CH93897A - Carburateur pour moteurs à combustion interne, fonctionnant au moyen de pétrole ou d'huiles Lourdes. - Google Patents

Carburateur pour moteurs à combustion interne, fonctionnant au moyen de pétrole ou d'huiles Lourdes.

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  Carburateur pour moteurs     ü,    combustion interne, fonctionnant     au    moyen de pétrole  ou d'huiles lourdes.    L'objet (lu     l'invention    est un     carburateur     pour moteurs à combustion interne, fonc  tionnant au moyen de pétrole ou     d'huiles     lourdes.  



  On a remarqué que, lorsqu'on cherche  à faire fonctionner un     moteur    construit pour       marcher    à l'essence au moyen de pétrole       lampant    ou d'huile lourde, on éprouve les  difficultés suivantes:  i  Le moteur fait     entendre    un     cognement     très     considérable    provenant de ce que l'ex  plosion<B>(le</B> l'air carburé par un pétrole est  plus brisante que celle de l'air carburé .par  de l'essence.  



  2  Le pétrole étant. beaucoup moins in  flammable que l'essence. le mélange s'al  lume assez difficilement, même à chaud.  



  3  Si l'on cherche à parer à cet inconvé  nient en     réchauffant    préalablement le mé  lange gazeux, la masse des gaz aspirés clans  chaque cylindre, masse qui est     inversément     proportionnelle à la température, est si  faible que la puissance du moteur diminue    notablement.; cette     température    excessive fait  en outre cogner le moteur. On a. donc     inté-          rét     < c.     iiitracluire    clans les cylindres un     mé-          lango    parfaitement pulvérisé, sous forme  de brouillard,     mai-    à une     température    re  lativement basse.  



       f"    Les parois de la chambre cl-, combus  tion     s'encrassent    fortement par suite de la       ccinbustion    incomplète du pétrole qui se dé  compose sous l'effet de la chaleur en lais  sant déposer des produits     très    carburés.  



  <B>5</B>' Enfin, le pétrole du     mélage        incom.plè-          lemecit    brûlé passe à l'état     liquide    entre le       cyli.nclre    et le piston, et va se mélanger à       l'huile    du carter.  



  1: invention a en vue de supprimer ces  inconvénients en tirant parti des trois pro  priétés     importantes    suivantes:       i     Si l'on     introcluit    dans le mélange ex  plosif une petite quantité d'eau qui soit, au  moment de l'explosion, en partie à l'état     Ii-          quide    très divisé, et en partie à l'état de va  peur, celte eau s'échauffe     pendant    l'explo-      Sion;

   sa capacité calorifique étant plus grande  due celle de l'air, la température finale at  teinte par les gaz brûlés, et., par     conséquent.     la, pression finale dans les cylindres, sont  sensiblement     mains    élevées que lorsque le  mélange est sec, ce qui est un grand avan  tage clans le cas des moteurs à pétrole.  



  Le rôle de l'eau     .clans    le fonctionnement  du moteur à explosions est d'ailleurs actuel  lement bien connu; il a été étudié notam  ment par     Banki;    mais ce dernier en tirait       parti    pour le refroidissement énergique du  moteur; aussi admettait-il de l'eau dans une       proportion    beaucoup plus forte que l'on en       admet    dans le-     carburateur    Super où elle       sert    simplement, .comme     indiqué    ci-dessus,  à.     ré        cluire    la température et la. pression à la       fira    de l'explosion.  



       N     On a constaté d'une façon bien nette  sans d'ailleurs pouvoir en expliquer la rai  son, qu'un     moteur    fonctionnant avec de l'eau  a.     toujours    ses .parois internes absolument       propres    et exemptes     de    dépôt charbonneux;  les     bougies,    en particulier, restent. uniformé  ment blanches et. ne subissent aucun encras  sement.  



       3     On sait enfin qu'une petite quantité de       "laz    à l'eau" (mélange d'oxyde de carbone  et:     d'hydrogène)        introduite    dans le     mélange     explosif d'un moteur, facilite considérable  ment l'allumage; ce gaz paraît agir comme  une amorce:

   étant très inflammable, il s'al  lume     immédiatement    en dégageant. une  grande quantité de chaleur, ce qui permet  à l'explosion de se propager rapidement et  surtout     com.plèt:ement    dans toute la masse       du    mélange     explosif.    On peut-, de cette façon,       obtenir    une combustion complète et par  faite du pétrole.

   Le     rendement    calorifique  est donc maximum et, en outre, aucune     por-          l.ion    de cet hydrocarbure ne subsistant,       l'huile    de     graissage    ne peut être souillée,       contrairement.    à ce qui se passe dans la plu  part -clos moteurs à pétrole lampant.  



