CH283405A - Procédé de lavage au moyen d'une machine à laver et machine pour la mise en oeuvre de ce procédé. - Google Patents

Procédé de lavage au moyen d'une machine à laver et machine pour la mise en oeuvre de ce procédé.

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CH283405A
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CH
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washing
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water
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Graham George
Graham Donald
Barker Henry
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Graham & Barker
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    • DTEXTILES; PAPER
    • D06TREATMENT OF TEXTILES OR THE LIKE; LAUNDERING; FLEXIBLE MATERIALS NOT OTHERWISE PROVIDED FOR
    • D06FLAUNDERING, DRYING, IRONING, PRESSING OR FOLDING TEXTILE ARTICLES
    • D06F35/00Washing machines, apparatus, or methods not otherwise provided for
    • D06F35/005Methods for washing, rinsing or spin-drying

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  • Engineering & Computer Science (AREA)
  • Textile Engineering (AREA)
  • Detail Structures Of Washing Machines And Dryers (AREA)

Description


  Procédé de lavage au moyen d'une machine à laver et machine pour la mise en     aeuvre     de ce procédé.    La présente invention se rapporte à un  procédé de lavage au moyen d'une machine  à laver et à la machine pour la mise en     oeuvre     de ce procédé.  



  On connaît déjà plusieurs genres de ma  chines ménagères pour laver le linge, les vê  tements ou autres articles, ces machines com  portant. un levier oscillant ou tout autre  organe actionné à la main ou par un moteur  et fonctionnant à l'aide d'une cuve à dépres  sion, d'une cuve oscillante, de tuyères     d'inJec-          tion    et antres moyens connus.  



  Les particularités d'une commande auto  matique des     différentes    opérations néces  saires à une  lessive  complète peuvent être  appliquées à ces différents genres de ma  chines à laver connues, mais, dans ce qui suit,  elles ont été décrites, à titre d'exemple, pour  une machine à laver du type à cuve giratoire  ou oscillante qui, en     phis    de cette commande,  a subi par ailleurs certaines améliorations.  



  On a déjà proposé de commander automa  tiquement plusieurs des opérations interve  nant pour une lessive, et on a essayé, dans  certains cas,     d'obtenir    une séquence ou succes  sion convenable de ces opérations. En ce qui  concerne ce dernier essai, l'opération com  plète qui débute par     l'humectation    du linge  sec et qui finit. quand le linge est. prêt à être  séché complètement ou à être repassé, sans    que la ménagère ou l'opérateur ait eu à inter  venir, n'a pas donné entière satisfaction. De  plus, on a dû se servir d'organes de com  mande délicats, tels que des électro-aimants,  des relais, des interrupteurs et organes ana  logues et des mécanismes compliqués qui sont  tous la cause de troubles de fonctionnement.

    Ces difficultés, même si elles sont peu graves  et si les initiés peuvent y remédier facilement,  provoquent des pertes de temps, des dépenses  et d'autres ennuis considérables pour un  usager ordinaire.  



  Diverses autres difficultés se présentent  dans la construction et le fonctionnement  d'une machine à laver vraiment automatique,  notamment en ce qui concerne le réglage de  la     température    et de la pression du liquide,  l'enlèvement par écumage des résidus, écumes  et saletés qui flottent sur le liquide de lavage  et qui empêchent. le nettoyage convenable du  linge et n'évitent pas l'intervention de pres  sions excessives.  



  La présente invention a pour but d'obvier  aux difficultés spécifiées ci-dessus et de réali  ser une machine qui forme un ensemble com  plet en lui-même, à tous les points de     vue,    et  qui puisse être utilisée ou manipulée par tout  usager qui ne connaît pas en détail la consti  tution et le mode de fonctionnement de cette  machine.

        Le procédé de lavage est caractérisé en ce  qu'on introduit du liquide de lavage dans le  compartiment destiné à recevoir les pièces à  laver dans la cuve de la machine à laver, on  agite le contenu de la cuve, on refoule les  matières étrangères hors de la cuve, on admet  du liquide frais dans la cuve pour le rinçage,  on diminue la capacité dudit compartiment  pour la vidange du liquide et des matières  étrangères qui flottent sur celui-ci et qui sont  en suspension dans ce liquide, et on comprime  lesdites pièces pour en expulser l'eau.  



  La machine à laver pour la mise en     cnuv    r e  de ce procédé est     caractérisée    en ce qu'elle  comporte une cuve susceptible de recevoir  les pièces à laver et les liquides nécessaires au  lavage, cette cuve comprenant, à sa partie su  périeure, au moins un orifice de vidange et  contenant des moyens     permettant    de diminuer  sa, capacité, disposés de manière à agir dans  une direction telle que l'on     puisse    expulser  hors de la cuve et par ledit orifice de vidange  supérieur le liquide qu'elle contient ainsi que  les matières étrangères qui sont en     suspension     dans ce liquide,

   lesdits moyens étant suscep  tibles également de     servir    à l'essorage des  pièces lavées, des moyens, entraînés par un  moteur, permettant de provoquer l'agitation  du contenu de ladite cuve.  



  Le dessin ci-annexé montre, à titre d'exem  ple, quelques formes d'exécution de l'inven  tion qui ont donné les meilleurs résultats.  



  La     fig.    1 montre, à une échelle très ré  duite et en coupe verticale, une machine à la  ver selon' l'invention, certains organes ayant  été omis pour plus de clarté.  



  Les     fig.    2 et 3 montrent, en coupe diamé  trale et à plus grande échelle, le     montage    du  couvercle sur la cuve de cette machine, les  organes occupant des positions caractéristi  ques différentes sur ces deux figures.  



  La     fig.    4 montre, semblablement à la       fig.    2, une variante de ce montage.  



  La     fig.    5 montre, en plan (certains organes  ayant été omis), la machine de la     fig.    1.  



  Les     fig.    6 et 7 montrent, à plus grande  échelle et respectivement en coupe selon 6-6  de     fig.    5 et en     vue    en bout, un distributeur    par lequel on obtient le fonctionnement du  diaphragme.  



  Les     fig.    8 et 9 montrent, à plus grande  échelle et respectivement en élévation (parties  en coupe) et en coupe suivant 9-9 de     fig.    8,  une partie du dispositif de commande vu de  puis l'angle supérieur de droite de la     fig.    5.  



  Les     fig.    10, 11. et 12 montrent, respective  ment en élévation suivant la flèche 10 à la       fig.    8, à angle droit par rapport à la     fig.    10  et en coupe (à plus grande échelle) selon  l2-12 de     fig.    8, ce même dispositif de com  mande.  



  La,     fig.    13     montre,    en coupe axiale, une  soupape de     retenue    reliée, par sa partie su  périeure, à la partie inférieure du dispositif  de commande de la     fig.    12.  



  Les     fig.    14, 15 et 16 montrent, respective  ment en coupe selon     1.-1-1-1    de     fig.    10, selon  15-15 de     fig.    8 (à plus grande échelle) et en  coupe selon 16-16 de     fig.    15, des parties du  dispositif de commande.  



  La     fig.    17 montre,     semblablement    à la       fig.    16, les organes     représentés    dans cette  figure, dans des positions différentes.  



  La     fig.    18 montre, à grande échelle et en  plan, le dispositif de commande vu depuis  l'angle supérieur et de droite de la     fig.    5 pour  montrer certains organes qui ont été omis  dans cette     fig.    5.  



  Les<B>fi-,</B> 19 et 20     montrent,    respectivement  en élévation (parties en.     coupe    et parties arra  chées) et en coupe selon 20-20 de     fig.    19 (à  plus grande échelle), le dispositif de com  mande de la     fig.    18.  



  La     fig.    21 est un schéma d'un circuit élec  trique faisant partie de la machine.  



  La     fig.    22 montre, à grande échelle et en  coupe verticale sensiblement diamétrale, une  des deux chicanes visibles respectivement à la  partie supérieure de gauche et à. la partie  inférieure de droite de la cuve de la<U>fi-.</U> 1.  



  La     fig.    23 montre cette chicane vue à  angle droit par rapport à. la     fi.--.    22.  



  Les     fig.    24 à 28 sont, des coupes détaillées  faites respectivement suivant     24-24,    25-25,  <B>26-26, 27--27</B> et 28-28 dans la     fig.    22.      La     fig.    29 montre, à grande échelle et en  coupe selon 29-29 de     fig.    22 (parties en élé  vation), un distributeur monté à proximité de  la partie inférieure et de droite de la cuve  de la     fig.    1, celle-ci montrant un distri  buteur analogue à sa partie supérieure de  droite.  



  La     fig.    30 montre, à grande échelle et en  plan, une partie de la cuve de la     fig.    1, no  tamment son bord supérieur et la bague de  retenue du couvercle, engagée sur ce bord.  



  La     fig.    31 montre, à grande échelle et en  élévation, une bague amovible pour relier le  diaphragme flexible, la paroi latérale de la  cuve et le fond de celle-ci.  



  Les     fig.    32 et     33    montrent., en     élévation    et  en coupe selon 33-33 de     fig.        3'2,    le conduit  d'alimentation de la cuve ainsi que la bague  de la     fig.    31.  



  Les     fig.    34, 35 et 36 montrent, en éléva  tion, quelques cames faisant partie du dispo  sitif de commande, une deuxième came, ana  logue à celle de la     fig.    34, n'ayant pas été  montrée.  



