Machine à laver automatique avec essoreuse centrifuge La présente invention a pour objet une machine à laver automatique avec essoreuse centrifuge com prenant un panier combiné de lavage et de centrifu- geage susceptible de tourner dans un récipient fixe, une pompe d'évacuation servant à pomper du liquide hors du récipient, des moyens pour entraîner le panier et la pompe et un dispositif pour régler dans le temps un cycle complet de lavage et de séchage comprenant au moins une période de vidange et au moins une période d'essorage.
Le but principal de l'invention est de réaliser des moyens pour arrêter le dispositif de réglage.
La machine à laver selon l'invention est carac térisée en ce qu'elle comprend des moyens sensibles au niveau fonctionnant lorsque le niveau tombe au- dessous d'un niveau supérieur prédéterminé pendant une période de vidange et disposés pour rendre automatiquement inefficace ledit dispositif de réglage dans le temps.
Le dessin annexé représente, à titre d'exemple, une forme d'exécution de la machine à laver faisant l'objet de la présente invention.
La fig. 1 est une vue en perspective extérieure d'une machine automatique à laver et à essorer. La fig. 2 est une vue en perspective depuis l'avant de la machine, le boitier extérieur étant enlevé.
La fig. 3 est une vue en perspective depuis der rière.
La fig. 4 est une vue en coupe longitudinale des parties principales mobiles de la machine à laver. La fig. 5 est une coupe à plus grande échelle par la ligne 5-5 de la fig. 4, montrant la coupe transversale d'une nervure.
La fig. 6 est une vue semblable à la fi-. 4 mon trant une boîte d'engrenages à plus grande échelle. La fig. 7 est une vue d'un embrayage à ressort hélicoïdal partiellement en coupe.
La fig. 8 est un schéma de circuit électrique. La fig. 9 est un tableau de réglage d'un cycle complet de lavage et d'essorage.
La machine à laver représentée à la fig. 1 com prend un boîtier extérieur 10 de forme générale rectangulaire avec un bord avant supérieur découpé obliquement pour fournir un panneau d'accès 11 incliné présentant une ouverture 12 pour l'introduc tion et l'extraction du linge, l'ouverture étant nor malement fermée par une porte 13 comportant une fenêtre d'observation. La porte est montée sur des charnières 14 à son bord inférieur et comporte un verrou 15 à son bord supérieur pour la maintenir fermée.
A gauche et à droite de l'ouverture sont disposés des cadrans de commande 16 et 17 pour un interrupteur de réglage dans le temps et respective- ment un interrupteur automatique chaud-froid, ces parties étant décrites ci-après.
Comme représenté aux fig. 2 et 3, le boîtier con tient un châssis 20 formé d'éléments en U, dans lequel est suspendu un récipient fixe 25. Un carter 29 de boîte à engrenages est fixé sur une extrémité du récipient et contient des engrenages ainsi que des paliers pour un panier rotatif 30 de lavage et d'es sorage, et un agitateur en forme de disque 31 est monté coaxialement dans l'extrémité de ce panier, comme représenté à la fig. 4.
L'agitateur peut être de la forme habituelle utilisé dans les machines à laver Hoover décrites dans les brevets suisses Nos 256216 et 271032.
Le récipient 25 est suspendu dans le châssis 20 au moyen de courroies de caoutchouc 32 et de tirants 33 et le châssis est muni de tampons de choc supérieur et inférieur 34 et 35 ainsi que de tampons latéraux 36. Lorsque le récipient est rempli de liquide, il repose doucement sur le tampon inférieur 35.
Lorsqu'il est vidé avant l'essorage comme il sera décrit, le récipient est soulevé et écarté du tampon, son poids étant suppomté par les tirants 33 et les courroies de caoutchouc, ces dernières fournissant l'élasticité et l'amortissement. Dans le cas d'une vibration excessive, le récipient peut venir en con tact avec un des tampons qui sert de butée pour amortir une telle vibration.
A proximité de son embouchure, le récipient est muni de quatre poids 37 destinés à augmenter l'iner tie de la partie non rotative du dispositif suspendu et ainsi à réduire des effets de déséquilibre dans la partie rotative.
Comme représenté à la fig. 4, le panier d'esso rage est formé d'une feuille métallique perforée ayant la forme d'une surface de révolution compre nant une paroi arrière circulaire 38 plate présentant un enfoncement 39 pour l'agitateur et aboutissant à sa périphérie extérieure dans une paroi tronconique de faible profondeur 40 qui comporte une bande étroite de trous 41 relativement grands pour aider un remplissage rapide.
Cette partie se continue par une partie cylindrique 42, dans laquelle la plupart des trous 43 sont formés et qui aboutit à une partie conique 44 plus profonde s'inclinant jusqu'à une embouchure destinée à l'introduction et à l'extrac tion du linge, située à l'extrémité éloignée de la boite d'engrenages,
adjacente à l'ouverture 12 ménagée dans le panneau frontal supérieur incliné du boitier. Le récipient fixe 25 a une forme générale semblable comprenant également une paroi d'extrémité 47 conique, une partie cylindrique 48 et une partie coni que 49, ce récipient entourant le panier.
