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.i...'/;". ,J...1 " Perfectionnements apportas aux carburpt,4f#mtBouriiùoteurs ,. " !,¯II--.!-,<./;::>"\!. ->o, ," " ¯ ... à combustion interne ". ' ' ' "Q";,ǵ; 1:'1± . ;, l, , f;:..: - --' .
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L'invention est relative au,x.,à,b.ura'èurs<pnur ' ' '.'.''' -; ',- moteurs a combustion, interne';. 1;' < ¯¯ == ( . [ Elle a pour but, surtout, de rendre ces 'api
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tels, qu'ils répondent,mieux aux divers de.si-
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-.....i .... ; # derata de la pratique. ,
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Elle consiste, principalement
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pareils du genre en question, yana uneenae,neyde,.vaeur,¯, - . par exemple de vapeur d'eau, en vue dleveT''la..tepëra.ture du mélange à un degré facilitant ssninflammat..on e; sah combustion. "''... ' ''t- , '- . combustion..: '-j,11' ' - "],$..
Elle consiste, mise a part .cette, disposition principale, en certaines autres dispôsi.t;,an. qurs*utili- sent de préférence en même temps, 9 et do-nt' il' sera .plus ex- pliciteinent parlé ci-après, notammen,"$arïTT<u.. b,tre,' dispoai- tilon -- exclusivement relative au ,ea n..e ma.teüra sont alimentés soit avec de llesae-nqee soit aveè.un combustible
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lourd'#"opnsiatant'a constituer les carburateurs utilisas -- pour oea deux alimentations d'une manière sensiblement ana- logue et à, grouper lesdits carburateurs sous forme d'un seul apparail.
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Bile vise, plus partrculierement certains modes . duplication et certains' modes de réalisation desdites dispositions; et allé vise plus particulièrement encore et ceà titre- -de, produits, industriels nouveaux, les appareils
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du genre cn .q.ued.tion comportant application de ces mènes dispositions, le& éléments et outils spéciaux propres à leur éta.bH.aament, ainsi que les moteurs comportant de sem- blablea appareils,
Et allé pourra-, de toute façon, être bien compri-
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sé L,Ieàidi dtt complément de description qui suit, ainsi que des de'sains ci-annexé.ab lesquels complément et dessins sont, bien entende, donnes surtout à titre d'indication.
Les fig. 1 à 3 de ces dessins montrant, respecti-
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vement en oôüpé transversale verticale, en coupe suivant 2-*fig 1 ét en coupe suivant 3-3 fig. 1 un carburateur établi conformément à l'invention.
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pajéig.' 4p enfin, montre, en plan, une partie dudit carburateur.
Salon l'invention, et plus spécialement selon 'celui: de ses modes' d'application et ceux des modes de ré-
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alîsatioii7 de aea diverses parties, auxquels il semble qu'il y ait li eù,dea*or-orde'r la préférence, se proposant d'établir vq¯éprburateur pour moteurs à combustion interne, on s'y prend, comme, suit, ou de façon analogue.
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On fait comporter a l'appareil pour y eiBmagasiner le* combua.tîble'.une cuve ou deux ait a2, dans le cas où on utiliserait deux combustibles différents, par exemple et, d'une parti de l'essence, du benzol, etc, et, d'autre part, .une huile .-lourde'telle que mazout, pétrole, huile de schiste, etc.., cuves dans.
lesquelles on prévoit, pour y maintenir constant-le niveau du combustible, un flotteur b en laiton,
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en liège ou en toute autre matière convenait -a.u -combustible employé et un pointeau a.
On établit deux gicleurs &1' 2 pouvant tre.,¯a2.i¯- mentés aussi bien avec de l'essence qu'evec du combustible,
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lourd et on introduit chacun de ces gic17ur'dans un' tube cylindrique el e2 à fond unique L10 e2 . de façon que 1 ex- trémité du gicleur par laquelle jaillit le combustible se trouve en regard dudit fond dans lequel est ménagée une sé- rie de trous vaporisateurs !.
Pour alimenter en combustible lesdits gicleurs.,
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on a recours à un distributeur:'.. relié aux. eu>d%tea ducres. et constitué, par exemple,, par un cylindre remportant un
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piston commandé par une tige &. 2 munie de.'rampes 11 .e% suivant la position dudit piston les deux gicleurs, sont ali- mentes simultanément ou non par le même, combustible,, ou chacun par un combustible différent. ' . ' pour régler le débit desdits gicleurs- on a recours,
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à deux pointeaux à3 à coniques à l'endroit au.
ils pénètrent dans les gicleurs et que l'on prolonge, avantageusement, en forme de minces tiges cylindriques, fort avant dama l'inté- rieur desdits gicleurs, de façon qu'il ne reste, entre la-
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dite tige et la paroi latérale interne du g1clur,qutun mince espace annulaire pour servir de passage au combusti- ble qui;, n'étant qu'en mince couche,, peut tre.plua ,fa,o3le mentréchauffé.
