EP0074293B1

EP0074293B1 - Emballage muni de pattes adhésives

Info

Publication number: EP0074293B1
Application number: EP82401499A
Authority: EP
Inventors: Pierre Chevalier
Original assignee: Individual
Current assignee: Individual
Priority date: 1981-09-11
Filing date: 1982-08-06
Publication date: 1984-12-12
Also published as: ES275401Y; CA1214141A; FR2512783B1; FR2512783A1; EP0074293A1; US4823954A; DE3261550D1; ES275401U; ATE10726T1

Description

Les opérations de conditionnement automatique d'objets dans des emballages, notamment en carton, sont effectuées par des machines qui assurent toutes les phases nécessaires y compris la fermeture par collage, agrafage, etc.
Lorsqu'il s'agit, au contraire, du conditionnement à la main, l'opération de fermeture est toujours délicate et relativement longue.
C'est la cas, par exemple, du conditionnement de livres ou de disques dans des emballages en carton pour l'expédition postale.
Cette fermeture est obtenue généralement en rabattant par pliage des élément tels que des parois ou des volets puis par collage de ces éléments au moyen d'un ruban adhésif de tout type connu.
On cannait déjà un emballage destiné à envelopper un ou plusieurs objets au plus près de leur contour, par pliage tranversal sur elle même .d'une bande selon des lignes parallèles. La bande comporte des volets latéraux qui se placent transversalement à elle et qui ne peuvent ni ne doivent être pliés lors du pliage de la bande. Il déterminent donc une partie non pliable de la bande qui constitue une base de longueur invariable.
Un tel emballage est décrit dans le brevet FR-A-2415 048 et présente de numbreux avantages mais sa fermeture présente des difficultés car étant destiné à des objets de dimensions variables, on ne connait pas avec précision la position relative des parties de la bande qui doivent se superposer.
Ainsi, comme l'indique ce brevet, utilise-t-on un lien (page 1, lignes 31 et 32) et l'invention décrite dans ce brevet consiste à prévoir des encoches dans lesquelles le lien doit passer afin de faire coopérer plus efficacement le lien de fermeture de l'emballage avec des faces en retrait que celui-ci comporte (page 3, lignes 10 et 14 à 16 ainsi que lignes 18 à 20).
Le brevet US-A-3455499 décrit lui aussi un emballage destiné à envelopper un ou plusieurs objets au plus près de leur contour par pliage transversal sur elle-même d'une bande selon des lignes parallèles.
Mais cet emballage a un périmètre de longueur constante et sa hauteur ne peut varier, pour s'adapter à différentes épaisseurs du contenu qu'en changeant de forme (figures 4 et 5, ainsi que colonne 3, lignes 36 à 39). Il en résulte que l'on sait par avance où doivent se placer les organes de fermetures constitués par de larges pattes adhésives.
La présente invention s'écarte tout à fait ce ces solutions connues en supprimant la nécessité d'un lien indépendant tout en garantissant une fermeture parfaite, quelle que soit la position relative des parties de la bande qui doivent se superposer et, cela, grâce à la structure particulière de l'emballage qui porte des propres moyens de fermeture.
L'invention simplifie et rationnalise l'opération de fermeture des emballage de ce type. Elle peut aussi être utilisée comme phase de conditionne ment dans des installations mécanisées automatiques.
A cette fin, l'invention a pour objet un emballage du type destiné à envelopper un ou plusieurs objets au plus près de son contour, par pliage transversal sur elle-même d'une bande selon des lignes parallèles qui déterminent d'une part une face formant base de longueur invariable prédéterminée par des volets latéraux et d'autre part des faces de longueurs variables selon les dimensions du ou des objets, deux des faces devant être superposées partiellement l'une contre l'autre selon les dimensions du ou des objets, caractérisé en ce qu'une des faces formant les extrémités de la bande comprend deux pattes symétriques latérales d'une longueur telle qu'elles puissent etre pliées et appliquées à l'extérieur de la face opposée à celle qui est formée par superposition de deux faces et en ce qu'un adhésif est prévu sur les extrémités des pattes et sur la face, de préférence en forme de bande continue s'étendant entre les extrémités des pattes.
Selon d'autres caractéristiques de l'invention:

