CH622838A5 - - Google Patents

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CH622838A5
CH622838A5 CH703378A CH703378A CH622838A5 CH 622838 A5 CH622838 A5 CH 622838A5 CH 703378 A CH703378 A CH 703378A CH 703378 A CH703378 A CH 703378A CH 622838 A5 CH622838 A5 CH 622838A5
Authority
CH
Switzerland
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signal
circuit
voltage
during
loom
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Application number
CH703378A
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English (en)
Inventor
Miyuki Gotoh
Original Assignee
Nissan Motor
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    • DTEXTILES; PAPER
    • D03WEAVING
    • D03DWOVEN FABRICS; METHODS OF WEAVING; LOOMS
    • D03D51/00Driving, starting, or stopping arrangements; Automatic stop motions
    • D03D51/18Automatic stop motions
    • D03D51/34Weft stop motions

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  • Engineering & Computer Science (AREA)
  • Textile Engineering (AREA)
  • Looms (AREA)

Description

La présente invention se rapporte à un procédé et à un dispositif pour détecter un mauvais lancement du fil de trame dans un métier à tisser ayant un poste de remplissage de la trame dans lequel un fil de trame est inséré dans la foule des fils de chaîne pendant chacun des cycles de tissage du métier et battu sur la ligne de serrage de la duite vers la fin de chaque cycle de fonctionnement du métier.
Il est connu que les tensions dans les fils de chaîne formant une foule dans un métier à tisser s'accroissent temporairement durant l'opération de battage pendant laquelle le fil de trame qui a été inséré dans la foule dans chaque cycle de fonctionnement du métier est battu sur le bord ou ligne de serrage de la duite au bord postérieur du tissu en cours de fabrication. Il est également connu que les degrés de variation dans les tensions produites dans les fils de chaîne pendant le battage sont plus grandes dans les fils de chaîne qui sont engagés par le fil de trame qui est battu que dans les fils de chaîne, s'il y en a, avec lesquels le fil de trame à battre a manqué de s'engager. Un dispositif de détection d'un lancement défectueux a donc été proposé et utilisé pour détecter un lancement de fil de trame qui a manqué d'être inséré à travers la largeur de la foule, la détection se fait en contrôlant les tensions dans plusieurs dizaines de fils de chaîne formant une partie de la foule. Les tensions dans ces fils de chaîne sont détectées au moyen d'une unité de contrôle de la tension qui est disposée pour être constamment en contact avec les fils de chaîne particuliers pour produire un signal électrique analogique variant, continuellement en fonction de la somme des tensions de fil de chaîne détectées pendant le battage dans chaque cycle de fonctionnement du métier.
Le signal ainsi produit par l'unité de contrôle de la tension individuelle est comparé à un signal de référence qui représente la somme des tensions du fil de chaîne produites quand les fils de chaîne sont engagés pendant le battage par un lancement de fil de trame qui a manqué d'atteindre l'extrémité la plus éloignée de la foule mais qui a été inséré dans la foule sur une longueur couvrant la plupart des fils de chaîne ou, plus exactement, une proportion minimum pratiquement permise de la largeur totale de la foule. Si le signal représentant les tensions du fil de chaîne détectées pendant le battage dans un certain cycle du métier sont reconnues être inférieures en grandeur à un tel signal de référence, le dispositif de détection d'un lancement défectueux délivre un signal de sortie qui indique que le lancement du fil de trame qui a été inséré dans la foule pendant le tissage considéré est défectueux, ou a manqué de couvrir la proportion minimum permise de la largeur totale de la foule. Le signal de sortie du dispositif de détection d'un mauvais lancement est utilisé pour arrêter le métier ou pour produire un signal d'avertissement de manière à permettre à l'opérateur de réparer ce mauvais fonctionnement du métier dans le poste de remplissage de la trame.
Lors d'une interruption dans la fabrication du tissu, il se produit une marque d'arrêt dans ledit tissu ce qui compromet la valeur commerciale du tissu fini. Afin de diminuer le nombre de marques d'arrêt qui se produisent dans un tissu fabriqué au moyen d'un métier équipé d'un dispositif de détection de lancement défectueux du type décrit ci-dessus, il est souhaitable que la valeur représentée par le signal de référence à produire dans le dispositif soit aussi petite que possible. Si la grandeur du signal de référence
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est réduite pour arriver à cette fin, le dispositif de détection d'un lancement défectueux dépendra de la variation des tensions du fil de chaîne qui augmentent tandis que le diamètre des bobines des fils de chaîne sur l'ensouple varie, comme ceci est connu.
Dans un autre type connu de dispositif de détection d'un lancement défectueux dans un métier à tisser, un signal représentant les tensions du fil de chaîne détectées pendant le battage dans chaque cycle du métier est mis en mémoire et sert à produire un signal de référence utilisé dans le cycle suivant. Les signaux de référence ainsi produits ne sont pratiquement pas influencés par les effets susmentionnés des variations cycliques dans les tensions du fil de chaîne mais au lieu de cela ils sont touchés par l'interférence constructive entre les ondes de vibration du dispositif de détection et le support du dispositif de détection comme cela sera expliqué en détail.
Dans un métier àratière dans lequel la foule est formée par trois, ou davantage, jeux de fils de chaîne dans chaque cycle de fonctionnement du métier, les tensions dans les fils de chaîne non seulement s'accroissent comme décrit ci-dessus mais varient d'un cycle à l'autre du fait que chacun des fils de trame formant chacune des armures complètes (qui seront définies ultérieurement) de l'étoffe à tisser est en contact avec les fils de chaîne qui sont disposés différemment des fils de chaîne qui doivent entrer en contact avec les autres fils de trame dans chaque armure complète.
Tous les problèmes rencontrés dans les dispositifs connus de détection d'un lancement défectueux montrent le manque de fiabilité du signal de référence utilisé dans ces dispositifs.
La présente invention se propose de former un procédé et un dispositif pour détecter un lancement du fil de trame défectueux en produisant un signal de référence qui n'est pas susceptible d'être affecté par des facteurs étrangers propres aux métiers à tisser.
Un autre objet de la présente invention est de proposer un procédé et un dispositif pour détecter un lancement de fil de trame défectueux qui évite le risque d'arrêts fréquents de la marche du métier, qui est précis, fiable indépendamment de la variation périodique des tensions des fils de chaîne formant la trame et qui n'est pas affecté par les vibrations mécaniques qui se produisent dans le métier pendant le fonctionnement.