  La     fig.    37 montre, en plan, un cadran de  réglage du dispositif de commande.  



  La     fig.    38 montre un schéma des conduits  dans lesquels circulent les     liquides    utilisés  pour la machine.    La machine, montrée plus spécialement  dans les     fig.    1 à 5, comprend un socle 40, une       caisse    41, une étagère 42 logée dans la partie  supérieure de la caisse 41 et dont.

   le bord re  courbé repose sur le bord supérieur de  celle-ci, un couvercle supérieur 45, une cuve  inférieure 46, un couvercle 47 pour celle-ci,  des chicanes creuses 52 fixées aux parois de  la cuve, un diaphragme flexible 55 recou  vrant le fond 56 de celle-ci et utilisé pour  l'essorage, un croisillon 50 pour fixer la cuve       46    sur un mécanisme d'entraînement 51 fai  sant partie du dispositif à l'aide duquel on  soumet la cuve à un mouvement oscillant, une  plaque de guidage 57, fixée à une paroi laté  rale de la caisse 41 pour coopérer avec des  organes de guidage 60 montés sur le croisil  lon 50, une boîte 65 contenant une transmis-    lion à engrenages réducteurs que l'on inter  cale entre le mécanisme 51 et un moteur 66,  par exemple électrique, une pompe centrifuge  <B>67,

  </B> entraînée par le moteur 66 pour vidanger  la caisse 41, une commande mécanique et  automatique 70 actionnée également par le  moteur 66, un distributeur 72 monté sous le       fond    de la cuve 46 et relié à la     commande     automatique 70 pour régler le fonctionne  ment du diaphragme 55 pendant l'essorage  des     pièces    contenues dans la cuve 46, une  pompe auxiliaire 7 5 pour augmenter, si néces  saire, la pression du liquide fourni au distri  buteur 72 et agissant sur le diaphragme 55,  un dispositif de décharge 7 6 (voir au bas de  la     fig.    12), pour obtenir une réduction de la.

    pression agissant sur le diaphragme 55 clans  certaines conditions, un. soupape de retenue  80     (fig.    13) montée     entre    le distributeur 72,  d'une part, et la commande 70 et le dispositif  de décharge 76, d'autre part, des distribu  teurs 81 logés dans les chicanes 52 pour régler  la vidange de la cuve 46 par le fond, un. dis  tributeur 82 pour le réglage de la tempéra  ture du liquide de lavage admis dans la cuve  46, un réservoir à savon 83 monté dans le  conduit du liquide reliant le distributeur 8<B>2</B>à la cuve 46, une soupape à flotteur 85, un  interrupteur principal 86 connecté entre le  moteur 66 et une source de courant électrique,  un interrupteur auxiliaire 87 branché entre  le moteur 66 et l'interrupteur principal 86 et  qui est commandé par la soupape à.

   flotteur  85, un dispositif de commande automatique  90     (fig.    9) destiné à actionner l'interrupteur  principal 86 quand toutes les opérations de  lavage sont terminées, des organes de com  mande manuels     (fig.    19) pour amener les  commandes et l'interrupteur auxiliaire 87 à  des positions qui conviennent à la mise en  marche de la machine, et une liaison articulée  entre la     soupape    à flotteur 81 et des organes  de commande<B>91.</B> pour déclencher la mise en  marche de la machine quand la cuve est rem  plie jusqu'à un niveau convenable. Il est  noter que tout le     mécanisme    de     commande    est  logé, avec un encombrement réduit., dans la  caisse 41.

        Le socle 40, dans l'exemple montré, est en  tôle inoxydable et il comporte des parois la  térales verticales 95 et une paroi horizontale  supérieure 96 sur laquelle est fixé le fond 98  de la caisse 41. qui, dans ce cas, est également.  en tôle et comprend des parois latérales verti  cales 99 dont les faces externes sont dans les  mêmes plans que celles des parois 95. La  caisse 41 peut avoir toute forme voulue,     no-          ta.mrnent    une section horizontale pour ainsi  dire carrée, de manière qu'elle puisse servir  de logement aux commandes et à la cuve 46  et qu'elle permette les mouvements oscillants  de celle-ci.

   Comme l'eau provenant de la cuve  est vidangée dans la caisse 41, celle-ci doit  être étanche à l'eau et elle est reliée à la  pompe centrifuge 67 par le tuyau 100 pour  la. vidange de la caisse 41.  



  Les bords supérieurs et périphériques des  parois latérales 99 de la cuve sont refoulés  vers l'intérieur pour pouvoir recevoir des  bandes 101, en caoutchouc, à section transver  sale en<B>U</B> renversé ainsi que des bords 102,  de même forme, de l'étagère 42. Les faces  externes de ces bords recourbés 102 se     trou-          veut    dans les plans des faces externes des  parois 99. L'étagère 42, également en tôle,  comporte des parois latérales verticales 104,  prolongeant les bords 102 vers le bas, ainsi  qu'une paroi horizontale 105 dans laquelle est  ménagée     urne    grande ouverture centrale et dé  limitée par un bord rabattu 106.

   L'étagère 42  recouvre l'espace compris entre la cuve 46 et  la caisse 41 et sert à retenir le linge et autres  objets qui pourraient, sans cela, tomber dans  cet espace.  



  Le couvercle supérieur 45, également en  tôle dans l'exemple montré, comporte un re  bord inférieur 109 qui s'emboîte     exactement     entre les faces internes des bords recourbés  1.02, les faces latérales externes de ce rebord  étant dans les mêmes plans que celles des  parois 99.  



  La cuve 46 comprend une paroi latérale  114, en tôle inoxydable et de forme sensible  ment     semi-sphérique;    les bords supérieur 115  et inférieur 116 de cette paroi se trouvent  dans des plans parallèles, et leurs sections    transversales ont respectivement la. forme  d'un<B>U</B> et celle d'un Z, comme visible dans les       fig.    2 et 33.  



  Le bord supérieur 115 contourne partiel  lement une bague de renforcement 119     (fig.    2)  qui comprend un rebord rabattu 120. Le cou  vercle 47 de la cuve peut être logé sans ser  rage dans     l'ouverture    délimitée par le bord  115. Ce couvercle, en forme de cuvette, com  porte un rebord périphérique 121, qui prend  appui sur le bord 115 de la cuve, une paroi  latérale cylindrique 122 et un fond concave  123 dans lequel sont ménagés des trous 125.  



  Dans la bague 119 et la partie correspon  dante de la paroi latérale 114 de la. cuve sont  ménagés des trous 126 constamment en regard       (fig.    2 et 3); dans la paroi latérale 122 du  couvercle 47 sont prévus des trous 127, des  tinés à coopérer avec les trous 126, comme  expliqué ci-après.  



  Le couvercle 47 est     maintenu        sur    la     cuve     par une bague de serrage 131 qui a une sec  tion en forme de<B>U</B> et qui est engagée sous  le rebord 120 de la     bagne    de renforcement  119. La bague     13x    est fendue     (fig.    5), cette  bague portant, sur un bord de la fente, un  anneau 132 auquel est. articulée une partie  d'un dispositif de fermeture basculant 133  avec poignée 134. Quand le dispositif est  ouvert, la bague 131 se détend et le couver  cle peut être     dé-gagé    de     ia.    cuve, et quand il  est fermé, cette bague 131 est. serrée     fortement.     contre la base 119.

   La hauteur de la bague  131 est assez grande pour permettre de sou  lever le couvercle 47 jusqu'à amener ses trous  127 en regard des trous 126, comme visible à  la     fig.    2. Quand le couvercle est dans sa po  sition la plus basse     (fig.    3), les trous 127 du  couvercle sont. en dessous du bord 115, de ma  nière à déboucher à l'intérieur de la cuve 46.  Dans cette position, la paroi latérale du     cou-          verele    ferme les trous 126.

   Pendant. certaines  opérations, qui seront     décrites    ci-dessous, le  couvercle est à sa position supérieure, mon  trée à la     fig.    2, de sorte que l'eau, contenue  dans la cuve, traverse les trous 125 du cou  vercle et les trous 127 et 126 qui sont en re  gard. En revanche, à d'autres moments, l'eau      qui traverse les trous 125 peut retourner dans  la cuve quand le couvercle est. à sa position  la plus basse, comme montré à la fi-. 3.  



  Une variante de ce dispositif est montrée  à la     fig.    4. Dans ce cas, le couvercle 47a n'est  pas soulevé quand l'eau doit. s'écouler hors de  la cuve par le couvercle. La constitution de  la paroi latérale     114a    de la cuve, au voisinage  de son ouverture, est la même que celle mon  trée à la     fig.    2 et cette paroi comporte aussi  des trous 126. La bague de serrage     131a    a  une hauteur moindre que celle représentée  dans les     fig.    2 et 3, mais elle s'engage de la  même manière sur les bords du couvercle et  de la cuve pour maintenir le couvercle en  place.

