CH366566A - Installation télégraphique dans laquelle les signaux transmis servent à commander l'impression de caractères - Google Patents

Installation télégraphique dans laquelle les signaux transmis servent à commander l'impression de caractères

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CH366566A
CH366566A CH4442457A CH4442457A CH366566A CH 366566 A CH366566 A CH 366566A CH 4442457 A CH4442457 A CH 4442457A CH 4442457 A CH4442457 A CH 4442457A CH 366566 A CH366566 A CH 366566A
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CH
Switzerland
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pulse
transistor
pulses
character
circuits
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CH4442457A
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Inventor
Patrick Byrnes William
Original Assignee
Teletype Corp
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    • HELECTRICITY
    • H04ELECTRIC COMMUNICATION TECHNIQUE
    • H04LTRANSMISSION OF DIGITAL INFORMATION, e.g. TELEGRAPHIC COMMUNICATION
    • H04L17/00Apparatus or local circuits for transmitting or receiving codes wherein each character is represented by the same number of equal-length code elements, e.g. Baudot code
    • HELECTRICITY
    • H04ELECTRIC COMMUNICATION TECHNIQUE
    • H04LTRANSMISSION OF DIGITAL INFORMATION, e.g. TELEGRAPHIC COMMUNICATION
    • H04L25/00Baseband systems
    • H04L25/38Synchronous or start-stop systems, e.g. for Baudot code
    • H04L25/40Transmitting circuits; Receiving circuits
    • H04L25/45Transmitting circuits; Receiving circuits using electronic distributors

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  • Engineering & Computer Science (AREA)
  • Computer Networks & Wireless Communication (AREA)
  • Signal Processing (AREA)
  • Facsimiles In General (AREA)
  • Common Mechanisms (AREA)
  • Impression-Transfer Materials And Handling Thereof (AREA)
  • Accessory Devices And Overall Control Thereof (AREA)

Description


      Installation    télégraphique dans laquelle les signaux     transfinis     servent à     commander    l'impression de caractères    La présente invention a pour objet une installa  tion télégraphique dans laquelle les signaux transmis  servent à commander l'impression de caractères et  qui est munie d'une roue à caractères en rotation  permanente, portant sur sa périphérie des     rangées    de  caractères et     coopérant    avec une rangée de méca  nismes d'impression à marteaux qui sont disposés en  face des rangées de caractères,

   cette installation est       caractérisée    en ce que les     différents    caractères sont  disposés de la même façon dans les rangées de ca  ractères de ladite roue, en ce qu'elle est agencée de  façon qu'une combinaison d'impulsions de repos et  de travail     identique    à celle du code télégraphique  utilisé soit engendrée pour chaque caractère passant  en face de la rangée des mécanismes d'impression,  la disposition des caractères étant telle que ces com  binaisons correspondent aussi à la suite des     chiffres     binaires     croissants,

      en ce qu'un compteur binaire  qui est actionné par des impulsions de comptage  fournies par un organe coopérant avec la roue à ca  ractères pendant que les caractères qui se succèdent  sont amenés à la position d'impression, en face des  mécanismes d'impression à marteaux, engendre l'une  après l'autre des combinaisons de potentiels  qui sont appliquées à au moins une unité de recon  naissance des caractères, combinaisons qui corres  pondent aux combinaisons     susmentionnées    et qui  sont comparées l'une après l'autre dans l'unité de  reconnaissance des caractères à une combinaison de  potentiels correspondant à un signal reçu,

   combinai  son qui a été emmagasinée dans cette unité de recon  naissance des caractères sous la commande d'une  unité de commande fournissant dans ce but une  impulsion de transfert lors de la réception de chaque  signal correspondant à un caractère, le tout étant  agencé de manière que si les potentiels comparés    concordent, une impulsion soit fournie par l'unité  de reconnaissance des caractères pour actionner le  mécanisme d'impression à marteaux     correspondant     à l'aide d'un distributeur     d'impression    qui rend l'un  après l'autre les     mécanismes    d'impression à marteaux  prêts à fonctionner et dont les éléments sont succes  sivement actionnés à chaque signal reçu,

   pour im  primer les     caractères    les uns à côté des autres     sur     une ligne d'une page.  



  Le dessin     annexé    représente, à titre d'exemple,  une     forme    d'exécution de l'objet de l'invention.  



  La     fig.    1 représente schématiquement la partie  de transmission de ladite forme d'exécution.  



  La     fig.    2 est un schéma de la partie réceptrice  de cette même     forme    d'exécution.  



  La     fig.    3 représente la disposition relative des       fig.    1 et 2.  



  La     fig.    4 est un schéma d'une unité d'emmaga  sinage et de reconnaissance des caractères.  



  La     fig.    5 est un schéma d'une unité de com  mande.  



  La     fig.    6 est un schéma d'un compteur     binaire.     Les     fig.    7 et 7A représentent les combinaisons  des éléments de code fournies par un compteur bi  naire et les caractères correspondant à ces com  binaisons.  



  La     fig.    8 est une coupe d'un clavier.  



  La     fig.    9 est une coupe d'un dispositif impri  meur.  



  La     fig.    10 est une coupe d'un dispositif d'impres  sion associé à l'imprimeur de la     fig.    9.  



  La     fig.    11 est une vue en élévation d'un méca  nisme d'avancement et d'inversion du sens de marche  d'un     ruban    encreur.      Les     fig.    12 et 13 sont les vues d'ensemble d'une  roue de commande et d'un dispositif magnétique de  lecture.  



  Les     fig.    14, 15 et 16, lorsqu'elles sont assem  blées comme représenté sur la     fig.    17, représentent  les     circuits    électriques de la     partie    de transmission.  



  Les     fig.    18, 19 et 20, lorsqu'elles sont assem  blées comme représenté à la     fig.    21, représentent les  circuits électriques d'un dispositif électronique de  réception.  



  La     fig.    22 montre l'emplacement de dents dispo  sées sur la roue de commande mentionnée ci-dessus,  dents qui coopèrent avec le dispositif magnétique de  lecture.  



  Les     fig.    23, 24, 2.5 et 26, lorsqu'elles sont as  semblées comme indiqué à la     fig.    27, représentent  les circuits électriques d'une unité d'emmagasinage  et de reconnaissance de caractères.  



  Les     fig.    28, 29 et 30, lorsqu'elles sont assemblées  comme indiqué à la     fig.    31, représentent les cir  cuits     électriques    d'une unité de commande.  



  Les     fig.    32, 33 et 34, lorsqu'elles sont assemblées  comme indiqué sur la     fig.    35, représentent les cir  cuits     électriques    d'un compteur binaire.  



  Les     fig.    36, 37 et 38, lorsqu'elles sont assemblées  comme on le voit à la     fig.    39, représentent un schéma  électrique des circuits d'une unité d'impression à  thyratrons.  



  <I>Description générale</I>  En se     reportant    à la     fig.    1, on voit un poste de  transmission     comportant    un clavier 11 qui déclen  che la production d'impulsions et leur application à  un transmetteur électronique 12. Lorsqu'on abaisse  une touche 13, comme on va le voir, un des con  tacts 14 correspondants se ferme pour appliquer sur  les conducteurs 15-1 à l5-5, allant au transmetteur  12, des impulsions correspondant à la touche abais  sée.

   Par exemple, si celle des touches 13 correspon  dant au caractère   A   est abaissée, le contact    A   14 se ferme pour compléter les circuits sui  vants d'un     convertisseur    16 à diodes à 31 entrées et  5     sorties    : pôle positif 17, conducteur 18, jonction  19, conducteurs 21 et 22, contact A-14 (mainte  nant fermé), conducteur 23, redresseurs 24 et 25,  conducteurs l5-1 et 15-2, respectivement. Si main  tenant celle des touches 13 correspondant au signe    lettres   est abaissée, des impulsions sont appli  quées sur les cinq conducteurs 15-l à 15-5, puisque  le signe   lettres   est le seul signe à 5 éléments de  travail.

   Il s'établit alors le circuit suivant : pôle po  sitif 17, conducteur 18, jonction 19, conducteur 21,  contact 14' associé à la touche   lettres   mainte  nant fermé, conducteur 26, redresseur 27, conduc  teur 23, redresseurs 24 et 25 et conducteurs 15-1 et  15-2. En outre, il s'établit le circuit suivant: con  ducteur 26, redresseur 28, conducteur 29, redres  seurs 31 et 32 et conducteurs 15-3 et 15-4, respec  tivement. Il     s'établit    encore le circuit suivant: con  ducteur 26, redresseur 33, conducteur 34, redres-         seur    35 et conducteur 15-5.

   Dans     le    convertisseur  16 à diodes, les redresseurs sont disposés de manière  à former des circuits servant à appliquer des impul  sions de travail aux conducteurs de     sortie    15-1 à  l5-5, conformément au code Baudot bien connu.  



  Le contact 36 assurant la mise en route du trans  metteur électronique 12 et le contact 37 de libéra  tion d'un dispositif d'emmagasinage dans la partie  réceptrice sont fermés par la     man#uvre    de chacune  des touches représentant un caractère ou un signe  spécial, ces touches     faisant    également     fonctionner    le  convertisseur 16 à diodes.

   Lorsque le contact 36 se  ferme, il s'établit le circuit suivant. pôle positif 17,  conducteur 18, jonction 19, conducteur 38, jonction  39, contact 36     (maintenant    fermé), conducteurs 41  et 42, circuit     bistable    de commande de       départ       (qui sera décrit plus loin) du transmetteur électroni  que 12, qui met en fonctionnement un dispositif  électronique dans la     partie    réceptrice.

   Lorsque le  contact 37 se ferme, il s'établit le circuit suivant  pôle positif 17, conducteurs 18, 38, 43 et 44, con  tact 37     maintenant    fermé, conducteurs 45 et 46 ;  ceci dégage le caractère précédent du circuit     d7em-          magasinage    du transmetteur électronique 12,     comme     on le verra plus loin.  



  Un. contact 47 correspondant à une touche dite  de répétition, est fermé lorsqu'elle est abaissée et fait  répéter automatiquement le dernier caractère trans  mis tant que cette touche est maintenue en fonction  nement. Lorsque le contact 47 se ferme, il     s'établit     le circuit suivant: pôle positif 17, conducteurs 18,  38 et 43,     jonction    48, contact 47 maintenant fermé  et conducteurs 49 et 51 allant à un circuit de répéti  tion (qui sera décrit plus loin) du transmetteur élec  tronique 12.  



  Un contact 52 correspondant à la touche   es  pace  , lorsqu'il est actionné, provoque l'émission  d'un signal d'espacement continu sur la     ligne    53.  Lorsque le contact 52 est fermé, il s'établit le cir  cuit suivant: pôle négatif 54, conducteur 55, con  tact 52 maintenant fermé et conducteurs 56 et 57  allant au transmetteur électronique 12, la fermeture  de ce circuit provoquant l'émission, par le relais de  ligne de ce transmetteur, d'un signal d'espacement  continu sur la ligne 53.  



  Un aimant 58 de blocage du clavier empêche,  par l'intermédiaire d'un étrier de blocage 87     (fig.    8)  d'abaisser une deuxième touche pendant que le ca  ractère représenté par la première touche est en  cours de transmission. Cet aimant 58 est désexcité  immédiatement après que l'impulsion de code No 5  a été transmise, de sorte que l'on peut abaisser une  deuxième touche pendant l'intervalle de temps où  se produit l'impulsion d'arrêt. L'aimant 58 est dis  posé dans le circuit suivant: pôle négatif 59, conduc  teur 61, bobine de l'aimant 58 et conducteurs 62 et  63 allant à un dispositif de commande (qui sera dé  crit plus loin) du transmetteur électronique 12.  



  Les temps de fonctionnement du contact 37, des  contacts 14 et du contact 36 sont tels que le contact      37 se ferme d'abord, celui des contacts 14 qui est  actionné ensuite et le contact 36, en dernier lieu.     Il     est absolument nécessaire que le contact 37 se ferme  avant les contacts 14. Par contre, le temps qui  s'écoule entre la fermeture des contacts 14 et du  contact 36 n'est pas critique. Si cela était nécessaire,  le contact 36 et le contact 14 pourraient se fermer  à peu près     simultanément.     



  Le dispositif électronique de réception 65     (fig.    2)  reçoit les signaux complets avec leurs éléments  départ-arrêt à partir du transmetteur, par la ligne  53, et il convertit ces signaux en signaux à cinq élé  ments.  



  Les impulsions de code sont appliquées depuis  ses sorties 66 à trois unités 67, 68 et 69 d'emmaga  sinage et de reconnaissance des caractères et aussi à  une unité de commande 71. L'impulsion d'arrêt va  aussi séparément par le conducteur 72 à l'unité de  commande 71. Les unités 67, 68 et 69 d'emmagasi  nage et de reconnaissance des caractères sont identi  ques et, comme on le voit à la     fig.    4, elles compren  nent six éléments d'emmagasinage 73, six circuits de  comparaison d'éléments de caractères et un distribu  teur 74 à 25 éléments. Les blocs 75 du distributeur  représenté sont numérotés à la     fig.    4 comme ils le  sont en réalité dans l'unité 67 dans laquelle les nom  bres correspondent à des positions d'impression de  caractères avec lesquels l'unité 67 est associée.

   L'uni  té 68 comporte les nombres 2, 5, 8, 11, etc., et  l'unité 69 comporte les nombres 3, 8, 9, 12, etc. La  fonction générale des unités 67, 68 et 69 est de rece  voir la combinaison de code venant du dispositif  électronique de réception 65, de reconnaître le ca  ractère et d'envoyer une impulsion d'allumage au  circuit approprié d'impression à thyratrons, comme  on le verra plus loin.  



  Des impulsions individuelles de transfert et de  commande sont envoyées aux distributeurs 74 des  unités 67, 68 ou 69 à partir de l'unité de commande  71. L'impulsion de transfert provoque en outre l'em  magasinage du caractère, et l'impulsion de com  mande du distributeur, en actionnant celui-ci, ferme  le circuit d'impression du thyratron approprié.  



  L'unité de     commande    71     (fig.    5) détermine celle  des unités d'emmagasinage 67, 68 ou 69 qui doit  emmagasiner les impulsions de code venant du dis  tributeur 65. Par exemple, le premier caractère d'une  ligne d'impression est emmagasiné dans l'unité 67,  le deuxième dans l'unité 68 et le troisième dans  l'unité 69. Avant de recevoir le quatrième caractère,  le premier caractère est imprimé et l'unité 67 est  libérée. Par suite, le quatrième caractère est emma  gasiné dans l'unité 67. Toute opération se produisant       dans    l'unité de commande 71 commence par la ré  ception, par le conducteur 72     (fig.    2) de l'impulsion  d'arrêt venant du distributeur 65.  



  De plus, l'unité de commande 71     (fig.    5) émet  des signaux assurant l'exécution de différentes opéra  tions correspondant aux signes spéciaux, à savoir  lettres, chiffres, retour du chariot, espace, blanc,    avance de     ligne,    arrêt du moteur et sonnerie.     D@au-          tres    opérations peuvent être effectuées à savoir  double avance de     ligne,    retour automatique du cha  riot avec une avance de     ligne.    Le passage des lettres  aux chiffres s'effectue en ajoutant une sixième im  pulsion à chaque caractère à la suite de la réception  du signe correspondant.

   Cette sixième impulsion va  à l'élément 73 d'emmagasinage No 6     (fig.    4) des uni  tés d'emmagasinage 67, 68 et 69 et en fait, elle mo  difie le signal du code à cinq unités en un signal à  six unités. Tous les signaux spéciaux, signal espace  inclus, ne doivent pas être emmagasinés dans les       unités    67, 68, 69 et à l'exception du signal espace  ils ne doivent pas commander le distributeur 74  correspondant. Ainsi les signaux spéciaux ne provo  quent pas d'impression, mais un espace est introduit  après la réception d'un signal   espace  .  



  Le rôle du compteur binaire 77 représenté à la       fig.    2 est de faire     connaitre    aux unités 67, 68 et 69  le     caractère    de la roue des caractères qui est en po  sition d'impression. Des impulsions de commande,  provenant de la roue 123     (fig.    2) portée par l'arbre  102 de la roue des caractères 101     (fig.    13), action  nent le compteur binaire 77 à six étages représenté  schématiquement à la     fig.    6.

       Pendant    un tour de la  roue à caractères, soixante-trois impulsions de comp  tage sont engendrées (comme on le verra plus loin)  à savoir cinquante-deux impulsions pour les cin  quante-deux positions des caractères sur la roue à  caractères, dix impulsions pour les signes spéciaux  pour lesquels il n'y a pas de place prévue sur la roue  à caractères, et une impulsion pour remettre à zéro  le compteur binaire 77. Aucune impulsion n'est pré  vue pour le signe   blanc   et le signe   lettres   qui  sont prévus dans le code Baudot et qui apparaissent  respectivement au commencement et à la fin du cy  cle de reconnaissance des caractères, car aucune de  ces deux impulsions ne joue un rôle utile et au     lieu     de ces signes est prévue une impulsion de mise au  zéro.  



  Les caractères de la roue des caractères sont dis  posés de manière telle que leurs combinaisons de  code correspondantes se suivent dans le même ordre  que les chiffres binaires normaux. Les     fig.    7 et 7A  représentent les caractères, leurs combinaisons de  code et l'ordre dans lequel ils se suivent. Pendant  chaque tour de la roue des caractères, le compteur  binaire est actionné pour produire les combinaisons  de code des caractères lorsque ceux-ci arrivent en  position d'impression. Les tensions de sortie du  compteur binaire 77 sont appliquées aux unités d'em  magasinage et de reconnaissance des caractères 67,  68 et 69.

   Lorsque les combinaisons de code emma  gasinées correspondent aux combinaisons de code du  compteur binaire 77, les circuits de     reconnaissance     des caractères engendrent une impulsion qui rend  conducteurs les circuits 78, 79 et 81 d'impression à  thyratrons, comme on le verra plus loin.  



  Un   compteur binaire   est un dispositif qui  n'utilise que deux chiffres. Ces chiffres sont   zéro        (0) et   un   (1). Ci-dessous est comparé le système       binaire    avec le système décimal qui utilise dix chif  fres pour exprimer des nombres  
EMI0004.0002     
  
    Système <SEP> décimal <SEP> Système <SEP> binaire
<tb>  0 <SEP> 0
<tb>  1 <SEP> 1
<tb>  2 <SEP> 10
<tb>  3 <SEP> 11
<tb>  4 <SEP> 100
<tb>  5 <SEP> <B>101</B>
<tb>  6 <SEP> 110
<tb>  7 <SEP> 111
<tb>  8 <SEP> 1000
<tb>  9 <SEP> 1001
<tb>  10 <SEP> 1010       Chaque étage du compteur binaire ne peut être  que dans l'un des deux états   0   ou   1  . Un  compteur binaire à deux étages peut représenter des  nombres 0, 1, 2 et 3 ou, en d'autres termes, il peut  représenter quatre combinaisons possibles.

   Un comp  teur à cinq étages peut représenter 32 combinaisons  et un compteur à six étages 64 combinaisons. D'une       manière    générale, le   1   dans la notation binaire  correspond à une impulsion de travail dans le code  télégraphique et le   0   correspond à une impulsion  de repos. Le circuit électronique du compteur bi  naire 77 est représenté aux     fig.    32, 33 et 34 que  l'on décrira plus loin.  



  Les circuits d'impression à thyratrons     (fig.    2)  comprennent trois unités, 78, 79 et 81, chacune  d'elles contenant 25 circuits d'impression à     thyra-          trons.    Les vingt-cinq circuits de l'unité 78 excitent  les aimants 121 qui     commandent    l'impression dans  les positions de     ligne        Nos    1, 4, 7, etc., jusqu'à 73,  les vingt-cinq circuits de l'unité 79 excitent les ai  mants 121 qui commandent l'impression dans les  positions de ligne     Nos    2, 5, 8, etc.,

   jusqu'à 74 et les       vingt-cinq    circuits de l'unité 81 excitent les aimants  121 qui commandent l'impression dans les positions  de ligne     Nos    3, 6, 9, etc., jusqu'à 75.     Etant    donné  qu'on a prévu 75 circuits d'impression à     thyratrons     et 75 aimants de     commande    d'impression, la lon  gueur d'une     ligne    est déterminée par 75 caractères.  Les impulsions de commande d'impression prove  nant de l'unité 67 vont aux vingt-cinq circuits d'im  pression à     thyratrons    de l'unité 78.

