FR2470335A1 - Dispositif pour le ramonage d'une cheminee - Google Patents

Abstract

CE DISPOSITIF DE RAMONAGE D'UNE CHEMINEE 1 COMPORTE UN HERISSON 5 QUI PEUT ETRE TIRE VERS LE HAUT AU MOYEN D'UN CABLE SUPERIEUR 2. IL EST PREVU UN SECOND ELEMENT DE TRACTION (CABLE9), D'UNE LONGUEUR TELLE QU'IL PEUT S'ETENDRE JUSQU'AU SOMMET 10 DE LA CHEMINEE, QUI EST MUNI A SON EXTREMITE SUPERIEURE 11 DE MOYENS DE RACCORDEMENT 12 PERMETTANT DE LE RELIER DE FACON AMOVIBLE A L'EXTREMITE INFERIEURE DU HERISSON 5 ET QUI, EN POSITION DE REPOS, LORSQUE LE HERISSON A ETE DETACHE ET RETIRE DE LA CHEMINEE, A SON EXTREMITE SUPERIEURE DANS LA ZONE DU FOND 13 DECELLE-CI. A L'AIDE DU CABLE 2 ET DE L'ELEMENT DE TRACTION SUPPLEMENTAIRE 9, LE HERISSON 5 PEUT ETRE DEPLACE FACILEMENT DANS UN SENS COMME DANS L'AUTRE, TOUT EN FROTTANT ENERGIQUEMENT CONTRE LES PAROIS DE LA CHEMINEE, CAR IL EST TIRE POSITIVEMENT, AUSSI BIEN DANS UN SENS QUE DANS L'AUTRE.

Description

La présente invention concerne un dispositif pour le ramonage de cheminées, un hérisson ou autre outil similaire étant déplaçable alternativement vers le haut et vers le bas a l'aide d'un élément de traction à l'inté- rieur de la cheminée pour son nettoyage et le dit élément de traction étant passé autour d'une poulie de renvoi installée de préférence au-dessus de la cheminée et amené à un dispositif d'actionnement, de préférence un tambour, le brin de cet élément qui va du tambour à la poulie de renvoi précitée étant guidé dans un canal qui n'est pas contenu dans la section du conduit de fumée proprement dit.

Un dispositif de ramonage de ce type est décrit dans le brevet allemand 455 487. L'élément de traction y est un câble, mais on connaît des dispositifs analogues dans lesquels il est une chaîne. Un poids, qui, en position de repos, peut être accroché à l'extrémité libre, relevée, du câble, permet de descendre cette extrémité jusqu'au niveau de la porte de nettoyage de la cheminée pour y fixer le hérisson ou autre brosse de ramonage similaire.

En faisant exécuter à cette brosse un mouvement de va-etvient vers le haut et vers le bas, on procède ensuite au nettoyage de l'intérieur de la cheminée. Cet agencement présente toutefois le risque qu'un hérisson qui ramone bien et qui, pour ce faire, frotte durement contre la face interne des parois de la cheminée, peut rester accroché aux dites parois et résister ainsi à l'entraînement du poids vers le bas de la cheminée.

On connaît aussi un dispositif dans lequel il est prévu un élément de traction qui est pratiquement sans fin et aux deux brins duquel on peut exercer une traction pour déplacer l'outil de ramonage vers le haut et vers le bas.

Au moins un des brins de ce câble sans fin doit rester dans la section du conduit de fumée, où il est constamment exposé à l'action des gaz de combustion qui entraine rapidement sa corrosion ou autre forme de détérioration.

L'invention a donc pour objet de réaliser un dis positif du type précité, avec lequel on peut ramoner une cheminée à fond et sans incidents, sans que l'utilisateur doive monter sur le toit ou qu'il soit nécessaire de pré- voir une trappe de nettoyage au niveau du grenier, et qui, lorsqu'il n'est pas utilisé, élimine la présence de tout élément de traction dans le conduit de fumée proprement dit. De plus, la brosse de ramonage doit pouvoir y exécuter son mouvement de va-et-vient sans aucun problème, meme si elle frotte durement contre les parois de la cheminée.

