EP1026969B1

EP1026969B1 - Dispositif de retenue et/ou d'immobilisation de lacets, en particulier pour chaussures de sport

Info

Publication number: EP1026969B1
Application number: EP98947592A
Authority: EP
Inventors: Philippe Kleinmann
Original assignee: Individual
Current assignee: Individual
Priority date: 1997-10-31
Filing date: 1998-10-02
Publication date: 2002-03-20
Anticipated expiration: 2018-10-02
Also published as: AU9445298A; US6338186B1; FR2770381B1; EP1026969A1; DE69804340D1; FR2770381A1; ATE214559T1; CA2306848A1; JP2001521769A; WO1999022616A1

Description

La présente invention a pour objet un dispositif de retenue et/ou d'immobilisation de lacets, en particulier pour chaussures de sport. De tels dispositifs sont par exemple décrits dans les documents EP-A-122 139, US-A-4 553 293 et US-A-3 176 362.

Il est bien connu, en particulier des sportifs, que les chaussures les plus confortables, qui permettent les meilleures performances et sont également les plus seyantes, sont des chaussures à lacets. Mais il est également connu que les lacets sont la source de nombreux ennuis.

Parmi les inconvénients que présentent les lacets, on peut relever que le noeud peut se défaire, ce qui entraíne l'obligation de le refaire dans un endroit ou une position qui ne sont pas toujours confortables, un noeud défait pouvant être la source d'accident, en particulier de chute, parce que le sportif se prendra les pieds dedans ou que le lacet se prendra dans un dérailleur, en particulier de vélo tout terrain (V.T.T.).

Pour éviter cela, on peut prévoir un double noeud, mais outre que cette solution n'est pas infaillible, elle présente l'inconvénient qu'il devient souvent très difficile de défaire le double noeud.

Comme autre inconvénient du lacet, on peut relever que si le lacet traíne par terre, il se salit et peut être mouillé ou chargé de boue, ce qui le fragilise et risque de salir les bas de pantalon et les chaussettes.

Si l'on prend des lacets très courts pour éviter ces inconvénients, on rencontre des difficultés à les nouer.

C'est pourquoi, de nombreux dispositifs ont été imaginés, en particulier des pinces élastiques que l'on vient fixer sur le lacet, près de son extrémité ou à un autre niveau. Cependant, à ce jour, aucune solution vraiment satisfaisante n'a été développée, tant au niveau pratique, qu'au niveau esthétique et au niveau du prix de revient.

L'invention a pour objet un nouveau dispositif de retenue et/ou d'immobilisation de lacets, en particulier pour chaussures de sport, qui est à la fois extrêmement pratique d'emploi, fiable, peu coûteux, un même modèle s'adaptant à de très nombreux types de chaussures différentes, à de très nombreux types d'emplois différents, cela au gré de l'utilisateur, du type de chaussures et du sport pratiqué.

Le dispositif de retenue et/ou d'immobilisation de lacets conforme à l'invention se caractérise en ce qu'il se présente sous la forme d'un tronçon de tube, articulé en deux parties autour d'une charnière constituant une génératrice du tube, parallèle à son axe, verrouillable en position fermée et déverrouillable pour permettre l'introduction ou le retrait du lacet formé en un faisceau, l'une au moins des deux parties précitées du tronçon de tube comportant un moyen de fixation à une partie de solidarisation de la chaussure, constituée avantageusement par au moins deux trous pour le passage du lacet à immobiliser et sa fixation sur lui, et le diamètre d'ouverture du tube en position verrouillée correspondant sensiblement au faisceau de lacet à immobiliser.

