CH675955A5

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Info

Publication number: CH675955A5
Application number: CH1265/88A
Authority: CH
Inventors: Kiyohiro Kanno
Original assignee: Kiyohiro Kanno
Priority date: 1987-04-06
Filing date: 1988-04-06
Publication date: 1990-11-30
Also published as: FR2613194B1; FR2613194A1; DE3811549C2; DE3811549A1; US4907322A; GB2204226B; GB2204226A; IT1219523B; IT8847818A0; GB8807984D0

Description

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Description

La présente invention concerne un dispositif de parure et plus précisément un tel dispositif destiné à être utilisé par exemple comme collier ou analogue, orné de pierres ou d'éléments de bijouterie.

Dans un tel dispositif, un cordon formé d'un matériau tel qu'un fil de soie, des fibres chimiques ou de l'acier inoxydable, est utilisé en général pour la liaison des pierres, notamment des perles, sous forme d'une chaîne. On considère maintenant, en référence à la figure 1, un dispositif de parure utilisé pour le raccordement d'éléments de bijouterie sous forme d'un collier à l'aide d'un cordon de soie.

Par exemple, un dispositif 101 de parure représenté sur la figure 1 est disposé de manière que les extrémités d'un cordon de soie 102 soient raccordées l'une à l'autre par un fermoir 14. En outre, ce fermoir 14 a deux anneaux 15 d'accrochage de cordon destinés à retenir les parties d'extrémité du cordon 102.

Comme représenté sur la figure, le cordon de soie 102, après introduction dans chacun des anneaux 15 et repli sur lui-même, est introduit dans un trou 103a d'une première perle 103 placée près du fermoir 14. Un premier nœud 102 est alors formé après que le cordon de soie est ressorti du trou 103a. Ensuite, le cordon 102 est introduit dans le trou d'une perle adjacente 103, et un second nœud 102a est formé de la même manière que le premier nœud 102a. En outre, une partie 102b de cordon restant après la formation du second nœud 102a est coupée à un emplacement tel que le cordon 102 sort du trou 103a au niveau de la troisième perle suivante 103.

Les nœuds 102a du cordon 102 sont placés entre la première et la seconde perle, et entre la seconde et la troisième perle, à partir du fermoir 14, afin que les perles soient bien retenues par le cordon de soie 102. Cependant, il est bien évident que, lorsque les perles sont raccordées sous forme d'un collier par le cordon de soie ou un cordon formé de fibres chimiques, la formation des nœuds alors que le cordon est bien tendu entre les perles est une opération délicate et nécessite une grande expérience.

En outre, même lorsque les perles sont fermement raccordées par le cordon, comme celui-ci s'allonge en cours d'utilisation, il apparaît du jeu entre les perles adjacentes si bien que la beauté et l'attrait des perles sont très réduits. En outre, étant donné l'allongement du cordon, il existe souvent un risque de rupture du cordon ou analogue. On se réfère maintenant à la figure 2 pour la description d'un dispositif de parure permettant le raccordement d'éléments de bijouterie sous forme d'une chaîne, à l'aide d'un fil métallique, par exemple d'acier inoxydable. Il faut noter que, lors de l'utilisation d'un fil métallique, les extrémités du cordon sont retenues par une technique de soudage et, par exemple, un soudage par point est parfois utilisé.

Dans un dispositif de parure 111 représenté sur la figure 2, une épingle 113 en U est introduite dans les anneaux d'accrochage formés sur le fermoir 14, de la même manière que dans l'exemple classique précédent. Les extrémités opposées de cette épingle en U 113 sont disposées dans des trous 112a de guidage et d'introduction d'une partie filetée 112. Des parties 113a des extrémités de l'épingle 113 sont matées afin que l'épingle ne puisse pas sortir de la partie filetée 112.

Par ailleurs, le cordon d'acier inoxydable 115 est introduit dans les perles 119, formant un collier, et des bagues élastiques 118 dans lesquelles pénètre le cordon 115 d'acier inoxydable, sont placées entre les perles adjacentes 119 afin que celles-ci ne soient pas détériorées. Après introduction du cordon 115 d'acier inoxydable dans la dernière bague élastique 118, le cordon 115 est introduit dans une partie taraudée 117, et une partie d'extrémité du cordon 115 est introduite dans un bouchon 116. La partie du bouchon 116 dans laquelle le cordon 115 a été introduit est soudée par point afin que le bouchon 116 soit fixé au cordon 115, si bien que la partie taraudée 117 ne peut pas se séparer du cordon 115. La partie taraudée 117 est ensuite montée dans une bague 114 d'ornement. Après cette introduction, la partie taraudée 117 et la partie filetée 112 sont vissées l'une sur l'autre afin qu'elles raccordent une extrémité du cordon 115 au fermoir 14. Le dispositif 111 de parure est ainsi monté.

Lorsque le dispositif de parure ayant le cordon d'acier inoxydable est ainsi monté, il faut utiliser une technique de soudage et un appareil de soudage si bien que le montage est délicat pour les amateurs. Bien entendu, le remplacement du cordon pose des problèmes analogues. Dans une opération de soudage, il arrive souvent que l'opération soit confiée à des spécialistes si bien que les coûts de remplacement deviennent élevés.

En outre, lors de l'utilisation d'un fil métallique, un inconvénient est dû au fait que, lorsque le fil métallique a été soudé, le réglage de longueur ne peut pas être réalisé pendant le montage du dispositif. L'invention concerne un dispositif de parure ne présentant pas les inconvénients de la technique antérieure.

