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Boite en carton comportant une poignée.
L'invention concerne un emballage en carton de forme générale prismatique ou tronconique, convenant notamment pour produits liquides, pulvérulents ou granulaires.
Le conditionnement et le transport de produits ont constituée de tout temps, un vaste problème. Pour les produits susceptibles de s'écouler, le problème est d'autant plus délicat.
Parmi les nombreuses matières utilisables pour le conditionnement de produits, le carton reste largement utilisé. Sa légèreté, son faible volume occupé dans les déchets ménagers et sa possibilité de recyclage en font actuellement un matériau de choix.
Les emballages de forme parallélépipédique ont l'avantage que le produits contenu occupe pratiquement l'entièreté du volume occupé par l'emballage, lors de la palettisation et du stockage du produit emballé. Il n'y a donc pratiquement pas de perte de place entre les produits emballés et juxtaposés les uns à côté des autres.
Pour des emballages de grande contenance et donc lourds, la prise devient difficile dans une seule main. Il est alors intéressant de pouvoir disposer d'une poignée permettant de transporter le produit mais aussi et surtout de le verser.
La présente invention a pour but de fournir une botte en carton munie d'une poignée et plus particulièrement d'une poignée de versage.
En particulier, l'invention a pour but de fournir une botte en carton munie d'une poignée réalisée entièrement en carton.
Un des buts de l'invention est de réaliser une boite avec poignée réalisé par découpage, pliage et assemblage d'un flan de carton unique.
L'invention a également pour but de fournir une
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boita munie d'une poignée pouvant occuper une position rabattue de telle sorte qu'elle n'occupe pratiquement pas de place lors du stockage de l'emballage.
Un autre but de l'invention est de fournir une boite munie d'une poignée qui soit confortable et qui ne présente pas d'arête vive.
La présente invention a pour objet un emballage consistant en une botte en carton de forme générale prismatique ou tronconique formée d'un flan de carton.
Ce flan comporte une succession de pans séparés par des lignes de pliage sensiblement parallèles. Ces pans sont destinés à former les parois latérales de la boite et sont généralement au nombre de quatre mais il pourrait également y en avoir 3, 6 ou 8, par exemple.
Lors du montage de la botte, les deux pans extrêmes sont assemblés par leur bord parallèle aux lignes de pliage séparant les pans.
La botte suivant l'invention comporte une patte, apte à former une poignée permettant la prise aisée de boites volumineuses et le versage de leur contenu. Cette patte est attenante au premier pan du flan le long de son bord parallèle aux lignes de pliage séparant les pans.
Lors du stockage de la boite, la patte est pliée en deux parties inégales et adossée à la paroi formée par le dernier pan du flan.
Cette poignée n'occasionne donc pas de perte de place lors du stockage de la boite, ni dans les rayonnages.
La patte comporte quatre lignes de pliage sensiblement prallèles aux lignes de pliage séparant les pans. Les lignes de pliage de la patte y délimitent cinq volets consécutifs. En pratique, ces volets sont de forme rectangulaire. Dans la description qui suit, on entend par premier volet celui qui est attenant au premier pan du flan.
Les premier et dernier volets sont collés sur la paroi latérale formée par le dernier pan du flan.
La patte est apte à être dressée de telle sorte que les deuxième et quatrième volets se placent
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perpendiculairement à cette paroi et le troisième volet parallèlement.
Les deuxième et quatrième volets comportent en vis-à-vis une languette rabattable le long d'une charnière parallèle aux lignes de pliage de la poignée. Lorsque les deux languettes sont rabattues, une ouverture permettant la prise est découverte. D'une manière particulière, cette ouverture est, en substance, de forme rectangulaire.
Suivant un mode de réalisation préféré de l'invention, les languettes sont de forme allongée et sont délimitées par un contour partiel découpé et un bord droit non découpé formant une charnière.
Dans une première forme d'exécution, les languettes sont, en substance, de forme rectangulaire et ont les mêmes dimensions que l'ouverture qu'elles découvrent.
Leur contour partiel comprend un des grands côtés de la languette, les deux petits côtés et deux coins arrondis.
Dans une deuxième forme d'exécution, le contour découpé est de forme arrondie et la surface des languettes est inférieure à la surface des ouvertures.