Le réci pient fixe est formé de deux parties présentant des brides assemblées dans un plan à angle droit par rapport à l'axe de manière à permettre le montage. La partie inférieure du récipient est entourée par un carter d'égouttage 50 ayant une certaine inclinaison comme représenté aux fig. 2 et 3,
et la paroi du récipient est fendue ou supprimée comme représenté à la fig. 4 pour fournir une communication entre l'intérieur du carter et le récipient. Dans le dessin, le carter est représenté comme étant fabriqué séparé ment du récipient, mais il pourrait être venu de fabrication avec celui-ci pour former un bourrelet ou une protubérance aboutissant au récipient.
L'embouchure de la partie conique 49 du réci pient est reliée à l'ouverture 12 ménagée dans le boitier extérieur au moyen d'un soufflet annulaire 55 en une matière élastique moulée telle que du caoutchouc formant un joint étanche tout en per mettant des mouvements de basculement ou de vibra tion au boitier fixe.
Comme représenté à la fig. 4, le bord arrière dû soufflet présente un anneau 56 en caoutchouc moulé qui est fixé au récipient et qui s'étend dans l'embou chure du panier pour recouvrir le jeu intermédiaire. Le bord frontal du soufflet présente un anneau 57 en caoutchouc moulé comportant une rainure dans laquelle vient s'insérer la partie marginale de l'ou verture 12 ménagée dans le panneau d'accès frontal 11 incliné, et formant un joint avec la nervure annu laire 58 de la porte 13.
Un tuyau d'évacuation 59 s'étend à partir du fond du soufflet pour évacuer tout liquide ayant pu être récolté dans celui-ci vers le bas dans le carter d'égouttage. Un trou 61 est pratiqué au sommet du soufflet pour l'arrivée d'air dans le récipient.
Le panier rotatif présente cinq nervures 60 de section transversale légèrement incurvées s'étendant de l'ouverture à l'extrémité arrière de la partie cylin drique 42, d'une façon générale dans des plans pas sant par l'axe. La fig. 5 montre la coupe d'une ner vure à son point le plus profond.
L'axe est incliné sur l'horizontale d'un angle approprié, par exemple 35,1, les dimensions étant telles que le point le plus bas de l'ouverture d'accès est légèrement au-dessus du point le plus haut de l'agitateur, de sorte que le niveau d'eau peut être au-dessus de l'agitateur, mais au-dessous de l'ouver ture d'accès.
Un moteur électrique principal 70 d'entraine- ment est boulonné sur la boite d'engrenages 29 en vue d'entrainer l'agitateur 31 et entraînant égale ment le panier de lavage et d'essorage 30, soit à vitesse inférieure dans le sens opposé à l'agitateur pour le lavage, soit à une vitesse élevée pour l'es sorage centrifuge.
Comme représenté à la fig. 4, l'enveloppe du moteur porte un bout d'arbre 71 connecté à un amortisseur de vibration 72. Ce dernier comprend un moulage de caoutchouc consistant en des anneaux intérieur et extérieur 73 et 74 assemblés par plusieurs bras 75 ayant à peu près une forme de S. L'anneau extérieur est lié à un anneau profilé 76 formant équerre, fixé sur une plaque inclinée 77 portée par le châssis de la machine.
La disposition de la boite d'engrenages est représentée à la fig. 6. Dans cette figure, l'agitateur 31 a la forme d'un disque présentant sur sa surface exposée une série de nervures radiales faiblement incurvées et portées par un arbre central 81. Cet arbre 81 est entouré par un arbre creux 82 auquel est calé un moyeu 83 ou croisillon servant à renfor cer et à porter l'extrémité du panier de lavage et d'essorage 30.
Un organe entraîné d'un embrayage à friction 84 à surcharge est fixé sur l'arbre creux 82, cet embrayage comportant un organe d'entraîne ment 85 fournissant un manchon intérieur avant 86 et un manchon extérieur avant 87 décrit ci-après.
Le moteur d'entraînement principal comporte un arbre 90 entraînant une roue conique 91 engrenant avec et entrainant deux pignons 92 et 93. Le moteur est monté avec son axe ne formant pas tout à fait un angle droit par rapport à celui de l'arbre de l'agi tateur 81 et le pignon entraîné arrière 92 est légè rement plus grand que le pignon avant entraîné 93, de sorte que ce dernier tourne légèrement plus vite que le premier.
Chacun des pignons 92 et 93 coin- porte encore une série de dents inclinées 94 et 95 ayant le même nombre de dents et engrenant avec une paire de pignons planétaires 96 portés par des arbres radiaux 97 constituant un croisillon solidaire d'un manchon intérieur 98 dont l'extrémité avant se présente bout à bout avec le manchon avant intérieur 86. Le pignon entraîné avant 93 comporte un man chon arrière extérieur 99 dont l'extrémité avant vient en regard du manchon avant extérieur 87.