   Le     thyratron    par  ticulier qui doit être allumé par une impulsion de  reconnaissance d'un caractère est sélectionné par le  distributeur 74 de l'unité 67. Les unités d'emmaga  sinage et de reconnaissance des     caractères    68 et 69  sont associées aux unités 79 et 81, respectivement.  En plus des circuits d'impression à thyratrons, l'unité  79     comporte    un     circuit    supplémentaire de sonnerie  à thyratron et l'unité 81     comporte    deux thyratrons  supplémentaires formant un circuit d'avance de li  gne.

   Si on le désire, il peut être prévu un circuit sup  plémentaire d'impression à thyratron dans chaque  unité en vue d'augmenter la longueur de     ligne    75 à  78 caractères.    On va maintenant décrire de façon détaillée le  clavier, l'imprimeur sur page et ses circuits électro  niques.  



  <I>Clavier</I>  En se reportant à la     fig.    8, on voit que les tou  ches 13 du clavier coulissent     verticalement    et pivo  tent sur des leviers de     manoeuvre    associés 82, qui  sont montés sur un arbre commun 83 formant pivot.  Un mécanisme de blocage à billes 84, bien connu,  sert à bloquer une touche en empêchant d'abaisser  plus d'une touche à la fois. Les leviers 82 sont nor  malement sollicités en sens inverse des aiguilles d'une  montre par des     ressorts    85 et chaque     levier    82 est  muni, au voisinage de son extrémité de gauche, d'une  saillie 86 qui coopère avec l'aile supérieure d'un  étrier 87.

   Lorsqu'une touche 13 est abaissée, son  levier associé 82 tourne dans le sens des aiguilles  d'une montre et sa saillie 86 vient frapper l'aile su  périeure de l'étrier 87 en faisant tourner ce der  nier en sens inverse des aiguilles d'une montre. L'ex  trémité 90 du levier 82 est formée de manière qu'elle  puisse être bloquée par l'aile inférieure de l'étrier 87.  Ainsi, en actionnant une touche 13, les autres tou  ches sont empêchées de fonctionner, le levier 82  étant bloqué en position de fonctionnement par l'aile  inférieure de l'étrier 87. Ce     dernier    est     normalement     sollicité à tourner dans le sens des aiguilles d'une  montre par son ressort 88.  



  L'armature 89 de l'aimant de blocage 58 du cla  vier aimant, monté sur une base 91, est portée par  l'étrier 87. Sur l'étrier 87 sont montés côte à côte  deux organes 92 et 93 qui commandent respective  ment un contact 36 de commande de la mise en  route et un contact 37 de libération d'un circuit  d'emmagasinage du     transmetteur    12. Le contact 37  est fermé le premier par le dispositif 93 et le con  tact 36 est fermé le dernier par le dispositif 92.  Un moteur 94 est monté sur la base 91.  



  Le     convertisseur    à diodes 16 est composé de  plusieurs diodes au silicium montées sur deux pla  ques 95 et 96 placées l'une au-dessus de l'autre et  disposées dans le compartiment arrière de gauche  de la base 91. Les leviers 82, lorsqu'ils sont action  nés par les touches     correspondantes    13, agissent sur  les organes de commande 97 de manière à fermer les  contacts 14. Les trente-deux entrées du convertis  seur 16 sont reliées aux contacts 14 des leviers à  l'aide d'un câble 98 monté le long du côté gauche  intérieur de la base 91.  



  En abaissant une touche 13 on produit un si  gnal de sortie correspondant à un caractère particu  lier. L'abaissement d'une touche produit une rota  tion du levier 82 associé autour de l'arbre 83. Lors  que le levier 82 a tourné d'un angle de 30 par  exemple, il vient en contact avec l'étrier 87. L'étrier  87 en tournant ferme les contacts 36 et 14.  



  Lorsque l'étrier 87 a tourné par exemple de     10o     à     partir    de sa position initiale, le contact 37 est      fermé par l'organe     correspondant    93, et une impul  sion positive est émise. Cette impulsion     sert    à reti  rer du circuit     d'emmagasinage    du     transmetteur    12, le  caractère précédent comme on le verra ci-après.  Lorsque l'étrier a tourné par exemple de 150, le le  vier sélectionné 82 ferme son     contact    14 et une im  pulsion positive est appliquée à l'entrée correspon  dante du convertisseur 16.  



  Lorsque l'étrier 87 a tourné par exemple de 250,  le contact de commande de départ 36 est fermé par  son organe 92 et une impulsion positive est appli  quée au dispositif d'emmagasinage     bistable    de com  mande du     départ    comme on le verra ci-après. Ceci  met en route le transmetteur 12, lequel . à son tour  excite l'aimant de blocage 58.

   Lorsque l'étrier 87  est ainsi bloqué, le levier sélectionné 82 reste blo  qué dans la position atteinte par rotation dans le sens  des aiguilles d'une montre, par la     saillie        inférieure     de l'étrier 87 coopérant avec la surface de l'extré  mité 90 du levier 82, jusqu'à ce que le transmetteur  achève la transmission du caractère correspondant au  levier 82 sélectionné et désexcite l'aimant de blocage  58. A ce moment, le ressort 85 du levier 82 et le  ressort 88 de l'étrier 87 ramènent le mécanisme dans  sa position initiale où il est prêt pour la sélection  suivante.  



  Les durées des impulsions positives engendrées  par la fermeture des contacts 37, 14 et 36 dépendent  du temps pendant lequel la touche 13 reste abaissée.       Des    condensateurs de couplage sont disposés entre  les contacts et les circuits correspondants du trans  metteur de sorte .qu'il ne se produit une impulsion  positive qu'au moment de la     fermeture    de chaque  contact. Ceci permet à l'opérateur de cesser à vo  lonté d'appuyer sur la touche après qu'elle a été  initialement abaissée. Si la transmission du carac  tère doit être répétée, l'opérateur doit     libérer    la tou  che et appuyer de nouveau sur elle. Le     dispositif    de  blocage à billes 84 empêche d'abaisser plus d'une  touche à la fois.  



  Une touche de répétition est associée à un levier       court    82 qui n'est pas muni d'une saillie 86. Le seul  rôle du levier 82 associé à cette touche est de fer  mer le contact 47     (fig.    1) qui est disposé et ac  tionné de la même manière que les contacts 14 et  ceci applique une impulsion positive aux circuits de  répétition du transmetteur 12. Le dernier caractère  emmagasiné dans le transmetteur 12 est alors répété  automatiquement tant que la touche de répétition  est     maintenue    abaissée.  



  Une touche   espace   est associée à un levier       court    82 dont le rôle est de     fermer    le contact   es  pace   52     (fig.    1) qui est analogue aux contacts 14.  Lorsque le contact 52 est fermé une impulsion posi  tive est     appliquée    au circuit du relais de     ligne    du  transmetteur 12, de     sorte    que le transmetteur envoie  un signal d'espacement tant que la touche   espace    est maintenue abaissée.

      <I>Dispositif d'impression</I>  En se reportant aux     fig.    9 à 13, on voit le dis  positif     d'impression    sur page, celui-ci comporte une  roue multiple à caractères (101), une série de mar  teaux imprimeurs 107     (fig.    10), une roue d'entraîne  ment 113 des marteaux d'impression, un dispositif  d'avancement du papier     (fig.    9), un     dispositif    d'avan  cement du ruban     (fig.    11) et un générateur d'impul  sions     (fig.    12 et 13) associé à l'arbre 102 de la roue  des caractères.  



  La roue 101 est composée de 75 (ou 78) roues  identiques, calées sur l'arbre 102 et tournant avec  lui à une vitesse déterminée. Chaque roue élémen  taire comporte cinquante-deux champs de carac  tères 104 sur son pourtour et elle est calée sur l'ar  bre de façon que les champs de caractères corres  pondants des roues élémentaires successives soient  en     alignement    dans une direction parallèle à l'axe  de l'arbre 102.  



  Le papier 103 avance grâce au dispositif qui sera  décrit plus en détail ci-dessous, de manière à être  tangentiel au pourtour de la roue multiple 101, le  ruban encré 106 est placé entre le papier 103 et les  marteaux 107.  



  A chacune des roues élémentaires est associé un  mécanisme d'impression à marteau     (fig.    10). Pour  plus de clarté, on ne décrira qu'un seul de ces mé  canismes mais en fait il y en a     soixante-quinze    (ou  78). Deux cadres de guidage 108 des marteaux d'im  pression sont montés sur le châssis de l'imprimeur  sur page et les     marteaux    107 coulissent dans ceux-ci.       Chaque    marteau 107 est maintenu en position de  retrait par un     ressort    109.  



  Dans chaque mécanisme d'impression à marteaux,  un     cliquet    111 pivote en 114 sur une pièce intermé  diaire 116 pouvant glisser, laquelle à son tour est  articulée sur     une,    extrémité d'un prolongement 117  d'une armature. Ce prolongement 117 est monté de  manière qu'il se déplace avec cette armature (118)  qui pivote et qui est associée à un aimant 121 de  commande de l'impression, cette armature a ten  dance à tourner normalement en sens inverse des       aiguilles    d'une montre sous l'action de son ressort  119, lorsque l'aimant 121 n'est pas excité.

   La roue  113, qui comporte des dents 115, est placée     au-          dessus    d'un prolongement 112 du     cliquet    111 et elle  tourne à une vitesse constante. Le rapport des vi  tesses de rotation de la roue 113 et de la roue 101  est tel qu'une dent passe     devant    le prolongement  112 du cliquet chaque fois qu'un caractère 104 de  la roue     passe    devant le marteau 107     correspondant.     



  En se reportant aux     fig.    12 et 13, on voit qu'une  roue 123 est calée sur     rarbre    102 de la roue     des     caractères 101. La roue 123 comporte trois rangées  de dents 124. Un dispositif magnétique de lecture  126 est associé à chacune des rangées de dents et il  est relié au compteur     binaire    77 (qui sera décrit plus  loin) pour lui fournir des impulsions. La rangée in  térieure comporte cinquante-deux dents équidistantes      correspondant aux emplacements des caractères sur  la roue multiple 101. La rangée médiane comporte  neuf dents servant à fournir des impulsions supplé  mentaires pour faire franchir au compteur binaire  les combinaisons de code qui ne correspondent pas  à des caractères à imprimer.

   La rangée extérieure  comporte une dent dont le rôle est de ramener le  compteur binaire à zéro au moment voulu de cha  que cycle d'impression.  



  En se reportant à la     fig.    11, on voit un arbre  136 servant à entraîner le     ruban    encreur 106 ; cet  arbre est monté dans le châssis de l'imprimeur sur  page, de manière à tourner continuellement sous la  commande de l'arbre de la roue des caractères, par  exemple au moyen d'une chaîne montée entre cet  arbre et une poulie 137 du type à roue dentée calée  sur l'arbre 136. Une armature 138 commande la po  sition de l'arbre 136, en 139, et elle peut pivoter sur  le châssis en 141 de manière à tourner dans le sens  des aiguilles d'une montre sous la commande d'un  aimant 142, ou en sens inverse sous la commande  d'un aimant 143.

   L'excitation de l'aimant 142 fait  tourner l'armature dans le sens des aiguilles d'une  montre en déplaçant ainsi l'arbre 138 vers la droite ;  une roue dentée 144 est alors en prise avec une  roue dentée 133 portée par un arbre 131 pour faire  tourner une (128) des bobines de support du ruban.  L'arbre 136 est maintenu dans la position qu'il oc  cupe grâce à un levier 146     coopérant    avec un galet  147. Lorsque l'aimant 143 est excité, la bobine de  droite 129 est mise en rotation de la même façon  que la bobine 128 du fait du déplacement de l'arma  ture 138 en sens inverse des aiguilles d'une montre,  ce qui déplace l'arbre 136 vers la gauche en mettant  en prise une roue dentée de droite 145 avec une  roue 133 portée par l'arbre 132 de la bobine, ce qui  inverse le sens de marche du ruban.  



  Cette inversion du sens de marche est obtenue  par excitation de l'aimant 142 ou 143. A chaque       aimant    est associé un interrupteur 148 normalement       ouvert    et un levier fourchu 149 dans lequel passe le  ruban. Lorsqu'un organe d'inversion de sens de mar  che du ruban vient toucher le levier 149, ce     dernier     ferme l'interrupteur 146 associé de     sorte    que l'ai  mant associé est excité. L'arbre 136 est ainsi dé  placé de manière à inverser le sens d'avance du ru  ban.

   Lorsque l'organe d'inversion s'écarte du levier  149, ce     dernier    revient en position normale sous  l'action d'un     ressort    associé (non représenté) et l'in  terrupteur 148 s'ouvre pour désexciter l'aimant.  



  Le mécanisme d'avancement du papier est repré  senté à la     fig.    9. Le papier 103 est emmagasiné sur  une bobine 151 montée sur un arbre 152. L'arbre  152 est porté par une console 153 et il est muni à  une extrémité d'un tambour de frein 154 sur lequel  presse un sabot 156 qui coopère avec un     ressort    157  et un levier 158. Le frein a pour but d'empêcher la  bobine de se dérouler plus qu'il ne le faudrait. Le  papier 103 passe sous un rouleau 159 porté par l'ex  trémité d'un levier 161 mis sous tension par un res-    sort 163 de sorte que le papier 103 est constamment  tendu.  



  Le levier 161 comporte une surface     courbe    162  qui coopère avec un galet porté par l'extrémité infé  rieure du levier 158, pour laisser le papier se dérou  ler avec des vitesses différentes.  



  Le papier passe depuis le rouleau 159 sur un       premier    cylindre 164 et ensuite sous un     cylindre    166  puis il traverse un guide inférieur 167, passe sur un  guide supérieur<B>168</B> et sur une bobine 169. Le pa  pier est maintenu en contact avec cette bobine 169  par des cylindres 171 et 172 qui exercent une pres  sion sur la bobine 169 grâce à un     ressort    173 exer  çant son action par l'intermédiaire d'un levier 174.  



  Le papier avance du fait de la rotation de la bo  bine 169 qui est actionnée par deux     cliquets    176  pivotés sur des cames et montés tangentiellement par  rapport à une roue dentée 177 d'entraînement de la  bobine 169, roue dentée qui est calée sur l'axe de  cette bobine. Un embrayage 178 d'avance de ligne  qui dans l'appareil représenté est un embrayage à six  butées, est monté sur un arbre 179. L'arbre 179 est  actionné, par exemple, par l'arbre 102 de la roue des  caractères.  



  L'avance de ligne a     lieu    lorsqu'un aimant 181  est momentanément excité par l'unité de commande  71 (que l'on va décrire plus loin) au moyen d'un  signal   avance de ligne  . Lorsque l'aimant 181 est  excité, son armature 182 se rapproche de lui-même,  en faisant ainsi tourner dans le sens des     aiguilles     d'une montre un levier 183 de déclenchement de  l'embrayage, contre l'action du     ressort    184, de sorte  que l'embrayage 178 peut     tourner.    L'aimant 181  n'étant excité que pendant une courte durée, le le  vier 183 revient dans sa position de blocage sous  l'action du ressort 184, avant que l'embrayage 178  ait fait 1l6 de tour, ce qui fait que l'embrayage se  débraye après 1l6 de tour.  



  La rotation de l'embrayage 178 actionne les     cli-          quets    176 de manière à faire tourner la     bobine    169  d'un petit angle, en faisant ainsi progresser le pa  pier 103.  



  En fonctionnement, la roue des caractères 101       (fig.    10 et 13) tourne à une vitesse constante, et la  roue<B>113</B> tourne à une vitesse qui est     proportionnelle     à celle de la roue 101 ; une des dents 115 de la  roue 113 est dans une position dans laquelle un mar  teau 107 peut être actionné chaque fois que l'un des  caractères se trouve dans la position d'impression.  Comme on va le voir, le compteur binaire 77 pro  duit des signaux de code en relation avec les impul  sions venues de la roue<B>123</B>     (fig.    12). Grâce à ces  impulsions le fonctionnement du compteur binaire  est rendu dépendant de la position momentanée de  la roue des caractères.

   D'autres circuits des unités  d'emmagasinage et de reconnaissance des caractères  67, 68 et 69, déterminent la position sur la ligne à  imprimer et excitent l'aimant approprié 121 au mo  ment voulu de la rotation de la roue des caractères.      Lorsque l'aimant approprié 121 est excité, il at  tire momentanément son armature 118 contre l'ac  tion du ressort 119. Lorsque l'armature 118 se rap  proche de l'aimant 121, son prolongement 117 se  déplace avec elle en soulevant la pièce     intermédiaire     116. Le     cliquet    111 du marteau d'impression corres  pondant se soulève également jusqu'à ce qu'un épau  lement 110 de la pièce intermédiaire 116 vienne tou  cher une butée du châssis 120.

   L'impulsion appliquée  à l'aimant 121 est d'une durée telle que l'aimant soit  désexcité avant que la montée de la pièce 116 et  du cliquet 111 soit terminée. A la fin de la montée,  le prolongement 112 du cliquet 111 est sur le par  cours d'une dent 115 de la roue 113, de sorte que  le cliquet 111 pivote en sens inverse des aiguilles  d'une montre et frappe un prolongement 122 du mar  teau 107 et déplace ce dernier vers la gauche de  sorte que le marteau 107 frappe le ruban 106 et  l'applique sur le papier 103 qui est pressé contre le  caractère choisi de sorte que ce caractère est im  primé sur le côté du papier     tourné    vers le ruban.

   Les  masses relatives du cliquet 111 et du marteau 107  sont telles que la plus grande partie de l'inertie du  cliquet 111 est utilisée pour déplacer le marteau 107,  de     sorte    que le déplacement principal du cliquet 111  après avoir frappé le marteau 107 s'effectue d'abord  vers le bas sous l'action du ressort 119, puis vers la  droite sous l'action du ressort 127, de     sorte    qu'il n'y  a pas collision avec la roue 113. Un levier d'arrêt  125 et des vis de réglage 130 permettent de modifier  la position du cliquet 111.

      <I>Circuits du transmetteur</I>  Dans les circuits du transmetteur 12 représentés  aux     fig.    14, 15 et 16, chacun des conducteurs 15-1  à 15-5 est relié à un circuit d'emmagasinage     bistable     comprenant deux transistors à     jonctions.    Ces trans  istors sont du type     pnp    et ils portent les indices  200 à 209.  



  Chacun des collecteurs de ces transistors 200 à  209 est relié au pôle négatif d'une batterie par une  résistance correspondante et leurs émetteurs sont re  liés par une résistance commune à la terre. Les bases  de ces transistors sont reliées à des sources de poten  tiel négatif qui sont les mêmes que celles des collec  teurs des transistors associés 205 à 209. Les bases  des transistors 200 à 204 sont     portées    à un potentiel  plus négatif que leurs émetteurs, de sorte que ces  transistors sont normalement conducteurs. Les trans  istors 205 à 209 sont normalement non conducteurs  du fait que leurs bases sont plus positives que leurs  émetteurs.  



  Lorsqu'un signal est appliqué sur les conduc  teurs 15-1 à 15-5, à la suite de l'abaissement d'une  touche 13, l'apparition d'une impulsion de repos  sur le conducteur 15-1 n'affecte pas la     conductibi-          lité    du transistor 200. Si une impulsion de travail  apparaît sur le conducteur 15-1, le potentiel de la  base du transistor 200 augmente et cette augmenta  tion de potentiel rend ce transistor non conducteur.    Lorsque le     transistor    200 est non conducteur, le po  tentiel de son collecteur tombe et cette chute de po  tentiel est appliquée à travers une résistance 211 à  la base du transistor 205, en rendant ainsi le trans  istor 205 conducteur. Lorsque le transistor 205 est  conducteur, le potentiel de son émetteur tombe.

   Les  émetteurs des transistors 200 et 205 sont reliés en  semble. De même le     collecteur    du transistor 205 est  relié à la base du transistor 200. Ainsi, le transistor  200 ne devient pas conducteur lorsque l'impulsion  de travail n'est plus appliquée au conducteur 15-1.  Lorsque des impulsions de travail ou de repos sont  appliquées sur les conducteurs 15-2, 15-3, 15-4 et  15-5, les circuits d'emmagasinage     bistables    qui leur  sont associés fonctionnent en conséquence. Les cir  cuits d'emmagasinage     bistables    fonctionnent donc  conformément au signal appliqué sur les conduc  teurs 15-1 à 15-5 et ils emmagasinent le signal reçu  pendant un certain temps.  



