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"Unité d'emballage remplie de lampes électriques emballées.
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L'invention concerne une unité d'emballage remplie de lampes électriques emballées comportant : des boîtes présentant la forme d'un bloc rectangulaire, contenant chacune au moins une lampe électrique ; un plateau rectangulaire présentant une paroi de base, de premières et de deuxièmes parois latérales opposées mutuellement reliées et s'étendant à partir de la paroi de base, rempli d'une multitude de boîtes disposées en rangées ; et une enveloppe munie d'une fermeture, comportant le plateau rempli de ces boîtes.
On connaît une telle unité d'emballage du document DE GM 84 03 320.
Dans le cas de l'unité connue, l'enveloppe est constituée d'une boîte extérieure. Le plateau y est disposé pour former une deuxième couche de boîtes sur une première couche de boîtes placée séparément dans la boîte extérieure. La boîte extérieure est fermée à ses faces supérieure et inférieure par l'intermédiaire de rabats qui se recouvrent partiellement et qui, en position fermée, sont fixées avec de la bande adhésive. Dans ses parois latérales, la boîte extérieure présente des lignes de perforation et des bandes de déchirage qui se raccordent, afin de pouvoir enlever sa face supérieure ainsi que des parties de ses parois latérales et afin de rendre accessibles les boîtes remplies de lampes de la couche supérieure.
Un inconvénient important de l'unité connue est que lors de l'ouverture de la boîte extérieure, aussi bien qu'après l'enlèvement de toutes les boîtes de la boîte extérieure, l'on obtient des restes de matériau d'emballage volumineux qui ne peuvent être refaçonnés que difficilement de manière à constituer des restes plats. Un autre inconvénient important est que la boîte extérieure munie de ses rabats supérieurs et inférieurs qui se recouvrent partiellement exige une quantité de matériau relativement élevée. Encore un autre inconvénient est qu'il faut d'abord plier l'ébauche de la boîte de manière à constituer un manchon en reliant une première paroi latérale avec une dernière paroi latérale, avant que l'on ne puisse achever la formation de la boîte
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extérieure.
Ce n'est qu'après avoir complété la formation de la boîte extérieure en fermant sa face inférieure que l'on peut utiliser la boîte pour y placer les boîtes remplies de lampes. Egalement les boîtes disposées sur un plateau dans la boîte extérieure, doivent être placées les unes après les autres dans la boîte extérieure puisque, dans le cas d'un tassement exempt de cliquetis, l'espace au côté dans la boîte extérieure manque pour maintenir un plateau rempli et pour le placer en une seule fois dans la boîte.
Un autre inconvénient de l'unité connue est encore que, au début, les boîtes constituant la couche inférieure ne peuvent être prises dans la boîte extérieure que l'une après l'autre. Cela est sensiblement désavantageux à l'endroit de vente ou d'utilisation où des restes de la boîte extérieure ne sont pas acceptables, par exemple, puisqu'ils finissent par constituer des restes de matériau d'emballage volumineux.
Du document US 1 888 855 (1932) on connaît une unité d'emballage, constitué d'un manchon en carton horizontal dans lequel on a glissé, deux à deux, six manchons ouverts verticaux munis d'une lampe électrique. Dans le manchon en carton, on a découpé des languettes qui pénètrent dans les manchons extérieurs munis de lampes pour fixer lesdits manchons. Cette unité ne convient pas pour étaler facilement et rapidement un'nombre de lampes relativement élevé pour des fins de vente ou d'utilisation.
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L'invention vise à fournir une unité d'emballage du type défini dans le , qe fuii préambule, qui exige relativement peu de matériau d'emballage alors qu'elle maintient les boîtes solidement fixées. L'invention vise encore à fournir une unité d'emballage permettant d'introduire facilement un plateau rempli de boîtes, aussi dénommé ci-après "paquet", dans l'enveloppe, aussi bien que de l'en sortir facilement. En outre, l'invention vise à fournir une unité d'emballage qui permet d'obtenir l'enveloppe facilement à partir d'un morceau de matériau plat préformé et qui, après usage, permet de plier facilement l'enveloppe de manière à constituer un morceau de matériau plat.