   Dans le fond du couvercle     471a    sont  ménagés des trous 132a, et dans sa paroi laté  rale 122a sont percés des trous 127a qui sont.  en regard des trous 126a. Dans la face externe  de la paroi latérale 122a sont ménagées des  rainures verticales     130a,    en dessous des trous  127a, afin que des quantités réduites d'eau  qui peuvent pénétrer dans le couvercle pen  dant la lessive puissent retourner dans la  cuve par les rainures     130a.    Pendant l'esso  rage, les pièces de linge ou autres articles,  sollicités par la pression régnant dans la cuve,  obturent plus ou moins les rainures     130a.,

      de       sorte    que l'eau s'écoule par les trous     126a.     Pendant l'écumage et le rinçage, il n'est pas  nécessaire de soulever le couvercle pour que  l'eau puisse s'écouler depuis la cuve à travers  le couvercle, l'eau pouvant s'écouler hors de  la cuve par les rainures 130 et les trous 126a  de la paroi     11.4a    quand le couvercle est à sa  position inférieure.  



  Le fond 56 de la cuve 46 est bombé vers  le haut et vers le centre de la cuve depuis un  rebord périphérique 136, comme visible dans  les     fig.    1, 6, 30, 31 et 33. Le diaphragme 55  est appliqué sur le fond de la cuve et son  bord périphérique<B>137</B> est constitué par un  bourrelet. appliqué sur le rebord 136     (fig.    33).  Le bourrelet. et le rebord sont engagés sons le  bord recourbé 116 de la paroi latérale 114 de  la cuve et ils sont serrés les uns contre les  autres par une bague 138 ayant une section  transversale en forme de<B>U</B>     (fig.    30 et 31) et    qui est fendue. Dans les bords adjacents de la  fente sont ménagées des encoches 141, dans  lesquelles sont retenues les têtes 143 d'un  organe de liaison 142.

   Quand on désire enle  ver ou remplacer le diaphragme 55, par exem  ple, on coupe l'organe de liaison 142, par  exemple à la scie, entre ses extrémités, de  sorte que la bague se détend et peut être en  levée. Pour la, remise en place de la bague,  on se sert d'un nouvel organe de liaison 142,  et les extrémités libres de la bague sont rap  prochées à L'aide d'un outil approprié engagé  dans des trous 146 ménagés dans ces extré  mités.  



  Comme montré à la     fig.    33, on dispose le  bord recourbé 136 du fond de la cuve, le re  bord 116 de sa paroi latérale et le bourrelet  137 du     diaphragme    55 de manière telle que le  bourrelet 137 ne puisse se dégager quand il  est serré entre le bord 116 et le rebord 136,  lorsque le diaphragme est refoulé vers le haut  ait cours de l'essorage, comme expliqué     ci-          après.    De plus, le joint ainsi formé est cons  tamment étanche à l'eau.

   Le diaphragme 55  comporte également une nervure annulaire       1-18;    quand le diaphragme est détendu, celle-ci  est serrée fortement contre la face interne de  la paroi latérale 114 de la cuve, pour former  un joint additionnel, comme visible à la       fig.    33. Cette nervure sert également à ren  forcer le     diaphragme    à l'endroit où il sort du  joint formé entre le fond et la paroi latérale  de la cuve.  



  Comme visible dans les     fig.    1 et 33, des  saillies 151, ménagées sur la face inférieure  du fond 56, sont situées en regard     d'oeillets     152 formés aux extrémités des bras du croi  sillon 50, pour recevoir des vis 153 à l'aide  desquelles la cuve est fixée sur ce croisillon 50.  



  On voit, dans les     fig.    32 et 33, que la cuve  46 comporte un tube d'admission d'eau 156  débouchant dans deux trous<B>157</B> ménagés dans  la paroi latérale 114 de la cuve. Le tube 156  est maintenu en place par un raccord 158 et  il s'étend vers le bas et vers l'intérieur le long  de la face     inférieure    d'un bras du croisillon  50 auquel il est attaché par une bride 7.61 et  une ou plusieurs vis 162. Un raccord flexible      164 relie l'extrémité du tube 156, logée dans  la bride, au réservoir à savon 83. Dans la  partie centrale du croisillon 50 est formé un  moyeu 163     (fig.    1) relié au     mécanisme    51, dé  crit en détail ci-après.  



  On a montré dans les     fig.    1 et 5 et surtout  dans les     fig.    6 et 7, un distributeur d'eau 72  qui règle le     fonctionnement    du diaphragme,  sous le contrôle d'une commande automatique  décrite ci-après. Le distributeur est. monté sur  le fond 56 de la cuve an moyen d'un raccord  166 avec bride latérale 167 et qui comprend  une partie tubulaire 171 taraudée et filetée.  Le bout de tube 173 qui porte le distribu  teur est vissé dans le raccord 166, et sur ce  lui-ci est engagé un écrou 172, par lequel ce  raccord est maintenu en place.

   Le rebord 167  maintient le diaphragme légèrement écarté du  fond 56 de la cuve pour faciliter l'entrée de  l'eau entre le diaphragme et le fond de la  cuve; dans ce rebord sont ménagées des rai  nures radiales 174 par     lesquellés    l'eau peut  s'échapper quand elle s'écoule depuis le des  sous du diaphragme et malgré que     celui-ci     vienne se placer en travers du passage déli  mité par le rebord<B>167</B> et qui, sans cela, bou  cherait ce passage.  



  Le tube 173 communique avec un cylindre       7.76    dont les extrémités portent des pièces 177  et 178. La pièce<B>178</B> a la forme d'une cuvette  portant un raccord central 180 sur lequel on  peut engager un tube flexible 181 qui aboutit  à la commande mécanique et automatique 70.  La pièce 177 a la forme d'un croisillon dont  les bras 182 portent un moyeu central 183 et  délimitent des ouvertures de décharge 186.  



  Une tige 187, coaxiale au cylindre 176,  porte un plateau fixe 188 et un plateau cou  lissant 192. Dans certaines conditions, un, cla  pet élastique 193, appliqué contre     une    face  du plateau 188 par un écrou 196 et une ron  delle, est serré contre un siège annulaire 197  fixé sur le cylindre 176. Les     plateaux    188 et  192 comportent des moyeux cylindriques 198,  tournés l'un vers l'autre et entourés d'un res  sort hélicoïdal 201 qui tend à écarter ces pla  teaux l'un de l'autre. Un autre ressort est  intercalé entre les bras 182 du croisillon 177    et l'écrou 196 et il tend à écarter le plateau  188 de son siège fixe<B>197.</B>  



  Un dispositif de décharge 203 comprend  un corps tubulaire 206, fixé     att    cylindre 176  et qui débouche dans     celui-ei    entre les pla  teaux 188 et 192. Dans ce corps 206 sont.  percés des trous latéraux 207. Un pointeau  208, maintenu .en place par un écrou 209,  obture partiellement un orifice de décharge  210 pour régler ainsi la quantité de liquide  qui peut s'écouler hors du cylindre par les  trous 207.  



  Quand de l'eau sous pression est admise  dans le cylindre<B>176</B> par le raccord 180, le  plateau 192 est refoulé depuis la position,  montrée en traits interrompus dans la     fig.    6,  jusqu'à une position pour laquelle les extré  mités des moyeux cylindriques 198 se tou  chent presque. Dans cette position, l'eau  arrive librement, par le tube 173 et le raccord  166, sous le diaphragme 55 et elle refoule ce  lui-ci vers le haut dans la cuve     (pendant     l'essorage). Par suite du déplacement du pla  teau 192,     celui-ci    applique, par l'intermédiaire  du ressort 201 et du plateau     l.88,    le clapet 193  sur son siège 197.  



  Pendant que le linge est comprimé entre  le diaphragme refoulé et les parois de la. cuve,  plus spécialement vers la fin de l'essorage, la  pression, agissant sur le diaphragme, monte  jusqu'à devenir égale à celle du liquide admis  et cette pression agit sur le plateau 188, de       sorte    que le clapet 193 est appliqué fortement  contre son siège 197. Pendant que la pression  augmente, le débit de l'eau dans l'espace formé  derrière le diaphragme diminue, car la pres  sion de l'eau admise reste constante, comme  expliqué ci-après, de sorte que le     plateau    192  retourne à sa position montrée en traits inter  rompus dans la     fig.    6, pour laquelle l'eau  passe par l'intervalle annulaire existant entre  le bord du plateau 192 et la paroi du cylin  dre 176.

   Quand le débit d'eau est interrompu  par l'effet de la commande automatique     pour     la décharge, le dispositif à pointeau 203 per  met à la pression de l'eau, contenue dans le  cylindre 176, de diminuer     progressivement.     Après une certaine décharge, au cours de la-      quelle la pression de l'eau     diminue    suffisam  ment en quelques secondes, le ressort 202 par  vient à vaincre la pression résiduelle agissant  sur le plateau 192, et il refoule rapidement  les plateaux 188 et 192 vers la droite de la       fig.    6 jusqu'à. ce que le clapet. 193 soit. com  plètement ouvert.

   Le diaphragme 55 peut  alors, en se contractant, refouler l'eau par le  passage central. du siège annulaire 197 et par  les ouvertures de décharge 186 du croisillon  177 jusque sur le fond de la caisse 41     (fig.    1)  hors de laquelle elle est vidangée à l'aide de  la pompe centrifuge 67 pour être versée dans  un réservoir fixe ou à l'égout. Il est à noter  que la pression d'eau agissant sur le dia  phragme, pendant le refoulement de celui-ci,  est     sensiblement    uniforme et que les pressions  produites au cours de l'essorage peuvent être  calculées aisément, de     sorte    que la     tension    du  ressort 202 peut être convenablement choisie  pour que la vidange se fasse rapidement et  au moment voulu.