A cet effet, dans le dispositif selon l'invention, il est prévu un second élément de traction d'une longueur telle qu'il s'étend jusqu'au sommet de la cheminée, qui est muni à son extrémité supérieure de moyens de raccordement permettant de le relier de façon amovible à l'extrô- mité inférieure du hérisson et qui, en position de repos, lorsque le hérisson a été détaché et retiré de la chemi nôe, reste dans la zone du fond de celle-ci, tandis que le premier élément de traction, qui portait le hérisson, a son extrémité supérieure dans la zone du sommet de la cheminée.

I1 est alors possible, lorsqu'on veut effectuer le ramonage, de laisser tout d'abord descendre l'extrémité du câble qui pend dans le haut de la cheminée, d'y attacher ensuite le hérisson, puis de fixer enfin à l'extrémité in férieure de ce dernier le second élément de traction. Le hérisson peut alors être tiré vers le haut, puis de nou veau vers la bas, et il peut agir sur les patois de la cheminée avec des forces considérables, étant déplacé positivement par une force de traction dans un sens comme dans l'autre. Il est donc exclu que le hérisson reste accroché aux parois de la cheminée.Malgré cela, plus aucun élément de traction ne se trouve à l'intérieur du conduit de fumée lorsque le hérisson est retiré, le brin de câble sans fin constitué par le premier élément de traction é- tant guidé, de façon connue, dans un canal extérieur au conduit de fumige proprement dit.

L'invention peut être réalisée de façon extremement simple lorsqu'il est prévu comme éléments de traction des câbles, notamment des câbles métalliques et/ou des chaînes.

Les câbles notamment s'enroulent facilement sur des tambours.

Lorsqu'on utilise deux câbles de traction, l'un pour tirer le hérisson vers le haut et l'autre pour le ramener vers le bas, il peut être prévu deux tambours ou tronçons de tambour coaxiaux, qui, lors du ramonage, lorsque les deux éléments de traction sont raccordés au hérisson, peuvent être accouplés l'un a l'autre. Ceci permet de réaliser une forme d'exécution plus élaborée de l'invention, dans laquelle il suffit de prévoir une seule manivelle ou autre organe de manoeuvre pour entraîner en rotation les deux tambours ou tronçons de tambour après leur accouplement et tirer ainsi le hérisson aussi bien vers le haut que vers le bas. Un des tambours ou tronçons de tambour peut alors être calé sur son axe, tandis que l'autre est libre en rotation sur cet axe ou sur son prolongement.

L'accouplement peut alors s'effectuer en solidarisant le tambour libre en rotation soit avec cet axe, soit avec 1' autre tambour, soit aussi de l'une ou de l'autre façon.

On peut utiliser pour l'accouplement par exemple une vis de serrage, une broche ou autre organe de liaison similaire, qui peut agir sur les deux joues adjacentes des deux tambours ou tronçons de tambour.

Dans la zone de l'extrémité du premier élément de traction qui est attachée a l'extrômitô supérieure du hérisson, il est avantageusement prévu de monter un poids, pour faciliter la descente du hérisson jusqu'a sa position de montage et de démontage.

L'élément de traction raccordable a ltextrémité su périeure du hérisson peut être guidé dans un tube vide, une cheminée d'aération ou autre canalisation similaire qui s'étend vers le haut contre l'extérieur de la cheminée.

Dans les immeubles modernes notamment, il est souvent prô- vu parallèlement au conduit de fumée proprement dit des cheminées d'aération ou d'installation, qui offrent suffisamment de place pour le passage du brin de câble raccordé ; la partie supérieure du hérisson. On peut alors obtenir sans mesures particulières ou équipements supplémentaires l'absence de tout élément de traction du hérisson dans le conduit de fumée entre deux opérations de ramonage.

