 9 mm et 11 mm, notamment entre 6 mm et 9 mm. Il est toutefois évident que, en présence d'une seule et unique surface de traitement 160 d'étendue spiroidale, la différence entre les espacements maximal M et minimal m deviendra relativement grande, de sorte que, en cas de rotation du rotor 150 dans le sens anti-horaire, une quantité relativement grande de baies de caféier, accumulées dans la région de l'espacement maximal M, est successivement pressée à travers le tamis 246 avec le concours de la surface de traitement 160.Dans ce cas, il est inévitable qu'une baie vienne se placer sur l'autre et que lesdites baies exercent de la sorte en partie une pression automatique les unes sur les autres, ce qui, d'une part, provoque un traitement irrégulier et, d'autre part, rend plus difficiles un déport et un centrage desdites baies sur les perforations respectives 69 ou 169 (figures 3A, 3B).
L'autre cas extrême peut consister en ce que plusieurs bras 73, dotés de surfaces de traitement 260 relativement courtes, soient calés sur un arbre 151. Dans l'exemple de réalisation illustré, les surfaces 260 sont formées par des plaques 74 de section rectangulaire qui, bien évidemment, sont d'une fabrication plus simple que la forme spiroidale des surfaces de traitement respectives 160 ou 60 (figure 2).
Sur la figure 4, les lignes en traits mixtes indiquent que le plan 260' de chaque surface de traitement décrit un certain angle par rapport à un plan T tangentiel au tamis 246 ; toutefois, cet angle est différent, sur la longueur de la surface de traitement 260 considérée (par rapport au sens de rotation), dans la mesure où un angle déterminé, par rapport à un plan tangentiel T, est produit seulement en un point bien défini. Par conséquent, une solution comportant des surfaces de traitement 260 planes ne peut être mise en application que moyennant un grand nombre de telles surfaces, auquel cas une moulure 61 est assurément superflue pour provoquer l'entraînement.Cependant, l'on fera observer que, dans une telle conception, les différences entre les espacements minimal et maximal deviennent très faibles, ce qui rend plus difficile la délivrance de baies de caféier à la région de l'espacement maximal. Par conséquent, l'on comprendra aisément que l'agencement illustré sur la figure 2 constitue une solution optimale dans ces circonstances.
Dans la réalisation selon la figure 5 également, l'on utilise un tamis tissé 346 de conception similaire à celles des tamis susdécrits. Le dispositif 101 illustré est en soi réalisé de la même manière qu'un broyeur à marteaux, mais il présente néanmoins, outre le tamis tissé 346, la différencexsupplémentaire résidant dans la présence d'un rotor de traitement 250 muni de moulures 161 à impact. L'on fera observer que ce rotor 250 peut être mené par un moteur 75 pouvant être, commodément, entraîné sélectivement dans l'une ou l'autre direction de rotation à l'aide d'un dispositif 76 inverseur du sens de rotation.
Cela assure une usure régulière des moulures 161 des deux côtés et cela est, là encore, notamment rendu possible par l'utilisation d'un tamis tissé 346 qui, pour chaque sens de rotation, oppose aux baies une certaine résistance du fait de sa non-planéité, ce qui n'était pas possible dans la réalisation connue dotée de perforations de tamisage recourbées à la manière d'une râpe.
