CH267675A - Machine à laver. - Google Patents

Machine à laver.

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CH267675A
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Company Horton Manufacturing
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Horton Mfg Co Inc
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    • DTEXTILES; PAPER
    • D06TREATMENT OF TEXTILES OR THE LIKE; LAUNDERING; FLEXIBLE MATERIALS NOT OTHERWISE PROVIDED FOR
    • D06FLAUNDERING, DRYING, IRONING, PRESSING OR FOLDING TEXTILE ARTICLES
    • D06F37/00Details specific to washing machines covered by groups D06F21/00 - D06F25/00
    • D06F37/30Driving arrangements 
    • D06F37/36Driving arrangements  for rotating the receptacle at more than one speed
    • D06F37/38Driving arrangements  for rotating the receptacle at more than one speed in opposite directions

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  • Engineering & Computer Science (AREA)
  • Textile Engineering (AREA)
  • Control Of Washing Machine And Dryer (AREA)

Description


  Machine à laver.    La présente invention est relative à une  machine à laver à fonctionnement automati  que du genre de celles comprenant une cuve  propre à recevoir le liquide utilisé pour le  lavage, un récipient pour les objets à laver,  monté rotativement dans la cuve pour tourner  autour d'un axe horizontal, un dispositif de  commande à moteur pour actionner le réci  pient et des moyens pour actionner automa  tiquement le récipient     att    cours de plusieurs  opérations successives à vitesses réduite et  élevée pour effectuer respectivement le lavage  et l'essorage, ces moyens comprenant un mé  canisme à vitesse réduite relié au dispositif  de commande.  



  Les machines automatiques, dans lesquelles  une opération consiste à laver le linge, une ou  plusieurs opérations pour rincer celui-ci et  finalement une opération pour l'essorer, sont  bien connues. Dans certains cas, ces machines  sont construites de     manière    à pouvoir fonc  tionner     autour    d'un axe horizontal et dans  d'autres elles fonctionnent autour d'un axe  vertical ou oblique. Des circuits et des dispo  sitifs électriques compliqués interviennent  généralement pour commander ces machines  et il est nécessaire d'avoir recours à une com  mande directrice.

   Avec les machines, présen  tant ce genre général et qui sont     actuellement     en usage, on rencontre souvent des difficultés  et     comme    leur mécanisme est très compliqué,  plus spécialement en ce qui concerne les cir  cuits électriques, des spécialistes doivent né-         eessairement    intervenir pour faire les répara  tions et les remettre en état. De plus, leur       ag-eneement    électrique est délicat et risque  d'être dérangé par suite de facteurs de très  faible importance tels qu'une légère accumu  lation de saletés qui viennent s'intercaler  entre deux contacts électriques.  



  La présente invention a pour but, entre  autres, de rendre ces machines à laver auto  matiques telles que leur durée d'usage sans  dérangements soit prolongée, de sorte que le  propriétaire peut. compter sur un fonctionne  ment plus sûr et plus régulier et que tout  agencement électrique compliqué soit évité en  faisant intervenir, au contraire, une     coin-          mande    mécanique améliorée et efficace.

      La machine qui fait. l'objet de la présente  invention est caractérisée en ce que le méca  nisme à vitesse réduite est. agencé pour faire  tourner le récipient suivant plusieurs tours,  d'abord dans un sens et puis dans l'autre  pour laver les     objets,    et en ce qu'un méca  nisme à vitesse élevée est relié à une partie  du dispositif de commande pour faire tour  ner le récipient à une vitesse élevée dans un  sens pour l'essorage     centrifuge    des objets, des  moyens de commande étant prévus pour  mettre en fonctionnement le mécanisme à vi  tesse élevée seulement après les opérations à  vitesse réduite et quand le récipient tourne à  vitesse réduite dans le sens dans lequel il  tourne à vitesse élevée.

        A cet     effet,    on peut avoir recours à un  mécanisme inverseur comprenant des em  brayages     susceptibles    d'être serrés en alter  nance et des moyens peuvent être prévus  pour déclencher le mouvement de débrayage  de chaque embrayage à uni moment prédéter  miné. Des moyens électriques, propres à ma       n#uvrer    l'embrayage, peuvent être mis sous  tension au moment qui précède de peu le  mouvement de l'organe mobile de l'embrayage  afin que cet organe puisse être déplacé rapi  dement.  



  Des moyens automatiques peuvent être  prévus pour empêcher la rotation du réci  pient à la vitesse élevée, nécessaire à l'esso  rage, excepté     quand    le récipient est entraîné  dans le même sens, à la fin de la dernière  opération de rinçage, que celui qui est prévu  pour sa rotation pendant l'opération d'esso  rage.  



  Deux formes d'exécution de l'objet de l'in  vention sont montrées, à titre d'exemple, sur  le dessin ci-annexé.  



  Les fia. 1 à 7 montrent, respectivement  en vue de côté, en coupe axiale, (à plus pe  tite échelle), en coupe transversale (à plus  grande échelle) selon 3-3 fia. 2, en coupe  selon 4-4 fia. 3, en coupe selon 5-5 fia. 4,  en coupe selon 6-6 fia. 3 et en coupe selon  7-7 fia. 5, une machine à laver établie selon  une première forme d'exécution de l'inven  tion.  



  La fia. 8 montre, en élévation schémati  que, le mécanisme à cames et les organes com  mandés par celles-ci, pour cette machine.  



  La fia. 9 montre, en coupe selon 9-9  fia. 6, certains éléments de cette même ma  chine.    La fia. 10 montre, en coupe vue suivant  la ligne 10-10 de la fia. 5 (à plus grande  échelle), la came du galet visible sur la fia. 9.  



  Les fia. 11, 12 et 13 montrent, respective  ment en coupes selon 11-11 fia. 5, selon  12-12 fia. 5 et selon 3-13 fia. 5, d'autres  éléments de cette même machine.  



  La fia. 14 montre, en coupe, la commande  pour obtenir le mélange d'eau chaude et d'eau    froide, afin que l'on obtienne la température  désirée pour l'eau au cours de l'opération.  



  La fia. 15 montre, en coupe, la pompe uti  lisée pour pomper l'eau hors de la cuve.  



  La fi,g. 16 montre une coupe selon 16-16  fia. 5.  



  Les fia. 17. 18 et 19 montrent, respective  ment en coupe verticale, en coupe selon  18-18 fia. 17 et en coupe selon 19-19  fia. 18, la transmission élastique établie entre  le récipient à linge et l'arbre moteur.  



  La fia. 20 est une coupe selon 20-20  fia. 1, à plus grande échelle.  



  La fia. 21 montre, en élévation (parties  en coupe), l'entrée d'eau et le flotteur qui la  commande.  



  La fia. 22 montre, en plan, le mélangeur  d'eau et les entrées pour l'eau chaude et l'eau  froide.  



  La fia. 23 montre, en coupe verticale, les  organes de la commande manuelle de la ma  chine à laver.  



  Les fia. 24, 25, 26 et 27 montrent, res  pectivement en coupe axiale, en coupe selon  25-25 fia. 24, en coupe selon 26-26 fig.24  et en coupe selon<B>27-27</B> fia. 24, le tamis  pour la décharge de l'eau sale.  



  Les fia. 28, 29 et 30 montrent, respective  ment en coupe verticale selon 28-28 fia. 29,  en coupe selon 29-29 fia. 28 et en coupe  selon 30-30 fia. 29, le mécanisme moteur  pour une machine à laver automatique, éta  blie selon une deuxième forme d'exécution de  l'invention.  



  Les fia. 31 et 32 montrent, respectivement  en vue selon la flèche 31 de la fia. 29 (par  ties en coupe) et en vue de côté (parties en  coupe) depuis la droite de la fi,-. 31, un ver  rou de retenue de l'embrayage.  



  La fia. 33 est une coupe selon 33-33  fia. 28,     à@plus    grande échelle.  



  La fia. 34 est une coupe selon     34-3-1     fia. 29, à. plus grande échelle.  



  La fia. 35 montre, en vue en bout et à  plus grande échelle, une des cames de com  mande du ressort pour déplacer l'embrayage,  montée sur l'arbre à cames inférieur de la  .fia. 29.      La fig. 36 montre, en vue de côté, la came  pour déclencher positivement le mouvement  de l'embrayage inverseur, cette came étant  également montée sur l'arbre à cames infé  rieur de la fig. 29 à gauche des cames qui  commandent les ressorts.  



  La fig. 37 montre, en élévation, la came  montrée sur la fi,,. 36.  



  La fig. 38 montre, semblablement à la  fig. 37, cette même camne après qu'elle a  tourné de 90 .  



  Les fig. 39, 40, 41 et 42 montrent, respec  tivement en vue de côté, en coupe selon  40-40 fig. 39, en coupe selon 41-41 fig. 39  et en coupe selon 42-42 fig. 39, la came pour  commander     l'embrayage    à grande et petite  vitesse, une des cames de commande des res  sorts et l'autre de ces cames de commande.  



  La fig. 43 montre, en coupe selon 43-43  fig. 39, une des cames de commande.  



  Les fig. 44, 45, 46 et 47 montrent, respec  tivement, une coupe selon 44-44 fig. 28 (à  plus grande échelle), une coupe selon 45--45  fig. 28, une coupe selon 46-46 fig. 44 et une  coupe selon 47-47 fig. 44.  



  La fig. 48 montre un développement de  la came commandant le débit de l'eau et des  doigts coopérant avec cette came.  



  La fig. 49, enfin, montre, en coupe axiale  verticale, la poulie     d'entraînement    du méca  nisme moteur.  



  Sur les fig. 1 et 2, on a montré l'enve  loppe de la machine et qui comprend un socle  10 propre à reposer sur Lin support, par  exemple sur un plancher, sur lequel il peut  être fixé à l'aide de boulons 11. L'enveloppe  est subdivisée, par une cloison 12, en un com  partiment de droite 13 et un compartiment  de gauche 14. Les bords rabattus des parois  de ces compartiments sont appliqués contre  la cloison 12, comme visible en 15 et sont  fixés à celle-ci par soudure ou de toute autre  manière. A droite de la cloison 12 est montée  une cuve cylindrique 1.7 dont les bords ra  battus de son extrémité ouverte (à gauche de  la     fig.    2) sont fixés par des boulons à la cloi  son 12.

   De préférence, on intercale un joint  d'étanchéité 16 entre les parties adjacentes    de la cuve, de son bord et de la cloison pour  empêcher les fuites d'eau. Dans la partie su  périeure de la cuve     est    ménagée une Oliver  turc 18 par laquelle le linge peut être intro  duit dans la cuve et     dégagé    hors de celle-ci  et cette ouverture 18 se trouve en regard  d'une ouverture 19 ménagée dans la paroi  supérieure du compartiment 13. Au-dessus  des deux ouvertures se trouve un couvercle  basculant 20 destiné à fermer l'ouverture 19  et     dans    ce couvercle peut être établi -Lui pan  neau en verre 21 pour la surveillance.  



  Le compartiment 14 sert de logement au  mécanisme moteur et sa paroi de gauche pré  sente une ouverture normalement fermée par  un volet 22.  



  L'enveloppe comporte donc, à droite de  la cloison 12, une cuve propre à recevoir de  l'eau et la lessive du linge se fait dans cette  partie de l'enveloppe, alors qu'à gauche de la  cloison se trouvent les mécanismes d'entraîne  ment et de commande.  



  Dans la cuve 17 est logé un récipient  cylindrique 25 destiné à recevoir le linge et  qui présente une série de chicanes 26, répar  ties le long de sa périphérie, afin que le linge  soit entraîné de la manière voulue pendant la  rotation du récipient. Celui-ci comprend des  parois terminales 27 et 28 et la face externe  de la paroi 27 est reliée à un disque qui est  calé sur un arbre engagé dans un palier 32.  Ce dernier est fixé dans une ouverture mé  nagée dans la paroi terminale de la cuve 17,  et au-delà du palier, la. paroi latérale du com  partiment 13 présente une ouverture d'accès  34 normalement fermée par un couvercle  amovible 35. Une description détaillée du pa  lier et des organes voisins sera faite ci-après  à propos de la     fig.    20.  



  Sur la face externe de l'autre paroi ter  minale 28 du récipient 25 est monté un disque  analogue 37 qui fait partie d'une boite 38, en  forme de cuvette, dans laquelle sont montés  des organes d'entraînement dont il. sera  question à propos de la fi-. 17. Un palier 40,  pour le mécanisme moteur et également pour  la partie de gauche du récipient 25, est monté       sur    la cloison 12. Le récipient 25 peut donc      tourner dans des paliers montés sur la cloi  son et sur la paroi terminale externe de la  cuve 17. L'extrémité de droite de la cuve est  supportée, en plus, par un châssis raidisseur  42 qui s'étend vers le bas en étant fixé au  socle 10.  



  En un endroit de son contour, le réci  pient 25 présente une ouverture d'accès 44  par laquelle le linge peut être introduit dans  ce récipient et dégagé hors de celui-ci quand  la machine est à l'arrêt; cette ouverture se  trouve en regard de l'ouverture 18 et du cou  vercle 20. Un couvercle 45 est prévu pour  l'ouverture 44 et ce couvercle peut être fixé,  à l'aide d'une charnière ou autrement, an  récipient 25 afin qu'il puisse être écarté lors  de l'introduction et de la sortie du linge,  après quoi il peut être remis en place quand  la machine doit fonctionner.  



  Il est à noter que le mécanisme moteur  peut, d'abord, être fixé à la cloison 12 et au  récipient 25 et peut ensuite être soutenu par  l'arbre moteur faisant saillie sur ce méca  nisme. Ensuite, on engage la cuve 17     axiale-          ment    sur le récipient et on la fixe sur la  cloison 12 après quoi on met en place les pa  rois du compartiment 13 en engageant leur  ensemble sur la cuve avant de fixer cet en  semble à la cloison 12. D'une manière géné  rale, tous les organes peuvent être assemblés  en mettant en place le mécanisme moteur, le  récipient, la cuve et les parois du comparti  ment 13 par des mouvements d'emboîtement  axiaux.  



  Avant de décrire le mécanisme qui sert à  entraîner le récipient 25, il paraît utile     d'in-          cliquer,    d'abord, d'une manière générale,  comment fonctionne la machine, ce qui facili  tera la compréhension de ce mécanisme. Après  que le linge a été introduit dans le récipient  25 et après que les couvercles 21 et 45 ont  été fermés, la machine peut être mise en  marche et immédiatement après le récipient  commence à tourner dans un sens en faisant  plusieurs tours, après quoi son mouvement est  inversé et il fait le même nombre de tours  mais en sens inverse. Ce mouvement alter  natif du récipient continue pendant les opé-    rations de lavage et de rinçage.

   Quand la  machine se met en marche, de l'eau est intro  duite dans la cuve dont la vidange est fer  mée et après l'opération de lavage, Veau est  évacuée automatiquement, après quoi la vi  dange se referme et de l'eau propre est intro  duite dans la cuve pour un premier rinçage.  



  Trois rinçages ont lieu par une ouverture  et une fermeture appropriées de la vidange  et de l'admission d'eau. Quand le rinçage  final est terminé, l'eau est vidangée et la ma  chine commence automatiquement à tourner à  une vitesse beaucoup plus élevée pour effec  tuer l'essorage par un effet centrifuge. Après  qu'un temps suffisant s'est écoulé pour pou  voir essorer le linge de cette manière, la ma  chine s'arrête automatiquement et le récipient  est     amené,    par un     mouvement    angulaire, à  une position pour laquelle son ouverture     44     avec son couvercle 45 se trouvent en regard  du couvercle 21, ce qui permet d'enlever le  linge.  



  Comme visible sur les     fig.    1 et     \?,    l'en  semble du mécanisme est     entraîné    par un  moteur électrique 50 reposant sur le fond     du     compartiment 14. Ce moteur     entraîne        une     poulie 51 et une courroie 52, à. section trans  versale en V.

   Dans la. partie supérieure du  compartiment 14, la courroie 52 passe sur  une grande poulie 53 qui est calée sur un  <B>,</B>     -ir        .bre        54        pénétrant        dans        un        carter        55        clans     lequel est logé le mécanisme de commande  principal. Ce carter est fixé par des     boulons     56 à la cloison 12 et l'arbre     moteur,    qui sort  du carter pour entraîner le récipient 25,     tou-          rillonne    dans un palier 40.  