La rotation du pignon d'entraînement 91 fait tourner le pignon entraîné avant 93 dans un sens, alors qu'il fait tourner le pignon 92 dans le sens opposé à une vitesse légèrement inférieure. La vitesse du croisillon correspond à la moitié de la somme algébrique des vitesses des pignons entraînés 92 et 93 et, en conséquence, le croisillon tourne dans le même sens que le pignon 93, mais à une vitesse beaucoup plus faible.
Les manchons intérieurs avant et arrière 86 et 98 sont accouplés au moyen d'un embrayage 104 à enroulement intérieur hélicoïdal qui entoure ces manchons. Cet embrayage n'est pas commandé ma nuellement et agit comme une roue libre pour trans mettre un entraînement à partir du croisillon jus qu'au panier à une faible vitesse toutes les fois qu'il n'y a pas d'entraînement communiqué au panier par d'autres moyens à une vitesse plus grande.
En même temps, le manchon avant extérieur 87 et le manchon arrière extérieur 99 sont accouplés par un embrayage à enroulement hélicoïdal 105. Cet embrayage représenté à plus grande échelle à la fig. 7 est sous la commande d'un solénoïde 106. L'enroulement est entouré par un collier 107 com- portant une fente 108 à travers laquelle fait saillie l'extrémité menante 109 tournée vers l'extérieur de l'enroulement.
Le collier présente également une saillie 110 estampée à partir dudit collier et le solé noïde commande une butée 111 qui peut être ame née par un ressort (non représenté) dans le parcours de la projection ou peut être retiré par excitation du solénoïde.
Le fonctionnement de l'embrayage est tel que, lorsque le solénoïde est excité pour retirer la butée, le mouvement du pignon 93 est tel qu'il enroule l'enroulement et le serre autour des manchons exté rieurs 87 et 99 de manière à les bloquer ensemble. Lorsque le solénoïde est désexcité, la butée est dépla cée par le ressort dans le parcours de la saillie de manière à arrêter la rotation du collier, arrêtant par là le mouvement de l'extrémité menante .du ressort et provoquant son déroulement et sa dilatation, de sorte qu'il ne sert plus les manchons extérieurs.
En conséquence, lorsque le solénoïde 106 est excité, le panier est accouplé au pignon 93 et, lorsque celui- ci tourne beaucoup plus rapidement que le croi sillon, le panier est entraîné à une vitesse corres pondante élevée et l'embrayage intérieur 104 à enroulement hélicoïdal patine, fonctionnant comme une roue libre.
A son extrémité arrière, l'arbre d'agitateur<B>81</B> porte un collier 113, tandis que le pignon entraîné arrière 92 porte un manchon arrière 114 et un embrayage arrière à enroulement hélicoïdal 115 entoure une partie du collier et une partie du man chon arrière de manière à pouvoir accoupler l'arbre d'agitateur au pignon entraîné arrière 92.
Comme dans le cas de l'embrayage 105, l'embrayage 115 est commandé par un solénoïde 116 agissant sur une butée 117 qui peut être retirée par le solénoïde à partir du parcours d'une saillie 118 ménagée sur un collier 119. En conséquence, si le solénoïde d'agita teur 116 est excité, mais que le solénoïde 106 du panier ne l'est pas, l'agitateur est entraîné à une vitesse élevée avec le pignon arrière 92, tandis que le panier est entraîné en rotation lentement dans le sens opposé avec le croisillon 97.
Dans la fig. 6, les butées commandées par les solénoïdes 106 et 116 sont représentées décalées de 900 par rapport à l'axe de manière à apparaître sur la figure. En réalité, comme représenté à la fig. 3, ces butées s'étendent dans des plans perpendiculaires à celui de la fig. 6.
La disposition de la boîte d'engrenages décrite permet d'obtenir plusieurs vitesses différentes avec un encombrement très réduit. En particulier, la rota tion lente du panier pour le lavage et le rinçage nécessite un rapport de réduction de l'ordre de 30: 1. La rotation rapide du panier nécessite un rapport de réduction très petit et il est naturellement souhaitable qu'elle se fasse dans le même sens que la rotation lente.
D'autre part, la rotation de l'agita teur nécessite une très petite réduction, mais il est désirable qu'elle se fasse dans le sens opposé à celle du panier. La disposition décrite répond à ces exi gences d'une manière simple et peu encombrante.
Ainsi, dans un exemple particulier, avec une vitesse de moteur de 1420 t/min., les rapports de pignons sont tels que le pignon 92 tourne à une vitesse de 650 t/min. et le pignon 93 à une vitesse de 745 t/min. (dans le sens opposé). Ceci donne au croisillon 97 une vitesse d'environ 47 t/min. dans le même sens que le pignon 93.
En vue du remplissage automatique de la machine, celle-ci comporte des tuyaux d'amenée d'eau chaude et froide 134 et 135 commandés par des soupapes d'admission 136 et 137 actionnées par des solénoïdes 138 et 139. Des tuyaux 140 et 141 partant des soupapes 136 et 137 conduisent au som met de la machine et débouchent dans une conduite dé tête 142 à l'atmosphère dont l'extrémité intérieure communique par un tuyau ondulé et flexible 143 avec le carter d'égouttage 50.