De façon pratique et avantageuse, le diamètre d'ouverture du tube (en position verrouillée) correspond sensiblement au diamètre d'un faisceau de quatre à huit épaisseurs de lacet. De la sorte, on comprend qu'il sera possible d'enfermer dans le dispositif le lacet, par exemple noué, en enfermant les deux boucles et les deux brins d'extrémité libre du lacet, ou si le lacet n'est pas noué, l'ensemble des extrémités libres du lacet assemblé en un faisceau de longueur réduite, et qui sera maintenu convenablement sur le dessus de la chaussure, vers la base, si le dispositif a été placé en cet endroit, ou vers le haut, par exemple vers la cheville, si le dispositif a été placé plus haut sur le lacet, le tout pouvant alors être caché sous le revers d'une chaussette.

L'invention et sa mise en oeuvre ainsi que diverses variantes de conception et d'utilisation apparaítront plus clairement à l'aide de la description qui va suivre, faite également en référence aux dessins annexés.

Dans les dessins ont été représentés deux modes de réalisation du dispositif de l'invention et un mode d'utilisation, ces modes de réalisation et d'utilisation n'étant nullement limitatifs, comme on le comprendra aisément de la description qui va suivre.

Dans les dessins:

la figure 1 montre une vue de dessus d'un dispositif conforme à l'invention, mis en place sur une chaussure de sport, type chaussure de tennis ou de course à pied, comportant un laçage croisé, le dispositif étant montré en position d'ouverture, et les lacets étant défaits ;
la figure 2 montre la même chaussure que celle de la figure 1, le dispositif de l'invention étant à moitié refermé sur les lacets noués qui vont enfermer une boucle et une extrémité basse de lacet;
la figure 3 montre le même dispositif en place verrouillé sur le lacet;
la figure 4 montre en vue perspective, à plus grande échelle, le dispositif de l'invention conforme à la figure 1, en position d'ouverture:
la figure 5 est une vue en coupe médiane faite sensiblement dans le plan V - V de la figure IV;
la figure 6 montre en coupe médiane le dispositif de l'invention en position fermée, verrouillée.
la figure 7 montre en vue perspective et en position ouverte un second mode de réalisation d'un dispositif conforme à l'invention ;
la figure 8 montre en vue perspective le même dispositif en position fermée ;
la figure 9 montre à plus grande échelle, posé à plat selon la direction de la flèche IX de la figure 7, ce dispositif ;
la figure 10 est une vue en coupe faite dans le plan médian X-X de la figure 9;
la figure 11 montre à la même échelle que les figures 9 et 10 le dispositif en position de fermeture dans lequel ont été figurés huit cercles illustrant l'encombrement de huit brins de lacets qui ne seraient pas comprimés et qui pourront être maintenus fermement à l'intérieur du dispositif.

On décrira maintenant tout d'abord le mode de réalisation et d'utilisation décrits aux figures 1 à 6.

En se reportant tout d'abord à la figure 4, on voit le dispositif référencé dans son ensemble 10, constitué essentiellement de deux parties 11, 12, réunies par une charnière 13. Comme on le voit aux figures, le dispositif conforme à l'invention se présente sous la forme d'un tronçon de tube, qui dans l'exemple illustré a une section circulaire, et qui est articulé en deux parties autour de la charnière 13, constituant une génératrice du tube parallèle à son axe référencé z'z à la figure 4. Cette charnière peut être une charnière d'articulation classique ou alors simplement constituée par une génératrice affaiblie en cet endroit de la paroi du tube. Les deux parties 11, 12, du tronçon de tube sont sensiblement symétriques par rapport à leur plan de jonction en position fermée du dispositif (voir figure 6).

Pour assurer le verrouillage du dispositif en position de fermeture, la partie 11 comporte un cran de verrouillage 14 qui vient se verrouiller dans un cran coopérant de retenue 14' formé en regard sur l'autre partie.

Dans l'exemple de réalisation illustré, quatre trous référencés 15, 16, 17, 18, ont été formés dans la partie 12. Ces trous sont formés par paire, respectivement 15, 16, et 17, 18, chaque paire de trous étant située dans un plan sensiblement perpendiculaire à l'axe du tube. Ainsi, à la figure 4, on voit que les trous 15, 16, sont situés sur une droite y'y qui est orthogonale à l'axe z'z.