Avantageusement, les languettes ont une largeur inférieure à la largeur des volets qui les comportent (c'est-à-dire les deuxième et quatrième volets) de telle sorte qu'une bande non repliable est ménagée sur chacun des deuxième et quatrième volets entre la languette et la ligne de pliage faisant la jonction entre le troisième volet et, respectivement, le deuxième et quatrième volet.
D'une manière particulière, les deux languettes sont aptes à être repliées vers l'intérieur de la poignée par rotation de 900 autour de leur bord non découpé (ou charnière) respectif. Les deux languettes se chevauchent et forment alors une cloison parallèle à la paroi sur laquelle les premier et dernier volets sont collés.
La cloison délimite alors, avec les deux bandes non repliées et le troisième volet, le corps de la poignée. Celui-ci consiste en un volume de section quadrilatérale et est dépourvu d'arête vive. Ceci rend la poignée confortable.
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Suivant un mode de réalisation préféré, les deuxième et quatrième volets comportent une seconde languette, plus petite que la première et située au-dessus de l'ouverture permettant la prise.
Cette seconde languette est rabattable de 900 vers l'intérieur de la poignée, le long d'un axe sensiblement perpendiculaire à la charnière de la première languette. Cette seconde languette rend le bord supérieur de l'ouverture non coupant.
Avantageusement, lorsque la patte, constituant la poignée, est en position rabattue, c'est-à-dire adossée à la paroi formée par le dernier pan du flan, les deux derniers volets sont situés contre cette paroi et les deuxième et troisième volets les recouvrent.
Suivant une forme de réalisation avantageuse de l'invention, le dernier pan du flan comporte une zone repoussée vers l'extérieur de la boite, d'une épaisseur sensiblement égale à l'épaisseur du carton. Cette zone a les mêmes dimensions que le premier volet de la patte. Celui-ci est collé sur cette zone de telle sorte que ce volet se situe sensiblement dans le même plan que les deuxième et troisième volets. suivant une forme particulière de l'invention, les pans comportent des bords inférieurs auxquels sont attenants des rabats formant le fond de la boite.
De la même manière, les pans comportent des bords supérieurs auxquels sont attenants des rabats formant le couvercle de la boIte.
En particulier, le couvercle de la boite comporte une ouverture. La boite est alors apte à contenir un flacon de matière plastique, dont le goulot passe à l'extérieur de la boite par cette ouverture.
D'autres particularités et avantages de l'invention ressortiront encore de la description détaillée faite ci-après, d'un exemple de réalisation, référence étant faite aux dessins annexés, dans lesquels : la Fig. 1 est une vue en perspective de
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l'emballage suivant l'invention, avec la poignée en position dressée ; la Fig. 2 est une vue analogue à la Fig. 1, la poignée étant en position rabattue ; la Fig. 3 est une coupe suivant la ligne III-III de la Fig. 2 ; la Fig. 4 est une coupe suivant la ligne IV-IV de la Fig. 1 ; la Fig. 5 est une vue partielle, en coupe, analogue à celle de la Fig. 4, d'une variante d'exécution ; la Fig. 6 est une vue déployée du flan de carton utilisé pour réaliser l'emballage, et la Fig. 7 est une vue partielle du flan de carton utilisé pour réaliser l'emballage montré à la Fig. 5.
Les Fig. 1 à 5 représentent l'emballage suivant l'invention. Cet emballage comporte une boIte parallélépipédique 1 en carton portant une poignée 2 et un flacon 3 en matière plastique.
La poignée 2 peut occuper une position dressée (Fig. 1,4 et 5) ou une position rabattue (Fig. 2 et 3) lorsque l'emballage est stocké ou transporté sur palette.
La botte 1 comporte classiquement un fond 4, quatre parois latérales (5 à 8) et un couvercle 9 dans lequel est ménagée une ouverture circulaire 10.
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Le flacon 3 est contenu dans la boIte 1 et peut y être collé ou non. Son goulot 11 émerge de la boite 1 par l'ouverture 10 du couvercle 9. Un bouchon 12 peut être vissé sur le goulot 11.
