Appareil utilisé dans la transmission de graphiques et pouvant fonctionner soit comme émetteur, soit comme récepteur. La présente invention a pour objet un appareil utilisé dans la transmission de gra phiques et pouvant fonctionner soit comme émetteur, soit comme récepteur, comprenant un dispositif d'embrayage électromagnétique dont l'armature fait partie du système d'en traînement d'un organe de contact par rap port à une surface cylindrique.
Ce procédé permet une transmission no nobstant une différence de vitesse entre les organes moteurs de l'émetteur et du récep teur et l'utilisation d'une bande réceptrice non limitée à la surface du cylindre porteur.
L'appareil selon l'invention est caracté risé en ce que le flux alimentant l'électro du dispositif d'embrayage est insuffisant pour attirer l'armature, mais suffit à en as surer l'adhérence après que ce flux a reçu une valeur plus grande et a provoqué l'at traction, et en ce que le flux est pour le moins réduit en fin de course de l'organe de contact de manière à permettre à l'armature et à l'organe de contact de reprendre leur position initiale.
Le circuit d'embrayage comporte, de pré férence, une dérivation qui permet la mise hors circuit d'une résistance de manière à pro voquer l'attraction de l'armature.
Les dessins ci-joints représentent, à titre d'exemple, une forme d'exécution de l'appa reil selon l'invention.
La fig. 1 est une vue en plan montrant l'ensemble de l'appareil; Les fig. 2 et 3 sont des vues de détail montrant la disposition des surfaces d'émis sion et de réception; Les fig. 4 à 7 sont des vues de détail; La fig. 8 donne un schéma des connexions; Les fig. 9 et 10 se rapportent à des va riantes de détails.
L'appareil représenté comporte (fig. 1) une base 1 portant, vers l'une de ses extré mités, une boîte rectangulaire formée de pla ques 2, 3, 4 et 5 ; à l'intérieur de celle-ci se trouve un carter 6. 'La base 1 porte un moteur 7 muni d'un frein à force centrifuge 8 et sur le volant duquel est monté un rupteur 10 destiné à fractionner si nécessaire le courant continu utilisé pour l'émission.
Le moteur actionne un arbre 9 qui porte une vis sans fin 11 engrenant avec une roue hélicoïdale 12 figée sur un arbre 13. Celui-ci porte, à l'une de ses extrémités, un électro aimant d'embrayage 14 et, à l'autre extré mité, un pignon denté 15 qui engrène avec une roue dentée 16 qui porte une came 17 et une tige 18. Cette tige 18 coopère avec un levier 20 qui oscille autour d'un axe 21 (fig. 5) et avec lequel fait corps un support 22 pour des contacts 103, 104.
La came 17 coopère avec un levier 19 (fig. 6) muni d'un cliquet 23 destiné à agir sur une roue à rochet 24 dite roue chronomé- trique. Cette roue à rochet comporte une partie lisse munie d'une encoche 25 et porte une tige 26 destinée à agir sur un levier 27 faisant corps avec une plaque 28 de conjonc tion électrique. Ce levier 27 se prolonge à son extrémité dirigée vers la tige 26 par une lame 27' munie d'un bec 272 par lequel il peut agir sur un levier 78 dont le rôle sera expliqué ci-après.
L'encoche 25 sert à la réception d'une tige 29 faisant partie de l'ar mature 30 d'un électro-aimant 31.
En face de l'électro-aimant 14 se trouve une poulie 32 (fig. 1) qui est montée sur un arbre 33 avec lequel fait corps une vis sans fin 34 .destinée à entraîner des tringles 35 et 36 par l'intermédiaire de blocs 351 et 361. Cet arbre comporte, à son extrémité, un ressort de rappel 37 qui s'appuie, d'une part, sur une butée à billes 38 et, d'autre part, sur une plaque 39. L'extrémité de l'arbre 33 est soumise à l'action d'une vis 40.
Sous l'électro-aimant 14 et la poulie 32 se trouve un bloc 41 qui peut se -déplacer sous l'action d'un bouton extérieur 42 qui se trouve à l'extrémité d'une tige 43 fixée au bloc. A cette tige 43 est fixée l'extrémité du levier 78. Le mouvement de ce bloc est guidé par des tiges 44 et 45. Ce bloc porte, en outre, une plaque 46 (fig. 4) munie d'une encoche servant de logement pour une branche 47 s'é tendant verticalement d'un levier comportant en outre une branche horizontale 48 (fig. 1) qui participe aux mouvements du bloc 41.