A cet effet, le dispositif de parure selon l'invention est caractérisé en ce qu'il comprend:

un cordon flexible ayant plusieurs fils métalliques constituant une âme et un revêtement flexible recouvrant l'âme afin qu'il lui donne de la flexibilité, un organe de retenue ayant un trou d'enfilement de cordon par lequel le cordon peut être introduit d'abord avant un fermoir puis à nouveau après avoir été replié à un emplacement de pliage, et un dispositif de fixation qui, par utilisation des caractéristiques du matériau flexible de revêtement, assure la fixation du cordon sur l'organe de retenue tout en permettant le réglage de la tension du cordon, ou encore en ce qu'il comprend:

un cordon flexible ayant plusieurs fils métalliques formant une âme et un revêtement flexible destiné à recouvrir l'âme afin qu'il donne de la flexibilité au cordon, deux organes de retenue ayant chacun un trou d'enfilement de cordon et un organe de pliage du cordon, celui-ci étant apte à être introduit dans le trou, plié autour dudit organe et à sortir du trou vers l'extérieur, un dispositif de fixation qui, par utilisation des caractéristiques du matériau flexible de

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revêtement, assure la fixation des extrémités du cordon sur les deux organes de retenue, et permet le réglage de la tension du cordon, et un dispositif d'accouplement destiné à rendre solidaire les deux organes de retenue. Dans ce dernier cas le dispositif d'accouplement comprend de préférence deux couvercles métalliques destinés à être disposés sur les deux organes de retenue, les deux couvercles étant raccordés l'un à l'autre lorsque les organes de retenue sont rendus solidaires. Par ailleurs, les deux organes de retenue présentent de préférence chacun un espace dans lequel le cordon est plié, cet espace étant disposé de manière que le pliage soit accessible depuis l'extérieur lorsque les deux organes de retenue sont séparés l'un de l'autre.

Le diamètre du fil métallique est de préférence d'environ 0,03 mm, et le matériau de revêtement est de préférence de type vinylique. Les caractéristiques et avantages de l'invention seront mieux compris à la lecture de la description qui va suivre d'exemples de réalisation, faite en référence aux dessins annexés sur lesquels:

la figure 1 est une perspective, en coupe partielle, d'un dispositif de parure ayant un cordon de soie, dans un exemple classique;

la figure 2 est une perspective en coupe partielle des parties essentielles du dispositif de parure dans lequel une technique de soudage est utilisée, dans un autre exemple classique;

la figure 3 est une perspective d'un dispositif de parure selon un premier mode de réalisation de l'invention;

la figure 4 est une coupe agrandie représentant les parties essentielles du dispositif de parure dans le premier mode de réalisation de l'invention;

la figure 5 est une coupe illustrant un procédé de montage des parties essentielles du dispositif de parure 11 selon le premier mode de réalisation;

les figures 6A à 6C sont des coupes illustrant un procédé de montage du dispositif de parure selon un second mode de réalisation de l'invention;

la figure 7 est une perspective éclatée agrandie représentant les parties essentielles du dispositif de parure selon un troisième mode de réalisation de l'invention;

les figures 8A à 8E sont des coupes illustrant un procédé de montage des parties essentielles du dispositif de parure du troisième mode de réalisation;

la figure 9 est une perspective éclatée agrandie représentant les parties essentielles du dispositif de parure selon un quatrième mode de réalisation de l'invention; et les figures 10A à 10C sont des coupes illustrant un procédé de montage du dispositif de parure du quatrième mode de réalisation.

On décrit d'abord un premier mode de réalisation de l'invention. La figure 3 en est une perspective et la figure 4 une coupe des parties essentielles.

Sur la figure 3, la référence 11 désigne un dispositif de parure selon le premier mode de réalisation, alors que la référence 16 désigne un cordon d'acier inoxydable destiné à raccorder les différents éléments du dispositif. Ce cordon 16 d'acier inoxydable est réalisé à l'aide de 36 fils d'acier inoxydable formant un matériau d'âme et ayant chacun un diamètre de 0,03 mm qui sont regroupés en un faisceau de fils et sont revêtus d'une matière vinylique 17 de manière que celle-ci recouvre le faisceau de fils.

Ainsi, comme le cordon 16 d'acier inoxydable est un groupe de fins fils métalliques et est revêtu du matériau vinylique 17, le cordon 16 peut présenter une bonne flexibilité, équivalant à celle d'un cordon formé de fibres ou analogues.

Un fermoir 14 a la même disposition que dans l'exemple précité et comporte deux anneaux 15 d'accrochage des parties d'extrémité du cordon 16 d'acier inoxydable. Des perles sphériques 19 ont des trous 19a de passage du cordon 16 d'acier inoxydable. Des bagues élastiques 18 de forme cylindrique sont formées d'un matériau à base d'une silicone et ont, pratiquement au centre, des trous 18a de passage du cordon 16.

Un organe 13 de retenue loge le cordon 16 d'acier inoxydable et le retient de façon amovible. Cet organe 13 de retenue a un trou 13b de passage du cordon permettant l'introduction du cordon 16 et un trou taraudé 13a pratiquement au centre afin qu'il soit perpendiculaire au trou 13b, ce trou 13a ayant un tarau-dage permettant sa coopération par vissage avec une vis d'arrêt 12 constituée par une partie filetée seule, c'est-à-dire ne comportant pas de tête. Le trou 13b a une ouverture 13c formée de manière qu'elle s'élargisse vers la sortie, et a un trou suffisamment grand pour que deux cordons 16 au moins puisse y être introduits.

La disposition fondamentale du dispositif de parure 11 dans le premier mode de réalisation vient d'être décrite et on considère maintenant le montage du dispositif en référence à la figure 5.

La figure 5 est une coupe illustrant le procédé de montage des parties essentielles du dispositif 11 de parure dans le premier mode de réalisation.

D'abord, le cordon 16 d'acier inoxydable est introduit dans les perles 19 et dans les bagues élastiques, en alternance, afin que chaque bague 18 soit placée entre deux perles adjacentes 19. Comme la bague élastique 18 est placée entre les perles adjacentes 19, la fonction de protection des perles 19 et la fonction de maintien de celles-ci dans l'ordre sont remplies. En outre, comme le cordon 16 d'acier inoxydable est revêtu d'une matière vinylique, les perles 19 ne peuvent pas user le cordon 16 d'acier inoxydable.