La poignée 2 est constituée d'une patte de carton 13 ayant une hauteur égale aux 3/4 de la hauteur des parois latérales 5 à 8. La patte 13 comporte quatre lignes de pliage 14 à 17 délimitant cinq volets 18 à 22 rectangulaires. Les lignes de pliage 14 à 17 sont parallèles au bord longitudinal des parois 5 8. Le volet 18 est attenant à la paroi latérale 5. Les volets 19 et 21 sont de même largeur. Le volet 22 est plus étroit que le volet 20.
La largeur du volet 18 plus la moitié de la largeur du volet
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20 est égale à la moitié de la largeur de la paroi latérale 8.
En position rabattue telle que représentée aux Fig. 2 et 3, la patte 13 est repliée en deux parties inégales, le long de sa ligne de pliage 16 de telle sorte que les volets 21 et 22 soient situés contre la paroi 8, les volets 19 et 20 les recouvrant. La poignée 2, en position rabattue, n'occupe donc pas plus de place que deux épaisseurs de carton.
Le volet 18 est collé sur toute sa surface, côté verso contre la paroi latérale 8 (le côté verso étant le côté du carton situé vers l'intérieur de la boite 1). Le volet 22, quant à lui, est collé, côté recto contre la paroi 8. Ceci est dû au fait que la patte 13 est repliée en deux.
Un collage du volet 22 côté verso contre la paroi 8 aurait nécessité le pliage de la patte 13 le long de sa ligne de pliage 17 lorsque la patte 13 est en position rabattue, ce qui aurait impliqué que la poignée aurait occupé en position rabattue un espace de trois épaisseurs de carton au lieu de deux.
La poignée 2 étant en position dressée, comme représentée aux Fig. 1, 4 et 5, les volets 19 et 21 de la patte de carton 13 sont disposés perpendiculairement à la paroi latérale 8 de la boite 1. Les volets 19 et 21 étant de même largeur, le volet 20 est disposé parallèlement à la paroi 8.
Une languette 23 est découpée dans chacun des volets 19 et 21. Les deux languettes 23 sont situées en vis-à-vis lorsque la poignée 2 est en position dressée. Les languettes 23 sont délimitées par un contour partiel découpé 24 et une ligne de pliage 25 formant une charnière.
Sur la Fig. 1, on peut voir que les languettes 23 ont été repliées de 900 vers l'intérieur de la poignée 2. Une ouverture 26 est alors découverte. Ses dimensions sont telles que quatre doigts peuvent y être insérés.
Sur la Fig. 4, on peut voir que les languettes 23 rabattues forment une cloison 27 parallèle à la paroi 8.
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Cette cloison 27 peut, dans le cas de variantes d'exécution, ne pas être complète.
Les languettes 23 ont une longueur grossièrement égale à la moitié de la hauteur de la poignée 2.
Les languettes 23 ont une largeur inférieure à la largeur des volets 19 et 21 et sont situées à un endroit tel qu'une bande non repliable 28 est ménagée uniquement entre la charnière 25 de chacune des languettes 23 et les lignes de pliage respectives 15 et 16.
La cloison 27, le volet 20 et les deux bandes non repliables 28 forment un parallélépipède sans arête vive.
Ce parallélépipède constitue le corps 29 de la poignée 2 et a des dimensions telles qu'il est aisément tenu en main.
Deux pattes triangulaires 30 de triple épaisseur assurent la fermeture du couvercle 9. Ces deux pattes 30 sont rabattues respectivement sur les parois latérales 6 et 8 de la boite 1. La pointe inférieure de ces deux pattes 30 est insérée dans une échancrure 31 ménagée dans la partie supérieure des parois latérales 6 et 8. Cette échancrure 31 est constituée d'une zone découpée 32 visible sur la Fig. 6 et d'une ligne de coupe verticale 33.
L'emballage représenté aux Fig. 1 à 4 est réalisé à partir d'un flan de carton 34 représenté à plat à la Fig. 6.
Le flan 34 comporte quatre pans rectangulaires 35 à 38 destinés à former les quatre parois latérales 5 à 8 de la botte 1. Ces pans 35 à 38 sont délimités par les bords AB et IK et par les lignes de pliage CD, EF et GH, parallèles entre eux et par les lignes de pliage AI et BK, parallèles entre elles.
Les lignes AB, CD, EF, GH et IK se prolongent au-delà des points B, D, F, H et K par des lignes de coupe BL, DM, FP, HQ et KS délimitant deux paires de rabats 39, 40 destinés à former, après assemblage, le fond 4 de la botte 1.