Le levier 47, 48 agit soit sur un levier 49, soit sur un levier 50, qui sont montés tous les deux librement sur un arbre 51. Le levier 50 agit par un cliquet 52 sur une roue à rochet 53 qui est fixée sur l'arbre 51 portant un cylindre de réception 58. Le levier 49 agit, par l'intermédiaire d'un cliquet 56, sur une roue à rochet 57 faisant corps avec un cylindre d'émission 55.
L'ensemble des cylindres de réception et d'émission comprend (fig. 2 et 3) un cylindre fixe 59 qui est sectionné en partie et qui entoure le cylindre de réception 58. Celui-ci (si emploi d'un électrolyte) est constitué par un cylindre muni d'orifices et entouré d'une feuille de maintien et de freinage d'impré gnation autour de laquelle s'enroule la bande de papier sensibilisé réceptif. Une douille 60 sert de support au cylindre 58 -et peut permettre de le remplir de la solution .desti née à l'électrolyse.
Le cylindre d'émission 55 est sectionné de manière à permettre à un organe de contact 61 d'agir sur le cylindre de réception et à permettre le déroulement de la bande de ré ception.
L'organe de contact, constitué par un stylet 61, est porté par un chariot ou support 62 solidaire d'un cordon figé, d'une part, à la poulie 32 et, d'autre part, au rappel 611. Le chariot 62 se déplace le long des cylindres d'émission ou de récep tion en étant- guidé par des câbles 63 figés, d'une part, à des vis 64 traversant la plaque 5 et, d'autre part, à des vis 65 fixées à un support 66 se trouvant sur la base 1 et sou tenant également les cylindres.
Le bloc baladeur 41 (fig .4) se prolonge vers le bas par une tige 67 qui porte un rouleau 68 destiné à agir sur un combinateur à plusieurs lames 69, qui est fixé à l'une de ses extrémités à un porte-contact 70.
Les lames souples 69 portent respective ment des contacts 1, 2, 3, 4, 5 (voir fig. 8) et sont, par leur élasticité, en contact avec des bornes 1, 3, 5 lorsque le rouleau 68 est déplacé vers la droite (état de réception). Ce rouleau, lorsqu'il est déplacé vers la gauche, presse sur les lames qui viennent alors en contact avec des bornes 2, 3, 4, 5 (état d'é mission). Les bornes E2 et Es (fig. 8) sont soudées entre elles.
La fig. 4 montre une de ces lames, par exemple celle portant le contact 3, et les bornes Es et Rs.
La tringle 36 agit par son extrémité sur une lamelle élastique 79 (fig. 7) qui est figée à un support 791, et qui porte deux contacts 105 et 106 disposés sur chacune de ses faces et qui coopèrent avec des contacts fixes 1051 et 1061.
Cette lamelle est disposée de telle manière que lorsque les contacts 105, 105' sont en position d'ouverture, les contacts 106, 1061 sont en position de fermeture et inversement.
Comme on le comprendra, la position du bloc 41, par suite de son action, par l'inter médiaire du levier 47, 48 soit sur le levier 49, soit sur le levier 50, détermine donc celui des cylindres émetteur ou récepteur qui effectuera une rotation intermittente d'une petite quantité à chaque course du chariot 62.
Ce bloc 41 porteur du rouleau 68, en agissant sur les lames du combinateur 69, détermine la fermeture des circuits corres pondant aux fonctions de réception ou aux fonctions d'émission.
Il suffit donc d'agir sur le bouton ou poussoir 42 du bloc 41 pour mettre mécani quement et électriquement l'appareil en état de réception ou d'émission.
La construction de l'appareil représenté ayant été ainsi décrite, il y a lieu d'exposer le schéma des connexions et des circuits élec triques représentés à la fig. 8.
