CH89939A - Machine à coudre les boutonnières. - Google Patents

Machine à coudre les boutonnières.

Info

Publication number
CH89939A
CH89939A CH89939DA CH89939A CH 89939 A CH89939 A CH 89939A CH 89939D A CH89939D A CH 89939DA CH 89939 A CH89939 A CH 89939A
Authority
CH
Switzerland
Prior art keywords
shaft
sewing machine
auxiliary shaft
lever
machine according
Prior art date
Application number
Other languages
English (en)
Inventor
Company The Sing Manufacturing
Original Assignee
Singer Mfg Co
Priority date (The priority date is an assumption and is not a legal conclusion. Google has not performed a legal analysis and makes no representation as to the accuracy of the date listed.)
Filing date
Publication date
Application filed by Singer Mfg Co filed Critical Singer Mfg Co
Publication of CH89939A publication Critical patent/CH89939A/fr

Links

Classifications

    • DTEXTILES; PAPER
    • D05SEWING; EMBROIDERING; TUFTING
    • D05BSEWING
    • D05B3/00Sewing apparatus or machines with mechanism for lateral movement of the needle or the work or both for making ornamental pattern seams, for sewing buttonholes, for reinforcing openings, or for fastening articles, e.g. buttons, by sewing
    • D05B3/06Sewing apparatus or machines with mechanism for lateral movement of the needle or the work or both for making ornamental pattern seams, for sewing buttonholes, for reinforcing openings, or for fastening articles, e.g. buttons, by sewing for sewing buttonholes
    • D05B3/08Sewing apparatus or machines with mechanism for lateral movement of the needle or the work or both for making ornamental pattern seams, for sewing buttonholes, for reinforcing openings, or for fastening articles, e.g. buttons, by sewing for sewing buttonholes for buttonholes with eyelet ends

Landscapes

  • Engineering & Computer Science (AREA)
  • Textile Engineering (AREA)
  • Sewing Machines And Sewing (AREA)

Description


  Machine à coudre les boutonnières.    Les diverses opérations d'un cycle     com-          de    production de boutonnière, tel qu'il  est     âbftüéllement    accompli par une ma  chine automatique à coudre les bouton  nières, comprennent des opérations accom  plies préalablement à la couture, l'opération  de -couture proprement dite et des opérations  accomplies     subséquement    à la couture.

   Par  exemple, quand on fait usage d'une certaine  construction de machine à coudre les bou  tonnières     tailleur,    les opérations préalables  à la couture comprennent le serrage de  l'ouvrage, la coupe et     l'écartement    de l'in  cision ou fente de boutonnière et la re  mise sous tension du fil de couture, tandis  que les opérations subséquentes à la couture  comprennent lé     relâchement    du fil, le dé  clenchement du coupe-fil, l'ouverture du  pince-ouvrage et lé demi-tour en retour du  mécanisme     couseur    à la position initiale.  



  L'objet de la présente invention est une  machine à coudre les boutonnières possé  dant un dispositif de débrayage pour arrêter  le mécanisme     couseur,    une roue d'entraîne  ment reliée à l'arbre principal de la ma-    chine pour produire des mouvements rela  tifs entre le mécanisme     couseur    et le     porte-          ouvrage,    pendant la couture. et effectuant  un tour complet durant chaque cycle, et un  arbre pour la commande des couteaux, qui,       actionne    indépendamment du mécanisme       couseur,    est     immobile    pendant la couture et  les opérations subséquentes d'un cycle de  production de boutonnière et constitue un  arbre auxiliaire.

   Suivant     l'invention,    la ma  chine à coudre les boutonnières est munie       d'un    second arbre actionné     indépendamment     (lu mécanisme     couseur,    ce second arbre  auxiliaire étant immobile pendant les opé  rations préalables et pendant la couture.  étant amené à tourner après la couture et  actionnant un mécanisme disposé     pour.agir     sur la roue     d'entraînement.,    pour faire exé  cuter à celle-ci la dernière fraction de son       tour    unique.  



  Le dessin ci-joint     représente,    à titre  d'exemple, une forme d'exécution de l'objet  de l'invention.  



       I'ig.    1 en est une     élévation    latérale, partie  en coupe; -           Fig.    2 en est une vue en bout;       Fig.    3 est un plan, partie en coupe, .re  présentant la roue d'entraînement, les deux  arbres auxiliaires et les mécanismes asso  ciés avec eux;       Fig.    4 est une élévation de la roue d'en  traînement et d'un mécanisme à manivelle  pour faire tourner cette dernière à l'une des  phases du cycle, et       Fig.    5 en est un détail en perspective;

         Fig.    6,     \i    et 8 sont des détails en perspec  tive du mécanisme de     démarrage    et d'arrêt  de l'arbre auxiliaire représenté aux     fig.    4  et 5;       Fig.    9 et 10 représentent des détails de ce  même mécanisme, en élévation;

         Fig.        11    est une vue de la came et de la  pièce qui coopère avec elle pour actionner le  dispositif de relâchement de la tension, dé  clencher le coupe-fil et provoquer l'ouver  ture des pinces du     porte-ouvrage:          Fig.    12 est une vue en perspective du       porfe-ouvrage:          Fig.    13 est une élévation latérale du mé  canisme de fermeture des pinces, et       Fig.    14, 15 et 16 représentent des détails  de construction du mécanisme coupe-fil et       pine        e-fil    pour le fil d'aiguille.  