Les lignes CD, EF, GH et IK se prolongent au-delà des points C, E, G et I par des lignes de pliages CU, EV,
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GW et IX. La ligne AB se prolonge au-delà du point A par la ligne de coupe AT.
Ces lignes AT, CU, EV, GW et IX délimitent quatre rabats 41,42, 43 et 44 destinés à former le couvercle 9 de la boite 1 et ses pattes de fermeture triangulaires 30.
Le rabat 44 est bordé par une patte de collage 45 destinée à relier le rabat 44 au rabat 41.
Les rabats 41 et 43 attenants respectivement aux pans 37 et 39 comportent une ouverture circulaire 10.
Les rabats 42 et 44 attenants respectivement aux pans 36 et 38 sont divisés en trois zones triangulaires 46, 47,48 destinées à former la patte triangulaire 30 de triple épaisseur, permettant la fermeture du couvercle 9.
La Fig. 6 permet de voir les deux échancrures 31 précédemment décrites, situées dans la partie supérieure des pans 36 et 38. Une zone découpée 32 et une ligne de coupe 33 forment l'échancrure 31.
Le pan de carton 35 porte, le long de son bord AB, une patte 13 destinée à former la poignée 2 et délimitée par les lignes de coupe YY', Y'B', B'B et la ligne de pliage YB. Le bord inférieur B'B de la patte 13 est situé dans le prolongement du bord inférieur BK des parois latérales 5 à 8.
La Fig. 6 montre les quatre lignes de pliage 14 à 17 et les cinq volets 18 à 22 qu'elles délimitent.
Le pan de carton 38 comporte une zone 49 repoussée vers la face recto du flan 34. La face recto est la face non visible sur la Fig. 6. Les dimensions de la zone 49 sont égales à celles du volet 18 de la patte 13. La zone 49 est située le long du bord libre IK du pan 38, le bord inférieur KZ de la zone 49 coïncidant avec le bord inférieur KH du pan 38. Le bord supérieur JZ'de la zone 49 coupe le pan 38 aux 3/4 de sa hauteur. La raison d'être de cette zone repoussée 49 sera expliquée plus loin dans la description.
Une patte de collage 50 borde le bord IJ du pan 40 et permet de relier le pan 40 au pan 37 lors du montage de la boite 1.
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La Fig. 6 montre les deux languettes 23 que comportent les volets 19 et 21 de la patte 13.
Dans ce premier mode d'exécution, les languettes 23 sont de forme rectangulaire avec deux coins arrondis 51.
La charnière 25 forme un des deux grands côtés des languettes 23. Le contour partiel découpé 24 forme les deux petits côtés 52, le deuxième grand côté 53 et les deux coins arrondis 51. Ces coins arrondis 51 relient les petits côtés 52 à la charnière 25. Le grand côté 53 coïncide avec une portion des lignes de pliage respectives 14 et 17.
La Fig. 7 montre une variante d'exécution de la poignée 2. Les languettes 54 n'occupent pas l'entièreté de l'ouverture 26. Elles sont délimitées par un bord droit constituant une charnière 25 et un contour découpé 55 de forme arrondie.
A la Fig. 7, on peut encore voir que les volets 19 et 21 comportent chacun une seconde languette 56. Ces languettes 56 sont rabattables vers l'intérieur de la poignée 2 de 900, le long d'un axe sensiblement perpendiculaire à la charnière 25 de la première languette 23,54. Ces secondes languettes 56 sont situées au-dessus de l'ouverture 26 et permettent de rendre non coupant le bord supérieur de l'ouverture 26.
Il est entendu que la présence des secondes languettes 56 n'est nullement liée à la forme de la première languette (23 ou 54) et que cette particularité de l'invention peut être combinée également avec la première forme d'exécution (Fig. 1, 2,3, 4 et 6).
La Fig. 5 est une vue en plan de la deuxième forme d'exécution, on y voit les secondes languettes 56 rabattues vers l'intérieur de la poignée 2.
Le montage de l'emballage selon l'invention est réalisé de la manière décrite ci-après.
La ligne de pliage 15 est précassée pour permettre à l'utilisateur de dresser facilement la poignée en temps voulu.