  Un circuit     bistable    212-213     (fig.    14) de com  mande du départ comporte deux transistors 212 et  213. Le transistor 212 est normalement conducteur  et le transistor 213 est normalement non conducteur.  En fermant le contact 36 on applique une impulsion  de commande de départ au transistor 212. En outre,  dans l'état neutre des circuits du transmetteur, un  oscillateur départ-arrêt 210     (fig.    16), est bloqué. A  la     fig.    15, on voit aussi un distributeur départ-arrêt  qui comporte des transistors 233 à 239. Le trans  istor 239 qui engendre l'élément d'arrêt est conduc  teur à l'état neutre du transmetteur.

   Dans ces con  ditions, l'amplificateur de sortie qui comporte deux       transistors    261 et 262 envoie un signal de travail  permanent au circuit 264 qui comporte un relais.  



  Lorsqu'une touche 13 correspondant à un carac  tère du clavier 11 est abaissée, les contacts 37 de       libération    de l'emmagasinage se ferment pour en  voyer une impulsion positive de     libération    des cir  cuits     d'emmagasinage    aux bases des transistors de  droite 205 à 209, afin de     libérer    le dernier carac  tère     emmagasiné.    Ensuite, le contact 14     (fig.    8) asso  cié à la touche abaissée se ferme et les impulsions  de code sont appliquées par le convertisseur 16 à  diodes sur les bases des transistors de gauche 200 à  204, et le caractère est emmagasiné dans les circuits  d'emmagasinage     bistables    200 à 209.

   Les tensions  de sortie des circuits     d'emmagasinage        bistables    sont  prélevées sur les transistors 205 à 209. Ces tensions  de sortie (-7 volts pour une     impulsion    de travail et  -17 volts pour une impulsion de repos) sont     appli-          quées    aux circuits sélecteurs 241 à     2.45    qui trans  mettent celui des potentiels appliqués aux diodes for  mant le circuit     correspondant,    qui est plus élevé.  Ces circuits sélecteurs seront nommés par la suite    circuits sélecteurs   Et    .  



  Le rôle du circuit de     commande    de départ 212  213 est d'actionner l'oscillateur     départ-arrêt    210.  L'impulsion de     commande    de départ engendrée par  la fermeture du contact 36 est une     impulsion    posi  tive. Cette impulsion est     appliquée    sur la base du           transistor    212. Cette base est en outre reliée à     un     condensateur 214     associé    à un circuit de répétition  215 qui sera décrit plus loin.

   Lorsque le circuit       bistable    de commande du     départ    212-213 est ac  tionné, le collecteur du transistor 212 devient plus  négatif (-17 volts) et une tension de sortie est appli  quée à un circuit sélecteur 216 dont on verra le rôle  plus loin. Le circuit 216 est un circuit qui     transmet     celui des potentiels     appliqués    aux diodes     formant    ce  circuit qui est le plus haut. Ce circuit sera nommé  par la suite   circuit sélecteur   Ou    . Ce circuit  est un circuit- sélecteur   Ou   pour un potentiel dé  terminé (-7 volts) et il est un circuit sélecteur   Et    pour un potentiel différent (-17 volts). L'autre entrée  du circuit 216 est normalement portée à un potentiel  -17 volts (par exemple).

   Le potentiel de sortie du  circuit 216 est     appliqué    à un circuit sélecteur 217  de     commande    du     départ    ayant pour rôle d'actionner  l'oscillateur 210. La tension de sortie du circuit 217  est égale à -17 volts lorsqu'une des tensions d'entrée  est égale à -17 volts et elle est     appliquée    à un trans  istor 218 d'un circuit de commande de l'oscillateur  210, circuit comprenant des transistors 218, 219 et  221. L'oscillateur 210     fonctionne    lorsque la tension  d'entrée appliquée aux circuits de commande (218)  est égale à -17 volts.  



  La tension de sortie de l'oscillateur 210 est une  onde sinusoïdale qui oscille entre -6 et     -i--5    volts.  La période d'un cycle d'oscillations correspond à la  durée d'une impulsion départ-arrêt. La vitesse d'en  registrement des mots par minute peut être modifiée  par un commutateur 222 au moyen duquel il est  possible d'introduire des inductances appropriées  223 et des capacités 224 pour former le circuit ré  sonnant adéquat pour la vitesse choisie qui peut  être par exemple de 60, 66, 75, 100, 250 ou 750  mots par     minute.    Les inductances variables 223 per  mettent un réglage précis de la fréquence. Le signal  fourni par     l'oscillateur    210 est     appliqué,    à travers  une résistance 225, à la base d'un transistor 226.

    Des     transistors    226, 227 et 228 forment des     ampli-          ficateurs        écrêteurs    que l'on utilise pour changer la  tension de sortie de l'oscillateur 210 en une onde  carrée. La tension de     sortie    du transistor 228 est  appliquée à un amplificateur 232 d'impulsions à tra  vers un circuit résonnant     comportant    une capacité  229 et une inductance 231. Ce circuit fournit une       impulsion    positive lorsque le potentiel     appliqué    par  le transistor 228 devient positif. Ces impulsions po  sitives sont appliquées à l'amplificateur 232.

   La ten  sion de sortie de l'amplificateur 232 consiste en  une série d'impulsions négatives de 10 microsecondes,  d'amplitude d'environ 12 volts, qui servent à action  ner le distributeur     départ-arrêt.    Dans celui-ci, le       transistor    233 et le circuit sélecteur associé 217 pro  duisent l'impulsion de départ.

   Les transistors 234 à  238, avec leurs circuits sélecteurs associés 241 à  245, produisent les     impulsions    de code et le trans  istor 239 produit par l'intermédiaire d'une diode 247  l'impulsion     d'arrêt.       Le distributeur départ-arrêt, contenant les trans  istors 233 à 239, est un circuit en anneau à sept élé  ments dont le premier est destiné à produire l'impul  sion de départ, dont les cinq éléments     suivants    sont  destinés à produire les impulsions de code et dont  le dernier est destiné à produire l'impulsion d'arrêt.  A l'état de repos, le transistor 239     (destiné    à pro  duire l'élément d'arrêt) est conducteur et les     six    au  tres éléments ne le sont pas.

   Les     tensions    de sortie  du distributeur sont prélevées sur les collecteurs des  transistors et elles sont, par exemple, -7 volts pour  les éléments conducteurs et -17 volts pour les élé  ments non conducteurs.  



  La première impulsion de commande qui pro  vient de 232 rend non conducteur le transistor 239  de l'élément d'arrêt et conducteur le transistor 233  de l'élément de     départ.    Le collecteur du transistor  239 est relié par les conducteurs 281 et 246 au cir  cuit sélecteur 217 de commande du     départ.    Ce trans  istor applique une tension de -17 volts (par exemple)  au circuit 217 lorsqu'il cesse d'être conducteur. Ainsi,  l'oscillateur 210 fonctionne tant que le transistor 239  fournit -17 volts. Le collecteur du transistor 239  est aussi relié à travers un redresseur 247 à la sortie  de tous les circuits sélecteurs 241 à 245.

   Ce trans  istor modifie la tension de     sortie    des circuits sélec  teurs 241 à 245 appliquée à travers le conducteur  254 au point de jonction 248 et à la résistance 249,  de -7 volts à -17 volts, en amorçant l'émission d'une  impulsion de départ. Le collecteur du transistor 233  est relié par le conducteur 251, la capacité 252 et  le redresseur 253 à la base du     transistor    213. Le  transistor 233 remet donc à l'état initial le dispositif       bistable    212-213 de commande du     départ.     



  Le transistor 233 reste conducteur en émettant  l'impulsion de     départ    et ceci jusqu'à ce que la  deuxième impulsion de commande du distributeur  départ-arrêt le rende non conducteur et rende con  ducteur le transistor 234. Les collecteurs des trans  istors 234 à 238 sont reliés aux circuits sélecteurs    Et   241 à 245.

   Au fur et à mesure que le trans  istor 234 et que chacun des transistors suivants 235  à 236 sont rendus conducteurs par une série d'im  pulsions de commande, leurs tensions de sortie et les  tensions de sortie des circuits d'emmagasinage     bista-          bles        correspondants    200 à 209 sont     sélectées    de sorte  que sur le conducteur 254 sont appliqués des poten  tiels correspondant aux éléments de code. La sep  tième impulsion de commande rend conducteur le  transistor 239 qui applique un potentiel d'arrêt de  -7 volts à travers le redresseur 247 au point de jonc  tion 285 et bloque ainsi l'oscillateur 210 à travers  le circuit sélecteur 217 de commande de départ.

   Les  tensions de     sortie    de tous les circuits sélecteurs 241  à 245 sont appliquées sur le conducteur 254 et le  signal départ-arrêt résultant est appliqué par le con  ducteur 255 et la     résistance    256 à un circuit mé  langeur constitué par le transistor 257 faisant     partie     d'un circuit amplificateur des impulsions de travail  et de repos     comportant    des transistors 257 à 259, et      aux amplificateurs à transistors 261 et 262, puis à  travers le conducteur 263 et un relais aux conduc  teurs 260 qui correspondent à la ligne 53 de la     fig.    1.  



       Comme    on l'a dit plus haut, un aimant 58 de  blocage du clavier empêche, par l'intermédiaire de  l'étrier de blocage 87     (fig.    8), d'abaisser une deuxiè  me touche pendant que le caractère correspondant à  la     première    touche est transmis. Le circuit représenté  à la     fig.    14 comporte des transistors 267 et 272 ac  tionnant l'aimant 58 lors du fonctionnement de cha  que touche 13. Le     circuit    de blocage du clavier a  pour rôle de maintenir le clavier non actif pendant  la transmission d'un caractère et de le libérer ensuite  pour transmettre le caractère suivant.

   Le transistor  267     (fig.    14) est commandé par le circuit sélecteur  de commande du départ 217     (fig.    15) par le con  ducteur 268 venant de la jonction 269. Le circuit  sélecteur 217 applique une tension de sortie de -17  volts pendant la transmission d'un caractère et de  -7 volts le reste du temps. Le potentiel de -17 volts  fourni par le circuit sélecteur 217, appliqué sur la  base du transistor 267, rend ce transistor conducteur,  de sorte que le potentiel de l'émetteur du     transistor     267 tombe à environ -17 volts.  



  Ce potentiel est appliqué à la base d'un transistor  272 qui est rendu conducteur. Le     transistor    272 ex  cite l'aimant 58 qui maintient le clavier inactif. Lors  que la tension de     sortie    du circuit sélecteur de com  mande du départ devient égale à -7 volts (au com  mencement de l'impulsion d'arrêt),     l'aimant    58 est  désexcité et le clavier est libéré.     Ceci    permet d'abais  ser la touche suivante pendant l'impulsion     d'arrêt.     



  Un circuit     univibrateur,    comportant des trans  istors 273 et 274 sert à émettre l'impulsion d'arrêt  au moment voulu. Un commutateur 275 permet d'in  troduire différents condensateurs 276 pour modifier  la durée de fonctionnement pour les différentes vi  tesses de transmission. Une impulsion positive de  déclenchement est appliquée à la base du transistor  273 à travers le condensateur 278, le redresseur 277  et les conducteurs 279 et 281, lorsque le transistor  239 devient conducteur.  



  Le circuit 273-274     fournit    deux tensions de sor  tie. Ainsi, le collecteur du     transistor    274 qui est nor  malement à un potentiel de -17 volts est relié au  circuit sélecteur 216. Le circuit sélecteur 216 est un  circuit sélecteur   Ou   dont la tension de     sortie    est  égale à -7 volts lorsque l'une ou l'autre entrée de ce  circuit est portée à un potentiel de -7 volts. On se  rappelle -que pour     actionner    l'oscillateur 210 ce cir  cuit doit fournir -17 volts. Une entrée du circuit sé  lecteur 216 est reliée au transistor 212 du circuit       bistable    212-213 de commande du départ.

   Lorsque  le circuit comportant les transistors 273, 274 et le  commutateur 275 fournit une impulsion d'arrêt, le  collecteur du transistor 274 est porté à un potentiel  de -7 volts. Ainsi, le circuit sélecteur 216 ne peut  pas fournir un potentiel de -17 volts, même si en  abaissant une autre touche on actionne le circuit         bistable    212-213 de     commande    de départ qui appli  que une tension de -17 volts à l'autre entrée du cir  cuit sélecteur 216. Ainsi, le circuit sélecteur 216  doit attendre que le circuit 273-274 soit revenu à  son état normal et, à ce moment,     il    peut fournir  une tension de -17 volts pour actionner l'oscillateur  210, pour transmettre le caractère suivant.  



  La tension de sortie du transistor 273, qui est  normalement égale à -7 volts, est appliquée au     cir-          cuit    sélecteur de répétition 215. Lorsque le circuit  273-274 fournit une impulsion d'arrêt, le potentiel  du collecteur du transistor 273 est égal à -17 volts.  Le circuit sélecteur 215 a pour rôle de retransmettre  le dernier caractère émis aussi longtemps que le con  tact de répétition 47 est fermé grâce à l'abaissement  prolongé de la touche de répétition. Le circuit sélec  teur 215 est un circuit sélecteur   Et   qui ne four  nit -7 volts que lorsque chaque entrée est portée à  un potentiel de -7 volts.

   Une entrée du circuit 215  est     reliée    au contact de répétition 47 à travers les  conducteurs 49 et 51 et l'autre entrée est reliée au  collecteur du transistor 273 à travers le conducteur  282. On se rappelle qu'un caractère reste emmaga  siné jusqu'à ce que l'abaissement de la touche sui  vante libère les     circuits        d'emmagasinage.    L'abaisse  ment de la touche de répétition ne provoque pas la  libération des circuits d'emmagasinage du     dernier     caractère transmis.  



  On peut abaisser la touche de répétition à tout  moment. Supposons qu'un caractère a déjà été trans  mis, que le dispositif 273-274 est dans son état nor  mal et que le potentiel du collecteur du     transistor     273 est     égal    à -7 volts. En abaissant la touche de  répétition, on ferme le contact 47 relié à la source  de tension 17     (-I-12    volts) et une tension de -7 volts  est     appliquée    à partir du point de jonction des résis  tances 283 et 284 à l'autre entrée du circuit sélec  teur 215, de sorte que la tension de sortie du cir  cuit sélecteur 215 passe de -17 à -7 volts.

   Ce chan  gement est     différencié        par    le condensateur 214 et  l'impulsion positive     résultante    déclenche le circuit       bistable    212-213 de commande de départ. Lorsque  le circuit 273-274 est ensuite déclenché, ce qui cor  respond au commencement de l'impulsion     d'arrêt,    le  potentiel du collecteur du transistor 273 devient égal  à -17 volts et la     tension    de sortie du circuit sélec  teur 215 devient égale à -17 volts.

   A la fin de l'im  pulsion d'arrêt, le collecteur du transistor 273 re  vient à -7 volts, en déclenchant à nouveau le cir  cuit     bistable    212-213 de commande du     départ.    Ce  cycle de     fonctionnement    continue tant que la touche  de répétition est maintenue abaissée.  



  L'abaissement de la touche   espace   provoque  la     fermeture    du contact 52     (fig.    1 et 14). Une ten  sion de -22 volts fournie par la source 54 est appli  quée à travers le contact 52     (maintenant    fermé), le  conducteur 57, le point de jonction 285 à la     sortie     des circuits sélecteurs   Et   241 à 245, en intro  duisant ainsi un signal de   repos continu  .      Si on le désire, on peut utiliser un dispositif de  lecture de bande à grande vitesse pour commander  le circuit de transmission à la place du clavier 11 ac  tionné à la main.  



  <I>Dispositif électronique de réception</I>  En se     reportant    maintenant aux     fig.    18, 19 et  20, on peut voir que les signaux reçus     arrivent    dans  un circuit 300 à travers les conducteurs 270 qui cor  respondent à la ligne 53 de la     fig.    1. Le courant de  ligne passe à travers les résistances 303 et 301, pour  un fonctionnement à 60     microampères,    ou par les  résistances 304 et 302 pour un     fonctionnement    à 20       microampères,    suivant la position du commutateur  d'entrée 305. La chute de tension aux bornes d'une  résistance 306 mesurée par un voltmètre, donne une  indication du courant de ligne.

   Le circuit 300 a pour  rôle de mettre les signaux départ-arrêt sous une  forme utilisable et d'isoler les circuits du dispositif  électronique de réception de la source de courant  continu alimentant la ligne de transmission.  



  La tension aux bornes de la résistance 301 est  égale à environ 6 volts pour un courant de     ligne    de  60     microampères.    De même la tension aux bornes  de la résistance 302 est égale à environ 6 volts pour  le courant de     ligne    de 20     microampères.    Un trans  istor 307, un enroulement 308 d'un transformateur  309 et un circuit constitué par un enroulement 311  de ce transformateur ainsi qu'un condensateur 312  forment un oscillateur. La fréquence d'oscillation est  d'environ 68 kilocycles par seconde. Il ne se produit  une oscillation que lorsqu'une impulsion de travail  est reçue, toute la puissance requise étant fournie     par     le courant de ligne.

   Les 6 volts présents aux bornes  de la résistance 301 ou 302 servent de potentiel  d'alimentation pour le circuit de collecteur du trans  istor 307. Un transistor<B>313</B> doit également être ren  du conducteur pour que le transistor 307 puisse fonc  tionner. Le transistor 313 est commandé par une  diode     Zener    314 dont la tension d'amorçage est de  3 volts ; lorsque cette diode est conductrice, un po  tentiel positif est appliqué à la base du transistor 313  et ceci rend ce dernier conducteur. Ainsi, une oscilla  tion ne prend naissance que lorsque la tension aux       bornes    des     résistances    301 et 303 ou 302 et 304 a  atteint 3 volts.

   Un régulateur de sensibilité constitué  par une résistance 310 fait varier le niveau pour le  quel le     transistor    313 peut devenir conducteur et, par  suite, le point auquel le dispositif électronique de  réception reconnaît une transition élément de     travail-          élément    de repos ou élément de repos - élément de  travail. La tension de     sortie    du circuit 300     est    trans  mise     inductivement    à un enroulement 315 du     trans-          formateur    309.  



  Le     transistor    316 fait partie d'un circuit ampli  ficateur, les transistors 317 et 318 constituent un       circuit    correcteur du signal reçu, les transistors 319  et 321     (fig.    18) servent à     éliminer    les signaux intem  pestifs et     les    faux départs, le circuit sélecteur 322  est un circuit de commande du     départ    qui alimente    les transistors 323, 324 et 325 qui commandent à  leur tour un oscillateur 326 qui, par les transistors  327 à 333 de la     fig.    19, commute les transistors 334  à 340 d'un distributeur en anneau ;

   ce dernier ali  mente les circuits sélecteurs 341 à 345 qui action  nent les circuits     bistables    d'emmagasinage 347 à 351  de la     fig.    20. En outre, les circuits des     fig.    19 et 20  sont en partie semblables à ceux correspondants des       fig.    15 et 16 ;ils fonctionnent toutefois de façon in  verse à ceux de ces dernières figures puisqu'ils reçoi  vent des éléments de code successifs et qu'ils les ai  guillent, sans les éléments départ-arrêt correspon  dants, au moyen du distributeur en anneau compre  nant les transistors 334 à 340, sur les enregistreurs  347 à 351. Ces circuits ne seront donc pas décrits  beaucoup plus en détail dans ce qui suit.  



  A la     fig.    18, on voit un commutateur 352, ana  logue au commutateur 275     (fig.    14) qui     sert    à con  necter différents condensateurs 353 de manière à  modifier la période de fonctionnement pour les dif  férentes vitesses possibles de transmission des si  gnaux. De même, à la     fig.    19, un commutateur 354,  analogue au commutateur 352     (fig.    18)     sert    à con  necter des inductances 355 avec des condensateurs  356 pour former le circuit résonnant désiré pour des  vitesses de 60 à 750 mots par minute.  



  Les tensions de sortie du circuit brièvement dé  crit consistent en dix impulsions de code (cinq im  pulsions de travail et cinq impulsions de repos) ve  nant des dix collecteurs des cinq circuits d'emmaga  sinage     bistables    347 à 351, et en une impulsion four  nie par un amplificateur à transistor 357 amplifiant  l'impulsion d'arrêt     (fig.    20). Le transistor 357 est  alimenté par un transistor 340 qui est le transistor de  l'élément du distributeur 334-340 destiné à     sélecter     l'élément d'arrêt. La tension de l'émetteur du trans  istor 357 change de -17 à -7 volts lorsque le trans  istor 340 devient conducteur.