Bien entendu, l'ouverture des trous 15, 16, 17, 18, est faite pour permettre le passage aisé du lacet, les trous pouvant être circulaires ou par exemple ovales.

Comme on le comprend aisément, en observant plus particulièrement la figure 1, le positionnement des deux paires de trous 15, 16; 17, 18, à proximité les uns des autres, et par paires les uns au-dessus des autres, permet de positionner aisément le dispositif à l'endroit d'un passage croisé du lacet 19, à un niveau quelconque de la chaussure 20. Dans l'exemple illustré, le dispositif a été placé vers la base de la chaussure, entre le premier étage d'oeillets 21, 22, et le second étage d'oeillets, 23, 24. De façon plus précise, au moins un premier brin de lacet est passé dans les orifices 16 et 17 ou 15 et 18, bien que l'on puisse également passer aussi le deuxième brin dans les orifices complémentaires correspondants 15 et 18 ou 16 et 17 ; dans ce dernier cas cependant, le dispositif est fixé avec moins de mobilité sur la chaussure. Il est clair, cependant, que le dispositif pourrait être aussi bien placé entre les paires d'oeillets 23, 24 et 25, 26, ou entre les paires d'oeillets 25, 26 et 27, 28.

Il apparaít également tout aussi clairement que si le laçage n'est pas un laçage croisé mais un laçage droit, c'est-à-dire que les brins de lacets apparaissent sur la chaussure comme passant de l'oeillet 21 à l'oeillet 22, de l'oeillet 23 à l'oeillet 24, de l'oeillet 25 à l'oeillet 26, etc .., le dispositif peut être placé sur n'importe lequel de ces passages, en enfilant le lacet dans les trous de la paire 15, 16, ou de la paire 17, 18, au niveau choisi, par exemple l'étage d'oeillets 23, 24.

Aux figures 2 et 3, on a illustré que l'utilisateur avait noué les lacets de sa chaussure normalement, et qu'ensuite, il emprisonnait en un faisceau une boucle et une extrémité basse du lacet et verrouillait le dispositif sur le faisceau de trois brins ainsi formés. Il apparaít clairement que l'utilisateur aurait pu tout aussi bien enfermer les deux boucles et/ou les deux extrémités du lacet selon son gré. Quoi qu'il en soit, il est ainsi assuré que le lacet ainsi verrouillé ne pourra se défaire librement et ne traínera pas à terre.

Pour que le dispositif soit efficace et d'autre part esthétiquement plaisant, il est avantageux que la longueur du tube ne soit pas trop faible, ni trop grande. Le tronçon de tube aura ainsi de préférence, selon l'axe z'z, une longueur de l'ordre de quelques centimètres, par exemple, préférentiellement, entre 2 et 4 cm. Une telle longueur assurera généralement une bonne immobilisation du faisceau de lacet. Pour des applications spécifiques, d'autres dimensions pourraient cependant être adoptées, par exemple plus courtes, de l'ordre de 1 cm, voire moins.

Si l'on veut encore plus de souplesse d'utilisation, on peut prévoir plus de deux paires de trous, et par exemple trois paires de trous (non représenté), et de la même façon, les trous peuvent être prévus non pas seulement sur l'une des deux parties mais sur les deux parties du dispositif. Dans ce cas, il est possible d'utiliser le dispositif aussi bien dans un sens que dans le sens inversé. En particulier, si le tronçon de tube est moulé en matière plastique, selon une technique connue de moulage bi-matière, le dispositif sera aisément réalisé en deux couleurs, une pour la partie 11, l'autre pour la partie 12, et l'utilisateur pourra présenter à son gré, à la vue, l'une ou l'autre des deux parties du dispositif. Bien entendu, les tronçons de tube peuvent être décorés, porter tout marquage désiré, voire supporter, intégré de matière ou non, tout élément décoratif tel qu'une figurine par exemple. Si l'on utilise une conception en matière plastique moulée, la charnière 13 sera avantageusement une simple charnière-film, là encore selon des techniques de fabrication bien connues.