   La présence du dispositif  de décharge réglable 203 permet également  de régler la période pendant laquelle une  pression élevée agit sur le linge ou les autres  articles à essorer, après l'effet de compression  exercé par le diaphragme. En d'autres termes,  la vitesse de la décharge peut être réglée en  vue de déterminer la durée de la période  avant laquelle le clapet 193 du plateau<B>188</B>  s'écarte de son siège     pour    permettre l'écoule  ment de l'eau qui est accumulée derrière le  diaphragme, de sorte que l'on dispose     d'une     période réglable pendant laquelle des pres  sions élevées interviennent en permanence  pendant l'essorage.  



  Dans la cuve sont établies deux chicanes  creuses 52     (fig.    1, 5 et 22 à 29) montées en  des endroits diamétralement opposés, sur les  faces internes de la paroi 114 de la cuve. Cha  que chicane est formée par une pièce creuse,  par exemple en métal moulé, comprenant une  paroi verticale plane 211 et une paroi opposée  212 qui est. inclinée ou bombée et qui     s'écarte     de la. paroi 211 en étant. raccordée à celle-ci  par un bord supérieur     curviligne    213     (fig.    23),  prolongé par un bord rectiligne 211.

   Les  coupes transversales faites selon     24-24    à    28-28 dans la     fig.    22 permettent de se ren  dre compte de la forme     particulière    de     eha-          nue    chicane 52. Des pattes 216 laissent passer  des vis 217 à l'aide desquelles la. chicane est  fixée à la paroi latérale 111 de la cuve, la  face interne ouverte de la chicane     ayant    une  forme qui s'adapte à la forme sphérique de  cette paroi 114. Les parois 211 et 212 sont  reliées entre elles par un bord arrondi 218       (fig.    23).

   Dans chacune des parois 211 et 212  sont ménagés des trous 221, constamment  ouverts et débouchant à l'intérieur de la cuve  pour permettre le passage de l'eau dans un  but expliqué ci-après.  



  Le mouvement de la cuve 46 est tel que  l'eau et le linge contenus dans celle-ci se dé  placent dans le sens des aiguilles d'une mon  tre, alors que les parois planes     \2111    des chi  canes font face au sens inverse des aiguilles  de la montre et sont disposées transversale  ment par rapport à la direction du mouve  ment de la cuve. Pendant que la cuve tourne,  le mouvement pour ainsi dire rotatif du linge  et de l'eau est interrompu deux fois quand ils       viennent    en contact avec les parois planes des  deux chicanes 52. Leurs parois inclinées 212,  qui se trouvent dans le sens de la rotation,  permettent plus ou moins au linge de glisser  au bas des chicanes.  



  Comme le linge est. ainsi sollicité diffé  remment aux côtés opposés de chaque chicane,  on ne doit pas craindre un mouvement symé  trique ou de va-et-vient. du linge au cours du  lavage et du rinçage, ce qui aurait tendance  à former une masse compacte ou en forme de  boule, ainsi que cela se produit dans les ma  chines à laver connues.  



  Les chicanes 52 servent donc à maintenir  la masse de linge à l'état libre et non tassé,  afin que ce linge puisse bouger et que l'eau  de lavage et de rinçage puisse avoir accès à  travers et entre toutes les parties de cette  masse.  



  De même, cela permet. l'infiltration de l'air  nécessaire à. l'essorage et l'aération du linge  après que l'on a effectué l'expulsion mécani  que de     leau    hors du linge .à l'aide de la     ma-          chine'    telle que décrite. Il est évident que des      chicanes de ce genre peuvent être utilisées  pour d'autres cuves dans lesquelles d'autres  principes de lessivage sont appliqués.  



  Des distributeurs, logés dans les chicanes  creuses, servent à régler la vidange de l'eau  hors de la cuve par le fond de celle-ci.     Comme>     ces distributeurs sont identiques, il suffit. d'en  décrire un seul; au besoin, on peut se conten  ter d'utiliser un seul de ces distributeurs.  



  Chaque chicane comporte, à sa partie infé  rieure, des rebords latéraux 222 qui, de pair  avec la paroi adjacente 114 de la cuve, for  ment une glissière 223 pour un registre 226  (fin.     \?Je>,    27, 28 et 29). Celui-ci porté deux  oreilles perforées 227 auxquelles sont arti  culées deux tringles 231. Quand le registre  occupe sa. position inférieure,     comme    montré  a. la     fig.    29, il recouvre des trous de vidange  233 ménagés dans la paroi     11-1    de la cuve en  empêchant ainsi l'écoulement de l'eau depuis  l'intérieur de la chicane et, par conséquent,  hors de la cuve 16.  



  Le distributeur 81, destiné à commander  les     mouvements    vers le haut et le bas du re  gistre 226, comprend     -Lui    cylindre 236, fixé sur  la paroi 111 de la cuve par des supports 235       (fig.    1). Le cylindre 236 est fermé, à une  extrémité, par une cuvette 237     (fig.    29) avec  un bossage tubulaire central 241 dans lequel       peut    coulisser la tige 242 d'un piston 248.  L'autre extrémité du cylindre 236 est fermée  par une cuvette 238 avec un raccord tubulaire  central 243 auquel aboutit     -Lui    tube flexible  246 pour une admission d'eau, ce tube tra  versant un trou ménagé dans la paroi 1.14 de  la cuve et aboutissant à la commande méca  nique et automatique 70.

   Le piston 248 est  fixé sur la tige 212 à l'aide d'écrous 252. La  tige 242 porte également, à l'extérieur du cy  lindre 236, une traverse 253 avec deux oreilles  perforées 254 auxquelles sont articulées res  pectivement les extrémités supérieures des  tringles 231. Cette liaison articulée permet le  coulissement du registre 226 dans la glissière  223 malgré le montage incliné du cylindre 236  à cause du contour curviligne de la cuve.  



  Quand la cuve doit être vidangée, de l'eau  est, admise par- le tube     246    dans le cylindre    236, le piston 218 et la tige     24\?    montent, par  rapport à la     fig.    29, en     entraînant.    le registre  236 vers le haut, ce qui permet la sortie de  l'eau par les trous 233 jusque dans la caisse  41. Quand l'admission d'eau dans le cylindre  236 est interrompue, le piston 218 et le re  gistre 236 descendent, pour fermer les trous  233, sous l'action d'un ressort de rappel 255,  pendant que l'eau contenue dans le cylindre  est     déeliargée    dans la caisse 41 par une petite  fuite 256 (fis. 29) ménagée dans le tube     2-16.     



  Le mécanisme     d'entraînement    de la cuve  51, visible à la     fig.    1, comprend un manchon  263 dont une partie, de diamètre     plus    petit,  est logée dans le moyeu 163 du croisillon 50  et une     partie,    de diamètre     phis    grand, se       trouve    en dehors     dit        moyeu    en formant un  épaulement circulaire 266.     Un    écrou 267, en  gagé sur une partie filetée du manchon 263,  maintient celui-ci dais le     inoy    eu 163.

   Un  arbre incliné 268 est. guidé dans le manchon  263 par un palier à billes<B>271</B> et par une  douille 262, et son extrémité inférieure est  engagée, d'une manière réglable à l'aide d'un  écrou 272, dans une     fente    273 d'un bras 276  calé, par un écrou<B>277,</B> sur l'extrémité supé  rieure d'un arbre moteur 288.  



  L'arbre 288 est monté     rotativement    dans  un palier 289, engagé dans une plaque 290  fixée sur le fond 98 de la caisse 41, et dans  un palier de butée 291 fixé sur la boîte 65  contenant une transmission réductrice qui  comprend une roue Hélicoïdale calée sur  l'arbre 288 et qui engrène avec une vis sans  fin 293 calée sur l'arbre 296 du moteur 66,  cette     transmission    réductrice étant donnée à  titre d'exemple     pour    relier le moteur 66 à  l'arbre 288 qui entraîne la cuve 46. L'arbre  du moteur aboutit également à la pompe cen  trifuge 67, afin que celle-ci tourne à la vitesse  du moteur.  



  L'arbre 296 est relié, en outre, par une  transmission réductrice appropriée, par exem  ple une poulie à courroie 301, à un arbre  auxiliaire 296' qui, à son tour, est relié, par  un engrenage conique 302 et par un arbre  vertical 303, à la pompe     auxiliaire    75 décrite  ci-après. L'arbre 303 est logé dans un tube      304 qui est relié, d'une, manière étanche, au  fond de la caisse 41.  



  Quand l'arbre 288 tourne, le bras 276  tourne et entraîne, par suite de l'inclinaison  de l'arbre 268, la cuve 46 suivant un mouve  ment giratoire ou oscillant, la cuve coopérant  avec ses organes de guidage 60. Ces organes  comprennent un support 281 fixé à un des  bossages 152 du croisillon 50 et qui porte des  axes 285 sur lesquels sont engagées librement  des roulettes 286 avec des jantes en caout  chouc 287 qui prennent appui de part. et d'au  tre sur la plaque de     guidage    fixe 57. Le bord  interne     57a    de celle-ci a la forme d'un are de  cercle tracé depuis le centre d'oscillation de la  cuve et les roulettes 286 sont obligées de se  déplacer dans le plan vertical imposé à la  plaque<B>57,</B> de sorte que la cuve ne peut pas  tourner autour de son propre axe.  