   Cette variation de ten  sion est     appliquée    par le conducteur 370 à la borne  358 et elle est appelée   impulsion d'arrêt  . Aux  bornes 359 à 368 sont appliqués des potentiels de  code. Ces potentiels sont -7 volts pour une impul  sion de travail et -17 volts pour une impulsion de  repos aux bornes impaires et des potentiels opposés  aux     bornes    paires et ils sont utilisés pendant l'inter  valle de  l'impulsion d'arrêt   du distributeur 334  340. Les impulsions de code sont appliquées aux  trois unités d'emmagasinage et de reconnaissance des  caractères 67, 68 et 69 et à l'unité de commande 71,  comme on le verra plus loin. L'impulsion d'arrêt est  appliquée à l'unité de commande 71 (voir     fig.    2).  



  La tension de sortie de l'amplificateur 357 est  également appliquée à un amplificateur indicateur à  transistor (369). Ce dernier est conducteur pendant  l'impulsion d'arrêt de     sorte    que la lampe indicatrice  371 s'allume. Le scintillement de la lampe 371 indi  que ,que le dispositif électronique de réception reçoit  des signaux. Une     lumière    permanente indique que le  dispositif est au repos et qu'aucun signal n'est reçu.

        <I>Unités d'emmagasinage et de reconnaissance</I>  <I>des caractères</I>  Comme on l'a déjà dit au sujet de la     fig.    2, les  impulsions de code venant du dispositif électronique  de réception 65 vont aux trois unités d'emmagasi  nage et de reconnaissance des caractères 67, 68 et  69, dont le rôle principal est de recevoir les combi  naisons de code du dispositif 65, de reconnaître le  caractère à imprimer et d'appliquer une impulsion  d'allumage au circuit approprié d'impression à     thy-          ratrons,    pour effectuer l'impression. Les impulsions  de code présentes à la sortie du dispositif électronique  de réception sont     appliquées    également à l'unité de  commande 71.

   L'impulsion d'arrêt (ci-dessus men  tionnée) est appliquée par le conducteur 72     (fig.    2)  à l'unité de commande 71. Le fonctionnement des  unités 67, 68 et 69 dépend de     l'unité    de commande  71 qui détermine celle des unités 67, 68 ou 69 qui  doit emmagasiner les impulsions de code venant du  dispositif 65. Les circuits des unités 67, 68 et 69  seront décrits d'abord et ensuite les circuits de l'unité  de commande 71.  



  La vitesse de base du mécanisme imprimeur est  d'environ 250     mots/min    mais on peut obtenir une  vitesse de 750     mots/min    en emmagasinant simulta  nément trois caractères et en imprimant ces trois  caractères à des espacements d'environ 1200 sur le  pourtour de la roue à caractères. Ces trois positions  d'emmagasinage se trouvent dans les unités 67, 68  et 69 d'emmagasinage et de reconnaissance des ca  ractères. Les circuits représentés aux     fig.    23, 24, 25  et 26 correspondent à l'une quelconque des trois uni  tés 67, 68 et 69 qui sont identiques.

   La seule     diffé-          rence    est que dans l'unité 69 le 25e élément du  distributeur d'impression fournit une impulsion de  retour automatique du chariot et d'avance de ligne.  



  Aux     fig.    23 à 26, on voit six circuits     bistables     d'emmagasinage 401 à 406 qui contiennent chacun  une paire de transistors (407-408, 409-410, 411-412,  413-414, 415-416 et 417-418). A ces circuits 401 à  406, sont associés respectivement des circuits sélec  teurs d'emmagasinage 421 à 426. Les tensions d'en  trée appliquées aux six circuits 401 à 406 sont four  nies par les circuits sélecteurs correspondants 421 à  426. A chaque circuit sélecteur 421 à 426 sont ap  pliquées deux tensions d'entrée, à savoir une impul  sion de code et une impulsion de transfert. Les im  pulsions de code appliquées aux circuits sélecteurs  421 à 425 sont     fournies    par le dispositif 65.

   Une  sixième impulsion de code qui est destinée au circuit  sélecteur 426 vient de l'unité de     commande    71  (comme on le verra plus loin) et n'apparaît que pour  les   chiffres      .    Cette impulsion devient active lors  de la réception du signe   chiffres   et elle disparaît  après la réception du signe   lettres      .    Ces six impul  sions de code sont appliquées aux circuits sélecteurs  421 à 426 de chacune des trois unités 67, 68 et 69.  L'impulsion de     transfert    vient de l'unité de com  mande 71 mais ne va qu'à l'une des trois unités 67,  68 et 69.

      Dans les circuits d'emmagasinage     bistables    401  à 406, le     transistor    de gauche est normalement con  ducteur et celui de droite     normalement    non conduc  teur. Par exemple, dans le circuit 401, le potentiel  du collecteur du transistor 407 est normalement égal  à -7 volts. Ceci correspond à un élément de repos..  Pour amener le circuit à l'état correspondant à un  élément de travail, dans lequel le transistor 407 est  non conducteur (le potentiel du collecteur est alors  égal à -17 volts) et le transistor 408 est conducteur  (le potentiel de son collecteur est alors égal à -7  volts), il faut appliquer une impulsion positive à la  base du transistor 407.

   Les tensions de     sortie    des  circuits d'emmagasinage 401 à 406 sont appliquées  aux circuits sélecteurs     correspondants    431 à 436 de  reconnaissance d'impulsions.  



  Les circuits sélecteurs d'emmagasinage 421 à  426, dont les circuits     d'emmagasinage    401 à 406  reçoivent les impulsions de sortie, sont des circuits  sélecteurs   Et   ou à coïncidence. Les impulsions de  code qui sont de -7 volts pour les éléments de tra  vail et de -17 volts pour les éléments de repos et  qui proviennent des combinaisons d'impulsions de  travail et de repos appliquées aux bornes 353 à 368  de la     fig.    20 et qui sont introduites par les bornes  441 à 446 du bloc de     bornes    450, sont appliquées  aux circuits sélecteurs     'correspondants    421 à 426.  Dans le cas du circuit sélecteur 421, par exemple,  l'impulsion de code est introduite à travers le redres  seur 447.

   L'autre tension d'entrée est une impulsion  de transfert qui varie de -17 à -7 volts et qui est  fournie par l'unité de     commande    71. Cette impulsion  de transfert arrive par la borne 448 et     par    le con  ducteur 449 et, pour le circuit sélecteur 421, elle est  appliquée au redresseur 451. A la réception de cette  impulsion, les tensions de     sortie    des circuits sélec  teurs 421 à 426 dont les impulsions d'entrée corres  pondent à des impulsions de travail (-7 volts) pas  sent de -17 à -7 volts pendant la durée de l'impul  sion de transfert.

   Les impulsions positives correspon  dantes sont transmises à travers un condensateur et  une diode faisant suite au circuit sélecteur corres  pondant et actionnent les circuits d'emmagasinage  correspondants 401-406 pour les amener à l'état cor  respondant à un élément de travail.  



  Supposons que le caractère reçu correspond au       premier    caractère d'une ligne à   imprimer      .    Ce  caractère doit donc être envoyé à la première unité  67 d'emmagasinage et de     reconnaissance    de carac  tères. Le transfert s'effectue, comme on va le voir,  depuis l'unité de commande 71 à l'aide d'une impul  sion de transfert. Le deuxième caractère reçu est  transmis à la deuxième unité 68 et le troisième ca  ractère d'une ligne est transmis à la troisième unité  69.

   Ainsi, les 4e, 7e, 10e, 13e, etc., jusqu'au 73e ca  ractère de la ligne sont     transmis    à l'unité 67.     Les    5e,  8e,     11e,    etc., jusqu'au 74e sont     transmis    à l'unité 68.  Enfin, les 6e, 9e, 12e, etc., jusqu'au 75e caractère  sont transmis à l'unité 69. Ainsi, l'unité 67 reçoit  une impulsion de transfert pour les ter, 4e, etc., ca-           ractères,    l'unité 68 pour les 2e, 5e, etc., et l'unité 69  pour les 3e, 6e, etc., caractères.  



  Lorsque la combinaison d'impulsions de travail  et de repos d'un caractère a été emmagasinée dans  les circuits     bistables    401 à 406, c'est le moment de  comparer cette combinaison avec la tension de sor  tie du compteur binaire 77. Les     fig.    7 et 7A mon  trent les combinaisons d'impulsions de travail et de  repos fournies par les étages du compteur binaire 77  et elles     montrent    l'ordre dans lequel les     caractères     de la roue 101 passent aux points d'impression.  



  Il y a six circuits sélecteurs de reconnaissance  d'impulsions 431 à 436, un pour chaque élément de  la combinaison d'impulsions de travail et de repos.       Chacun    de ces circuits sélecteurs 431 à 436 com  porte deux circuits sélecteurs   Et   ou à coïncidence  et un circuit sélecteur   Ou   (pour des potentiels  allant vers le   positif  ) et il reçoit quatre tensions  d'entrées. Deux tensions d'entrée viennent des col  lecteurs des circuits     bistables    correspondants 401  à 406.     Les    deux autres tensions d'entrée viennent des  collecteurs des étages correspondants du compteur  binaire 77 qui est à six étages.

   Comme on va le  voir, chaque étage du compteur     binaire    comporte  deux     transistors    qui constituent un circuit     bistable.     Chacun des circuits sélecteurs de     reconnaissance     d'impulsions, 431 à 436, fournit un potentiel de -7  volts lorsque l'état de son circuit d'emmagasinage       bistable    correspondant 401 à 406     correspond    à l'état  de l'étage correspondant du compteur binaire.  



  Par exemple, en ce qui concerne le circuit sélec  teur 431 de reconnaissance     d'impulsions,    le circuit  sélecteur   Et   des impulsions de repos est consti  tué par les redresseurs 454 et 455 et par une résis  tance 456. Le     circuit    sélecteur   Et   des impulsions  de travail est     constitué    par les redresseurs 457 et 458  et par une résistance 459. Le circuit sélecteur       Ou            comporte    les redresseurs 461 et 462 et une résistance  463. Les tensions de     sortie    des circuits sélecteurs    Et   constituent les     tensions        d'entrées    des     circuits     sélecteurs   Ou  .

   Supposons que l'état du circuit  d'emmagasinage     bistable    401 correspond à un élé  ment de travail, le potentiel du collecteur du trans  istor 407 étant égal à -17 volts et le potentiel du col  lecteur du transistor 408 étant égal à-7 volts. Pour avoir  une concordance avec cet état, le     premier    étage du  compteur binaire 77 doit fournir -17 volts par la  borne 465 au redresseur 455 du circuit sélecteur    Et   d'impulsions de repos et -7 volts par la     borne     464 au redresseur 458 du circuit sélecteur   Et         d'impulsions    de travail.

   Ce dernier fournit -7 volts  au redresseur 462 parce que ses deux     tensions    d'en  trée sont égales à -7 volts, tandis que le redresseur  461 reçoit -17 volts du circuit sélecteur   Et       d7im-          pulsions    de repos. La tension de sortie du circuit  sélecteur 431 sera de -7 volts, car une des     tensions     d'entrée du circuit sélecteur   Ou   est égale à -7  volts. S'il y avait eu désaccord entre le circuit d'em  magasinage 401 et l'étage     correspondant    du comp  teur binaire, les deux circuits sélecteurs   Et   et la    tension de sortie du circuit sélecteur 431 de recon  naissance d'impulsion seraient restés au potentiel de  -17 volts.

   II y a lieu de remarquer que si l'état du  circuit d'emmagasinage 401 avait été celui d'un élé  ment de repos et que si l'état du premier étage du  compteur binaire avait été aussi celui d'un élément  de repos, les conditions auraient aussi concordé et  le circuit sélecteur   Et   d'impulsions de repos au  rait fourni -7 volts. Lorsque la combinaison com  plète (tous les six éléments de code) dans les circuits  d'emmagasinage 401 à 406 correspond à la combi  naison fournie par le compteur binaire 77, les ten  sions de sortie de tous les circuits 431 à 436 de re  connaissance d'impulsions sont égales à -7 volts.  



  La période pendant laquelle la combinaison d'im  pulsions de travail et de repos enregistrée dans l'unité  67 peut être comparée avec les combinaisons four  nies par le compteur binaire 77 commence dès qu'un  caractère a été emmagasiné. Pendant cette période,  la roue des caractères 101 fait un tour, le compteur  binaire 77 à six étages effectue un cycle de comptage  et il est mis successivement dans des états qui cor  respondent aux combinaisons de chaque caractère  de la roue 101. 52 caractères d'impression sont   en  registrés   dans le compteur binaire pendant cette  période. Les tensions de sortie des circuits sélecteurs  de reconnaissance d'impulsions 431 à 436 sont ap  pliquées aux amplificateurs 471 à 476 qui transmet  tent les impulsions appliquées à leurs bases.

   Par       conséquent,    leurs émetteurs fournissent -7 ou -17  volts, suivant le cas.  



  Les redresseurs 481 à 486 sont associés aux am  plificateurs 471 à 476. Ces redresseurs 481 à 486  reliés, ainsi qu'un redresseur 487     (fig.    23), au con  ducteur 488, forment un circuit sélecteur   Et   de  reconnaissance des caractères dont les tensions d'en  trées sont fournies par les émetteurs de tous les am  plificateurs 471 à 476. Une autre tension d'entrée  est fournie par le compteur binaire 77, par la     borne     489 et elle constitue l'une des impulsions de com  mande positive (-17 à -7 volts). Cette impulsion  apparaît sur la borne 489, chaque fois que l'état du  compteur binaire a changé pour correspondre à une  combinaison de code relative au caractère suivant  de la roue<B>101</B> (ceci se produit 52 fois par tour de  la roue).

   Grâce à cette impulsion, le circuit sélecteur  de reconnaissance des     caractères    ne peut     fournir    une  tension de     sortie    qu'au moment où une combinaison  de code est présente dans le compteur binaire. Le  circuit sélecteur de reconnaissance des caractères ne  fournit une tension de sortie que lorsque les poten  tiels de -7 volts venant de tous les émetteurs des  amplificateurs 471 à 476 coïncident avec l'impulsion  de     commande    qui est de     courte    durée (60 microse  condes). L'impulsion de sortie a une forme     analo-          gue    à l'impulsion de commande.

   Cette impulsion est       appliquée    à travers la résistance 491     (fig.    26) à la  base d'un amplificateur indicateur 492.  



  Cet     amplificateur    492 sert d'abord à amplifier  l'impulsion pour actionner une lampe indicatrice 493      et, en second lieu, d'inverseur de phase. Cette im  pulsion de 10 volts, variant de -17 à -7 volts, rend  conducteur     l'amplificateur    à transistor 492 qui est  normalement non conducteur grâce à un potentiel  de -17 volts appliqué à l'émetteur. Le potentiel du  collecteur tombe de +75 volts à -12 volts, de sorte  qu'il existe une différence de potentiel suffisante pour  allumer la lampe à néon 493. Une forte     résistance     494 limite le courant de fuite à travers le transistor  492 lorsqu'il n'est pas conducteur. La chute de po  tentiel apparaissant sur le collecteur de 492 est trans  mise à travers un condensateur 495 à la base d'un  amplificateur 496.

   Cet     amplificateur    est normale  ment maintenu non conducteur grâce à un potentiel  de     -f-3    volts appliqué à la base. L'impulsion néga  tive venant du condensateur 495 rend conducteur  l'amplificateur 496 et le potentiel du collecteur passe  de -22 volts à 0 volt.

   Cette     impulsion    d'une durée  d'environ 25     microsecondes    est l'impulsion de com  mande qui va au circuit     d'impression    à     thyratrons     (78, 79 ou 81)     associé.    Par exemple, l'impulsion de  l'unité d'emmagasinage 67 va, à travers la borne 497,  au circuit 78 d'impression à     thyratrons.    La tension  de sortie de     l'amplificateur    496 revient vers la base  des transistors 408, 410, etc., jusqu'à 418.

   Cette  impulsion met tous les circuits d'emmagasinage     bista-          bles    401 à 406     dans    l'état correspondant à un élé  ment de repos et ces circuits sont prêts à recevoir  la combinaison de code suivante.  



  Le distributeur d'impression, contenant les trans  istors 501 à 52.5     (fig.    23 à 26) est un distributeur  en anneau comprenant 25 transistors à     pointes    ser  vant à sélectionner l'un des 25 circuits d'impres  sion à thyratron du circuit d'impression associé 78,  79, ou 81, comme on le voit sur le schéma de la       fig.    2. Les connexions avec les circuits à thyratrons  sont représentées par des fils 526 (ou 527 ou 528,  respectivement) à la     fig.    2. Le distributeur d'impres  sion est excité par des impulsions amplifiées prove  nant d'un circuit 500.

   Les impulsions d'entrée appli  quées au condensateur 529 de ce circuit viennent de  l'unité de commande 71 à travers la     borne    530 de  la fiche de raccordement 450. Ces impulsions sont  élaborées dans l'unité de     commande    71 de la même  manière que les impulsions de     transfert.    Toutefois,  elles précèdent les impulsions de transfert d'environ  100 microsecondes. Pour chaque partie de ligne qui  correspond à un espacement dans la ligne impri  mée, il se produit une impulsion de distribution d'im  pression. C'est le cas pour tous les caractères à im  primer y compris l'espacement. Ce dernier ne néces  site toutefois pas d'impulsion de transfert puisqu'il  n'a pas besoin d'être emmagasiné.  



  L'impulsion de distribution d'impression, de for  me carrée, (-17 à -7 volts) excite le circuit 500 et  l'impulsion résultante d'une durée de 10 microsecon  des est amplifiée par un amplificateur 531 et     appa-          rait    à son collecteur sous la forme d'un changement  de potentiel de 0 à -12 volts. Cette impulsion est  appliquée à tous les émetteurs de l'anneau à 25 élé-         ments    et les éléments sont successivement actionnés,  à chaque impulsion d'entrée. On supposera, par  exemple, que le premier caractère d'une ligne a été  reçu. Le vingt-cinquième élément de chaque anneau  dans les trois unités 67, 68 et 69 est conducteur,  car il a été rendu conducteur par le retour du cha  riot de la ligne précédente (comme on le verra plus  loin).

   A la réception de l'impulsion de distribution  d'impression pour le premier caractère de la ligne,  venant de l'unité de commande 71, le 25e élément  (transistor 525) du distributeur d'impression (de la  première unité d'emmagasinage 67) est rendu non  conducteur et le premier élément (transistor 501) est  rendu conducteur. Le potentiel du collecteur du  transistor 501 passe de -17 à -7 volts. Cette ten  sion de     sortie    est appliquée à travers le conducteur  532 et le câble 533 à la borne 534 de la fiche de  raccordement 535, d'où elle est utilisée pour polari  ser les     grilles    de commande du premier circuit à     thy-          ratron    de l'unité d'impression 78.

   Environ 100 micro  secondes plus tard,     l'impulsion    de     transfert        arrive    et  provoque     l'emmagasinage    du caractère.     Lorsque    le  caractère est     reconnu,        l'impulsion    qui s'ensuit, qui  est appliquée sur l'autre grille de commande de tous  les     thyratrons,    allume le     premier    thyratron de l'unité  78 et le caractère est imprimé     par    le premier méca  nisme d'impression à marteau qui, à la     fig.    16, est  représenté     par    l'aimant 121.  



  Entre-temps, le deuxième caractère est reçu et  son impulsion de distribution d'impression est en  voyée à la deuxième unité d'emmagasinage (68). Le  25e élément     (transistor)    du distributeur     d'impression     de l'unité 68 est rendu non conducteur et le premier  élément est rendu conducteur. La tension de     sortie     du premier transistor du distributeur de l'unité 68  (analogue au transistor 501 de l'unité 67) amorce le  premier thyratron de l'unité d'impression 79.     Ce    thy  ratron est associé (électriquement) au     deuxième    mé  canisme d'impression à marteau (aimant 121,     fig.    2)  de la ligne.

   Lorsque le deuxième caractère est re  connu, le thyratron s'allume et ce caractère est im  primé     dans    le     deuxième    champ. De manière analo  gue, le troisième caractère est imprimé     dans    le troi  sième champ de la ligne grâce à la coopération de  l'unité d'emmagasinage 69 et du circuit d'impression  81. Il y a lieu de noter que 1a période d'impression  du premier caractère expire     avant    la réception du  quatrième     caractère    et. que l'unité     d'emmagasinage     de 67 est alors vide (elle ne contient alors pas de  signaux emmagasinés).

   Par conséquent, le quatrième  caractère est emmagasiné dans l'unité 67 et le deuxiè  me transistor 502 du distributeur d'impression de  cette unité est rendu conducteur. Le deuxième trans  istor 502 applique sa tension de sortie à travers le  conducteur 536 à la borne 537, d'où elle va à la  première unité à thyratrons (78) pour amorcer le  deuxième thyratron. Lorsque le caractère est reconnu;  ce deuxième thyratron, qui commande le quatrième  mécanisme d'impression à marteau     (aimant    121) est  allumé de     sorte    que le quatrième caractère est imprimé      dans le quatrième champ de la ligne.