  Le dessin annexé, de     fig.    1 à     fig.    9, puis       fig.    12, représente une forme d'exécution de       l'ob,jet    de l'invention, .donnée à titre     d'exem_            ple;    les     fig.    10,     11,    13, 14 et 15 représentent  des variations de certains des organes qu'il       comporte.     



       Fig.    9. est une coupe verticale par l'aie  de carburateur;       Fig.    2 est une coupe par deux plans ho  rizontaux, l'un mené par     x-x,    l'autre par       y--y    de     fig.    1;       Fig.    3 est une coupe transversale suivant.       z---z    de     fig.    1;  Fi--. 4 est une coupe transversale     suivant          -iv--w    de     fig.    1;       Fig.    5 est une coupe verticale de la cuve       tï.    niveau constant, coupe menée suivant.

         a-v    de     fig.    1;       Fig.    6 est un schéma de     l'ensemble    du  carburateur;       Fig.   <B>7</B> est une coupe verticale de l'organe  qui sera désigné clans la suite par "prise  d'air     secondaire";          Fig.    8 est une vue du même organe:       Fig    . 9 est une coupe de l'organe qui sera  désigné dans la suite par "gicleur à     eau";     Fi-,-. 10 est. un schéma     d'lane    variante du  carburateur, ne     différant    d'ailleurs du pre  mier que par certains dispositifs relatifs à la  mise en marche;

         Fig.        11    est, en     co        pe,    un     robinet,        qui    peut  être employé pour la mise en marche à l'es  sence:       Fig.    12 est une vue d'une disposition ap  plicable à la mise en marche au pétrole:  Fil. 13 est la coupe d'un     distribuieur     d'eau commandé;       Fig.    14 est., en     coulpe        verticale,    un distri  buteur d'eau du type     "cuve    à niveau cons  tant" ;       Fig.    15 est, en coupe verticale, un dispo  sitif comportant deux niveaux constants.

    l'un pour la mise en marche à     l'essenee.        l'au-          tre    pour la marche au pétrole:       Fig.    16 est., en coupe, un     robirit    permet  tant de marcher au     pétrole    (,ii     conservant    le  carburateur à essence.  



  Dans les     fi;-.        i    à     1#,        les        mèines        organes     sont,     désignés    par les     wèmes    lettres ou     c1@if-          f    l'es.

        Dans le schéma     fig.    6, en particulier, a       est,    clans le corps du carburateur,     Fargane     qui sera désigné dans la suite par ,;cornue",  pièce     métallique    creuse qui sera décrite plus  loin et dont l'intérieur, ainsi que les organes  qu'elle renferme, est porté à haute tempé  rature par les gaz     :d'échappement    du moteur,  gaz qui y     pénètrent    par un tuyau     d    et en  sortent par un     tuyau    e, ou     inversément.     



  / est un gicleur en communication avec  un niveau constant     cg    qui reçoit le pétrole ou  l'huile lourde par une tubulure     p;   <I>i</I> est l'en  trée de l'air nécessaire à la combustion du  pétrole; cet air, aspiré par le jeu     dit    moteur,  se     mélange,    clans une chambre de carbura  tion, au pétrole. débité par le gicleur     f,    Tra  verse la cornue<I>a.</I> puis une     canalisation   <I>h.,</I>  et la prise d'air secondaire 1, et pénètre en  suite clans la     clianibr?        d'aspiration        f)    du     nio-          tecir.     



  b est l'organe du carburateur qui     sera    dé  signé par "gazogène"; il est alimenté     d'eau     par une tubulure 1, sur laquelle peut être  Monté un "gicleur à eau"     q;    ces organes se  ront     décrits    plus loin d'une façon plu dé  taillée.  



  Enfin 6 est     Lui    organe amenant ale )'eau  également, à un diffuseur ménagé     clans    la  prise d'air secondaire 1.  



  Les     fig.    1 à 5 montrent que la cornue mé  tallique a     comporte    un canal     sinueux    8 relié  à     soit    entrée à une chambre de carburateur  c dans     laquelle    débouche, d'une part, un  gicleur     f    en .communication avec une cuve  à niveau constant g d'un type quelconque et,  d'autre part, le pavillon i d'une prise d'air  primaire, prise d'air dont le débit     petit        être     réglé, par exemple. air moyen     d'une    vis d'é  tranglement j.

   Le     niveau    constant y est.     ali-          rnenté    par du pétrole, provenant     d'un    réser  voir     quelconque,    au moyen     ;l'une    tubulure     1).     