  Dans la forme d'exécution qui est repré  sentée sur le dessin ci-joint. le bâti de la  machine comprend le socle rectangulaire       creux    1     (fig.        i    et 2) sur lequel est formée  une plaque de fondation 2, d'une extrémité  de laquelle s'élève le montant creux 3 por  tant le bras usuel 4 qui se termine par la  tête creuse 5. A l'intérieur du socle 1     s'étend,     dans la longueur de celui-ci, l'arbre princi  pal. 6 pour le mécanisme couleur. Cet arbre  porte une roue d'angle<B>7</B> qui engrène avec  une roue     d'angle    8, de même grandeur, fixée  à. l'extrémité inférieure de l'arbre vertical 9  qui tourne dans le montant 3.

   L'arbre vertical  9 agit, par l'intermédiaire d'engrenages, mul  tiplicateurs 10, dans le rapport de un à  deux, pour commander l'arbre     11    de com  mande du porte-aiguille. qui est relié, par  une     extrémité,    au porte-aiguille     12,à    mou-         vement    alternatif, au moyen de la manivelle  13 et de la bielle 14 habituelles.  



  Le mécanisme causeur de la machine  peut être d'un type quelconque convenable.  Dans le présent cas, il comprend l'aiguille  droite, à mouvement alternatif, 15, portée  par le porte-aiguille 12 et l'aiguille courbe  de dessous, 16, qui est, supportée dans le  touret     17.     



  Sous la plaque de fondation 2 est mon  tée, sur l'axe 18, la roue d'entraînement bien  connue<B>1.9</B> qui présente, dans son dessous,  une rainure-came 20     (fig.    5),. agissant du  rant une fraction de tour de la roue d'en  traînement pour déplacer le bouton 21       (fig.    3) et, par l'intermédiaire de transmis  sions usuelles avec celui-ci, faire tourner le       mécanimse    causeur pendant qu'il coud au  tour de     l'oeillet    extrême d'une boutonnière.  A la fin de la couture, la roue d'entraîne  ment revoit un autre mouvement tournant  pour achever son tour unique et. à ce mo  ment, elle agit pour ramener le mécanisme  causeur à. sa position initiale.

   Le bouton 21  est soutenu par un bras de levier 22. fixé  par un bout à l'arbre pivot vertical 23 et  relié, par son extrémité opposée, au moyen  de la bielle     24,    au levier coudé 25, qui porte  le secteur denté usuel 25' engrenant avec un  pignon 25"     (fig.    1) monté sur le touret     1'7.     L'arbre pivot vertical 23 porte un bras de  manivelle 26     (fig.    9<B>)</B> qui est relié. au moyen  d'une bielle 2<B>7</B>, à. un levier coudé 28 sur le  quel est formé un secteur denté, 29, engre  nant avec le pignon 30,     cfui    est relié au  moyeu 31 duquel pend le bras-guide 32 pré  sentant une cannelure dans laquelle s'en  gage un bouton 33 prévu sur le porte-ai  guille.  



  Le mécanisme     coupe-boutonnière    com  prend les leviers porte-couteaux usuels, su  périeur et inférieur, 34. et 35     (fig.    1) étui sont  avancés et fermés pour couper l'incision de  boutonnière dans la position     d.e    couture au  moyen des connexions usuelles avec les  cames de fermeture des couteaux.     cames          dont    une est représentée en 36     (fig-.        i    et 3<B>)</B>.

    et avec la came 37 d'avancement et de recul      clés couteaux, toutes ces cames étant portées  par l'arbre auxiliaire     38    lequel est actionné,  indépendamment du mécanisme     couseur,    par  une poulie 39     (fig.    2 et 3), tournant con  tinuellement par l'intermédiaire d'un mé  canisme d'embrayage automatique à un seul  tour, bien connu, 40. Lorsque ce mécanisme  d'embrayage de l'arbre de commande des  couteaux est amené en action durant la pre  mière phase d'un cycle de production de       boutonnnière,    la poulie 39 fait faire un seul  tour complet à l'arbre 38, de la manière  connue.

           Le    porte-ouvrage de la présente machine  comprend des éléments pince-ouvrage supé  rieurs et inférieurs, 41 et 42     (fig.        i,    13 et  14),     dont    les éléments supérieurs sont sup  portés aux extrémités antérieures des bras  44. Les éléments ou pieds pince-ouvrage.  supérieurs 41 sont serrés sur l'ouvrage, du  rant la première phase du cycle de produc  tion de boutonnière au moyen d'un levier  45 possédant un pivot fixe 46 et actionné  par une came 47 montée sur l'arbre de     com-          y:de        des   <B>couteaux</B>     38.    Durant la première  partie du tour unique de ce dernier arbre.

    la came 47 fait culbuter le levier 45 en obli  geant son extrémité antérieure à appuyer de  haut en bas sur le bras 48     (fig.    1.2 et 13) et  à faire osciller celui-ci pour l'amener à la  position de serrage des pinces. Le bras 48  est fixé à l'un des arbres oscillants 49 qui,  à son tour, est relié à l'arbre 49' par l'in  termédiaire de la connexion usuelle, à four  chette et à cheville, 50. Lorsque les pieds de  serrage sont serrés sur l'ouvrage, la dent 51,  prévue sur le levier 52, pénètre dans le cran  53 de la plaque d'arrêt 54 et verrouille les  pinces dans la position de serrage, le levier  52 étant articulé     ait    bras de manivelle 55 qui  est fixée à l'arbre oscillant 49'.

   Lorsque le  levier 52 est     déplacé    de bas en haut, la dent  <B>51</B> est retirée du cran 53, en permettant, par  cela même aux pinces de s'ouvrir..    On verra, en se reportant aux     fig.    14 à  16 inclusivement, que l'un des pieds 41,     pr@-          sente    un prolongement 57 comprenant les    barres supérieure et inférieure, légèrement  élastiques, 58 et 59 qui sont rigidement as  sujetties ensemble par la vis 60 et sont  tenues à. l'écartement voulu au moyen clé la,  rondelle 61 et de la tête de vis 62.