   Cette opération  se poursuit, la     première    unité 78 commandant l'im  pression dans les champs 1, 4, 7, 10, etc., la deuxiè  me unité 79 commandant l'impression dans les  champs 2, 5, 8, 11, etc., et la troisième unité 81  commandant l'impression     dans    les champs 3, 6, 9,  12, etc., jusqu'à     ce    que le retour du chariot provoque  une répétition des opérations d'impression sur la  ligne suivante.  



  La reconnaissance et la commande du signal de  retour du chariot s'effectuent     dans    l'unité de com  mande 71. Après la réception du signal de retour  du chariot, l'unité de commande 71 applique une im  pulsion au moment voulu à une borne (par exemple  539) reliée à la base du transistor 525 dans chacune  des unités 67, 68 et 69 d'emmagasinage et de re  connaissance des caractères. Ainsi, tous les distri  buteurs sont     prêts    pour l'impression de la     ligne    sui  vante.  



  Au     cas    où aucun signal de retour du chariot ne  serait reçu, le processus d'impression reviendrait du  champ 75 à l'extrémité de la ligne au champ 1,  puisque le distributeur d'impression comprend une  liaison entre les éléments 25 et 1 (représentés par  les transistors 525 et 501). Le champ 75 est déter  miné par le 25e élément de distributeur d'impression  (analogue au transistor 525) de l'unité 69.

   Lorsque  ce 25e élément est rendu conducteur, la tension de       sortie    de son collecteur sélectionne le champ 75 à  travers le conducteur 550 et la borne 538 de la fiche  de raccordement 535, et elle est appliquée en outre  de la borne 538 à l'unité de commande 71 où elle  amorce un retour automatique du chariot et une  avance de ligne si des signaux correspondant à ces  fonctions n'ont pas été reçus.  



       Le    circuit que l'on vient de décrire     (fig.    23 à 26)       commande    l'impression d'une ligne à soixante-quinze  caractères au moyen de trois     distributeurs        d7impres-          sion    contenant chacun 25 transistors. Des     lignes    plus       courtes    peuvent être imprimées en déplaçant les con  nexions d'entrée (base) et de sortie (collecteur) des       25e:    éléments aux autres éléments et on peut obte  nir des lignes plus longues en ajoutant des éléments.

    Ainsi, par exemple, on peut obtenir une ligne à 78  caractères si l'arbre 102 porte une roue multiple 101       comportant    78 roues élémentaires. Dans ce cas, il  faut déplacer la connexion     partant    de la borne 539  de la prise de raccordement 450 et comportant le  conducteur 541 et le condensateur 542, de la base  du transistor 525 à la base du     transistor    543 et la  connexion comportant le conducteur 540 et le con  densateur 544     (fig.    23) allant à la base du transistor  501, du collecteur du transistor 525 au collecteur  du transistor 543.  



  <I>Unité de commande</I>  Comme on l'a dit dans la description des unités  67, 68 et 69 d'emmagasinage et de reconnaissance  des caractères, le rôle     principal    de l'unité de com  mande 71 est d'engendrer les impulsions de transfert    et de distribution. En outre, l'unité de commande 71  reconnaît différentes combinaisons de code corres  pondant à des signes spéciaux et met en route les  opérations correspondantes.  



  Reportons-nous maintenant aux     fig.    28, 29 et  30 ; les tensions d'entrée de l'unité de commande 71  qui proviennent du dispositif électronique de récep  tion 65 sont constituées par des potentiels de travail  et de repos de cinq impulsions de code     (bornes    359  à 368 de la     fig.    26) et par une impulsion (dite d'ar  rêt) provenant de l'élément d'arrêt du distributeur  du dispositif 68, par la borne 350.

   Une autre tension  d'entrée provient du 75e élément du distributeur  d'impression de l'unité 69 d'emmagasinage et de re  connaissance des caractères et elle est utilisée pour  l'avance de ligne et le retour automatique du cha  riot ; une autre tension d'entrée provient du distribu  teur du dispositif 65 et sert à remettre en route  le moteur actionnant le mécanisme d'impression après  qu'il a été arrêté par un signal   arrêt du moteur      .     



  L'impulsion d'arrêt venant de l'unité 65 est ap  pliquée à la borne 358     (fig.    20 et 28) et accompa  gne chaque signal transmis. Cette impulsion     sert    à  amorcer toutes les opérations de l'unité de com  mande 71 et elle est appliquée aux circuits de recon  naissance des signes spéciaux, circuits qui seront dé  crits plus loin, et aux circuits qui engendrent des im  pulsions de transfert, de distribution et d'impression.  



  L'impulsion d'arrêt (-17 à -7 volts), arrivant de  puis la borne 358 et passant par des conducteurs  545 et 546     (fig.    28), est différenciée par un conden  sateur 547 et elle fournit une impulsion positive à  l'émetteur d'un transistor 548. Le transistor 548 est  maintenu normalement non conducteur par l'appli  cation d'un potentiel de -6 volts à son émetteur.  L'impulsion positive rend le transistor 548 conduc  teur et le potentiel de son collecteur passe de -22  volts à environ -10     volts.    Cette variation de potentiel  est appliquée à un condensateur 549 d'un circuit  comportant une inductance 551 et un redresseur 552.  A la base du transistor 548 est également appliquée  une tension d'entrée venant par le conducteur 553  des circuits sélecteurs 554 à 560 de reconnaissance  des signaux spéciaux.

   Ces circuits sont constitués par  un circuit sélecteur 554 de reconnaissance du signal    blanc  , par un circuit sélecteur 555 de reconnais  sance du signal   lettres      ,    par un circuit sélecteur  556 de reconnaissance du signal   chiffres      ,    par  un circuit sélecteur 557 de reconnaissance du signal    avance de ligne  , par un circuit sélecteur 558 de  reconnaissance du signal   retour du chariot  ,

   par  un circuit sélecteur 559 de reconnaissance du signal    sonnerie   et par un circuit sélecteur 560 de recon  naissance du signal   arrêt du moteur      .    La tension  fournie par les circuits sélecteurs de     reconnaissance     des signaux spéciaux et amenée par le conducteur  553 est une tension   allant vers le positif   qui est  différenciée par un condensateur 561 et qui n'ap  paraît qu'à la réception d'un signal spécial autre que    espacement      .    Cette impulsion rend positive la base      du transistor 548 et empêche ce transistor d'être  conducteur, lorsque l'impulsion d'arrêt est appliquée  au condensateur 547.

   Ceci constitue l'action men  tionnée plus haut qui empêche l'impression et l'es  pacement en supprimant les impulsions de transfert  et de distribution d'impression.  



  Les circuits de l'unité de     commande    de la par  tie réceptrice, circuits que l'on va maintenant     décrire,     sont analogues à d'autres précédemment décrits. Ils  comprennent un transistor 562     (fig.    28) qui en  gendre des     impulsions    d'une durée de 10 microse  condes, le potentiel de son collecteur variant alors  de -1 à 12 volts. Ces impulsions sont utilisées pour  actionner un distributeur     comportant    les transistors  563, 564 et 565 et également pour actionner un gé  nérateur d'impulsions de transfert comportant les  transistors 576 et 577.  



  Le distributeur contenant les transistors 563, 564  et 565 est un distributeur en anneau à trois éléments  qui dirige les impulsions de     transfert    aux unités d'em  magasinage appropriées 67, 68 et 69 et qui fournit  des impulsions servant à actionner les distributeurs  d'impression (501 à 525) des unités 67, 68 ou 69.  



  Les impulsions de commande venant du trans  istor 562 sont appliquées à travers une résistance  566 aux émetteurs des trois transistors 563, 564 et  565. Le potentiel de collecteur de ces transistors  varie de -20 volts à -8 volts lorsque ces transistors  sont rendus conducteurs. Ces tensions de sortie sont  appliquées par les conducteurs 567, 568 et 569 et  les bornes 571, 572 et 573 aux unités correspon  dantes d'emmagasinage et de     reconnaissance    des ca  ractères, 67, 68 et 69 dans lesquelles elles pénètrent  par la borne 530 comme impulsions de distribution  d'impression et elles dirigent les impulsions de trans  fert vers les unités correspondantes 67, 68 et 69.  



  Un indicateur de distribution est représenté à la       fig.    29 ; il     est        constitué    par un     transistor    574 et une  lampe à néon 575 dont le circuit est identique à  celui de l'indicateur 492-493 de la     fig.    26. Durant le  fonctionnement du distributeur, le transistor 574 (qui  est relié au conducteur 567 par le conducteur 570)  est rendu conducteur et allume la lampe à néon 575,  lorsque le collecteur du transistor 563 est le siège  d'un courant.  



  Le générateur     d'impulsions    de     transfert    comporte  les transistors 576 et 577. Les impulsions négatives  de commande du distributeur, qui sont d'une durée  de 10 microsecondes et qui viennent du collecteur  du transistor     5,62,    actionnent non seulement le dis  tributeur mais elles vont en outre à travers un redres  seur 578 et un condensateur 579 à la base du trans  istor 576. Les transistors 576 et 577 forment un cir  cuit     univibrateur,    le transistor 576 étant normale  ment non conducteur et le transistor 577 étant nor  malement conducteur. Cet     univibrateur    est actionné  par une impulsion négative appliquée à la base du  transistor non conducteur 576.

   Le rôle de ce circuit  est d'engendrer une impulsion de transfert en retard  de 100 microsecondes par     rapport    à l'impulsion de    commande du distributeur. Lorsque ce     circuit    est  actionné, le potentiel du collecteur du transistor 577  change de -7 à -17 volts et, après une période de  fonctionnement d'environ 100 microsecondes     déter-          minée    par le condensateur<B>581</B> et les résistances 582  et 583, il revient à -7 volts. La variation de potentiel  correspondante qui se fait de -17 à -7 volts est diffé  renciée par un condensateur 584 et elle est appliquée  au transistor 585 qui fonctionne comme circuit inhi  biteur pour     l'impulsion    de transfert.  



       Chaque    impulsion positive venant du générateur  d'impulsions de transfert 576-577 est appliquée à  l'émetteur du transistor 585 qui constitue un ampli  ficateur     analogue    à l'amplificateur à transistor 548.  Le transistor 585 est normalement rendu non con  ducteur au moyen d'un potentiel de     -4    volts appliqué  à son émetteur et déterminé par les     résistances    586  et 587. Chaque impulsion positive appliquée à l'émet  teur rend le transistor 585 conducteur et le poten  tiel de son collecteur passe alors de -20 volts à -8  volts. Toutefois, lorsqu'un signal   espace   est reçu,  il est     nécessaire    d'empêcher le     fonctionnement    du  transistor 585.

   Ce résultat est obtenu en     reliant    la  sortie du circuit sélecteur 588 de reconnaissance du  signal  espace       (fig.    28), par un conducteur 589  et un condensateur 591 à la base du     transistor    585       (fig.    29). L'onde carrée positive (variant de -17 volts  à -7 volts) fournie par le circuit sélecteur 588 est  différenciée par le condensateur 591 dont la cons  tante de temps est suffisamment longue de sorte que  la base du transistor 585 est maintenue     suffisamment     positive, afin d'empêcher le transistor 585 d'être con  ducteur     pendant    plus de 100 microsecondes.

   La ,  résistance inverse d'un     redresseur    592 contribue à  l'obtention de cette constante de temps.  



       On    se rappelle -qu'à chaque circuit sélecteur       d'emmagasinage    421 à 426     (fig.    23 à 26) sont appli  quées deux tensions d'entrée à savoir une impul  sion de code venant du dispositif électronique de  réception 65 et une impulsion de transfert     venant    de  l'unité de     commande    71.

   En outre, étant donné que  les     circuits    sélecteurs 421 à 426 sont des circuits sé  lecteurs   Et   ou à     coïncidence,    il faut qu'une im  pulsion de code et une impulsion de transfert soient  appliquées en même temps     pour        effectuer    le trans  fert de l'impulsion de code au circuit d'emmagasi  nage     associé    401 à 406.

   Lorsqu'un caractère doit  être imprimé, une impulsion est     appliquée    par la  borne 497 de la fiche de raccordement 535     (fig.    26)  aux circuits de l'unité d'impression à     thyratrons    78,  79 ou 81 pour     commander    l'aimant d'impression  adéquat 121 lorsque le signal     emmagasiné    dans les  circuits     d'emmagasinage    401 à 406 concorde avec  le signal formé par le compteur binaire 77 dans les  circuits sélecteurs de     reconnaissance    de caractères  431 à 436.

       Lorsqu'un    signal   espace<B> </B> est reçu,  l'impulsion de     transfert    est arrêtée de sorte qu'au  cun transfert et qu'aucun emmagasinage ne peuvent  se produire et par conséquent aucune combinaison  d'impulsions ne peut être     emmagasinée    dans les cir-      cuits d'emmagasinage 401 à 406, de     sorte    qu'au  cune impulsion n'est appliquée à travers la borne  497 aux     circuits    d'impression à thyratrons 78, 79  ou 81.     Ainsi    aucun aimant d'impression 121 n'est  actionné.

   Toutefois, le distributeur d'impression (con  tenant les     transistors    501 à 525,     fig.    23 à 26), doit  être actionné pour introduire un espace. Supposons  que le 5e signal d'une     ligne    d'impression est un si  gnal   espace  . La tension de sortie du circuit sé  lecteur 588 de reconnaissance de ce signal arrête  alors l'impulsion de transfert pour l'unité d'emmaga  sinage 66, impulsion qui     serait    normalement pro  duite pour le 5e caractère de la ligne.

   Ainsi, au lieu  qu'un caractère soit imprimé dans le 5e champ de  la ligne, cette position reste libre de     sorte    qu'un es  pace existe entre deux mots, et les distributeurs cons  titués par les     anneaux    de transistors 501-525 sont  amenés à l'état qu'ils doivent avoir pour l'impression  du 6e caractère de la ligne (qui doit être imprimé  sous la     commande    de l'unité d'emmagasinage 69 et  de l'unité     d'impresion    à thyratrons 81).  



  La tension de sortie du     transistor    585 va direc  tement à la base d'un transistor 593 qui amplifie les  impulsions de transfert qui sont prélevées sur l'émet  teur de ce transistor 593 et qui sont des impulsions  dont la tension passe de -20 à -8 volts.  



  Au générateur d'impulsions de transfert 576-577  sont associés trois circuits sélecteurs d'impulsions de  transfert 601, 602 et 603 qui sont des circuits sélec  teurs   Et   ayant pour but d'appliquer les impul  sions de     transfert    à l'unité appropriée d'emmagasi  nage et de reconnaissance des caractères 67, 68 ou  69, sous la commande des transistors 563, 564 et  565. Les collecteurs de ces trois transistors (563,  564 et 565) sont reliés aux circuits sélecteurs 601,  602 et 603 correspondants par les conducteurs 567,  568 et 569. L'autre tension d'entrée des circuits sé  lecteurs est     l'impulsion    de transfert venant du     trans-          istor    593 par le conducteur 604.

   On se rappelle que  l'impulsion de transfert est en retard de 100 micro  secondes par rapport au moment où les transistors  563, 564 et 565 sont rendus conducteurs. Chacun  des circuits sélecteurs 601, 602 et 603 ne fournit une  tension de sortie de -8 volts que lors de l'apparition       simultanée    d'un potentiel de -8 volts venant d'un  transistor 563, 564 ou 565 et d'un potentiel égal       fourni    par le transistor 593. Une impulsion de trans  fert n'est donc appliquée aux circuits sélecteurs 601,  602 ou 603 que lorsque le transistor correspondant  563, 564 ou 565 est conducteur.  



  A chacun des circuits sélecteurs 601, 602 ou 603  est associé un     amplificateur    d'impulsions de transfert       (transistor)    605, 606 ou 607. Les transistors 605,  606 et 607 amplifient les tensions de     sortie    des cir  cuits sélecteurs correspondants 601, 602 et 603 de       sorte    que des impulsions de     transfert    dont la tension  varie de -20 volts à -8 volts apparaissent aux émet  teurs des     amplificateurs    605, 606 et 607.

   Les ten  sions de sortie de ces derniers sont     appliquées    par  les conducteurs 608, 609 et 611 aux     bornes    612,    613 et 614 d'où elles vont à l'unité     correspondante     d'emmagasinage et de     receonnaissance    des caractè  res 67, 68 et 69 pour effectuer l'emmagasinage des  caractères reçus dans les circuits d'emmagasinage  avec lesquels     ils    coopèrent, par exemple dans les  circuits 401 à 406.  



  A la     fig.    28 sont prévus plusieurs amplificateurs  pour les     impulsions    de code ; ils comportent des  transistors 615 à 619 et 621 à 625. Les tensions  d'entrée de ces amplificateurs sont les tensions de  sortie des cinq circuits d'emmagasinage     bistables    347  à 351     (fig.    20) du dispositif électronique 65 de ré  ception ; elles arrivent par les bornes 359 à 368.     Les     transistors 615 à 619 constituent les amplificateurs  des impulsions de travail et les transistors 621 à 625  constituent les amplificateurs des impulsions de re  pos.

   Par exemple, lorsque l'impulsion de code No 1  est une impulsion de travail, la tension d'entrée  appliquée à la base du transistor 615 est égale à -7  volts et la tension d'entrée appliquée à la base du  transistor 621 est égale à -20 volts. Les potentiels de  sortie des émetteurs suivent les     potentiels    appliqués  aux bases correspondantes.  



  Les tensions de sortie des amplificateurs 615 à  619 sont appliquées aux conducteurs 631 à 635 et  les tensions de sortie des amplificateurs 621 à 625  sont appliquées aux conducteurs 641 à 645. Ces ten  sions de     sortie,    qui proviennent des dix amplifica  teurs d'impulsions de code, sont appliquées aux cir  cuits sélecteurs de reconnaissance des signaux spé  ciaux, 554 à 560 et 558, conformément à la combi  naison de code de chaque signal spécial. Les circuits  sélecteurs 554 à 559 et 588 sont tous des circuits  sélecteurs   Et       qui    sont actionnés lorsque leurs  potentiels d'entrée sont de -7 volts.  



  Le circuit sélecteur 588 de reconnaissance du  signal   espace   comporte des redresseurs 646 à 652  qui sont reliés aux conducteurs appropriés 631 à 635  et 641 à 645 conformément au signal   espace    dans lequel les éléments     Nos    1, 2, 4 et 5 sont des  impulsions de repos et l'élément N  3 est une impul  sion de travail. Ainsi, le redresseur 646 est relié au  conducteur 641, le redresseur 647 au conducteur  642, le redresseur 648 au conducteur 633, le redres  seur 649 au conducteur 644, le redresseur 650 au  conducteur 645 et le redresseur 651 au conducteur  653     fournissant    l'impulsion d'arrêt qui dérive du con  ducteur 545 au point de jonction 654.

   Cinq des six  entrées du circuit sélecteur 588 sont reliées à des       sorties    des amplificateurs 615 à 619 et 621 à 625  qui fournissent -7 volts lorsqu'un signal   espace    est reçu. La sixième impulsion d'entrée est une im  pulsion d'arrêt qui arrive par le conducteur 653 à  tous les circuits sélecteurs de reconnaissance des si  gnaux spéciaux (554 à 559 et 588). Lorsque le signal    espace   est reçu, il se produit donc une impul  sion de     sortie    qui a la même durée que l'impulsion  d'arrêt et elle varie de -17 à -7 volts. La tension de  sortie du circuit sélecteur 588 de reconnaissance du  signal   espace   est appliquée par le redresseur 652      et le conducteur 589 au circuit inhibiteur de l'impul  sion de transfert (transistor) 585, comme on l'a dit  plus haut.  



  Les tensions d'entrée du circuit sélecteur de re  connaissance du signal   blanc   554 viennent des  sorties des amplificateurs appropriés d'impulsions de  code 615 à 619 et 621 à 625, sorties qui     fournissent     -7 volts pour le signal   blanc      ,    signal dans lequel  les éléments     Nos    1, 2, 3, 4 et 5 sont des impulsions  de repos. La tension de sortie du circuit sélecteur 554  est appliquée par le redresseur 655 au circuit inhi  biteur de l'impulsion d'arrêt     (transistor)    548     (fig.    28)  et elle empêche le fonctionnement du distributeur  563, 564 et 565 et du générateur d'impulsions de  transfert 576-577.  