Ce schéma comprend les éléments sui vants 10 Le combinateur 69 comprenant cinq lames munies respectivement des contacts 1, 2, 3, 4, 5 et coopérant avec des bornes repré sentées par les références 2, 3, 4, 5 ou 1, 3, 5; 20 Un amplificateur constitué par des lampes électroniques Ti et T2 couplées par résistance et capacité et chauffées à l'inter vention d'une résistance R600; Ces lampes sont fiées sur la base 1 (fig. 1); <B>30</B> Le moteur III, 40 La masse du cylindre désignée par C; 50 Le stylet St constituant l'organe de contact; 60 L'électro-aimant 31; <B>70</B> L'électro-aimant d'embrayage 14.
Ce schéma montre les circuits suivants: AJ Des fils de lignes<I>L</I> et Li reliés par exemple au réseau du téléphone ou consti tuant les fils d'antenne. Le système de liai son avec la ligne est constitué par un trans formateur Tr, deux capacités Ci et C2 et une self Se.
Sur ces fils sont branchés: 10 un circuit 81 comprenant un inter rupteur 108; 20 un circuit d'appel 80 aboutissant à l'électro par l'intermédiaire des contacts 107 (fig. 8) de l'interrupteur 28.
Le secondaire du transformateur Tr est en liaison par les conducteurs 82 et 83 avec l'amplificateur.
.B) Le circuit .d'émission.
Ce circuit comporte une source s, s' indi quée à part pour plus de clarté. Elle peut éventuellement être combinée en se servant de l'amplificateur.
Cette source se trouve sur les circuits sui vants 1<B><I>0</I></B> s', 103, 82, 2, E2, 82, 10,<I>82,</I> Tr, <I>s;</I> 20 s', 82, 91, Es, 5, 90, C, St, 92, 106, 3, Es, 82, 10,<I>82,</I> Tr, <I>s.</I>
C) Le circuit d'alimentation du moteur: HT, 84, M, 84, 102,<I>-</I> HT.
D) Le circuit d'embrayage: HT, 85, 14, 100, R5000, 85, 102,<I>-</I> HT. E) Le circuit permettant de contourner la résistance R5000: ce) à l'émission: suivant 88, 4E, 4, 88, 104, 88; b) à la réception: suivant 89, 101. F) Le circuit de chauffage de l'ampli ficateur: -@- <I>MT,</I> 84, 87, R600, 87, 86, IR1, 1, 102, <I>-</I> HT.
L'appareil ainsi construit fonctionne de la manière suivante: Ce fonctionnement est basé sur ce prin cipe que lorsque l'appareil fonctionne, c'est-à- dire que lorsque le circuit 84 comprenant le moteur M est fermé, le circuit 85 comprenant l'embrayage 14 est également alimenté, mais il l'est à travers une résistance assez élevée désignée sur le schéma par R5000, et calcu lée de manière à ce que le flux magnétique soit incapable de vaincre l'entrefer, mais soit suffisant pour maintenir le collage de l'ar mature constituée par la poulie 32 lorsque cet entrefer est réduit à zéro.
Lorsque donc on court-circuite la résis tance R5000, la poulie 32 est attirée et le chariot est entraîné.
En fin de course, le chariot agit sur une lame (non représentée sur le dessin, mais indiquée par 100 à la fig. 8), ce qui ouvre pendant un temps court le circuit d'embrayage 85 et permet le rappel de la poulie et du chariot.
C'est l'appareil fonctionnant comme émet teur qui commande la synchronisation. A cette fin, la roue 16, qui porte la tige 18, agit à chaque tour sur le levier 20 qui oscille autour du pivot 21 en provoquant la ferme ture des contacts 103, 104.
La fermeture de l'interrupteur 104 ferme le circuit 88, ce qui court-circuite la résis tance R5000.
D'autre part, la fermeture du circuit 82 a pour effet de laisser passer un train d'im pulsions suivant le parcours <I>s,</I> Tr, 82, 10, 82, E2, 2, 82, 103, s', qui, en agissant sur l'amplificateur de l'appareil fonctionnant comme récepteur, provoque l'émission d'un courant de plaque dans l'électro-aimant 31. Celui-ci ferme l'interrupteur 101, ce qui court-circuite, à la réception, la résistance d'embrayage R5000.
Dans la position de réception, l'électro 31 appartient au circuit de ligne (dérivation 80) lorsque l'appareil est au repos (fig. 6).