Le flan de carton est replié suivant les lignes
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de pliage HW et 16.
Les pattes de collage 45 et 50 et le volet 22 sont encollées sur leur face recto (face non visible sur la Fig. 5). La face verso du volet 18 est encollée.
Le flan de carton 34 encollé est alors replié le long de sa ligne de pliage DU. Les volets 18 et 22 sont collés sur la face recto du pan 38, le volet 18 se superposant à la zone repoussée 49. La patte de collage 50 est collée le long du bord AY du pan 35 (côté verso) et la patte de collage 45, le long du bord AT du rabat 41 (côté verso également).
La boite 1 peut être livrée sous cette forme encollée, à plat.
Pour le conditionnement du contenu de l'emballage, la boîte 1 est mise en volume en dressant les pans de carton 35 à 38 à angle droit, de manière à former les parois latérales 5 à 8 de la boite 1. Le rabat 43 est rabattu à l'horizontale par rotation de 900 autour de la ligne de pliage EG. Les deux zones triangulaires 46 se superposent alors aux zones triangulaires 47. Le rabat 41 est rabattu à l'horizontale, sur le rabat 43 par rotation de 900 autour de la ligne de pliage AC et forme ainsi le couvercle 9. Les deux zones triangulaires 48 se superposent alors aux deux zones triangulaires 46. Les trois zones triangulaires 46, 47,48 superposées forment alors les pattes de fermeture 30, visibles sur les Fig. l et 2.
La fermeture du couvercle 9 est achevée en rabattant les pattes de fermeture 30 à la verticale sur les parois 6 et 8. Les pattes 30 recouvrent alors les découpes 32 et la pointe inférieure des pattes 30 et insérée à l'intérieur de la boîte 1 grâce aux lignes de coupe 33.
Un flacon 3 de matière plastique est introduit dans la boîte 1, par sa base. Son goulot 11 émerge de la boîte 1 par l'ouverture 10 du couvercle 9.
Les rabats 39 et 40 sont assemblés par collage et forment le fond 4 de la boite 1.
L'emballage peut alors être rempli par le goulot
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11. Le bouchon 12 peut être vissé sur le goulot 11.
L'emballage occupe à ce moment la position représentée à la Fig. 2 et peut être stocké sans perte de place, la poignée 2 étant adossée à la paroi latérale 8.
En se référant à la Fig. 3, on peut voir l'utilité de la zone repoussée 49. La patte 13 est pliée en deux parties. La première partie est formée par les trois premières volets 18, 19 et 20 et la deuxième partie par les deux derniers volets 21,22.
Les volets 21,22 sont adossés à la paroi 8. Les volets 19 et 20 les recouvrent. Pour que le premier volet 18, collé à la paroi 8, puisse se situer sensiblement dans le prolongement des volets 19 et 20, il est nécessaire que la paroi 8 comporte une zone 49 repoussée vers l'extérieur de la boite 1 et sur laquelle le volet 18 vient s'appuyer.
Sans cette disposition particulière, le collage du volet 18 sur la paroi 8 serait peu efficace et l'esthétique de l'emballage serait atteinte.
L'utilisateur peut dresser la poignée 2 par une simple pression du doigt sur le volet 21 (la ligne de pliage 15 ayant été précassée) de telle sorte que les volets 19 et 21 se placent perpendiculairement à la paroi latérale 8.
Les deux languettes (23, 54) peuvent être rabattues vers l'intérieur de la poignée 2 par rotation de 900 autour des charnières 25. Les secondes languettes 56 sont rabattues également vers l'intérieur de la poignée 2 et celle-ci est alors fonctionnelle. L'emballage occupe alors la position représentée aux Fig. 1, 4 et 5.
Bien entendu, l'invention n'est pas limitée aux formes d'exécution qui ont été décrites et représentées à titre d'exemple. De nombreuses variantes peuvent être apportées aux emballages décrits ci-dessus sans pour autant sortir du cadre de l'invention.
C'est ainsi que les formes et dimensions relatives de la boite, de la poignée ou de l'ouverture ménagée dans le couvercle de la boite peuvent être choisies au gré des besoins.
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L'invention couvre notamment des boites dont le système de fermeture serait différent ou qui ne contiendraient pas de flacon.