  En desserrant l'écrou 272, l'inclinaison de  l'arbre 268 peut être réglée par rapport au  bras 276 pour faire varier l'inclinaison de la  cuve et obtenir ainsi des amplitudes diffé  rentes pour le mouvement oscillant, ce qui  procure un effet de lavage plus ou moins  énergique. Ces moyens d'entraînement et de       réglage    peuvent être remplacés par d'autres  pour obtenir des effets de lavage différents,  suivant le genre des articles qui sont à laver  dans la cuve 46.  



  La commande mécanique et     automatique     70 est montrée en détail dans les     fig.    8, 10,  11, 12, 14 et 15. Elle comprend une enve  loppe métallique 306     (fig.    12), ainsi qu'un  couvercle 307 et un fond 308, fixés d'une ma  nière amovible à cette enveloppe. Sur des       saillies    latérales du couvercle et du fond est  fixée une boîte 316 avec son couvercle 322, ces  pièces étant reliées entre elles en. 323. L'en  semble comporte des bossages latéraux 326 et  327 (fi"-. 11), dans lesquels sont engagées des  vis 328 à l'aide desquelles cet ensemble est  fixé, tel quel, sur une paroi latérale 99 de la  caisse 41     (fig.    8 et 11).  



  L'enveloppe 306 entoure une chambre 329  contenant     clés    cames. Dans un côté de cette  chambre débouchent des guides tubulaires  331,<B>332,</B> 333 et 334 contenant respectivement    des poussoirs 338, 339, 340 et 41, dont les  extrémités, engagées dans la chambre 329,  portent respectivement des galets 345, 346,  347 et 348 qui coopèrent avec des cames 351,  352, 353 et 354, en forme de disques et soli  daires de collets 355 calés sur un arbre à  came 356, qui est monté     rotativement    dans des  paliers 357 et 358 respectivement du couvercle  307 et du fond 308 de l'enveloppe 306.

   Les  poussoirs 338-341 sont empêchés de se dé  gager involontairement hors des guides tubu  laires à l'aide d'un peigne amovible 359       (fig.    20) qui s'étend sur toute la hauteur de  l'enveloppe et dont chaque dent est engagée  dans une rainure latérale 360 de chaque pous  soir.  



  Dans la chambre 31.6 sont ménagés plu  sieurs logements 361, 362, 363 et 364 dont les  fonds sont traversés respectivement par des  tiges 367, 368, 369 et 370 à l'aide de garni  tures 373, ces tiges étant en contact, bout à  bout et respectivement avec les poussoirs 338,  339, 340 et 341.  



  Des tiroirs cylindriques et tubulaires 376,  377, 378 et 379 entourent respectivement les  extrémités des tiges 367, 368, 369 et 370, afin  due les tiroirs puissent être déplacés     axiale-          ment    dans un sens ou dans l'autre dans les  logements 361, 362, 363 et 364 entre une po  sition gauche et une position. droite de la       fig.    12, positions qui sont déterminées par les  points haut et bas des cames respectives 351  à 354.  



  Pour la position de     gauche    de chaque  tiroir, une lumière 381, 382, 383 ou 384       (fig.    8, 10 et 39) est mise en     communication     avec le logement correspondant 361-364, et  pour la position de droite cette lumière est  fermée.  



  Sur les tiroirs<B>376</B> à 379 sont montées res  pectivement des têtes 388, 389, 390 et 391  portant chacune un bec 393     (fig.    2) vissé dans  le tiroir correspondant pour venir en contact  avec l'extrémité adjacente de la tige corres  pondante 367-3"r0. Chaque tête comporte  également une cuvette 398 qui peut coulisser       axialement    dans un logement 399, 400, 401 ou  402 ménagé dans le couvercle 322. Un ressort      hélicoïdal et de compression 404 agit sur cha  cun des tiroirs 376-379, les tiges<B>3677-370</B> et  les poussoirs 338-341 pour les pousser vers  la droite en contact avec la came 351-354  correspondante.  



  Le logement 399 communique avec un  tuyau 406 pour l'amenée d'eau chaude, et les  logements 400, 401 et 402 sont raccordés, par  un tuyau 407,à une alimentation d'eau froide,  ces derniers logements étant reliés par un  passage commun 408     (fig.    11) et par des  passages individuels 409 et 410     (fig.    12).  



  Chaque poussoir 338, 339 ou 340 est di  rectement en contact avec la tige 367, 368 ou  369 correspondante, mais le quatrième pous  soir 341 agit sur sa tige<B>370</B> par l'intermé  diaire d'un bras 487 d'un verrou de décharge  411     (fig.        72)    qui fait partie du dispositif de  décharge 76, faisant cesser la pression sur le  diaphragme et qui sera décrit en détail     ci-          après.     



  Les profils des cames 352-354 et leurs  calages par rapport à l'arbre 356 et des galets  346-348 peuvent être ceux indiqués dans les       fig.    34, 35 et 36. La came 351 est identique,  en ce qui concerne le profil et le calage, à la  came 352, excepté en ce qui concerne l'empla  cement de son collet 355 qui se trouve sur la  face opposée à celle de la came<B>352</B> sur la  quelle est monté le collet 355 de celle-ci. Pour  cette raison, elle n'a pas été montrée dans les       fig.    34, 35 et 36, mais bien à la     fig.    12.  



  Les cames de ces     fig.    34-36 sont montrées  comme elles sont vues dans la direction de la  flèche A de la     fig.    12, avec les galets 346, 347  et 348 à gauche des cames et sur des diamè  tres horizontaux de celles-ci. Chaque came  comporte un creux ou une partie périphérique  en retrait, qui intéresse la     phis    grande partie  de son contour, ces points bas étant désignés  respectivement. par 416 pour les cames 351 et  352, par 417 pour la came 353 et par 418 pour  la. came 354.  



       Chaque    came 351 ou 352 a un court bos  sage périphérique 421, qui correspond à l'opé  ration d'écumage de la machine, et un bossage  plus long 422, qui correspond à l'opération de  rinçage du linge. La came 353 a un court    bossage 423 pour la vidange de la cuve 46  après que l'écumage a eu lieu et pour le dé  but du rinçage susdit et un     bosRage        plus    long  424 pour la vidange de la cuve après que le  rinçage a eu lieu et pour la période d'essorage.  La. came 354 a seulement un bossage 4'27 pour  provoquer l'essorage du linge. Les autres re  lations entre ces opérations sont indiquées  plus loin.  



  Au bas et à droite des     fig.    12, 14 et 15, on  a montré les moyens pour entraîner l'arbre  356. Une roue hélicoïdale entraînée 431 est  reliée, par un accouplement à sens unique 432,  à cet arbre 356, cet accouplement comprenant  un ressort hélicoïdal 433, entourant. cet. arbre  et fixé par une extrémité à. la. roue 431, par  exemple à l'aide d'une     vis    434. L'extrémité  supérieure de l'arbre 356 traverse le couver  cle 307 et elle porte une manette 435 avec  index pour faire tourner l'arbre 356 par rap  port à la roue hélicoïdale, dans le sens des  aiguilles de la montre, comme montré par une  flèche dans les     fig.    12 et 34-36.

   De cette ma  nière, l'arbre 356 peut glisser par rapport au  ressort 433 et à la roue 431, ce qui modifie  la position angulaire de l'arbre 356 et des  cames relativement à cette roue 431 et aux  galets 345-348 pour modifier à volonté la  durée de la période de lavage.     Quand    la roue  431 est. entraînée dans le sens des aiguilles de  la montre, le ressort 433 se serre de lui-même  autour de l'arbre pour entraîner     celui-ci    dans  le même sens.  



  La roue hélicoïdale 431 est entraînée di  rectement par une vis sans fin 442     (fig.    14)  montée sur un arbre horizontal 443, tournant  dans des paliers 446 faisant partie du fond  308 de la boîte à cames 306. Sur l'arbre 443  est également montée     -une    roue hélicoïdale       447        (fig.    14) qui engrène avec une vis sans  fin 448 calée sur l'extrémité de section réduite       d'tin.arbre    451     (fig.    15).

   Ce dernier tourne  dans un palier vertical 453 solidaire du fond  308 et il est relié, d'une manière amovible, à  l'arbre 303     (fig.    1) par un accouplement  approprié, constitué dans ce cas par     -rin    man  chon 457 et une clavette 458. L'arbre 303 est  entraîné par le moteur 66     (fig.    1). Le palier      453 comporte une garniture 462 entourant  l'arbre 451 pour empêcher les fuites d'huile  dans la caisse 41, cette huile étant introduite  dans la boîte à cames 306 par un trou fermé  par une vis 464.  



  La transmission à vis sans fin a été indi  quée à titre d'exemple seulement et comme  un moyen pour réduire la vitesse du moteur  66, afin que L'arbre à cames<B>356</B> tourne à la  vitesse voulue et que les cames, montées sur  celui-ci, puissent intervenir dans un ordre  convenable.  



  Le dispositif de décharge 76, montré dans  les     fig.    10 et 12, par lequel on fait cesser  l'effet de la pression sur le diaphragme 55,  intervient en fonction des pressions agissant       sur    ce diaphragme flexible et comprend une  cuvette 466 avec rebord supérieur 467 à l'aide  duquel cette cuvette est fixée au fond 308, par  exemple par des vis 468. La cuvette 466 re  couvre une ouverture ménagée dans le fond  '08 et dans laquelle est engagée une tige ver  ticale 471 d'un piston 472 fixé sur l'extrémité  inférieure de la tige 471. Entre le piston 472  et le fond 308 est intercalé un ressort. héli  coïdal 473 qui pousse le piston vers le bas.  Dans le fond de la. cuvette 466 débouche un  conduit<B>477</B> qui aboutit à la soupape de re  tenue 80     (fig.    13 et 38).