Il appartient au circuit de ligne (ici à l'intervention du circuit de plaque) lorsque l'appareil est en marche.
Au repos, l'électro 31 est donc excitable uniquement par le courant d'appel amené par le circuit 80; en marche, il l'est uniquement suivant les impulsions fournies par l'ampli ficateur.
Au repos, la tige 29 de l'armature 30 de l'électro 31 pénètre dans l'encoche 25 (posi tion a, fig. 6).
Soumise à l'excitation du courant d'appel 80, l'armature 30 ferme le circuit 84 du moteur, ce qui entraîne notamment la rota tion de la roue 24.
L'armature 30, bientôt libérée, vient re poser sur la partie lisse de la roue 24 (po sition b).
Dans cette position, l'entrefer est minime. Néanmoins, l'interrupteur <B>101</B> n'est pas ac tionné.
Si, soumise à l'excitation du courant de plaque, l'armature 30 ferme l'interrupteur 101 du circuit 89 en court-circuitant la ré sistance R5000 (position C).
Comme déjà dit, les interrupteurs indi qués sous 105 et 106 sont manoeuvrés par la tringle 36 de telle manière que le circuit de l'un soit ouvert quand le circuit de l'autre se trouve fermé; ces ouverture et fermeture sont donc fonction, de l'embrayage ou du débrayage de la poulie 32, c'est-à-dire du temps de transmission (entraînement du cha riot) et du temps de non-transmission (retour et repos du chariot).
De cette manière, les impulsions de syn chronisation sont bien aiguillées vers le re lais auquel incombe cette fonction et celles de transmission vers le cylindre d'enregistre ment.
Le problème de la synchronisation se trouve donc ainsi ramené à la fermeture si multanée de part et d'autre d'un circuit court-circuitant une résistance.
Le fonctionnement de l'appareil est le suivant: Le courant d'appel, supposé alternatif à basse fréquence, après avoir passé par le condenseur Ci, C2, suit le circuit 80 et vient exciter l'électro 31. Celui-ci ferme l'inter rupteur 102 (fig. 6) commandant le circuit C d'alimentation du moteur, le circuit D d'em brayage et le circuit F de chauffage de l'am plificateur.
La roue 24 tourne alors d'une petite quantité, ce qui libère le levier 27 de com mande de l'interrupteur double 107. L'élec- tro 31 cesse dès lors d'appartenir à la ligne et se trouve inséré dans le circuit 95 de la plaque.
Simultanément, le courant continu de maintien débité par la centrale trouve un chemin suivant 81, la self Se et 108.
(La self Se n'intervient que pour per mettre le passage du courant de maintien et faciliter le passage des impulsions vers le transformateur.) L'appareil fonctionnant comme récepteur est dès lors apte à recevoir les impulsions de synchronisation et de transmission de l'ap pareil fonctionnant comme émetteur.
Si, alors, à l'appareil correspondant placé en position d'émission, par une poussée du doigt sur le levier-armature de l'électro 31, on ferme l'interrupteur 102, les circuits C et D (moteur et embrayage) sont fermés et l'ensemble se met en mouvement. , La rotation. de la roue 16 projette bientôt le levier 20 fermant les circuits 88, E4, 4, 104, 88; et s, Tr, 82, 10, 82, E2, 2, 82, 103, s'.
Le premier court-circuite la résistance R5000. Le second laisse passer un train d'im pulsions agissant sur l'appareil récepteur suivant 82, 83, grille, 83, ce qui engendre un courant de plaque suivant 93, 105, 95, 31, 95, Ra, 95, 84 + HT, d'où fermeture de l'interrupteur 101 du circuit 89 court-circui tant la résistance R5000.
Les départs des chariots sont donc ainsi synchronisés.
A l'émission, le courant s, s' trouve dès lors un passage suivant Tr, 82, 10, 82,E3, 3, 92, 106, stylet (St), parties conductrices du graphique, prise de masse des cylindres C, 90, 5, E5, 91, 82.
Ces impulsions de transmission agissent sur l'amplificateur de l'appareil agissant comme récepteur, provoquant un courant de plaque suivant 93, 94, Rs, 5, 90, masse des cylindres C, papier réceptif, stylet (St), 92, 106, 3, R3, 95, 84, + HT.