Dans le mode d'utilisation illustré, on a montré le dispositif fixé en position basse sur la chaussure. Etant donné que le dispositif se place simplement sur le lacet à toute hauteur voulue, il peut tout aussi bien se placer au niveau de la cheville, et dans ce cas, il peut permettre d'immobiliser le faisceau de lacet sans nouage des lacets si l'on désire une plus grande souplesse de mouvement au niveau de la cheville. Dans ce cas, tout le faisceau de lacet peut être caché sous le revers d'une chaussettte rabattue par dessus le dispositif. Cela permet de porter ainsi les lacets sans avoir à introduire le lacet dans la chaussure ou d'avoir des boucles qui pendent hors de la chaussure, avec les risques que cela présente.

Bien évidemment, quoique le dispositif illustré ait été montré avec une section circulaire, on peut donner au dispositif toute autre section, en particulier polygonale, par exemple carrée ou ovalisée, et dans ce cas, le terme "diamètre" utilisé correspond au diamètre d'un cercle qui présenterait la même surface d'ouverture que celle du dispositif.

Selon un second mode de réalisation illustré aux figures 8 à 11, le dispositif a une forme générale de tube ovalisé. Dans ces figures, pour simplifier la description et pour éviter des redites, des éléments similaires à ceux du premier mode de réalisation ont été référencés dans le second mode de réalisation par les mêmes nombres indicés prime.

On trouve ainsi un dispositif référé dans son ensemble 10' constitué essentiellement de deux parties 11' et 12' réunies par une charnière 13'. Le dispositif comporte également un cran de verrouillage 30, plus particulièrement visible aux figures 9 à 11, qui en position de fermeture du dispositif, vient se verrouiller dans une lumière 31 sous une languette 32 faisant légèrement saillie vers l'extérieur sur une tranche du dispositif. Dans la partie 11' ont été prévus, comme dans le premier mode de réalisation, quatre trous 15', 16', 17', 18' pour la fixation du dispositif dans la chaussure par passage dans certains au moins de ces trous d'une partie des lacets comme expliqué en relation avec le premier mode de réalisation.

Par rapport au premier mode de réalisation, les différences essentielles qui apparaissent sont les suivantes.

Tout d'abord, comme on le voit clairement à la figure 11, le dispositif présente une section générale ovalisée aplatie plutôt qu'arrondie circulaire.

D'autre part, la charnière 13' est d'un type connu à ouverture et fermeture élastiquement assistée, l'articulation de la charnière 13' se faisant dans le mode de réalisation illustré autour de deux lignes d'articulation 33, 34, reliant les deux parties 11',12' du dispositif, tandis qu'une languette élastique déformable 35 assiste le dispositif pour une ouverture franche, comme illustré à la figure 10, et également pour assister la fermeture, la présence de la languette obligeant en quelque sorte le dispositif à être soit ouvert, soit fermé. Le mécanisme de charnière élastique ne fait pas partie de l'invention dans la mesure où il appartient au domaine public tel que décrit notamment au brevet France 1 595 023 ou 2 007 294 auxquels on pourra faire référence.

A la figure 11, on aperçoit que le dispositif permettra d'enserrer avec une compression convenable huit brins de lacets. Dans une réalisation, si l'on donne au dispositif une hauteur hors tout h de l'ordre de 12 mm et une largeur hors tout de l'ordre de 18,5 mm, on pourra ainsi enserrer de façon convenable huit lacets d'un diamètre non comprimé de 4,5 mm. Pour un tel dimensionnement, la longueur hors tout du tube L pourra être par exemple de l'ordre de 25 mm. On observe également que pour la facilité d'utilisation ainsi qu'une meilleure esthétique, les deux extrémités du "tronçon de tube" que forme en position fermée le dispositif présentent des découpes arrondies, comme il apparaít plus clairement notamment aux figures 8 à 10.