L'on a déjà mentionné qu'il s'agit, dans la présente invention, d'atteindre un traitement des baies de caféier le plus possible en douceur, et c'est pourquoi l'expression "moulures à impact" appliquée aux moulures 161 doit être interprétée d'une manière différant sensiblement de l'acception classique. Comme on le voit notamment sur la figure 6, le rotor de traitement 250 forme par sa paroi cylindrique 77, entre les moulures individuelles 161, des compartiments individuels comparables à ceux d'une roue cellulaire, si bien que les baies de caféier situées dans une telle cellule ne peuvent pas être soumises à une centrifugation trop violente.A cela s'ajoute que le moteur 75 entraîne le rotor 250 à une vitesse angulaire relativement faible par rapport à des broyeurs classiques, qui est inférieure à 800 tr/min, de préférence inférieure à 500 trémie. Dans la pratique, des vitesses angulaires comprises entre 100 tr/min et 400 tr/min et notamment entre 200 tr/min et 300 tr/min se sont avérées judicieuses, car les baies sont alors projetées contre le tamis 346 avec une force relativement faible. Dans ce cas, les extrémités radialement externes des moulures 161 à impact présentent, vis-à-vis du tamis 346, une distance a qui correspond de nouveau sensiblement à la grosseur d'une baie
K, afin d'empêcher le plus possible des écrasements.Une distance plus grande est incommode, du fait que les arêtes des moulures 161 ont alors trop aisément tendance à entrer en action, ce qui implique à nouveau des fractures des graines. Comme les baies K peuvent présenter des grosseurs différentes selon les variétés, il est judicieux de pouvoir régler la distance a.
A cette fin, chaque moulure 161 à impact est montée sur au moins un support 78 fixé au rotor 250. Comme le montre la figure 5, du fait des sens de rotation mutuellement opposés, il peut être judicieux, afin d'éviter un défaut d'uniformité, de prévoir un support 78 de chaque côté d'une moulure 161 encore que, dans la pratique, les craintes initiales concernant un traitement irrégulier à l'aide d'un seul support 78 se soient révélées pour l'essentiel infondées. Ainsi, la réalisation peut correspondre à la manière illustrée sur la figure 7, sur laquelle, en vue de l'adaptation à des distances a différentes (figure 6), le support 78 renferme de préférence deux excentriques respectifs d'ajustement 79 espacés l'un de l'autre et montés, commodément, dans la région des faces extrêmes 85 du rotor 250 (voir la figure 6).Dans ce cas, l'excen- trique 79 visible sur la figure 7 comprend une partie de montage excentrée 80 à l'intérieur du support 78 et une partie d'ajustement 81 à l'intérieur de la moulure 161, les excentricités des deux parties 80 et 81 étant identiques de manière à assurer, à chaque fois, une position rectiligne d'un boulon 82 sur lequel l'excentrique 79 est monté. Comme l'illustre la figure 6, l'on peut prévoir, en plus, au moins un système de guidage comprenant un trou oblong 83 et un boulon 84 traversant ce trou 83.
Comme illustré sur la figure 6, le rotor 250 est calé sur un arbre 251 (deux bouts d'arbre situés de part et d'autre étant également suffisants dans tous les cas), et il comporte deux flasques extrêmes 85 solidarisés par vissage, par l'intermédiaire de tirants 86 et de douilles d'espacement 87. La paroi cylindrique 77 est assujettie aux flasques 85, par exemple à l'aide des cornières représentées.
Comme le montre la figure 5, la face supérieure du dispositif de décorticage 101 possède une zone d'entrée 5 située dans un boîtier de délivrance séparé 7, bridé sur le boîtier 6 dudit dispositif. Un raccord d'admission 8 pour la délivrance de baies de caféier est prévu sur le boîtier 7 dans cette zone d'entrée 5, la section d'ouverture libre de ce raccord 8 pouvant être modifiée au moyen d'un curseur de dosage 9. Le réglage de ce curseur de dosage 9 a lieu à l'aide d'un dispositif d'ajustement 10,commodément muni d'un groupe 88 commandé par un fluide et situé à la sortie d'un convertisseur 89 électropneumatique ou électrohydraulique.Ce convertisseur 89 est commandé par un étage 90 qui mesure la prise de courant par le moteur 75 et engendre, sur cette base, un signal de régulation de manière à adapter l'alimentation en baies à la charge du moteur, et à maintenir cette charge à une valeur optimale.
Les baies franchissent ainsi le curseur de dosage 9, un aimant permanent 11 étant prévu pour séparer d'éventuelles particules métalliques.