Il y a lieu de remarquer qu'une révolu tion de la roue 24 correspond à la transmis sion de la surface d'émission (augmentée d'un certain temps que la pratique détermine); lorsque cette roue a effectué une rotation, la tige 26 agit sur le levier 27, déconnecte les contacts 107, 108. D'autre part, le levier 27 agit sur le levier 78 en vue de libérer le bloc baladeur qui, en revenant en arrière, place l'appareil en position de réception.
On comprend donc que l'appareil est nor malement en position de réception.
On remarquera qu'en agissant sur le bou ton 241, il est possible de réduire ou de pro longer le temps de marche de l'appareil.
Dans la pratique, si, par exemple, on imagine qu'un appareil tel que décrit est annexé à une installation téléphonique et qu'il s'agisse d'adresser un message au dé tenteur de cette installation s'il est absent, il suffira, comme d'ordinaire, de former le numéro d'appel et d'écouter.
Le courant d'appel déclenchera l'appareil et le placera en état de réceptivité pendant un temps suffisamment long pour permettre au demandeur d'écrire le message, de le pla cer sur son appareil, analogue au premier mais placé en position d'émission, de déclen cher ce dernier et (par une manette par exem ple) de substituer le circuit de l'appareil au circuit ordinaire du microphone et d'effec tuer la transmission.
On peut, au surplus, imaginer qu'un dis positif phonique (genre pick'up), constitué par des segments formant l'indicatif de l'a bonné (monté par exemple sur l'électro d'em brayage), confirmera au demandeur l'état de réceptivité et d'authenticité du poste appelé.
Une transmission plus rapide pourrait être obtenue en utilisant plusieurs organes de contact, chacun inséré, à l'émission, dans un circuit parcourant un dispositif de rup ture différent des autres. Dans ce cas, l'ap pareil fonctionnant comme récepteur devra comporter des filtres de bande aiguillant les impulsions vers les organes de contacts cor respondants.
Dans le cas où on aurait recours à un amplificateur puissant, la résistance du cir cuit d'embrayage et le relais fermant ce cir cuit à la réception peuvent être supprimés, le courant permanent étant dans ce cas substi tué au courant comprenant la résistance.
La fig. 9 montre une variante de réali sation dans laquelle un ressort 110 est adjoint à la roue 24; ce ressort agit de manière à ce que la roue soit projetée, lors du déga gement de l'armature 30, en sens inverse, d'une certaine quantité. Un cliquet de rete nue 111, fixé à l'armature 30, est en outre prévu.
Dans ces conditions, l'action du levier 19 a pour effet de ramener la roue 24, mais ce retour n'est possible que si le cliquet 111 est engagé dans la denture. Si ce cliquet est dégagé, ne serait-ce qu'un moment, le ressort 110 agit et renvoie la roue.
Si ce. cliquet est rendu solidaire de l'ar mature 30, chaque impulsion de synchroni- sation agissant sur cette armature soulève également le cliquet 111 et annule la rotation partielle obtenue à la commande du levier 19.
Il en résulte que le temps de marche au tomatique de l'appareil est prolongé du temps pendant lequel l'appareil émetteur agit, c'est-à-dire de la durée même du mes sage à transmettre.
On peut utiliser un cylindre unique 112 en combinaison avec un cylindre dérouleur 113 de la bande d'enregistrement et des cy lindres de guidage 114.
Ce cylindre est alors utilisé pour l'émis sion ou la réception suivant qu'on engage la feuille portant le graphique à transmettre ou la bande enregistreuse.
Cette dernière peut être constituée par une feuille de papier en combinaison avec du papier-carbone et, dès lors, l'enregistrement se fera par variation de pression de l'arma ture d'un électro 115 monté sur le chariot <B>62,</B> ces variations étant fonction de courant d'émission.
Le graphique à transmettre peut être simplement constitué par l'inscription au crayon (graphiteux) sur une feuille métal lisée recouverte d'une très mince pellicule isolante.
Dans ces conditions, une bille constituant contact explorateur à l'émission sert d'organe imprimeur à la réception.
Dans le premier cas, l'armature de l'élec- tro 115 appartient au circuit d'émission. Dans le second cas, la bobine .de l'électro 115 appartient au circuit d'enregistrement.