En outre, après introduction du cordon 16 dans le nombre nécessaire de perles, une première extrémité du cordon 16 est introduite dans l'ouverture 13c du premier organe 13 de retenue et dans le trou 13b. Le cordon 16 qui est sorti du trou 13b est introduit dans l'anneau 15 d'accrochage placé sur le fermoir 14 et est replié. Ce cordon replié 16 est introduit à nouveau dans le même trou 13b de l'organe de r; s-nue mais en sens opposé. La partie d'extrémité du cordon 16 est enfilée deux fois dans l'organe 13 de retenue.

Ensuite, une tension de valeur convenable est créée dans le cordon 16 d'acier inoxydable, et une position dans laquelle une extrémité du cordon 16 dé5

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passe légèrement du trou 13b de l'organe 13 de retenue est déterminée comme position de fixation du cordon 16. Dans cet état, la vis 12 d'arrêt est vissée dans le trou taraudé 13a de l'organe 13, une extrémité 12a de la vis 12 étant utilisée afin qu'elle exerce une pression contre le cordon 16 et retienne celui-ci qui est replié sur lui-même. A ce moment, comme l'extrémité 12a mord dans le revêtement vinylique 17 du cordon 16, la retenue peut être assurée favorablement.

L'excès 16a du cordon 16 d'acier inoxydable dépassant de la partie 13c d'ouverture de l'organe 13 de retenue est alors découpé avec un outil coupant, par exemple une cisaille, afin que le dispositif de parure soit formé sans réduction de la qualité des perles.

Dans ce procédé de montage, l'autre extrémité du cordon 16 est écrasée de même par la vis d'arrêt 12 d'un autre organe de retenue 13 qui assure la fixation.

Ainsi, si le cordon 16 est enfilé deux fois dans les organes respectifs de retenue aux extrémités respectives et si l'excès de longueur du cordon 16 est coupé après fixation du cordon 16 à des emplacements déterminés après que la tension et le réglage de longueur ont été réalisés, le montage du dispositif 11 de parure, formant un collier, est terminé.

En outre, le remplacement du cordon peut aussi être réalisé simplement, par une opération analogue, et sans que la beauté des perles ait à en souffrir. Lorsque le cordon doit être remplacé, comme le cordon d'acier inoxydable est retenu dans un état dans lequel il est repoussé par les vis d'arrêt, il peut être simplement retiré par desserrage des vis. Ainsi, lorsqu'un nouveau cordon doit être mis en place, l'opération peut être facilement réalisée suivant le procédé décrit précédemment pour le montage du dispositif 11 de parure.

Comme décrit précédemment, dans un premier mode de réalisation de l'invention, le dispositif de parure peut être réalisé sans réduction de l'attrait des perles, et le montage et le démontage peuvent être réalisés facilement, même par des amateurs. En outre, comme les bagues élastiques sont aussi utilisées lorsque le réglage de la longueur du cordon est réalisé, les perles peuvent être placées uniformément, sans être décalées, et les intervalles des perles peuvent être réglés facilement, suivant les préférences de chacun.

En outre, comme le cordon utilisé est formé d'acier inoxydable, il ne risque pas de s'allonger et, comme l'acier inoxydable est revêtu d'un matériau vinylique, l'acier inoxydable ne provoque pas de détériorations des perles.

On considère maintenant, en référence aux figures 6A à 6C, un second mode de réalisation de dispositif de parure selon l'invention.

Les figures 6A à 6C sont des coupes illustrant un procédé de montage des parties essentielles du dispositif de parure de ce second mode de réalisation. D'abord, on décrit la disposition du dispositif de parure du second mode de réalisation. Sur les figures 6A à 8, la référence 21 désigne un dispositif de parure selon le second mode de réalisation. La référence 23 désigne un organe de retenue dans lequel un corps 23a destiné à constituer un élément fileté et un couvercle 23b d'organe de retenue destiné à former un élément taraudé sont rendus solidaires. Comme dans le cas de l'organe 13 de retenue du premier mode de réalisation, le corps 23a a un trou 24 destiné au passage du cordon 16 au moins deux fois et un trou taraudé 25 disposé perpendiculairement au trou 24 de passage du cordon.

Le trou taraudé 25 est disposé de manière qu'une vis d'arrêt 22 sans tête, plus courte que le trou taraudé 25 et formée d'une partie filetée seule, puisse exercer une pression et retenir le cordon 16 qui est introduit deux fois dans le trou 24. En outre, le corps 23a presente une partie filetée 26 destinée à coopérer avec le couvercle 23b. Par ailleurs, le couvercle 23b a une partie taraudée 27 destinée à coopérer avec la partie filetée 26 du corps 23a, et un trou 28 de même diamètre que le trou 25 du corps 23a, du côté opposé à la partie taraudée 27.

La disposition fondamentale du dispositif 21 de parure selon le second mode de réalisation a été décrite et on considère maintenant le procédé de montage du dispositif 21.

D'abord, lorsque le cordon 16 d'acier inoxydable est mis en place comme représenté sur la figure 6A, le cordon est introduit dans le corps 23a et le couvercle 23b et dans l'anneau 15 puis est replié et est introduit à nouveau dans le couvercle 23b et le corps 23a, et le cordon 16 d'acier inoxydable est réglé à une longueur convenable. Lorsque ce réglage a été réalisé, le cordon 16 qui a pénétré deux fois dans le trou 24 du corps 23a et dans le trou 28 du couvercle 23b est enfoncé et retenu par la vis d'arrêt 22. Plus précisément, le cordon d'acier inoxydable est fixé par application d'une pression et par retenue.

Bien entendu, comme la fixation du cordon comprend une simple opération de serrage de la vis 22, elle n'est pas difficile.

La figure 6B représente un état dans lequel le cordon d'acier inoxydable est retenu. Le couvercle 23b est rendu solidaire du corps 23a afin que le trou taraudé formé dans le corps 23a soit exposé. L'excès du cordon 16a dépassant du corps 23a est alors coupé.