   Dans un  bossage 63, s'élevant clé la barre 58, tourne  un axe 64 clans la face extrême inférieure,  évidée, duquel sont assujetties les queues des  sections se recouvrant 65 et 66, constituant une  lame     compound    pince-fil et coupe-fil. La par  tie externe de la section (le lame 65 présente  un bord 65' incliné brusquement: de dedans  en dehors, à partir du bord adjacent, pour  offrir un angle pour guider le fil au point  de     pinçage.    Le bord de la section coupante  66 de la lame compound en     question    pré  sente, sous l'angle en question, le bord cou  pant concave 67, qui cisaille le fil contre le  bord 68 (le la lame 69 tenue sur le dessus  de la barre 59.

   La lame compound est sus  ceptible de se mouvoir à l'intérieur de l'es  pace compris entre les barres 58 et 59 et de  remplir sensiblement cet espace, la section  65 coopérant avec, la paroi     inférieure    de la  barre supérieure     58    pour pincer le fil.

    Pour actionner les éléments pince-fil et  coupe-fil, l'axe 64 porte,     assujetti    à son ex  trémité supérieure, le bras de manivelle 69  dans l'extrémité percée duquel pénètre libre  ment la vis     70    vissé à l'extrémité antérieure  de la     tige    71 qui s'étend vers l'arrière. le  long du bloc porte-pinces 72, et     passe    libre  ment à travers     l'extrémité    percée du bras de  support 73.

   La tige<B>71</B> est entourée     par    un  collier     74        auquel    est assujettie l'une des ex  trémités     d'un    ressort<B>(le</B> tension 75 dont l'ex  trémité opposée est, assujettie au bras 73.

   Un  collier d'arrêt 76,     assujetti    à la tige     71,    est       susceptible    (le     rencontrer    le bras 73 et d'ar  rêter le mouvement vers l'arrière (ou mou  vement clé fermeture du     coupe-fil-pince-fil)     (le la tige     71    sous l'influence du ressort     7r)     La tige 71 présente, sur son     dessous,    un  cran     77    clans lequel     petit    pénétrer l'extré  mité d'un bras     d'arrêt    78, relevé par un res  sort,

   pour retenir les éléments     coupe-fil    et  pince-fil dans leur position retirée ou ou  verte.      L     f        @rt#que    la.     raille    coupe-fil et pince-fil est       ferrni'u,    une     poussée    exercée d'arrière en       a%-arit    sur la     tige        \i1    servira à rappeler cette  lame et à libérer le bout libre du fil     d'ai-          zuille.    Bien que ceci puisse être accompli à.

    la     main,    il est préférable de prévoir un     mé-          eanisnre    pour pousser automatiquement la       ti-e   <B>'-i</B>     E_n        avant..    Ce mécanisme     comprend     le     ljra#,        '79    1     j    qui pend d'un arbre     trans-          -,

          ersal        tubulaire    80 auquel un mouvement       cl'o-(#illation        est    imprimé au moyen d'un       taras        @'1,    s'étendant de bas en haut, portant  lin     l=oouton    82 qui est engagé dans une     rai-          nure-oarne    83 pratiquée clans le     cylindre-          came    84 monté sur l'arbre     11,    de commande  du porte-aiguille.

   Après que le bras<B>7</B>9 a reçu  une impulsion unique d'ouverture de la  pince, le bouton. 82     est    éjecté de la     ra.inure-          came    et est immobilisé dans cette position  éjectée.  



  L'arbre principal 6, du mécanisme de  formation des points est débrayé au moyen  d'un mécanisme de débrayage automatique       comprenant    un levier basculant de mise en  route et d'arrêt 85     (fig.    1,     \?    et 3), qui est  fixé     fi.    un axe 86     tourillonnant    dans les oreil  les de portée     8'i.    Le levier 85 est sollicité vers  la position d'arrêt par le ressort 86' et il est  tenu dans une position de marche (fil-.

   1 et       \?),    ait moyen dit verrou 87'     (fig.    2) dont  l'extrémité     supérieure    s'engage par dessus  une plaque     d'usure    88' prévue sur le bras;       -,8        qui        est    fixé     ii    l'axe 86 et s'étend de     celui-          ci        vers    l'avant.

   Le bras 88 porte, à son     ex-          ti#érriité    libre, un galet 89 qui est abaissé par       aine        @ anle    90, montée sur l'arbre de     com-          n)an@le    clos     couteaux,    pour mettre en route  le     nnc\c-anisnre        @de    formation des points durant  la     dcrrrire        partie    du tour unique de l'arbre  (le     corirmnih,         <         I@@s    couteaux.

   A la fin de la     cou-          f.i7re.    tin     ern#oi    (le déclenchement     91.    (fit-. 1  et     :;\.        pnvrt        siir    la roue     d'entrainement.    agit  par     l'intermi@rliaire    d'un levier 92 pour     dé-          placur    le     verr#ciu        @'ï    latéralement et libérer le       lias    de levier     @    en permettant par cela  même     aii    levier d'arrêt 85 de revenir,

   sous       l'action        chi        renrt    86'. è la position d'arrêt.  



       Corlrnle    le     savent    parfaitement les gens    du métier, des mécanismes de débrayage au  tomatique du présent type comprennent un       coulisseau    93     (fig.    1, 2 et 4) qui, repoussé de  haut en bas par un ressort, est monté sur  le levier d'arrêt 85 et possède une dent 9     i     qui vient. par dessus la surface périphérique  95 de la couronne d'embrayage 96 lorsque  le levier d'arrêt oscille à la position d'arrêt.  Une continuation du mouvement tournant de  l'arbre principal oblige le     coulisseau    93 à  être soulevé à mesure que la partie formant  came et. inclinée vers l'extérieur 9'i (-fi-. 8<B>)</B>  de la. couronne d'embrayage passe sous la.  dent 94.