  L'arbre 54     (fig.    3, 4 et 5) est     tourillonné     dans les parois opposées du carter 55 et porte  une vis sans fin 57     engrenant    avec une roue  hélicoïdale 58, calée sur un arbre 59 dont les  extrémités sont. logées respectivement dans  des paliers à rouleaux 60 et 61 montés     dans     les parois opposées du carter     (fig.    3 et 4).

   A  l'intérieur du carter, les extrémités opposée  de l'arbre 59 portent respectivement des pi  gnons coniques 63 et 64 qui peuvent tourner  librement autour de cet arbre et qui sont mu  nis de     manchons    65 et 66     munis        eu.x-mêmes         de     crabots    67 et 68 star leurs extrémités en  regard.

   Entre les deux pignons susdits et, par  conséquent, entre leurs crabots 6 7 et 68,  l'arbre 59 présente une partie rainurée 70 sur  laquelle est engagé un manchon 71 muni de  nervures ou clavettes longues sur sa face in  terne, de manière à être entraîné par l'arbre  59 tout en pouvant coulisser le long clé     celui-          ci.    Les extrémités opposées de ce manchon 71  portent respectivement des crabots 72 et 73  qui peuvent pénétrer respectivement entre les  crabots 67 et 68 suivant le sens chu déplace  ment axial du manchon 71. Il en résulte que,  si le manchon est déplacé dans un sens, le  pignon 63 est entraîné et si le mouvement a  lieu cn sens inverse, c'est le pignon 64 qui  tourne.  



  Dans la face interne du manchon 71  (fig. 3) sont ménagées des paires d'encoches  75 et 76, diamétralement opposées et qui sont  propres à recevoir chacune des billes 77 qui  sont logées dans Lui trou diamétral 78 de  l'arbre 59 et qui sont pressées vers l'extérieur,  jusque dans les encoches de l'une ou l'autre  paire, par un ressort 79.

   Entre les paires d'en  coches, on donne à la face interne du man  chon 71 une certaine inclinaison et il en ré  sulte, si le manchon est déplacé dans un sens  ou dans l'antre, que les billes peuvent se dé  gager hors d'une paire d'encoches en passant  sur les rampes ainsi formées et se déplacer  vers l'intérieur du trou 78 contre l'action du  ressort 79 jusqu'à ce que, par suite d'un cer  tain déplacement du manchon 71, les billes se  présentent à proximité de l'autre paire d'en  coches pour pénétrer automatiquement dans  celles-ci par l'action de leur ressort.

   Par con  séquent, si le manchon est déplacé dans un  sens ou dans l'autre, les billes doivent d'abord  comprimer le ressort 79 d'une certaine quan  tité et passer sur les rampes avant qu'elles  ne puissent pénétrer dans les autres encoches  et il en résulte que le manchon 71 ne peut  être déplacé axialement aussi longtemps qu'une  certaine résistance à ce mouvement n'a été  vaincue.  



  Un deuxième manchon 82 peut coulisser  sur le manchon 71 et tourner librement au-    tour de celui-ci et ce manchon 82 est déplacé  axialement entre deux cuvettes annulaires 85  et 86, montées respectivement à proximité des  extrémités du premier manchon. Ces cuvettes  servent d'appui respectivement à une extré  mité de deux ressorts 87 et 88 qui entourent  le manchon 82 et dont l'autre extrémité bute  contre des épaulements 89 et 90 formés sur  ce manchon 82. Par conséquent, tout mouve  ment axial du manchon 82 par rapport au  manchon 71 provoque la compression d'un des  ressorts ou (le l'autre, ces deux ressorts étant  soumis à une certaine tension préalable.

    Lorsque le manchon 82 est déplacé vers le bas,  par rapport à la fig. 3, il doit d'abord com  primer le ressort 88 jusqu'à ce que sa com  pression soit devenue telle qu'il oblige le man  chon 71 à se déplacer contre la résistance     pro-          chuite    par les billes 77 et quand la compres  sion du ressort 88 parvient à vaincre cette  résistance, le manchon 71 est déplacé rapide  ment clans un sens pour lequel ses crabots 73  viennent     s'engager    entre les crabots 68 du  pignon 64. Par conséquent, le manchon 71 est  déplacé dans un sens ou dans l'autre, après  qu'une certaine compression a eu lieu des res  sorts 8 7 ou 88, suivant. le cas.

   Il en résulte  que, si l'on fait, intervenir des moyens pour  déplacer le manchon 82, on     peut    obtenir l'en  traînement chi pignon 63 ou du pignon 64.  



  Pour empêcher que le manchon 82 soit  entraîné en rotation quand le manchon     71est     entraîné, on a recours à     -Lui    ergot fileté 91       (fig.    4) vissé dans un côté d'un châssis creux  92 et dont. l'extrémité libre est engagée dans  une rainure longitudinale 92 du manchon 82.  Un écrou de blocage 94     (fig.    4), engagé sur       l'er-ot    91, empêche le dégagement de celui-ci.  Le     @chàssis    92 est maintenu en place par des  vis 95     (fig.    5) engagées dans la paroi ter  minale du\ carter 55 et il contourne l'arbre  59 et les manchons qu'il porte.

   Sur la face       externe    du côté vertical du châssis 92, on  monte une portée 96 sur laquelle peut tour  ner librement une grande roue conique 97 par  l'intermédiaire d'un palier à billes 98. Cette  grande roue 97 engrène constamment avec les  deux pignons 63 et 64 à la fois. La roue 97      est fixée par des vis 99 sur une cuvette annu  laire 100 dont le fond est percé d'une ouver  ture centrale et des dents radiales 101 (fig. 3)  sont réparties le long du bord de cette ouver  ture. En des points diamétralement opposés  (fig. 3 et 6), la face extérieure de la cuvette  100 présente des ouvertures 102 et 103 dans  chacune desquelles est logée une paire de  roues dentées 104 et 105.  



  Les roues dentées 105 (fig. 3) sont enga  gées librement sur des axes 106, chaque axe  étant logé, par une extrémité, dans un trou  107 ménagé dans le corps de la roue conique  97 alors que son autre extrémité est engagée  dans une patte 108 (fig. 6) faisant saillie, vers  l'extérieur, sur la cuvette 100. La roue dentée  104 est calée sur le moyeu 109 de la roue 105  correspondante, de sorte que les deux roues  sont solidaires entre elles et tournent en  même temps. La roue dentée 104 a un dia  mètre un peu plus grand que celui de la roue  105 et si l'on suppose que leurs dents sont  identiques, on peut ainsi donner à la roue  104 une dent de plus qu'à la roue 105.

   Cette  roue 105 engrène avec un pignon 114 qui est  calé sur urne partie 115, de section moindre,  de la portée 96 solidaire du châssis 92 et il en  résulte que le pignon 114 ne tourne pas et  que la roue dentée 105 roule autour du con  tour denté de ce pignon.  



  Dans la portée 96 est logé librement un  manchon 120 qui porte, à une extrémité, un  pignon 121 engrenant avec la roue dentée  104. L'extrémité opposée du manchon 120 sert  de logement à un ergot 122 qui est ajusté avec  serrage ou claveté dans ce manchon, de ma  nière à tourner avec celui-ci et cet ergot porte,  au-delà de l'extrémité correspondante du  manchon 120, une came excentrée 123 qui  peut tourner dans une bague 125 dont la face  interne est cylindrique et est en contact avec  la came 123, alors que sa face externe a un  contour carré et est engagée entre les rebords  périphériques 126 et 127 du manchon 71.  



  Le mécanisme, tel que décrit, permet aux  pignons coniques 63 et 64 d'être entraînés  alternativement et d'actionner la grande roue  conique 97 d'abord dans un sens et ensuite    dans l'autre, l'agencement étant tel due cette  roue 97 est entraînée d'abor d pour faire un  certain nombre de tours dans chaque sens  avant que l'inversion du sens de marche ait  lieu. Ceci sera compris à l'aide du complé  ment de description ou fonctionnement donné  ci-dessous. Quand la vis sans fin 57 fait tour  ner la roue hélicoïdale 58 dans un sens, l'arbre  59 est entraîné dans le même sens et il en est  de même du manchon 71. Quand les crabots  67 et 72 sont engagés, la grande roue conique  97 tourne pendant que la roue dentée 10  roule sur la périphérie dentée du pignon     file     114.

   Par conséquent, la roue 105 tourne au  tour de son axe et en même temps elle est  entraînée autour de l'axe de la roue 97. Quand  la roue dentée 105 tourne, elle entraîne avec  elle la roue 104 qui roule autour du contour  du pignon 121. Comme ce     pignon    121 a une  dent en moins que le pignon 114 et comme la.  roue 104 a une dent en plus que la roue 1.05.  Le pignon 121 est entraîné à une vitesse moin  dre que la vitesse angulaire de la grande roue  conique 97. Il en résulte que l'ergot 122 et  la came excentrée 123     tournent    très lente  ment.

   Après un certain temps, la, came     12:1     aura déplacé le manchon<B>71</B> sur une     longueur     suffisante pour que les     crabots    67 soient dé  gagés hors des     crabots    7 2 et pour que les     cra-          bots    73 aient pénétré entre les     crabots    68. A  ce moment, la grande roue 97     commence    à  tourner en sens inverse et la came excentrée  tourne lentement en sens inverse     jusqu'à    ce  qu'elle déplace à noue     eaLt    le     manchon    71.  



  Quand le manchon 71     occupe    la position  montrée sur les     fig.    3 et 4, le ressort de droite  87 subit une     compression    plus grande que le  ressort de gauche 88 et il en résulte que, pen  dant une partie notable du     mouvement    de la  came excentrée 123, le manchon 71 reste à. sa  position de droite pour laquelle les crabots 6  et 72 sont engagés. En un point prédéterminé  du mouvement, de la came 123, les effets des  deux ressorts se neutralisent, mais le man  chon 71 reste encore à l'arrêt pour la. raison  que les billes 77 sont logées dans les encoches  76.

   Tout mouvement ultérieur de la came 123  provoque la compression du ressort 88 et,      quand celui-ci a subi un certain degré de com  pression, la pression exercée par ce ressort sur  les billes 7 7 est vaincue et le manchon 71 est  déplacé vers la gauche, de sorte que les     cra-          bots    68 et 73 pénètrent les     uns    entre les autres.  Quand le manchon 71 a été ainsi déplacé, les  billes 77     s'engagent    dans les encoches 75 en  maintenant le manchon en place.  



  On voit sur les fig. 3 et 5 que le manchon  120 et le pignon 121, engagé sur l'extrémité  de eelui-ei, forment à eux deux un tourillon  pour un arbre nervuré 130 prolongé par une  partie cylindrique 131, de diamètre moindre  et qui est engagée dans ledit manchon 120 et  ledit pignon 121. La partie nervurée de cet  arbre est engagée dans un manchon     d'accou-          plemnent    132 dont la face interne présente des  rainures dans lesquelles sont logées les ner  vures de l'arbre 130. Une extrémité de ce  manchon 132 porte des dents 134 propres à  être engagées entre les dents 101 de la cuvette  100 quand le manchon 132 est déplacé vers la  droite de la fig. 3.

   Le manchon l32 de l'em  brayage comprend une partie 136 vissée sur  son extrémité opposée à celle où se trouvent  les dents 134 et cette partie 136 présente un  rebord radial 137. Une bague 138 est engagée  librement sur le manchon 732 et cette bague  présente également Lun rebord radial 139 voi  sin du rebord 137 tout en étant écarté de  celui-ci. Un roulement à billes 140 est établi  entre les deux rebords, de sorte     que    la     bague     138 peut être utilisée pour la commande d'un  embrayage tout en pouvant tourner librement  sur le manchon 132 de celui-ci.

   L'arbre 130  traverse la paroi latérale du carter 55 et est  tourillonné dans le moyeu 146 d'une roue  dentée 147 et ce moyeu peut tourner dans un  palier à billes 148 logé dans une cage 149 qui,  à son tour, est     immobilisée    dans une ouver  ture     ménagée    dans la paroi latérale du carter.  



  L'arbre 130 porte, du côté intérieur de la  roue dentée 147, un rebord 150 rendu soli  daire d'une couronne d'embrayage 152 munie  d'ini rebord axial 153 dans lequel sont ména  gées dles fentes axiales 154 réparties le long  de sa périphérie. Une série de disques d'em  brayage 156 entourent le rebord 153 dans le    sens axial et ces disques portent des saillie  radiales 157 engagées dans les fentes 154 de  manière à obliger les disques à tourner avec  la couronne 153. Sur la roue dentée 147 est  prévu un rebord axial analogue 160 muni de  fentes axiales 161 et une série de disques  d'embrayage 162 sont logés dans ce rebord  160 avec des saillies radiales 164 engagées  dans les fentes 161.

   Les disques de l'organe       1.52    alternent avec ceux de la roue dentée 147  de la manière usuelle et, quand ces disques  sont serrés     axialement    les uns contre les  autres, il est évident que les deux organes sont  reliés par friction entre eux de manière à  tourner ensemble.  



  Pour presser les disques de l'embrayage       axialemerit    les uns sur les autres, on a recours  à une bague 165 qui appuie sur le disque  extérieur rendu solidaire de la roue dentée       1-17    et cette bague présente une nervure 166  à angle relativement aigu sur sa face externe  pour venir en contact avec un ressort conique  1.67 constitué par un disque. La périphérie  du disque est engagée dans une rainure annu  laire 170 formée entre l'extrémité du rebord  160 et la bague 171 vissée sur ce rebord, alors  que son bord interne est engagé     radialement     sur le rebord 137 du manchon de commande  132 de l'embrayage.

   Lorsque ce manchon 132  est déplacé     axialement    vers la gauche, par  rapport à la fi-. 3, le bord intérieur du disque  167 fléchit     axialement    alors que son bord  extérieur reste immobile, de sorte qu'une partie  intermédiaire de ce disque refoule la     bague     165 et serre les disques d'embrayage les uns  contre les autres. Un ressort hélicoïdal     17'2     entoure l'arbre 130 entre sa partie nervurée  et le rebord 150 et sollicite normalement le  manchon d'embrayage 132 vers sa position de  débrayage, c'est-à-dire vers la droite, pour la  quelle les dents 101 et 134 sont engagées.

   Les  moyens pour obtenir le déplacement du man  chon 132 vers la gauche seront décrits     ci-          après    en se référant au dispositif de com  mande automatique pour le fonctionnement de  la machine à laver.  



  Le bord extérieur de la roue dentée 147  porte des dents 175 qui engrènent avec une      roue dentée 176 montée sur l'extrémité de  l'arbre moteur 54. Lorsque la roue 147 est  entraînée constamment par l'arbre 54 et  lorsque le manchon de commande 132 de l'em  brayage est déplacé vers la gauche pour serrer  les disques les uns contre les autres, la roue  dentée 147 agit pour entraîner l'arbre 130.  Par contre, si le manchon 132 est refoulé vers  la droite par le ressort 172, l'arbre 130 est  libéré de la roue dentée 147, mais sera lié, en  entraînement, à la cuvette 100 par l'engage  ment des dents 101 et 134. Dans ce cas,  l'arbre 130 est entraîné par la grande roue  dentée 97.

   Finalement et suivant la position  occupée par le manchon 71, cette roue 97  tourne tantôt dans un sens et ensuite dans  l'autre, de sorte que l'arbre 130 sera entraîné  d'abord dans une direction et après dans  l'autre quand l'embrayage 132 est déplacé vers  la droite.  



  On voit sur les fig. 2 et 17 que l'arbre l30  traverse la cloison 12 et le palier 40 et pénètre  dans le compartiment contenant le récipient  25. Son extrémité dépassante porte des dents  ou nervures 180 qui sont engagées dans des  rainures     prévues    sur la face interne d'un man  chon 181. L'extrémité nervurée de l'arbre 130  et le manchon 181 engagé sur celle-ci sont  logés tous deux dans une ouverture centrale  de la boîte 38 fixée sur le récipient 25. Dans  cette boîte est logé un organe d'entraînement  élastique pour relier l'arbre 130 et le man  chon 181 à la cuve et cet organe d'entraîne  ment comprend un ressort hélicoïdal 783  propre à entraîner ladite cuve dans un sens  et un ressort analogue 184, mais enroulé en  sens inverse, pour entraîner la cuve dans  l'autre sens.  