    



  Un verrou 411, actionné par la tige 471,  comprend un levier 481, formé par une pla  que recourbée en forme de<B>U</B> et qui est.     arti-          culé    à un point fixe 482 en prenant appui sur  la tige 471. A proximité de son extrémité  libre, le levier 481 porte un ergot 483 auquel  est articulé un bras 486 dont l'extrémité libre  487 est recourbée et engagée normalement  entre la tige 370 et le poussoir 341     (fig.    12).  



  Un ressort 488, enroulé en partie autour  du pivot 482, prend appui sur une partie du  fond fixe 308 et sur le levier 481 pour pous  ser celui-ci vers le bas par rapport à la     fig.    12.  Un autre ressort 491, enroulé en partie autour  de l'ergot 483, prend appui sur le levier 481  et sur le bras 486 pour pousser ce dernier vers  la droite de la     fig.    12.  



  Comme indiqué, une pression croissante       agit        sur    le diaphragme quand de l'eau     est    re-    foulée derrière celui-ci, par l'effet de la pres  sion de l'eau elle-même ou par suite de L'in  tervention de la pompe auxiliaire 75. Quand  la pression derrière le diaphragme 5 5 atteint.  une valeur prédéterminée, elle refoule la sou  pape de retenue 80 et elle agit., par le conduit  477 et comme décrit ci-après, sur le piston  472 pour refouler celui-ci ainsi que sa. tige  471 vers le haut. De cette manière, l'extré  mité recourbée 487 du bras 486 est poussée  hors de l'intervalle compris entre la tige 370  et le poussoir 341, ce qui interrompt le débit.

         d'eau    depuis la commande automatique et  mécanique 70 vers le distributeur 72 du dia  phragme, même si la came 354 occupe une po  sition pour laquelle ce débit est obtenu nor  malement. En d'autres termes, le bossage 427  du disque 354 a déclenché l'intervention du  diaphragme en refoulant la tête 391 du tiroir  379 vers la gauche de la     fig.    12, ainsi que le  poussoir 341 et la tige 370, pour ouvrir l'ad  mission d'eau. Quand l'extrémité 487 est dé  gagée d'entre les organes 341 et 370, la tête  391 et la tige 370 peuvent revenir vers la  droite de la     fig.    12 par l'effet du ressort 404,  de sorte que cette admission est fermée, même  si. le bossage 427 maintient le poussoir 341 à  sa position de gauche.

   Par ce mouvement, le  tiroir 379 ferme cette admission et interrompt  le débit. d'eau pour faire cesser l'action de la  pression sur le diaphragme en même temps  que l'extrémité de la tige 370 vient s'engager  sous l'extrémité recourbée 487 du dispositif  de décharge 76. Le poussoir 341 et son galet  348 ne peuvent se déplacer vers la droite, car  ils sont retenus par le bossage 427, et l'inter  valle entre le poussoir 341 et la tige 370 est  trop grand pour que le bossage 427 puisse  ouvrir le tiroir.

   Le seul moyen pour ramener  le dispositif de décharge à, sa position initiale  est de faire tourner la came 354     pour    que le  bossage 427 puisse dépasser le galet 348, ce  qui se produit automatiquement pendant le       fonctionnement    normal de la commande, niais  ce qui peut se faire, si nécessaire, par une ma  noeuvre à la main en agissant sur le bouton  435 fixé sur l'arbre 356. Quand le bossage  427 a passé, le ressort 491 agit sur l'extrémité      du poussoir 341 pour le refouler vers la droite  en obligeant le galet 348 à rester en contact  avec -un creux de la came 354.

   De cette ma  nière, l'intervalle entre les organes 341 et 370  devient tellement grand que l'extrémité re  courbée 487 peut s'engager dans celui-ci par  l'effet du ressort 488, ce qui rétablit la liaison  mécanique par laquelle la tête 391 du tiroir  peut être déplacée pour ouvrir l'admission  d'eau, quand le bossage 427 vient de nouveau  en contact avec le galet 348.  



  La pompe auxiliaire 75, montrée dans les       fig.    5, 8, 10, 11 et 38 et bien visible à la       fig.    15, sert à augmenter la pression de l'eau  fournie au distributeur 72 du diaphragme  quand cette pression est en dessous d'une va  leur prédéterminée. Cette pompe est agencée  de manière qu'elle fonctionne à vide quand la  pression d'alimentation normale est égale ou  supérieure à cette valeur prédéterminée.  



  La pompe comprend un cylindre 497 dont  le fond 501 comporte un orifice central de dé  charge 502 relié par un conduit 503 à la sou  pape de retenue 80     (fig.    13 et 38). Une lu  mière d'admission 506 fait communiquer le       evlindre    497 avec un conduit<B>507</B> aboutissant  à une alimentation d'eau, en amont de la sou  pape 80.  



  Le cylindre 497 comprend une partie exté  rieure 498 et une partie intérieure 508, de  section plus grande, ces parties étant reliées  entre elles par un épaulement annulaire 511,  alors que la partie 508 comprend un rebord  512 qui est fixé à une partie tubulaire<B>516</B> de  la boite à cames 306, le support 517     dun    pa  lier 526 étant intercalé entre ledit rebord 512  et ladite partie tubulaire 516.  



  Un piston 518 est logé     dans    le cylindre  497 et monté sur une tige 523 qui est. fixée  au piston 518, en étant engagée dans     une    gar  niture 525, dans le palier 526 et dans un  guide tubulaire 527 vissé dans un bossage  528 faisant partie de la paroi de la boîte à  cames 306. La garniture 525 est supportée  par une cloison 531, en forme de disque, qui  est vissée dans l'extrémité interne de la partie       extérieure    498 du cylindre, un rebord péri-         phérique    532 de la cloison prenant appui sur  l'épaulement 511.  



  Le support 517 porte également des saillies  supérieure 537 et inférieure 538 servant au  guidage d'un chariot coulissant 541 qui est  calé sur la tige 523 du piston, par exemple à  l'aide de goupilles 542     (tig.    16 et 17).  



  La saillie 537 sert     seulement    au guidage  du chariot 541, alors que la saillie 538 rem  plit la même fonction et porte, en outre, une  douille 543 dans laquelle est tourillonné un  prolongement de l'arbre 451. Le prolongement  porte un manchon 546 engagé     dans    la douille  543 et qui porte un disque supérieur 547. Un  téton 548 est monté sur le disque 547 et. est  excentré par rapport     àl.'arbre    451. Ce téton  porte un doigt, coaxial 549 pouvant tourner  dans le chariot 541. Lorsque l'arbre 451  tourne, la tige 523 est. déplacée suivant un  mouvement alternatif, ce qui entraîne le pis  ton 518 suivant un mouvement de va-et-vient  pour refouler de l'eau depuis la lumière d'en  trée 507 dans le conduit de     décharge-    503.

   On  rappelle que l'arbre 451 est relié à l'arbre 303  qui est entraîné par le moteur 66.  



  A la     fig.    16, le chariot 541 est au bout de  sa course vers la gauche, alors qu'à la     fig.    17,  il est au bout de sa course vers la droite, par  rapport à ces figures.  



  La soupape de retenue 80 est montrée à la       fig.    38 et surtout à la     fig.    1.3. Elle est placée  entre la pompe auxiliaire 75 et le distribu  teur 72 du diaphragme pour     eommander    l'in  tervention de cette pompe.

   Elle     comprend    un  corps 556 sur lequel sont. branchées cinq dé  rivations, notamment une     admission.    princi  pale 557 reliée par un raccord 558 à. un con  duit 561 partant de la lumière de     sortie    381  de la commande mécanique et     automatique     70, une admission auxiliaire 562 reliée par un  raccord 563 au conduit. 503 partant de la dé  charge de la pompe auxiliaire 75, une sortie  principale 566 reliée par un raccord 567 au  conduit ou tube flexible 181 aboutissant     au     distributeur 72 du diaphragme, une sortie se  condaire 571 reliée par un raccord 572 à un  conduit 507 aboutissant. à.

   l'admission de la  pompe 75 et une sortie tertiaire 568 reliée      par un raccord 569 au conduit 477 aboutissant  au dispositif interrupteur<B>716</B> du débit d'eau.  



  Une soupape à bille 576 est logée dans une  chambre centrale 577 du corps 556 et poussée  vers son siège 578 par     tin    ressort 581 inter  calé entre la bille 576 et un collet 582 appli  qué contre l'extrémité interne du raccord 567.  



  Une deuxième soupape à bille 586, logée  dans la sortie 562, est poussée vers l'extrémité  interne du raccord 563, formant un siège pour  cette bille, par un ressort 587 intercalé entre  cette bille 586 et un épaulement 588 de l'en  trée 562.  