   Finalement, la dent 94 tombe dans  le cran     cl'arrêet,98    de la couronne d'em  brayage au moment où l'épaulement abrupt  99,     formant;    l'une des parois latérales de ce  cran, rencontre la. face latérale (le la     dent    94  et arrête le     mouvement    de l'arbre principal.  Ce     mouvement    de bas en haut et de haut.  en bas, bien connu, du coulisseau 93 est uti  lisé dans la présente machine dans un but  qui va être décrit.

      La présente machine comporte un second  arbre auxiliaire, 100     (fig.    1, 2, 3, 4, 5 et 9),  qui tourne à l'intérieur du socle 1 et trans  versalement à celui-ci dans les portées     101     et 102     (fig.    3) et qui est utilisé pour accom  plir certaines opérations     subséquentes    à. la  couture. Cet arbre est normalement fixe  durant la couture et il est obligé à effec  tuer     titi    seul tour seulement durant la troi  sième, ou dernière, phase du cycle de pro  duction de boutonnière.  



  Sur un prolongement de l'arbre 100  tourne librement le disque de commande  <B>103,</B> animé d'un mouvement de rotation  continu, d'un dispositif     d'embi#ayage    auto  matique à tin tour. L'une des faces. latérales  du disque 103 est évidée pour former un  rebord périphérique     104    dans lequel se  trouvent une série de dents de commande  105     phériphériquement    espacées et dirigées  de dehors en dedans.

   Le disque de com  mande 103 possède d'ailleurs un moyeu     1.06     d'une seule pièce avec une roue dentée     10'7     qui engrène avec un pignon 108 fixé à. la      poulie bien connue 39 qui tourne librement  sur le     premier    arbre auxiliaire, ou arbre de  commande des couteaux 38.

   Lés arbres  auxiliaires parallèles 38 et 100 transversaux  au socle de la machine, et les disques' de  commande, reliés par engrenage, coaxiaux  avec ces arbres, sont des parties qui cons  tituent un mécanisme auxiliaire simple,  compact et     efficace,    susceptible d'être com  rnandé au moyen d'une seule poulie sur le  côté de la machine et d'être utilisé pour  accomplir l'une quelconque des diverses  opérations, ou toutes les diverses opéra  tions, qui précèdent et suivent la couture.  



  Au second arbre auxiliaire 100 est fixé,  en un endroit adjacent au disque de com  mande 103, un disque commandé 109       (fig.    3, 4, 5 et 6) dans lequel est formée une  glissière radiale     110,    où est monté un     cou-          lisseau        111    portant, sur l'un de ses côtés,  une dent d'embrayage 112 qui s'étend laté  ralement dans la partie évidée du disque  ou plateau de commande. Sur son côté op  posé, le, coulisseau     1l1    porte une dent     d'ar-          S    qui     passe    à travers la fente 114 pra  tiquée au travers du disque commandé 109.

    Un ressort 115     (fig.    6) monté sur le disque  109 et portant par son extrémité libre con  tre l'extrémité interne, encochée de la dent  d'embrayage 112, est utilisé pour solliciter  le coulisseau 111 de dedans en dehors., pour  amener par cela même la dent d'embrayage       112    à une position dans laquelle elle sera  rencontrée par l'une des dents de com  mande 105, en accouplant ainsi l'arbre 100  à 'la source de force motrice.  



  Sur la vis 116     (fig.    2 et 4) tourne un le  vier coudé possédant un bras pendant     117     qui porte, à son extrémité inférieure, un  bloc de butée 118X     (fig.    3, 7, 8 et<B>10)</B> possé  dant une face inclinée formant came 118,  un épaulement de retenue     119    et un épau  lement d'arrêt 120. Sur le bras     117    pivote,  en 121, -fin verrou à ressort 122 dont l'ex  trémité     inférieure    se trouve à une petite  distance du dessus de l'épaulement d'arrêt  1.20.

   L'autre bras, 123, du levier coudé, est  tiré de haut en bas par un ressort à boudin    124     (fig.    2 et 7) qui agit     élastiquement    pour  tenir le bloc de butée dans une position  telle que la dent     d;arrêt    113 est retenue  dans sa position retirée par l'épaulement de  retenue 119 et est bloquée, de manière à ne  pas pouvoir se déplacer ni de bas en haut  ni de haut en bas, par le verrou 122 et  l'épaulement d'arrêt 120 respectivement.  



  Dans la position d'arrêt normale des par  ties ainsi décrites, le coulisseau 111 se trouve  dans sa position interne extrême, avec la  dent d'embrayage 112 dégagée des dents  d'embrayage 105 du disque de commande  103. Le déplacement du levier coudé, par  des moyens qui vont être décrits, de ma  nière à éloigner le bras     9.1\ï    de la face ad  jacente du disque de     commande    103, dé  gage l'épaulement d'arrêt 120 et l'épaulement  de retenue 119 de la dent d'arrêt 113 du  coulisseau 111, en     permettant    ainsi à ce der  nier de se mouvoir de dedans en dehors,  sous l'action de son ressort 115; pour intro  duire la dent d'embrayage 112 en prise avec  l'une des dents de commande 105.