La figure 6C représente l'état solidaire précité. Si le couvercle est disposé sur le corps de manière que la vis 22 ne soit pas apparente, l'aspect esthétique et l'attrait des perles 19 peuvent être accrus. Evidemment, il est aussi possible d'obtenir un effet analogue à celui du dispositif de parure 11.

Comme décrit précédemment, bien que l'acier inoxydable soit utilisé comme matériau du cordon dans le premier et le second mode de réalisation, l'invention n'est pas limitée à un tel matériau, et un fil de tout autre matériau métallique peut être utilisé dans la mesure où il correspond aux caractéristiques de l'invention. En outre, lors de l'utilisation d'un cordon d'acier inoxydable, le diamètre d'un fil et le nombre de fils à associer ne sont pas limités du moment qu'un effet analogue à celui qui est obtenu avec les différents modes de réalisation peut être aussi obtenu.

Deux organes de retenue sont aussi utilisés dans le premier et le second mode de réalisation, mais,

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dans une variante, les extrémités opposées du cordon peuvent être retenues par un seul organe.

On décrit maintenant, en référence aux figures 7 et 8A à 8E, un dispositif de parure dans lequel des perles sont raccordées sous forme d'une chaîne à l'aide d'un seul organe de retenue, sans utilisation d'un fermoir.

La figure 7 est une perspective éclatée agrandie des parties essentielles d'un dispositif de parure selon un troisième mode de réalisation de l'invention, alors que les figures 8A à 8E sont des coupes illustrant le procédé de montage des parties essentielles du dispositif de parure du troisième mode de réalisation.

Le cordon 16 d'acier inoxydable est utilisé pour la connexion des perles de la même manière que dans les deux premiers modes de réalisation. Les perles reliées par ce cordon 16 ne sont pas représentées.

Sur la figure 7, la référence 30 désigne un dispositif de parure selon le troisième mode de réalisation. Ce dispositif 30 de parure comprend le cordon 16 d'acier inoxydable et un corps 33 d'organe de retenue dans lequel une partie mâle 31 et une partie femelle 32 sont destinées à retenir et fixer les extrémités du cordon et sont combinées afin qu'elles soient solidaires l'une de l'autre. Le corps 33, lorsqu'il est fermé, a la dimension d'un pendentif habituel, et une configuration en coupe, dans le sens de la flèche L, de forme pratiquement ovale.

En outre, une partie 34 d'accouplement des parties mâle 31 et femelle 32 a une disposition telle que le corps 33 de l'organe de retenue est séparé en deux corps par une surface qui est inclinée, dans le sens contraire des aiguilles d'une montre, d'une direction perpendiculaire vers la direction longitudinale du corps 33, à proximité de la partie centrale. La partie mâle 31 et la partie femelle 32 obtenues par division du corps 33 en deux ont des configurations sensiblement symétriques, la partie d'accouplement en constituant la limite.

En outre, la configuration en coupe du corps 33, dans la direction de la flèche N, est pratiquement un quadrilatère, et les deux grands côtés opposés ont des parties arrondies de manière qu'elles forment des arcs de cercle bombés vers l'extérieur. La partie mâle 31 et la partie femelle 32 ont des surfaces respectives 35, 36 d'accouplement qui forment la partie 34 d'accouplement et ont des ouvertures, et les parties mâle et femelle 31 et 32 sont réalisées de manière que les deux tiers de la région, jusqu'aux parties arrière respectives 37, 38, soient creux. Le mécanisme d'accouplement des parties mâle et femelle 31 et 32 est placé dans les parties creuses 39, 40.

Des extrémités opposées d'un ressort à lame 43 replié avec une section en forme de chevron sont maintenues dans la partie creuse 39 de la partie mâle 31 entre une surface interne d'une plaque supérieure 41 de la partie mâle et une surface interne 42a d'une plaque inférieure 42, et une partie repliée 43a du ressort à lame 43 dépasse vers l'extérieur. Lors de l'installation de ce ressort à lame 43, une première extrémité 43b du ressort est fixée à une partie sensiblement centrale de la surface interne 42a de la plaque inférieure 42, par brasage.

Par ailleurs, l'autre extrémité 43b qui constitue une extrémité libre a un bouton 43 dépassant vers le haut afin qu'il permette un appui par un doigt, permettant un écartement ou un rétrécissément du ressort 43, et la largeur du bouton 43 est réglée de manière qu'elle soit inférieure à celle du ressort à lame 43. En outre, une encoche 45 formée de manière qu'elle permette le passage du bouton 44 placé à l'autre extrémité 43b est formée dans une partie supérieure du bord de la plaque 41 a du côté de la surface 35 d'accouplement.

En outre, dans la partie creuse 39, un trou 47 de passage de cordon traverse la partie arrière 37 et est placé pratiquement au centre d'une surface 46 formant un fond de la partie creuse 39. Un trou taraudé 48 dépasse verticalement du côté de la plaque supérieure 41 vers le trou 47 et a une position pratiquement centrale dans la direction de la flèche N. Une vis sans tête 49 d'arrêt est vissée dans le trou taraudé 48 afin qu'elle repousse le cordon 16 contre la paroi du trou, lorsque le cordon a été introduit deux fois dans le trou 47. Le diamètre du trou 47 et la configuration de la vis 48 destinée à se visser dans le trou taraudé 48 sont analogues à ceux du premier et du second mode de réalisation déjà décrits.

Par ailleurs, dans la partie creuse 40 de la partie femelle 32, si cette partie 32 se rapproche de la partie mâle 31 alors que le ressort 43 est maintenu enfoncé, ce ressort 43 peut se loger dans une cavité

51 formée dans la partie creuse 40 de la partie femelle 42. Un organe 51 formant une cavité est fixé à la plaque supérieure 52 et à la plaque inférieure 53 de la partie femelle 32 et a une profondeur suffisante pour qu'elle loge la partie de ressort 43 qui dépasse dans le sens de la flèche N.