  Quand l'eau d'alimentation, admise depuis  le conduit 561, a une pression suffisante pour  que la pompe auxiliaire n'ait pas à intervenir,  cette eau écarte la bille 576 du siège 578 et  elle peut s'écouler directement. vers le distri  buteur 72 et derrière le diaphragme, comme  expliqué plus haut. Dans ces conditions et  par suite de la relation existant entre le débit  de la soupape et des communications     abo-a-          tissant    au diaphragme 55 et celui de la sortie  571, une quantité     insuffisante    d'eau traverse  cette sortie pour que la pompe auxiliaire 75  puisse fonctionner efficacement, de sorte que  son piston se déplace suivant un mouvement  alternatif, mais à vide.  



  Toutefois, si la pression de l'eau débitée  par le conduit 561 n'est pas     suffisante    pour  refouler convenablement le diaphragme ou si,  pour une raison quelconque, cette pression  baisse pendant que le diaphragme est refoulé  dans la cuve, la bille 576 reste appliquée sur  son siège ou s'applique aussitôt sur son siège  et, dans ce cas, l'eau admise s'écoule, par la  sortie 571 et le conduit 507, vers la pompe  auxiliaire 75. La. pompe débite par le conduit  503, écarte la bille 586 de son siège, de sorte  que l'eau peut pénétrer dans la chambre cen  trale 577 et s'écouler par la sortie vers le dis  tributeur 72, ce qui maintient la pression agis  sant sur le diaphragme 55 à une valeur con  venable.  



  Le mécanisme de décharge 76 est réglé de  manière à. rester inactif pour les pressions  normales qui interviennent pour refouler le  diaphragme 55 en vue d'obtenir l'essorage    efficace du linge. Quand une pression maxi  mum choisie est atteinte, le mécanisme de dé  charge intervient pour la raison. que les pres  sions, agissant sur le diaphragme et transmises  par la sortie 568 et le conduit 477, provoquent  le fonctionnement du mécanisme 76 et du  verrou 411, comme décrit ci-dessus, en vue  d'interrompre l'alimentation d'eau depuis la  commande mécanique et automatique 70.  



  Le distributeur d'eau chaude 82, dont le  contour a été seulement indiqué dans les       fig.    1, 5 et 38, est constitué     comme    à l'ordi  naire et il n'est pas nécessaire de le décrire  en détail. Il comporte, d'une manière géné  rale, une boîte 591 avec une entrée d'eau  chaude 592, une entrée d'eau froide 593 et  une sortie 596 pour l'eau tiède. L'entrée d'eau  chaude 592 est reliée, par un conduit 601       (fig.    38) à la sortie 381 de la commande  automatique 70. On rappelle que cette sortie  381 communique avec la chambre 399 de cette  commande et que celle-ci est reliée à son tour,  par le conduit 406,à une source d'eau chaude  appropriée.

   L'entrée d'eau froide 593 est re  liée, par le conduit 602, à la sortie 382 de la  commande automatique 70, et cette sortie com  munique, à son tour, par la chambre 400,  avec le tuyau flexible 407 provenant d'une  source d'eau froide appropriée.  



  Un axe 597 est orienté vers le haut depuis  des moyens de réglage thermostatique logés  dans la boîte 591 et qui règlent le mélange  d'eau chaude et d'eau froide. Une manette  598 est fixée sur cet axe 597 et peut être dé  placée par l'opérateur, de manière que l'eau  soit débitée, à la température voulue, dans la  cuve 46 par un conduit 603 qui aboutit au ré  servoir de savon 83, ce réservoir étant relié,  par le tube 164 et le raccord 156 dont il a été  parlé plus haut     (fig.    33), à la cuve 46.  



  Le réservoir de savon 83, montré dans les       fig.    1, 5 et 38, comporte un couvercle amovi  ble 606 pour une boite dont la paroi latérale  607 est en verre, cette paroi reposant sur un  fond 608. L'ensemble     est    fixé sur la paroi la  térale 99 de la caisse par un ou plusieurs sup  ports 609. Le tuyau 603 aboutit à un raccord      d'entrée 611 fixé sur le fond 608 et un rac  cord de sortie voisin 612 est relié au tube 164.  



  L'entrée 611 communique avec une cham  bre 612 recouverte d'une plaque annulaire et  perforée 614. L'entrée est séparée de la sortie  par un cylindre 615 qui est surmonté d'un  tamis 616.  



  Du savon sec, en poudre ou en flocons et  en quantité suffisante pour une lessive, est  introduit dans la boîte 607. L'eau pénètre  dans cette boîte 607 par la plaque perforée  614 et en traversant le tamis vers la sortie  612 dissout le savon et entraîne celui-ci vers  la cuve 46.  



  Comme la paroi latérale de la boîte 607  est en verre et comme toute l'eau qui pénètre  dans la cuve 46 pour le lavage, l'écumage et  le rinçage doit passer par le réservoir de sa  von, l'opérateur peut surveiller en cet endroit  la condition de fonctionnement de la machine.  



  Quand le couvercle supérieur 45 est posé  sur la caisse pendant que la machine fonc  tionne, un voyant 617 peut être établi dans la  paroi latérale de ce couvercle, afin que l'opé  rateur puisse observer le réservoir de savon  à travers ce voyant.  



  Un distributeur à flotteur et une com  mande articulée sont utilisés pour régler  automatiquement le remplissage initial de la  cuve 46 en interrompant l'alimentation d'eau  quand un niveau convenable de l'eau est  atteint dans cette cuve et pour déclencher  automatiquement le cycle des opérations en  fermant l'interrupteur qui     commande    le cir  cuit du moteur 66.  



  On voit dans les     fig.    1, 5, 18, 19 et 38 que  le distributeur à flotteur 85 comprend une  paroi latérale cylindrique 621 fixée à la paroi  latérale 99 de la caisse par un support 622,  un couvercle 623 et un fond 626. Un raccord  627, monté sur le fond 626, sert d'appui à un  tube flexible 628 et forme, en même temps,  un guide pour une tige coulissante 631 por  tant un flotteur creux et cylindrique 632. Le  tube flexible 628 aboutit à un conduit 630  qui débouche dans la cuve 46 et qui est relié  à celle-ci par un raccord analogue à celui dé  signé par 156     (fig.    33).

      La tige 631 est articulée, à son extrémité  supérieure, qui dépasse hors de la chambre  à flotteur, par un pivot 633 (fi-.<B>19) à</B> une  extrémité d'un levier 636 qui peut osciller  autour d'un point intermédiaire par rapport  à un support 638 fixé sur le couvercle 623.  L'autre extrémité du levier 636 est articulée à  une biellette 642 qui fait partie de     l'ensemble     articulé 92. La biellette 642 aboutit au voisi  nage d'un levier 648, en forme de     L,    qui pi  vote autour     d'un    axe horizontal établi entre  les branches 652 d'un support en forme de<B>U,</B>  fixé à la paroi 99 de la caisse. Le levier 648  comprend un bras latéral 647 et un bras ver  tical 649.  



  Un bras de verrouillage 656     (fig.    18) com  porte une extrémité 657 qui se trouve à côté  du bras vertical 649, alors que son autre  extrémité est fixée à un cliquet 658 articulé,  par un pivot, au couvercle de la     chambre    à  cames 306. Une lamelle élastique 662, reliée  au cliquet 658, prend normalement appui sur  une des parois latérales 99 de la caisse pour  s'opposer à un mouvement dans le sens des  aiguilles de la montre, du bras 656 et du     cli-          quet    658 autour de l'axe du pivot 661, par  rapport à la     fig.    18.

   Un bras d'un levier  coudé 667, fixé sur un axe 668 tourillonné  dans la chambre à. cames 306, forme un ver  rou propre à retenir le     cliquet    658. L'autre  bras du levier coudé forme une fourche 681  qui entoure l'extrémité du bras de commande  de l'interrupteur auxiliaire 87. Cet interrup  teur est constitué de toute manière appropriée  et son organe de commande est sollicité par  un ressort vers une position pour laquelle  l'interrupteur est fermé et pour laquelle le le  vier coudé 667 est hors contact du cliquet. 658.  



  L'extrémité supérieure de l'axe 668 porte  une manette 683 que l'on peut. déplacer     au-          dessus    d'un cadran à repères non représenté.  Dans la     chambre    306, l'arbre 668     (fig.        1.9    et  20) porte une paire d'ergots radiaux 686 et  687 engagés respectivement dans des enco  ches 688 et 689 ménagées dans les     poussoirs     338 et 339 pour pouvoir déplacer ces poussoirs  indépendamment des cames correspondantes  351 et 352, par suite des déplacements de la      manette et du levier coudé     66"t,    pour déclen  cher les débits de l'eau chaude et de l'eau  froide pour remplir la cuve -16 au début des  opérations.  



  Comme les opérations obtenues par la com  mande     entièrement    automatique seront dé  crites en détail ci-après, on n'insistera pas da  vantage sur le fonctionnement: de ce distri  buteur à flotteur et sur cet ensemble articulé.  