En vis-à-vis de l'aimant permanent 11, se trouve une ouverture d'aspiration 12 par laquelle de l'air est délivré par l'intermédiaire de tôles de chicane 13. Cet air est aspiré à travers le dispositif 101 à l'aide d'une soufflerie non représentée, raccordée à la sortie (face infé- rieure) du dispositif 101, et il sert en premier lieu à débarrasser le tamis 346 de résidus d'écorces et de pulpe. Un volet de surveillance 16, raccordé à un interrupteur non représenté et disposé au voisinage de ltouver- ture d'aspiration 12, sert à maîtriser le courant d'air et tourne dans le sens anti-horaire en l'absence de ce courant d'air, en provoquant ainsi une mise à l'arrêt du dispositif. Un sélecteur i7 de particules lourdes est en outre prévu dans la zone d'entrée 5.En effet, l'air aspiré à travers l'ouverture d'aspiration 12 a pour effet que le flux de matière en vrac soit déporté vers la gauche en observant la figure 5, avec les baies de caféier relativement légères. Seules des particules lourdes, telles que des pierres ou objets analogues, sont soumises par le courant d'air à une déviation moins marquée, pour tomber sur une glissière collectrice 18 à partir de laquelle elles peuvent gagner un tiroir 19 lorsque ce dernier occupe la position figurée en pointillé. Toutefois, ce tiroir 19 est normalement fermé de manière à ne pas influencer le courant d'air.
Un tube d'aspiration 20, raccordé à l'ouverture d'aspiration 12, loge un dispositif régulateur 21. Ce dispositif 21 comporte, en tant qu'organes de manoeuvre, deux clapets 22 qui sont reliés l'un à l'autre de la manière représentée par un pointillé, et dont l'un est solidaire d'une fourche 23 emprisonnant, à son tour, un tourillon 24 situé sur un bloc taraudé 25. Ce bloc 25 coulisse le long d'une tige filetée 26 pouvant être entraînée, dans l'une ou l'autre direction, par un moteur électrique renfermé par un mécanisme d'entraînement 27. La commande de ce mécanisme d'entraînement 27 est assurée par l'intermédiaire d'un dispositif mesureur 28 comprenant, dans l'exemple de réalisation illustré, deux interrupteurs 29 à pression différentielle raccordés à leur tour, en parallèle, à des conducteurs de mesurage 31.La pression de mesurage nécessaire est engendrée par un diaphragme 30, l'autre côté d'une membranè 32 étant, en revanche, en communication avec l'air ambiant.
Chaque interrupteur 29 à pression différentielle possède un coulisseau 33 qui est rattaché au centre de la membrane de pression 32 et est relié, par l'intermédiaire d'un ressort oméga 34, à une lamelle de commutation 35 d'un commutateur respectif 36 ou 37. Alors que les lamelles 35 sont raccordées conjointement à un conducteur électrique 38, d'autres lamelles respectives de commutation 39 et 40 sont connectées au mécanisme d'entrainement 27 par l'intermédiaire de conducteurs respectifs 41 et 42. Un conductéur neutre 43 et un conducteur 44 de mise à la masse sont en outre prévus.
Le circuit est conçu de telle sorte que les interrupteurs 29 à pression différentielle fonctionnent avec une hystérésis relativement grande, comme déjà exposé dans le brevet EP-A-98 441. En effet, cet agencement est connu pour des broyeurs àmarteaux oscillants, mais, dans de tels dispositifs, l'on utilise une aspiration étant donné que, par suite de la grande vitesse de rotation du rotor de traitement représentant un multiple de la vitesse du rotor 250, il est à craindre que des particules relativement plus grosses bifurquent radialement vers l'extérieur, en empêchant alors les particules plus petites de passer à travers le tamis. Dans ce cas par conséquent, l'élimination des particules plus petites doit être assuré-e à l'aide d'une aspiration.