Lorsque le ressort 43 est soulevé sous l'action de sa force de rappel, lorsque le ressort 43 n'est plus comprimé, il se loge en totalité dans la cavité de l'organe 51. Le ressort 43 coopère alors par frottement avec la partie supérieure de la surface interne de la cavité de l'organe 51. La partie mâle 31 et la partie femelle 32 sont alors couplées et ne sont pas distantes l'une de l'autre. En outre, comme la partie mâle 31, la partie femelle 32 a un trou 55 de passage du cordon traversant la surface du fond 53 de la partie creuse 50 jusqu'à la partie arrière 38. Un trou taraudé 56 est formé dans la plaque supérieure

52 perpendiculairement au trou 55 de passage du cordon. Une vis sans tête 57 est vissée dans le trou 56 et repousse le cordon 16 d'acier inoxydable qui est introduit deux fois dans le trou 55. Le diamètre du trou 55 et la configuration de la vis 57 qui pénètre dans le trou taraudé 56 sont analogues à ceux du premier et du second mode de réalisation.

En outre, lorsque le cordon 16 d'acier inoxydable est retenue par la partie mâle 31, une extrémité du cordon 16 est introduite du côté de l'extrémité arrière 37 vers le côté de la surface inférieure 46 et dépasse de la partie creuse 39 vers l'extérieur, et il est introduit dans un anneau métallique 58 dont le diamètre est supérieur à celui du trou 47. Le cordon 16 est alors replié vers la partie creuse 39 et est introduit dans le trou 47, à partir du côté de la surface inférieure 46 vers le côté de la partie arrière 37.

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Dans ces conditions, si la partie repliée du cordon 16 est retenue de manière qu'elle ne se déplace pas et si l'autre extrémité est tirée, l'anneau 58 qui constitue une partie de pliage est en butée contre l'ouverture du trou 47 et empêche la sortie du cordon 16 du trou 47. Plus précisément, la surface inférieure 46 de la partie creuse 39 et l'anneau 58 jouent le rôle de la partie de pliage.

En outre, lorsque le cordon 16 d'acier inoxydable doit être retenu par la partie femelle 32, l'opération utilisée comprend l'introduction de l'autre extrémité du cordon 16 dans un anneau 59, de la même manière que dans la partie mâle 31.

On se réfère aux figures 8A à 8C pour la description du procédé de montage du dispositif 30 de parure ainsi réalisé.

Dans la partie mâle 31 représentée sur les figures 8A à 8E, une première extrémité du cordon 16 d'acier inoxydable est introduite par le côté de l'extrémité arrière 37 dans le trou 47, dans le sens de la flèche O, jusqu'à la face inférieure 46, et sort de la partie creuse 39 vers l'extérieur. En conséquence, le cordon replié peut être atteint depuis l'extérieur. En d'autres termes, lorsque l'extrémité du cordon est introduite une fois dans l'anneau 58 et est repliée, le cordon dépasse légèrement du côté de la surface inférieure 46 du trou 47 dans la direction de la flèche P. Ainsi, le réglage de la tension du cordon 16 est réalisée mais, dans ce cas, les deux parties repliées du cordon 16 sont tirées dans le sens de la flèche P, et l'anneau 58 reste en butée contre le trou 47. Ensuite, pendant que la vis 49 est vissée dans le trou 48 de la plaque 41, le cordon 16 placé dans le trou 47 sous forme repliée est écrasé par la vis 49. Lorsque le cordon 16 est retenu d'une manière telle que sa première extrémité n'a pas été retirée, l'excès du cordon 16a est coupé.

En plus, dans le cas de la partie femelle 32 aussi, l'autre extrémité du cordon 16 est retenue de la même manière que dans la partie mâle 31. Lorsque le cordon 16 doit être retenu par la partie femelle 32, il est bien entendu qu'il a déjà été enfilé dans les perles, et la longueur du cordon 16 de forme annulaire est aussi réglée à ce moment.

Lorsque les parties d'extrémité du cordon 16 sont ainsi retenues dans la partie mâle 31 et la partie femelle 32, le bouton 44 de la partie mâle 31 est d'abord enfoncé dans le sens de la flèche R afin que le ressort 43 soit comprimé comme indiqué par la flèche 5 et permette l'accouplement des parties mâle 31 et femelle 32. Pendant que cet état est conservé, la partie d'extrémité du ressort 43 est logée dans la cavité 51 de la partie femelle 32 comme représenté sur la figure 8D. A ce moment, l'amplitude de compression du ressort 43 est réglée de manière qu'elle soit inférieure à la largeur de l'ouverture de la cavité 51.

Lorsque les surfaces 35, 36 d'accouplement sont mises en contact mutuel, si la force de compression agissant sur le bouton 44 est supprimée, le bouton 44 a tendance à s'écarter dans le sens de la flèche T sous l'action de sa propre force de rappel. A ce moment, une surface externe 43d du ressort 43 coopère par friction avec une surface interne 51a de la cavité 51 qui joue le rôle d'une partie d'ajustement, si bien que la partie mâle 31 et la partie femelle 32 sont couplées l'une à l'autre, et l'état d'accouplement est conservé.

Comme décrit précédemment, dans un troisième mode de réalisation de l'invention, les amateurs eux-mêmes peuvent connecter un cordon enfilé dans les éléments d'une parure formée de perles ou analogues, à l'aide d'un arrangement simple ne mettant en oeuvre qu'un seul organe de retenue. En outre, la même opération et le même effet que décrit pour les deux premiers modes de réalisation peuvent être obtenus.

On se réfère maintenant à la figure 9 pour la description d'un quatrième mode de réalisation correspondant à une variante du troisième mode de réalisation.

D'abord, dans le quatrième mode de réalisation, un mécanisme de retenue du cordon est disposé dans l'organe de retenue, et deux organes de retenue sont rendus solidaires par des couvercles qui les recouvrent, afin que l'état d'accouplement du corps d'organe de retenue utilisé dans le troisième mode de réalisation soit conservé.