   Au mo  ment où le disque commandé 109 approche  de la fin d'un tour unique, le levier coudé,  a été ramené à sa position initiale par  l'action du ressort 124 et l'action plus posi  tive de la face inclinée 125     (fig.    6) de la       nervure-came    126 sur l'extrémité coudée     127          (fig.    2, 3 et 7), d'un bras latéral 128     ass.u-.          jetti    à l'extrémité inférieure du bras de le  vier 117,

   en amenant ainsi la face 118 du  bloc de butée 118X sur le chemin (le la dent  d'arrêt 113 au moyen de laquelle le     cou-          lisseau    111 est repoussé de dehors en de  dans pour dégager la dent d'embrayage       112    des dents de commande     105.    Au mo  ment où la dent d'arrêt 113 arrive à sa po  sition initiale, elle vient en prise avec l'é  paulement d'arrêt     9.20    et est empêchée     dc     rebondir par l'extrémité du verrou 122 qui  vient en position d'activité au moment où  la dent d'arrêt 113 le passe.

   Par les moyens  ainsi décrits, le second arbre auxiliaire     100     doit faire un tour complet seulement pour  chaque mouvement     .de    dégagement d'em  brayage du levier coudé 117, 123.      Le second arbre auxiliaire 100 présente,       entre    ses     extrémités;

      une manivelle 129       jfig.    2, 3, 4 et 5) qui est embrassée par       l'e,-,-trémité    formant collier d'une bielle 130  dont l'extrémité opposée est articulée, par  une vis 131, à la tête 132 d'une cheville dont  la. queue cylindrique 133 est engagée dans  des ouvertures. de portée alignées formées  dans les parties espacées, latéralement sail  lantes,     134,    135, d'un bras de levier     136    pivo  tant sur une vis     137    qui, concentrique à la  tête 18 portant la roue d'entraînement, est  vissée dans cette tête.

   Un collier 138, assu  jetti à. la queue 133 de<B>là</B> cheville en     ques-          tioti,    entre les     parties.    saillantes 134, 135 du  bras de levier 136, sert à retenir cette che  ville dans sa position de travail. Comme la  vis<B>131</B> et la cheville 133 ont leurs axes dis  posés sensiblement à angle droit, elle for  ment une articulation universelle entre la  bielle 130 et le bras de levier 136.

   A son  extrémité libre, le bras de levier 136 porte  un cliquet à ressort 139, dont l'extrémité  porte     élastiquement    contre la partie lisse  de la surface cylindrique de la roue     d'en-          traînement    clans laquelle est montée une  plaque courbe 140, dans laquelle sont for  mées une ou plusieurs dents 141, qui sont  placées de telle     sôrte    que, quand le levier       cle        débraya1e    85 est libéré par l'action de  l'ergot clé déclenchement 91 pour arrêter  le mécanisme     couseur,

      une au moins clos       dents    141 a passé sous l'extrémité du     cli-          quet,        139    et est en position pour être     ac-          tionnée    par ledit cliquet, comme cela est       rel        )résenté        1) < c3.    les positions en lignes     poin-          tilVes    clos     dents    1.41 et clé l'ergot de     dé-          (-li@iichement    91     (fig.    3).

    
EMI0006.0033     
  
    d)n <SEP> note] <SEP> a <SEP> due, <SEP> clans <SEP> la <SEP> position <SEP> norma  k-ment <SEP> fi@ïe <SEP> du <SEP> second <SEP> arbre <SEP> auxiliaire <SEP> 100
<tb>  J <SEP> i, <SEP> la <SEP> ltitlnivelle <SEP> 129 <SEP> se <SEP> trouve <SEP> légère  mi=-tit <SEP> au-d >,:u- <SEP> de <SEP> sa <SEP> position <SEP> clé <SEP> point <SEP> mort
<tb>  ;@rri@,re. <SEP> 1;,@  <SEP> c1tte <SEP> figure, <SEP> le <SEP> levier <SEP> clé <SEP> <B>dé-</B>
<tb>  ;t <SEP> ,juste <SEP> été <SEP> déclenché <SEP> et <SEP> l'arbre
<tb>  @@riiicih;

  al <SEP> @5 <SEP> a <SEP> encore <SEP> à <SEP> faire <SEP> une <SEP> fraction
<tb>  ile <SEP> <B>10111-</B> <SEP>  < le <SEP> i'@wott <SEP> il <SEP> élever, <SEP> d'abord <SEP> la <SEP> dent.
<tb>  d'arrèt <SEP> 9=1 <SEP> et <SEP> Ît <SEP> lui <SEP> permettre, <SEP> ensuite, <SEP> cl <SEP> e       pénétrer dans le cran 98 de la     couronne     d'embrayage 96.  



  Le coulisseau 93     (fig.    2, 4 et 8), portant  la dent 94, est relié, par une bielle 142, au  bras s'étendant vers l'arrière du     levier        14:;          (fig.    3 et 8) pivotant sur, le bâti en 144. Au  bras s'étendant vers l'avant du levier 143  est articulé un loqueteau à ressort 145, dont  l'extrémité est disposée pour prendre     sous     le bras latéral 123 du levier coudé 117. 123,  lorsque le coulisseau 93 est soulevé par la  partie excentrique     9\ï    de la couronne     cl'em-          brayage,    comme cela. est représenté à la       fig.    8.

   Lorsque la dent 94 pénètre dans le  cran 98, le coulisseau 93, en tombant,     agit,     par l'intermédiaire de la bielle 142, du levier  143 et du loqueteau 145, pour soulever le  bras 123 et retirer par cela même le bras  pendant<B>117</B> du levier coudé et     effectuer          l'embrayage    de l'arbre auxiliaire     100    au  plateau     clé'        commande    103 pour un seul  tour.

      Sur le     bàti        pivote,    en     1-16,    un levier ver  tical     1.7        #fig.    2, 5 et 8) dont l'extrémité Su  périeure libre est     élastiquement    tenue con  tre une vis d'arrêt 148 par l'action du res  sort 124 qui est relié, par son extrémité. in  férieure, à un bras latéral 149     dudit    levier.