Dans le cas d'un décortiqueur de baies de caféier selon la figure 5, les conditions sont cependant différentes, car le rotor 250 présente une vitesse angulaire considérablement plus faible. L'aspiration est alors en premier lieu destinée au nettoyage du tamis tissé 346, une délivrance d'air uniforme favorisant également la sélection de particules lourdes. Néanmoins, l'aspiration peut éventuellement aussi être supprimée pour des baies de caféier convenablement séchées, dans lesquelles la pulpe a moins tendance à adhérer au tissu de tamisage.
Pour faciliter l'accessibilité à un compartiment de décorticage 145, il est avantageusement prévu un agencement analogue à celui décrit dans la demande de brevet DE-A2 749 162. A cette fin, un cadre de tamisage 147 est scindé, chacune des deux parties de ce cadre 147 pouvant accomplir un pivotement autour d'un axe fixe 92 sur un montant 91, à l'extrémité inférieure, au-dessous du rotor horizontal 250. De préférence, l'extrémité supérieure du cadre 147 est fixée à la face supérieure d'une porte latérale 93 du boîtier, d'une manière telle que, lors de l'enlèvement de cette porte 93, la partie correspondante du tamis 346 (également subdivisé) soit ouverte automatiquement. De la sorte, l'on peut aussi procéder aisément à un remplacement du tamis 346, en vue d'une adaptation à différentes grosseurs de baies de caféier.Un autre mode de remplacement du tamis sera décrit ci-après à l'appui de la figure 8.
L'on se contentera de préciser que l'agencement illustré, présentant une partie de tamis pouvant pivoter autour d'un axe 92 situé au-dessous du rotor de traitement 250, moyennant là encore une coopération éventuelle avec une porte de boitier, peut également être avantageux dans une réalisation conforme à la figure 2.
Toutefois, pour remplacer le tamis, il est également possible d'avoir recours à des solutions qui ont été élabo rées pour des broyeurs à marteaux et pour des plaques de criblage perforées relativement rigides. Comme le montre la figure 8, > il suffit de prévoir, pour chacun des deux tamis de- vant être remplacés, un cadre fixe 247 qui les ceinture et auquel un vérin 94 est raccordé d'une manière analogue à celle connue d'après l'art antérieur. Si l'on solidarise les cadres 247 des deux tamis interchangeables 46 et 146, et si l'on prévoit des fentes correspondantes 95 dans un boitier 106 du dispositif 201, les deux tamis 46 et 146 reliés l'un à l'autre peuvent être remplacés d'une manière simple par coulissement dans le sens axial, après quoi les cadres 247 de ces deux tamis sont éventuellement dissociés.Bien entendu, d'autres solutions connues peuvent également être appliquées à ces fins.
Pour éviter la présence d'arêtes vives aux extrémités de moulures respectives 61 ou 161 lorsque de telles moulures sont prévues, tout en obtenant, pour le traitement, des surfaces planes 360 (figure 7) de ces moulures, il peut être judicieux d'arrondir les arêtes externes desdites moulures d'une manière analogue à celle illustrée sur les moulures 61 de la figure 2. Par ailleurs, la figure 4 révèle que le tamis tissé 246 se compose alors de quatre parties dont la cohésion est assurée, pour chacune d'elles, par des baguettes de serrage non représentées (comparables à la référence 48 sur la figure 2). Ces baguettes de serrage provoquent alors une rigidification du tamis, ce qui permet de se dispenser éventuellement de barrettes 62 de support complémentaire.
De surcroit, il est bien entendu possible, dans le cadre de l'invention, de remplacer les unes par les autres ou de combiner les unes aux autres des caractéristiques individuelles ou multiples parmi celles illustrées à l'appui de différents exemples de réalisation ; par exemple, le circuit 90, 89 destiné à réguler l'alimentation en fonction de'la prise de courant par le moteur peut, bien entendu, être également appliqué d'une manière analogue dans une réalisation selon les figures 1 et 2. Dans le cas où la face supérieure du tamis 346 n'est pas reliée à une porte,
laquelle sera naturellement équipée d'un dispositif de retenue tel qu'un verrou ou organe analogue , un disposi
tif d'arrêt particulier (par exemple un cran ou système analogue) peut être prévu pour le cadre de tamisage respectif 47 ou 147.