La figure 9 est une perspective agrandie et éclatée représentant les parties essentielles d'un dispositif de parure dans le quatrième mode de réalisation. Sur la figure, la référence 60 désigne un dispositif de parure selon le quatrième mode de réalisation. Dans ce dispositif 60 de parure, la référence 61 désigne une partie de couvercle mâle de l'organe de retenue alors que la référence 62 désigne une partie de couvercle femelle.

Des coupes de la partie 61 de couvercle mâle et de la partie 62 de couvercle femelle, dans le sens de la flèche W, ont une forme pratiquement ovale et ont des parties qui s'élargissent depuis des parties arrière 63, 64 respectivement vers une partie 65 d'accouplement. Une surface 66 d'accouplement de la partie 61 de couvercle mâle, formée dans la partie 65 d'accouplement, est disposée de manière que des parois latérales 67, 68 dépassent dans le sens de la flèche W de distances identiques et comportent des saillies 67a, 68a de largeur variable afin que leurs bouts soient légèrement effilés. Par ailleurs, une surface 69 d'accouplement de la partie 62 de couvercle femelle est disposée de manière que des parties de languette 70a, 71a dépassent d'une paroi supérieure 70 et d'une paroi inférieure 71 respectivement, sous forme d'une languette, dans le sens de la flèche W, permettant une coopération avec la configuration de la surface d'accouplement 66. En conséquence, lorsque la partie de couvercle mâle 61 et la partie de couvercle femelle 62 sont couplées, la surface 69 d'accouplement de la partie 62 peut coopérer avec la configuration des saillies 67a, 68a.

En outre, la surface 66 d'accouplement a un mécanisme à ressort à lame ayant un arrangement semblable à celui du ressort 43 de la partie mâle 31 décrit dans le troisième mode de réalisation. Dans le quatrième mode de réalisation, deux ressorts à lame 72, 73 sont utilisés, un bouton 97 dépassant dans le sens de la flèche V pratiquement dans la partie centrale d'une partie 74 de raccordement reliant les extrémités 72a, 73a, à l'extrémité libre.

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Par ailleurs, les deux extrémités 72b, 73b sont fixées à la surface 66 d'accouplement. Les ressorts à lame 72 et 73 sont positionnés de manière qu'ils soient séparés par un intervalle de dimension supérieure au diamètre d'un trou 76 de montage destiné à permettre le passage d'un organe cylindrique 75 de retenue de cordon décrit dans la suite et qui doit y être fixé. En outre, ce trou 76 ne traverse pas jusqu'à l'extrémité arrière 63, sa profondeur étant légèrement supérieure à la longueur de l'organe 75 de retenue.

En particulier, la partie 74 de raccordement comprend des parties solidaires 74a, 74b aux deux extrémités, dépassant de la face avant suivant la flèche W, et les extrémités externes sont repliées vers le bas. Les extrémités inférieures des parties de raccordement 74a, 74b sont raccordées à la face supérieure des ressorts respectifs à lame 72, 73.

L'organe 75 de retenue de cordon a un trou 77 qui le traverse axialement, et ce trou 77 est suffisamment grand pour qu'il permette l'introduction du cordon 16 d'acier inoxydable et son introduction à nouveau lorsqu'il a été enfilé dans un anneau métallique 78. Par ailleurs, le diamètre interne de l'anneau 78 est supérieur au diamètre du trou 77, comme dans le troisième mode de réalisation décrit précédemment.

Un trou taraudé 79 est formé dans une partie centrale de l'organe 75 de retenue de cordon, en direction sensiblement perpendiculaire au trou 77 afin qu'il communique avec celui-ci. Un trou 80, qui communique avec le trou taraudé 79 lorsque l'organe 75 de retenue est placé dans le trou 76 de montage avec son trou taraudé 79 tourné vers le haut, c'est-à-dire dans le sens de la flèche V, est disposé dans une paroi supérieure 81 de la partie 61 de couvercle mâle. Ce trou 80 n'a pas de taraudage et il guide une vis 82 sans tête dans le trou taraudé 79, cette vis étant analogue à celle du troisième mode de réalisation.

Plus précisément, la disposition est telle que la vis d'arrêt 82 peut être vissée lorsqu'elle atteint le trou taraudé 79, après introduction dans le trou 80.

En outre, un trou 84 de passage d'un cordon qui communique avec le trou 77 de l'organe 75 de retenue est formé à la surface interne 83 d'extrémité du trou 76 de manière qu'il traverse jusqu'à la partie arrière 63. Ce trou 84 est déterminé afin qu'il corresponde pratiquement au trou 77 de passage du cordon.

En outre, comme dans le cas de la partie 61 de couvercle mâle, un trou 85 de logement de configuration identique est formé dans la partie 62 de couvercle femelle, afin qu'il se trouve dans la direction de la flèche W. Un organe 86 de retenue de cordon ayant pratiquement les mêmes dimensions que l'organe 75 de retenue, est logé dans le trou 85. Cet organe de retenue 86 a un trou 87 de passage de cordon et un trou taraudé 88, ayant des positions analogues à celles du trou 77 et du trou taraudé 79 comme indiqué précédemment. Le trou 87 est suffisamment grand pour qu'il permette le passage du cordon 16 une première fois puis une seconde fois lorsqu'il a été introduit dans un anneau 89 ayant la même configuration que l'anneau 78 et lorsqu'il a été

replié, puis son apparition de l'autre côté du trou.

Un trou 91, qui communique avec le trou 88 lorsque l'organe 86 de retenue est placé dans le trou 85 de montage, comme dans le cas de la partie 61 de couvercle mâle, est formé dans la paroi supérieure 70 de la partie 62 de couvercle femelle. Une vis d'arrêt 92 ayant la même configuration que la vis 82 pénètre dans ce trou 91 et peut être vissée après avoir atteint le trou taraudé 88.

En outre, un trou 94 de passage de cordon communiquant avec le trou 96 de l'organe 86 de retenue, est formé dans la surface interne 93 du trou 85 de manière qu'il traverse jusqu'à la partie arrière 64. Le trou 94 a une dimension pratiquement analogue à celle du trou 87.