  Comme bien visible sur les fig. 17, 18 et  19, on forme à l'extrémité extérieure du res  sort 183 un crochet 185 engagé sur un ergot  186 qui traverse des pattes 187 et 188 d'une  pièce annulaire 189 à section en forme de U,  qui est fixée rigidement à la boîte 38 par sou  dure. De cette manière, l'extrémité extérieure  du ressort est reliée à la boîte et au récipient  25. Dans l'extrémité interne de ce ressort est  ménagée une encoche 190 (fig. 17 et 19) dans    laquelle est logé un ergot 191 prévu sur une  saillie 192 solidaire du manchon 181. On voit  plus spécialement sur la fis. 18, si le man  chon est entraîné dans le sens dextrogyre, que  l'extrémité interne du ressort 183 se déplace  avec le manchon et que, par l'intermédiaire  de ce ressort, le récipient 25 est entraîné.  



  Un deuxième ressort 184 présente égale  ment une encoche 194 dans son extrémité in  terne clans laquelle est logé un ergot 195  prévu du côté opposé du manchon 181, de  sorte que, lorsque ce manchon est entraîné  dans l'autre sens, le     deuxième    ressort sera  également entraîné. L'extrémité extérieure du  ressort 184 porte un crochet 198 engagé sur  un ergot 199 relié également aux pattes 787  et 188 de la pièce annulaire 189 pour que le       deuxième    ressort 184 puisse agir sur le réci  pient. Il en résulte que l'arbre entraîne le  récipient par un ressort hélicoïdal dans l'un  ou l'autre sens, de sorte que, si l'arbre vient  à être arrêté brusquement ou si le récipient.

    rencontre une résistance importante en tour  nant, l'entraînement, sera amorti et permettra  un certain mouvement relatif pour éviter  toute détérioration     qui        pourrait        résulter        d'un     arrêt brutal ou d'une mise en marche trop  brusque.  



  La boîte formée par les disques 3 7 et. 38  est fixée à une bride 200     (fig.    7.7) qui fait  partie d'un manchon 201     tourillonné    dans un  palier à billes 202 qui fait partie du support  général 40 dont il est question plus haut. Le  palier à billes est     maintenu    sur le manchon  201 par une bague fendue 204 logée dans     tune     gorge ménagée dans l'extrémité du manchon  et prenant appui sur la cage interne du pa  lier et celui-ci est maintenu en place par le  manchon 149 qui est relié au carter 55 con  tenant le mécanisme entraîneur. Un joint  approprié 205 empêche les fuites clé l'eau le  long du manchon 201.

   Le palier 32     (fig.    20),  établi de l'autre côté du récipient 25, com  prend un manchon 27.0 fixé à la paroi termi  nale 42 et ce manchon maintient un palier à  billes 211 qui reçoit un bout d'arbre 212 relié  au disque 29 faisant. partie du récipient 25.  Sur la. face interne du manchon 210 et en      un endroit compris entre le palier à billes 2l1  et le récipient 25 est prévu un rebord radial  213, orienté vers l'intérieur, ainsi qu'une paroi  axiale 214. Entre cette paroi 214 et L'arbre  212 est établi un joint 2l6.

   Une rondelle 217,  portant des dlents 218 et 219 en des points  diamétralement opposés de sa périphérie et  qui sont engagées respectivement dans des  fentes ménagées dans la paroi axiale 214, sert  à exercer une pression axiale sur le joint 216  pour serrer celui-ci contre le rebord 213 et  contre l a paroi 2714 tout- en empêchant la rota  tion du joint par le contact de son extrémité  avec le disque     29    faisant partie de la paroi  du récipient 25. Une bague 222, intercalée  entre la rondelle 217 et le disque 29, sert à  exercer une pression sur le joint. A son extré  mité externe, le manchon 210 comporte un re  bord radial 225 qui est fixé, par des boulons  226, à la paroi 42 du compartiment 13.  



  A son extrémité externe, l'arbre 212 est       engagé    dans un bras 227 qui est obligé de  tourner avec l'arbre et qui est maintenu en  place par un écrou 228 engagé sur l'extrémité  de celui-ci. A l'extrémité libre du bras 227 est  établi un axe 230 qui traverse une bague 231  logée dans l'extrémité d'une bielle 232. Une  tête 233, solidaire de l'axe, sert à maintenir  ces organes en place sur le bras 227 tout en  permettant la rotation de la bielle 233 par  rapport audit axe. La bielle 233 (fig. 1) est  reliée, à son extrémité opposée, par un long  ressort hélicoïdal 235 accroché, par son autre  bout, à un ergot 236 fixé sur la paroi 42.

   Le  ressort 235 présente une tension préalable et  sollicite le récipient 25 vers une position telle  que le ressort et la bielle 233 soient en aligne  ment avec l'axe 212, comme visible sur la  fig. 1. Il est à noter que, lorsque le ressort et  la bielle occupent ces positions, l'ouverture 44  du récipient 25 se trouve à la partie supé  rieure (le la machine et, par conséquent, en  regard des ouvertures ménagées dans la cuve  et dans     l'enveloppe,    de sorte que, lorsque le  couvercle de l'enveloppe est enlevé, le cou  vercle du récipient se trouve à la partie supé  rieure et en dessous de l'ouverture ménagée  dans la paroi supérieure de ladite enveloppe.    L'eau est introduite dans la cuve 17 par  deux conduits 240 et 241 (fig. 11 et 22), le  conduit 241 contenant l'eau froide et le con  duit 210 l'eau chaude.

   Ces conduits aboutis  sent à des raccords fixés sur la paroi arrière  de l'enveloppe. Les deux conduits d'eau sont  reliés à un distributeur mélangeur     2.14    com  mandé par un thermostat et dont il sera ques  tion ci-après quand on expliquera les moyens  de commande par lesquels on obtient le fonc  tionnement cyclique de la machine à laver. Un  seul conduit. de décharge 245 part du distri  buteur 211 et. ce conduit est relié à.     iin    tube  en cuivre 246.  



  On voit sur la     fig.    21 que le tube en cuivre  246 aboutit à une commande à flotteur 217  comprenant une boîte 248 avec un diaphragme  en caoutchouc     249    percé d'une ouverture cen  trale 250. Le     diaphragme    est maintenu en  place par une douille filetée 252 qui est. vis  sée dans l'extrémité inférieure de la boîte 218.  Un organe tubulaire 253 appuie sur la, face  supérieure du diaphragme et l'extrémité de  cet organe est fixée à une saillie tubulaire  254 prévue sur la boîte. La saillie, à son tour,  est connectée à un tube 255 aboutissant à la  partie supérieure de la cuve par l'intermé  diaire     d'im    raccord 256 qui traverse la cloi  son 12.  



  En dessous du diaphragme 249, on fixe à  la boîte 248 une chambre à flotteur 260 qui  contient un flotteur 261 dont la, tige 262,  montée sur sa. face supérieure, supporte un  pointeau conique 263. La tige 262 traverse un  joint 261 logé dans l'ouverture de la douille  252 et le pointeau peut. obturer l'ouverture  250 ménagée dans le diaphragme.     L'extrémité     inférieure de la chambre à flotteur est reliée  à un conduit 265 qui aboutit à un raccord 266  relié à la partie inférieure de la cuve. Il en  résulte que le niveau de l'eau dans la cuve  contrôle la position du flotteur.

   Celui-ci porte  sur sa face inférieure un raccord 270 qui peut  coulisser dans un trou ménagé dans une pièce  271, en forme de cuvette, et fixée sur le fond  de la chambre à flotteur, cette pièce étant  percée de trous pour permettre le passage de  l'eau. Le tube 246, venant du distributeur,      contrôlé thermostatiquement, est relié à la  boîte 248 en un point qui se trouve au-dessus  du diaphragme et quand les     organes    occupent  la position montrée sur la fig. 20, de l'eau,  provenant du conduit 246, ne peut pas péné  trer dans la cuve, puisque le diaphragme est  pressé vers le haut contre le bord inférieur de  l'organe tubulaire 253. Si le niveau de l'eau  descend dans la cuve, le flotteur 261 est dé  placé vers le bas et le diaphragme suit ce  mouvement par suite de la pression exercée  par l'eau sur sa face supérieure.

   Il en résulte  que le diaphragme s'écarte du bord inférieur  de l'organe tubulaire 253 et que l'eau peut  couler dans la cuve.  



  Au distributeur mélangeur 244 aboutit un  conduit 241 pour l'eau froide et un conduit  240 pour l'eau chaude et à partir de ce distri  buteur l'eau s'écoule par un conduit de dé  charge 245 et le tube en     cuivre    246. On voit  sur la fig. 14 que le distributeur mélangeur  comprend une boîte avec deux compartiments  273 et 274, le compartiment 273 ayant des  passages annulaires 275 et 276 ménagés dans  sa paroi latérale alors que le compartiment  274 présente des passages annulaires analo  gues 277 et 278.

   Le conduit d'eau chaude 240  communique avec les deux passages annulaires  275 et 277 alors que le conduit d'eau froide  241 communique avec les deux passages annu  laires 276 et 278, le débit de l'eau depuis les  passages annulaires dans le compartiment 273  est réglé par un tiroir 280 qui peut régler,  d'une manière variable, les quantités d'eau  chaude et d'eau froide qui pénètrent dans ce  compartiment suivant la position donnée au  tiroir.  



  Un couvercle 281, relié au tiroir, porte  une tige réglable 282 vissée dans ledit cou  vercle et cette tige est reliée à un élément  thermostatique 284. Un ressort 285, prenant  appui sur le couvercle 281, tend à déplacer  le tiroir vers la gauche de la fig. 14, et un  second ressort 286 intervient pour faciliter le  déplacement de ces organes, suivant une di  rection opposée, quand le mouvement est per  mis par l'élément thermostatique. Ce dernier  ne fait pas partie de l'invention et ne doit    donc pas être décrit en détail. Dans le com  partiment 274 est logé un tiroir analogue 288  commandé par un autre thermostat 289. Les  deux thermostats sont réglés différemment de  manière que l'eau, admise dans le comparti  ment 273, ait une température d'environ 60  C  alors que la température de l'eau dans le  deuxième compartiment est d'environ 38  C.  



  A côté des compartiments 973 et 274 est  prévu un passage 292 qui aboutit au conduit  245 par lequel se fait la décharge de l'eau et  qui est muni d'une entrée d'eau 293 par la  quelle l'eau peut arriver depuis le comparti  ment 273 et une deuxième entrée d'eau 294  pour recevoir l'eau provenant du comparti  ment 274. L'entrée 293 peut être fermée par  un diaphragme élastique 296 et l'entrée 294  par un diaphragme 297. Dans le cas où,  comme montré, le diaphragme 296 est écarté  de l'entrée 293, l'eau s'écoule hors du     eom-          partiment    273 par un passage 298 qui se  trouve au-delà du passage 293 et contourne  le diaphragme écarté de son siège pour aboutir  au passage 292.

   L'eau, provenant du compar  timent 274, s'écoule par un passage     annulaire     299 et si le diaphragme 297 est écarté de son  siège, l'eau peut s'écouler dans le passage  292. Il résulte de ce qui précède que chaque  compartiment peut fournir de l'eau à une  température différente et que, suivant les  positions occupées par les diaphragmes, l'eau  fournie à la cuve peut être ou bien à basse  température ou bien à température élevée.  Les moyens automatiques pour régler les po  sitions des deux diaphragmes, afin que l'eau  soit fournie à la cuve à des moments oppor  tuns, seront décrits ci-après.  



  En se référant à. nouveau à la fia. 1, l'eau  est fournie à la partie inférieure de la     euve     par un raccord.<B>31.0</B> qui est. relié à un tube  311 aboutissant à un     organe        tubulaire    312  monté sur une boîte de filtration 313.     Un.     deuxième organe tubulaire     :314,    partant (le  cette boîte, est relié par     un    conduit 315 à  l'entrée 316 ,d'une pompe 317     (fig.    15)     q11i     comprend un carter en deux parties 319 et  320 reliées entre     elles    par des vis 331.

   La,  partie 319     dll    carter comprend un palier 322      dans lequel est tourillonné l'arbre 324 sur  lequel est fixé le moyeu 325 de plusieurs  ailettes 326. L'extrémité externe (le l'arbre  324 porte la poulie 227 qui     entraîne    le rotor  de la pompe. Un joint 328, logé dans le car  ter et engagé sur l'arbre 324, empêche les  fuites d'eau. La poulie 327 est entraînée par  une courroie 330, en V, engagée sur une  deuxième poulie 331 calée sur l'arbre du mo  teur 50. Il en résulte que le rotor tourne  constamment quand le moteur marche.  



  la deuxième partie 320 du carter com  prend une busse 332 qui aboutit à une boîte  à soupape 333 qui communique avec la buse  332 par une     ouverture    dont le bord forme  le siège 334 de la soupape 335 avec une tige  336 qui traverse     uni    couvercle 337 vissé dans  l'extrémité supérieure de la boîte. Un ressort  hélicoïdal 338 entoure cette tige et est logé  dans un     prolongement    tubulaire 339 du cou  vercle pour solliciter la soupape 335 vers sa  position de fermeture.  



  Quand la soupape 335 est ouverte, de  l'eau est pompée hors de la cuve par le con  duit 310 aboutissant à la boîte de filtration  et s'écoule ensuite clans la boîte 333 et passe  par la soupape 335 et la pompe 317 pour  être évacuée, finalement, par le raccord 340  qui relie le carter de la pompe à une vidange.  Il résulte de ce qui précède que l'eau est vi  dangée hors de la cuve quand la soupape  335 est ouverte et que la vidange peut donc  se faire, à des moments opportuns, par la  simple ouverture de la soupape.  



  Pour résumer, d'une manière générale, le  fonctionnement du mécanisme décrit jus  qu'ici, on peut dire que l'on dispose d'un mo  teur électrique, qui fonctionne constamment  pendant la lessive, un inverseur qui fait  tourner le récipient contenant le linge tantôt  dans un     sens    et tantôt dans l'autre, un em  brayage qui interrompt la. liaison entre l'in  verseur et le récipient et relie ce dernier à  un entraînement à grande vitesse pour le  faire tourner à une     vitesse    élevée pour esso  rer le linge, et une pompe qui est entraînée  d'une manière continue pour vidanger la cuve  aux moments voulus sous le contrôle du fonc-         tionneinent    d'une soupape.

   On dispose égale  ment d'une commande pour le mélange de  l'eau, pour fournir de l'eau à la. cuve et à la  température désirée, ainsi qu'une     commande          par    flotteur qui empêche la pénétration de  l'eau dans la cuve après qu'elle a atteint, un  certain niveau dans celle-ci. Le fonctionne  ment de la machine à laver est automatique       après    sa mise en marche et jusqu'à ce que la.  lessive soit terminée, et on v a décrire ci-des  sous la commande automatique par laquelle  on, obtient les différentes opérations dans  l'ordre voulu.  



  Quand le circuit d'alimentation du moteur  est fermé, le récipient contenant le linge  commence à tourner immédiatement d'abord  dans un sens et puis en sens inverse et la  pompe de vidange commence à tourner, mais  la soupape, qui règle l'évacuation de l'eau  hors de la cuve, est fermée.     Quand    le moteur  vient d'être alimenté, de l'eau à la tempéra  ture désirée pénètre dans la cuve et continue  à être admise dans celle-ci au cours du la  vage     jusqu'à    ce que son débit soit arrêté  par la commande à. flotteur ou sous le con  trôle du distributeur mélangeur.

   Quand le  lavage a duré pendant un temps prédéter  miné, pendant lequel le récipient est entraîné  tantôt dans un sens et tantôt dans l'autre, la  soupape de vidange de la pompe est ouverte  automatiquement et l'eau s'écoule rapidement  hors de la cuve puisque la pompe fonctionne.       I'    eu après, de l'eau propre commence à péné  trer dans la cuve, par suite de la     manoeuvre     automatique du distributeur mélangeur et la  vidange se ferme. L'admission .d'eau est alors  interrompue pendant une courte période, le  linge est rincé après quoi la soupape de vi  dange s'ouvre à nouveau pour permettre  l'évacuation de cette eau.