  La sortie du canal 8 est. comme     indiqué     dans la description du schéma, mise en com  munication avec la chambre     d'aspiration    du  moteur .par la canalisation     h..    On     petit    don  ner au     canal    une forme telle que tout autour  de lui puisent. circuler les gaz d'échappe-    ment du moteur, gaz amenés soit en     d,    soit.  en e (suivant le montage du     carburateur).     



       l)it    voit que, sous l'effet de     l'aspiration    du  moteur qui se fait sentir en %, .le gicleur     f     fonctionne et carbure l'air aspiré par i; un  mélange     ricïie    d'air et de .pétrole se forme  donc clans la     chambre    de     carburation        c.    Ce       mélange    riche circule ensuite dans le canal  sinueux 8 où,     gràce    à la     harute    température  des gaz     d'échappement,

      il est porté à une       température    telle que le pétrole qu'il ren  ferme se trouve complètement vaporisé et  susceptible, par     conséquent.,    de s'enflammer  relativement. facilement, à condition, naturel  lement, que la proportion d'air soit celle qui  convient.  



       :1    l'une des     extrémités    de     la,    cornue, et  entouré également par les gaz     chauds        d'é-          cl.tappenient,        se    trouve le     Gazogène    b, réci  pient     contenant    soit du charbon dense k ou       un    composé de charbon, soit un corps quel  conque simple ou     compose,        susceptible    de       décomposer    l'eau à une     température    voisine       du    rouge sombre.

   A une     exti émité    de ce ga  z     0r;èiie    arrive un tuyau 1     communiquant     avec un     réservoir    d'eau par     l'intermédiaire     d'un     gicleur    tel due     q    9\;

   l'autre     extré-          niité        dit        -azomène    est     ïei n?ée    par un bou  chon     ii    percé de trous     qui    établissent une       communication    avec la tuyauterie d'aspira  tion     h    par     l'intermédiare    d'un canal<I>-m</I>     mé-          nagc:    dans     leç    parois de la cornue.  



       Quand    le moteur fonctionne, la     clépres.     lion se fait sentir à l'intérieur .du     gazogène,     et,     .l'eau    du réservoir est aspirée     ait    travers  du gicleur q qui la. divise finement.: au  contact. du charbon porté à. haute tempéra  ture par les gaz de l'échappement, cette eau  est vaporisée;

   puis une certaine partie de la       vapeur    produite réagit sur le charbon porté  au     rouge,    suivant. le- réactions bien connues       du        taz    à l'eau, et se transforme en un mé  lange explosif additionnel, qui, par la     cariali-          sa.lion        ni,    va se mêler au mélange riche prin  cipal provenant de la chambre de carbura  lion c.  



  Les gaz aspirés par la canalisation     1i.        pé-          ctclrent    ensuite dans une prise d'air se-con-      claire, représentée, par la     fig.   <B>7</B> (en coupe  verticale) et la     fig.    S (en vue'), qui peut être  fixée     directement    sur la chambre d'aspira  tion cru moteur.     Cette    ,prise d'air secondaire  se compose d'un corps cylindrique     i,        généra-          lement    en     :

  bronze,    fermé à chacune de ses       extrémités    par un papillon     \'    pouvant tour  ner autour d'un axe de la prise clair. Les  axes de chacun des papillons     sont    parallèles  et les leviers 3, qui sont calés sur eux, sont  connectés     ensemble    par une biellette 4 et un  ressort 5, ainsi qu'il est     représenté    sur la       fig.    S.

   La tuyauterie d'aspiration h     débouche     vers le milieu de la prise d'air secondaire       entre    les papillons  On a figuré au bas de ladite prise d'air  un     cliffuseu.r        '7    destiné à l'injection, clans les  gaz aspirés, d'une     .certaine    quantité d'eau       additionnelle.     



  Le     fonctionnement    du carburateur est le  suivant:  Le moteur fonctionnant depuis quelque  temps et. ayant atteint son régime normal  de température,     toute    la cornue a     est,    por  tée par les gaz d'échappement _à. une     tem-pé-          r-ature    voisine .du rouge sombre. La dépres  sion     de:    la tuyauterie d'aspiration h.<I>se</I> faisant       sentir    jusque clans la chambre d e carbura  tion, le pétrole ,jaillit. par le gicleur f et vient  se mélanger à l'air pur qui pénètre dans  cette chambre.     Lmélange    riche formé par  le pétrole et. l'air passe ensuite par le canal S  de la cornue où il se réchauffe.

   Au cours de  son Trajet, il reçoit par m. un mélange de va  peur d'eau et     d'une    petite quantité :de gaz  à,     l'esu    provenant du     g-azoi,-èiie    b, ainsi qu'il  a été expliqué précédemment.. Arrivé     clans     la prise d'air secondaire 1, ce mélange riche       est    amené au taux convenable pour le fonc  tionnement normal du moteur par un ap  point d'air frais qui entre clans cette dite prise  d'air par     l'espace    laisse libre par le papillon  extérieur, c'est-à-dire par le papillon situé  entre la tuyauterie h et l'air atmosphérique.