Ce but est réalisé dans une unité d'emballage du type défini dans le préambule du fait que l'enveloppe est constituée d'une bande pliée suivant des lignes de pliage parallèles, qui entoure la paroi de base et les premières parois latérales du plateau ainsi qu'une face des boîtes située à l'opposé de la paroi de base pour enserrer le plateau rempli de boîtes.
L'enveloppe ne doit comporter que quatre des six faces du paquet constitué par un plateau rempli de boîtes. De ce fait, ainsi que du fait qu'une paroi de
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base de l'enveloppe est exempte de rabats qui se recouvrent partiellement, dont au contraire est munie une boîte extérieure, la bande comporte peu de matériau d'emballage.
L'unité peut être facilement formée en disposant le plateau rempli de boîtes sur l'ébauche de la bande, en entourant le paquet de la bande et en fermant cette dernière. On n'obtient la forme tridimensionnelle de l'enveloppe que lorsque les boîtes y sont disposées. Ainsi, il est également facile de déballer le paquet, par exemple, en ouvrant la fermeture de la bande. On obtient alors un reste plat de la bande, par exemple l'ébauche.
On peut enlever la bande du paquet à l'endroit de vente ou d'utilisation même, s'il n'est plus nécessaire de transporter le paquet. Une seule manipulation suffit alors pour placer le paquet, par exemple, dans un rayon et là on peut prendre les boîtes du plateau si besoin en est.
L'unité présente l'avantage qu'il n'est pas nécessaire d'imprimer la bande pour indiquer quel type de lampe est contenu dans l'emballage si les boîtes elles-mêmes présentent déjà cette indication. Puisque les faces du paquet qui ne sont pas recouvertes par la bande donnent une vue illimitée sur des parties des boîtes s'étendant au-delà des deuxièmes parois latérales du plateau.
La bande enserre, avec force, le plateau rempli de boîtes. A cet effet, la dimension de la bande est inférieure à celle du paquet. Des écartements entre les lignes de pliage de la bande sont inférieurs, si ce n'est que légèrement, aux longueurs que la bande doit entourer lors de l'emballage. De ce fait, on peut obtenir entre la bande et le paquet, en dépit de leurs surfaces lisses, un frottement suffisant qui fait en sorte que la bande enserre le paquet solidement. Il est clair pour l'homme de l'art quelle doit être la sousdimension de la bande, d'un cas à l'autre, pour obtenir une force de serrage.
Bien que le paquet comporte un plateau rempli d'une multitude de boîtes et que ledit paquet soit enserré avec force par la bande, il est facile de réaliser l'unité, du fait qu'il n'est nécessaire de former l'enveloppe que lorsque le paquet est présent.
Ainsi, on peut éviter non seulement que lors de la réalisation de l'unité le paquet doit 1 surmonter du frottement, par exemple lorsqu'il devrait être glissé dans un manchon, mais encore que chaque boîte en s'approchant d'un manchon y resterait accrochée de manière à devoir y être introduite individuellement. Puisqu'une force de serrage que le manchon exerce sur le paquet implique que les boîtes sont situées quelque peu serrées
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dans la bande. Lorsqu'on utilise un manchon, elles devraient recevoir cette compression du dehors avant de n'être introduites dans ladite bande.
Dans un mode de réalisation avantageux, un deuxième paquet est situé sur les boîtes du plateau, dans la bande. Un avantage de ce mode de réalisation est que la bande exige alors moins de matériau d'emballage que toutes les bandes ensemble pour entourer individuellement le même nombre de paquets.
Un autre avantage d'une unité comportant un deuxième paquet réside dans l'empilage amélioré de l'unité, par exemple sur une palette.
Conformément à l'invention, il est avantageux de disposer l'unité sur une face de la 1 bande, la paroi de base du plateau étant située verticalement. La paroi de base du plateau contribue alors à soutenir la masse d'une deuxième unité et d'unités successives superposées.