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pour l'admission de l'air on a-àooours À un tuyau h que l'on relie par 1'intermédiaire de deux petits, tubes, dont le débit est réglable' par deux vis bl à. des:
ga.tnes' 3 4
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cylindriques bzz bzz ce de façon que l'air lèche las, paroi externe du tube el ou e2 dans l'intérieur duquel il.pénètre
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par les orifices i uniformément zàpirtia'aur, ledit tube, à la hauteur de la sortie du combustible du giculaur, auquel
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combustible il se mélange alors pour sortir . aVc t.(' .lui au
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travers des trous pulvérisateurs
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En vue d'assurer un mélange intime de l'air et du combustible et surtout l'élévation de la température dudit mélange, on fait passer ce dernier par un surchauf- feur que d'on constitue par un espace annulaire cylindri-
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que muni des chicanes, droites ou h6lieutd.%Ies.
Ce.pour quoi on a recours, par exemple, à un cylindre l en métal ou en charbon., que l'on introduit dans un tube k, d'un dia- mètre. peu supérieur à celui du cylindre, et'que l'on munit de minces lames 1 pour former les susdites chicanes. Un surchauffeur ainsi établi est placé à coté de chaque gi-
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oZeur.duciuel il reçoit le susdit mélange. On peut également constituer ledit surchauffeur de manière qu'on puisse le placer concentriquement au gicleur correspondant, en entou- rant à cet effet la susdite gaine cylindrique h3ou h4 d'u- ne couronne, en métal ou en charbon, laissât entre elle et ladite gaine un espace suffisant pour servir de surchauf- feur.
Dea minces lames droites ou obliques ou un ressort propre à entourer ladite gane peuvent être introduits dans
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ledit espace pour servir de chicanes au passade du r.iéla.nè.
On interpose entre lesdits surchaul'ieiirs et les cylindres. du moteur un diffuseur établi coaxialeMent dans là conduite deaspiration m en amont du papillon r et cons- titué par un tube n, de préférence conique à so3.:et dirié dans la direction que suit le mélange, et portant sur son pourtour extérieur des rampes hélicoïdales o tangentes à la paroi latérale interne de ladite conduite. Dans le pour- 'tour dudit tube n, enfin, sont ménagés des trous n1 servant
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d''orifi0es de sortie au mélange pénétrant par son extrémité coudée n2,un autre trou n3 étant prévu dans la paroi laté- rale de la conduite d'aspiration pour servir également d'o- rifice d'entrée ou mélange pour des cas décrits plus loin.
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A lâdite conduite on fait comporter, aVD..l1 t...,,cUSe,lCll du coté de l'entrée du diffuseur, une sbul),-,pe à air automatique commandée par un ressort zl et entourée d'une sorte de clo- che 'ladite soupape permet l'adjonction au mélan,2;c d'une
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quantité d'air supplémentaire qui varie en fonction de la dépression créée par le moteur.
Les divers éléments constitutifs du carburateur étant ainsi établis, on les réunit pour constituer un carbu- rateur que l'on place, au moins,en ce qui concerne les gi- cleurs, les surchauffeurs, le diffuseur et éventuellement le tuyau pour l'admission de l'air, dans une chambre de. va- peur s par exemple de vapeur d'eau, en vue de rendre le com- bustible lourd suffisamment fluide pour que le mélange combustible ou explosif obtenu soit réchauffé et rendu bien homogène.
Pour ce qui est de la vapeur de ladite chambre on@bbtient en chauffant une quantité relativement faible, par exemple quelques cm3 d'eau, dans un tube t, rigide ou flexible, établi dans la conduite d'échappement. On s'ar- range, en choisissant convenablement la matière dont sont, constitués les parois de la capacité close contenant ces vapeurs, cette matière ayant un coefficient de conductibi- lité relativement élevé,, e,t en donnant auxdites parois une étendue suffisamment grande, pour que la pression et par suite la, température dans ladite capacité close restent sensiblement constantes malgré que la température de la source de chaleur soit essentiellement variable et puisse même atteindre des degrés très élevés.