    Le     m,'-lange    ainsi dosé     franchit    le papillon  intérieur et     pénètre        clairs    le moteur par la  chambre     d'aspiration    9.  



       Dans    la Prise d'air secondaire 1, sous         l'effet    de la dépression, de l'eau jaillit à  !-'état finement divisé par le diffuseur 7, vient,  se mélanger au     couranLgazeux,    et en se     va-          po.risanit,    clans celui-ci, a le double effet d'a  baisser sa température et d'empêcher     l'en-          crass m,ent    des     cylindres,        avantages    qui ont  été mis en évidence :plus haut.  



  Le carburateur     décrit    ne pouvant fonc  tionner que chaud il y .a lieu :de prévoir un       dispositif    de mise en marche. Le plus simple,  vu qu'il ne nécessite pas d'autre combustible  que du pétrole, est celui que représente en  vue la     fig.        i?..    Il consiste en un certain nom  bre de     brûleurs    auxiliaires H,     disposés    à       proximité    de la cornue du carburateur et       alimentés    par le pétrole du réservoir.

   Il suf  fit de     diriger    ,la flamme de ces, brûleurs con  tre la cornue, après avoir     ouvert    une parte I  ménagée clans le tuyau     d'éch        a-ppe.ment;    quand  la. chaleur développée     e-4    suffisante Pour que  la.     cornue        ait    atteint la.     température    de     va-          i1c;ri,#0.ion        du    pétrole. on     referme    la porte I  peur éviter la fuite     :du    gaz     d'é.cha;

  ppement,     et le moteur peut être mis en route de la     fa-          çrn    ordinaire.  



       Variantes.     <I>A.</I>     Mwarrarle.    Le mode de     démarra7e     qui vient d'être décrit est     reco,_lmandabe     clans les cas où il est impossible ou     sim.ple-          iYieniï    dangereux d'employer un hydrocar  bure volatil.     Mais,    dans les cas où cette rai  son n'existe pas on choisira de préférence  une     disposition    basée sur l'emploi d'essence       ordinaire,    de benzol ou de tout autre carbu  rant     161er        donnant.    à froid un     m:

  élan'-e        ex-          pIosif,    et utilisé comme combustible jus  qu'à.     ci,    que le moteur soit chaud et puisse.       fonctionner    au pétrole ou à l'huile lourde, ce  qui est le cas, généralement après une  marcha de deux ou trois minutes.  



  Trois modes d'exécution selon celte va  riante vont être décrits, à titre d'exemples:  1  La     fig.    10 est un schéma     montrant        que     si     1.'on    monte un robinet:

   à trois voies 10     Qur     la, cuve à niveau     constant    du     cai=bui ateur,     on peut l'alimenter     voit    au     moien    du, pétrole       fflèclie    111, soit au moyen d'essence (flèche       1").    Pour le départ, on alimentera à l'essence      et on     tournera    le robinet. sur     l'arrivée    dit  pétrole au     moment    où la     température    at  teinte sera jugée     convenable.     



       2     La     fig.    15 est, en coupe verticale,     mi          carburateur        comportant         < feux    cuves à ni  veau constant: l'une alimentée au     p'trole,     l'autre à     l'essence,    les deux     clives        alinieit-          tarit    le     même    gicleur     titi    moyen d'un robinet  à trois voies que l'on     tourne    au     nionient   <I>On</I>  la température atteinte     est    jugée convenable.

    



  3" On peut encore,     sans    rien     nicdifier    à la  forme décrite du carburateur à pétrole, mon  ter sur la     tuyauterie    d'aspiration,     un    aval     chi     deuxième     papillon,    un robinet tel due celui  (tue     représente    la     fig.    11.  



  D'après cette figure, le corps K -du     robinet     est vissé par l'une de ses extrémités (celle  (le droite, dans la figure), sur la tuyauterie       d'aspiration    du moteur,     en    aval du dernier  papillon     cl'éiranglenient    des gaz, c'est-à-dire  entre le :papillon intérieur 2 et la     cltanibre          '.).    Dans certains cas, on .peut.     cl'ailleurs    avoir       avantage    à :le visser sur la prise d'air se  condaire i entre les deux papillons.  



  A l'autre extrémité du corps du robinet  est fixé un raccord 13 par lequel arrive l'es  sence provenant (lu réservoir     auxilaire.    Le  boisseau 1<B>,></B> du robinet est percé de deux     coir-          duit.s    disposés en forme :de T. L'un d'eux.  .A., est percé suivant l'axe et     l'autre,    E, per  pendiculairement.

   Ce dernier se termine       cltt    côté de l'arrivée d'essence par un trou  calibré D formant gicleur, ou par une fente       disposée    de telle     sorte    qu'elle offre à     l'essence     un passage variable avec le     çlegré        d'otivei--          cure    du robinet.  