   Quand l'eau est, en  substance, vidangée hors de la cuve, on     admet     de nouveau de l'eau propre dans celle-ci et  un deuxième rinçage se     produit.    On obtient  alors la fermeture de l'admission et, quand  le     rinçage    s'est fait, pendant un certain temps,  la vidange est ouverte et cette eau est éva  cuée. Un troisième     rinçage    a lieu de la même  manière et, après cela, la soupape de     vidange         reste ouverte alors que le distributeur d'ad  mission reste fermé.  



  Après le troisième rinçage, l'embrayage  par lequel on obtient l'entraînement à grande  vitesse du récipient contenant le linge est  serré et, pendant que l'eau peut s'écouler, le  linge est essoré par la force centrifuge.  L'embrayage est alors ramené à une position  intermédiaire ou neutre et le moteur s'arrête.  Le linge peut ensuite être enlevé hors du  récipient. La commande automatique de la  machine est obtenue comme suit  On voit, sur les fig. 4 et 5, que le carter  55 est muni d'un couvercle creux 341 fixé sur  celui-ci par des vis 342. Dans ce couvercle  est logé un arbre de commande ou à cames  343 qui peut tourner dans des paliers 344 et  345 prévus aux extrémités opposées du cou  vercle 341 et fixés sur celui-ci par des vis  346.

   Cet arbre est entraîné, à une vitesse très  réduite, par un bras 347 qui pénètre dans le  carter 55 et dont l'extrémité libre inférieure  est engagée dans une rainure 348 ménagée  dans la partie supérieure du manchon 82 et  il est à noter que l'engagement de cette extré  mité dans la rainure se fait automatiquement  quand le couvercle 341 est fixé sur le carter  55. On rappelle que le manchon 82 est  d'abord déplacé dans un sens et ensuite dans  l'autre lorsque se fait l'inversion du mouve  ment du récipient 25 contenant le linge et,  pendant ce mouvement alternatif du man  chon, on obtient l'oscillation du bras 347.  



  On voit sur la fig. 4 que le bras 347 pré  sente une ouverture cylindrique 350 dans la  quelle est logé un organe entraîneur et cylin  drique 351 calé en 352 sur l'arbre à cames  343 (fig. 5). Au-dessus de l'organe entraî  neur 351, une rainure 353 est ménagée dans  le bras 347 et dont le bord extérieur forme,  de pair avec la face latérale de l'organe  entraîneur 351, une encoche tangentielle dont  les bords s'écartent légèrement dans le sens  dextrogyre. Dans cette encoche est logé un  rouleau 355 sollicité dans le sens lévogyre  par un ressort 356 qui se trouve dans un trou  357 ménagé dans le bras 347.    Le bras 347 est sollicité normalement,  dans le sens lévogyre, par un ressort 360 qui  prend appui sur l'extrémité supérieure du  bras et qui est logé dans une douille 361,  vissée dans le couvercle 341.

   Le mouvement       angulaire    du bras, dans le sens lévogyre, est  limité d'une manière réglable par une butée  réglable 362, vissée dans le couvercle 341 et  dont l'extrémité interne est propre à venir en  contact avec le bras en un point en dessous  de l'arbre 343. Quand la machine fonctionne  et quand le manchon 82 est à sa position de  droite     (fig.    4), le bras est maintenu dans sa  position de droite par le ressort 360.     Quand     le manchon 8<B>2</B> est ensuite déplacé vers la  gauche, le bras 347 tourne dans le sens dex  trogyre autour de l'axe de l'arbre 343 et,  comme le rouleau 355 vient se coincer entre  la face latérale de l'organe entraîneur 351 et.  la, paroi 354 de la rainure du bras     3-17,    cet  organe tourne avec le bras.

   Il en résulte que  l'arbre     Ô-13    est entraîné dans le même sens,  mais suivant un mouvement angulaire de  faible amplitude.     Quand    le manchon 82 se  déplace vers la droite, le bras 347 suit. ce  mouvement et     tourne    librement autour de  l'organe entraîneur 31 (puisque le rouleau  355 s'efface)     jusqu'à    être arrêté par la bu  tée 362.  



  Comme visible sur les     fig.    5 et 7, l'organe  entraîneur 351 comprend une tête 364 dans  laquelle est ménagée une encoche 365 en  substance analogue à. l'encoche 353 du bras  347 et dans laquelle est logé un     deuxième     rouleau 366 sollicité dans le sens     lévo-yre     par un ressort 367. Le déplacement de la tête  364 dans le sens lévogyre est     empêché    par  une butée réglable 368, vissée dans le cou  vercle 341, et le mouvement de la tête, dans  le sens     dextrogy        re,    est empêché par une  deuxième butée 369, vissée dans la paroi op  posée du couvercle.

   La tête permet donc la  rotation dextrogyre de l'organe     entraîneur     351, mais empêche le mouvement     lévogyre    de  celui-ci. Quand le bras 347 tourne dans le  sens     dextrogyre,    par rapport à la fi-. 4, il  entraîne l'organe 351 et l'arbre 343, mais le  mouvement, en sens inverse, de l'organe en-      traîneur 351 est empêché par la tête 361. Il  en résulte que l'organe entraîneur 351 et  l'arbre 343 sont entraînés, dans le sens  dextrogyre, suivant de faibles amplitudes et  que le mouvement en sens inverse de l'arbre  343 est empêché positivement.  



  Sur la fig. 5, on voit due l'organe     entrai-          lieur    351, L'arbre 343 et la tête 364 sont  assemblés par des bagues 370 et 371 engagées  sur les extrémités de l'organe entraîneur 351,  de pair avec une partie centrale 372, de plus  grand diamètre, de l'organe entraîneur 351.  



  L'arbre 343 (fig. 5) porte, immédiatement  à gauche du mécanisme d'entraînement dé  crit ci-dessus, une came 375 qui est engagée  à clavette longue à l'aide de deux rainures  diamétralement opposées 376 et 377 ména  gées dans le bord clé l'ouverture de la came  375 et d'une goupille 378 traversant diamé  tralement l'arbre 343. Dans l'extrémité de  droite de la came 375 est ménagée une enco  che qui forme, entre la paroi latérale de cette  came et l'arbre 343, un intervalle annulaire  dans lequel est logé un ressort hélicoïdal 379  engagé     sur    cet arbre et qui prend appui sur  le fond de cette encoche et sur la bague 371.  Ce ressort sollicite normalement la came<B>375</B>  vers la gauche.

   L'extrémité de gauche de la  came 375 bute contre une tête 380, de con  tour sensiblement rectangulaire et qui est  montée sur l'extrémité inférieure d'une tige  381. qui peut tourner dans le moyeu 382 d'une  roue dentée 383 et qui est tourillonné dans  un bossage 384 faisant partie du couvercle  341. La face inférieure de cette tête 380 pré  sente deux encoches concaves 385 et 386  (fig. 16) de longueurs différentes et qui se  coupent à angle droit, ces encoches pouvant  servir chacune de logement à la partie supé  rieure de l'arbre 343.  



  La tige 381 est sollicitée vers le bas par  un ressort 387 qui prend appui sur l'extré  mité inférieure du moyeu 382 et sur la tête  380, de sorte que celle-ci est appliquée     élasti-          quement    sur l'arbre 343. La came 375 (fig. 5)  est maintenue contre la grande face de la  tête 380 et occupe donc une position axiale  fixe, mais si l'on fait tourner la tige 381,    celle-ci monte suffisamment pour permettre  la, rotation de la tête 380 d'un angle de 90 ,  de sorte que l'encoche plus longue 386 s'en  gage sur la partie supérieure de l'arbre 343.  Par ce mouvement, la came 375 est déplacée  latéralement pour se rapprocher davantage  de la bague 371 et elle est alors maintenue  dans cette position jusqu'à ce que la tige 381  ait tourné à nouveau de 90 .

   Il est à observer  que la tige 381 peut être déplacée vers le  haut par le moyeu 382 et que son extrémité  supérieure est reliée, par une liaison à fente  et nervure, à un organe rotatif 388 qui fait  saillie sur l'extrémité supérieure du moyeu  382 et qui est terminé par un bout carré  389 à l'aide duquel on peut le faire tourner.  



  La came 375 commande l'admission d'eau  et son fonctionnement général est montré sur  les fi,g. 11 à 14 et 22. Le distributeur mé  langeur     2-11    est monté sur le couvercle 311 en  un point voisin de la came<B>375</B> et il comprend  deux plongeurs 100 et 101 qui peuvent cou  lisser dans des ouvertures ménagées dans la  paroi du couvercle et ils aboutissent à proxi  mité de la came 375. Les extrémités internes  des plongeurs     400    et 101 appuient respecti  vement     contre    des tiges 102 et 103 qui, à leur  tour, sont respectivement en contact avec les  parties centrales des diaphragmes 296 et 297.

    Ces tiges ont des extrémités internes coni  ques qui peuvent venir obturer les trous mé  nagés dans les parties centrales des dia  phragmes en même temps que ceux-ci sont  refoulés vers leurs positions de fermeture.  Quand chacune des tiges est libre de se dé  placer, un ressort 101 engagé autour de cette  tige provoque son mouvement dans le sens  inverse, de sorte que le passage est ouvert.  



  Le plongeur 101 peut être déplacé par  un organe élastique 105 doublement coudé,  alors que le plongeur 100 est sollicité par un  organe élastique analogue 106. Ces organes  sont fixés sur la face interne du couvercle en  étant écartés l'un clé L'autre et l'organe élasti  que 105 porte un doigt     -107    qui est en con  tact avec le plongeur 401, alors qu'un autre  doigt 108 appuie sur le contour de la came  375. L'organe élastique 406 porte un doigt      409 qui appuie sur le plongeur 400 alors  que son autre doigt 410 est également en con  tact avec la périphérie de la came 375, tout  en étant écarté axialement du doigt 408.  



  La came 375 est montrée, en coupe trans  versale, sur les fig. 11, 12 et 13, et elle pré  sente quatre rainures axiales qui ne s'éten  dent pas d'une extrémité à l'autre de la came.  Ces rainures commandent la distribution de  l'eau, pendant le fonctionnement de la ma  chine dans l'ordre suivant: La rainure 412  provoque la première entrée de l'eau et elle  aboutit à proximité de chaque extrémité de  la came. Quand celle-ci est donc à une po  sition axiale analogue à celle de la fig. 5, le  doigt 408 est engagé dans la rainure alors  que le doigt 410 est engagé sur l'extrémité  pleine de la came au-delà de l'autre extré  mité de la rainure. Si la came est amenée à  son autre position, le doigt 408 ne peut pas  pénétrer dans la rainure, alors que le doigt  410 peut pénétrer dans celle-ci.

   Cette enco  che commande la première admission d'eau  dans la cuve et, pour cette raison, un des  doigts seulement peut pénétrer dans cette  rainure et un des passages seulement du  distributeur-mélangeur est ouvert.    La came 375 est ensuite déplacée, dans le  sens dextrogyre, au-delà de la rainure 412  jusqu'à ce que la rainure suivante 413 atteigne  les doigts 408 et 410. Cette rainure est sensi  blement la même que la rainure 412 et elle  aboutit à proximité des deux extrémités de la  came. Quand les doigts passent d'une rainure  à l'autre, ils glissent sur la face latérale, de  plus grand diamètre, de la came, de sorte que  les deux passages sont fermés et que le lavage  se fait pendant que les doigts se trouvent  entre les deux rainures.

   Quand la rainure 413  atteint les doigts et quand la came se trouve  à la position montrée sur la fig. 5, seul le  doigt 408 peut pénétrer dans la rainure pour  permettre à l'eau de pénétrer dans la cuve.  Si la came occupait son autre position, le  doigt 410 provoquerait l'admission d'eau. La  troisième rainure 414 diffère des deux pre  mières en ce sens qu'elle est prolongée jusqu'à    l'extrémité de gauche de la came, par rapport  à la fig. 5, en aboutissant à proximité de  l'autre extrémité de la came. Dans ce cas, le  doigt 408 pénètre dans la rainure, quelle que  soit la position occupée par la came, et le  doigt 410 ne peut jamais s'engager dans cette  rainure. Par conséquent, l'entrée d'eau est  toujours commandée par le doigt 408.

   La qua  trième rainure 415 est analogue à la rainure  414 et, dans ce cas également, c'est toujours  le doigt 408 qui commande.  



  En général, l'eau peut d'abord pénétrer  dans la cuve quand un doigt 408 ou 410 se  trouve au fond de la rainure 412. La came est  alors déplacée     angulairement    et le lavage a  lieu pendant que la came 375 écarte la rai  nure 412 des doigts 408 et 410 et que la rai  nure 413 se rapproche de ceux-ci. Quand     -uni     doigt s'engage dans la rainure 413, de l'eau  est, à nouveau, admise dans la. cuve. Quand  la came continue son mouvement, l'arrivée de  l'eau est interrompue et un premier     rinçage    a  lieu pendant le passage de la rainure 413 à, la  rainure 414. Trois rinçages ont lieu successi  vement et quand la rainure 415 s'est écartée  da. doigt 408, il se     produit    un essorage pen  dant lequel la vidange reste ouverte.

   Les or  ganes sont agencés de manière telle que, lors  que la came 375 occupe sa position, montrée  sur la     fig.    5, le doigt 408, qui est en contact  avec le plongeur 401, commande     entièrement     l'entrée d'eau et celle-ci est alors fournie à  une température de 38  C. Pendant ce temps,  l'autre doigt 410 glisse sans effet sur l'autre  extrémité de la came     sans    pénétrer dans au  cune de ces rainures.

   Par     contre,    si la came  est déplacée     axialement    jusqu'à son autre po  sition, l'admission d'eau est obtenue par l'in  termédiaire du doigt 410 et du plongeur 401  pour le lavage et pour le     premier        rinçage    et,  pour cette raison, on admet de l'eau à. une  température plus élevée, par exemple à 60  C,  au cours de ces deux opérations. Le deuxième  et le troisième rinçage sont contrôlés par  l'autre doigt 408 et par le     plongeur    401, de  sorte que de l'eau, à. la température plus  faible, est fournie pour le deuxième et le troi  sième rinçage.      A gauche de la came 375 (fig. 5), l'arbre  343 porte une deuxième came 417 calée sur  cet arbre par une clavette 418.

   Cette came  porte une couronne dentée 419 qui engrène  avec les dents 383 prévues sur l'extrémité in  férieure du manchon 382 et il en résulte que,  si l'on fait tourner celui-ci, on entraîne la  came 417 et on fait tourner l'arbre 343. De  cette manière, on peut     effectuer    successive  ment les différentes     opérations    de la lessive  en faisant tourner le manchon 382 autour de  son axe.  



  La came 417 (fig. 6) porte des bossages  420, 421, 422 et 423 et entre ceux-ci des creux  424, 425, 426 et 427.  



  Le contour de la came est en contact avec  un plongeur 430 qui peut coulisser dans la  paroi du couvercle 341 et son extrémité in  terne est propre à passer sur les bossages et  dans les creux à mesure que la came tourne.  L'extrémité externe du plongeur 430 est en  contact avec la saillie 431 d'un bras 432 qui  est articulé en 433 au couvercle. L'extrémité  externe dlu bras 432 est reliée, par une bielle  435, à l'extrémité supérieure de la soupape de  vidange 336. Cette liaison articulée est telle  que, lorsque le plongeur 430 s'engage dans un  creux, la soupape de vidange, montée sur la  pompe, se ferme et que, lorsque le plongeur  est au sommet d'un bossage, la vidange est  ouverte.  



  A gauche de la came 417, une troisième  came 440 est calée sur l'arbre à cames 343 à  l'aide d'une clavette 441. Une face latérale de  la came 440 est serrée contre un palier de  butée 442 qui prend appui sur une bague 443  épaulée contre la face interne du palier 345  de l'arbre 343. La face     opposée    de la came  440 (fig. 9 et 10) porte un gradin surélevé  444 flanqué de part et d'autre par des rampes  445 et 446. Une encoche 447, à fond arrondi,  est prévue entre le gradin 444 et. la rampe  445 et, quand un galet 450 est engagé dans  cette encoche, le manchon 132 et les autres  organes de l'embrayage viennent occuper leur  position intermédiaire ou neutre pour laquelle  l'arbre 130 est complètement libéré de son  mécanisme entraîneur.