Les caractéristiques du procédé et du dispositif proposés à cet effet par la présente invention sont définis dans les revendications 1 et 11.
Le dessin annexé montre, à titre d'exemple, plusieurs formes d'exécution de la présente invention.
La fig. 1 est une vue schématique en élévation d'un métier à tisser muni d'un dispositif connu de détection d'un lancement de fil de trame.
La fig. 2 est un schéma-bloc montrant un dispositif de détection d'un lancement de fil de trame défectueux selon l'invention.
La fig. 3 est un schéma-bloc d'une variante d'exécution du dispositif illustré fig. 2 pour son application à un métier à ratière.
Sur la fig. 1 est illustré un métier à tisser automatique connu qui a un poste de remplissage de la trame 10 dans lequel des fils de chaîne continus W venant d'un cylindre d'alimentation, ou ensouple 12, par l'intermédiaire d'un guide ou rouleau-guide arrière 14 sont groupés en deux nappes W1 et W2 espacées angu-lairement l'une de l'autre dans le sens vertical de manière à former entre elles une foule généralement horizontale S à l'arrière de la ligne de serrage de la duite F d'un tissu C qui s'étend en avant du poste de remplissage de la trame 10. Dans le voisinage d'une extrémité latérale de la foule S ainsi formée par les fils de chaîne W au poste de remplissage de la trame 10, est prévu un mécanisme d'insertion de la trame (non représenté) pour lancer un fil de trame à travers la foule S pendant chaque cycle de fonctionnement du métier, comme cela est connu. Le mécanisme d'insertion de la trame prévu dans le métier à tisser automatique ici décrit est supposé être, à titre d'exemple, du type sans navette qui est adapté à lancer un fil de trame au moyen d'un jet de fluide sous pression tel que de l'air comprimé éjecté dans la foule S et qui entraîne le fil de trame avec lui. Le mécanisme d'insertion de la trame sans navette comprend donc une buse d'éjection de fluide disposée à proximité d'une extrémité latérale de la foule et communiquant avec une source de fluide sous pression à travers un conduit muni d'une soupape qui est ouverte pendant chaque cycle de fonctionnement du métier. Le fil de trame à lancer depuis la buse est approvisionné cycliquement depuis une réserve de fil via des moyens de contrôle du dessin, de mesure de la longueur et de retenue du fil, interposés entre la buse et la réserve de fil de sorte qu'une longueur prédéterminée de fil de trame est approvisionnée vers la buse d'éjection de fluide chaque fois que la buse est actionnée pour éjecter le fluide. Le mécanisme d'insertion de la trame décrit ci-dessus ainsi que les moyens de contrôle du dessin, de mesure de longueur et de retenue du fil associés à un tel mécanisme étant bien connus dans l'art et n'étant pas nécessaires pour la compréhension des caractéristiques essentielles de la présente invention, leurs constructions et dispositions ne seront donc pas décrites en détail.
La foule S formée par les fils de chaîne W est changée à chacun des tissages, à savoir les cycles de remplissage de la trame, au moyen d'un mécanisme pour la formation de la foule qui comprend des lisses 16 prévues à l'arrière de la foule S, comme illustré schématiquement fig. 1. Chacune des lisses 16 a un maillon (non représenté) à travers lequel chacun des fils de chaîne W formant la foule passe librement et se dirige vers la ligne de serrage de la duite F du tissu C. Les lisses 16 sont disposées en deux ou plusieurs groupes chacun consistant en plusieurs lisses qui sont fixées à un cadre commun (non représenté) qui est mobile verticalement à l'arrière de la foule S. Dans un métier ordinaire employé pour le tissage simple par exemple, il est prévu deux cadres de lisses, un portant les lisses des fils de chaîne formant une des nappes W1 ou W2 et l'autre portant les lisses pour les fils de chaîne formant l'autre nappe W1 ou W2. Les deux cadres de lisses sont alternativement soulevés et abaissés sous la commande d'un mécanisme à excentrique de sorte que les deux nappes W1 et W2 sont alternativement soulevées et abaissées pour former entre elles la foule S.
Dans un autre type de métier tel qu'un métier à ratière, par exemple, le mécanisme pour la formation de la foule comprend trois ou davantage cadres de lisses qui sont sélectivement soulevés et abaissés sous le contrôle d'un système de cartons de changement si bien que, à chaque cycle du métier, une des deux nappes W1 ou W2 est formée par les fils de chaîne passant à travers les lisses supportées par un ou plusieurs des cadres de lisses et l'autre nappe W1 ou W2 est formée par les fils de chaîne passant à travers les lisses supportées par les autres cadres de lisses, comme ceci est connu.
A chaque fois que la foule S est ainsi formée dans la station de remplissage de la trame 10 du métier en fonctionnement, le mécanisme de la trame est actionné pour lancer ou porter une duite (non représentée) à travers la foule S vers une extrémité latérale de la foule, comme expliqué précédemment. L'extrémité latérale de la foule S à travers laquelle une duite doit être insérée dans la foule est ici appelée l'extrémité d'insertion de la trame de la foule.
La duite ainsi insérée à travers la foule S pendant chaque cycle est battue sur la ligne de serrage de la duite F du tissu C à la fin du cycle au moyen d'un mécanisme de battage de la trame qui comprend une lame constituée par un peigne 18 muni de plusieurs fils d'acier aplatis ou dents fixées sur un seul cadre. Le peigne 18 est disposé entre la ligne de serrage de la duite F du tissu C et le mécanisme pour la formation de la foule susmentionné et se déplace vers et loin de la ligne de serrage. Pendant l'insertion de la trame, le peigne 18 est tenu en position de repos à l'écart de la ligne F du tissu C si bien que la foule S dont l'extrémité antérieure est constituée par la ligne de serrage de la duite a son extrémité postérieure définie par le peigne 18. Lors de l'achèvement de l'insertion de la trame dans chaque cycle de fonctionnement du métier, le peigne 18 est déplacé vers l'avant depuis sa position de
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Pendant le battage de la duite contre la ligne de serrage F il se produit une augmentation temporaire de la tension dans chacun des fils de chaîne aboutissant à la ligne de serrage. Si, à ce moment, un des fils de chaîne n'est pas engagé par le fil de trame pressé par le peigne 18 contre le bord du tissu C déjà constitué, l'augmentation de la tension dans ce fil de chaîne considéré est inférieure à l'augmentation de la tension dans chacun des fils de chaîne engagés par le fil de trame. La présence d'un fil de chaîne non engagé par le fil de trame battu sur la ligne de serrage F peut donc être détectée par la comparaison du degré de variation de la tension dans un tel fil de chaîne qui a été engagé par ledit fil de trame, ou par n'importe quelle valeur représentant une augmentation de la tension dans un fil de chaîne correctement engagé par un fil de trame battu sur la ligne de serrage F du tissu C. Un dispositif de détection d'un mauvais lancement de la duite a donc été proposé pour mettre en application le principe de détection d'un fil de trame qui n'a pas traversé d'une manière correcte la foule dans un métier à tisser automatique.