Dans le cas qu'une bande ne comporte qu'un seul plateau muni de boîtes, l'unité horizontale présente à l'endroit du plateau, du fait de ses premières parois ; latérales, une hauteur supérieure à celle de la face située à l'opposé du plateau. Des unités empilées dans la même position constitueraient un entassement oblique. En effet, des unités empilées tête-bêche constitueraient un entassement droit, mais la possibilité d'empilage est restreinte à cause des surfaces supérieures obliques pouvant provoquer un déplacement des unités.
En présence d'un deuxième plateau dans l'unité, l'unité présente un deuxième endroit ayant les mêmes dimensions que l'endroit du premier plateau. Si les unités sont empilées horizontalement c'est-à-dire la paroi de base étant située verticalement dans la même position, on obtient un entassement droit stable présentant des faces sensiblement horizontales entre les unités. H existe également autant d'endroits rigidifiés dans l'unité qu'il y a de plateaux.
Il est à noter que depuis longtemps déjà on connaît des bandes dans lesquelles sont emballées plusieurs articles de types divers, présentant toutes sortes de formes et toutes sortes de fermetures. Ces bandes présentent des fenêtres d'où sortent des saillies dont sont munis ces produits. Ces saillies, savoir des endroits de produit ; présentant des dimensions latérale ou longitudinale relativement élevées, permettent que les produits restent enfermés entre les bandes grâce aux fenêtres adaptées à leur forme.
Les produits et la bande constituent des structures qui s'emboîtent. Le document GB 1
436 166 décrit une bande comportant, par exemple, des bouteilles, le document GB 1
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512 521 décrit une bande comportant des cuvettes munies d'un rebord et remplies de nourriture, le document US 4 708 284 décrit une bande comportant des bouteilles, le document US 4 844 328, ainsi que le document US 4 860 943, décrit une bande comportant des gobelets et le document US 4 878 612 décrit une bande comportant des cuvettes.
Les boîtes courantes présentant la forme d'un bloc conçues pour l'emballage de lampes individuelles ou de plusieurs lampes sont dépourvues de ces saillies.
Il est avantageux si la bande et le plateau et, de préférence, également les ) boîtes sont réalisées à partir d'un matériau comportant la même matière première, par exemple des fibres de cellulose, telles que le carton, par exemple du carton double ou triple, du carton ondulé tel que le mini-carton ondulé. Dans un mode de réalisation avantageux, le plateau est en carton double ou, par exemple, en minicarton ondulé si l'on exige une rigidité relativement élevée ou que l'on doive emballer des lampes
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5relativement lourdes. Dans un mode de réalisation avantageux la bande est en carton , eux la bande est en carton ondulé, par exemple en minicarton ondulé, du fait de sa rigidité et de son effet amortisseur avantageux. Les boîtes des lampes peuvent être, par exemple, en carton double ou en carton ondulé, tel que le minicarton ondulé.
La fermeture de la bande peut présenter une grande diversité. Une fermeture facile est constituée par une bande adhésive qui fixe mutuellement les parties terminales de la bande qui se recouvrent partiellement ou qui sont situées l'une opposée à l'autre. On connaît d'autres fermetures, par exemple, des documents mentionnés plus haut, qui traitent des bandes qui, grâce à leur forme, présentent conjointement avec les produits emballés des structures qui s'emboîtent.
Une fermeture avantageuse présente une bande dont une partie terminale présente une forme fourchue munie de dents et dont une deuxième partie terminale présente une languette saillante. Ces parties terminales peuvent être situées ensemble dans un même plan du paquet. Les dents dont est munie la première partie terminale et la languette dont est munie la deuxième partie terminale sont alors situées à l'intérieur ) de la bande, c'est-à-dire les dents sont situées entre la deuxième partie terminale et le paquet, et la languette est située entre la première partie terminale et le paquet. C'est pourquoi les parties terminales enserrent mutuellement leurs extrémités.