Pour vider le récipient, une pompe 145 (voir fig. 2) est entraînée par un moteur électrique 146 et sert à aspirer du liquide à partir du carter d7égout- tage 50 à travers une conduite 147 et à le décharger à travers un tuyau de sortie 148.
Tout le fonctionnement de la machine est com mandé automatiquement par une minuterie 150 et une paire d'interrupteurs 151 et 152 sensibles au niveau, reliés par des conduites 153 et 154 à des accumulateurs de pression 155 et 156 respective ment.
Une seule conduite, non représentée, partant des fonds des deux accumulateurs de pression s'étend autour du fond de la machine et débouche dans la conduite 147 de manière à communiquer avec le fond du carter d'égouttage. Chaque accu mulateur de pression consiste simplement en un réci pient cylindrique dont la partie supérieure contient de l'air et la partie inférieure du liquide lorsque l'in terrupteur doit fonctionner.
Etant donné la section transversale de l'accumulateur, une variation relati vement petite de niveau produit le déplacement d'air nécessaire pour actionner l'interrupteur 151 ou 152, comparée à ce qui serait nécessaire si la surface de liquide se trouvait dans une petite conduite.
Les interrupteurs <B>151</B> et 152 peuvent être du type connu comprenant un diaphragme flexible agis sant contre l'action d'un ressort réglable pour action ner des contacts à déclenchement.
L'interrupteur 151 comporte deux contacts, qui se ferment lorsque le récipient est approximative ment vide, tandis que l'interrupteur 152 comporte deux paires de contacts dont l'une se ferme lorsque le récipient est plein et dont l'autre se ferme lorsque le récipient n'est pas plein.
La minuterie 150 comporte un petit moteur syn chrone 170 à auto-démarrage entraînant une série de cames servant à commander huit paires de con tacts 171 à 178. La construction générale de la minuterie est bien connue et les cames peuvent être disposées de différentes manières, par exemple une came peut actionner plus d'une des paires. de con tacts 171 à 178. La minuterie est reliée par des roues à chaîne 158 et 159 et une chaîne 160 au cadran de commande 16.
La fig. 8 est un schéma de connexion montrant la disposition du circuit alors que la fig. 9 est un dia gramme de réglage indiquant quels contacts sont fermés pendant chacune des septante-deux divisions d'un cycle complet de lavage et d'essorage. On remarquera dans la description détaillée qui va sui vre que les septante-deux divisions ne représentent pas tout à fait entièrement le cycle puisque la minu terie est déclenchée pendant les stades de remplis sage et d'évacuation par suite du fonctionnement des interrupteurs 151 et 152.
En conséquence, plusieurs des divisions (en réalité les numéros 5 et 6, 18, 29 et 30, 36, 46 et 47 et 53) sont prolongées par des périodes qui sont nécessaires pour l'alimentation chaude et/ou froide pour remplir le récipient par l'intermédiaire des soupapes chaude et/ou froide et quelles que soient les périodes requises pour la pompe 145 en vue de vider le récipient.
Ainsi, une source d'alimentation 180 a une borne reliée par l'intermédiaire des contacts de minuterie 171 à une barre omnibus 181, tandis que son autre borne est reliée par l'intermédiaire des contacts 172 de minuterie à une barre omnibus 182. Une barre 184 de commande de porte est connectée à la barre 181 par l'intermédiaire d'un interrupteur 183 qui n'est fermé que lorsque la porte 13 est fermée. Le moteur principal d'entraînement 70 est branché entre les barres 181 et 182.
Le solénoïde 116 de l'agitateur est connecté an série avec les contacts 173 de minuterie aux barres 184 et 182. Le moteur de: pompe 146 est connecté en série avec les contacts 174 de minuterie à travers les barres 181 et 182.
Le moteur de minuterie 170 a une borne con nectée à la barre 181 et son autre borne connectée à un conducteur 185 qui, à son tour, est relié par l'interrupteur 151 (fermé lorsque c'est vide) à la barre 182. Le solénoïde du panier centrifuge 106 a une borne connectée par l'intermédiaire des contacts 175 de minuterie à la barre 184 et l'autre borne au conducteur 185. Die plus, le conducteur 185 est con necté par l'intermédiaire des contacts 176 de minu terie et les contacts 186 (fermés lorsque c'est plein) de l'interrupteur 152 à la barre 182.
L'interrupteur 17 automatique chaud-froid comporte des paires de contacts 191 à 196. Dans la position automatique normale, le solénoïde 138 a une borné connectée par l'intermédiaire des contacts 192 à la barre 181 et l'autre borne connectée à un conducteur 198 qui est relié par les contacts 177 aux contacts 187 de l'interrupteur 152 et de là à la barre 182. Le solénoïde 139 correspondant au circuit froid a normalement une borne connectée par l'in termédiaire des contacts<B>195</B> de l'interrupteur auto manque à la barre 181 et son autre borne connec tée par l'intermédiaire d'un conducteur 199 et par des contacts 178 au conducteur 193.