- les deux pattes symétriques sont pliées et maintenues à l'intérieur du contour de la bande et sont destinées à être dépliées puis rabattues à l'extérieur du contour de ladite bande et, enfin, appliquées à l'extérieur de la face opposée;
- l'emballage comprenant de manière connue en soi deux faces latérales constituées par les volets ainsi que des renforts, les pattes sont déterminées par l'extrémité de la bande et par des fentes parallèles à ladite extrémité;
- lex deux faces latérales étant en retrait, la profondeur de ce retrait par rapport aux bords latéraux des autres faces de l'emballage est telle que les bords latéraux en regard des faces superposées, d'une part et de la base, d'autre part, peuvent être substantiellement rapprochés l'un de l'autre par ploiement;
- l'emballage étant du type prévoyant que devant les deux faces latérales en retrait doivent se trouver, lorsque l'emballage est en position d'utilisation, des cales connues en soi constituées par des languettes devant être repliée chacune sur elle-même, les pattes et les languettes sont symétriques par rapport à une ligne imaginaire médiane transversale à la bande afin qu'après pliage de ladite bande pour constituer l'emballage, les pattes rabattues par-dessus les faces latérales en retrait so trouvent, au moins partiellement, en face des cales;
- les bords latéraux de deux grandes faces étant munis d'encoches connues en soi, les fentes parallèles à l'extrémité des renforts sont prolongées dans la bande selon une distance égale à la profondeur des encoches afin que les pattes puissent être rabattues contre le fond desdites encoches.

L'invention sera mieux comprise par la des- crlption détaillée ci-après faite en reférence au dessin annexé. Bien entendu, la discription et le dessin ne sont donnés qu'à titre d'exemple indicatif et non limitatif.

La figure 1 est une vue en perpective d'une bande de carton ondulé repliée sur elle-même latéralement pour présenter des renforts et des volets de maintien des objets.
La figure 2 est une vue en perspective d'un emballage terminé et contenant des objets à emballer obtenu à partir de la bande représentée sur la figure 1.
Les figures 3 et 4 sont des vues schématiques partielles en coupe d'un emballage terminé du même type que celui décrit ci-dessus selon deux variantes.
La figure 5 est une vue en perspective d'une bande de carton ondulé repliée sur elle-même pour présenter des renforts et des volets de maintien des objets à emballer du type présentant des encoches latérales.
La figure 6 est une vue en perspective de l'emballage terminé et contenant les objets à emballer, obtenu à partir de la bande représentée sur la figure 5.
La figure 7 est une vue schématique faite en coupe selon la ligne VII-VII de la figure 6.