Ce dispositif comprend un détecteur de tension 20 placé à l'arrière du poste d'alimentation en trame 10, de préférence entre le mécanisme pour la formation de la foule et le rouleau de guidage 14, comme illustré fig. 1. Ce dispositif comprend un lecteur de tension 22 disposé de manière à être pressé par les fils de chaîne Y et produisant un signal électrique analogique Sa qui est continuellement variable en grandeur en fonction de la somme des tensions dans les fils de chaîne Y en contact avec le lecteur. Le lecteur 22 est ordinairement du type qui comprend un transducteur piézoélectrique adapté pour produire le signal électrique Sa susmentionné sous la forme d'une tension continuellement variable en fonction de la pression mécanique exercée sur le transducteur.
L'ensemble du détecteur 20 est fixé sur le châssis 24 du métier par l'intermédiaire d'un tampon amortisseur 26 de sorte que le lecteur 22 n'est pas soumis aux perturbations extérieures résultant des chocs mécaniques et des vibrations créés dans ou transmis au châssis 24 pendant le fonctionnement du métier.
Dans un dispositif de détection conventionnel utilisant le détecteur de tension 20, le signal Sa représentant les tensions dans les fils de chaîne Y en contact avec le lecteur 22 est envoyé à un comparateur 28 et est comparé à un signal de référence approprié Sr qui est constamment envoyé dans le comparateur 28.
Quand le signal Sa envoyé au comparateur 28 est inférieur au signal de référence Sr, le comparateur 28 émet un signal de sortie So indiquant qu'il s'est produit un défaut dans l'insertion du fil de trame à travers la foule lors du dernier cycle. Le métier est arrêté en réponse au signal de sortie So ainsi délivré par le comparateur 28. Le signal de référence Sr envoyé au comparateur 28 représente une fraction prédéterminée, telle que par exemple 0,8 de la somme des tensions produites dans les fils de chaîne Y quand tous les fils de chaîne sont correctement engagés, pendant le battage, par un fil de trame dont l'insertion à travers la foule S a réussi. Si lors du lancement, le fil de trame a manqué d'atteindre l'extrémité la plus éloignée de la foule S mais a été lancé sur une longueur couvrant la majorité des fils de chaîne Y, le signal analogique Sa envoyé au comparateur 28 est plus grand que le signal de référence Sr de sorte que le métier continue à fonctionner en l'absence d'un signal de sortie du comparateur 28. Dans l'éventualité, cependant, où le fil de trame a manqué d'atteindre les fils de chaîne Y ou a été lancé dans la foule S sur une longueur trop courte pour couvrir la majorité des fils de chaîne Y, le signal Sa envoyé au comparateur 28 devient inférieur au signal de réfé-remnce Sr ce qui a pour effet que le comparateur 28 délivre un signal de sortie So et arrête le métier ou émet un signal d'avertissement pour permettre à un opérateur de réparer le mauvais fonctionnement du métier dans le poste de remplissage de la trame 10.
Quand il se produit une interruption dans la fabrication d'un tissu, il se crée une marque d'arrêt dans le tissu fabriqué. Ainsi de fréquentes interruptions dans la marche du métier entraîne une dépréciation de la valeur commerciale du tissu fini. De ce point de vue, il est souhaitable que la fraction utilisée comme coefficient dans le signal de référence susmentionné Sr soit choisie aussi petite que possible de sorte que le tissage, une fois commencé, puisse être interrompu à la fréquence la plus basse possible.
D'autre part, les tensions dans les fils de chaîne d'un métier varient non seulement temporairement pendant le battage d'un fil de trame mais croissent graduellement tandis que les fils de chaîne W viennent de l'ensouple 12 et que les enroulements des fils de chaîne sur l'ensouple 12 diminuent en diamètre pendant le fonctionnement du métier. Les accroissements dans les tensions des fils de chaîne entraînés par la modification des diamètres des fils sur l'ensouple 12 sont automatiquement compensés de temps en temps par des moyens de réglage de la tension engageant le rouleau de guidage 14 ou autre mais, néanmoins, il existe certaines périodes pendant lesquelles les tensions des fils de chaîne restent basses. Si le battage du fil de trame inséré dans la foule S est effectué à un tel moment, le signal Sa produit par le détecteur de tension 20 peut devenir plus faible que le signal de référence Sr et entraîner l'arrêt du métier quoique le fil de trame battu ait été correctement inséré à travers la foule S. Ceci entraîne une interruption non désirée du tissage et une altération de la valeur commerciale du tissu fini. De ce point de vue, il y a des inconvénients à réduire la valeur du coefficient susmentionné dans le signal de référence Sr.
Dans un autre type de dispositif de détection d'un lancement de fil de trame défectueux, utilisant le détecteur de tension 20, le signal analogique Sa obtenu pendant un cycle du métier est mis en mémoire et le signal Sa produit pendant le cycle suivant est comparé au signal de référence qui représente une certaine fraction de la valeur représentée par le signal Sa produit pendant le cycle qui précède. Si la variation des tensions du fil de chaîne due aux modifications des diamètres des enroulements de ces fils sur l'ensouple 12 est mesurée entre deux cycles consécutifs, les effets d'une telle variation sur le signal Sa produit pendant ces deux cycles s'annulent pratiquement quand le signal Sa produit pendant le dernier cycle est comparé au signal de référence résultant du signal Sa produit pendant le premier cycle. Le métier équipé de ce second type de dispositif connu peut ainsi fonctionner normalement indépendamment de la variation dans les tensions du fil de chaîne et évite les inconvénients susmentionnés.