Il peut être prévu à l'cxtrémité inférieure de la cheminée, dans le socle de celle-ci, au moins un tube de guidage pour le câble raccordé a I'extrémité inférieure du hérisson, éventuellement deux tubes de guidage, un pour chaque câble. Il est alors avantageux que l'entrée des tubes de guidage, dans le socle, soit tournée vers le tambour respectif , fixé contre l'extérieur de ce dernier. I1 convient de signaler encore que lorsque la place est ré- duite à la partie supérieure de la cheminée, on peut pré- voir au lieu d'une poulie de renvoi de grand diamètre deux poulies de petit diamètre.

On obtient ainsi au total un dispositif de nettoyage qui, tout en pouvant être installé à demeure dans une cheminée d'immeuble, ntest exposé à aucun risque de détérioration pendant la période de chauffage et qui, au moment du ramonage, fonctionne de façon parfaite et sans incident.

De toute façon, l'invention sera bien comprise a 1' aide de la description qui suit, en référence au dessin schématique annexé, représentant, à titre d'exemple non limitatif, une forme d'exécution de ce dispositif:
Fig. 1 est une vue en coupe longitudinale d'une cheminée munie d'un dispositif de ramonage selon l'inven- tion, notamment de sa partie supérieure et de sa partie inférieure, suivant I - I de fig. 2;
Fig. 2 est une vue en coupe transversale de la cheminée et des tambours d'enroulement des câbles qui font partie du dispositif de ramonage, suivant II - II de fig.

1;
Fig. 3 est une vue de dessus de la cheminée et du support du dispositif de ramonage, au sommet de celle ci, le chapeau de ce support ayant été enlevé.

Le dispositif de ramonage selon l'invention, qui peut être installé à demeure sur une cheminée 1, dont seules les parties supérieure et inférieure sont représentées à la figure l, est constitué principalement par un câble supérieur de traction 2, à l'extrémité libre 3 duquel peut être accroché un hérisson de ramonage 5, lorsqu'on laisse descendre la dite extrémité en regard d'une trappe de ramonage 4, représentée sommairement en traits discontinus.

On peut alors, en tirant sur le câble 2, déplacer le hérisson vers le haut et nettoyer ainsi la section intérieure de la cheminée. il est prévu au-dessus de la cheminée i dans la forme d'exécution représentée deux poulies de renvoi 6 tournant sur des axes parallèles, autour desquelles passe le câble 2 avant de s'étendre vers le bas à 1' intérieur d'une cheminée d'aération 7 parallèle à la cheminée de chauffage 1 et d'arriver jusqu'au tambour 8 autour duquel il est enroulé.

Pour pouvoir ramener le hérisson 5 ou autre outil de ramonage similaire au bas de la cheminée t en surmontant une force de frottement qui peut être parfois consi dérable, il est prévu un second cable de traction ou câble inférieur 9, dont la longueur est telle qu'il peut s'étendre jusqu'au sommet de la cheminée 1 et qui présente à son extrémité supérieure li un organe de raccordement 12 qui permet de le relier de façon amovible à l'extrémité inférieure du hérisson. Entre deux opérations de-ramonage, lorsqu'on a retiré le hérisson, cette extrémité 11 du câble 9 et l'organe de raccordement 12 se trouvent dans la zone du fond 13 de la cheminée, tandis que l'extrômitô libre 3 du câble supérieur 2 se trouve au sommet 10 de la cheminée.

On peut voir à la figure 2 qu'il est prévu aussi un tambour 14 pour l'enroulement du second câble 9 en position de repos du hérisson. I1 convient de préciser qu'il peut être prévu des chaines à la place des câbles 2 et 9, notamment pour ltélément de traction supérieur, lorsque, dans des cas particuliers, celui-ci ne peut être guidé à I'extérieur de la cheminée 1.