   La came 440     (fig.    9)    est en contact avec     1e    galet 450 monté sur  l'extrémité supérieure d'un bras 451 articulé  à un pivot 452 qui est. engagé dans des parois  opposées du carter     (fig.    6). L'extrémité infé  rieure de ce bras 451 forme une fourche 453  dont. les branches chevauchent le manchon 132  de l'embrayage.  



  Quand le galet 450 est engagé sur le gra  din 444     (fig.    9), le manchon 132 est déplacé  vers la gauche contre l'action du ressort 172  et le récipient 25, contenant le linge, est en  traîné à une vitesse élevée. Par la rampe, éta  blie à chaque extrémité du gradin,     l'em-          bray        age    est serré graduellement, de sorte que  les passages de l'entraînement depuis la rota  tion alternative jusqu'à la vitesse élevée et  vice versa se font progressivement. L'encoche  447 et la rampe 445 permettent d'obtenir une  réduction de vitesse adéquate quand le réci  pient 25 arrive au bout de sa rotation pour  l'essorage.  



  La came 440 présente     une    encoche 455       (fi-.    5 et 6) à sa périphérie et dans cette  encoche peut venir s'engager l'extrémité arron  die d'un organe 456 faisant partie d'un inter  rupteur électrique 457 établi dans le circuit.  d'alimentation du moteur. Quand l'organe 456  pénètre dans l'encoche 455, le circuit est inter  rompu et quand il sort de l'encoche et s'en  gage sur le contour de la came 440, le moteur  est alimenté.

   Il est à noter que la came 440  peut être déplacée     angulairement,    au début,  en faisant tourner le manchon 382 pour faire  avancer     suffisamment    la came jusqu'à ce que  le moteur se mette en, marche, et dès que le  moteur tourne, tous les organes sont     entrai-          nés    par celui-ci et sont commandés par l'arbre  à cames.  



  On a expliqué plus haut que le manchon  382 (fi-. 5) peut être actionné pour faire  tourner l'arbre 343, de manière à mettre le  mécanisme en marche ou à faire progresser  son fonctionnement. Il a également été dit  que le manchon 388, qui peut tourner dans le  manchon 382, peut intervenir pour faire va  rier la température de l'eau fournie à la cuve.  Le fonctionnement de ces deux organes de  commande est obtenu à l'aide des dispositifs      de     man#uvre    qui traversent la paroi supé  rieure de l'enveloppe (fig. 23). Pour faire  tourner le manchon 382, on le relie à une  pièce tubulaire 465 qui aboutit à proximité  de cette paroi supérieure où il est relié au  prolongement tubulaire 466 d'un bouton 467  et qui traverse ladite paroi.

   En faisant tour  ner ce bouton, le manchon 382 et la roue den  tée 383 montée sur son extrémité inférieure  peuvent être déplacés     angulairement    et à vo  lonté.  



  L'organe de liaison 388 est logé dans une  douille formée à l'extrémité inférieure d'une  tige 468 qui peut tourner dans la pièce tubu  laire 465. L'extrémité supérieure de cette tige  468 traverse le prolongement tubulaire 466 du  bouton 467 et cette extrémité porte un  deuxième bouton 469 qui peut être déplacé       angulairement    dans une encoche 470 ménagée  dans le premier bouton 467. Les deux bou  tons sont reliés entre eux par des billes 471 à  ressorts logées dans des encoches en regard,  ménagées dans les faces adjacentes des deux  boutons. Les encoches prévues dans le bord  intérieur sont suffisamment profondes pour  permettre la compression radiale des ressorts  et le recul des billes quand on procède à la  mise en place et au démontage du bouton  intérieur.

   Ces ressorts permettent également  le déplacement relatif des boutons, de sorte  que chaque organe de     man#uvre    peut être  actionné indépendamment de l'autre.  



  Pour bien comprendre le fonctionnement  général de la machine à laver, on se rapporte,  de préférence, à la fig. 8 qui montre les dif  férentes cames et les organes commandés par  celle-ci superposés les uns aux autres. On  admet que la machine est à l'arrêt et l'organe  456 de     l'interrupteur    est engagé dans l'en  coche 455, ce qui interrompt le circuit du  moteur. Quand ces organes occupent cette po  sition, le doigt 408, qui commande l'admission  d'eau, repose sur la face latérale, de plus  grand diamètre, de la came 375, mais est sur  le point de pénétrer dans la rainure 412  quand la came est entraînée dans le sens  dextrogyre. En même temps, le plongeur 430,  qui commande la vidange, est sur le bossage    420, de sorte que la vidange est ouverte.

   Le  galet 450 se trouve au bas de la rampe     -145     de la came 440. Pour mettre la machine en  marche, l'opérateur fait tourner le bouton 461  dans un sens pour lequel l'arbre à cames     313     et les cames tournent dans le sens     dextrogTre     et le déplacement angulaire initial et de faible  amplitude de cet arbre, obtenu de cette ma  nière, dégage l'organe     -156    de     l'interrupteur     hors de l'encoche 45.5 et le moteur se met en  marche. A partir de ce moment et     jusqu'à    ce  que cet organe 456 pénètre à nouveau dans  l'encoche 455, le fonctionnement devient entiè  rement automatique.

      Le déplacement angulaire initial de la  came 375 fait pénétrer le doigt 408, qui dé  termine l'admission d'eau, dans la. rainure 412.  après quoi on obtient que de l'eau, à. une tem  pérature déterminée, coule dans la cuve. Juste  avant l'ouverture du passage pour l'entrée de  l'eau, le plongeur 430, qui commande la vi  dange, descend du bossage 420 de sa. came et  pénètre dans le creux 427, ce qui ferme la  soupape de vidange. A peu près au même  moment, le récipient 25, contenant le linge,  commence son mouvement à, inversion, de  sorte que le linge est. entraîné suivant un  nombre de tours, d'abord dans un sens et  puis dans l'autre, de préférence sept ou huit  tours dans chaque sens.

   Pendant cette opéra  tion, l'arbre à cames tourne lentement et,  après qu'il s'est déplacé suivant une certaine  amplitude, le doigt 408 sort de la rainure 412  et l'alimentation en eau est interrompue. Le  mouvement à inversion du récipient     continue     alors pendant environ quinze à vingt minutes  afin qu'on obtienne une lessive soignée     du     linge.    Quand l'arbre à cames a tourné suffisam  ment, pendant que la lessive a lieu, le plon  geur 430, qui commande la,     vidange,        commence     à fermer celle-ci en montant sur le bossage  421 de la came 417.

   L'eau s'écoule alors hors  de la cuve et quand presque toute l'eau a été  pompée par la vidange, le doigt 408 pénètre  dans la deuxième rainure 47.3, ce qui permet  à l'eau propre de pénétrer dans la cuve et, à      peu près en même temps, le plongeur 430 pé  nètre dans le creux 424 pour fermer la sou  pape de     vidange.    Le premier rinçage a alors  lieu et se poursuit pendant que la came 417  tourne jusqu'à ce que le plongeur 430 se soit       dégagé    hors du creux 424 pour ouvrir la vi  dange.

   L'eau est alors pompée rapidement  hors de la cuve et,     quand    l'eau est     vidangée,     le     plongeur    430 pénètre dans le creux suivant  425 pour fermer la vidange et, à peu près  en même temps, le doigt 408, qui commande  l'admission d'eau, pénètre dans la rainure  414. Un deuxième rinçage se produit alors et  il se poursuit jusqu'à ce que la soupape de  vidange s'ouvre sous la     commande    du bossage  423, étant entendu que le passage d'admission  se ferme quand le doigt 408 s'engage sur la  face latérale (le la came 375, après avoir  quitté la rainure 414.

   Après le troisième rin  çage, qui a lieu quand le doigt 408 pénètre  dans la rainure 415 et quand le plongeur 430  se trouve dans le creux 426, le     doigt    408 s'en  gage sur la face latérale, de grand diamètre,  de sa carne 375 pour fermer le passage     d'acl-          mission    d'eau, alors que la vidange s'ouvre à  peu près en même temps quand le plongeur  430 s'engage sur le bossage 420. Le passage  d'admission d'eau reste fermé pendant une  période de six ou sept minutes et la vidange  reste ouverte pendant tout ce temps. A peu  près au moment où le passage d'entrée est  fermé, après le troisième rinçage, le galet 450,  qui commande l.embray age pour l'entraîne  ment à brande vitesse, s'engage sur la rampe  446 et provoque le serrage clé cet embrayage.

    Dans ces conditions, le mouvement à inver  sion dlu récipient est interrompu et il com  mence à tourner à sa vitesse élevée pour l'es  sorage et ce mouvement continue jusqu'à ce  que le galet 450 ait atteint l'encoche 447 de  sa came clé commande 440 et, à peu près au  même moment, l'encoche 455 atteint l'organe  456 de l'interrupteur et le moteur s'arrête. Le  récipient 25, contenant le linge, est     arrêté     rapidement par le ressort     935    et, dans cette  position, son ouverture 44 se trouve en regard  de l'ouverture ménagée dans la paroi supé  rieure de l'enveloppe. Le linge est alors prêt    à être enlevé hors de la machine et à être  séché en étant suspendu à une corde.  



  L'opération de lavage du linge est la même  que celle décrite plus haut dans le cas où la  came 375, qui     commande        l'admission    d'eau,  est déplacée     axialement    jusqu'à. son autre po  sition. Dans ce cas, on obtient l'alimentation  avec de l'eau à une température plus élevée  au cours des deux première phases du fonc  tionnement, c'est-à-dire pour le lavage et pour  le premier rinçage. Après quoi intervient le       passage    par lequel. l'eau à une température  inférieure est introduite pour le deuxième et  le troisième rinçage.

   Ce mode de commande  est désirable pour économiser l'eau chaude  pendant les deux derniers     rinçages    tout en  permettant l'intervention de l'eau à. tempéra  ture élevée quand cela est nécessaire pour le  lavage. Il est généralement désirable de se  servir, pour la température élevée, d'une eau  à environ 60  C pour la lessive de linge ordi  naire et d'avoir recours à une température  plus basse de 38  C pour laver des pièces en  laine. En d'autres mots, la came 375 occupe  une position quand on veut laver des articles  en laine et son autre position pour la lessive  de linge ordinaire.  



  Il a été dit que l'eau est vidangée à tra  vers un filtre 313     (fig.    1) et celui-ci est mon  tré en détail sur les fi-. 24 à 27.  



  Les organes tubulaires 312 et 314     (fib.    24)  débouchent dans une extrémité d'une boîte  475 dont l'extrémité opposée est. logée dans  une ouverture 476 ménagée dans une paroi  latérale de l'enveloppe. Des pattes     .177        (fig.    2)  sont prévues sur le bord correspondant     de    la  boîte à l'aide desquelles celle-ci peut être fixée  sur la paroi par des vis 478.

   Dans la boîte est  logé un filtre cylindrique avant une paroi  latérale perforée 480 et une paroi terminale  interne et amovible 481 avec une ouverture  centrale dans laquelle est     engagé    l'organe tu  bulaire<B>312.</B> Le filtre est fermé, à son extré  mité opposée, par un disque 482 avec des  pattes découpées 483 réparties le long d'une  circonférence et qui prennent appui sur la  face interne de la paroi cylindrique, de ma  nière que ces pièces soient fixées d'une ma-           nière    amovible et avec friction l'une sur  l'autre.  



  Au centre du disque 482 est établi un  manchon taraudé 484 dans lequel est vissée  la tige filetée 485 d'um volant 486 et qui est  maintenue en place à l'aide d'une bague élas  tique et fendue 487. Un couvercle 488 est  monté sur la tige 485 et le bord extérieur du  couvercle appuie sur une bague d'étanchéité  489, en caoutchouc, qui est appliquée sur le  bord de l'extrémité ouverte de la boîte 475  pour empêcher les fuites d'eau. Les fuites  sont empêchées autour de la tige 485 à l'aide  d'une bague 491, en caoutchouc, qui est ser  rée contre un organe élastique 492, en forme  d'étoile avec quatre branches dont les extré  mités libres sont en contact avec le disque 482.  



  Pour retenir les organes dans la boîte,  cette dernière présente des encoches 493, ré  parties le long du bord de son extrémité ou  verte et qui communiquent avec des rainures  périphériques 494. Sur le bord extérieur du  disque 482 sont prévues des saillies 495 desti  nées à être engagées d'abord dans les enco  ches 493 quand le disque est posé contre la  boîte et, quand on déplace le disque     angu-          lairement,    ces saillies 495 s'engagent dans les  rainures 494 pour maintenir le disque sur la  boîte. Un doigt 496, prévu en un point du  disque, limite le mouvement angulaire du  disque.  



  Il est évident, si l'on fait tourner le volant  486 dans le sens pour lequel la tige filetée  485 s'engage davantage clans la douille tarau  dée 484, que les joints 489 et 491 sont com  primés en conséquence. Si l'on désire démon  ter le filtre pour le nettoyer, on fait tourner  le volant en sens contraire et quand le cou  vercle 488 est suffisamment libéré par rap  port à la bague en caoutchouc 489, ce cou  vercle ainsi que le disque 482 se déplacent  angulairement à cause de la pression centrale  exercée sur eux par le ressort 492 jusqu'à ce  que le doigt 496 arrive à l'autre extrémité de  son encoche 493. Les saillies 495 peuvent alors  être dégagées hors de leurs encoches, l'en  semble peut être enlevé hors de la boîte 475  et la paroi cylindrique 480 petit être séparée    de ses parois terminales 481 et 482 pour être  nettoyée.  



  Sur la fig. 28, qui représente une forme  d'exécution modifiée de l'invention, une par  tie de la paroi de l'enveloppe de la machine  est désignée par 1010 et une partie de la cloi  son, qui sépare les deux compartiments de  cette enveloppe, par 1011. Dans le comparti  ment de gauche se trouvent la cuve et le réci  pient rotatif pour le linge, alors que dans le  compartiment de droite est logé le mécanisme  moteur 1012 qui comprend un carter 1014  avec plusieurs pattes 1015 fixées par des vis  1016 à la cloison 1011 afin d'être aisément  amovible.  



  Le mécanisme est entraîné par un moteur  électrique (non montré) et une courroie 1018  engagée sur une poulie 1019 calée sur une  extrémité d'un arbre 1020 tourillonné dans  des paliers 1021 et 1022 montés sur des parois  opposées du carter. Dans le carter, l'arbre  1020 porte une vis sans fin 1024 (fig. 29  engrenant avec une roue hélicoïdale 1025  calée en 1026 sur un arbre 1027 établi trans  versalement au-dessus de l'arbre 1020. Une  extrémité de l'arbre 1027 est tourillonnée dans  un bossage 1028 faisant partie d'une paroi du  carter alors que l'autre extrémité de l'arbre  petut tourner dans un bossage 1029 faisant  partie d'un couvercle 1030 obturant une  ouverture ménagée dans la paroi latérale cor  respondante du carter en étant fixé à celle-ci  par des vis 1031.  



  L'arbre 1027 porte librement des roues co  niques 1035 et 1036 dont les     faees    latérales  en regard portent respectivement (les crabots  1037 et 1038. Entre ces roues se trouve un  manchon d'accouplement 1040 enragé, à. cla  vette longue, sur l'arbre 1027 et dont les  extrémités portent des crabots 1041 et 1042  susceptibles d'être engagés respectivement  entre les     crabots    1037 et 1038. Quand le man  chon 1040 est déplacé dans un sens, les     cra-          bots    1042 pénètrent. entre les crabots 103e et  la roue conique 1035 est, entraînée.

   Par  contre, si le manchon est déplacé dans l'autre  sens, les crabots     10.11.    et 1037     pénètrent,    les  uns entre les     aLitres,    et la roue 1036 est en-      traînée. Les roues coniques 1035 et 1036 en  grènent avec une couronne dentée conique  1044 en des points diamétralement opposés,  de sorte que celle-ci est entraînée dans un  sens ou dans l'autre suivant la roue conique  qui est actionnée par l'arbre 1027.  