La force de
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serrage est la plus élevée si, dans une variante particulière, les dents et/ou la languette c
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s'étendent sensiblement jusqu'à la ligne de pliage voisine.
Pour faciliter la fermeture, il est avantageux si les dents, d'une part, et la languette, d'autre part, présentent des longueurs inégales. Il est avantageux, si la longueur de la languette est inférieure à celle des dents. La deuxième partie terminale peut alors déjà être située sur les dents de la première partie terminale avant que la languette ne soit arrivée à la première partie terminale. La languette est alors serrée vers l'intérieur, alors que les parties terminales sont encore rapprochées l'une de l'autre et la languette glisse tout seul sous la première partie terminale. Des faces de la bande auxquelles sont reliées les parties terminales suivant des lignes de pliage peuvent encore être rapprochées mutuellement pour faire apparaître l'unité.
Dans une variante de cette fermeture, la languette présente une partie qui va en s'élargissant vers la deuxième partie terminale jusqu'au-delà de l'écartement mutuel des dents. Ainsi, on obtient que, initialement, la languette peut glisser facilement entre les dents, mais ensuite que sa partie qui va en s'élargissant est centrée vis-à-vis des dents. Le contact latéral de la languette avec les dents contribue encore aux forces qui maintiennent la fermeture de la bande.
Une bande munie d'une autre fermeture avantageuse présente une première et une deuxième parties terminales dentées, les dents allant en se rétrécissant vers leurs extrémités libres. n est extrêmement avantageux, si chacune des parties terminales présente une incision entre les dents et que les incisions de la première et de la deuxième parties terminales s'emboîtent. Les rétrécissements des dents constituent des guidages vers ces incisions. Outre le fait qu'une dent de la première partie terminale vient se situer sous l'autre partie terminale et inversement, de manière à fermer déjà la bande, cette fermeture présente l'avantage supplémentaire que le matériau de l'une des premières parties terminales est maintenu serré dans l'incision de l'autre partie terminale, et inversement.
Dans une variante de ce mode de réalisation, chaque partie terminale comporte plusieurs dents, par exemple trois. Dans cette variante, la force de serrage de la fermeture est encore améliorée. Egalement pour fermer facilement la bande à l'aide de cette fermeture ainsi que pour sa variante, il est avantageux si une dent, par exemple la dent centrale dans le cas de trois dents, présente une longueur qui est inférieure à celle des autres.
Les fermetures mentionnées dans les deux paragraphes précédents
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présentent l'avantage que, contrairement aux fermetures connues, on évite l'enfilage de languettes dans des oeillets ou des fentes. C'est pourquoi, sans se servir de moyens supplémentaires, on peut non seulement fermer facilement la bande, mais encore la rouvrir facilement de façon non destructive et sans outils. Chacune des parties terminales peut présenter une ouverture par laquelle on peut enfoncer le doigt pour éloigner les parties terminales l'une de l'autre.
S'il est désirable que l'acheteur final de l'unité puisse se convaincre que la bande n'a pas été ouverte pendant la manutention de l'unité dès sa sortie l'usine, la fermeture peut comporter un sceau. Il est alors impossible d'ouvrir la bande sans rompre le sceau. Un sceau peut être constitué, par exemple, de bande adhésive, par exemple, de matériau de cellulose, le cas échéant imprimé, par exemple, d'une marque, le symbole de recyclage ou de symboles pareils.
En effet, un sceau non rompu implique que la bande n'a pas été ouverte, cependant on pourrait, sans doute avec violence, avoir forcé le plateau muni de boîtes de sortir partiellement de la bande, on pourrait avoir ôté quelques boîtes, et, éventuellement muni de matière de remplissage, on pourrait avoir rentré avec peine le plateau.
Dans une variante avantageuse, on a contrecarré ce risque. Dans cette variante, les deuxièmes parois latérales présentent des rabats qui entourent les premières parois latérales et qui y sont fixés pour relier mutuellement les parois latérales. Ces rabats sortent alors à l'endroit des premières parois latérales.