    1,e levier     147    porte un bloc-came     159    fai  sant saillie latéralement et présentant une  face inclinée 151, qui se trouve sur le che  min de mouvement descendant     clu        bras    clé  manivelle 152 et est dévié sur l'un clos côtés  au moment où ce bras de manivelle le passe  durant la première partie de son tour uni  que, comme cela est représenté à la     fig.    5.

    Lorsque le levier<B>117</B> est, dévié, son     extré-          mit6    supérieure rencontre le loqueteau 145  et dégage     celui-ci    du bras 123 du levier  coudé     11'7-_.123,    en permettant, par cela  même, à ce levier clé revenir immédiatement  à la position de     dégagement    clé l'embrayage  sous l'action du ressort 124, ou sous l'action  plus positive de la surface-came 125 clé la  roue d'embrayage 109 sur l'extrémité coudée  <B>127</B> du bras latéral 128 fixé audit levier     i1'7.          1,

  23.         Il est facile à     comprendre    due la mani  velle du second     arbre    auxiliaire 100 fait.  durant son mouvement de sa position de  point mort arrière à sa position de point  mort avant, tourner la roue d'entraînement,  en une seule fois, de la position qu'elle oc  cupe à la fin de la couture à la position  initiale dans laquelle elle est prête à     recom-          niencer    un nouveau cycle d'opérations;

   ce       mouvement    final et rapide de la roue d'en  traînement est de préférence utilisé, dans le  présent cas, pour ramener le     mécanisme          couseur    à sa position initiale par l'inter  médiaire des transmissions usuelles dont il  a été précédemment question.  



  Le second arbre auxiliaire     100    dont est  pourvue la présente machine peut être uti  lisé pour l'accomplissement de diverses au  tres opérations durant la phase finale d'un  cycle de production de boutonnière. Par  exemple, l'arbre 100 a, dans le présent cas.

    été pourvu d'une carne 153     (fig.    2, 3, 5 et       11)    établie sous la forme d'une paire de dis  ques, espacés, de forme similaire, entre     les-          est        guidée    l'extrémité inférieure d'une  barre de soulèvement     154    dont l'extrémité  supérieure est articulée à l'extrémité arrière  du levier de relâchement de tension 155       (fig.    1 et 2), qui pivote sur le bras     Il.    en  156.

   A son extrémité antérieure, tournée  vers le bas, le levier de relâchement de  tension présente un évidement latéral     15"r          qui    offre une paroi-came inclinée servant.  lorsqu'elle est déplacée de haut en bas, à  déplacer la cheville usuelle 158, de relâche  ment de la tension, vers l'intérieur pour  séparer les disques, pressés par ressorts,     d        u     dispositif de tension 159 pour le fil     d'ai=          ;;uille.       supérieure du levier clé débrayage 85.

   L'ex  trémité interne de la vis 162 s'étend à une  certaine distance latéralement au levier à  main 163 et est     élastiquement    tenue en prise ,  avec le levier 85     (fig.    3) au moyen du res  sort 165 qui est enroulé autour du bossage  164 et dont une des     extrémités    est accrochée  autour du     levier    à main 163     I,fig.    1 et 2) et  tend à tirer l'extrémité supérieure de ce le  vier à main en avant. La barre (le soulève  ment 154 est formée, à son extrémité infé  rieure, avec une oreille 166     (fig.    2, 3 et 5)  s'étendant latéralement et disposée pour por  ter sur la partie     périphérique    clé l'un des  plateaux-cames 153.

    



  Sur la plaque     de    fondation<B>1</B> pivote, en  167     (fig.    1, 3 et 12), l'extrémité arrière du  bras de levier<B>168</B> qui est     élastiquement     abaissé par le     prolongement    antérieur 169  d'un ressort à laine 170 vissé à la plaque de  fondation 1. L'extrémité antérieure, s'éten  dant de bas en haut et de dehors en dedans       171,    du bras clé levier 168, surplombe la  plaque de fondation 1 dans une position où  elle se     trouve        immédiatement    au-dessous de  l'extrémité arrière du levier d'arrêt 52 qui  immobilise les pieds de serrage dans la po  sition de serrage.

   Un levier<B>172</B> est     ajustable-          meut    fixé au bras de levier 168, au     moyen     de la vis pivot<B>1131</B> et de la vis     174    qui pé  nètre dans une fente de l'extrémité anté  rieure de ce levier et.

   se visse clans le bras  de levier<B>168.</B> Du levier 172     s'élève,    de de  hors en     dedans,    un bras     I   <B>î5</B> qui     surplombe     la plaque de fondation 1 et qui est disposé  sous la queue du levier d'arrêt '78 pour la  tige 71     précédeniineiit        décrite.       Le bras s'étendant vers l'arrière du levier       1\ï2    est susceptible d'être     abaissé,    pour éle  ver le prolongement     l'71_-175        clé    déclenche  ment du     coupe-fil    et des pieds (le serrage.

    au moyen     du    levier 176 qui pivote sur le  montant 3, en 177, et dont le bras arrière.  latéralement coudé.     1\i8    pénètre     dans    la fente  horizontale 179     (fig.    1<B>)</B> (le la barre clé     sou-          lèveinent    154.

   Les, deux bras     cl.u    levier     1'76     sont     ajustables    l'un par- rapport à l'autre,    De la barre de soulèvement 154 s'étend  vers l'arrière, entre les extrémités de cette       barre,    un bras     160        (fig.    1, 2 et 3) présentant,  à son     extrémité    libre, une fente verticale       161    dans laquelle est librement engagée une  vis 162 qui est vissée dans l'extrémité in  férieure du levier à main 163 assujetti à  pivot à un bossage     164,

      formé à l'extrémité      l'un cieux présentant une fente     1.80    dans la  quelle est engagée une vis 18l vissée dans       l'aufre.     