  La couronne dentée 1044 comprend un  moyeu 1045 (fig. 28) tourillonné dans un pa  lier 1046i faisant partie du carter 1012 et ce  moyeu porte des crabots 1048 sur son extré  mité opposée à celle où se trouve la couronne.  Les erabots 1048 sont susceptibles (le coopérer  avee des crabots 1049 d'un deuxième     man-          elhon    d'aecouplement 1051 engagé par une     ela-          vette    longue 1052 sur Lin arbre 1053 dont  l'extrémité interne est tourillonnée clans un  palier 1054 logé dans le moyeu 1045.

   A son  extrémité opposée, le manchon 1051 porte des  crabots 1056 qui peuvent coopérer avec des  crabots 1057 montés sur une face latérale d'un  pignon 1059, relativement grand et engagé  librement sur l''arbre 1053. \Ce pignon 1059  engrène avec un pignon plus petit 1060 calé  sur l'arbre 1020 et, par conséquent, le grand  pignon 1059 tourne constamment à une vi  tesse relativement élevée.  



  L'arbre 1053 traverse la paroi du carter  voisine de la cloison 1011 et il tourillonne  dans un palier 1064 monté sur cette paroi. A  l'extérieur de cette paroi, l'arbre porte, à  l'aide dles elavettes 1065, tun manchote 1066  engagé dans un manchon 1067 et entre ces  deux manehons est intercalée une couche de  caoutchouc 1069 reliée aux deux manchons  afin que l'arbre 1053 et le manchon extérieur  1067 soient élastiquenment reliés entre eux. Le  manchon 1067 peut être relié par des moyens  appropriés au récipient contenant le linge, (le  sorte que celui-ci est entraîné par l'arbre 1053  quand celui-ci tourne.  



  Le manchon 1067 tourillonne, à son extré  mité interne, dans un palier 1071 engagé dans  un moyeu 1072 dont une partie 1074 traverse  la cloison 1011. Ce moyeu est relié rigicdement  à la cloison par une bride 1075 établie du  côté de la cloison où se trouve le récipient et  par un écrou 1076 vissé sur l'extrémité oppo  sée de la partie 1074 de l'autre eôté de la cloi-    son. Le moyeu 1072 forme un support pour  le manchon extérieur ou arbre creux 1067  alors que le palier 1071 est tel que cet arbre  creux puisse s'orienter de manière à venir  s'aligner, de lui-même, avec l'axe du récipient  à linge. Des moyens d'étanchéité appropriés  1077 sont logés dans le moyeu 1072 à proxi  mité de l'arbre 1067 pour empêcher que l'axe  puisse s'échapper le long de l'arbre.  



  Si le manchon d'accouplement 1040 occupe  une position pour laquelle la couronne den  tée 1044 est entraînée dans un sens, le réci  pient à linge sera entraîné en rotation du  moment que le manchon d'accouplement 1051  est relié à la couronne dentée et le sens de  la rotation dépend de ce que les crabots du  manchon d'accouplement 1040 sont engagés  entre ceux de la roue conique 1035 ou entre  ceux de la roue conique 1036.

   La rotation  avec inversion du sens de marche se produit  ainsi constamment, mais si le manchon     d'ac-          couplenment    1051 est déplacé de manière que  ses crabots 1056 sont engagés entre les     cra-          bots    1057 du grand pignon 1059, le récipient  tourne dans un sens seulement et à une vi  tesse relativement élevée. Pendant le     lavage     et les     rinçages,    le récipient est entraîné par  la couronne dentée 1044 et pendant ].'essorage  il est actionné par le grand pignon 1.059, de  sorte que cet essorage peut être effectué par       Lui    effet centrifuge.  



  Pour déplacer le manchon 1010 périodi  quement et de préférence après que le réci  pient a tourné de sept à dis tours, par  exemple, dans un sens, on a recours à une  came pour faire coulisser le manchon 1040  à. des intervalles prédéterminés pour obtenir  l'inversion du sens de rotation.

   Un arbre 1080  à came     (fig.    29) est établi en     dessous    de  l'arbre 1027 et cet arbre     tourillonne    dans des  paliers 1081 et 1082 montés sur des parois  opposées du carter.     _1    l'extérieur dit carter,  l'arbre 1080 porte une roue hélicoïdale 1084  (fi-. 30) qui engrène avec une deuxième rote       hélieoïdale    1085 montée sur un arbre vertical  1087, établi à l'extérieur du carter et     tou-          rillonné    dans des paliers 1088 et 1089 mon  tés respectivement sur le carter et sur le cotl-      vercle 1030.

   Cet arbre porte une roue héli  coïdale 1090 engrenant avec une vis sans fin  1091 calée sur l'extrémité externe de l'arbre  1027 qui entraîne donc l'arbre 1087 et, par  suite, l'arbre à came 1080.  



  Dans le carter, l'arbre 1080 est entouré  d'une boîte 1095 dont les parois terminales  portent des paliers 1096 et 1097 engagés  librement sur l'arbre 1080, de sorte que la  boîte peut coulisser sur celui-ci. Un bras 1101  sort de la partie supérieure de la boîte 1095  et porte, à l'aide de vis 1099, un support  1098. Le bras 1101 (fig. 34), qui sert à la  commande de l'accouplement, est terminé  par une fourche 1102 qui chevauche le man  chon 1040 et qui est engagée dans unè gorge  annulaire 1104 de ce manchon. Malgré le  montage libre de la boîte 1095 sur l'arbre  1080, on empêche, par le chevauchement du  manchon 1040 par la fourche du bras 1101,  que la boîte 1095 puisse tourner autour de  cet arbre.

   Le bras 1101 se prolonge à l'inté  rieur de la boîte 1095 et son extrémité infé  rieure porte un galet 1106 coopérant avec  une came 1107 qui sert à déclencher le dé  gagement des crabots 1041 ou 1042, suivant  le cas, hors des crabots de la roue conique  1035 ou 1036 et ceci est désirable, car il se  produit une résistance considérable par frot  tement lors de la séparation de ces crabots.  



  Sur les fig. 36, 37 et 38, on voit que la  came 1107 est calée sur un manchon 1108  fixé sur l'arbre 1080 et cette came comprend  des parties périphériques 1110 et 1111 sensi  blement semi-circulaires et qui sont séparées  entre elles par des intervalles 1112 et 1113.  Les     parties    semi-circulaires ne se trouvent  pas dans le même plan, la face de gauche de  la partie 1110 (fig. 38) étant approximative  ment dans le plan de la face de droite de la  partie 1111. Une extrémité de la partie 1110  présente une rampe 1115 aboutissant à l'in  tervalle 1113 alors que l'autre partie 1111  présente une rampe 1116 aboutissant à l'in  tervalle 1112.

   Si l'on admet que la came  tourne autour de l'axe de l'arbre 1080 et que  le galet 1106 est en contact avec la face latérale  de la partie 1110 de la came, ce contact continue    jusqu'à ce que l'intervalle 1112 ait atteint le  galet susdit. Quand l'intervalle passe devant  le galet, la rampe 1116 vient en contact avec  le galet et déplace celui-ci axialement jusqu'à  ce qu'il soit en contact avec la partie 1111, le  galet se déplaçant le long de cette rampe  jusqu'à ce qu'il atteigne l'intervalle 1113.  Quand le galet passe devant l'intervalle 1113,  la rampe 1115 déplace ledit galet jusqu'à ce  qu'il soit, de nouveau, dans une position pour  laquelle il roule le     long    de la partie 1110.  



  Les deux rampes 1115 et 1116 servent uni  quement à déplacer le galet, après chaque     demi-          tolu'    de l'arbre 1080, alors que les parties 1110  et 1111 de la. came servent à.     empêcher    que le  galet se déplace     axialement    en sens inverse  jusqu'à .ce qu'il soit de nouveau prêt à s'enga  ger sur la rampe suivante. Par conséquent,  lorsqu'une partie est en contact avec le galet.

    le manchon     d'accouplement.    1040 est,     maintenu     dans sa position engagée et     quand    le galet vient  en contact avec la rampe     suivante,    on dé  clenche le mouvement     dudit,    manchon et,     après     que celui-ci a été déplacé pour obtenir son  engagement avec l'autre roue conique, le galet  conserve sa position axiale en étant en contact  avec l'autre partie de la came     jusqu'à    ce     que     le galet s'engage sur la rampe suivante de  celle-ci.  



  Les deux rampes 1115 et 1116 constituent  donc des     moyens    par lesquels on obtient le  coulissement axial du manchon d'accouple  ment 1040 et le mouvement ainsi obtenu est  relativement lent et il n'est. pas désirable     due     les crabots soient complètement dégagés par       it     la rampe pour la. raison que la charge agir,  sur une petite partie de ces crabots juste  avant que leur dégagement total se produise.

    Il est préférable que les rampes de la came  déclenchent simplement le     mouvement    initial  des crabots d'accouplement pour vaincre les  efforts de friction considérables qui se pro  duisent entre ces crabots afin que ceux-ci  puissent ensuite être dégagés rapidement et  que le manchon puisse passer aisément d'une  position à l'autre. Les moyens pour obtenir ce  déplacement rapide du manchon. d'accouple  ment     comportent    deux     cames    1120 et 1121      montées sur le manchon 1103, ces cames étant  identiques, mais décalées l'une par rapport à  l'autre de 180  C.  



  Comme bien visible sur les fig. 29 et 35  on fait porter à chacune de ces cames un bos  sage 1122, qui s'étend suivant un angle de  90 , ce bossage comprenant une partie suréle  vée 1123 à une extrémité alors que son autre  extrémité aboutit à un creux prononcé 1124  Ces cames sont destinées à coopérer avec Lin  galet 1126 monté sur une extrémité d'une  lame élastique 1127 qui est reliée au support  1098 par des vis 1128. Le galet est en contact  avec la came 1121. De cette manière. la lame  élastique est courbée vers la gauche de ma  nière à solliciter le manchon d'accouplement  1040 dans le même sens.

   Toutefois, ce man  chon ne peut pas se déplacer vers la gauche  jusqu'à ce que le galet 1106 soit arrivé au  bout de la partie 1111 de la came 1107 et se  trouve clone en regard de l'intervalle 1113  (fig. 37) et, dans cette position, la rampe  1115 déclenche positivement le mouvement du  manchon d'accouplement. Dès que ce mouve  ment a débuté, la tension de la lame élastique  1127 intervient pour refouler rapidement  ledit manchon vers la gauche afin que les     cra-          bots    1047 et 1041 soient dégagés et que les  crabots 1038 soient engagés dans les crabots  1042. A la suite de ce mouvement, le galet  1106 se trouve appliqué contre la partie 1110  de la came 1107, ce qui empêche le retour du  manchon d'accouplement.

   Quand les cames  continuent à tourner, la came 1121 quitte le  galet et le bossage 1123 de la came 1120 vient  en contact avec celui-ci. Ceci oblige la lame  élastique 1127 à fléchir dans le sens opposé  et à accumuler une force qui tend à déplacer  le manchon d'accouplement vers la droite.  Quand le galet 1106 se présente devant l'in  tervalle 1112 de la came 1107 et vient en  contact avec la rampe 1116, le mouvement  positif du manchon d'accouplement est dé  clenché dans l'auLitre sens et l'effort accumulé  dans la lame élastique oblige ce manchon à  passer rapidement à son autre position carac  téristique. On obtient ainsi le mouvement  cyclique du manchon d'accouplement et, par    conséquent, l'inversion du sens de rotation de  la couronne dentée 1044 d'une manière abso  lument automatique.  



  Sur la fig. 28, on montre un deuxième  arbre à cames tourillonné, à ses extrémités,  dans les parois latérales du carter, comme in  diqué en 1131 et 1132 et cet arbre est entraîné  par un train d'engrenages montré sur les  fig. 29 et 30. A son extrémité supérieure,  l'arbre vertical 1087 porte une vis sans fin  1134 qui engrène avec une roue hélicoïdale  1135 montée sur un bout d'arbre horizontal  1136 engagé dans une ouverture 1137 ména  gée dans la paroi du carter. L'arbre 1136 porte  également un pignon 1138 voisin de la roue  hélicoïdale 1135 (fig. 30) et ce pignon en  grène avec une roue dentée 1140 montée sur  un arbre 1141 logé dans le carter. La roue  dentée 1140 engrène avec un pignon 1143 calé  sur l'arbre à cames 1130.

   Cet arbre est donc  entraîné par l'arbre 1087 et l'agencement des  engrenages est tel que ledit arbre à cames  tourne très lentement en faisant, par exemple,  un tour complet en 45 minutes.  



  L'arbre 1130 (fig. 28) porte une boîte  1145 analogue à la boîte 1095 et qui est mon  tée sur l'arbre 1130, de manière à pouvoir se  déplacer axialement sur celui-ci. Dans ce cas,  la boîte porte un support 1146 extérieur et  orienté vers le bas et sur lequel est fixé un  bras 1147 à L'aide de vis 1148. L'extrémité  inférieure de ce bras a la forme d'une fourche       (fig.    33) engagée librement dans une gorge  11.49 ménagée dans le manchon d'accouple  ment 1051. Par conséquent, si la boîte 1.145  est déplacée     axialement,    le manchon 1.051 cou  lisse dans le même sens.

   Les moyens par les  quels on. obtient ce     coulissement    du manchon  sont,     d'une    manière générale, analogues à ceux       montés    sur l'arbre 1080 pour obtenir la com  mande du manchon     1.040.    Nais ils en diffè  rent en deux points, c'est-à-dire en ce sens  que le coulissement du manchon 1051 n'est  pas déclenché positivement bien qu'il puisse  l'être, si on le désire, et en deuxième lieu en  ce sens que des moyens sont prévus pour ame  ner ledit manchon 1051 à sa position neutre  à la fin de l'essorage.

   La raison pour laquelle      on ne déclenche pas, d'une manière positive,  le mouvement de ce manchon 1051, est que  cette précaution paraît superflue, car les  efforts de friction, qui maintiennent les     cra-          bots    de ce manchon dans leur position enga  gée, sont moindres et peuvent être aisément  vaincus par l'action des moyens élastiques  prévus à cet effet.  



  Le bras 1147 pénètre dans la boîte 1145 et  coopère avec des moyens de retenue 1160 qui  comprennent un manchon 1158 calé sur  l'arbre 1130, par des vis de blocage et une  douille 1161 calée sur le manchon et qui pré  sente un rebord 1162 en son milieu. Le rebord  1162 (fig. 43) présente une encoche 1163 en  un point et une deuxième encoche 1164 qui  est plus large que la première et dont le fond  s'étend tangentiellement par rapport à la péri  phérie de la douille 1161. Les deux encoches  forment des passages pour l'extrémité du bras  1147 afin que celui-ci puisse être déplacé  axialement d'un côté à l'autre du rebord 1162  à des moments prédéterminés.  



  Les moyens pour obtenir le déplacement  de la boîte 1145 et du bras 1147 comportent  deux cames 1166 et 1167 fixées sur l'arbre  1130 et qui peuvent coopérer avec un galet  1168 monté sur l'extrémité d'une lame élas  tique 1169 fixée sur le support 1167 par des  vis 1164'. Les deux cames 1166 et 1167  (fig. 41 et 42) portent respectivement des par  ties actives 1170 et 1171 munies de bossages  établis entre des endroits appropriés afin que  la lame élastique puisse fléchir dans un sens  ou dans l'antre suivant le cas.

   Quand le man  chon d'accouplement 1051 est à sa position de  droite, le galet 1168 passe sur le bossage de  la came 1167, ce qui fait fléchir la lame élasti  que vers la gauche et quand l'encoche 1163  du rebord 1162 de la douille 1161 atteint le  bras 1147, l'extrémité de ce dernier passe ra  pidement par cette encoche suivant une direc  tion axiale et par l'effet du ressort, de sorte  que les crabots 1056 et 1057 pénètrent les uns  entre les autres. Quand la douille 1161 con  tinue à tourner dans le sens dextrogyre, par  rapport à la fig. 43, l'encoche 1164 vient en  alignement avec le bras 1147 et, entre temps,    la lame élastique 1169 a été fléchie vers 1a  droite par la came 1166. Pour cette raison, le  bras passe donc par l'encoche 1164 en ques  tion.  