Dans cette variante, la bande présente des évidements dans lesquels sont situés les rabats. En outre, on peut avoir formé par découpage, par exemple, une languette qui peut être restée dans la bande, de sorte qu'il n'est pas nécessaire qu'on ait été enlevé du matériau. Les rabats pénètrent alors dans l'encadrement de cette languette de manière à empêcher un déplacement du plateau.
D'une autre manière, ou en outre, le matériau de la bande peut être localement aplati et la partie aplatie fait fonction d'évidement. Un avantage en est qu'il n'est pas nécessaire que l'extérieur de la bande montre cela lorsqu'on y regarde superficiellement. La combinaison d'une languette formée par découpage qui est en même temps aplatie présente l'avantage que l'encadrement de la languette offre un arrêt discret dur à une partie saillante, telle qu'un rabat, dont est muni une première paroi latérale.
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Pour la coopération du plateau et de la bande, il est avantageux lorsqu'on utilise du semi (ou du mini) carton ondulé si les ondulations des rabats s'étendant suivant la paroi de base. La surface du rabat devant coopérer avec l'évidement pratiqué dans la bande est alors moins sensible aux déformations que lorsque les ondulations s'y étendraient transversalement à la paroi de base.
Il est avantageux si la fermeture de la bande est située dans une face située à l'opposé de la paroi de base du plateau. Des inégalités situées dans la face présentant la fermeture et dues à des recouvrements viennent se situer alors dans une face latérale dans le cas d'un empilage d'unités horizontal, de manière à obtenir un empilage stable, par exemple, sur une palette. Il est également avantageux si la fermeture se situe dans ce plan dans le cas d'une unité comportant plus d'un seul paquet. Les paquets sont alors maintenus mutuellement serrés par les faces de bande correspondantes convenablement dimensionnées et constituées d'une seule pièce.
Les lampes électriques emballées peuvent être constituées de lampes à incandescence ou de lampes à décharge de types différents.
L'invention sera mieux comprise à l'aide de la description suivante d'un mode de réalisation, faite en regard des dessins annexés sur lesquels la figure 1 représente, en perspective, l'unité d'emballage, partiellement écorchée ; la figure 2 montre l'ébauche de la bande de la figure 1 ; la figure 3 montre l'ébauche du plateau de la figure 1 ; la figure 4 représente, en perspective, un autre mode de réalisation de l'unité ; la figure 5 montre l'ébauche de la bande la figure 4 ; la figure 6 représente, en perspective, des unités empilées ; la figure 7 montre une vue de face (figure 7a) d'une variante de l'ébauche de la bande de la figure 2 et des coupes transversales de ladite variante selon VIIb et
VIIc (figure 7b ou 7c) ;
et la figure 8 montre une variante de l'ébauche du plateau de la figure 3 ) conçue pour être utilisée avec l'ébauche de la figure 7.
Sur la figure 1, l'unité d'emballage comportant des lampes électriques emballées présente des boîtes 1 en forme de bloc rectangulaire, contenant chacune au moins une lampe électrique 2. Un plateau 3 présente une paroi de base rectangulaire 4
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ainsi que de premières 5a et de deuxièmes 5b parois latérales opposées mutuellement reliées s'étendant à partir de ladite paroi de base. Le plateau est rempli d'une multitude de boîtes disposées en rangées 6. L'unité présente une enveloppe 10 qui est munie d'une fermeture et comporte le plateau avec lesdites boîtes.
Dans l'unité, l'enveloppe 10 est constituée d'une bande pliée suivant des lignes de pliage parallèles 11, qui entoure la paroi de base 4, les premières parois latérales 5a du plateau 3 ainsi qu'une face 7 des boîtes 1 située à l'opposé de la paroi de base pour enserrer le plateau 3 rempli de boîtes 1.