Dans la position chaud de l'interrupteur 17, les contacts 191 et 194 sont fermés, les contacts 191 étant en parallèle avec les contacts 192, de sorte que le fonctionnement du solénoïde chaud n'est pas influencé tandis que les contacts 194 ne sont pas connectés de sorte que le circuit du solénoïde 139 est dans tous les cas rompu.
Dans la position du réglage <B> </B>froid<B> </B> les contacts 193 et 196 sont fermés, ce dernier étant en parallèle avec les contacts 195 de sorte que le fonctionnement du solénoïde froid n'est pas influencé. Les contacts 193 sont en paral lèle avec les contacts 178 de sorte que dans cette position les contacts 178 sont court-circuités et le fonctionnement du solénoïde froid ne dépend pas des contacts 178 alors que le solénoïde 138 a son circuit ouvert.
La suite du fonctionnement des contacts de minuterie peut être suivie à l'aide de la fig. 9 dans laquelle la colonne de gauche indique les septante- deux intervalles successifs de la minuterie tandis que dans les huit colonnes suivantes une croix indique si chacun des contacts 171 à 178 est fermé pendant cet intervalle particulier. Les colonnes à droite s'ex pliquent d'elles-mêmes et indiquent respectivement les opérations variées qui apparaissent si le récipient est vide ou plein et si la minuterie est en ou hors circuit.
<I>Programme</I> Le programme du cycle complet va maintenant être décrit Pendant les intervalles 0-3 tous les contacts sont ouverts, de sorte que tout le circuit est isolé de la source d'alimentation et pour faire démarrer le cycle il est nécessaire de déplacer manuellement la minu terie à la position 4.
Pour faire démarrer le cycle, l'usager place une certaine charge de linge dans le panier ainsi qu'une quantité appropriée de savon ou de détergent. Il ferme ensuite la porte, fermant par là l'interrupteur 183, et déplace manuellement la minuterie vers la position 4 en tournant le cadran 16.
Dans l'intervalle 4, les contacts 171 et 172 se ferment pour relier les barres 181 et 182 à la source d'alimentation. Comme ces contacts restent fermés pendant tout le cycle de l'intervalle 4 à l'intervalle 68 inclus, il ne sera plus nécessaire de les mention ner de nouveau. Dans les intervalles 5 et 6 des con tacts 176 et 177 se ferment également. Pendant tout le cycle de lavage, la porte étant maintenue fermée, le panier continue à tourner à une faible vitesse. Les contacts 176 fournissent le circuit de retour pour le moteur de minuterie par l'intermédiaire des con tacts<B>186</B> pour s'assurer que la minuterie démarre de nouveau lorsque le récipient a été rempli comme indiqué ci-dessus.
Les contacts 177 ferment le cir cuit de retour pour le solénoïde 138 chaud par l'intermédiaire des contacts 187 (pas plein) admet tant par là de l'eau chaude à partir de l'alimentation d'eau chaude. Dès que le niveau d'eau dans le réci pient s'élève au-dessus de la marque vide , l'inter rupteur 151 s'ouvre et arrête la minuterie de sorte que l'intervalle 5 ou 6 est prolongé pour la période qui peut être nécessaire à remplir le récipient. Lors que le récipient est plein, l'interrupteur 152 se dé clenche à partir des contacts 187 pour passer aux contacts 186 dégageant par là le solénoïde et inter rompant l'alimentation d'eau chaude et en même temps provoquant le démarrage du moteur 170.
Pendant le reste de l'intervalle 6 ou des intervalles 5 et 6, il ne se passe rien d'autre et le panier tourne simplement à faible vitesse.
La raison des deux intervalles 5 et 6 pour le remplissage est que si la vitesse de remplissage est très faible, le premier intervalle peut se terminer avant que la marque vide ait été atteinte et la minuterie arrêtée pour prolonger l'intervalle. Sans intervalle 6, l'opération peut ensuite continuer et le lavage peut commencer avec le récipient à peu près vide d'eau. En outre, si l'usager déplace la minute rie de l'intervalle 5 initialement, l'intervalle 6 est encore disponible pour permettre au niveau d'attein dre la marque vide .
Pendant les intervalles 7 à 16, les contacts 173 et 176 sont fermés. Ces derniers servent comme précédemment à maintenir la marche de la minute rie à travers les contacts 186. Ils réalisent cette fone- tion pendant la majorité du cycle et il est inutile de revenir sur ce point. Les contacts 173 excitent le solénoïde 116 de l'agitateur et entraînent ce dernier pour un cycle de lavage.
Dans l'intervalle 17, seuls les contacts 176 res tent fermés pour maintenir la marche de la minu terie.
Dans l'intervalle 18, les contacts 174 sont aussi fermés pour mettre sous tension le moteur de pompe 146 en vue d'entrainer la pompe 145 d'éva cuation et d'amorcer la vidange du récipient. Lors que le niveau est tombé au-dessous de la marque plein , les contacts 186 de l'interrupteur 152 s'ouvrent, arrêtant par là le moteur de minuterie, de sorte que l'intervalle 18 est prolongé aussi longtemps que cela peut être nécessaire pour permettre au réci pient d'être vidé. Lorsque le récipient est vidé, les contacts 151 se ferment et font démarrer à nouveau le moteur 170.