En outre, lorsque les deux ressorts à lame 72, 73 disposés au niveau de la surface d'accouplement 68 de la partie 61 de couvercle mâle sont comprimés en sens opposé au sens de la flèche V, et lorsque la partie 61 de couvercle mâle est rapprochée d'une surface d'accouplement 69 de la partie 62 de couvercle femelle, avec maintien dans cet état, les ressorts comprimés à lame 72, 73 peuvent se loger dans deux cavités 95, 96 disposées de manière qu'elles se trouvent de part et d'autre du trou 84 de montage de la partie 62 de couvercle femelle. Les cavités 95, 96 ont des sections de configuration analogue à un T dans le sens de la flèche W. Les parties 74a, 74b de raccordement de la partie 74 sont introduites dans les cavités 95a, 96a respectivement, dépassant des cavités 95, 96 dans le sens de la flèche V, alors que les ressorts 72, 73 pénètrent dans les cavités 95b, 96b qui sont sensiblement perpendiculaires aux cavités 95a, 96a. Ainsi, si les forces de compression agissant sur les ressorts sont supprimées alors que les parties 74a, 74b de raccordement et les ressorts 72, 73 sont totalement logés dans les cavités 95, 96, les ressorts 72, 73 se soulèvent étant donné leurs propres forces de rappel et coopèrent par frottement avec les faces supérieures des cavités 95, 96. En outre, la partie 61 de couvercle mâle et la partie 62 de couvercle femelle sont ainsi couplées, sans être maintenues à distance, et cet état d'accouplement est conservé.

On décrit maintenant un procédé de montage du dispositif 60 de parure ainsi réalisé, en référence aux figures 10Aà 10C.

Les figures 10A à 10C sont des coupes illustrant le montage du dispositif de parure 60 du quatrième mode de réalisation.

Lorsque l'organe 75 de retenue de cordon doit être placé en coopération avec la partie 61 de couvercle mâle, une première extrémité du cordon 16 d'acier inoxydable est d'abord introduite dans la partie 61 depuis l'arrière 63 et dans le trou 76 de montage, et est guidée à l'extérieur. En outre, le bout du cordon est introduit dans le trou 77de l'organe 75 de retenue et dans l'anneau 78, après sortie du trou, et le bout du cordon est réintroduit dans le trou 77.

Ensuite, le bout du cordon 16 est réintroduit dans le trou 84 par lequel le cordon 16 a été déjà enfilé. A ce moment, deux morceaux de cordon 16 dépassent du trou 84.

Ensuite, les deux morceaux du cordon 16 dépas5

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sant du trou 84 sont tirés jusqu'à l'obtention d'une tension convenable, et l'anneau 78 est tiré par ie cordon 16 et est mis au contact d'une surface 75a du trou 77 du cordon. L'organe 75 de retenue est alors introduit dans le trou 76 de montage, à partir de l'autre surface 75b d'ouverture du trou 77. Dans ce cas, le trou taraudé 79 est tourné dans le sens de la flèche V afin que le trou 80 et le trou taraudé 79 communiquent l'un avec l'autre.

Ainsi, l'organe 77 de retenue est logé dans la partie 61 de couvercle mâle et la tension du cordon 16 est finalement réglée. Ensuite, la vis 82 est introduite dans le trou 80, et une extrémité 80a de la vis est appliquée contre le cordon 16 afin que celui-ci soit fixé comme représenté sur la figure 10A. En conséquence, une extrémité du cordon 16 a ainsi été fixée. L'excès du cordon 16a est découpé à l'aide d'un outil convenable. L'organe 75 de retenue est fixé à la partie 61 de couvercle mâle, par exemple par brasage, afin qu'il ne puisse pas s'échapper.

En outre, l'autre extrémité du cordon 16 est alors fixée par une opération analogue à celle par laquelle l'organe 75 a été placé dans la partie 61 de couvercle mâle afin que l'extrémité du cordon 16 soit fixée.

Ensuite, la partie 61 de couvercle mâle et la partie 62 de couvercle femelle auxquelles ont été fixées les extrémités respectives du cordon 16, sont accouplées l'une à l'autre.

Comme représenté sur la figure 10, un bouton 97 est enfoncé dans le sens de la flèche H afin que les ressorts 72 (non représenté sur cette coupe) et 73 de la partie 74 de raccordement soient comprimés de manière pratiquement simultanée. Pendant que ces ressorts 72, 73 sont comprimés dans les sens de la flèche H, ces ressorts et les parties 74a, 74b de raccordement sont introduits dans les cavités 95, 96 de la partie 62 de couvercle femelle. Lorsque les surfaces respectives d'accouplement 66, 69 sont accouplées, la force agissant dans le sens de la flèche H est supprimée. En conséquence, grâce aux forces de rappel des ressorts, les cavités 95, 96 coopèrent par friction avec les ressorts 72, 73 et les faces supérieures des parties 74a, 74b de raccordement. La partie 61 de couvercle mâle et la partie 62 de couvercle femelle sont ainsi totalement accouplées, et cet état d'accouplement est conservé. A ce moment, le bouton 97 dépasse légèrement au-dessus des parois supérieures.

La partie 61 de couvercle mâle et la partie 62 de couvercle femelle sont alors accouplées afin qu'elles forment un organe 98 de retenue en une seule pièce. Dans le quatrième mode de réalisation, les deux ressorts à lame placés dans la partie 61 permettent un renforcement de l'accouplement des deux parties 61 et 62. En outre, comme des cavités et des saillies sont formées dans les parties d'accouplement entre les parties de couvercle mâle et femelle, le positionnement des parties respectives d'accouplement est facilité, et cette disposition empêche un décalage mutuel. En outre, l'organe 98 de retenue peut être simplement séparé en une partie 61 et une partie 62 de couvercle mâle et femelle par enfoncement du bouton 97 qui dépasse légèrement afin que les forces de coopération des cavités et des ressorts soient réduites.