  Il est à noter qu'à ce moment le manchon  d'accouplement 1051 est seulement déplacé  vers la droite depuis sa position correspon  dant à la vitesse élevée, intervenant pour  l'essorage; à la fin de cet essorage et à ce  moment particulier, il est, désirable que le  manchon d'accouplement 7.051 soit à sa posi  tion neutre pour laquelle tous les crabots sont  dégagés, car cela permet que le récipient, con  tenant le linge, puisse tourner librement afin  que l'opérateur puisse déplacer ce récipient à  la main pour l'amener à une position conve  nant à l'enlèvement du linge. Par conséquent,  quand le manchon d'accouplement 1051 se dé  place d'abord vers la droite, il doit s'arrêter.

    à sa position neutre et, pour obtenir ce résul  tat, on fait intervenir un disque 1175 fixé sur  le manchon 1158 (fig. 28) et ce disque com  porte une languette recourbée<B>1176</B> qui est en  alignement avec l'extrémité de gauche de l'en  coche 1164     (fig.    43). Par conséquent, quand  l'extrémité du bras 1147 passe par cette     eneo-          che,    il vient en contact avec la languette<B>1176,</B>  ce qui arrête le manchon d'accouplement 1.051.  Les organes sont donc à leur position neutre  et, comme on expliquera ci-après, le moteur  est arrêté à ce moment particulier et l'en  semble du mécanisme d'entraînement cesse de  fonctionner.  



  Après la mise en marche du moteur,     par     un circuit .de démarrage auxiliaire, l'arbre à       cames    1130 aura tourné suffisamment pour  écarter la languette 1176 du bras 1147 et  celui-ci peut alors achever son     mouvement    à  travers l'encoche 1164 jusqu'à ce qu'il se trouve  à droite du rebord 1162, ce qui, automatique  ment, provoque l'engagement des crabots 1048  et 1049.

   Le fonctionnement de la machine,  quand les crabots 1048 et 1049     sont    engagés,  continue ainsi jusqu'à ce que l'encoche 1163 se  présente devant le bras 1147, et le manchon  d'accouplement<B>1051</B> est alors déplacé vers la  gauche et le bras 1147 passe à gauche     du    rebord      1162 jusqu'à ce que l'encoche 1164 se pré  sente à nouveau.

   Il est à noter, en ce qui con  cerne la fig. 43, que le manchon d'accouple  ment 1051 est maintenu à droite pendant une  période plus longue par suite de l'intervalle  périphérique phus grand existant entre les  encoches 1163 et 1164, alors que ce manchon  est maintenu à sa position de gauche, pen  dant laquelle l'essorage du linge a lieu, pen  dant un temps relativement court à cause  de la distance périphérique moindre existant  entre les encoches 1164 et 1163.  



  Afin que 1'on obtienne la rotation du ré  cipient à linge dans le même sens que celui  suivant lequel il doit tourner pendant l'esso  rage et au moment où le déplacement du  manchon d'accouplement 1051 doit se faire,  on a recours à des moyens de retenue (fig. 31  et 32) qui comprennent un levier coudé 1180  articulé à un arbre transversal 1181, établi  dans le carter, l'extrémité inférieure dudit  levier étant en contact avec une came 1813  montée sur L'arbre à cames inférieur 1080.  L'autre extrémité du levier porte un bec 1186  qui peut venir en contact avec un doigt 1188  monté sur le bras 1147 qui commande le  manchon d'accouplement 1051.

   Un ressort  1189 est enroulé autour de l'arbre 1181 et  une extrémité de ce ressort prend appui sur  un ergot fixe 1190 alors que son autre extré  mité appuie sur le levier coudé 1180, ce res  sort sollicitant ledit levier dans un sens pour  lequel le bec 1186 vient en contact avec le  doigt 1188 du bras 1147. La came 1183  occupe une position telle, par rapport aux  cames qui commandent le mouvement d'in  version et qui sont également calées sur  l'arbre 1080, que le bras 1147 soit maintenu  à sa position de droite (fig. 28) pour laquelle  les crabots 1048 et 1049 sont engagés jusqu'à  ce que la couronne dentée 1044 tourne dans  le même sens que le pignon 1059 par lequel  on obtient l'entraînement à vitesse élevée.

   Par  conséquent, si le bras 1147 est en regard de  l'encoche 1163 et est sur le point d'être dé  placé par la lame élastique 1169, mais si la  couronne dentée 1044 tourne en sens inverse  par rapport au pignon 1059 pour la grande    vitesse, le bec 1186 est en contact avec le  doigt 1188 du bras 1147, ce qui empêche le  déplacement en question. Par contre, quand  l'arbre à cames inférieur 1080 a tourné suffi  samment pour que l'on obtienne l'inversion  du     sens    de rotation de la couronne annulaire  1044, la came 1183 aura déplacé le levier  coudé 1180 de manière à libérer le bras 1147.

    Il est à noter que l'encoche 1163 est suffi  samment large pour que cette retenue puisse  se produire, si nécessaire, afin que le bras  1147 dispose d'un espace suffisant pour être  déplacé quand lesdits moyens de retenue ces  sent d'intervenir.  



  Pour commander la vidange de l'eau hors  de la cuve et pour contrôler le fonctionne  ment du moteur électrique, on a recours à  une came 1200 montée sur l'arbre à cames  supérieur 1130 et la partie active 1201 de  cette came peut agir sur un galet 1202 mon  té sur une tige 1203 orientée vers le haut  et qui traverse un couvercle 1205 du carter  tout en pouvant être déplacé verticalement  (fi-. 44). Cette tige 1203 peut agir sur     tin     bras<B>1206</B> articulé à un axe<B>1207</B> monté sur  le couvercle et ce bras sert à ouvrir et à fer  mer la. soupape de     vidange    de la cuve. Quand  la tige<B>1203</B> est à sa position supérieure, la       vidange    est ouverte et quand elle est à sa  position inférieure, la vidange est fermée.

    Il est à noter que la came 1201 présente une  face active 1208 relativement     longue    afin que  la soupape puisse être fermée pendant une  période assez grande pendant laquelle le  linge est lavé. La came de vidange porte       également        quatre    bossages 1210, 1211, 1212  et 1213 qui ouvrent respectivement la sou  pape à la fin du     lavage,    ensuite à la, fin du  premier rinçage, ensuite à la fin du     deuxième          rinea\,,,e    et à la fin du troisième rinçage.       Entre    ces opérations, la soupape est, bien  entendu, fermée.

   Il est à noter qu'à la. fin  du troisième rinçage, la vidange est ouverte  pendant une période assez longue par le bos  sage 1213 de la came, afin que la soupape  soit ouverte pendant l'essorage.  



  La came 1200 porte également un bos  sage 1215 avec une encoche 1216 dans la-      quelle peut pénétrer l'organe de commande  1217 de l'interrupteur. Quand cet organe est  sorti de L'encoche, un interrupteur 1220, éta  bli dans le circuit d'alimentation du moteur,  est fermé. Quand l'organe 1217 pénètre dans  l'encoche 1216, le moteur est arrêté. Comme  indiqué plus haut, on prévoit un circuit  auxiliaire pour le démarrage du moteur afin  que l'arbre à cames 1130 puisse tourner suf  fisamment pour que l'élément de commande  1217 de l'interrupteur soit dégagé hors de  son encoche 1216 et ferme ainsi le circuit  principal du moteur.

   De cette manière, ce cir  cuit principal reste fermé jusqu'à ce que l'or  gane 1217 pénètre dans l'encoche 1216 et pour  que l'arbre à cames puisse tourner suffisam  ment pour dégager l'élément de commande  1217 hors de l'encoche 1216, le circuit auxi  liaire, alimentant le moteur, est fermé et reste  fermé jusqu'à ce que le circuit principal le  soit également. Il n'a pas été jugé nécessaire  de montrer ces circuits, car les initiés savent  très bien comment les établir.  



  Pour obliger l'eau à pénétrer dans la cuve,  une autre came est montée sur l'arbre à  cames 1130 et cette came, montrée sur la  fig. 48 en développement, présente quatre  rainures ou creux 1231, 1232, 1233 et 1234  qui coopèrent avec des doigts élastiques 1235  et 1236 qui sont munis de languettes 1237 et  1238 qui peuvent venir en contact avec la  came et d'autres languettes 1240 et 1241 qui  peuvent agir respectivement sur des plon  geurs 1243 et 1244. Ces plongeurs peuvent  coulisser dans une plaque 1245 (fig. 47)  fixée par des vis 1246 sur la paroi du carter  pour commander respectivement des distribu  teurs d'eau 1350 et 1351, le distributeur 1350  réglant l'entrée de l'eau dans la cuve à une  température de 60  C alors que le distribu  teur 1351 règle celle qui est à 38  C.  



  Si la came 1230 (fig. 48) est déplacée vers  le bas par rapport aux doigts 1235 et 1236,  la languette 1237 ne peut pénétrer dans  aucune des rainures et la languette 1238 peut  s'engager dans toutes les rainures qui se suc  cèdent dans le sens périphérique. Ceci signifie  lue toute l'eau, fournie à la cuve, sera à une    température de 38  C. Par contre, si la came  1230 est déplacée vers la gauche sur une  courte distance, la languette 1237 pourra pé  nétrer dans les rainures 1233, 1232 et 1231,  mais pas dans la rainure 1234, mais la lan  guette 1238 pourra s'engager dans la rainure  1234, mais pas dans les autres rainures.

   Ceci  signifie que l'eau, admise dans la cuve, sera  à 60  C pendant les trois opérations corres  pondantes (lavage et deux premiers rinçages),  alors que pour la quatrième opération (der  nier rinçage), à laquelle correspond la rai  nure 1234, l'eau est admise dans la cuve à  38  C.    La rainure 1231 (fig. 44) occupe une po  sition telle qu'au début et lorsque le moteur  est mis en marche jusqu'au commencement du  fonctionnement de la machine à laver, une  des languettes pénètre dans cette rainure 1231  et l'eau coule dans la cuve à 38 ou â. 60  C  suivant le doigt 1235 ou 1236 qui intervient.

    Après la vidange de l'eau de lessive et après  la fermeture de la soupape de vidange, de  l'eau à la même température choisie pénètre  dans la cuve quand la     rainure    1232 atteint  le même doigt et cette eau est utilisée pour le  premier rinçage. Quand     celui-ci    est. terminé  et quand la vidange a eu lieu, la     rainure    sui  vante 1233 se présente devant. le même doit.  et l'eau pour le deuxième     rinrage        pénkre     dans la cuve à la même température choisie.  Quand le troisième rinçage doit avoir lieu, le  fond de la rainure 1234 est seulement touché  par la languette 1238, de sorte que le dernier  rinçage se fait toujours avec de l'eau à. la  température la plus basse de 38  C.

   Pour la  lessive ordinaire, la languette<B>1237</B> du doit  1235 commande toutes les opérations     exeepté     la. dernière. Pour laver des articles en laine,  la languette     1\'38    du     doigt.    1236 agit pour  toutes les opérations pour introduire de l'eau  à, la température plus basse.

      La came 1230 peut être déplacée     dîme     position caractéristique à l'autre par un doigt  1235     (fig.    28) susceptible d'être déplacé     an-          gula.irement    autour de son axe et qui traverse  le couvercle 1205 du carter et qui porte, à      son     extrémité    inférieure, une saillie excentrée  1240 engagée dans une bore périphérique  1242 de la came 1230. En faisant tourner le  doigt 1235, la came 1230 peut ainsi être ame  née axialement depuis une position caracté  ristique à l'autre. Le doit 1235 est relié à  sune commande 1243 qui n'est représentée  qu'en partie et qui est prolongée jusqu'à être  accessible à l'extérieur de l'enveloppe de la  machine.  



  Sur la fig. 49, on a montré la poulie 1019  autour (le laquelle est     engagée    la courroie  1018 et qui comprend un moyeu 1250 calé  sur l'extrémité externe d'un arbre 1020 à  l'aide d'une vis 1251 traversant une rondelle  1252 engagée dans l'extrémité élargie- 1253  (le l'alésage du moyeu. L'extrémité interne du  moyeu 1250 présente un rebord radial externe  1255 et sur le moyeu 1250 est engagée une  rondelle 1256 appliquée contre ledit rebord  1255. La poulie comprend deux disques 1257  et 1258S clav etés sur le moyeu 1250, le disque  1257 étant en contact avec la rondelle 1256.  Entre ces disques sont intercalés deux mitres  disques 1260 et 1261 munis à leur périphérie  d'un flasque, les deux Flasques formant une  gorge annulaire, en forme de V, pour la cour  roie 1018.

   Par le bord de leur ouverture cen  trale, les disques intérieurs 71260 et 1261 sont  engagés sur une bague 1263 qui petit coulis  ser sur le moyeu 1250 entre les, disques exté  rieurs 1257 et 125q et au milieu de cette  bague est prévue une nervure périphérique  1264 par laquelle les parties centrales des dis  ques 1260 et 1261 sont séparées entre elles.  Des plaques de friction 1268 et 1269 sont  établies respectivement entre les disques 1257  et 1260 et les disques 1258 et 1261. Dans  les disques 1260 et 1261 sont découpées des  languettes 1270 et 1271, pour maintenir les  plaques susdites dans des positions coaxiales  par rapport au moyeu.

   Les périphéries des  disques 1257 et 1258 portent des pattes re  courbées et espacées 1273 (lui sont engagées  dans (les trous ménagés dans les plaques, de  manière que celles-ci soient rendues solidaires  desdits disques pour être entraînées par  ceux-ci.    Tous les disques sont maintenus sur le  moyeu 1250 par une rondelle 1276 appliquée  contre la face externe du disque     12â8    et par  un écrou 1277 vissé sur l'extrémité extérieure  du moyeu. Seul un rebord périphérique 1280  de la rondelle 1276 est. en contact avec le       disque    1258 et, lorsque l'écrou 1277 est serré,  ce rebord exerce une pression élastique sur  le disque qui, à son tour, agit par une pres  sion élastique sur les plaques de friction et  sur les disques, sur les faces opposées de  ceux-ci.

   De cette manière, on peut régler le  frottement obtenu entre les plaques et les dis  ques.  



  Il est évident, lorsque les disques 1260 et  7261 sont entraînés par la, courroie, que les  disques 1257 et 1258 tournent normalement  avec les premiers et avec eux l'arbre 1020.  On rappelle que l'arbre 1053 est relié à  l'arbre 1067 qui entraîne le récipient conte  nant le linge, la liaison ayant lieu à l'aide  d'un manchon en caoutchouc pour amortir  tout choc qui peut se produire quand le     sens     de la rotation de l'arbre 1053 change. En  même temps, la poulie 1019 permet d'obtenir  une transmission à     glissement    à l'aide de la  quelle la vitesse de l'arbre 1053 peut être  temporairement modifiée en plus ou en moins  par rapport, à, celle du moteur d'entraîne  ment.

   Grâce à ces anodes de liaison, les or  ganes mobiles du mécanisme ne sont pas sou  mis à des chocs qui, sans cela,, pourraient se  produire quand le sens de rotation     dit    réci  pient, contenant le linge, est inversé. De  même, ces liaisons élastiques ou à     glissement     tendent à réduire au minimum tout bruit au  cours des inversions de marche ou à tout  autre moment du fonctionnement de la ma  chine.  



  Le fonctionnement général de la machine  décrite ci-dessus est donc le suivant- Le réci  pient, contenant le linge, tourne d'abord     dans     un sens et puis dans l'autre pendant l'opéra  tion du lavage et pendant les trois rinçages,  après quoi il est entraîné à. vitesse élevée  pendant l'essorage. De l'eau est introduite  dans le récipient au début de l'opération de  lavage et, à ce moment, la vidange est fer-           mée    et à la fin de cette opération, la vidange  est ouverte pendant un certain temps pour  permettre à l'eau de s'écouler hors de la cuve.  Après cela, la vidange se ferme et de l'eau  propre pénètre dans la cuve pendant un cer  tain temps pour effectuer le premier rinçage  du linge.