Dans les intervalles 19 et 20, les contacts 174 restent fermés, de sorte que la pompe continue à tourner, mais les contacts 176 sont ouverts. Ces contacts restent ouverts pendant toue la période de cenrifugeage pour s'assurer que le seul circuit de retour pour le solénoïde 106 et le moteur 170 se fait à travers l'interrupteur 151 comme il sera décrit plus en détail ci-après.
Dans les intervalles 21 à 25, les contacts 174 restent fermés et les contacts 175 se ferment, de sorte que la pompe continue à marcher et en plus l'embrayage d'essorage est engagé, et le panier tourne à vitesse élevée. On remarquera que les circuits de la minuterie et du solénoïde d'essorage 106 ne trou vent un trajet de retour qu'à travers l'interrupteur 151.
En conséquence, si l'eau sortant du linge est suf fisante pour élever le niveau dans le récipient au- dessus de la marque vide , l'embrayage d'essorage est dégagé et en plus la minuterie sera arrêtée jus qu'à ce que la pompe (qui n'est pas affectée par les contacts fermés lorsque c'est vide) ait eu le temps de réduire de nouveau le niveau. Ceci est un caractère d'une importance considérable puisque si un essai est fait pour faire tourner le panier à une vitesse éle vée lorsqu'il est immergé dans l'eau à une profon deur sensible, le moteur a tendance à être surchargé. Grâce à la disposition décrite, ceci est évité sans qu'il soit nécessaire de prévoir un grand carter d'égouttage ou une grande pompe.
Une telle pompe ne serait pas économique puisqu'elle ne travaillerait qu'à une capacité maximum pendant une très petite fraction du cycle, tandis qu'un grand carter d'égout tage nécessiterait l'utilisation d'une quantité d'eau chaude beaucoup plus grande pour le lavage, en plus de l'augmentation d'énergie et de temps requis pour le remplissage et la vidange. Grâce à la dispo sition décrite, la dimension du carter d'égouttage et la quantité d'eau nécessaire peuvent être réduites à un minimum. Des capacités réelles peuvent évidemment varier, mais dans un cas une machine prenant une charge de linge sec de 3,6 kg utilise environ 32 litres d'eau dont environ 8 litres seulement sont situés dans le carter d'égouttage et dans l'espace entre le récipient et le panier.
En d'autres termes, 75 fl/o du volume d'eau total se trouve dans le panier.
L'ouverture des contacts 176 assure qu'il n'y a pas de circuit de retour à travers les contacts 186 de l'interrupteur 152. Ceci est une garantie pour que le solénoïde d'essorage 106 ne puisse être excité que lorsque le récipient est vide, mais pas lorsqu'il est plein. Ainsi, par exemple, si l'usager avance manuel lement la minuterie pendant le cycle de lavage, de manière à interrompre le cycle de vidange (intervalle 18) les contacts 175 peuvent être fermés avec le récipient plein.
De façon semblable, si la pompe de vidange a un défaut ou est bloquée, l'intervalle 18 peut être fini et les contacts 175 se fermer avec le récipient encore plein.
Le fait que la minuterie est débranchée, lorsque le solénoïde 106 est désexcité par l'ouverture de l'interrupteur 151, assure que la pleine période d'es sorage sera fournie sans tenir compte des périodes pendant lesquelles l'embrayage d'essorage est dés- excité.
Dans l'intervalle 26, les contacts 175 s'ouvrent et dégagent l'embrayage d'essorage, tandis que les contacts 174 restent fermés, de sorte que la pompe continue à marcher.
Dans l'intervalle 27, les contacts 174 sont ouverts pour mettre hors circuit la pompe, et en fait aucun des contacts de minuterie ne sont fermés (excepté les contacts 171 et 172).
Dans l'intervalle 28, les contacts 176 se ferment de nouveau en vue du prochain cycle de remplissage dans le but déjà décrit ci-dessus.
Dans les intervalles 29 et 30, les contacts 177 et 178 se ferment également ouvrant par là la sou pape d'eau chaude et la soupape d'eau froide de manière à fournir un mélange d'eau chaude et froide. Dès que le niveau s'élève au-dessus de la marque vide , l'interrupteur 151 s'ouvre, arrêtant ainsi la minuterie. Lorsque le récipient est plein d'eau tiède, la minuterie est de nouveau arrêtée par les contacts 176 et les contacts 152. Deux intervalles 29 et 30 sont prévus pour ce remplissage et pour la même raison que pour le premier remplissage dans les intervalles 5 et 6.
Dans les intervalles 31 à 34, les contacts 173 se ferment également, de sorte que l'agitateur est entraîné pour une première période de rinçage pen dant laquelle l'opération est semblable à la période de lavage des intervalles 7 à 16 excepté que la pre mière période de rinçage est plus courte, l'eau n'est pas aussi chaude et qu'il n'y a naturellement pas de savon ajouté dans celle-ci.