En se reportant à la figure 1, on voit un emballage de type connu qui est composé d'une bande (1) de carton ondulé comportant une face 1c sur laquelle sont repliés deux volets 2 et 3 ainsi que des renforts respectivement 4-5 et 6-7 situés de part et d'autre des volets 2 et 3.
Ainsi que cela est connu en soi, les volets 2 et 3 sont maintenus appliqués contre la face 1c formant base jusqu'à la ligne respectivement 8 et 9, notamment par collage ou agrafage.
Par rapport aux plis longitudinaux 10 et 11 selon lesquels les éléments décrits ci-dessus sont repliès sur la bande 1, les lignes 8 et 9 so trouvent à une distance x comme cela est particulièrement visible sur les figures 2 à 4.
Conformément à l'invention, deux pattes 12 et 13 sont obtenues en même temps que les renforts 6 et 7 et sont repliées avec eux tout en étant séparées de ceux-ci par deux fentes respectivement 14 et 15 interrompues pour constituer des ponts 16 et 17 grâce auxquels les patte 12 et 13 restent convenablement appliquées à l'intérieur du contour de la bande 1, comme les renforts 6:et 7, ce qui permet des manipulations sûres.
A côté des renforts 4 et 5 so trouvent, ici, deux languettes respectivement 18 et 19 munies de lignes de pliage transversales 20 et 21 grâce auxquelles des pattes d'extrémité 22 et 23 peuvent être engagées dans des fentes respectivement 24-25 pour constituer, sur chaque côté de l'emballage terminé, des cales dont une est visible sur la figure 3.
Ces cales, constituées par repliement d'une languette, se placent exactement dans l'espace de profundeur x qui subsiste entre le bord, ou pli latéral, de l'emballage (sur la figure 3, le pli 11) et la ligne sur laquelle les volets 2 et 3 sont redressés (la ligne 9 sur la figure 3).
Pour conditionner des objets, et notamment des livres et des disques qui se présentent sous diverses hauteurs, on redresse les volets 2 et 3 le long des lignes 8 et 9, puis l'on place les objets directement sur la face 1c, puis l'on rabat les extrémités libres des volets 2 et 3 sur le sommet des objets empilés en utilisant, pour cela, l'une quelconque de lignes de pliage pré-marquées 2a ou 3a, ainsi que cela est connu en soi.
Puis l'on constitue les cales par repliement des languettes 18 et 19 et l'on redresse l'extrémité des pattes 12 et 13 en brisant les ponts 16 et 17 qui sont de dimensions suffisamment petites pour se casser sans effort.
On peut alors terminer l'emballage en pliant la bande 1 transversalement à elle-même afin qu'elle enveloppe les objets placés sur la face 1 c et que l'extrémité (face) 1a de cette bande soit rabattue par-dessus l'extrémité opposée (face) 1b, ce qui donne un emballage du type représenté sur la figure 2.
L'extrémité 1a ainsi que les pattes 12 et 13 ont été préalablement munies d'une bande d'adhésif 26 qui s'étend de préférence continuement depuis l'extrémité de la patte 12 jusqu'à l'extrémité de la patte 13 ou sur les pattes 12 et 13 seulement.
Lorsque l'emballage est formé, on rabat les pattes 12 et 13 latéralement, à l'extérieur du contour de la bande 1, pour qu'elles passent devant les faces en retrait 2 et 3 de l'emballage et se collent sur la grande face de l'emballage formant base 1c qui est opposée à celle formée par superposition des extrémités 1 a et 1 b.
On voit que grâce à l'invention, la constitution de l'emballage lui-même n'est en rien modifiée et en revanche sa fermeture est très facile puisque la band 26 peut sans difficulté être obtenue avec un adhésif efficace et d'usage simple.
Il en résulte que la fermeture d'un tel emballage se fait de manière simple, rapide et quasi automatique, contrairement à ce qui se passe jusqu'à maintenant où l'on doit utiliser un ruban adhésif indépendant ou un lien tel qu'on élastique ou une ficelle à nouer.
La figure 3 représente le mode de réalisation selon lequel on prévoit des languettes 18 et 19 pour constituer des cales. Dans ce cas, les dimensions et les dispositions des différents éléments constituant l'emballage sont établies de telle sorte que les pattes 12 et 13 d'une part, et les languette 18 et 19 d'autre part, sont symétriques par rapport à une ligne imaginaire médiane transversale y de la bande 1, afin qu'après constitution de l'emballage, les pattes 12 et 13 rabattues par-dessus les faces latérales en retrait se trouvent, au moins partiellement, en face des ça tes 18 et 19.
Ainsi, les cales ne peuvent en aucun cas se dissocier accidentellement, au cours du transport, par extraction des pattes 22 et 23 hors des fentes 24 et 25 puisque les pattes 12 et 13 sont situées en regard des cales.
De plus, les pattes 12 et 13 tendent à appuyer les cales contre la partie redressée des volets et, par suite, contre les objets emballés A qui se trouvent ainsi convenablement immobilisés latéralement.
Mais, comme on le sait, un emballage de ce type peut aussi ne pas comporter de cales, c'est-à-dire être démuni des languettes 18 et 19.