Sur la figure, les boîtes sont disposées en deux rangées. Les boîtes, sur la figure en carton double, contiennent chacune deux lampes à incandescence. La paroi latérale avant du plateau, sur la figure en minicarton ondulé, est réduite pour rendre visible le culot de la lampe représentée sur les boîtes. L'unité montre, dans la position représentée et également en arrière, alors que la bande est toujours fermée, quel type de lampe y est emballée.
Dans l'unité montrée, un deuxième plateau 3'rempli de boîtes l'est disposé dans la bande 10 sur les boîtes 1 du plateau 3.
La bande 10 (voir également la figure 2), sur la figure en carton ondulé, présente une première partie terminale 12 munie de dents 13 et une deuxième partie terminale 14 munie d'une languette saillante 15, la languette 15 passant entre les dents
13 et la languette 15 ainsi que les dents 13 étant situées à l'intérieur de la bande. Cette fermeture de la bande est autofixante.
La fixation de la fermeture est encore renforcée du fait que les dents 13, ainsi que la languette 15, s'étendent jusqu'à la ligne de pliage voisine 11 de la bande
10.
La longueur de la languette 15 est inférieure à celle des dents 13 (voir la figure 2), ce qui permet une fermeture facile de la bande. Si la première partie terminale 12 entoure le paquet, la deuxième partie terminale 14 peut déjà s'appuyer sur les dents 13 avant que la languette 15 ne soit arrivée à la première partie terminale 12.
C'est pourquoi il est facile de glisser la languette sous la première partie terminale lorsque les parties terminales sont rapprochées l'une de l'autre pour fermer la bande.
Les plateaux comportant des boîtes remplies de lampes peuvent être disposés sur la face 16 de l'ébauche. Ensuite, les faces 17 sont relevées suivant les
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lignes de pliage 11. Les faces 17 vont alors enserrer le plateau 3. La première partie lm
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terminale 12 est amenée à entourer la face 7'des boîtes l'et la deuxième partie terminale 14 est disposée sur la première partie. Pendant que la languette 15 est serrée vers l'intérieur pour être glissée sous la première partie terminale, les faces 17 sont encore rapprochées l'une de l'autre. Les deux paquets 1,3 ; 1', 3'sont alors serrés l'un sur l'autre. Les faces 17 commencent à exercer une pression latérale contre les paquets.
Si la bande est fermée, elle tient les paquets enserrés.
Il est facile de former le plateau 3 à l'aide de l'ébauche de la figure 3, par exemple, avec de la colle, telle qu'une colle chaude. A cet effet on a prévu des rabats
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5'.
Sur les figures 4 et 5 on a emballé de mêmes plateaux et de mêmes boîtes. La bande 20 présente des parties ayant un chiffre de référence supérieur de 10 aux parties des figures 1 et 2, une première partie terminale 22 et une deuxième partie terminale 24 munies chacune d'une première dent 221,241 et d'une deuxième dent 222, 242 qui vont en se rétrécissant vers l'une des extrémités libres. Dans la première partie terminale 22 ainsi que dans la deuxième partie terminale 24 il existe une incision 224, 244, entre les dents 221, 222 ; 241,242. Les incisions s'emboîtent (voir la figure 4).
Dans les deux parties terminales 22,24, il existe une troisième dent 223, 243 entre la première dent et la deuxième dent 221,222 ; 241,242. La longueur de la troisième dent 243 située dans la deuxième partie terminale 24 est inférieure à celle des première et deuxième dents 241,242. Comme dans le cas de la bande de la figure 1, la bande pliée suivant les lignes de pliage 21 peut être fermée facilement.
Les dents qui vont en se rétrécissant constituent entre elles des entonnoirs par lesquels les dents de la première partie terminale guident les dents de la deuxième partie terminale et les incisions s'emboîtent tout seul.
Sur les dessins, les première et deuxième parties terminales 12,14 ou 22, 24 sont situées à l'opposé de la paroi de base 4,4'du plateau 3,3'. De ce fait, on peut empiler convenablement les unités situées sur une face (17 sur la figure 2) de la bande et présentant des parois de base verticales 4,4'comme représenté sur la figure 6.