L'on fera encore observer que le rapport précité entre les densités des deux réseaux de fils 70 et 71 est choisi, de préférence, au maximum de 1 à 2, notamment d'environ 1 à 3.
De même, il convient de préciser qu'au moins une surface de
traitement 60, 160 ou 260 de réalisation sensiblement spi roidale, s'étendant à l'oblique par rapport aux rayons, de préférence deux surfaces séparées l'une de l'autre par un décrochement y emprisonne l'axe du rotor.
Enfin, l'on fera encore observer que la source de dépression mentionnée a pour objet de créer une dépression au-dessus de l'espace de tamisage 68 ; que le dispositif régulateur 21 est de préférence prévu pour maintenir la pression constante ; et que l'organe de manoeuvre 22, constitué par un clapet, est commodément implanté après le dispositif mesureur 28.
Il va de soi que de nombreuses modifications peuvent être apportées au dispositif décrit et représenté, sans sortir du cadre de l'invention.

Claims (28)

REVENDICATIONS
1. Dispositif pour décortiquer des baies de caféier, comprenant un tamis qui présente un orifice de délivrance et entoure au moins partiellement un compartiment de décorticage, ainsi qu'un rotor de trait-ment qui se trouve à l'intérieur du compartiment de décorticage et peut être entraîné en rotation, à l'aide d'un mécanisme d'entraînement, en vue de développer une force agissant sur les baies en direction du tamis, les graines sensiblement débarrassées de leurs écorces pouvant être poussées à travers les ouvertures dudit tamis, dispositif caractérisé par la combinaison des caractéristiques consistant en ce que le tamis est formé par un tamis tissé (46 ; 146 ; 246 ; 346) muni d'un réseau de fils de chaîne (70) et de fils de trame (71) dont la largeur des mailles est, au moins dans une direction (b, l ou L), plus grande que les graines, mais plus petite que les baies ; et en ce que le rotor de traitement (50 ; 150 ; 250) est doté de surfaces de traitement (60 160 ; 260 ; 366) sensiblement dépourvues d'arêtes vives.
2. Dispositif selon la revendication 1, caractérisé par le fait que le tissu du tamis (46) est un tissu en fils métalliques, de préférence en acier à ressorts.
3. Dispositif selon la revendication 1 ou 2, caractérisé par le fait que le rapport entre les densités des deux réseaux de fils (70, 71) est inférieur d'au moins 10 % à 1 : 1, en étant de préférence au maximum de 1 à 2, notamment d'environ 1 à 3, ce qui donne des perforations de tamisage (169) sensiblement rectangulaires.
4. Dispositif selon la revendication 3, caractérisé par le fait que le grand côté (L) du rectangle de chaque perforation de tamisage (169) s'étend perpendiculairement à ls direction de rotation (72) du rotor de traitement (50).
5. Dispositif selon l'une queloerdesreveddicatio's1 à 4, caractérisé par le fait qu'au moins une partie du tamis tissé (46 ; 146 ; 246 ; 346) est interchangeable.
6. Dispositif selon la revendication 5, caractérisé par le fait qu'au moins une partie du tamis tissé (46 146 ; 246 ; 346) est fixée amoviblement à un cadre (47 ; 147).
7. Dispositif selon la revendication 5 ou 6, caractérisé par le fait qu'au moins une partie du tamis tissé (46 ou 146, respectivement) est mobile de préférence dans le sens axial du rotor de traitement, conjointement à une partie correspondante (146 ou 46, respectivement) du tamis tissé, de largeur de maillage différente.
8. Dispositif selon l'une quelconque des revendications 1 à 7, caractérisé par le fait que le tamis tissé (46) ou, respectivement, le compartiment de décorticage (45) qu'il entoure présente une section polygonale, en particulier hexagonale, ce qui donne naissance à des surfaces de tamisage prismatiques (46') et provoque, au voisinage des arêtes du polygone, un espacement maximal (M) de la surface de traitement considérée (60) du rotor de traitement (50), et un espacement minimal (m), au centre, entre les surfaces de tamisage prismatiques voisines (46').