Dans l'intervalle 35, les contacts 173 sont ouverts de sorte que l'agitateur s'arrête, mais que les contacts 176 restent fermés. L'intervalle 36, avec des contacts 174 et 176 fermés est une répétition de l'intervalle 18 pendant lequel le récipient est vidé.
Les intervalles 37 à 45 sont une répétition des intervalles 19 à 28 excepté que l'essorage est un peu plus court.
Les intervalles 46 et 47, pour le second cycle de remplissage d'eau tiède, sont une répétition des inter valles 29 et 30 du premier cycle de remplissage d'eau tiède.
Les intervalles 48 à 52, soit le second cycle de rinçage, sont une répétition des intervalles 31 à 35 du premier cycle de rinçage.
L'intervalle 53 est une répétition des intervalles 18 et 36 d'une nouvelle vidange.
Les intervalles 54 à 68 correspondant à l'esso rage final de longue durée sont semblables aux intervalles 19 à 28 et aux intervalles 37 à 45, période d'essorage initial, à l'exception que l'esso rage final est plus prolongé et que la pompe conti nue à marcher pour un intervalle supplémentaire.
Ainsi, les contacts 174 sont fermés pendant les intervalles 54 et 55 pour faire marcher la pompe ; pendant les intervalles 56 à 65 ces contacts restent fermés et la pompe continue à marcher, tandis que les contacts 175 sont fermés pour faire marcher le panier à la vitesse d'essorage.
Dans les intervalles 66 et 67, les contacts 175 sont ouverts, de sorte que le panier ralentit de nou veau alors que les contacts 174 restent fermés, de sorte que la pompe continue à marcher. Dans l'in tervalle 68, les contacts 174 sont ouverts, de sorte que la pompe est débranchée, et en fait aucun con tact de minuterie n'est fermé (excepté les contacts 171 et 172).
Finalement, à la fin de l'intervalle 68, les con tacts 171 et 172 sont ouverts, interrompant par là le moteur de minuterie et isolant tout le circuit en déconnectant les barres omnibus 181 et 182 du réseau d'alimentation. En conséquence, la minuterie reste dans la position 69 jusqu'à ce qu'elle soit dépla cée manuellement de nouveau dans la position 4 pour commencer le cycle suivant.
Le cycle a été décrit en supposant que l'inter rupteur 17 est laissé dans la position automatique. Dans ce cas, le premier remplissage pour le lavage se fait avec de l'eau chaude, et chaque remplissage suivant pour le rinçage se fait avec de l'eau tiède. Ceci peut être modifié par l'usager à n'importe quel moment par l'actionnement de l'interrupteur 17. Par exemple, si l'on désire avoir un rinçage froid, il peut déplacer l'interrupteur dans la position froid en n'importe quel moment après le rem plissage à chaud .
Ou si l'eau chaude est trop chaude pour le lavage, il peut agir sur l'interrupteur pour refroidir pendant une partie de la période de remplissage chaud et de façon semblable pour régler la température de rinçage, il peut agir sur l'interrupteur dans le sens chaud ou froid au cours du remplissage tiède aussi longtemps que cela peut être nécessaire pour effectuer le réglage désiré.
Les contacts 183 pour l'actionnement de la porte commandent tous les circuits excepté le cir cuit de remplissage et de la pompe, de sorte que, si à un moment donné l'usager ouvre la porte et met sa main dans la machine, le panier et l'agitateur seront tous deux arrêtés et il n'y aura pas de danger qu'elle vienne en contact avec des parties mobiles. D'autre part, puisque les circuits de remplissage sont indépendants des contacts commandés par la porte, l'usager peut, s'il le désire, ouvrir la porte pendant une période de remplissage pour sentir la température de l'eau sans gêner l'opération de rem plissage.
Le fonctionnement de la pompe étant éga lement indépendant des contacts actionnés par la porte, elle continue à vider le récipient même si l'usager ouvre la porte, par exemple pendant ou immédiatement après les stades finals du cycle d'es sorage.
Le temps réel du cycle et ses diverses parties varient suivant les circonstances mais, dans un cas particulier, chacun des septante-deux intervalles de la minuterie (dont le cycle utilise en réalité soixante cinq) représentent 221/2 secondes faisant un total d'environ 25 minutes. A ceci on doit ajouter les périodes de remplissage et de vidange dont chaque période de remplissage chaud peut être de l'ordre de 2 minutes et chaque période de remplis sage tiède ainsi que chaque période de vidange de l'ordre de 1 minute, ce qui fait pour le cycle total 32 minutes.
D'autre part, certaines des périodes peuvent être réduites dans quelques cas sans inconvénient, par exemple des périodes d'essorage et certains des inter valles abaissant le temps du cycle total à environ 25 minutes.
Dans une variante (non représentée) un réser voir d'accumulation est prévu pour emmagasiner le liquide de lavage après. qu'il a été utilisé pour laver une charge de linge, et mis à disposition pour laver ultérieurement une autre charge de linge. Une telle machine peut être agencée en vue d'une commande manuelle ou automatique. Dans une machine pour la commande automatique, la construction est sem blable à celle représentée au dessin, excepté que le châssis et l'enveloppe d'extérieur sont un peu plus haut pour loger un réservoir d'accumulation au-des sous du récipient.