  Le redresseur 655 du     circuit    sélecteur 554 de re  connaissance du signal   blanc   est relié au con  ducteur commun 553 auquel sont branchées les sor  ties de tous les circuits sélecteurs des signaux spé  ciaux, sauf le circuit sélecteur du signal   espace    588. Le conducteur 553 sera appelé ci-dessous   con  ducteur de suppression de l'impulsion d'arrêt  .  



  Les tensions d'entrée du circuit sélecteur 556 de  reconnaissance du signal   chiffres   viennent des  amplificateurs appropriés d'impulsions de code 615  à 619 et 621 à 625 qui fournissent -7 volts pour la  combinaison de code   chiffres  , combinaison dans  laquelle les éléments Nos 1, 2, 4 et 5 sont des impul  sions de travail l'élément Ne 3 est une impulsion de  repos. Une des deux tensions de sortie du circuit sé  lecteur 556 va à travers le redresseur 657 au conduc  teur 553 et l'autre tension de     sortie    est appliquée  par un conducteur 658, un condensateur 659 et un  redresseur 661, à la base d'un transistor 662 d'un  circuit d'emmagasinage du signal   chiffres  .

   Lors  qu'une combinaison de code   chiffres   est reçue, il  est nécessaire d'ajouter une sixième impulsion de  code aux cinq impulsions de code de tous les carac  tères suivants jusqu'à ce qu'une combinaison de code    lettres   soit reçue.  



  Le circuit d'emmagasinage du signal       chiffres       est un circuit     bistable    contenant des transistors 66.2  663 et il est actionné par la tension de sortie du  circuit sélecteur 556 de reconnaissance du signal    chiffres  . Le     transistor    662 est normalement con  ducteur, son collecteur étant porté au potentiel de  -7 volts et le transistor 663 est normalement non  conducteur, son collecteur étant porté au potentiel  de -17 volts.     Le    condensateur 659 différencie l'im  pulsion de sortie positive du circuit sélecteur 556 du  signal   chiffres   et l'impulsion positive résultante  rend non conducteur le transistor 662 et actionne  le circuit. Le potentiel du collecteur du transistor 663  passe de -17 à -7 volts.

   La tension de sortie de ce  collecteur est appliquée à un sixième amplificateur  d'impulsions (transistor 665)     (fig.    29). L'émetteur  du transistor 665 suit cette variation de potentiel de  -17 à -7 volts et envoie un potentiel de -7 volts  par les conducteurs 666 et 667 à la borne 668 d'où  il va à une borne 446     (fig.    23). Cette tension de sor-         tie    va alors par le conducteur 669     (fig.    23, 24, 25  et 26) au circuit sélecteur d'emmagasinage 426 pour  commander le circuit d'emmagasinage     bistable    406  de sorte que le code à cinq éléments devient un code  à six éléments.  



  De plus, cette tension de sortie (prise sur l'émet  teur du transistor 665) va par les conducteurs 666,  671 et 672, d'une part, au circuit sélecteur 559 de  reconnaissance du signal   sonnerie  , d'autre part,  au circuit sélecteur 560 de reconnaissance du signal        arrêt    du moteur  .  



  Le circuit sélecteur 555 de     reconnaissance    du  signal   lettres   envoie une impulsion de -17 à -7  volts, lorsqu'un signal de code   lettres   (dans lequel  les éléments     Nos    1, 2, 3, 4 et 5 sont des impulsions  de travail) est     appliqué    aux     amplificateurs    d'impul  sions de code 615 à 619 et 621 à 625.

   La tension  de sortie du circuit sélecteur 555     (fig.    29) va par     un     conducteur 673, un condensateur 674 et un redres  seur 675     (fig.    28) à la base du transistor 66.3 du cir  cuit     bistable    d'emmagasinage du signal       chiffres       (662-663) et ramène ce circuit à son état normal.  Le potentiel du collecteur du transistor 66,3 passe  alors de -7 à -17 volts, ce qui enlève la 6e impul  sion de code dans les circuits d'emmagasinage et de  reconnaissance des caractères (circuits 401 à 406,       fig.    23 à 26) par les     bornes    668 et 446. Les signaux  des caractères suivants sont alors tous enregistrés  comme signaux   lettres  .

   La tension de sortie du  circuit sélecteur 555 est également appliquée par un  redresseur 660, sur la ligne 553 de suppression de  l'impulsion d'arrêt.  



  Le circuit sélecteur 558 de reconnaissance du si  gnal   retour du chariot   émet une impulsion va  riant de -17 à -7 volts lorsqu'un signal de code    retour du chariot   (dans lequel les éléments     Nos    1,  2, 3 et 5 sont des impulsions de repos et l'élément 4  est une impulsion de travail) est appliqué aux ampli  ficateurs d'impulsions de code 615 à 619 et 621 à  626. Cette impulsion de sortie va à travers un re  dresseur 670 au conducteur 553 de suppression de  l'impulsion d'arrêt et aussi, par un conducteur 676,  un     condensateur    677 et un redresseur 678, à la base  d'un transistor 679 de retardement de l'opération    retour de chariot       (fig.    30).

   Les transistors 679 et  681 forment un circuit     univibrateur    de retardement  pour le signal de retour du chariot. Le rôle de ce  circuit est d'introduire un retard d'environ 30     mlli-          secondes    avant que le retour du chariot s'effectue  réellement. Ce retard est nécessaire pour pouvoir  imprimer le caractère reçu juste avant que soit reçu  le signal de retour du chariot. Par exemple, la durée  maximum d'impression d'un caractère quelconque  est égale à environ trois périodes d'un signal cor  respondant à un caractère. Par conséquent, le retard  introduit doit être compris entre deux et trois pério  des.

   Une période correspond à 13,3     millisecondes     pour une vitesse     d'empression    de 750 mots par mi  nute. Lorsque     l'univibrateur    est actionné, le poten  tiel du collecteur du transistor 679 passe de -7 à      -17 volts et, après la période de fonctionnement de  30     millisecondes,    il revient à -7 volts. L'impulsion  fournie par le collecteur du transistor 679 passe par  les conducteurs 682 et 683, est     différenciée    par le  condensateur 684 et arrive au transistor 685. Cette  impulsion passe en outre par les conducteurs 682 et  686, elle est     différenciée    par un condensateur 687  et arrive au transistor 688.  



  Le transistor 685 constitue un amplificateur d'im  pulsions de retour du chariot. Ce transistor est nor  malement conducteur, le potentiel de son collecteur  étant égal environ à -1 volt. L'impulsion positive  résultant de la différenciation par le condensateur  684 de la tension de sortie du transistor 679, rend  non conducteur le transistor 685. Il en résulte une  impulsion négative apparaissant sur le collecteur du  transistor 685, impulsion qui varie de -1 à environ  -20 volts.

   Cette impulsion est l'impulsion de retour  du chariot et elle a pour rôle de rendre conducteur  le dernier élément (transistor 565) du distributeur       'comportant    les transistors 563, 564 et 565     (fig.    28)  et le dernier élément (transistor 525) des trois distri  buteurs à 25 éléments (dans chacune des unités 67,  68 et 69). Cette impulsion prépare les distributeurs  pour le     caractère    suivant qui doit aller à l'unité 67  et être imprimé en première position de la     ligne    sui  vante.

   La tension de sortie du collecteur du trans  istor 685 va à travers les condensateurs 689, 691 et  692 et les conducteurs 693, 694 et 695 respective  ment aux bornes 696, 697 et 698 et aussi à travers  un condensateur 699 et un conducteur 701 à la base  du transistor 565     (fig.    28). Ce transistor 565, qui  est le dernier élément du circuit du distributeur, est  ainsi rendu conducteur par l'impulsion de retour du  chariot.  



  Les transistors 688 et 690 forment un     univibra-          teur    pour retarder les signaux   avance de     ligne      et    retour automatique du chariot  , le potentiel du  collecteur du transistor 688 étant normalement égal  à -7 volts et celui du transistor 690     étant    normale  ment égal à -17 volts. Cet     univibrateur    est actionné  par la tension de     sortie    du transistor 679, tension  arrivant par les conducteurs 682 et 686 et un con  densateur 687.

   Une tension de sortie est prélevée  sur le     collecteur    du transistor 688 qui passe de -7  volts à -17 volts lorsque le circuit est actionné, cette  tension étant maintenue à cette valeur de -17 volts  pendant une période de fonctionnement de 1     milli-          seconde.    Lorsque ce     circuit        revient    à l'état normal, le  potentiel du collecteur du transistor 688 revient à  -7 volts.

   L'impulsion correspondante     fournie    par le  collecteur du transistor 688 va par un conducteur  702 à un circuit sélecteur 703 destiné à supprimer  un signal d'avance de ligne et dont on verra le rôle  plus loin dans la     partie    de la description se rappor  tant à   l'avance de ligne   et au   retour automati  que du chariot  .  



  Le circuit sélecteur 557 de reconnaissance du si  gnal   avance de ligne   fournit une impulsion va  riant de -17 à -7 volts lorsqu'un signal   avance de    ligne   (dans lequel les éléments     N -,    1, 3, 4 et 5 sont  des impulsions de repos et l'élément NI 2 est une  impulsion de travail) est appliqué aux     amplificateurs          d'impulsions    de code<B>615</B> à 619 et 621 à 625. Cette  impulsion va par le conducteur 704 à la base d'un       amplificateur    à transistor 705 et elle est     transmise    à  l'émetteur de celui-ci d'où elle va à un commutateur  d'avance simple ou double de     ligne,    706.

   On suppo  sera pour l'instant, que ce commutateur 706 est dans  la position   simple  , position représentée au des  sin. Cette impulsion va de la     jonction    707, par un  conducteur 708, un condensateur 709 et un redres  seur 711, à la base d'un transistor 712 qui, avec le  transistor 713, constitue un générateur d'impulsions  de   recharge   et   d'avance de ligne  , générateur  qui est un     univibrateur.     



  Le potentiel du collecteur du transistor 712 est  normalement égal à -7 volts et celui du transistor  712 à -17 volts. Ce circuit a pour but d'engendrer  une impulsion d'avance de ligne au moment où le  signal   avance de ligne   est reconnu par le circuit  sélecteur 557 et ensuite d'engendrer une impulsion  dite de   recharge  , quatre     millisecondes    plus tard.  Ces deux impulsions vont au circuit d'avance de     ligne     dans l'unité d'impression à thyratrons 81 et leur rôle  sera décrit plus loin, lorsqu'on décrira les circuits  d'impression.

   Lorsque     l'univibrateur    712-713 est ac  tionné par l'impulsion positive venant du transistor  705 et appliquée sur la base du     transistor    712, le po  tentiel du collecteur de celui-ci passe de -7 à -17  volts. Après une période de fonctionnement d'envi  ron 4     millisecondes,    le circuit     univibrateur    (712  713) revient à son état normal, le potentiel du collec  teur du transistor 713 passant de -7 à -17 volts. Les  variations du potentiel de collecteur du transistor  <B>712</B> sont transmises à un conducteur 714, elles sont  différenciées par un condensateur 715 et     appliquées     à la base d'un transistor 716 qui constitue un ampli  ficateur d'impulsions d'avance de ligne.

   Les varia  tions du potentiel de collecteur du transistor 713  sont transmises à un conducteur 717, elles sont dif  férenciées par un condensateur 718 et arrivent à la  base d'un transistor 719 constituant un amplificateur  d'impulsions de  recharge  .  



  L'amplificateur 716 d'impulsions d'avance de li  gne est normalement non conducteur et il est excité  par l'impulsion différenciée négative venant du trans  istor 712. Cette impulsion rend le transistor 716  momentanément conducteur et une impulsion posi  tive ayant 21 volts de la base à la crête     apparait    sur  son collecteur. Cette impulsion va par un conducteur  <B>721</B> à une borne 722 et de là à l'unité d'impression  à thyratrons 81 et elle allume le thyratron   d'avance  de ligne  , comme on va le voir.  



  L'amplificateur 719 d'impulsions de   recharge    est un amplificateur analogue qui est excité à la fin  de l'intervalle de 4     millisecondes    de fonctionnement  du transistor<B>713</B> par une impulsion différenciée né  gative. Elle produit une impulsion positive sur le col  lecteur du transistor<B>719</B> qui va. par un conducteur      723,à une borne 724 d'où elle va à l'unité     d"impres-          sion    à thyratrons 81 et allume le thyratron de   re  charge  .  



  Lorsque le commutateur 706 est dans la posi  tion d'avance double de ligne, la tension de sortie  du transistor 705 ne va pas seulement au transistor  712 des circuits d'avance simple de ligne, mais aussi,  par un condensateur 725 et un redresseur 726 à la  base d'un transistor 727. Les transistors 727 et 728  forment un circuit     univibrateur    faisant office de gé  nérateur d'impulsions d'avance double de ligne.     Il     a pour but de provoquer une deuxième opération  d'avance de ligne environ 20     millisecondes    après la  première. Lorsque     l'univibrateur    727-728 est action  né, le potentiel du collecteur du transistor 728 passe  de -7 à -17 volts et, après 20     millisecondes,    il re  vient à -7 volts.

   L'impulsion positive correspondante  est différenciée par un condensateur 729 auquel elle  est     appliquée    par un conducteur 730 et elle actionne       l'univibrateur    712-713 de   recharge   et d'avance  de ligne à travers un redresseur<B>531,</B> en amorçant  une deuxième opération d'avance de     ligne.     



  On obtient une tension à la sortie du circuit sé  lecteur 559 de reconnaissance du signal   sonnerie    lorsque le signal de code   S   (dont les éléments       Nos    1 et 3 sont des impulsions de travail et     les    élé  ments     Nos    2, 4 et 5 sont des impulsions de repos)  est reçu après celui   chiffres  . L'état       chiffres      est  indiqué par l'amplificateur à transistor 665     (fig.    29)  qui n'applique -7 volts (par les conducteurs 666 et  671) sur le redresseur 720 (du circuit sélecteur 559)  qu'après la réception du signal   chiffres  .

   La ten  sion de sortie du circuit sélecteur 559 varie de -17  à -7 volts et elle va, par un conducteur 700 à une  borne 710 et de là à l'unité 79 d'impression à thyra  trons, où elle sert à allumer un thyratron dit de    sonnerie  , comme on va le voir.  



  Lorsque le signal de code   H   (dans lequel les  éléments     Nos    3 et 5 sont des impulsions de travail  et les éléments     Nos    1, 2 et 4 sont des impulsions de  repos) est reçu après celui   chiffres  , on obtient  une tension passant de -17 à -7 volts à la sortie du  circuit sélecteur 560 de reconnaissance du signal   <   arrêt du moteur       (fig.    30).

   Cette tension de sortie  est appliquée à un circuit d'emmagasinage du signal    arrêt du moteur   comportant les transistors 732  et 733     (fig.    29) qui constituent un circuit     bistable.     Le transistor 732 est normalement conducteur et le  transistor 733 est normalement non conducteur, leurs  collecteurs étant portés aux     potentiels    de -7 et -17  volts respectivement.

   La tension de sortie du circuit  sélecteur de reconnaissance du signal   arrêt du mo  teur   est différenciée par un condensateur 734     (fig.     29) et l'impulsion     positive    résultante rend le trans  istor 732 non conducteur de sorte que le potentiel  de son collecteur tombe de -7 à -17 volts tandis que  le potentiel du collecteur du transistor 733 monte  immédiatement de -17 à -7 volts. Le circuit 732  733 d'emmagasinage du signal   arrêt du moteur      est remis à son état initial par la première impulsion  de repos     (impulsion    de départ) qui est reçue après  un signal   arrêt du moteur  .

   L'impulsion de     remise     en position normale est appliquée à une borne 735  qui est     reliée    à une borne 740     (fig.    20)     reliée    à la  sortie de l'amplificateur 346 de libération de l'emma  gasinage dans le dispositif électronique de réception  65. Cette impulsion de remise en position arrive par  un conducteur 736 et elle est différenciée par un con  densateur 737     (fig.    29). L'impulsion positive résul  tante rend le     transistor    733 non conducteur et le  transistor 732 conducteur, en ramenant ainsi le cir  cuit d'emmagasinage du signal       arrêt    du moteur    à son état initial.

   La tension du collecteur du trans  istor 732 est appliquée à la base d'un transistor 738  qui constitue le     premier    étage d'un amplificateur  d'arrêt du moteur 738-739     (fig.    30). Le potentiel de  l'émetteur du transistor 738 suit la variation de po  tentiel du collecteur du transistor 732, cette varia  tion se faisant de -7 à -17 volts. Le transistor 739  est normalement non conducteur du fait que son  émetteur est porté au potentiel de -12 volts. Lorsque  le potentiel de sa base tombe de -7 à -17 volts sous  l'influence de la tension de sortie du     transistor    738,  le transistor 739 devient conducteur.

   Le     collecteur    du  transistor 739 est     relié    par un     conducteur    741 à une  borne 742, reliée à l'enroulement d'un relais d'arrêt  du moteur, relais faisant partie de l'unité     d7impres-          sion.    L'impulsion de remise en position mentionnée  plus haut rend non conducteur le     transistor    739, elle  désexcite le relais d'arrêt du moteur de sorte que le  moteur -peut démarrer.  



  On va maintenant décrire le dispositif automa  tique d'avance des     lignes    et de retour du chariot.     Le     fonctionnement normal de l'installation décrite né  cessite que sur ou avant le     soixante-treizième    carac  tère, les signaux   retour du chariot et avance de  ligne   soient reçues pour que l'impression puisse  commencer sur le premier espace de la ligne sui  vante. Dans le cas où ces signaux ne sont pas reçus,  le dispositif automatique de retour du chariot et  d'avance de lignes provoque l'accomplissement de  ces fonctions.

   Ceci est obtenu grâce à une opération  de reconnaissance qui se produit lorsque le 75e  champ d'impression (qui correspond au 25e élément  à transistor du distributeur     (Pimpression    dans     l'unité     69) est sélectionné par l'impression d'un caractère ou  d'un   espace  .

   On     remarquera    que     l'opération    auto  matique de retour du chariot et d'avance de ligne  s'obtient sans circuits supplémentaires, car le 25e  élément du distributeur d'impression     (fig.    26) de  l'unité 69 est actionné par le 75e caractère de la     ligne.     La tension de sortie du 25e élément du distributeur       d'impression    de l'unité 69 est alors     utilisée    pour en  gendrer une impulsion d'avance de     ligne.    Cette im  pulsion ne doit être engendrée que lorsque le 25e  élément est rendu conducteur     par    le 75e caractère.

    Elle ne doit pas être engendrée lorsque le 25e élé  ment est rendu conducteur par une opération nor  male de retour du chariot.      La tension de sortie du     240    élément du distribu  teur d'impression de l'unité 69, qui apparaît sur la  borne 538     (fig.    26) est une     impulsion    variant de -20  à -8 volts. Cette impulsion est appliquée à l'unité de  commande 71 par la borne 743 et elle va, par un  conducteur 744 et un condensateur 745 à un circuit  sélecteur 703 qui est un circuit   Et   à deux en  trées.

   L'autre tension d'entrée     appliquée    au circuit  sélecteur 703 vient du collecteur du transistor 688  du circuit     univibrateur    688-690 de retour du cha  riot et d'avance de     ligne,    par le conducteur 702  (comme on l'a dit plus haut). Lorsqu'on utilise le  retour automatique du chariot, le collecteur du trans  istor 688 est porté à un potentiel de -7 volts au  moment où le 250 élément du distributeur d'impres  sion de l'unité 81 est rendu conducteur. Le conden  sateur 745 différencie la tension de sortie de ce 250  élément en fournissant une impulsion positive.

   Cette  impulsion va à travers le circuit sélecteur 703 et le  conducteur 746 à la jonction 707 et de là à la base  du transistor 712 qui est le générateur d'impulsions  de   recharge   et d'avance de     ligne,    en amorçant  ainsi le fonctionnement de ces circuits d'avance de  ligne comme on l'a dit plus haut.  



  *Pendant une opération normale de retour du cha  riot, le collecteur du transistor 688 est     porté    à un  potentiel de -17 volts lorsque le 250 élément du  distributeur d'impression de l'unité 69 est rendu con  ducteur par l'impulsion de retour du chariot, comme  on l'a dit précédemment. Par conséquent, le circuit  sélecteur 703 est bloqué pour l'impulsion provenant  de ce 250 élément, en supprimant ainsi l'avance auto  matique des lignes.    <I>Compteur binaire</I>  Le compteur binaire possède six étages 751 à  756     (fig.    32 à 34) qui permettent d'obtenir     soixante-          quatre    combinaisons différentes.