9. Dispositif selon la revendication 8, caractérisé par le fait qu'il est prévu, sur la face externe d'au moins une surface de tamisage prismatique (46') opposée au rotor de traitement (50) et au compartiment de décorticage (45), un support complémentaire commodément situé dans une région centrale entre les surfaces de tamisage prismatiques adjacentes (46'), de préférence une barrette (62) qui s'étend parallèlement à l'axe du rotor de traitement et est notamment munie d'une face externe (63) à inclinaison vers le bas.
10. Dispositif selon l'une quelconque des revendications 1 à 9, caractérisé par le fait que les surfaces de traitement (60 ; 160 ; 260) du rotor de traitement (50 ; 150) s'étendent à l'oblique par rapport à ses rayons et, dans ce cas, en considérant la direction de rotation du rotor de traitement (50 ; 150), les espacements entre ces surfaces de traitement (60 ; 160 ; 260) se rapprochent de
la surface du tamis (46 ; 246) Jusqu'à un espacement minimal prédéterminé (m) correspondant, de préférence, au maximum à la grosseur d'une baie de caféier.
11. Dispositif selon la revendication 9 ou 10, caractérisé par le fait que l'espacement minimal (m) mesure au plus 12 mm et est compris de préférence entre 5 mm et 11 mm, notamment entre 6 mm et 9 mm.
12. Dispositif selon la revendication 10 ou 11, caractérisé par le fait qu'au moins une surface de traitement (60 ; 160 ; 260) de réalisation sensiblement spiroidale, s'étendant à l'oblique par rapport aux rayons, de préférence deux surfaces séparées l'une de l'autre par un décrochement, emprisonne l'axe du rotor.
13. Dispositif selon l'une quelconque des revendications 1 à 12, caractérisé par le fait que le rotor de traitement (50) est relié au mécanisme d'entrainement (54, 57) par l'intermédiaire d'un accouplement amovible (55), en particulier d'un accouplement à griffes.
14. Dispositif selon l'une quelconque des revendications 1 à 13, caractérisé par le fait qu'il est prévu, coaxialement au rotor de traitement (50) et dans la continuité de ce dernier, une vis sans fin d'amenée (4) qui possède un entrainement commun (54, 57) avec ledit rotor de traitement (50).
15. Dispositif de traitement de fruits à écorces, comprenant un tamis qui présente un orifice de délivrance au voisinage d'une extrémité axiale et entoure au moins partiellement un compartiment de traitement, ainsi qu'un rotor de traitement qui se trouve à l'intérieur dudit compartiment de traitement et peut être entraîné en rotation à l'aide d'un mécanisme d'entraînement, notamment selon l'une quelconque des revendications 1 à 14, dispositif caractérisé par la combinaison des caractéristiques consistant en ce que le rotor de traitement (50) est relié à son mécanisme d'entraînement (54, 57) par l'intermédiaire d'un dispositif d'accouplement amovible (55) ; en ce qu'il est prévu, à l'extrémité axialement opposée à l'orifice de délivrance (3), un dispositif de fixation (59) pouvant être démonté sans aucune dégradation et sélectivement associé à une paroi (58) ou à un orifice de sortie ; et en ce qu'un dispositif de fixation amovible (48, 49) est associé au tamis.
16. Dispositif selon les revendications 14 et 15, caractérisé par le fait que le dispositif d'accouplement (55) est prévu dans la continuité de la vis sans fin d'amenée (4).
17. Dispositif selon l'une quelconque des revendications 1 à 16, caractérisé par le fait que l'espace (68) situé à la face externe du tamis (46) est relié à un séparateur pneumatique (2).
18. Dispositif selon l'une quelconque des revendications 1 à 17, caractérisé par le fait que le rotor de traitement (50 ; 150 ; 250) porte au moins une moulure saillante (61 ; 161) qui se trouve en vis-à-vis du tamis tissé (46 ; 246 ; 346), à une distance prédéterminée (a), et s'étend au moins approximativement parallèlement à l'axe de ce tamis.