Il peut aussi être démuni des renforts 4, 5, 6 et 7.
Un emballage de ce type est donc plus simple et plus léger, en particulier parce qu'il ne comporte qu'une épaisseur simple de carton pour constituer la bande 1 au lieu d'avoir une épaisseur doublée par la présence des renforts 4, 5, 6 et 7. Un tel emballage est corrélativement plus fragile mais plus économique.
Selon une variante de l'invention, on peut renforcer la rigidité de l'emballage et bloquer énergiquement à leur place les objets emballés A en appliquant aves tension, les pattes 12 et 13 contre la grande face 1c de l'emballage qui est opposée à celle sur laquelle se trouvent les extrémités 1a et 1b, afin que les bords latéraux de l'emballage soient déformés l'un vers l'autre, comme cela est représenté sur la figure 4, pour caler latéralement les objets emballés A et donner aux faces latérales constituées par les volets 2 et 3 de l'emballage une sorte de précontrainte qui contribue efficacement à sa solidité.
Lorsque l'on adopte la variante selon laquelle on utilise des cales latérales, on peut prévoir que celles-ci ont une section sensiblement triangulaire ou trapézoïdale comme représenté sur la figure 3 ou, de préférence, une section rectangulaire grâce à laquelle la cale a un bord extérieur non plus incliné comme représenté sur la figure 3 mais vertical, de sorte que les pattes 12 et 13 peuvent s'appliquer sur toute la longueur de la face extérieure de la cale. On obtient ainsi un effet comparable à celui obtenu avec le pincement représenté sur la figure 4 puisqu'en appliquant énergiquement les pattes 12 et 13 on tend à bloquer latéralement les objets à emballer A.
Naturellement, les dispositions qui viennent d'être décrites sont encore plus efficaces si la bande d'adhésif 26 est appliquée sur la face extérieure de la cale car, alors, celle-ci ne peut en aucun cas se déplacer latéralement et l'emballage entier présente une grande rigidité propice à sa solidité.
En se reportant maintenant aux figures 5 à 7, on voit un mode de réalisation d'un emballage du même type que celui qui vient d'être décrit à quelques variantes près.
En particulier, on voit que les languettes 18 et 19 n'existent pas mais, en revanche, on trouve quatre encoches 30, 31, 32 et 33 prévues sur les bords longitudinaux 10 et 11 selon une profondeur z.
Les mêmes éléments que ceux des figures 1 à 4 portent les mêmes références.
Comme déjà indiqué plus haut, un emballage de ce type réalisé selon le brevet FR-A-2 415 048, ne peut être fermé qu'au moyen d'un lien rapporté, qu'il s'agisse d'un ruban adhésif, d'un anneau élastique ou d'une ficelle nouée.
Généralement, un tel lien est placé dans le sens longitudinal par rapport l'axe de la bande 1 c'est-à-dire transversalement aux extrémités 1 a et 1 b lorsque l'emballage est terminé.
Mais en prévoyant les encoches 30 à 33, il est possible de placer le lien transversalement à l'emballage terminé en prenant garde que ce lien passe dans les encoches alignées deux à deux: 30 et 31 d'une part, 32 et 33 d'autre part.
Les bords de ces encoches assurent le maintien du lien et s'opposent à son glissement.
Conformément à la présente invention, les encoches 30 à 33 sont prévues de telle manière que les pattes 12 et 13 se placent elles aussi dans les encoches en passant devant les faces latérales en retrait, ainsi que cela est représenté sur les figures 6 et 7.
Pour que les bandes 12 et 13 puissent se replier au même niveau que le fond des encoches, les fentes 14 et 15 parallèles à l'extrémité des renforts 6 et 7 sont prolongées dans la bande 1 proprement dite selon une distance Z égale à profondeur z des encoches afin que les pattes 12 et 13 puissent être rabattues contre le fond desdites encoches 30 à 33.
L'invention s'applique à de simples enveloppes démunies de faces latérales et non pas seulement aux exemples retenus ici.
En effet, un emballage selon l'invention a une hauteur réglable selon l'épaisseur de l'objet à emballer. Si celui-ci est très plat (une feuille simple, par exemple, que l'on veut protéger contre tout pliage accidentel), il n'a pas réellement de faces latérales. Si au contraire l'objet est épais: un ou plusieurs livres, plusieurs magazines, un coffret de disques etc., les volets 2 et 3 sont pliés pour avoir la hauteur voulue. Ils constituent alors de véritables faces latérales, adjacentes aux deux grandes faces (supérieure et inférieure).
L'emplacement du collage varie donc d'un emballage à un autre selon ce qu'ils contiennent.
Grâce à l'invention, on rend solidaires les deux plans parallèles que constituent ces deux grandes faces opposées en franchissant les faces latérales, quelle que soit leur hauteur, tout en assurant le collage dans tous les cas, au moyen de la bande d'adhésif 26 protégée, avant usage, par un ruban amovible.