Le détecteur de tension 20 est monté sur la base ou châssis 24 du métier par l'intermédiaire d'un tampon amortisseur 26 comme décrit précédemment. Ainsi le détecteur de tension 20 proprement dit constitue un système de vibration qui est indépendant du système de vibration constitué par la base ou châssis 24 du métier. Si, par conséquent, les ondes des vibrations se produisant dans ces deux systèmes de vibration indépendants arrivent à être en phase et interfèrent, les pressions mécaniques transférées des fils de chaîne Y aux lecteurs de tension 22 du détecteur 20 sont amplifiées ou atténuées par les crêtes ou les creux des ondes dans les deux systèmes avec pour résultat que les tensions représentées par les signaux identiques provenant des lecteurs 22 sont éloignées des tensions réellement produites dans les fils de chaîne Y en contact avec les lecteurs 22. Si le signal de référence de ce 2e type de dispositif est produit sur la base de ces faux signaux, il pourra se produire un arrêt non désiré dans l'opération de tissage.
Dans un métier à ratière dans lequel les deux nappes formant la foule sont composées de trois ou davantage ensembles de fils de chaîne, les tensions à détecter du fil de chaîne varient en plus périodiquement d'un cycle à l'autre pendant les cycles pour lesquels une armure complète est produite. Si l'un des deux types de dispositif susmentionné est utilisé sur un métier à ratière, il y a de grandes difficultés à établir un critère pour produire un signal de référence.
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Un premier objet de la présente invention est de former un dispositif de détection d'un lancement défectueux de la trame dans lequel une mauvaise insertion du fil de trame dans la foule est détectée sur la base d'un signal de référence qui ne risque pas de faire interrompre à tort la marche du métier. Ce signal de référence n'est pratiquement pas influencé par les variations cycliques des tensions des fils de chaîne ni par les vibrations mécaniques produites dans le métier.
La fig. 2 montre une forme d'exécution préférée d'un tel dispositif qui comprend un détecteur de tension 30 qui, en soi, est similaire au détecteur de tension 20 de la fig. 1. Le détecteur de tension 30 est donc composé d'une unité de lecture de la tension disposée pour être en contact avec un nombre correspondant de fils de chaîne constituant une portion latérale d'extrémité de la foule opposée à l'extrémité d'insertion de la trame, ceci n'étant pas illustré fig. 2. L'unité de lecture de tension est adaptée pour produire un signal analogique Ta variant continuellement en fonction de la somme des tensions dans les fils de chaîne en contact avec le lecteur et est de préférence constituée par un transducteur piézoélectrique pour produire un signal électrique analogique Ta sous forme d'une tension.
Le signal analogique Ta sortant continuellement du détecteur de tension 30 est envoyé à un convertisseur analogique/digital 32 ayant une borne de porte reliée à un générateur d'impulsions 34. Le générateur d'impulsions 34 sert à produire une suite d'impulsions Tb qui sont synchronisées avec les cycles de tissage du métier et qui coïncident dans le temps avec la phase de battage du cycle. Bien que ceci ne soit pas illustré sur les dessins, un tel générateur 34 peut comprendre un rotor adapté pour tourner en synchronisme avec les cycles de tissage du métier, un aimant permanent fixé sur le rotor et un capteur électromagnétique disposé à proximité du trajet circulaire de l'aimant permanent. Le rotor accomplit un tour complet et donc l'aimant permanent du rotor s'approche du capteur, une fois à chaque cycle de tissage. Le moment où l'aimant permanent du rotor s'approche du capteur est réglé pour être simultané au moment où se produit le battage au cours de chaque cycle de fonctionnement. Cette forme d'exécution du générateur d'impulsion 34 est seulement donnée à titre d'exemple.
Les impulsions Tb délivrées par le générateur 34 sont envoyées successivement à une entrée du convertisseur analogique/digital 32 susmentionné qui convertit le signal analogique de sortie Ta venant du détecteur de tension 30 en un signal digital correspondant Te qui sort du convertisseur à chaque fois qu'une impulsion Tb venant du générateur 34 est envoyée au convertisseur 32. Chacun des signaux digitaux Tb produit par le convertisseur 32 est ainsi une représentation digitale de la somme des tensions des fils de chaîne détectées par le détecteur de tension 30 pendant le battage à chaque cycle de fonctionnement du métier.
Le convertisseur analogique/digital 32 a une sortie connectée à un circuit de retard 36 au moyen duquel le signal digital Te venant du convertisseur 32 est retardé d'un intervalle de temps plus court que la durée de chaque cycle. Depuis la phase de battage dans chaque cycle de fonctionnement d'un métier comme cela est connu, le signal digital Te transmis au circuit de retard 36 depuis le convertisseur 32, peut apparaître à la sortie du circuit de retard 36 pas plus tard qu'au moment où le convertisseur 32 délivre le signal digital Te vers la fin du cycle qui suit immédiatement.
La sortie du circuit de retard 36 est reliée à un circuit distributeur de signaux séquentiels 38 ayant une borne de déclenchement reliée au générateur d'impulsions 34 susmentionné et un nombre n de bornes de sortie qui sont respectivement reliées à un nombre correspondant de circuits de mise en mémoire 40a, 40b...40n. Tandis que les impulsions Tb sont envoyées successivement à la borne de déclenchement du circuit distributeur de signaux séquentiels 38 depuis le générateur d'impulsions 34, le circuit distributeur 38 est déclenché et transmet les signaux digitaux retardés Te aux circuits de mise en mémoire individuels 40a, 40b...40n d'une manière séquentielle. Quand tous les circuits de mise en mémoire 40a, 40b...40n sont remplis, les signaux digitaux retardés Te passant continuellement dans le circuit distributeur 38 sont, pour une seconde fois, distribués séquentiellement dans les circuits de mémoire 40a, 40b...40n. Quand le nouveau signal est ainsi envoyé dans chaque circuit de mémoire 40a, 40b...40n le signal qui a été conservé est effacé et le circuit de mémoire enregistre le nouveau signal jusqu'à ce qu'il reçoive un nouvel autre signal venant du circuit distributeur 38. Le circuit distributeur de signal séquentiel 38 peut être constitué par un compteur annulaire électronique ayant une chaîne d'unités binaires disposées en un cercle et ayant leurs bornes de déclenchement respectives reliées conjointement à la borne de déclenchement susmentionnée du circuit distributeur 38, cela n'étant pas illustré dans les dessins.