Ce résultat est ob- tenu par l'échange continuel des- calories entre les parois chaudes et l'ambiance froide, ce qui donne lieu à des con- densations plus ou moins chaudes à l'intérieur de ladite chambre. Le produit de cette condensation s'écoule libre- ment vers le tube t et s'évapore aussitôt au. contact de ses parois. pour permettre une vaporisation rapide, dudit liquide, surtout au moment du démarrage à froid, on a re- cours à une source de chaleur énergique,par exemple à une- batterie d'accumulateurs,, ou si le moteur est fixe, au con- rant du secteur, et à une résistance électrique constituée
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par.
un fil métallique qu'on établit dans ledit tube. l'ap- port de cette chaleur peut être supprimé dès le moment où la chaleur fournie par les gaz d'échappement est suifison- te pour maintenir la vapeur à une température suffisante.
La mise hors circuit de la source électrique peut également s'effectuer automatiquement, dans ce cas le fil métallique est remplacé par un liquide permettant l'emploi des char- bons comme bornes électriques, ce liquide étant d'ailleurs celui qui joue le rôle d'un producteur de vapeur comme l'eau dont question ci-dessus.
On établit ces charbons de façon qu'ils soient séparés'par un très faible intervalle rempli dudit liquide, en donnant par exemple, à l'un d'eux, la forme d'un anneau t1 et à l'autre celle d'une tige t2 et en les disposant co- axialement l'un à l'autre.
Ledit liquide se vaporise instantanément ru pas- sage du. courant qui se trouve automatiquement coupé au mo- ment où le liquide est complètement vaporisé.
En suite de quoi, on obtient un carburateur chauf- fé par de la vapeur à température sensiblement conetante et produisant un mélange homogène et suffisamment chaud pour que son inflammation et combustion dans le cylindre du moteur puissent s'effectuer dans les conditions les plus fa- vorables.
Un tel carburateur fonctionne comme nuit: pour le démarrage à froid on fait passer le cou- rant électrique à travers une résistance ou à travers le liquide se trouvant à l'intérieur du tube t, ce lui assure la formation des vapeurs devant remplir la chembre de va- peur 8, lequel courant est ensuite coupé dans le premier cas .volontairement et dans le deuxième cas automatiquement pour être remplacé par les gaz d'échappement.
On donne au piston g1 les positions pour les- quelles-les combustibles nécessaires sont envoyés les gicleurs.. L'air aspiré à travers le tuyau h pénètre dans
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1 2 l'espace se trouvant entre le tube e1 oune2 et la gaîne cy- lindrique h3 ou h4 et réchauffe la couche du. combustible qui est à l'intérieur du gicleur. Ensuite il se mélange au combustible, à sa sortie du gicleur,, et les'deux passent en- semble à travers les trous f, pour s'engager dans le sur- chauffeur. Pendant le passage dans ce dernier, le mélange d'air et de combustible subit une notable augmentation de sa température ainsi qu'un brassage énergique.
En quittant le surchauffeur, le mélange, si son combustible est lourd, pénètre par l'ouverture nl dans le tube n du diffuseur et de là à travers les. trous n1 dans les intervalles des rampes Lesdites rampes forcent le mélange à effectuer un mouvement centrifuge par.lequel les parties encore solides du combustible sont projetées contre la paroi chauffée du diffuseur pour s'y raporiser.
Dans le cas d'une forte aspiration, l'air, pénétrant par la soupape p. à une grande vitesse, participe à ce mou- vement centrifuge et se réchauffe en léchant l@@peroi laté- rale interne de la conduite d'aspiration. Dans'le cas. d'une faible aspiration l'air, pénétrant par. la soupape à une faible vitesse, cherche le trajet le plus court et lèche le tube n au contact duquel il se réchauffe. Si le combus- tible est léger, une vaporisation supplémentaire ne s'impo- se doric pas. Le mélange pénètre directement dans la conduite d'aspiration par l'ouverture n se trouvant tout,près du papillon r.
Dans ce qui précède, on a admis- que le gicleur pour le combustible lourd ainsi que celui pour l combusti-' ble léger sont établis tous les deux dans une enceinte chauffée par de la vapeur d'eau, il eat bien entendu qu'on pourrait se contenter, sans sortir 'de la portée de l'inven- tion, de disposer seulement le gicleur pour le combustible @ lourd dans une telle enceinte, le gicleur, voire le carbura- teur pour la marche à 1 essence étant établis d'une manière appropriée quelconque,par exemple de la manière habituelle
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et étant dispose en un point jugé le mieux approprié pour le $fonctionnement du moteur.
Comme il va de soi, et cornue il ressort bail- leurs déjà. de ce qui précède, l'invention ne se limite au- cunement à celui de ses modes d'application, non plus du'à ceux des modes de réalisation de ses diverses parties ayant plus spécialement été indiqués ci-dessus; elle en embrasse, au contraire, toutes les variantes.