  Les parties précédemment décrites sont       régltLs    de telle sorte que, lorsque la barre  <B>(le</B>     s(        ,cllèv        ement    est soulevée, elle agit d'abord  pour relâcher la tension, en second lieu pour       décl,_ticher    le coupe-fil et, finalement, pour       ouvrir    les pince-ouvrages.

   Pour assurer     l'es-          paccinent    convenable de ces opérations dans  le     tuiiï.ps.,    la came l53 présente une partie       hautë    de relâchement de tension     182        (fig.    11)       qui    vient se fondre dans une partie haute  de     cla_clenchement    du couteau<B>183,</B> laquelle       dernière    est suivie par un repos 184 qui se  fond clans la partie haute 185, d'ouverture  du     pince-ouvrage.    La partie haute d'ouver  ture du pince-ouvrage est suivie par une  dépression<B>186</B> qui permet aux prolonge  ments 171,

   1.75 de commande du couteau et  d'ouverture de la pince de descendre suffi  samment pour assurer que les     pince-ou-          vrages    pourront être fermés et le couteau  rétabli en position, mais pas assez pour ré  tablir la tension sur le fil d'aiguille. A la  suite de la dépression 186 se trouve une  longue partie concentrique,     .ou    repos, 187  s'étendant sur sensiblement les trois quarts  du pourtour de la came et se terminant par  une déclivité abrupte 188.  



  Avant la mise en route de la machine,  l'oreille 166 repose sur l'extrémité de la par  tie concentrique, ou repos,     187    de la came,       comme    cela est représenté à la     fig.    11. Lors  que le levier de débrayage 85 est amené à  la     praition    de mise en route par l'action de  la     cazlie    usuelle 90     (fig.    1) sur l'arbre de       com iande    du couteau, l'extrémité inférieure  clé la barre (le soulèvement 154 est déplacée  en     avant        par    Faction de la vis 162, portée       par    le     levier   <B>(le</B> débrayage,

   et l'oreille 168  tombe sur la, déclivité 188, à la position     re-          présczitée    en lignes pointillées à la     fig.        1.1,     en l     permettant    ainsi au ressort     189    d'effec  tuer le     mouvement    descendant de la barre  de     soulèvenieni.        i54    et le rétablissement,  qui en est la conséquence, de la ten  sion sur le fil. le cran ou encoche     157    du    levier 155 étant par cela     même    amené en  coïncidence avec la cheville<B>155</B> de relâche  ment de la tension.  



  Le fonctionnement de la machine est le  suivant:   On place l'ouvrage en position sous les  pieds pince-ouvrage soulevés et on met la  machine en route au moyen du dispositif à  pédale usuel, non représenté, qui met en ac  tion l'arbre de     commande    du     coupe-bouton-          nière.    Pendant le tour unique de cet arbre  de commande du     coupe-boutonnière,    les       pince-ouvrages    se ferment, la fente ou inci  sion de boutonnière est coupée et écartée ou  étalée et le levier de débrayage 85 est amené  à la position clé marche     (fig.    1) par action  de la carne 90 sur le galet 89     monté    à l'ex  t.rémité libre du bras de levier 88,

   le verrou  87' prenant sur le bras de     levier    88 et tenant  le levier de débrayage     dans    la position de  marche. La tension sur le fil d'aiguille est  rétablie lorsque l'oreille     16ü    est poussée par  dessus la     déclivité    1.88 par le     mouvement     clé bascule du levier clé débrayage.  



  A mesure que le couture progresse, la roue       d'entraînement    reçoit un mouvement tour  nant, pas à pas, relativement lent, par l'inter  médiaire des connexions usuelles par en  grenage avec la roue en étoile 190     (fig.        1i     dans laquelle engrènent les chevilles, diamé  tralement opposées,     191,    portées par l'extré  mité inférieure de l'arbre vertical 9. Dans  la couture de     l'oeillet    extrême de la bouton  nière, le mécanisme     couseur    effectue un  mouvement tournant sous l'effet des con  nexions usuelles avec la roue d'entraîne  ment.

   Lorsque la boutonnière est complète  ment cousue, l'ergot de déclenchement 91  rencontre le levier 92 et dégage le -bras 88  du verrou 87' en permettant ainsi au levier  de débrayage d'être rappelé à la position  d'arrêt. A ce moment, les dents 141, prévues  sur la roue d'entraînement, sont venues à  une position juste en avant du cliquet l39       (fig.        l).     



  Le mouvement ascendant du coulisseau  93, porté par le levier de débrayage, engage  le loqueteau     1.45    du levier 143 sous le bras      latéral 123 du levier coudé     117-123.    Au  moment où la dent d'arrêt     94    tombe dans  le cran 98 de la couronne d'embrayage 96,  pour arrêter le mécanisme couleur, le     cou-          lisseau    descendant 93 rappelle le bras pen  dant 117 du levier coudé, en amenant ainsi  le second arbre auxiliaire 100 en action pour  lui faire exécuter son tour unique durant  lequel la tension est relâchée, le coupe-fil  est déclenché, les pince-ouvrages sont ouverts  et la roue     d'entraînement    est rapidement  ramenée à sa position initiale,

   sans bruit  ni choc, de la manière précédemment dé  crite.