Les circuits de mémoire 40a, 40b...40n ont leurs sorties respectives conjointement reliées à un circuit de comptage 42 comprenant des séries de combinaison de réseaux d'addition et de division disposés de manière à produire une fraction prédéterminée d'une moyenne arithmétique des valeurs représentées par les signaux digitaux Te arrivant au circuit de comptage 42 depuis les circuits de mémoire individuels 40a, 40b...40n. Le circuit de comptage 42 produit un signal de sortie Tr qui représente une telle valeur moyenne. La fraction susmentionnée donnant un coefficient choisi pour le signal Tr ainsi délivré depuis le circuit de comptage 42 est, dans le cas présent, supposée être 0,8 par exemple. Le signal de sortie Tr du circuit de comptage 42 est appliqué comme signal de référence variable à une des entrées d'un circuit comparateur 44 à deux entrées, dont l'autre entrée est reliée à la sortie dudit convertisseur analogique/digital 32 susmentionné. L'ensemble constitué par le circuit de retard 36, le circuit distributeur de signal séquentiel 38, les circuits de mémoire 40a, 40b...40n et le circuit de comptage 42 constituent ainsi des moyens pour produire le signal de référence variable Tr à appliquer au circuit comparateur 44.
Chacun des signaux digitaux Te produits par le convertisseur analogique/digital 32 est appliqué non seulement au circuit de retard 36, mais au circuit comparateur 44 et est comparé avec le signal de référence variable Tr susmentionné venant du circuit de comptage 42.
Quand un des signaux digitaux Te envoyés successivement au comparateur 44 est inférieur au signal de référence variable Tr, le circuit comparateur 44 produit un signal de sortie To lequel est appliqué via un amplificateur 46 à un élément de commande 48 qui peut être la bobine d'un relais formant partie d'un mécanisme d'arrêt approprié (non représenté) prévu pour arrêter le métier.
Quand le métier fonctionne, le convertisseur analogique/digital 32 est constamment alimenté avec le signal analogique Ta variant continuellement en fonction de la somme des tensions dans les fils de chaîne détectées par le détecteur de tension 30. A des intervalles de temps qui sont synchronisés avec les phases de battage des cycles de tissage, le convertisseur 32 est de plus alimenté par les impulsions Tb venant du générateur d'impulsions 34 et délivre les signaux digitaux Te, chacun étant une représentation digitale de la somme des tensions détectées dans les fils de chaîne. Les signaux digitaux Te ainsi délivrés par le convertisseur 32 à des instants synchronisés avec les phases de battage du métier sont transmis directement au circuit de comptage 42 susmentionné à de tels instants et, via le circuit de retard 36 et le circuit distributeur de signal 38 aux circuits de mise en mémoire 40a, 40b...40n séquentiellement et, à des instants retardés par rapport au moment de l'émission des signaux Te d'une période plus courte que la durée de chaque cycle de fonctionnement du métier, comme expliqué ci-dessus. Le signal Te délivré par le circuit distributeur de signal séquentiel 38 suivant immédiatement le signal Te envoyé au dernier circuit de mise en mémoire 40n, est transmis au premier circuit de mise en mémoire 40a de sorte que le signal Te qui avait été enregistré dans le premier circuit de mise en mémoire 40a est effacé et le signal Te qui apparaît à la sortie du circuit de retard 36 est mis en mémoire à son tour dans le premier circuit de mise en mémoire 40a.
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Les circuits de mise en mémoire 40a, 40b...40n reliés en parallèle au circuit distributeur de signal séquentiel 38 reçoivent ainsi cycliquement et à plusieurs reprises les signaux digitaux retardés Te délivrés successivement par le circuit de retard 36. Immédiatement après que la phase de battage a commencé tous les circuits de mise en mémoire 40a, 40b...40n ont emmagasiné les signaux digitaux Te qui représentent les sommes des tensions dans les fils de chaîne détectées pendant les cycles de tissage respectivement suivis par les cycles de tissage durant lesquels les mêmes signaux digitaux Te sont envoyés aux circuits de mise en mémoire. Les n signaux digitaux ainsi enregistrés dans les circuits de mise en mémoire 40a, 40b...40n sont combinés dans le circuit de comptage 42 en un seul signal représentant la somme des valeurs représentées respectivement par les signaux digitaux et le signal représentant une telle somme est multiplié par une valeur numérique de 0,8/n. Le signal de référence variable Tr produit de cette façon par le circuit de comptage 42 représente la fraction 8/10 fois la moyenne arithmétique de la somme des valeurs représentées par les signaux digitaux Te enregistrés dans les circuits de mise en mémoire individuels 40a, 40b...40n. Le signal de référence Tr est envoyé au circuit comparateur 44 et est comparé avec le signal digital Te envoyé directement au circuit comparateur 44 par le convertisseur analogique/digital 32. A l'instant où le signal digital Te est ainsi envoyé du convertisseur 32 au circuit comparateur 44, un signal particulier Te ne peut pas atteindre un des circuits de mise en mémoire 40a, 40b...40n du fait de l'effet de retard du circuit de retard 36. Le signal de référence Tr avec lequel le signal digital Te produit pendant chaque cycle de tissage doit être comparé dans le circuit comparateur 44 est donc la représentation des 8/10e de la moyenne arithmétique de la somme des valeurs représentées par les signaux digitaux Te produits pendant les n cycles de tissage précédant le cycle dans lequel le signal digital Te envoyé au circuit comparateur 44 est produit. Quand le signal Te produit et envoyé au circuit comparateur 44 pendant un cycle du métier est inférieur au signal de référence Tr apparaissant à la sortie du circuit de comptage 42 dans le cycle considéré, le circuit comparateur 44 délivre un signal de sortie To et actionne l'élément de commande 48 pour arrêter le métier.