19. Dispositif selon les revendications 10 et 18, caractérisé par le fait que la moulure saillante (61) est prévue dans la continuité de la région superficielle de la surface de traitement inclinée (60) qui forme l'espace cement minimal (m) par rapport au tamis (46).
20. Dispositif selon la revendication 18, caractérisé par le fait qu'il est prévu un certain nombre de moulures à impact (161) qui forment les surfaces de traitement (360), s'achèvent à une première distance à partir d'une surface cylindrique (77) du rotor de traitement (250) et font saillie, jusqu'à une seconde distance prédéterminée (a), en direction du tamis tissé (346) en particulier cylindrique et coaxial.
21. Dispositif selon la revendication 20, caractérisé par le fait que la seconde distance prédéterminée (a) correspond sensiblement à la grosseur d'une baie de caféier et mesure, de préférence, au maximum 12 mm, est notamment comprise entre 5 mm et 11 mm, et mesure commodément 9 mm.
22. Dispositif selon la revendication 20 ou 21, caractérisé par le fait que les distances prédéterminées (a) sont réglables à l'aide d'un dispositif d'ajustement (79 82).
23. Dispositif selon la revendication 22, caractérisé par le fait que chaque dispositif (79 - 82) d'ajustement de la moulure réglable (161) comporte deux excentriques (79) qui sont distants l'un de l'autre, se trouvent en particulier à proximité des faces extrêmes (85) du rotor de traitement (250), et traversent des orifices de ladite moulure (161).
24. Dispositif selon l'une quelconque des revendications 20 à 23, caractérisé par le fait que le rotor de traitement (250) peut être mené dans les deux directions de rotation à l'aide de son mécanisme d'entraînement (75) t et par le fait qu'il est prévu un dispositif (76) inverseur du sens de rotation.
25. Dispositif selon l'une quelconque des revendications 20 à 24, caractérisé par le fait que le rotor de traitement (250) peut être mené, au moyen de son mécanisme d'entraînement (75), à une vitesse angulaire inférieure à 800 tours par minute, de préférence inférieure à 500 tr/ min, comprise notamment entre 100 tr/min et 400 tr/min, commodément entre 200 tr/min et 300 tr/min.
26. Dispositif selon l'une quelconque des revendications 1 à 25, caractérisé par le fait qu'il est prévu un circuit mesureur (90) pour la prise de courant par le moteur électrique (75) entraînant le rotor de traitement (250) ; et par le fait que la quantité de baies de caféier délivrée au rotor de traitement (250) peut être réglée à l'aide d'un dispositif doseur (9) pouvant être commandé par le circuit mesureur (90).
27. Dispositif selon l'une quelconque des revendications 1 à 26, caractérisé par le fait qu'un cadre de tamisage (147), portant une partie, par exemple la moitié du tamis (346), est articulé dans une région située au-dessous du rotor de traitement (250) à axe horizontal, et peut accomplir un pivotement sortant, avec le tamis (346), à partir d'une position de travail entourant le rotor de traitement (250) et dans laquelle il est maintenu de préférence à l'aide d'un dispositif d'arrêt, le pivotement ayant commodément lieu conjointement à une porte latérale (93) qui supporte ledit tamis (346).
28. Dispositif selon l'une quelconque des revendications 1 à 27, caractérisé par le fait qu > il est prévu une source de dépression par l'intermédiaire de laquelle une dépression peut être créée au-dessus de 11 espace de tamisage (68) ; par le fait qu'un dispositif régulateur (21) est prévu de préférence pour maintenir la pression constante ; et par le fait que, en particulier dans la zone d'entrée (5), à proximité de l'orifice de délivrance, sont prévus au moins un dispositif mesureur (28) et au moins un organe de manoeuvre (22) dudit dispositif régulateur (21), cet organe de manoeuvre (22) étant commodément implanté après le dispositif mesureur (28).
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