Claims (1)

  1. REVENDICATION Machine à coudre des boutonnières pos sédant un dispositif de débrayage pour ar rêter le mécanisme couleur, une roue d'en traînement reliée à l'arbre principal de la machine pour produire des mouvements re latifs entre le mécanisme couleur et le porte- ouvrage, pendant la couture, et effectuant un tour complet durant chaque cycle, et un arbre pour la commande des couteaux, qui, aet@onné .indépendamment du mécanisme couleur, est immobile pendant la couture et les opérations subséquentes d'un' cycle de production de boutonnière et constitue un arbre auxiliaire,
    machine caractérisée en ce qu'elle comporte un second arbre actionné indépendamment du mécanisme couleur, ce second arbre auxiliaire étant immobile pen dant les opérations préalables et pendant la couture, étant amené à tourner après la couture et actionnant un mécanisme disposé pour agir sur la roue d'entraînement, pour faire effectuer à celle-ci la dernière fraction de son tour unique. SOUS-REVENDICATIONS 1 Machine à coudre les boutonnières sui vant la revendication, caractérisée en ce que des moyens, reliés au dispositif de dé brayage, servent à mettre en route le se cond arbre auxiliaire une fois la couture terminée.
    2 Machine à coudre les boutonnières sui vant la revendication, caractérisée en ce que les organes d'actionnement pour le se cond arbre auxiliaire comprennent un en grenage, tournant continuellement, dont l'une des roues est concentrique audit arbre et l'autre concentrique au premier arbre auxiliaire. 3 Machine à coudre les boutonnières sui vant la revendication, caractérisée en ce que le mouvement que le second arbre auxiliaire fait effectuer à la roue d'en traînement est utilisé pour ramener le mécanisme couleur dans sa position ini tiale.
    4 Machine à coudre les boutonnières sui vant la revendication et la sous-revendica- tion 3, comportant un dispositif de tension pour le fil et caractérisée en ce que, entre le second arbre auxiliaire et le dispositif de tension pour le fil, sont intercalés des moyens pour relâcher la tension sur le fil d'aiguille. 5 Machine à coudre les boutonnières sui vant la revendication et la sous-revendica- tion 3, comportant un coupe-fil et caracté risée en ce que des moyens actionnés par le second arbre auxiliaire servent à fixer le moment de l'opération du coupe-fil.
    6 Machine à coudre les boutonnières sui vant la revendication et la sous-revendica- tion 3, caractérisée en ce que, entre le se cond arbre auxiliaire et le porte-ouvrage, il existe des moyens pour provoquer l'ou verture du porte-ouvrage afin de relâcher l'ouvrage. 7 Machine à coudre les boutonnières sui vant la revendication et la sous-revendica- tion 3, caractérisée en ce que le second arbre auxiliaire possède une manivelle entre laquelle et la roue d'entraînement, des organes de transmission sont prévus pour faire tourner la roue d'entraînement dans la phase finale d'un tour complet durant une seule fraction de tour de la manivelle.
    8 Machine à coudre les boutonnières sui vant la revendication et la sous-revendica- tion 7, caractérisée en ce que, sur la roue Tentrainement, se trouve une dent sus- -ePtible rl'Ftre engagée par un cliquet porté par un bras pivotant auquel est reliée une bielle attelée à la manivelle du second ;
    - rbre au--àliaire. 9 Machine à coudre les boutonnières sui- vant la revendication et les sous-revendi- eations 4, 5 et 6, caractérisée en ce que. pur le second arbre auxiliaire, est montée une came agissant sur un organe en rela- lion avec le dispositif de tension du fil.
    avec le coupe-fil et avec le porte-ouvrage, cette came présentant une première partie excentrique destinée à produire le relâche ment de la tension, une seconde partie ex centrique destinée à faire fonctionner le coupe-fil et une troisième partie excentri que destinée à provoquer l'ouverture du porte-ouvrage.
CH89939D 1919-06-07 1919-06-07 Machine à coudre les boutonnières. CH89939A (fr)

Applications Claiming Priority (1)

Application Number Priority Date Filing Date Title
CH89939T 1919-06-07

Publications (1)

Publication Number Publication Date
CH89939A true CH89939A (fr) 1921-07-01

Family

ID=4347147

Family Applications (1)

Application Number Title Priority Date Filing Date
CH89939D CH89939A (fr) 1919-06-07 1919-06-07 Machine à coudre les boutonnières.

Country Status (1)

Country Link
CH (1) CH89939A (fr)

Similar Documents

Publication Publication Date Title
CH89939A (fr) Machine à coudre les boutonnières.
CH89030A (fr) Machine à coudre.
CH664776A5 (fr) Dispositif de selection de fils pour metier a tricoter.
FR2678649A1 (fr) Machine a broder.
BE1003201A3 (fr) Dispositif de couture pour coudre automatiquement un tissu possedant une forme rectiligne sur un tissu possedant une forme courbe.
CH85380A (fr) Machine à coudre avec dispositif pince-fil.
CH99940A (fr) Outil à relier des fils, ficelles etc. par un noeud de tisserand.
CH278806A (fr) Procédé pour l&#39;emballage de bonbons sous forme de sacchetti et machine pour sa mise en oeuvre.
CH435104A (fr) Machine à encercler les paquets, avec bloc-noueur automatique
FR2535353A1 (fr) Coupe-fil superieur pour machine a coudre les boutonnieres
CH85064A (fr) Machine à coudre.
BE378852A (fr)
CH86016A (fr) Machine à coudre.
BE476112A (fr)
CH105917A (fr) Machine à coudre, particulièrement applicable à la couture des semelles en retourné.
BE504702A (fr)
CH289343A (fr) Machine à coudre.
FR2588577A1 (fr) Procede pour ravaler le bout de fil libre de l&#39;aiguille d&#39;une machine a coudre et machine pour la mise en oeuvre du procede
FR2560234A1 (fr) Machine a coudre a deux aiguilles dont l&#39;une peut etre debrayee par rapport a l&#39;autre
BE437676A (fr)
BE499550A (fr)
CH346838A (fr) Métier à tisser
CH85537A (fr) Machine à couper et coudre les boutonnières.
CH108164A (fr) Machine pour envelopper les caramels, les morceaux de sucre, etc.
BE378066A (fr)