Le circuit illustré fig. 2 peut, en plus, comporter des moyens de commutation au moyen desquels le signal digital Te qui s'est révélé être inférieur au signal de référence Tr dans le circuit comparateur 44 n'est pas envoyé aux circuits de mise en mémoire 40a, 40b...40n si bien que les tensions des fils de chaîne détectées pendant le cycle de tissage pendant lequel le signal digital considéré est produit ne sont pas prises en considération lors de la formation du, ou des, signal de référence Tr à produire pendant le, ou les, cycles qui suit. Dans la fig. 2 de tels moyens de commutation sont représentés par un circuit de commutation 50 normalement fermé, branché entre le circuit de retard 36 et le circuit distributeur de signal séquentiel 38 et ayant une entrée reliée à la sortie du circuit comparateur 44 comme indiqué en ligne pointillée. Le circuit de commutation 50 est adapté pour maintenir la liaison entre les circuits de retard 36 et de distribution 38 quand ils ne sont pas alimentés et pour relier la sortie du circuit de retard 36 à terre quand il est alimenté par le signal de sortie To venant du circuit comparateur 44. Quand le circuit de commutation 50 est ainsi ouvert en présence du signal To à la sortie du comparateur 44, le signal digital Te, délivré par le circuit de retard 36 à un certain intervalle de temps après que le signal a été envoyé au circuit comparateur 44, est envoyé à terre à travers le circuit de commutation 50 si bien qu'un des circuits de mise en mémoire 40a, 40b...40n qui devrait être alimenté avec ce signal digital donné Te via le circuit distributeur 38 marque zéro. Dans ces conditions, le circuit comparateur 44 est alimenté avec un nombre n-1 de signaux digitaux Te venant des circuits de mise en mémoire 40a, 40b...40n et multiplie la somme de ces signaux Te par 0,8/(n-l). A cet effet la sortie du comparateur 44 est de plus reliée au circuit de comptage 42 si bien que le signal de sortie To produit par le circuit comparateur 44 retourne au circuit de comptage 42 ainsi qu'au circuit de commutation 50 pour fournir au circuit de comptage une information indiquant que l'un des circuits de mise en mémoire 40a, 40b...40n est libre.
Dans un métier à ratière, dans lequel la foule est constituée par trois ou davantage fils de chaîne dans chaque cycle de fonctionnement du métier, la tension dans les fils de chaîne varie non seulement du fait de la variation des diamètres des rouleaux de fils de chaîne sur l'ensouple mais aussi d'un cycle à l'autre pour produire une armure complète du tissu. L'armure complète mentionnée ici se rapporte à une portion de tissu qui a une succession de portions ayant un dessin d'armure contenant un nombre prédéterminé de fils de trame.
La fig. 3 montre un dispositif de détection d'un lancement défectueux du fil de trame dans un métier à ratière. Dans cette disposition, l'armure complète susmentionnée est supposée contenir m fils de trame (non représentés). Comme cela est bien connu dans l'art, une armure complète d'un tissu ordinaire produit par un métier à ratière contient un maximum de 30 fils de trame environ. Ainsi, le dispositif de détection montré fig. 3 comprend m circuits de mise en mémoire 52a, 52b...52n chacun comprenant n unités de • mise en mémoire qui sont indiquées par les sous-chiffres l,2...n annexés à chacune des références 52a, 52b...52n. Les unités de mise en mémoire de chacun des circuits 52a, 52b...52n ont leur sortie respectivement reliées conjointement à chacune des sorties du circuit distributeur de signal séquentiel 38. Les signaux digitaux Te envoyés successivement depuis le circuit distributeur 38 sont en premier envoyés tour à tour aux premières unités de mise en mémoire respectives 52a-l, 52b-1...52m-l, ensuite aux secondes unités de mise en mémoire respectives 52a-2, 52b-2...52m-2 et finalement aux n èmes unités de mise en mémoire 52a-n, 52b-n...52m-n de chaque circuit de mise en mémoire 52a,
52b...52m. Après que les n unités de mise en mémoire 52m-n des m circuits 52m ont été ainsi remplies les signaux digitaux Te sortant continuellement du circuit distributeur 38 sont pour une seconde fois séquentiellement transmis aux premières unités de mise en mémoire 52a-l, 52b-1...52m-l des circuits de mise en mémoire 52a, 52b...52n. Quand chacune des unités de mise en mémoire qui avait été remplie est alimentée avec un nouveau signal, le signal qui avait été enregistré est effacé et le nouveau signal est enregistré à sont tour dans l'unité de mise en mémoire considérée. Les unités de mise en mémoire de chacun des circuits de mise en mémoire 52a, 52b...52n ont leur sortie reliées conjointement à un circuit collecteur de signal 54 ayant m entrées reliées chacune aux sorties de chacun des circuits de mise en mémoire 52a, 52b...52n. Le circuit collecteur de signal 54 a, de plus, une borne de déclenchement reliée à la sortie du générateur d'impulsions 34 de sorte que les impulsions Tb produites par le générateur 34 à des intervalles de temps synchronisés avec les phases de battage pendant un cycle de fonctionnement sont transmises successivement non seulement au convertisseur analogique/digital 32 et au circuit distributeur de signal séquentiel 38 comme précédemment décrit, mais aussi au circuit collecteur de signal 54. Le circuit collecteur de signal 54 est ainsi déclenché à chaque intervalle de temps synchronisé avec les moments auxquels les signaux digitaux retardés Te doivent être délivrés du circuit distributeur de signal séquentiel 38. Les signaux digitaux Te enregistrés dans les nxm unités de mise en mémoire sont transmis au circuit collecteur de signal 54 de telle manière que les signaux digitaux enregistrés dans les unités de mise en mémoire 52a-l, 52a-2...52a-n du premier circuit de mise en mémoire 52a sont envoyés au circuit collecteur 54 pendant un cycle de tissage au cours duquel le premier fil de trame servant à former une armure complète du tissu est battu et, de même, les signaux digitaux enregistrés dans les unités de mise en mémoire 52b-l, 52b-2...52b-n du second circuit de mise en mémoire 52b sont envoyés au circuit collecteur 54 pendant le cycle suivant au cours duquel le second fil de trame constituant l'armure est battu.
Pendant chacun des cycles du métier, le circuit collecteur 54 est s
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ainsi alimenté avec n signaux digitaux Te venant de chacun des circuits de mise en mémoire 52a, 52b...52m. Les signaux digitaux Te ainsi collectés dans le circuit collecteur 54 pendant chaque cycle sont envoyés au circuit de comptage 42 pour former le signal de référence variable Tr de la même manière que cela a été décrit en référence à la fig. 2.
Dans le dispositif illustré fig. 3, il est préférable que chacun des circuits de mise en mémoire 52a, 52b...52n contienne cinq ou six unités de mise en mémoire parce que, si le signal de référence Tr est produit sur la base de deux, trois ou quatre signaux digitaux Te,
le signal de référence manque de fiabilité et si sept ou davantage unités de mémoire étaient utilisées pour constituer chacun de ces circuits de mémoire 52a, 52b...52m, il en résulterait une construction trop importante et complexe du dispositif.
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Bien que l'invention ait été décrite avec un signal de référence Tr produit sur la base de la moyenne arithmétique des tensions dans les fils de chaîne, un tel signal pourrait être produit sur la base de la valeur intermédiaire ou minimum des tensions io dans les fils de chaîne.