Claims

1. Emballage du type destiné à envelopper un ou plusieurs objets (A) au plus près de son contour, par pliage transversal sur elle-même d'une bande (1) selon des lignes parallèles qui déterminent d'une part une face (1c) formant base de longueur invariable prédéterminée par des volets latéraux (2, 3) et d'autre part des faces (1a, 1 b) de longueurs variables selon les dimensions du ou des objets (A), deux des faces (la, 1 b, 1c) devant être superposées partiellement l'une contre l'autre selon les dimensions du ou des objets (A), caractérisé en ce qu'une (1a) des faces formant les extrémités de la bande (1) comprend deux pattes symétriques latérales (12, 13) d'une longueur telle qu'elles puissent être pliées et appliquées à l'extérieur de la face opposée à celle qui est formée par superposition des deux faces (1 a, 1 b, 1 c), et en ce qu'un adhésif (26) est prévu sur les extrémités des pattes (12, 13) et sur la face (1a), de préférence en forme de bande continue s'étendant entre les extrémités des pattes (12, 13).

2. Emballage selon la revendication 1, caractérisé en ce que les deux pattes symétriques (12, 13) sont pliées et maintenues à l'intérieur du contour de la bande (1) et sont destinées à être dépliées puis rabattues à l'extérieur du contour de ladite bande (1) et, enfin, appliquées à l'extérieur de la face opposée.

3. Emballage selon la revendication 1, caractérisé en ce que ledit emballage comprenant de manière connue en soi deux faces latérales constituées par les volets (2, 3) ainsi que des renforts (6, 7), les pattes (12, 13) sont déterminées par l'extrémité (1a) de la bande (1) et par des fentes (14, 15) parallèles à ladite extrémité (1a).

4. Emballage selon la revendication 3, caractérisé en ce que les deux faces latérales (2, 3) étant en retrait, la profondeur (x) de ce retrait par rapport aux bords latéraux des autres faces de l'emballage est tel, que les bords latéraux en regard des faces superposées (1a et 1b), d'une part et de la base (1c), d'autre part, peuvent être substantiellement rapprochés l'un de l'autre par ploiement.

5. Emballage selon la revendication 3 du type prévoyant que devant les deux faces latérales (2, 3) en retrait doivent se trouver, lorsque l'emballage est en position d'utilisation, des cales connues en soi constituées par des languettes (18, 19) devant être repliées chacune sur elle-même, caractérisé en ce que les pattes (12,13) et les languettes (18, 19) sont symétriques par rapport à une ligne imaginaire médiane (y) transversale à la bande (1) afin qu'après pliage de ladite bande (1) pour constituer l'emballage, les pattes (12, 13) rabattues par-dessus les faces latérales en retrait (2, 3) se trouvent, au moins partiellement, en face des cales (18,19).

6. Emballage selon la revendication 3, caractérisé en ce que les bords latéraux (10, 11) de deux grandes faces étant munis d'encoches (30 à 33) connues en soi, les fentes (14, 15) parallèles à l'extrémité des renforts (6, 7) sont prolongées dans la bande (1) selon une distance égale à la profondeur (z) des encoches (30 à 33) afin que les pattes (12, 13) puissent être rabattues contre le fond desdites encoches (30 à 33).