Les fermetures des bandes 10 des unités sont munies d'un sceau 42, par exemple en papier auto-adhésif, qui montre que la bande n'a pas été ouverte. La face supérieure de l'entassement peut comporter des incisions 38. Celles-ci (voir les figures
7 et 8) peuvent encadrer des évidements dans lesquels peuvent pénétrer des rabats de plateaux ce qui évite que les plateaux sont forcés de sortir de la bande.
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Sur la figure 7a, les chiffres de référence sont supérieurs de 20 à ceux de parties correspondantes sur la figure 2.
La languette 35 présente une partie 35a qui va en s'élargissant vers la deuxième partie terminale 34 pour s'étendre au-delà de l'écartement mutuel des dents 33. De ce fait, la languette 35 et, par conséquent, la deuxième partie terminale, est centrée par rapport à la première partie terminale lorsque la bande est fermée. Dans ce cas, la languette est en outre serrée transversalement entre les dents ce qui augmente les forces maintenant la fermeture de la bande.
Sur la figure, la bande présente des évidements 40 comportant des languettes 39 formées par découpage à l'aide des incisions 38. Les languettes remplissent les fenêtres apparues à la suite des incisions. Les évidements 40 peuvent coopérer avec des rabats dont est muni un plateau. Ces rabats (voir la figure 8) pourraient serrer les languettes vers l'extérieur. Sur la figure cependant, les languettes sont aplaties ainsi que la partie contiguë de la bande et indiquées ensemble par une partie hachurée ayant le numéro 40. La bande de la figure 6 présente également de telles parties aplaties. Elles peuvent avoir pour conséquence, comme montré sur la figure 6, que la bande abstraction faite des incisions 38 ne montre guère de traces de l'accouplement entre la bande et les plateaux. Les languettes sont restées en arrière dans la bande.
Les figures 7b et c montrent que la bande présente un arrêt 41 dur discret convenablement défini pour des parties saillantes dont sont munis les plateaux. La bande représentée est conçue pour enfermer deux plateaux remplis chacun de deux rangées de cinq boîtes fermées présentant la forme d'un bloc rectangulaire, remplies chacune d'une lampe électrique. La languette 35 est alors serrée sur la boîte intermédiaire d'une 1 rangée, les dents sont serrées sur les boîtes verticales d'une autre rangée situées à côté.
La languette et les dents sont alors fixés vigoureusement par la coopération des parties terminales et par les boîtes remplies de lampes.
Sur la figure 8, des parties présentent un chiffre de référence supérieur de
40 aux parties correspondantes sur la figure 3. Lorsqu'on forme un plateau, on relève d'abord les premières parois latérales 45a suivant des lignes de pliage 46, ensuite on relève les deuxièmes parois latérales 45b suivant les lignes de pliage 47 et, finalement, on relève les rabats 45'suivant des lignes de pliage 48 de manière à situer ceux-ci contre la face extérieure des premières parois latérales et à les fixer à ces dernières.
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Aussi les lignes de pliage 48 sont-elles plus espacées que les lignes de pliage 46. La direction des ondulations du minicarton ondulé utilisé, situées parallèlement à la partie de base 44, contribue au fait que les rabats 45'présentent une face terminale robuste 45"pouvant donner contre l'arrêt 41 de la bande (voir les figures 7b et c). C'est pourquoi un emballage fini présente un accouplement convenable entre le plateau et la bande évitant la sortie d'un plateau lorsque cela n'est pas permis. Cependant, si on sort violemment un plateau de la bande, des déformations dans le matériau d'emballage ne manqueront pas de trahir cela.
Lorsqu'on utilise la bande et le plateau formés à partir des ébauches représentées sur les figures 7 ou 8, les deuxièmes parois latérales 45b. présentent des rabats 45'qui prennent autour du coin des premières parois latérales 45a et qui y sont fixés et la bande 30 présente des évidements coopérants 40 coopérant avec lesdits rabats.