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2 feuilles dessins

Claims (18)

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    REVENDICATIONS
    1. Procédé de détection d'un lancement défectueux du fil de trame dans un métier à tisser ayant un poste de remplissage de la trame (10) dans lequel un fil de trame doit être inséré dans la foule (S) ayant une extrémité où se produit l'insertion et battu sur la ligne de serrage de la duite (F) du tissu (C) à chaque cycle de fonctionnement du métier, caractérisé par le fait que l'on détecte la somme des tensions dans un nombre donné de fils de chaîne (Y), on produit un signal de tension électrique (Te) représentant les tensions dans les fils de chaîne détectées pendant le battage du fil de trame dans chaque cycle de fonctionnement du métier, on enregistre chacun de ces signaux de tension (Te) pour un nombre prédéterminé (n;nxm) de cycles consécutifs de fonctionnement suivant chacun des cycles dans lesquels les signaux de tension (Te) sont produits, on produit un signal de référence variable (Tr) représentant les valeurs représentées respectivement par un nombre prédéterminé (n) de signaux de tension enregistrés, on compare chacun des signaux de tension (Te) avec le signal de référence (Tr) qui est produit pendant le cycle de fonctionnement précédant le cycle au cours duquel est produit le signal de tension (Te) à comparer avec le signal de référence, et,on produit un signal de sortie (To) quand la valeur représentée par le signal de tension (Te) comparé au signal de référence (Tr) est un rapport prédéterminé de la valeur représentée par ce dernier.
  2. 2. Procédé selon la revendication 1, caractérisé par le fait que lorsque le signal de tension (Te) comparé avec le signal de référence (Tr) est trouvé être inférieur à celui dans un des cycles de fonctionnement, on élimine ce signal avant qu'il soit enregistré.
  3. 3. Procédé selon l'une des revendications 1 ou 2, caractérisé par le fait que le signal de référence (Tr) produit pendant chaque cycle de fonctionnement représente les valeurs représentées respectivement par les signaux de tension (Te) produits dans ledit nombre prédéterminé (n) de cycles consécutifs.
  4. 4. Procédé selon la revendication 3, caractérisé par le fait que chacun chacun desdits signaux de tension (Te) est obtenu en produisant un signal électrique analogique (Ta) variant continuellement en fonction des tensions détectées dans lesdits fils de chaîne (Y) et en convertissant ledit signal analogique en un signal digital correspondant comme ledit signal de tension (Te) pendant le battage du fil de trame dans chaque cycle de fonctionnement du métier.
  5. 5. Procédé selon la revendication 4, caractérisé par le fait que ledit signal digital (Te) est retardé pendant un temps prédéterminé plus court que la durée de chaque cycle de fonctionnement du métier, avant l'enregistrement du signal et est comparé sans retard au signal de référence (Tr) pendant le cycle de fonctionnement au cours duquel est produit le signal digital considéré.
  6. 6. Procédé selon l'une des revendications 1 ou 2 dans lequel le tissu à fabriquer a une succession d'armures complètes contenant chacune un nombre prédéterminé (m) de fils de trame, caractérisé par le fait que ledit nombre prédéterminé (nxm) de cycles consécutifs est le produit dudit nombre prédéterminé (m) de fils de trame dans chaque armure complète par ledit nombre prédéterminé (n) de signaux de tension enregistrés (Te) et que chaque signal de référence (Tr) est produit pendant chaque cycle de fonctionnement du métier sur la base des signaux de tension produits pendant les cycles de fonctionnemènt au cours desquels les fils de trame à battre surviennent dans le même ordre dans les armures complètes à produire dans le tissu.
  7. 7. Procédé selon la revendication 6, caractérisé par le fait que chaque signal de tension (Te) est obtenu en produisant un signal électrique analogique (Ta) variant continuellement en fonction de la somme des tensions détectées dans les fils de chaîne (Y) et en convertissant ledit signal analogique en un signal digital correspondant, comme ledit signal de tension (Te), pendant le battage du fil de trame dans chaque cycle de fonctionnement du métier.
  8. 8. Procédé selon la revendication 7, caractérisé par le fait que ledit signal digital (Te) est retardé pendant un temps prédéterminé plus court que la durée de chaque cycle de fonctionnement du métier avant l'enregistrement du signal et est comparé sans retard au signal de référence (Tr) pendant le cycle de fonctionnement au cours duquel est produit le signal digital considéré.
  9. 9. Procédé selon la revendication 1, caractérisé par le fait que ledit nombre prédéterminé de fils de chaîne est choisi parmi les fils de chaîne constituant une extrémité latérale de la foule, opposée à l'extrémité où se produit l'insertion de la trame.
  10. 10. Procédé selon la revendication 1, caractérisé par le fait que ledit signal de référence représente une fraction prédéterminée de la moyenne arithmétique des valeurs représentées respectivement par ledit nombre prédéterminé de signaux de tension enregistrés.
  11. 11. Dispositif pour la mise en œuvre du procédé selon la revendication 1, caractérisé par le fait qu'il comprend un générateur de signal de tension (30, 32, 34) pour détecter une somme de tensions dans un nombre prédéterminé de fils de chaîne (Y) et pour produire un signal de tension électrique (Te) représentant les tensions dans les fils de chaîne détectées pendant le battage du fil de trame dans chaque cycle de fonctionnement du métier, des moyens de formation d'un signal de référence (36, 38, 40a...40n, 42; 36, 38, 52a...52n, 54, 42) pour enregistrer chacun des signaux de tension (Te) pour un nombre prédéterminé (n; nxm) de cycles de fonctionnement consécutifs suivant chacun des cycles dans lesquels sont produits les signaux de tension (Te) et pour produire un signal de référence variable (Tr) représentant les valeurs représentées respectivement par un nombre prédéterminé (n) de signaux de tension enregistrés, et un comparateur (44) pour comparer chacun des signaux de tension (Te) au signal de référence (Tr) qui est produit pendant le cycle de fonctionnement précédant le cycle au cours duquel est produit le signal de tension à comparer au signal de référence et pour produire un signal de sortie (To) si et quand la valeur représentée par le signal de tension (Te) comparé au signal de référence (Tr) est un rapport prédéterminé de la valeur de ce dernier.