  La position normale du robinet pendant.  1a     marche    au pétrole est da position de     fer-          nreture,    vers laquelle un     rossort    (non repré  senté sur la figure) tend toujours à le ra  mener.  



  Le fonctionnement de ce robinet est. le  suivant:  Quand on veut faire démarrer le moteur  à :l'essence. on ferme presque complètement.       1o    papillon 2 du carburateur, et on ouvre le  robinet     injecteur        d'essence    (fi,-.     11)    au moyen  d'une     commande    placée à portée du conclue-         ftttr.        l'jua11:

  _l    011 fait     tourner    le     nioleur,    ait       moy.eti        de    lit     manivelle    de mise en     marche,          par        exemple,    l'air est aspiré .clans la     .diree-          lion    des     flèches,        liai-    le conduit     A-C.        L'es-          5ettce    jaillit par le gicleur     1)    et, est entraînée  par le courant d'air qui,

       circulant.    clans des       conduits    de     très    petite section, est animé  d'une     brande        vitesse.    La pulvérisation de       lessen:    e     e--t    donc     parfaite    et le départ se  fait     très        iaci!leinëirt.     



       Un    petit     d'ailleurs    faire en sorte que la       commande    du robinet     injecteur    soit rendue       -olicla.ire    de celle     du    papillon du carbura  teur, de telle façon qu'en amenant celle-ci  sur une position correspondant au, départ., le       robinet    soit mis clans sa position de fonction  nement.  



       13.   <I>Injection</I>     d'eau.    Jusqu'ici on a sup  posé l'eau     introduite    clans le gazogène et       clan:    la. prie d'air secondaire par des     tttbu-          lui-es    munies par exemple de pointeaux     ana-          logLies    à celui due représente la     fig.    9.  



  On peut, encore la doser à son     arrivé     dans le gazogène,     d'une    part., et à son arrivée  dans la prise     d'air-    secondaire, d'autre part,  par un robinet pointeau à viseur     semblable     à ceux que l'on emploie couramment pour  surveiller le débit de l'huile (le graissage.  



  <B>Il</B> y a d'ailleurs intérêt évident à ce due  la quantité d'eau     introduite        clans    les gaz  aspirés par le     moteur    soit aussi     exacterrierit          proportionnée        que        po.s#ible    à la charge et à  l'allure du moteur. Les deux dispositifs dé  crits ci-après. à titre d'exemples, peuvent  être employés     clan:    ce but.

           (L)        Ii7.iecteZG/'        d'eau        c'orn)72fln(lC          mécaniquement.       Un tube T     (fig.        13)    qui occupe une posi  tion verticale, est en     communication,    par son  extrémité     inférieure,    avec un réservoir     (.l'eau     placé en charge.

   Dans ce tube     ipeut        coulisser     une tige de laiton A', exactement     cylindrique     et ajustée à frottement doux clans le tube,  L'extrémité     supérieure    de la<B>,</B> tige est pour  vue d'un     dispositif    de     réglage,    constitué, par  exemple, par un écrou borgne<I>E'</I> -et un     con-          l,re-écrou.    Cet écrou borgne vient buter cori-           i:re        sine        carric    ! ' portée par l'axe de l'un des       pariilloris        de    la prise d'air secondaire;

   à cet       etiet,        rtrr        ressuii        _ti    pousse     constamment    la       tige    A vers le haut. Le profil de la came  L" est tel     qu,;    la tige     pousvée    vers le bas       quand        l achni;sion        .cte@i    gaz est     fermée,    re  monte quand on ouvre l'organe de réglage  de     celte        adrriission    des gaz.  



       t-crpendiculairement    au tube     T    est     bran-          ché        uii    autre tube,     B',        disposé        horizontale-          ment    dans 1a     iigu.re,    tube qui     co@rriiriurriclue     avec, le     gazogène   <I>b</I> de la     cornue   <I>a</I> du carbu  rateur.

   Le point do jonction des tubes B' et  T     est    placé     tira        lieu    au-dessus de     l'oxtréniité          inférieure    de la tige A'. Celle-ci est taillée en       biseau    ou en     cône.,    de telle sorte que sa par  tie     c.,-liridriquc    vienne masquer complète  ment le débouché du tube B' quand l'admis  sion des gaz est fermée.

   Le biseau ou le  cône sont tels que, quand la tige se soulève       eI,        mulisse    vers le haut, l'ouverture du tube       h'        s@jit        progressivement        démasquée.     



       L:=    passage offert à l'eau entre les :parois  des tubes T     et,    B' varie ainsi progressivement.  clans le même sens que l'admission des gaz,  et aucune commande, ni aucune     manteuvre     spéciale du     conducteur    n'est ainsi rendue       r._écessaïre.     