On peut voir a la figure 2 que les deux tambours 8 et 14 prévus pour l'enroulement des câbles 2 et 9 sont disposées coaxialement l'un a l'autre et qu'ils peuvent être accouplés l'un a l'autre, notamment lorsque les deux câbles 2 et 9 sont attachés au hérisson 5, pour effectuer une opération de ramonage. il suffit alors pour ramoner la cheminée 1 de tourner une seule manivelle 15 pour exercer un effort de traction sur l'un ou l'autre câble, suivant le sens de la rotation. Il peut être prévu a la place de la manivelle un autre dispositif de manoeuvre, par exemple un volant, voire un système d'entraînement par moteur.

La figure 2 montre que le tambour 14 pour l'enroulement du câble inférieur 9 est libre en rotation sur son axe 16, tandis que l'autre tambour 8 est calé sur cet axe.

Pour l'accouplement des deux tambours 8 et 14 on peut solidariser en rotation le tambour 14, soit avec 1' axe 16, soit avec le tambour 8. Dans la forme d'exécution représentée, un volant 17 est calé sur l'axe 16 et ce volant peut être lié en rotation au tambour fou 14 au moyen d'une vis de serrage 18. De même, on peut voir qu'une autre vis de serrage 19 immobilise les tambours 8 et 14 en position de repos, cette vis traversant un élément fixe 20 du dispositif.

On peut voir à la figure 1 un poids 21 monté dans la zone de l'extrômitô libre 3 du câble supérieur 2. Après déblocage du tambour 8, ce poids entraîne l'extrémité libre 3 vers le bas jusque dans la zone de la trappe 4, ce qui permet d'attacher le hérisson 5. De ce point de vue aussi il est avantageux que les tambours puissent être immobilisés.

On peut voir nettement a la figure 3 comment la cheminée de chauffage 1 et celle d'aération 7 sont disposées parallèlement l'une à l'autre, le câble supérieur 2 étant guidé dans cette dernière. On peut voir aussi une traverse 22, sur la face inférieure de laquelle sont fi xées les poulies de renvoi 6. Cette traverse est surmontée d'un chapeau 23 (cf. fig. 1).

Le socle 24 à l'extrômitô inférieure de la cheminée 1 est traversé par deux tubes de guidage 25, un pour chaque câble 2, 9, l'entrée 26 de chaque tube 25 étant tournée vers le tambour respectif 8 ou 14, lequel est fixé contre l'extérieur du socle 24. On voit nettement que l'enroule- ment du câble 2 sur le tambour 8 s'effectue dans le sens inverse de celui de l'enroulement du câble 9 sur le tambour 14, de sorte qu'en tirant le hérisson vers le haut a l'aide du câble 2 on déroule le câble 9 et qu'en le tirant vers le bas à l'aide du ce câble, on déroule le câble 2.

Comme il va de soi et comme il ressort de ce qui précède, l'invention ne se limite pas à la forme d'exécution qui vient d'être décrite a titre d'exemple seulement; elle en embrasse, au contraire, toutes les variantes de réalisation.

Claims (12)

- REVENDICATIONS

1.- Dispositif pour le ramonage d'une cheminée, dans lequel un hérisson ou autre brosse de ramonage similaire est déplaçable alternativement vers le haut et vers le bas a l'aide d'un élément de traction a l'intérieur de la cheminée pour son nettoyage et le dit élément de traction est passé autour d'au moins une poulie de renvoi installée de préférence au-dessus de la cheminée et est amené a un dispositif d'actionnement, de préférence un tambour, le brin de cet élément qui va du tambour à la poulie de renvoi étant guidé dans un canal qui est extérieur au conduit de fumée proprement dit, caractérisé en ce qu' il comporte un second élément de traction (98 d'une longueur telle qu'il peut s'étendre jusqu'au sommet (10) de la cheminée (1), qui est muni à son extrémité supérieure (11) de moyens de raccordement (12) permettant de le relier de façon amovible à l'extrémité inférieure du hérisson (5) et qui, en position de repos, lorsque le hérisson a été détaché et retiré de la cheminée, a son extrémité supérieure (iî) dans la zone (13) du fond de celle-ci, tandis que le premier élément de traction (2), qui portait le hérisson, a son extrémité supérieure (3) dans la zone du sommet (10) de la cheminée.