Egalement en référence plus particulièrement aux figures 10 et 11, on voit que la partie 12' dans laquelle sont formés les trous 15' à 18' pour le passage des lacets n'est pas plate mais légèrement incurvée vers l'intérieur vers son milieu (au niveau de la flèche référencée 36 à la figure 10), ce qui facilitera encore le passage et la bonne tenue des lacets dans les paires de trous correspondants 15'-16', 17'-18'.

Bien que l'on ait décrit l'utilisation du dispositif de l'invention en relation avec des chaussures, ce qui sera le cas le plus pratique, il est clair que le dispositif peut également être appliqué à d'autres objets, en particulier des bottines, des corsets, des vestes, c'est-à-dire, de façon générale, tout article d'habillement comportant des oeillets et un lacet de serrage.

En outre, le dispositif bien qu'avantageusement fixé par simple enfilage sur un brin de lacet, à l'endroit le plus approprié, peut comporter un autre moyen de fixation à une partie de solidarisation de l'objet, tel qu'une chaussure, moyen de fixation qui pourra être un anneau, une bride, un passant ou tout autre lien qui se fixera au dispositif, à l'aide des trous mentionnés ou, par exemple, par collage, et qui sera lui-même fixé sur l'objet, soit à demeure, soit de façon amovible.

Claims

Dispositif de retenue et/ou d'immobilisation de lacets, en particulier pour chaussures de sport, caractérisé en ce qu'il se présente sous la forme d'un tronçon de tube (10), articulé en deux parties (11, 12), autour d'une charnière (13), constituant une génératrice du tube parallèle à son axe, verrouillable en position fermée et déverrouillable pour permettre l'introduction ou le retrait du lacet (19) formé en un faisceau, l'une au moins des deux parties précitées du tronçon de tube comportant au moins un moyen de fixation à une partie de solidarisation à la chaussure, et le diamètre d'ouverture du tube en position verrouillée correspondant sensiblement au diamètre du faisceau de lacet à immobiliser.
Dispositif selon la revendication 1, caractérisé en ce que le moyen de fixation est constitué par au moins deux trous (15, 16, 17, 18) pour le passage du lacet à immobiliser et sa fixation sur lui.
Dispositif selon la revendication 1 ou 2, caractérisé en ce que le diamètre d'ouverture du tube correspond sensiblement au diamètre d'un faisceau de quatre à huit épaisseurs de lacet.
Dispositif selon l'une des revendications précédentes, caractérisé en ce que les trous (15, 16, 17, 18) sont disposés par paires (15, 16 ; 17, 18) dans un plan sensiblement perpendiculaire à l'axe du tube.
Dispositif selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce qu'au moins deux paires de trous (15, 16 ; 17, 18) sont prévues.
Dispositif selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce qu'au moins trois paires de trous sont prévues.
Dispositif selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que les deux parties (11, 12) du tronçon de tube sont sensiblement symétriques par rapport à leur plan de jonction en position fermée du dispositif.
Dispositif selon l'une quelconque des revendications 1 à 6, caractérisé en ce que les deux parties du tronçon de tube sont disymétriques par rapport à leur plan de jonction en position fermée du dispositif.
Dispositif selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce qu'il est formé en une seule partie, par moulage en matière plastique, la partie de jonction étant du type film-charnière, l'une des deux parties (11) comportant un cran de verrouillage (14) qui vient se verrouiller dans un cran (14') coopérant de retenue formé en regard sur l'autre partie (12).
Dispositif selon la revendication 9, caractérisé en ce que la charnière est d'un type à ouverture et fermeture élastiquement assistée.
Dispositif selon l'une quelconque des revendications 1 à 8, caractérisé en ce que la charnière est constituée essentiellement par une génératrice dudit tube, avantageusement affaiblie.
Dispositif selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que le tronçon de tube est à section intérieure sensiblement circulaire ou ovalisée.
Dispositif selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que le tronçon de tube a une longueur de l'ordre de quelques centimètres, avantageusement comprise entre 2 cm et 4 cm.