  <I>b;</I>     introduction.        d'eau   <I>par</I>     aspiration   <I>dans</I>       2!n.   <I>vase à niveau, constant.</I>  



  On peut également disposer pour régler  le débit d'eau un vase à     niveau    constant.,       analogue    aux niveaux constants employés,  de façon courante dans tous les carburateurs       (fig.    14).  



       Une    pièce en bronze C" forme le cou  vercle die la cuve; elle est vissée dans un       bos-.age    prévu à cet effet. dans le carburateur,  sous le gazogène de la cornue. La corps de  la cuve peut être fixé sur ce couvercle, par       exeruple    par un pas de vis, comme on l'a  représenté sur la figure.  



       Dans    la pièce     C"f    et     latéralement.    est fixée  une pièce D' servant de raccord pour le  tuyau d'amenée d'eau. Ce raccord porte     tin     pointeau P qui, dans sa position supérieure,  vient fermer le conduit B'. La pièce C" est.       perr@=e,    suivant son axe, d'un trou K' sur le-  
EMI0006.0067     
  
    duel <SEP> vient <SEP> se <SEP> visser <SEP> une <SEP> pïèce-h <SEP> portant <SEP> tin
<tb>  trou <SEP> calibré <SEP> G.
<tb>  



  La <SEP> cuve <SEP> contient <SEP> un <SEP> flotteur <SEP> F <SEP> qui, <SEP> lo@s  qu'il <SEP> est <SEP> soulevé <SEP> par <SEP> l'eau, <SEP> pousse <SEP> le <SEP> pointeau
<tb>  P <SEP> vers <SEP> le <SEP> haut <SEP> et <SEP> en <SEP> arrête <SEP> ainsi <SEP> l'écoule  ra <SEP> cri <SEP> t.
<tb>  



  La <SEP> cuve <SEP> à <SEP> niveau <SEP> con#;t.ant <SEP> peut., <SEP> bien <SEP> (--ii  tendu, <SEP> être <SEP> disposée <SEP> autreinerrt <SEP> qu'il <SEP> est. <SEP> in  cliqtté <SEP> ci-dessus, <SEP> mais <SEP> de <SEP> façon <SEP> à <SEP> reni:hlir <SEP> le
<tb>  rnêiri,e <SEP> rôle.
<tb>  



  Le <SEP> fonctionnement <SEP> de <SEP> l'apparil <SEP> est. <SEP> le <SEP> sui  vant:
<tb>  quand <SEP> le <SEP> inot2ur <SEP> tourne <SEP> ait <SEP> ralenti, <SEP> -la <SEP> dé  pression <SEP> est <SEP> très <SEP> faible <SEP> clans <SEP> .le <SEP> gazogène <SEP> et
<tb>  l'eau <SEP> n'est <SEP> pas <SEP> aspirée, <SEP> oit <SEP> très <SEP> peu, <SEP> par <SEP> le
<tb>  tube <SEP> si'. <SEP> La <SEP> chaleur <SEP> de <SEP> la <SEP> ecrnue <SEP> se <SEP> cominu  ni.que <SEP> par <SEP> conductibilité <SEP> à <SEP> la <SEP> cuve <SEP> à <SEP> niveau
<tb>  t:onstant <SEP> et <SEP> l'eau <SEP> est <SEP> partiellement <SEP> vaporisée.
<tb>  (:

  este <SEP> vapeur <SEP> ,périèt.i. <SEP> par- <SEP> le <SEP> tune <SEP> <I>Ii'</I> <SEP> clan-- <SEP> le
<tb>  gazogène, <SEP> puis <SEP> va <SEP> @e <SEP> mélanger <SEP> aux <SEP> =,'Ltz <SEP> as  pirés. <SEP> Mais <SEP> elle <SEP> reste <SEP> toujours <SEP> en <SEP> faible <SEP> quan  lité, <SEP> tant. <SEP> que <SEP> la <SEP> dépi-.1-ssion <SEP> clans <SEP> le <SEP> carbti  ra.teur <SEP> n'est <SEP> pas <SEP> suffisante <SEP> pour <SEP> aspirer <SEP> l'eau
<tb>  par <SEP> le <SEP> a-icleui <SEP> G.
<tb>  



  Une <SEP> dépression <SEP> suffisante <SEP> s2 <SEP> produit
<tb>  quand <SEP> le <SEP> moteur <SEP> tourne <SEP> plus <SEP> vite; <SEP> la <SEP> quan  tité <SEP> d'eau <SEP> absorbée <SEP> est <SEP> alors <SEP> sensiblement
<tb>  proportionnelle <SEP> à <SEP> celle <SEP> dépression.
<tb>  