2.- Dispositif selon la revendication 1, caractérisé en ce qu'il est prévu un tambour (14) pour recevoir le second élément de traction (9), par exemple en position de repos.

3.- Dispositif selon la revendication 1 ou la revendication 2, caractérisé en ce qu'il est prévu comme é- cément de traction des câbles1 notamment des câbles métalliques, et/ou des chaines.

Dispositif selon l'une quelconque des revendications 1 t 3, caractérisé en ce qu'il est prévu pour deux câbles de traction (2,9) deux tambours ou tronçons de tambour coaxiaux (8,14), qui, lors du ramonage, lorsque les deux éléments de traction sont raccordés au hérisson (5!, peuvent être accouplés l'un à l'autre.

5.- Dispositif selon la revendication 4, caractéri sé en ce qu'il est prévu une seule manivelle (155 ou autre moyen de manoeuvre pour entraîner en rotation les deux tambours (8,14) après leur accouplement.

6.- Dispositif selon l'une quelconque des revendications i à 5, caractérisé en ce qu'un (8) des tambours est calé sur son axe (lb), tandis que le second tambour (147 est libre en rotation sur cet axe, notamment sur un prolongement de ce dernier.

7.- Dispositif selon l'une quelconque des revendications 1 à 6, caractérisé en ce que pour l'accouplement des deux tambours (8,14), le tambour libre en rotation (14) peut être rendu solidaire en rotation, soit de l'axe (16), soit du tambour (8) calé sur l'axe (16), soit d'un volant (17) calé sur l'axe, soit de l'un et de l'autre.

8.- Dispositif selon l'une quelconque des revendications 1 à 7, caractérisé en ce qu'il est prévu pour 1' accouplement des deux tambours coaxiaux (8,14) une vis de serrage (18), une broche ou un autre organe de liaison similaire.

9.- Dispositif selon l'une quelconque des revendications, caractérisé en ce que le tambour (8) calé en rotation sur l'axe peut être immobilisé en rotation, en position de repos, contre un élément fixe (20), de préférence au moyen d'une vis de serrage (19).

10.- Dispositif selon l'une quelconque des revendications 1 à 9, caractérisé en ce qu'un poids (21) est monté à l'extrémité (3) par laquelle le premier élément de traction (2) est raccordé à l'extrômitô supérieure du hérisson (5).

11.- Dispositif selon l'une quelconque des revendications i à 10, caractérisé en ce qu'il est prévu à l'ex trémité inférieure de la cheminée (1), à l'intérieur du socle (24) de celle-ci, au moins un tube de guidage (25) pour le câble inférieur (9) et le cas échéant deux tubes de guidage, un pour chaque câble (2,9), dans sa partie guidée dans cette zone.

12.- Dispositif selon l'une quelconque des revendications î à 11, caractérisé en ce que le câble (2' raccordé à l'extrémité supérieure du hérisson (5) est guidé dans un tube vide, tel qu'une cheminée d'aération (7), qui s'étend vers le haut contre l'extérieur de la cheminée (1).

13.- Dispositif selon l'une quelconque des revendications 1 à 12, caractérisé en ce que l'entrée (26) des tubes de guidage (25) dans le socle (24) de la cheminée est tournée vers le tambour respectif (8,14) fié contre l'extérieur du socle (24), tangentiellement a ce tambour.

14.- Dispositif selon l'une quelconque des revendications 1 à 13, caractérisé en ce que les câbles (2,9) s' enroulent en sens inverse l'un de l'autre sur leur tambour respectif (8,14).