Le réservoir est conformé de ma nière à occuper l'espace disponible aussi efficacement que possible tout en maintenant son centre de gravité aussi bas que possible. Ainsi, lorsque le liquide de lavage est drainé dans le réservoir d'accumulation, il fournit un poids d'équilibrage pour maintenir la machine fermement alors que le panier tourne à grande vitesse pour centrifuger le liquide.
Une soupape supplémentaire est agencée pour que la pompe amène du liquide au réservoir au lieu de l'amener dans le tuyau de sortie et la pompe ainsi que son moteur sont du type réversible pour remplir le récipient à partir du réservoir plutôt qu'à partir de l'alimentation d'eau chaude. Cette soupape et un interrupteur à inversion pour le moteur de pompe sont sous la commande de la minuterie sou mise à une commande manuelle principale.
En conséquence, pour le premier cycle avec la première charge de linge, le récipient est rempli à partir de l'alimentation d'eau chaude et après la période de lavage, le liquide de lavage est vidé dans le réservoir d'emmagasinage, après quoi le cycle se fait comme décrit en référence au dessin. Pour la seconde charge de linge, le récipient est rempli à partir du réservoir d'emmagasinage et après la période de lavage, il est de nouveau vidé dans ledit réservoir. Lorsque le liquide de lavage s'échappe, l'usager tourne la commande manuelle principale de sorte que le liquide de lavage est déchargé à l'égout au lieu du réservoir d'emmagasinage.
Ce réservoir peut être muni d'un corps de chauffe électrique. Celui-ci peut être du type à deux degrés capable d'être actionné soit à une charge maximum pour chauffer l'eau aussi rapidement que le permet l'alimentation de courant soit à une charge inférieure pour maintenir simplement la température initiale et éviter une perte de chaleur.
Un corps de chauffe semblable peut être incor poré dans le carter d'égouttage de la forme d'exécu tion représentée.
L'arrêt des moyens de réglage pendant les pério des où du liquide est vidé du récipient ou pendant des périodes d'essorage, si le niveau de liquide s'élève trop haut et que l'essorage est interrompu, a l'avan tager que tout temps ainsi occupé ne l'est pas au détriment des opérations suivantes et que de telles opérations sont retardées de façon appropriée.
Ainsi par exemple, la pompe de vidange ou les passages menant à celle-ci ou partant de celle-ci, sont bloqués, ou si pour une toute autre raison la vitesse de vidange doit être abaissée, il n'y a pas de risque que l'opéra tion suivante commence avant que le récipient soit vidé.
En effet, si la pompe ou des passages doivent être complètement bloqués, l'opération suivante est retardée de façon indéfinie. De même si la vitesse à laquelle du liquide est déchargé pendant les pre miers stades de l'opération d'essorage, est telle que la pompe ne puisse pas maintenir le niveau inférieur à la marque vide , le dispositif de commande d'es sorage sera actionné pour rendre inefficace l'entraî nement d'essorage au panier de manière à empê cher une surcharge du moteur entraînant le panier.
Simultanément, l'arrêt des moyens de réglage assure que toute période ainsi perdue ne l'est pas au détri ment de la période normalement prévue pour l'esso rage, mais au contraire la période entière d'essorage est permise dès que la pompe a éliminé l'eau et réduit le niveau à la marque vide . Dans ces cir constances, le volume du récipient au-dessus,
et au- dessous de celui du panier rotatif peut être réduit à un minimum tandis qu'en même temps la capacité de la pompe n'a pas besoin d'être choisie pour cou- vrir un débit maximum qui même dans les circons tances les plus défavorables n'apparaît que pendant quelques secondes dans chaque cycle et souvent n'apparaît pas dans tout le cycle.
L'arrêt des moyens de réglage dans le cas. où la porte est ouverte présente des avantages semblables. Ainsi, dans des buts de sécurité, il est important que la rotation du panier soit interrompue si la porte est ouverte. Si la minuterie continue pendant de telles périodes, la période d'essorage effective sera en fait réduite.
Lorsque les moyens de réglage, comme cela est préféré, sont en tout cas arrêtés pendant les périodes de remplissage, l'ouverture de la porte pen dant ces périodes n'affectera pas la situation et si l'usager désire vérifier la température de l'eau pen dant le remplissage, il peut le faire sans gêner d'une façon quelconque le cycle.
La machine décrite pourrait n'être utilisée que pour le lavage sans séchage centrifuge, étant donné le lavage très efficace effectué et l'utilisation de l'eau chaude.
Dans chaque disposition décrite avec l'axe obli que on suppose que le rendement et le lavage écono mique sont dus pour une grande part à l'avancement du linge longitudinalement lorsqu'il est recueilli suc cessivement et qu'il peut ensuite retomber verticale ment, notamment d'ans la direction présentant une composante le long de l'axe vers l'agitateur. Un mouvement de déplacement semblable peut cepen dant également être produit en réalisant une machine avec un axe horizontal et en disposant des aubes obliques ou suivant des hélices par rapport à l'axe.