  Chacun <SEP> des <SEP> deux <SEP> dispositifs <SEP> décrits <SEP> est
<tb>  naturellement. <SEP> applicable <SEP> aussi <SEP> bien <SEP> à <SEP> l'ar  rivée <SEP> d'eau <SEP> clans <SEP> le <SEP> gazogène <SEP> due <SEP> dans <SEP> la
<tb>  prise <SEP> d'air <SEP> secondaire. <SEP> On <SEP> peut <SEP> d'ailleurs
<tb>  employer <SEP> le <SEP> même <SEP> dispositif <SEP> pour <SEP> les <SEP> cleu <SEP> #,
<tb>  ar'r'ivées <SEP> d'eau, <SEP> ou <SEP> des <SEP> dispositifs <SEP> différents.
<tb>  



  Enfin <SEP> l'eau <SEP> peut <SEP> être <SEP> aspirée <SEP> .directement
<tb>  dans <SEP> un <SEP> réservoir <SEP> placé <SEP> au-dessous <SEP> du <SEP> carbu  rateur, <SEP> ou <SEP> provenir <SEP> d'un <SEP> réservoir <SEP> en <SEP> char,- <SEP> e.
<tb>  



  <I>c) <SEP> l-iontage <SEP> (tu <SEP> carburateur <SEP> en. <SEP> co.nservont</I>
<tb>  <I>zen <SEP> carburateur <SEP> à <SEP> essence <SEP> ordinaire.</I>
<tb>  Lorsqu'on <SEP> désire <SEP> conserver <SEP> le <SEP> carburateur
<tb>  à <SEP> essence <SEP> original <SEP> du <SEP> moteur. <SEP> on <SEP> peut <SEP> iilori  ter <SEP> Ie <SEP> carburateur <SEP> à. <SEP> pétrole <SEP> rte <SEP> la <SEP> façon <SEP> sui  vante:

  
<tb>  Ori <SEP> supprime <SEP> la. <SEP> !Vair <SEP> secondaire <SEP> et
<tb>  on <SEP> monte <SEP> la <SEP> cornue. <SEP> en <SEP> aval <SEP> de <SEP> l'organe <SEP> d'é  tranglement <SEP> \boiscar <SEP> oii <SEP> l@ai@illï@n\ <SEP> du <SEP> car  burateur <SEP> a <SEP> eS@cil!'t <SEP> elUi <SEP> ]!ïualors <SEP> le <SEP> double         rôle qui sera examiné par la suite.     Le        bran-          chement    du     carburateur    à     pétrole    sur la  tuyauterie du carburateur original se fait au  moyen d'un robinet     analogue    à celui qui est  représenté par la     fig.    16.

   Lorsque ce robinet  est fermé, le carburateur à pétrole est     nais     complètement hors circuit, et le moteur fonc  tionne avec son carburateur ordinaire saris       aucune    modification; on adapte cette position  du robinet pour la mise en marche à froid.  



  Lorsqu'on estime que la température at  teinte par le moteur est suffisante, on     ferme     l'arrivée d'essence du carburateur ordinaire       ct    on ouvre le     robinet    dont il     vient        d'ètre     question: le     carburateur    à pétrole se     niet     alors à fonctionner; la cuve du     carburateur     à essence se vide     rapidement.;    à partir du  moment où elle est vide, il ne passe plus que  de l'air pur par le carburateur à essence, qui  joue alors le rôle de éprise d'air secondaire  par rapport au     ca-purateur    à pétrole.

      <I>d) Substitution au charbon d'un</I>     corps     <I>réducteur.</I>    Il a été mentionné plus haut due le gazo  gène que comporte le carburateur     contiënt     un charbon dense ou un dérivé du charbon  remplissant le     même    but..  



  Or, le rôle de ce     charbon    est double: phy  sique et chimique.  



  Il agit d'abord     physiquement        comme    ré  servoir de chaleur pour porter à l'état ga  zeux l'eau qui est     introduite    dans le gazo  gène et la     transformer    en vapeur.  



  Il a     également    un rôle chimique: à     Ia          température    où il se trouve porté par les  gaz' de l'échappement il se     combine    avec  l'oxygène de la vapeur d'eau pour donner  une petite quantité de gaz à l'eau, suivant  la réaction bien connue:    C     -E-        Hj    0 - C O     -f-        N    H    Or, le charbon et les     dérivés    du carbone  ne sont :pas les     seuils    corps qui peuvent se  combiner, à haute     température,    à     l'oxygène     (le l'eau pour la décomposer.

   La plupart     des     métaux non précieux jouissent de cette     pro-          propriété,    en particulier le fer.         Orr    voit     donc    que     1.,    charbon du     gazo-          b < are    peut     étt@        rerrrtilacc;        Ijar    tout corps     réduc-          teUr,    simple ou     composé,        métallique    ou non,  susceptible de     décomposer;

      l'eau à des tem  pératures inférieures à     100d        ",    en libérant de       l'hydrogène    Gu un     composé        hydrogé=né    coin  bust.ible.