   Chaque étage du  compteur binaire est un circuit à transistors présen  tant deux états stables (impulsion de travail et im  pulsion de repos) et pouvant passer d'un état à l'au  tre. Le circuit     bistable    décrit plus haut en liaison avec  les circuits de la partie de transmission et de la par  tie réceptrice satisfont essentiellement aux conditions  imposées au circuit     bistable    du compteur     binaire.     Toutefois, étant donné qu'un étage du compteur bi  naire doit passer d'un état à l'autre au moyen d'im  pulsions     appliquées    à une seule entrée,

   le mode     (Tac-          tionnement    est un peu différent de celui utilisé pour  les circuits d'emmagasinage     bistables    décrits plus  haut.  



  Le premier étage 751 du compteur binaire     (fig.     32)     comporte    un     transistor    757 (côté impulsion de  repos) qui est conducteur et un     transistor    758 (côté  impulsion de travail) qui est non conducteur pour  une     impulsion    de repos. Le collecteur du transistor  757 est normalement au potentiel de -7 volts et celui  du transistor 758 au potentiel de -20 volts.

   Des im  pulsions de commande   allant vers le positif   (four  nies par le dispositif de lecture 126 associé à la ran-         gée    de dents intérieure de la roue des caractères       (fig.    13) sont reçues par un amplificateur (transistor)  807 par un chemin décrit plus loin et elles sont appli  quées au point de jonction des redresseurs 761 et  762 et d'une résistance 763. Ce point de jonction est  porté au potentiel de -22 volts par la résistance 763.       Etant    donné que cette valeur est plus négative que le  potentiel du collecteur de chacun des transistors 757 et  758, les diodes (redresseurs)     761et762sontpolarisées     en sens inverse.

   Le rôle de ces redresseurs 761 et  762 est de diriger les impulsions de commande   al  lant vers le positif   vers l'élément de commande  (base) du transistor conducteur, dans le cas actuel,  le transistor 757. La première impulsion de com  mande porte le potentiel du point de jonction de -22  volts à environ -10 volts.     Etant    donné que le poten  tiel du collecteur du transistor 757     est    égal à -7  volts, le redresseur 761 reste non     conducteur    et on  ne constate pas de changement appréciable dans  celui-ci.

   Toutefois, le potentiel du collecteur du trans  istor 758 est égal à -17 volts de     sorte    que le redres  seur 762 peut devenir conducteur lorsque le poten  tiel du point de jonction devient plus positif que  -17 volts ; le potentiel du collecteur monte alors à  -10 volts.

   La liaison du collecteur du transistor 758  avec un diviseur de tension comportant les résistances  764 et 765, transmet cette impulsion par un con  densateur 66, à la base du transistor 757, en rendant  celui-ci non conducteur et en amenant le     circuit    à son  état dans lequel le transistor 758 est conducteur et  le transistor 757 est non conducteur.     L'impulsion    sui  vante est appliquée, à travers le redresseur 761, un  diviseur de tension formé des résistances 767 et 768  et un condensateur 769, à la base du transistor 758,  en rendant ce dernier non conducteur et ramenant le  circuit à l'état correspondant à une impulsion de  repos.  



  Le circuit complet du compteur binaire consiste  en six étages 751 à 756     reliés    les uns aux autres, les  impulsions de commande n'étant appliquées qu'au  premier étage (751). La liaison entre deux étages  consécutifs est faite à     partir    du collecteur de   l'élé  ment de repos   de l'étage ayant le rang le plus bas  au circuit d'entrée de l'étage suivant. Par exemple,  la liaison entre les étages 751 et 752 est faite à par  tir du collecteur du transistor 757 (côté de l'impul  sion de repos de l'étage 751) par des conducteurs  771 et 772 avec le circuit d'entrée (comprenant les  redresseurs 773 et 774) des transistors 775 et 776  du deuxième étage binaire 752.  



  Dans l'état   0   du compteur binaire, tous les  transistors (côté impulsion de repos) 757 et 776 à  780 sont conducteurs et les transistors correspondant  au côté impulsion de travail (par exemple le trans  istor 758) sont non conducteurs. De même, les am  plificateurs des impulsions de repos 785 et 788 à  792 associés avec les côtés impulsion de repos des  étages 751 à 756 sont conducteurs. A la réception  de la première impulsion de commande, le transistor  757 devient non conducteur et le transistor 758 con-           ducteur    pour envoyer une impulsion par le conduc  teur 782 au premier amplificateur (transistor) 783  d'impulsions de travail ce qui correspond au carac  tère   E   à la     ligne    1 de la     fig.    7.  



  A la réception de la deuxième impulsion de com  mande, le transistor 757 devient conducteur de sorte  qu'une     impulsion    est engendrée qui passe     par    les  conducteurs 771 et 772 et le     redresseur    773 et rend  non conducteur le transistor 776 et conducteur le  transistor 775. Cette impulsion passe en outre par  les     conducteurs    771 et 784 à     l'amplificateur    (trans  istor) 785 d'impulsions de repos.

   En devenant con  ducteur, le     transistor    775 fournit une impulsion al  lant par le conducteur 786 à l'amplificateur (trans  istor) 787 d'impulsions de travail.     Etant        donné    que  les amplificateurs d'impulsions de repos (transistors)  785 et 789 à 792 sont     maintenant    conducteurs et  que l'amplificateur 787     d'impulsions    de travail est  conducteur, l'état du compteur binaire correspond  au signal   avance de ligne   montré à la ligne 2 de  la     fig.    7.  



  A la réception de la troisième impulsion d'avance  le transistor 758 (côté impulsion de travail) devient  conducteur, de sorte qu'une impulsion est engendrée,       allant    par le conducteur 782 au premier     amplifica-          teur    d'impulsions de travail 783.

   Cette impulsion  n'a pas d'effet sur les étages 2 à 6 du compteur bi  naire.     Etant    donné que le premier amplificateur  (transistor) 783 et le deuxième amplificateur (trans  istor) 787 d'impulsions de travail sont conducteurs  (on remarquera que l'amplificateur 787 est toujours  conducteur) et que les le=, 2e, 38, 4e, 5e et 6e ampli  ficateurs 789 à 792 d'impulsions de repos sont con  ducteurs, l'état des circuits du compteur binaire cor  respond au signal de code du caractère   A   repré  senté à la ligne 3 de la     fig.    7.  



  A la réception de la quatrième impulsion de com  mande, le transistor 757 (côté impulsion de repos,  étage Ne 1) devient conducteur, de sorte qu'une im  pulsion est engendrée et elle va, comme on l'a dit  plus haut, au transistor 776 (côté impulsion de repos,  étage N  2) et au premier     amplificateur    785 d'impul  sions de repos (le transistor 783 n'étant plus conduc  teur). Par conséquent, le transistor 776 devient con  ducteur et envoie une impulsion aux conducteurs  793 et 794 et aux redresseurs 795 et 796, rendant  non conducteur le transistor 777 (côté impulsion de  repos, 3e étage) et rendant conducteur le transistor  797 (côté impulsion de travail) et aussi aux conduc  teurs 793 et 798, au 3e amplificateur 788 d'impul  sions de repos (le transistor 787 étant non conducteur).

    Après avoir été rendu conducteur, le transistor 797  envoie une impulsion au conducteur 799 et au 3e  amplificateur 801 d'impulsions de travail.     Etant     donné que les amplificateurs d'impulsions de repos  785, 788 et 790 à 792 sont maintenant conducteurs  et que le 3e amplificateur 801 d'impulsions de tra  vail est conducteur, l'état du compteur binaire cor  respond au signal   espace   montré à la ligne Ne 4  de la     fig.    7.    Il y a lieu de noter que le premier étage 751  reçoit ses impulsions de commande ou d'entrée d'une  source extérieure (à savoir du dispositif d'explora  tion magnétique 126,     fig.    12).

   On remarquera égale  ment que le deuxième étage 752 reçoit ses impul  sions de     commande    ou d'entrée du premier étage 751  lorsque le potentiel du, collecteur du transistor 757  (côté impulsion de repos) passe de -20 à -7 volts,  autrement dit il est rendu conducteur lors de la tran  sition de l'état correspondant à une impulsion de  travail à l'état correspondant à une impulsion de re  pos, (voir ligne 2,     fig.    7). On remarquera en outre  que le troisième étage 743 reçoit ses impulsions de  commande ou d'entrée du deuxième étage 752 lors  que le collecteur du transistor 776 passe de -20 à -7  volts, autrement dit, lorsque le transistor 776 est  rendu conducteur, voir ligne 4,     fig.    7.

   Par     consé-          quent,    d'après les     fig.    7 et 7A, il faut une impulsion  d'entrée pour actionner le premier étage 751 (voir  ligne 1     fig.    7), deux impulsions d'entrée pour action  ner le deuxième étage 752 (voir ligne 2 de la     fig.    7),  quatre impulsions pour actionner le troisième étage  753 (voir ligne 4,     fig.    7) huit impulsions pour ac  tionner le quatrième étage 764 (voir ligne 8,     fig.    7)  et seize impulsions pour actionner le cinquième étage  755 (voir     ligne    16,     fig.    7) etc.

   D'après ce qui pré  cède, on voit que l'impulsion positive obtenue lors  que le collecteur du côté impulsion de repos passe de  -20 à -7 volts, se produit pour n'importe quel étage  lors de l'application d'une impulsion d'entrée à cet  étage.  



  La roue 123     (fig.    12 et 13) montée sur l'arbre  102 de la roue des     caractères    comporte trois rangées  de dents et à chaque rangée est associé un dispo  sitif magnétique de     lecturee    126. Une impulsion est  engendrée dans     l'enroulement    d'un dispositif 126  chaque fois qu'une dent passe devant la face polaire  du dispositif correspondant.

   Chaque dispositif de lec  ture 126 comporte un enroulement disposé autour  d'un noyau 802 et à l'intérieur de sa tête de     sorte     que par suite du déplacement d'une dent 124 devant  ce noyau 802, une impulsion électrique     est    induite  dans cet enroulement et cette impulsion arrive par le  conducteur 803 correspondant à l'une des bornes  804, 805 et 806 du compteur binaire, suivant la ran  gée de dents en jeu. La rangée située à l'intérieur  comporte cinquante-deux dents équidistantes, une  dent étant prévue pour chaque   champ   de carac  tère de la roue des caractères et les impulsions en  gendrées seront appelées impulsions de   comptage  de caractères      .    Ces impulsions sont représentées sur  la ligne 1 de la     fig.    22.

   S'il y avait seulement ces  impulsions de   comptage de caractères      ,    un tour de  roue ne donnerait que 52 impulsions. Toutefois, les  combinaisons de code pour certains des caractères de  la roue des caractères dépassent le nombre binaire  52 tandis que les combinaisons de code pour cer  tains signaux spéciaux sont compris dans les pre  miers cinquante-deux nombres binaires enregistrés.  Par conséquent, il est nécessaire de     fournir    en plus      dix impulsions. de   comptage   à l'entrée du comp  teur, correspondant aux signaux spéciaux. Ces im  pulsions se produisent entre les     différentes    impul  sions de   comptage de caractères  .

   Neuf des dix  impulsions sont engendrées par la rangée     médiane    de  dents de la roue 123 et on les voit sur la     ligne    3 de  la     fig.    22,     l'impulsion    restante étant engendrée par  un circuit à réaction dans le compteur lui-même. Ces       impulsions    sont appelées impulsions de   comptage  des signaux spéciaux  .  



  La rangée extérieure de la roue 123 contient une  dent qui est     utilisée    pour engendrer une     impulsion     de     remise    à zéro. Cette impulsion remet le compteur  binaire à zéro ; autrement dit, elle rend tous les trans  istors 757 et 776 à 780 (côté impulsion de repos)  conducteurs. Cette impulsion remet le compteur à  zéro à partir d'un compte quelconque mais, dans une  opération normale, cela ne se produit qu'entre les  caractères   ;   (point-virgule) et   E  . Toutefois  s'il     arrivait    que le compteur soit déphasé par rapport  à la roue à caractères, l'impulsion de remise à zéro       rétablirait    bientôt le synchronisme.  



  Les 52 impulsions de   comptage de caractères  ,  les neuf impulsions de   comptage de signes spé  ciaux   et l'impulsion de remise à zéro sont introdui  tes dans le compteur binaire (par les conducteurs  803,     fig.    12), par les bornes 804, 805 et 806 respec  tivement     (fig.    32). Ces impulsions de -5 volts arri  vent à la base des amplificateurs     (transistors)    corres  pondants 807, 808 et 809. Le transistor 807 ampli  fie les 52 impulsions de   comptage des caractères    et le transistor 808     amplifie    les neuf impulsions de    comptage des signaux spéciaux  .

   Les tensions de  sortie des     transistors    807 et 808 sont des impulsions  passant de -22 à -1 volt et sont différenciées respec  tivement par les condensateurs 811 et 812. Les côtés  de     sortie    des condensateurs 811 et 812 sont     reliés     à un conducteur commun 813 et les impulsions posi  tives vont au circuit d'entrée du premier étage 751  du compteur binaire et, comme on l'a dit, elles ac  tionnent ce premier étage     par    l'intermédiaire des re  dresseurs 761 et 762.  



  L'impulsion de remise à zéro arrive par le con  ducteur 814 à la base du transistor 809 qui fournit  une impulsion analogue à celles fournies par les  transistors 807 et 808. Cette impulsion arrive par  le conducteur 815 à un conducteur commun 816  d'où elle va à travers les condensateurs de différen  ciation 817 à 822 aux bases     des    côtés   impulsion    des six étages 751 à 756 (c'est-à-dire aux transistors  758, 775, 797, 823, 824 et 82.5     respectivement)    en  amenant tous les étages actionnés à l'état correspon  dant à l'impulsion de repos ou à   zéro  .

   L'impul  sion de remise à zéro est assez     forte    pour l'emporter  sur toute impulsion qui est engendrée du fait de la  remise d'un étage de l'état     correspondant    à une im  pulsion de     travail    à celui correspondant à une impul  sion de repos de sorte que l'établissement de la com  binaison  zéro   dans le compteur, combinaison qui    est représentée à la ligne 0 de la     fig.    7 est toujours  assuré..  



  Comme on l'a dit plus haut, les tensions de sor  tie des étages 751 à 756 sont     amplifiées    par les am  plificateurs d'impulsions de travail 783, 787, 801,  826, 827 et 828 et par les amplificateurs d'impul  sions de repos 785, 788, 789, 790, 791 et 792 res  pectivement. Les impulsions de   comptage   action  nent le compteur et les potentiels des collecteurs des  transistors qui constituent les six étages 751 à 756  indiquent les combinaisons de code correspondantes.  La     fig.    22 montre les endroits où les impulsions de    comptage des signaux spéciaux   changent le comp  tage entre les impulsions de   comptage   des carac  tères.  



  Les potentiels des collecteurs des étages 751 à  756 du compteur binaire arrivent aux     bases    des  amplificateurs correspondants. Les émetteurs de ces  amplificateurs transmettent les impulsions appliquées  sur leurs bases. Les douze impulsions de sortie des  émetteurs sont appliquées par des conducteurs 831  à 842 aux bornes 851 à 862 d'une fiche de raccor  dement 830 et de là, elles vont aux     bornes    464, 465  et<B>863"à</B> 872 de la fiche de raccordement 450     (fig.     23) des unités 67, 68 et 69 d'emmagasinage et de  reconnaissance des caractères pour être comparées  avec les combinaisons de code emmagasinées.

   Com  me cela est indiqué à la     fig.    2, la tension de .sortie  du compteur binaire 77 arrive simultanément aux  trois unités 67, 68 et 69 et une reconnaissance ne  se produit que dans celle de ces unités à laquelle est  transmise depuis l'unité 65 le caractère reçu, sous  la commande de l'unité 71, comme on l'a dit précé  demment.  



       Il    y a lieu de noter que les impulsions amplifiées  de   comptage de caractères   venant du transistor  807 sont dirigées par le conducteur 813 vers l'étage  751 du compteur binaire et en plus elles sont diri  gées par un conducteur 873 vers la borne 874 d'où  elles vont à la borne 489     (fig.    23) des circuits d'em  magasinage et de reconnaissance     des    caractères (uni  tés 67, 68 et 69). Comme on l'a dit plus haut, ces  impulsions de   comptage de caractères   garantis  sent que le circuit sélecteur de     reconnaissance    de ca  ractères ne reconnaisse un caractère qu'au moment  où une combinaison de code de caractère a été for  mée d'abord dans le compteur binaire 77.  



  Une des dix impulsions de   comptage des si  gnaux spéciaux   (ligne 3,     fig.    22) est produite par  le compteur lui-même et revient à l'entrée. Cette  impulsion     apparaît    pour la combinaison de code  (  espace   ligne 36,     fig.    7A) et amène le compteur  à l'état correspondant à la combinaison de code    S   (sonnerie) (ligne 37,     fig.    7A). Le circuit sélec  teur 875 de retour d'   espace       (fig.    33) sert à en  gendrer cette impulsion de   comptage   supplémen  taire.

   Les tensions d'entrées du circuit sélecteur 875  (qui est un circuit sélecteur   Et  ) viennent des am  plificateurs 785, 788, 801, 790, 791 et 828 et arri  vent aux diodes 881 à 886, conformément à la coin-           binaison    de code   espace      ,    dans laquelle les     élé-          ments    Nos 1, 2, 4 et 5 sont des impulsions de repos  et les éléments     Nos    3 et 6 sont des impulsions de tra  vail     (ligne    36 de la     fig.    7A). La     fourniture    d'une  impulsion supplémentaire ayant un potentiel de -7  volts ne se produit que lorsque l'état du compteur  binaire correspond à la combinaison de code   es  pace  .

   Le circuit sélecteur 875 fournit     normalement     un potentiel de -20 volts.     L'impulsion          allant    vers  le positif   venant du circuit sélecteur 875 est appli  quée à travers le redresseur 887, le condensateur  888 et les conducteurs 889 et 813, à l'entrée du  compteur binaire (c'est-à-dire au premier étage 751  du compteur binaire) ce qui met immédiatement le  compteur dans l'état correspondant à la combinai  son de code   sonnerie   (ligne 37 de la     fig.    7A).

    Immédiatement après que l'impulsion   espace   a  rendu non conducteur le côté   impulsion de tra  vail   (758) et conducteur le côté   impulsion de  repos   (757), l'impulsion revenant du     circuit    sélec  teur d'impulsions de travail 875 inverse l'état du       premier    étage, de sorte que l'état du transistor 758  correspond à une impulsion de travail et l'état du  transistor 757 correspond à une impulsion de repos.  



  La tension de     sortie    de l'amplificateur 828, côté  impulsion de travail du sixième étage 756 du comp  teur est appliquée par des conducteurs 841, 892 et  893 à un amplificateur indicateur 891     (fig.    34) qui  actionne une lampe indicatrice 894. La lampe 894  est allumée chaque fois que le compteur passe dans  la seconde moitié du cycle de comptage (représenté  à la     fig.    7A) ce qui sert à indiquer le fonctionnement  convenable des circuits de comptage.

      <I>Unités d'impression à</I>     thyratrons          Comme    on l'a déjà dit précédemment, les trois  unités d'impression à     thyratrons    78, 79 et 81     (fig.    2)  contiennent les     circuits    servant à exciter les aimants  121     (fig.    10) des dispositifs d'impression. Chacune  des unités d'impression à thyratrons 78, 79 et 81 est  associée à une des unités 67, 68 et 69 d'emmagasi  nage et de reconnaissance des caractères.

   Les unités  d'impression à     thyratrons    sont identiques sauf que  l'unité 81 contient deux circuits à thyratrons sup  plémentaires pour actionner .le mécanisme d'avance  de ligne et que l'unité 79 contient un circuit supplé  mentaire pour exciter l'aimant de la sonnerie de si  gnalisation. Il y a vingt-six circuits d'impression à       thyratrons    dans chaque unité 78, 79 et 81,     vingt-          cinq    circuits étant utilisés dans la forme d'exécution  décrite, de sorte qu'il en résulte alors une longueur  maximum de ligne de 75 caractères.  



  L'unité 67 de     reconnaissance    des caractères com  mande les circuits d'impression de l'unité 78,     l'unité     68 commande ceux de l'unité 79 et     l'unité    69 com  mande ceux de l'unité 81. Par exemple, l'impulsion  émise à partir du circuit du distributeur d'impression  501     (fig.    2.3) à travers la     borne    534     (fig.    26) sert  à préparer à l'allumage de la grille de     commande    du  premier circuit à thyratrons dans l'unité d'impression    78.