  12. 12. Dispositif selon la revendication 11, caractérisé par le fait que lesdits moyens de formation d'un signal de référence comprennent un circuit de retard (36) relié audit générateur de signal de tension (30, 32, 34) pour retarder chacun des signaux de tension (Te) d'un intervalle de temps prédéterminé inférieur à la durée de chaque cycle de fonctionnement du métier, un circuit distributeur de signal séquentiel (38) ayant une borne d'entrée reliée audit circuit de retard et plusieurs bornes de sortie prévues pour transmettre les signaux de tension retardés (Te) du circuit de retard à ces bornes de sortie séquentiellement et à plusieurs reprises tandis que les signaux de tension sont délivrés en succession du circuit de retard au circuit distributeur de signal, plusieurs circuits de mise en mémoire (40a, 40b...40n) dont les entrées respectives sont reliées aux bornes de sortie du circuit distributeur (38) pour enregistrer les signaux de tension délivrés par le circuit distributeur, chacun des circuits de mise en mémoire étant agencé pour effacer, en réponse à un nouveau signal d'entrée qui lui est envoyé, le signal qui avait été enregistré, et un circuit de comptage (42) relié à ces dits circuits de mise en mémoire et agencé pour produire une valeur variable représentant les valeurs représentées respectivement par les signaux enregistrés dans lesdits circuits de mise en mémoire, ledit comparateur ayant une borne d'entrée reliée audit circuit de comptage pour recevoir ledit signal de référence (Tr) et une borne d'entrée reliée directement a la borne de sortie dudit générateur de signal de tension (30, 32, 34) pour recevoir lesdits signaux de tension (Te).
  13. 13. Dispositif selon la revendication 12, caractérisé par le fait que lesdits moyens de formation d'un signal de référence comprennent en outre un commutateur (50) branché entre ledit circuit de retard (36) et ledit circuit distributeur de signal (38) et ayant une borne d'entrée reliée à la borne de sortie dudit comparateur (44) pour mettre la borne de sortie du circuit de retard à terre pendant un cycle de fonctionnement durant lequel le signal de tension (Te)
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    comparé au signal de référence (Tr) dans ledit comparateur (44) s'est révélé être inférieur à ce dernier.
  14. 14. Dispositif selon la revendication 11, caractérisé par le fait que lesdits moyens de formation d'un signal de référence comprennent un circuit de retard (36) relié à la borne de sortie dudit générateur de signal de tension (30, 32, 34) pour retarder chacun des signaux de tension (Te) d'un intervalle de temps prédéterminé inférieur à la durée de chaque cycle de fonctionnement du métier, un circuit distributeur de signal séquentiel (38) ayant une borne d'entrée reliée au circuit de retard et plusieurs bornes de sortie agencées pour transmettre les signaux de tension retardés (Te) du circuit de retard auxdits bornes de sortie séquentiellement et à plusieurs reprises tandis que les signaux de tension retardés sont délivrés en succession du circuit de retard au circuit distributeur de signal, plusieurs circuits de mise en mémoire (52a, 52b...52m) consistant chacun d'unités de mise en mémoire montées en parallèle (52a-1...52m-n) ayant des bornes d'entrée et de sortie respectives, les bornes d'entrée respective des unités de mise en mémoire de chaque circuit de mise en mémoire étant reliées conjointement à chacune des bornes de sortie du circuit distributeur de signal, le circuit distributeur étant agencé pour transmettre les signaux de tension retardés séquentiellement et à plusieurs reprises aux circuits de mise en mémoire et séquentiellement aux unités de mise en mémoire du même ordre dans les circuits de mise en mémoire individuels chacune desdites unités de mise en mémoire étant agencée pour effacer, en réponse à un nouveau signal qui arrive, le signal qui avait été enregistré, un circuit collecteur de signal (54) ayant plusieurs bornes d'entrée reliées chacune aux bornes de sortie respectives des unités de mise en mémoire de chaque circuit de mise en mémoire, ledit circuit collecteur de signal étant agencé pour recevoir les signaux séquentiellement venant des unités de mise en mémoire d'un des circuits de mise en mémoire et ensuite venant des unités de mise en mémoire d'un autre circuit de mise en mémoire si bien que les signaux enregistrés dans les unités de mise en mémoire de chaque circuit de mise en mémoire sont envoyés au circuit collecteur durant chaque cycle de fonctionnement du métier, et un circuit de comptage (42) relié à la borne de sortie dudit circuit collecteur et agencé pour produire une valeur variable représentant les valeurs représentées respectivement par les signaux appliqués audit circuit collecteur durant chaque cycle de fonctionnement du métier, ledit comparateur (44) ayant une borne d'entrée reliée audit circuit de comptage pour recevoir ledit signal de référence (Tr) et une borne d'entrée reliée directement à la borne de sortie dudit générateur de signal de tension (30, 32, 34) pour recevoir lesdits signaux de tension (Te).
  15. 15. Dispositif selon la revendication 14, caractérisé par le fait que lesdits moyens de formation d'un signal de référence comprennent en outre un commutateur (50) branché entre ledit circuit de retard (36) et ledit circuit distributeur de signal (38) et ayant une borne d'entrée reliée à la borne de sortie dudit comparateur (44) pour mettre la borne de sortie du circuit de retard à terre pendant un cycle de fonctionnement au cours duquel le signal de tension (Tr) dans ledit comparateur (44) s'est révélé être inférieur à ce dernier.
  16. 16. Dispositif selon l'une des revendications 11 à 15, caractérisé par le fait que ledit générateur de signal de tension comprend des moyens de détection de la tension (30) pour produire un signal électrique analogique (Ta) qui varie continuellement en fonction de la somme des tensions détectées dans lesdits fils de chaîne (Y) et un convertisseur analogique/digital (34) agencé pour convertir ledit signal analogique (To) en un signal digital correspondant, comme ledit signal de tension (Te), pendant le battage du fil de trame dans chaque cycle de fonctionnement du métier.
  17. 17. Dispositif selon la revendication 11, caractérisé par le fait que ledit générateur de signal de tension (30, 32, 34) comprend une unité de détection de la tension qui est disposée pour détecter les tensions dans les fils de chaîne choisis parmi les fils de chaîne constituant une extrémité latérale de la foule opposée à l'extrémité où se fait l'insertion de la trame.
  18. 18. Dispositif selon l'une des revendications 12 ou 14, caractérisé par le fait que ledit circuit de comptage est agencé pour produire comme valeur variable une fraction prédéterminée de la moyenne arithmétique des valeurs représentées respectivement par ledit nombre prédéterminé de signaux enregistrés.
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