Claims (1)

  1. REVENDICATION Carburateur pour moteurs à combustion iril.erne fonctionnant au moyen de pétrole eu d'huiles lourdes, caractérisé par la cam- Linaison., d'une part, d'organes clans lesquels le corirbcistible est:
    intimement rlrélangé à de pair, puis porté à haute température, d'au- Lre .1>arl, d'un dispostif dans lequel, à haute lenipéralure égaleraient et en présence d'un corps réducteur, urne petite quantité d'eau se décompose partiellement-en gaz très in- flamniables et.
    en vapeur, et enfin d'un dis- posilïf recevant les gaz provenant des sus dits organes et leur; additionnant, en qu:an- l.ités réglables, un nouveau mélange d'air frais et d'eau finement divisée, puis con duisant ,le tout aux cylindres. du moteur. clairs le but d'alimenter ces derniers de pé trole ou d'huile lourde sous forme de mé lange, gazeux à température relativement. basse, très explosible, et renfermant de la va peur d'eau.
    SOUS-REVENDICATIONS 1 Carburateur pour moteurs à combustion interne selon la revendication, caractérisé, d'une part, .par une cornue chauffée par les gaz d'échappement et clans laquelle cir cule, par l'effet d'aspiration du moteur, en #_uivaiit un chemin sinueux et en s'échauf fant, un mélange d'air et d'huile lourde ou de pétrole, le débit d'air étant:
    réglable par une vis d'étranglement et le gicleur d'huile lourde étant alimenté par une cuve à niveau constant, d'autre part, par un gazogène faisant corps avec la cornue, porté corrrme elle à haute température par les gaz d'échappement, renfermant un corps réducteur et traversé par :
    de l'eau finement divisée 5-enant d'un gicleur, en fin par une prise d'air secondaire branchée <I>sur</I> la thani.brci d'aspiration du moteur, prisa clans laquelle le mélange gazeux est amené au taux convenable au moyen de papillons reliés par une biellette et un ressort, et clans laquelle débouche une ar rivée d'eau finement divisée.
    2 Carburateur pour moteurs à combustion interne selon la revendication et la sous- revendication 1, caractérisé en ce que le chauffage de la cornue et du gazogène est effectué avant. la mise en marche, au moyen de brûleurs auxiliaires que l'on éteint dès que la température de marche est atteinte.
    3 Carburateur pour moteurs à combustion interne selon la revendication et la sous- revendication 1, caractérisé en ce que la mise en marche s'effectue au moyen id'es- serice amenée à la .cuvo à niveau cons- tanL du carburateur par un robinet à trois voies,
    ce dernier débitant de l'essence .dans sa première position et de l'huile lourde dans la seconde. Carburateur pour moteurs à combustion interne selon la revenu'ication et la sous- revendication 1, caractérisé en ce que la inis=t- en marche est réalisée au moyen d'essence fournie pendant la période de démarrage au gicleur du carburateur par une cuve à niveau cons.tarit auxiliaire qui lui est reliée par un robinet à trois voies, ce dernier faisant communiquer, pendant la marche normale,
    ledit gicleur avec la cuve à huile lourde. 5 Carburateur pour moteurs à combustion interne selon la revendication et la isous- revendication 1, caractérisé en ce que la mise en marche s'effectue au moyen d'es sence amenée à l'intérieur de la prise d'air secondaire par un robinet à trois voies, la première de ces voies donnant :passage à l'air aspiré, la seconde, formée en gicleur, à l'essence, et la troisième -conduisant le mélange d'air et d'essence.
    6 Carburateur pour .moteurs à combustion interne selon la revendication et la sous- revendication 1, caractérisé par un injec teur d'eau commandé par un organe soli daire de la commande des papillons de la prise d'air secondaire, en vue de faire varier la quantité d'eau admise dans la dite prise d'air secondaire en niérrre temps et dans le même sens que le volume deb gaz. i Carburateur pour moteurs à combustion interne selon la revendication et.
    la sou#s- revendication 1, caractérisé par un vase à niveau constant, dans lequel l'eau du gazogène est aspirée, dans le but d'injec ter clans ce dernier une quantité d'eau sen- sibleinent proportionnelle à la dépression. t; Carburateur pour moteurs à combustion interne selon la revendication et les sous- revendications 1 et 2, et tel que représenté par les fig. 1 à 9 et la fig. 12 du dessin.
    9 Carburateur pour moteurs à combustion interne selon la revendication et les sous- revendications 1 et 3, et les fig. 1, 2, 3, 4, 5, 7, 8, 9 et 10 du dessin.
CH93897D 1918-07-13 1920-06-30 Carburateur pour moteurs à combustion interne, fonctionnant au moyen de pétrole ou d'huiles Lourdes. CH93897A (fr)

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