       Lorsqu'il    y a concordance des caractères, l'im  pulsion de     reconnaissance    des caractères est appli  quée à travers les bornes 497     (fig.    26) et 997     (fig.     38)     (comme    on va le voir) sur l'autre grille de com  mande de tous les thyratrons de l'unité 78 et allume  celui     d'entre    eux qui a été préparé, en     provoquant     ainsi l'impression du caractère correspondant par  l'aimant de     commande    d'impression avec lequel ce  circuit à thyratron est relié.  



       Les        fig.    36, 37 et 38 représentent une des unités  d'impression à     thyratrons    et également les circuits  d'avance de     ligne    et de la sonnerie de signalisation:  Les potentiels d'allumage appliqués aux grilles 931  de chacun des vingt-cinq thyratrons 901 à 925     arri-          vent    par les bornes 1001 à 1025 respectivement, en       provenance    de l'unité     d'emmagasinage    et de recon  naissance des caractères associés 67, 68 ou 69.

   Com  me on l'a dit précédemment, ces potentiels provien  nent des éléments 501 à 525 du distributeur     d7im-          pression        (fig.    23 à 26).     Ces    impulsions, qui sont  appliquées aux bornes 1001 à 1025, arrivent par  les conducteurs 1101 à 1125 sur les     grilles    931 des       thyratrons    correspondants 901 à 925. Les tensions  de sortie de ces thyratrons sont appliquées, comme  on va le voir, par des conducteurs 1201 à 1225 res  pectivement aux bornes 1301 à 1325     (fig.    38); d'où  elles arrivent aux aimants correspondants 121 de  commande d'impression.  



  Par exemple, l'impression du     premier    -caractère  d'une ligne est commandée par l'unité 67 ; le pre  mier élément 501 du distributeur d'impression 501  à 525 de l'unité 67 applique un potentiel d'allumage  de -7 volts à la borne 1001 de l'unité d'impression.

    Cette impulsion arrive sur la grille 931 du     thyratron     901 par un diviseur de tension 932, 933 en faisant  monter ainsi le potentiel de     grille    de -8 à 2     volts.     Par conséquent, le thyratron 901 est préparé pour  être finalement     allumé    par     l'impulsion    de reconnais  sance de caractère qui arrive sur la borne 997     (fig.     38) en venant de la borne 497     (fig.    26) et elle va  par le conducteur 934 à chacun des     thyratrons    90,1  à 925.

   Tous les     thyratrons,    sauf le thyratron 901  ont leur grille 931 portée au potentiel de -8 volts,  ce qui empêche ces thyratrons d'être allumés.  



  A l'état de repos, le thyratron 901 n'est pas con  ducteur et aux bornes d'un condensateur 935     relié     à son anode est appliquée une tension de 300 volts.  A la     réception    d'une impulsion de     reconnaissance     d'un caractère par le conducteur 934, le thyratron  901 dont la grille 931 est portée au potentiel de -2  volts s'allume et le potentiel de plaque tombe ins  tantanément de<B>+300</B> volts à environ     -I-10    volts.

    Le condensateur 935 commence immédiatement à  se décharger à travers     l'aimant    de     commande    d'im  pression 121 qui lui est associé tandis que le thy  ratron<B>901</B> reste conducteur et laisse passer du cou  rant en provenance de la résistance 936 et du con  densateur 935. L'inductance et la     résistance    de l'ai  mant 121 de commande d'impression, la capacité      du condensateur 935 et la faible résistance du     thy-          ratron    allumé 901 constituent un circuit résonnant  série. La résistance 936, qui est une résistance rela  tivement     grande,    n'affecte pas de manière apprécia  ble le     fonctionnement    du circuit résonnant.  



  Au début, toute l'énergie est emmagasinée dans  le condensateur 935. La décharge du condensateur  935 fournit l'impulsion de courant qui s'écoule à  travers l'aimant 121 et le thyratron 901. Lorsque  l'intensité du     courant    atteint une valeur maximum,  toute l'énergie qui était disponible dans le conden  sateur a été transférée au champ magnétique de l'ai  mant 121. Le courant commence alors à diminuer.  Lorsqu'il est nul, le champ magnétique est nul et  l'énergie se retrouve dans le condensateur. Du fait  des pertes dans le circuit, la tension maximum, aux  bornes du condensateur rechargé n'est qu'une frac  tion de la tension     primitive.    Le condensateur 935 se  décharge alors à nouveau, mais en sens inverse.

         Etant    donné que ce courant de décharge s'écoule  dans le mauvais sens à travers le thyratron, il est  fourni par la source de     tension    de     -I-300    volts par       l'intermédiaire    de la     résistance    936, en provoquant  dans celle-ci une chute de tension élevée. Ainsi, la  plaque du thyratron 901 est rendue négative et le       thyratron    s'éteint. Le condensateur 935     continue    à  se décharger en passant par le potentiel nul puis se  recharge finalement à travers la résistance 936 et  l'aimant 131 pour revenir aux     -I-300    volts     primitifs.     



  Lorsque la faible résistance du thyratron conduc  teur 901. n'est plus dans le circuit, la résistance éle  vée 936 devient alors     prédominante    et le circuit ré  sonnant passe de l'état oscillant à l'état dans lequel  il est     fortement    amorti. Par conséquent, après que le  thyratron 931 a été éteint, le condensateur 935 se  recharge de façon exponentielle et la valeur de la  résistance 936     -commande    la vitesse de charge.

   La  résistance 936 est réglable de     sorte    que l'on peut  modifier la valeur du courant de charge.     Etant    donné  que le     courant    de     charge    passe également par l'ai  mant 121 de commande d'impression, il produit un       champ        magnétique    diminuant     exponentiellement    qui  exerce une faible force d'attraction sur l'armature de  l'aimant.

       Auparavant,    l'armature a été presque com  plètement     attirée    par suite de l'impulsion primitive  de courant, impulsion qui était     constituée        par    la       première        alternance    d'une onde amortie. Le courant  de décharge en sens inversée qui suit l'impulsion  primitive a un effet     négligeable    sur l'attraction de       l'armature,    parce qu'il est de courte durée.

   Quant  à celui de la recharge     finale,    il influence le retour de  celle-ci et réduit sa vitesse de retour ; il     sert    donc  à supprimer un rebondissement qui se produirait si  l'armature revenait à .grande vitesse à sa     position    de  repos. La résistance 936 peut être réglée de manière  que le rebondissement soit presque supprimé.  



  Les thyratrons 902 à 925 fonctionnent de ma  nière analogue. Les tensions de sortie de ces     thy-          ratrons    vont par des conducteurs 1202 à 1225 res-         pectivement,    aux bornes 1302 à 1325 qui sont re  liées aux aimants de commande d'impression 121  correspondants.  



  On utilise un 26e thyratron 926 lorsqu'on désire  avoir une ligne à 78 caractères. Le     thyratron    926  est excité par des     impulsions    apparaissant à la borne  <B>1026</B> et     appliquées    sur sa grille par le     conducteur     1126. La tension de     sortie    du thyratron 926 va par  le conducteur 1226 à la borne 1326 et de là à l'ai  mant correspondant 121 de l'unité d'impression.  



  Le circuit de sonnerie, comprenant le thyratron  951, est un circuit sensiblement analogue aux cir  cuits d'impression décrits ci-dessus. Les principales       différences    consistent en ce que la grille 952 du     thy-          ratron    951 est reliée à la cathode de     sorte    qu'il suf  fit d'appliquer une impulsion à sa grille 953 pour  l'allumer et en ce que le courant de décharge du  condensateur 964 va, par le conducteur 948 et la  borne 949, à l'aimant (non représenté) d'une son  nette qui est montée dans le boîtier de l'unité d'im  pression correspondante.

   L'impulsion d'allumage  (-19 à -7 volts, par exemple) du thyratron 951 vient  du circuit sélecteur 559     (fig.    30) de     reconnaissance     du signal   sonnerie  , circuit qui se trouve dans  l'unité de commande 71, en passant par la borne  668     (fig.    30), la borne 955     (fig.    38) et le conduc  teur 956 et elle est différenciée en une impulsion       positive    par un condensateur 957. Les résistances  958 et 959 polarisent la grille 953 du thyratron 951  à -6 volts.  



  Le circuit de sonnerie, comprenant le thyratron  951, circuit que l'on vient de décrire, est logé dans  l'unité 79 et il est représenté à l'intérieur d'un rec  tangle en traits pointillés<B>961</B>     (fig.    38).  



  Le circuit d'avance de ligne qui comprend les  thyratrons 962 et 963 se trouve en réalité     dans     l'unité 81 et il est représenté à l'intérieur d'un rec  tangle en traits pointillés 964     (fig.    38). Le thyratron  962     sert    à exciter l'aimant 181 d'avance de ligne       (fig.    9) de l'imprimeur par décharge des condensa  teurs 965 et 966 et le thyratron 963 sert à recharger  ces condensateurs.  



  Le thyratron 962 fonctionne sensiblement comme  les circuits d'impression précédemment décrits sauf  qu'il suffit d'une seule tension d'entrée pour l'allu  mer. Cette tension d'entrée provient du circuit de  reconnaissance du signal   .avance de ligne   de  l'unité de commande 71 c'est-à-dire du circuit sélec  teur 557     (fig.    30) et elle arrive par la borne 722       (fig.    30), la borne 967     (fig.    38) et le conducteur 968.  Cette     impulsion    d'entrée est une impulsion variant  de -20 à 0 volts ; elle est différenciée par un con  densateur 969.

   La plaque du thyratron 962 est reliée  par un conducteur 971 à une borne 972 reliée à  l'électro-aimant 181 d'avance de     ligne        (fig.    9).  



  Le circuit de retour de l'électro-aimant 181 passe  par la borne 973     (fig.    38) et le conducteur 974 pour  arriver aux condensateurs 965 et 966 montés en     pa-          ralléle    (dont la capacité totale est égale à 5     #tF).    Ce  circuit est analogue aux circuits d'impression, à l'ex-           cepxion    que dans chaque circuit d'impression le  courant passe à travers un condensateur relié à une  anode d'un thyratron et qu'il va à la terre à travers  l'enroulement de l'un des électro-aimants 121 de  commande d'impression, comme représenté à la     fig.     2,

   tandis que dans le circuit d'avance de ligne le  courant va de l'anode du thyratron 962 par l'enrou  lement de l'électro-aimant 181 d'avance de     ligne    et  revient à la borne 973, puis il passe par le conduc  teur 974 aux condensateurs 965 et 966 dont les  autres     bornes    sont reliées à la terre. L'impulsion de  courant résultante excite l'électro-aimant 181 d'avan  ce de ligne,     électro-aimant    dont l'armature actionne  le dispositif d'avance de ligne. Les condensateurs  965 et 966 ne se rechargeraient pas assez vite, si on  les laissait se recharger par une résistance disposée  dans un circuit de plaque, comme dans les circuits  d'impression.

   Par conséquent, on     utilise    le thyratron  963 pour recharger les condensateurs à     -f-300    volts  à travers la résistance 975. Cette dernière est réglée  de manière à être assez faible pour obtenir une re  charge rapide. Le thyratron 963 est allumé par une  impulsion de 20 volts (-20 à 0 volt) venant du cir  cuit de reconnaissance du signal   avance de ligne      ,     circuit se trouvant dans l'unité de     commande    71.  Cette impulsion arrive sur la     borne    976 par le con  ducteur 977 et elle est différenciée par un conden  sateur 978, de sorte qu'on obtient une impulsion  positive.

   Cette impulsion est en retard de 4     millise-          condes    par     rapport    à l'impulsion d'avance de     ligne     et cela est nécessaire pour permettre au thyratron  962 de s'étendre. La grille 979 du thyratron 963 est  polarisée à     -45    volts par une résistance 981. Lors  que le thyratron 962 s'éteint, le potentiel de cathode  du thyratron 963 est environ égal à -40 volts et il  monte     exponentiellement    vers     -I-300    volts lorsque  les condensateurs 965 et 966 se chargent. La vitesse  de charge est déterminée par la résistance 982.

   Le  thyratron 963 est conducteur jusqu'à ce que les con  densateurs soient chargés et à ce moment il n'y a  plus de différence de potentiel entre la plaque et la  cathode pour assurer la conductibilité. Un enroule  ment secondaire d'un transformateur faisant partie  d'un dispositif d'alimentation non représenté fournit  une tension alternative de chauffage de 6,3 volts  pour le thyratron 963. La cathode du     thyratron    963  est reliée à un côté du filament, les connexions pour  l'alimentation du filament étant indiquées par 983  à la     fig.    38.

Claims (1)

  1. REVENDICATION Installation télégraphique dans laquelle les si gnaux transmis servent à commander l'impression de caractères et qui est munie d'une roue à caractères en rotation permanente, portant sur sa périphérie des rangées de caractères et coopérant avec une rangée de mécanismes d'impression à marteaux qui sont disposés en face des rangées de caractères, caracté risée en ce que les différents caractères (104) sont disposés de la même façon dans les rangées de ca- ractères de ladite roue (10l),
    en ce qu'elle est agen cée de façon qu'une combinaison d'impulsions de repos et de travail identique à celle du code télégra phique utilisé soit engendrée pour chaque caractère passant en face de la rangée des mécanismes d'im pression, la disposition des caractères étant telle que ces combinaisons correspondent aussi à la suite des chiffres binaires croissants, en ce qu'un compteur binaire (77) qui est actionné par des impulsions de comptage fournies par un organe coopérant avec la roue à caractères pendant que les caractères qui se succèdent sont amenés à la position d'impression, en face des mécanismes d'impression à marteaux (107),
    engendre l'une après l'autre des combinaisons de potentiels qui sont appliquées à au moins une unité de reconnaissance des caractères<B>(67,68</B> ou 69), com binaisons qui correspondent aux combinaisons sus mentionnées et qui sont comparées l'une après l'au tre dans l'unité de reconnaissance des caractères à une combinaison de potentiels correspondant à un signal reçu, combinaison qui a été emmagasinée dans cette unité de reconnaissance des caractères sous la commande d'une unité de commande (71) fournissant dans ce but une impulsion de transfert lors de la réception de chaque signal correspondant à un caractère,
    le tout étant agencé de manière que si les potentiels comparés concordent, une impul sion soit fournie par l'unité de reconnaissance des caractères pour actionner le mécanisme d'impres sion à marteau correspondant à l'aide d'un distribu teur d'impression (501 à 525) qui rend l'un après l'autre les mécanismes d'impression à marteaux prêts à fonctionner et dont les éléments sont successive ment actionnés à chaque signal reçu, pour imprimer les caractères les uns à côtés des autres sur une ligne d'une page (103). SOUS-REVENDICATIONS 1.
    Installation selon la revendication, caractéri sée en ce que ladite unité de reconnaissance des ca ractères (67, 68 ou 69) possède un certain nombre de circuits d'emmagasinage bistables (401 à 406) dans lesquels sont emmagasinées les impulsions de repos (0) et les impulsions de travail (1) du signal reçu et qui servent à appliquer un potentiel signifiant un zéro ou un potentiel signifiant un un aux circuits sélecteurs d'un nombre convenable de circuits sélecteurs de reconnaissance d'impulsions (431 à 436)
    auxquels sont de même appliquées les combi naisons binaires successives depotentiels quisontfour- nies par le compteur binaire (77), le tout étant agencé de manière que si les potentiels appliqués à tous les circuits sélecteurs concordent, des circuits sélecteurs de reconnaissance des caractères (481 à 486) qui sont reliés à tous les circuits de reconnaissance d'impul sions, fournissent ladite impulsion au distributeur d'impression (501 à 525). 2.
    Installation selon la sous-revendication 1, ca ractérisée en ce que les impulsions de repos et les impulsions de travail de tous les signaux reçus sont appliquées par un dispositif électronique de réception (65) à des circuits sélecteurs à coïncidence (42l à 426) disposés dans ladite unité de reconnaissance des caractères (67, 68 ou 69), lesdits circuits sélec teurs étant disposés de manière qu'ils transmettent aux circuits d'emmagasinage bistables (401 à 406) au moyen d'impulsions de transfert fournies par l'unité de commande (71) seulement les impulsions des signaux reçus qui représentent le caractère pro prement dit.
    3. Installation selon la sous-revendication 2, ca ractérisée en ce que les impulsions de travail et les impulsions de repos des signaux reçus l'un après l'autre par une ligne (53) sont emmagasinées d'abord sous la commande d'un distributeur de réception (334-340) qui est actionné par un oscillateur (326), dans un certain nombre de circuits d'emmagasinage (347 à 351) prévus dans le dispositif électronique de réception (65), l'emmagasinage se faisant sans les impulsions correspondantes de départ et d'arrêt, ces derniers circuits d'emmagasinage étant reliés aux circuits sélecteurs à coïncidence (42l à 426) pour leur appliquer des impulsions,
    et en ce que les im pulsions de transfert qui commandent les circuits sé lecteurs à coïncidence sont fournies par l'unité de commande (71) lors de la réception des impulsions d'arrêt qui sont fournies par un élément dit d'ar rêt (340) du distributeur de réception, la dispo sition étant telle qu'elles soient arrêtées par des cir cuits de reconnaissance de signaux spéciaux (554 à 560, 588) prévus dans l'unité de commande, lorsque ces signaux spéciaux se produisent, ces signaux ne représentant pas des caractères à imprimer. 4.
    Installation selon la sous-revendication 3, ca ractérisée en ce que l'unité de commande (71) pos sède un certain nombre de circuits sélecteurs à coïn cidence (554 à 560, 588) de reconnaissance de si gnaux spéciaux qui ne représentent pas des carac tères (par exemple lettres , chiffres , retour du chariot et espace ), ces derniers circuits sé lecteurs à coïncidence étant reliés à des circuits (548, 585) de suppression des impulsions de transfert et de suppression d'impulsions de distribution d'impres sion, le tout étant agencé de manière que lors de la présence des signaux spéciaux autres que celui es pace , les signaux de transfert et de distribution d'impression soient arrêtés,
    de sorte que ces signaux spéciaux ne sont pas emmagasinés dans les circuits d'emmagasinage bistables (401 à 406) de l'unité de reconnaissance des caractères (67, 68 ou 69) et que l'étage prêt à fonctionner du distributeur correspon dant d'impression (501 à 525) ne soit pas actionné, et de façon que l'étage prêt à fonctionner du distri buteur d'impression soit actionné par une impulsion de distribution d'impression correspondante lors de la présence du signal spécial espace .
    5. Installation selon la sous-revendication 4, ca ractérisée en ce que les impulsions d'avance pour le compteur binaire (77) sont fournies par au moins un dispositif magnétique de lecture (126) qui est excité par des saillies (124) disposées sur une roue (123) qui est fixée sur l'arbre de la roue des caractè res (101).
    6. Installation selon la sous-revendication 5, ca ractérisée en ce que chaque mécanisme d'impression à marteau (107) est commandé par un circuit d'im pression correspondant qui possède un dispositif élec tronique qui est commandé au moyen d'une impul sion fournie par le distributeur d'impression corres pondant (501 à 525), le tout étant agencé de manière que ce dispositif électronique soit rendu conducteur par une impulsion de reconnaissance de caractère et actionne ainsi le mécanisme d'impression à marteau correspondant. 7.
    Installation selon la sous-revendication 6, ca ractérisée en ce qu'elle possède plusieurs unités de reconnaissance des caractères (67, 68 et 69) qui sont reliées au compteur binaire (77) et à l'unité de com mande (71), qui comprennent chacune un distribu teur d'impression (501 à 525) et qui sont reliées à une partie correspondante des mécanismes d'impres sion à marteaux (107), en ce que ces mécanismes d'impression à marteaux sont disposés en face des rangées de caractères consécutives (104) de la roue des caractères (10l), en ce que les impulsions de transfert et de distribution d'impression fournies par l'unité de commande (71) sont appliquées, sous la commande d'un distributeur d'impulsions (563 à 565, 605 à 607) prévu dans l'unité de commande,
    aux unités correspondantes de reconnaissance des carac tères et aux distributeurs d'impression associés, en ce que les étages du distributeur d'impression sont actionnés conformément aux signaux successifs reçus qui représentent des caractères, lesdits signaux étant enregistrés dans les différentes unités de reconnais sance des caractères pendant des périodes qui se re couvrent et dans lesquelles les combinaisons de po tentiels qui correspondent aux signaux emmagasinés sont comparées avec les combinaisons de potentiels successives qui sont engendrées simultanément dans les différentes unités de reconnaissance des carac tères par le compteur binaire, le tout étant agencé de telle sorte que pendant un seul tour de la roue des caractères plusieurs caractères soient imprimés par les mécanismes d'impression à marteaux.
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