La description du raccordement des perles afin qu'elles forment un collier est supprimée, car elle correspond à celle du premier mode de réalisation.

En outre, il est possible d'obtenir un même fonctionnement et un même effet du dispositif de parure, avec le cordon 16 d'acier inoxydable et l'organe unique de retenue, sans fermoir, que dans les trois premiers modes de réalisation.

Dans les quatre modes de réalisation, lorsque le cordon est accroché à l'anneau, il peut être replié si bien qu'un seul trou peut être utilisé pour le passage du cordon. Cette disposition simplifie beaucoup la réalisation de l'organe de retenue.

Bien que la configuration de l'organe de retenue soit plane dans les quatre modes de réalisation considérés, l'invention n'est pas limitée à cette configuration, et l'organe de retenue peut avoir une forme tubulaire ou une configuration de quadrilatère, dans la mesure où la beauté du dispositif de parure n'en est pas affectée.

En outre, bien que le troisième et le quatrième mode de réalisation mettent en oeuvre la solidarisation de l'organe de retenue par utilisation des forces de rappel des ressorts à lame, l'invention n'est pas limitée à cette disposition, et il est possible que les parties de raccordement d'une partie mâle et d'une partie femelle (comprenant les parties de couvercle mâle et femelle respectivement) soient vissées l'une sur l'autre. Dans ce cas, aucun ressort à lame n'est utilisé et la disposition peut être très simplifiée. En outre, lors de l'utilisation d'un ressort à lame, il suffit qu'une saillie soit formée à la surface externe du ressort à lame placé sur la partie mâle, et qu'une gorge destinée à coopérer avec cette saillie soit au contact de celle-ci par frottement, à la surface interne d'une cavité formée dans la partie femelle. Cette disposition accroît la force d'accouplement.

En outre, un dispositif destiné au pliage du cordon n'est pas obligatoirement sous forme d'un anneau, et une colonne peut être disposée dans une partie creuse ou un trou de passage de cordon de l'organe de retenue peut être réalisé de manière que le cordon ne puisse pas s'échapper. Comme décrit précédemment, selon l'invention, comme un cordon formé de fils métalliques est revêtu d'un matériau flexible de revêtement, le dispositif de parure réalisé peut avoir une flexibilité analogue à celle d'un fil de soie, sans que le cordon ne s'étire. En outre, comme le montage est réalisé par introduction du cordon deux fois dans l'organe de retenue et par fixation du cordon après obtention d'une tension convenable, aucun dispositif mécanique n'est nécessaire pour la préparation d'un dispositif de parure.

De plus, comme un mécanisme de pliage du cordon est disposé dans un organe de retenue ayant un fermoir, un dispositif de parure pouvant simplifier la réalisation globale et permettant un montage facile par accouplement de deux organes de retenue auxquels sont fixées les extrémités d'un cordon, peut être réalisé. De plus, le dispositif de parure peut être réalisé de manière qu'il permette l'accouplement de deux organes de retenue d'une manière très robuste car le dispositif de raccordement d'un organe de retenue est séparé du mécanisme de re-

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tenue du cordon. En outre, comme le cordon plié peut être atteint depuis l'extérieur, l'introduction du cordon dans le trou est notablement facilitée.

Bien entendu, diverses modifications peuvent être apportées par l'homme de l'art aux dispositifs de parure qui viennent d'être décrits uniquement à titre d'exemples non limitatifs sans sortir du cadre de l'invention.

Claims

Revendications

1. Dispositif de parure, caractérisé en ce qu'il comprend:

un cordon flexible (16) ayant plusieurs fils métalliques constituant une âme et un revêtement flexible recouvrant l'âme afin qu'il lui donne de la flexibilité, un organe de retenue (13, 23) ayant un trou d'enfilement de cordon par lequel le cordon peut être introduit d'abord avant un fermoir (14) puis à nouveau après avoir été replié à un emplacement de pliage, et un dispositif de fixation (12; 22) qui, par utilisation des caractéristiques de matériau flexible de revêtement, assure la fixation du cordon sur l'organe de retenue tout en permettant le réglage de la tension du cordon.

2. Dispositif selon la revendication 1, caractérisé en ce que le diamètre du fil métallique est d'environ 0,03 mm.

3. Dispositif selon la revendication 1, caractérisé en ce que le matériau de revêtement est de type vinylique.

4. Dispositif de parure, caractérisé en ce qu'il comprend:

un cordon flexible (16) ayant plusieurs fils métalliques formant une âme et un revêtement flexible destiné à recouvrir l'âme afin qu'il donne de la flexibilité au cordon, deux organes de retenue (31, 32; 61, 62) ayant chacun un trou d'enfilement de cordon et un organe de pliage (58, 59; 78, 89) du cordon, celui-ci étant apte à être introduit dans le trou, plié autour dudit organe et à sortir du trou vers l'extérieur, un dispositif de fixation (49, 57; 82, 92) qui, par utilisation des caractéristiques du matériau flexible de revêtement, assure la fixation des extrémités du cordon sur les deux organes de retenue, et permet le réglage de la tension du cordon, et un dispositif d'accouplement (43, 51; 72-73, 95-96) destiné à rendre solidaire les deux organes de retenue.

5. Dispositif selon la revendication 4, caractérisé en ce que le diamètre du fil métallique est d'environ 0,03 mm.

6. Dispositif selon la revendication 4, caractérisé en ce que le matériau de revêtement est de type vinylique.

7. Dispositif selon la revendication 4, caractérisé en ce que le dispositif d'accouplement comprend deux couvercles métalliques (61, 62) destinés à être disposés sur les deux organes de retenue, les deux couvercles étant raccordés l'un à l'autre lorsque les organes de retenue sont rendus solidaires.

8. Dispositif selon la revendication 4, caractérisé en ce que les deux organes de retenue (31, 32; 61, 62) présentent chacun un espace dans lequel le cordon est plié, cet espace étant disposé de manière que le pliage soit accessible depuis l'extérieur lorsque les deux organes de retenue sont séparés l'un de l'autre.

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