   Après une courte période de rin  çage, celui-ci est répété, de la même façon,  une deuxième et une troisième fois. Après le  troisième rinçage, la vidange reste ouverte et  le récipient est entraîné à une vitesse élevée.  Cet entraînement à vitesse élevée est tou  jours déclenché quand le récipient tourne  dans le même sens, pendant le rinçage, que  celui adopté pour la rotation à vitesse élevée.  Par conséquent, l'essorage à vitesse élevée se  fait en agissant sur un récipient qui tourne  déjà dans le sens qui correspond à celui de  l'essorage. A la fin de l'essorage, l'embrayage  ou l'accouplement, par lequel on obtient l'en  traînement à vitesse élevée, vient à sa posi  tion neutre et est maintenu dans cette posi  tion jusqu'à ce que le circuit d'alimentation  du moteur soit interrompu et les organes  s'arrêtent.

   Le récipient peut donc être tourné  librement à la main jusqu'à ce qu'il occupe  une position convenable pour permettre l'en  lèvement du linge. La mise en marche de la  machine est obtenue à l'aide d'un circuit  auxiliaire, pour l'alimentation du moteur, et  qui peut être constitué comme à l'ordinaire.  Après une courte période de temps, la came  qui commande l'interrupteur 1220 du circuit  principal du moteur provoque la fermeture  de cet interrupteur qui reprend le contrôle  du moteur jusqu'à ce que ce dernier s'arrête  à nouveau à la fin de l'essorage.

Claims (1)

  1. REVENDICATION: Machine à laver à fonctionnement auto matique du genre de celles comprenant une cuve propre à recevoir le liquide utilisé pour le lavage, un récipient pour les objets à laver, monté rotativement dans la cuve pour tourner autour d'un axe horizontal, un dispo sitif de commande à moteur pour actionner le récipient et des moyens pour actionner auto matiquement le récipient au cours de plu- sieurs opérations successives à vitesses réduite et élevée pour effectuer respectivement le la vage et l'essorage, ces moyens comprenant un mécanisme à vitesse réduite relié au dispo sitif de commande, machine caractérisée en ce que le mécanisme à vitesse réduite (63, 64) est agencé pour faire tourner le récipient (25) suivant plusieurs tours, d'abord dans un sens et puis dans l'autre pour laver les objets,
    et en ce qu'un mécanisme à vitesse élevée (153, 156, 162) est relié à une partie du dis positif de commande (53) pour faire tourner le récipient à une vitesse élevée dans un sens pour l'essorage centrifuge des objets, des moyens de commande (343, 440, 450, 451) étant prévus pour mettre en fonctionnement le mécanisme à vitesse élevée seulement après les opérations à vitesse réduite et quand le récipient tourne à, vitesse réduite dans le sens dans lequel il tourne à. vitesse élevée. SOUS-REVENDICATIONS: 1.
    Machine à laver selon la revendication, comprenant des moyens pour amener de l'eau propre dans la cuve et des moyens pour éva cuer l'eau de celle-ci, caractérisée en ce que lesdits moyens de commande (3.13, 140, 450, 451) comprennent aussi des moyens<B>(375)</B> destinés à amener l'eau propre pour l'opéra tion de lavage et des moyens (417) destinés à évacuer l'eau lors de l'essorage, ces moyen (375, 417) étant tels que l'eau soit. amenée à la cuve et évacuée de celle-ci à des inter valles avant que l'opération d'essorage ait lieu. 2.
    Machine à laver selon la, revendication, caractérisée en ce que le dispositif de com mande comprend un premier arbre moteur (59) et un arbre mené (l30), et en ce que ; des moyens de liaison sont prévus pour relier les deux arbres entre eux, ces moyens com prenant un embrayage inverseur (31) pour effectuer l'entraînement de l'arbre mené (130) dans l'un et dans l'autre sens. 3.
    Machine à laver selon la soiis-revendi- cation 2, caractérisée en ce due lesdits moyen de liaison comprennent des roues dentées (63, 64) espacées, montées sur l'arbre moteur (59), une couronne dentée (97) disposée à être entraînée par chacune desdites roues dentées espacées, ledit embrayage (71) étant propre à faire relier chacune des roues dentées espacées avec la couronne dentée, et des moyens (123) pour déplacer ledit embrayage (71). 4. Machine à laver selon \la sous-revendi cation 3, caractérisée en ce qu'elle comprend un autre arbre (343) et un mécanisme d'en traînement à sens unique (347) actionné par ledit embrayage (71) pour entraîner cet autre arbre. 5.
    Machine à laver selon la sous-revendica tion 2, caractérisée par un engrenage plané taire (104, 105, 114) entraîné par ledit arbre mené et destiné à renverser périodiquement ledit embrayage (71). 6. Machine à laver selon la sous-revendi- cation 3, caractérisée en ce qu'elle comprend un arbre moteur supplémentaire (54) monté parallèlement à l'arbre mené (130), la cou ronne dentée (97) étant alignée axialement audit arbre moteur supplémentaire (54), le premier arbre moteur (59) étant monté trans versalement par rapport aux autres arbres et étant entraîné par l'arbre moteur supplémen taire (54), un second embrayage (132) pour relier la couronne dentée annulaire (97) audit arbre mené (130), Lin troisième embrayage (156, 162)
    pour relier l'arbre moteur supplé mentaire (54) à l'arbre mené (130), et des moyens de commande (138, 451) pour action ner sélectivement le second et le troisième embrayage, de façon que l'arbre mené (130) soit d'abord entraîné avec inversion de son sens de marche et puis seulement dans un sens. 7. Machine à laver selon la sous-revendi cation 6, caractérisée en ce due lesdits arbres et leurs moyens d'entraînement, exception faite du moteur, ainsi qu'un arbre à cames (343), sont disposés dans un carter (55). 8.
    Machine à laver selon la sous-revendi cation 7, caractérisée par des moyens (347, 355) destinés à entraîner ledit arbre à cames (343), et par des moyens (440) montés sur l'arbre à cames, destinés à commander lesdits second et troisième embrayages (132, 156, 162), les moyens montés sur l'arbre à cames étant disposés à agir sur ces deux embrayages de faon due l'arbre mené (130) soit d'abord entraîné avec inversion de son sens de marche et puis seulement clans un sens. 9.
    Machine à laver selon la sous-rev endi- cation 2, caractérisée en ce que ledit réci pient (25) est monté dans la cuve (17) sur l'arbre mené (130) et en ce que des moyens élastiques relient ledit arbre au récipient, ces moyens comprenant un ressort (183) pour en traîner le récipient dans un sens et un second ressort (184) pour l'entraîner dans le sens opposé, ces ressorts étant enroulés suivant des hélices à pas opposés, clé façon que le ressort qui entraîne tende à s'enrouler, cependant que l'autre ressort tend à se dérouler. 10. Machine à laver selon la sous-revendi cation 9, caractérisée par des moyens (181) destinés à entraîner le récipient (25) seule ment dans un sens à l'aide de l'un de ces ressorts. 11.
    Machine à laver selon la sous-revendi cation 7, caractérisée par un carter (55) formé de plusieurs parties, ledit arbre mo teur (59), l'arbre mené (l30) et le second embrayage (132) étant logés dans une partie dudit carter et ledit arbre à cames (343) étant monté dans une autre partie du carter, des moyens (347) étant prévus pour relier l'arbre à cames (343) à l'arbre moteur (59), ces moyens étant tels qu'ils puissent être montés lorsque les parties dudit carter sont assemblées. 12.
    Machine à laver selon la sous-revendi- cation 11, caractérisée en ce que l'autre par tie du carter (55) forme un couvercle (341), lesdits moyens reliant l'arbre à cames (343) à ].'arbre moteur (59) étant construits et dis posés de facon qu'il-, interviennent automati- diiement lorsque ledit couvercle est appliqué. 13.
    Machine à laver selon la sous-revendi- cation 1.2, caractérisée en ce que ledit second embrayage (132) est aussi disposé dans ledit carter (55) et en ce qu'une came (440) de l'arbre à cames (343) sert pour actionner l'embrayage, les liaisons (451, 347) entre la came et l'embrayage et entre l'arbre à cames et l'arbre moteur étant telles qu'elles permet tent leur séparation lorsque ledit couvercle est enlevé du carter. 14. Machine à laver selon la revendication, caractérisée par des moyens (1180) destinés à empêcher le fonctionnement à vitesse élevée, excepté quand le récipient, en fonctionnant à une vitesse réduite, tourne dans le même sens que celui adopté pour l'opération à vitesse élevée.
    15. Machine à laver selon la sous-revendi cation 14, caractérisée en ce que lesdits moyens empêchant le fonctionnement à vitesse élevée comprennent des moyens (1180, 1188) pro pres à modifier l'action des moyens de com mande par lesquels on obtient ce fonctionne ment à vitesse élevée, de façon que ce dernier soit retardé jusqu'à ce que le récipient effec tue une opération prédéterminée au cours de son fonctionnement à vitesse réduite. 16.
    Machine à laver selon la sous-revendi cation 14, caractérisée par Lui quatrième et un cinquième embrayage (l051), pour com mander respectivement la rotation du réci pient à vitesse réduite et celle à vitesse élevée, et par des moyens (1147) pour déplacer ces moyens d'embrayage (1051) pour passer du fonctionnement à vitesse réduite à celui à vi tesse élevée uniquement en des moments pré déterminés quand le récipient (25) tourne dans le même sens que celui adopté pour le fonctionnement à grande vitesse, des moyens élastiques (1169) étant prévus pour déplacer ces embrayages à ces moments prédéterminés. 17.
    Machine à laver selon la sous-revendi cation 16, caractérisée par des moyens de com mande par cames (1166, 1167) destinés à agir sur les mécanismes à vitesse réduite et à vi tesse élevée, de façon qu'ils fonctionnent dans un ordre prévu, et par des moyens de syn chronisation (1180, 1181) permettant le fonc tionnement du mécanisme à vitesse élevée seulement lors d'une condition de rotation prédéterminée du récipient au cours de son fonctionnement à vitesse réduite. 18.
    Machine à laver selon la sous-revendi cation 17, caractérisée par des moyens de ver- rocaillage (l186, 1188) pour maintenir norma lement les quatrième et cinquième embrayages (1051) dans l'une de leurs positions et pour libérer ces embrayages lors de ladite condition de fonctionnement du récipient, lesdits moyens de commande par cames étant disposés pour provoquer le déplacement des embrayages lorsque cette condition prédéterminée existe. 19.
    Machine à laver selon la sous-revendi cation 16, caractérisée en ce que les quatrième et cinquième embrayages (1051) comprennent un accouplement à double effet, destiné à être déplacé dans un sens et dans l'autre entre deux positions actives et en ce que des moyens (1161, 1175) sont prévus pour empêcher le déplacement de l'accouplement d'une position à l'autre, excepté en des moments prédéter minés, où ils libèrent l'accouplement pour dé placer ce dernier, un moyen élastique (1127) étant prévu pour déplacer l'accouplement de puis l'une de ses positions à l'autre lorsqu'il est libéré. 20.
    Machine à laver selon la sous-revendi- cation 19, caractérisée par des moyens pour tendre automatiquement le moyen élastique (1127), avant la libération de l'embrayage, (le façon que le moyen élastique puisse déplacer l'embrayage de l'une de ses positions à. l'autre, lesdits moyens destinés à tendre le moyen élastique étant constitués par des cames (1166, 1167) qui tendent automatiquement le moyen élastique. 21.
    Machine à, laver selon la sous-revendi- cation 19, caractérisée en ee que les cames (1.166,<B>1167)</B> sont disposées pour dé-a.1er pro gressivement l'accouplement immédiatement. avant que celui-ci soit complètement dans la position où il peut être libéré, le mo@-en élas tique étant propre à. continuer le dégagement de l'embrayage après l'intervention desdites cames. 22.
    Machine à, laver selon la, sous-revendi- cation 19, caractérisée en ce que l'accouple ment comprend un organe coulissant, et en ce qu'un moyen (1176) est prévu pour maintenir temporairement ledit organe coulissant dans une position neutre intermédiaire quand il est déplacé de la position pour laquelle la rota tion à vitesse élevée du récipient a eu lieu. 23.
    Machine à laver selon la revendication, caractérisée par un arbre mené (1053) ser vant à entraîner le récipient (25), un arbre moteur (l020), un engrenage disposé entre les deux arbres et comprenant un mécanisme de réglage de la vitesse (1051), un moteur des tiné à faire tourner l'arbre moteur, une trans mission (10l9) reliant le moteur et l'arbre moteur (1020), de manière à permettre un glissement dans l'entraînement entre le mo teur et cet arbre sous l'effet des efforts d'iner tie du récipient. 24.
    Machine à laver selon la revendication, caractérisée en ce qu'elle comprend un arbre mené (1053) pour entraîner le récipient, un arbre moteur (1020), un mécanisme d'entraî nement entre les deux arbres et comprenant un moyen (l040) pour renverser la rotation de l'arbre mené (l053), un moteur pour faire tourner l'arbre moteur (1020) et un méca nisme dle liaison entre le moteur et l'arbre mo teur pour permettre un mouvement relatif dans l'entraînement entre le moteur et cet arbre, qui dépend des efforts d'inertie du réci pient. 25.
    Machine à laver selon la sous-revendi cation 1, caractérisée en ce qu'elle comprend des moyens (1235, 1236) destinés à comman der des soupapes pour alimenter la cuve en eau, des moyens (1203, 1206) destinés à com mander des soupapes pour vider la cuve, un arbre à cames (1130), une première came (l230) montée sur l'arbre à cames pour con trôler les moyens de commande des soupapes d'alimentation en eau, et une seconde came (1200) montée sur l'arbre à cames pour con trôler les moyens de commande des soupapes de vidange. 26. Machine à laver selon la sous-revendi- cation 25, caractérisée en ce qu'elle comprend un moyen (1240) pour régler les moyens de commande de l'alimentation en eau pour ali menter en eau à différentes températures. 27.
    Machine à laver selon la sous-revendi cation 25, caractérisée en ce qu'elle comprend des moyens actionnés automatiquement (1211, 1212, 1213) pour amener la vidange de la cuve à la fin d'une première opération de lavage de la machine et à la fin de chacune des opérations de rinçage suivantes. 28. Machine à laver selon la sous-revendi- cation 25, caractérisée en ce que ladite pre mière came (1230) est susceptible de coulis ser axialement sur l'arbre à cames (1130), les moyens de commande de l'alimentation en eau étant réglables et agencés de faon à action ner les soupapes pour alimenter la cuve en eau à partir de ladite came suivant la posi tion axiale que ladite came occupe sur l'arbre à cames. 29.
    Machine à laver selon la, sous-revendi- cation 28, caractérisée en ce qu'elle comprend une soupape (1350) pour fournir de l'eau à, la cuve à une certaine température, une sou pape (1351) pour fournir de l'eau à la cuve à une température différente, ladite came à coulissement axial (1230) étant une came tournante entraînée par le moteur, un moyen (1235) par lequel une des soupapes est com mandée quand la came occupe une position axiale et un moyen (1236) par lequel l'autre soupape est commandée quand la came occupe l'autre position axiale. 30.
    Machine à laver selon la sous-revendi- cation 1, caractérisée en ce qu'elle comprend plusieurs soupapes (1350, 1351) pour alimen ter la cuve en eau à des températures diffé rentes, un arbre à cames (1130), des moyens (1080, 1087, 1136, 1141) pour entraîner l'arbre à cames depuis des moyens moteurs, une came (1230) pouvant coulisser axialement sur l'arbre à cames et entraînée en rotation par celui-ci, et des moyens (1235, 1236) pour actionner sélectivement les soupapes depuis la came suivant la position axiale que cette came occupe sur l'arbre à cames, l'agencement étant tel qu'une des soupapes seulement soit action née à la fois. 31.
    Machine à laver selon la sous-revendi- cation 30, caractérisée en ce que les moyens pour actionner la soupape présentent des rai nures (1231, 1232, 1233, 1234) occupant des emplacements axiaux différents sur la came (1230) et des doigts (1237, 1238) coopérant avec les rainures pour actionner les soupapes. 32. Machine à laver selon la sous-revendi cation 30, caraetérisée par des moyens (1210) actionnés à la main pour faire coulisser ladite came et pour la maintenir dans différentes positions.
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