  Dans les     fig.    18 et 21 et plus spécialement  clans les fi-. 8 et 9, on a montré le dispositif  de commande automatique pour l'interrup  teur principal 86. Ce dispositif comprend une  tige verticale 692 articulée, à son extrémité  inférieure, à un     organe    de commande d'un  interrupteur, alors que son     extrémité    supé  rieure porte un bouton 696.     L'interrupteur     n'a pas été montré en détail, car il est du  type     ordinaire,    son organe de commande 693       agissant    sur cet interrupteur par l'intermé  diaire d'un     basculeur.    Un collet 698, calé sur  la.

   tige 692, est relié à     l'extrémité    supérieure  d'un ressort de traction 701 dont     l'extrémité     inférieure est reliée à un guide fixe 702, de  sorte que la tige 692 est sollicitée normalement  vers le bas pour ouvrir le circuit par l'inter  médiaire de l'interrupteur 86. Un levier 706  est articulé, par un pivot horizontal 707, à  une oreille 708 montée sur le couvercle de la  chambre à cames 306, et     l'extrémité    libre 712  de ce levier a la forme d'une fourche qui     clre-          v        auche    la tige 692 et qui repose sur la face  supérieure du collet 698.

   Le levier 706 porte  un ergot 713 destiné à coopérer avec un bras  716     (fig.    8) calé sur l'arbre à cames verti  cal 356.  



  Pour fermer l'interrupteur 86, on déplace  la tige 692 vers le haut en vue de commander  le bras     basculeur    693 de l'interrupteur et en  même temps soulever le collet 698 et le levier  706, ce qui     amène    l'ergot 713 à sa position  basse. Les organes restent dans leurs posi  tions     respectives    au cours du fonctionnement  de la machine. Le bras 716 occupe une posi  tion telle, par rapport aux bossages des cames  351--354, qu'après     lin    cycle complet d'opéra  tions, qui peut ou qui peut ne pas correspon  dre à un tour complet de l'arbre à cames 356,    le bras 716 vient en contact avec l'ergot 713  pour déplacer la tige 692 vers le bas en vue  d'ouvrir l'interrupteur 86 et interrompre  ainsi le circuit du moteur 66.  



  La machine ainsi constituée fonctionne       comme    suit:  Au début des opérations, le linge ou les  vêtements secs sont introduits dans la. cuve 46  et le couvercle 47 de celle-ci est mis en place  avec serrage, après quoi on introduit une  quantité     convenable    de savon dans le réser  voir 83 et on le ferme à l'aide de son cou  vercle 606.  



  La manette 598     (fig.    5) qui règle le débit  d'eau chaude est déplacée de manière que  l'eau utilisée pour la lessive ait la tempéra  ture voulue. A cet effet, le cadran devant le  quel se déplace la manette 598 comporte des  repères appropriés.  



  On déplace ensuite la manette 435 avec  son index 438, de manière que ce dernier se  trouve en     regard.du    repère de l'échelle     gra-          chiée    439 (fi-. 37) qui indique la. période de  temps pendant. laquelle le linge sera soumis  au lavage, cette période dépendant entre  autre de la nature, de la couleur, de l'état et  de la quantité de vêtements du degré de du  reté ou de douceur de l'eau ou d'autres con  sidérations que l'on observe par ,expérience  et qui affectent la durée du lavage dans cha  que cas particulier.

   Par le déplacement angu  laire de la manette 435, on modifie les posi  tions des bossages des cames 351-354 par  rapport aux galets des poussoirs correspon  dants, comme     expliqué        ci-dessus    à l'aide des       fig.    12 et 15.  



  On agit ensuite sur la manette 683     polir     l'amener à sa position de  remplissage  et on  ouvre ensuite les distributeurs à eau chaude  et à eau froide dans la commande mécanique  et automatique 70 et cela indépendamment  des cames 351 et 352, comme     expliqué        phis     haut. En même temps, on ouvre l'interrup  teur auxiliaire 87     (fig.    21) du circuit. du mo  teur.  



  On soulève alors le bouton 696 qui com  mande     l'interrupteur    principal 86 pour fer  mer le circuit du moteur.      A partir de ce moment, l'opérateur peut  abandonner la     machine    à elle-même, car les  différentes     commandes    automatiques, décrites  plus haut,     interviennent    pour régler le fonc  tionnement de la machine pour un cycle entier  d'opérations, c'est-à-dire:  a) pour remplir la cuve 46 avec la quan  tité voulue d'eau;  b) pour interrompre l'alimentation d'eau;  c) pour alimenter le moteur afin que ce  lui-ci puisse actionner la cuve 46;

         d)    pour ouvrir un ou plusieurs distribu  teurs par lesquels de l'eau additionnelle est  introduite dans la cuve en vue d'obtenir  l'expulsion des écumes et de l'eau de lavage  qui se     trouvent    dans la partie supérieure de  celle-ci;  e) pour fermer les distributeurs d'eau;  f) pour ouvrir les soupapes de vidange:       g)    pour ouvrir les distributeurs d'eau en  vue d'admettre l'eau de rinçage;       la)    pour fermer les soupapes de vidange;  i) pour fermer les distributeurs d'eau de  rinçage;  j) pour ouvrir les soupapes de vidange;  k) pour admettre de l'eau dans le distri  buteur du diaphragme en vue d'obtenir l'esso  rage du linge par refoulement du dia  phragme;

         l)    pour évacuer l'eau qui se trouve der  rière le diaphragme;       în.)    pour fermer les soupapes de vidange;       n.)    pour actionner la cuve pour remuer  le linge en vue de séparer les pièces les unes  des autres;  o) pour vidanger toute l'eau contenue  dans la caisse extérieure, et  p) pour arrêter le fonctionnement de la  machine par l'ouverture de l'interrupteur  principal à la fin du cycle complet des opé  rations pour que l'opérateur puisse enlever,  hors de la cuve 46, le linge lavé et essoré.  



  Le fonctionnement des différents méca  nismes qui interviennent pour effectuer les  opérations dans l'ordre     susindiqué    sera décrit  maintenant en détail.  



  Quand les distributeurs d'eau chaude et  d'eau froide de la, commande 70 sont ouverts    à la main et     indépendamment    des cames 351  à 354, l'eau chaude passe par le conduit 604       (fig.    38), la commande 70 et le conduit 601  vers le     distributeur    82, alors que l'eau froide  s'écoule par le conduit 607, la commande 70       et:    le conduit 602 vers le même distributeur  82. Dans     celui-ci,    les deux eaux se mélangent  et une eau ayant la température voulue  s'écoule hors du distributeur 82 par le con  duit 603, le réservoir de savon 83 et. le con  duit 164 dans la cuve 46.  



  Quand la manette 683 est déplacée     angu-          lairement    pour ouvrir les tiroirs de la com  mande automatique 70, en vue de permettre  le remplissage de la. cuve, cette même     manoeu-          vre    amène l'extrémité du levier Boudé 667       (fig.    18) en contact avec le verrou 668 con  tre l'action du ressort 662 pour que la ma  chine soit dans une condition pour laquelle  on obtient. l'arrêt automatique du remplis  sage, quand une quantité convenable d'eau  est introduite dans la cuve, et la mise en mar  che du moteur 66 par la soupape à flotteur 85.  



  Quand l'eau monte dans la cuve, le flot  teur 632     (fij.    19) monte également, ce qui  oblige la tige 631 à incliner le levier 636  autour de son pivot en abaissant ainsi la     biel-          lette    642. Quand le niveau voulu de l'eau est  atteint, la biellette 642 a déplacé le levier 648  autour de son pivot d'un angle suffisant pour  que le bras vertical 649     puisse    venir en con  tact avec l'extrémité libre du bras de verrouil  lage 656.

   De cette manière, ce dernier est dé  placé, à l'encontre de l'action de la lamelle  élastique 662, dans le sens des aiguilles de la  montre par rapport à la     fig.    18, ce qui écarte  le cliquet 658 du levier coudé 667 qui tourne  alors, sous l'action d'un ressort non représenté,  dans le sens inverse des aiguilles de la montre  par rapport à la     fig.    18 en fermant. les dis  tributeurs d'eau chaude et d'eau froide et en  ramenant les poussoirs 338 et 339     (fig.    12) à  leurs positions normales pour lesquelles les  galets     345-346    viennent respectivement en  contact avec le bord des cames 351 et 352, tout.  en fermant l'interrupteur auxiliaire 87 pour  compléter le circuit d'alimentation du mo  teur 66.

        De cette manière, la cuve 46 se met en  mouvement en effectuant le déplacement  oscillant expliqué plus haut et en même temps  on obtient la mise en marche de la pompe  centrifuge ,67     (fig.    1), afin que celle-ci soit  prête à évacuer toute l'eau. qui est recueillie       sur    le fond de la caisse 41. La rotation du  moteur est également transmise à l'arbre 303  qui entraîne l'arbre à cames 356. Cet. arbre  303, à son tour, fait tourner le disque excen  tré 547     (fig.    15-17) par lequel le piston 518  de la pompe auxiliaire est mis en mouvement,  comme expliqué plus haut.  



  En ce qui concerne le réglage angulaire  des cames, pour que l'on obtienne une période  de lavage prédéterminée, on règle simplement       les    positions de ces cames par rapport. aux  galets des poussoirs afin qu'une certaine pé  riode de temps s'écoule avant que les premiers  bossages 421 viennent en contact avec leurs  galets. ,  Dans ce qui précède, on a parlé des bos  sages 421 et on rappelle que les cames 351 et  352 sont identiques, mais servent respective  ment à commander les distributeurs d'alimen  tation d'eau chaude et d'eau froide.

   Après que  l'opérateur a réglé la position de l'arbre à  cames 356 pour obtenir la période de lavage  désirée, la séquence et la durée des opérations  ultérieures sont déterminées par les positions  données aux diverses cames par lesquelles les  opérations respectives sont déclenchées et  arrêtées.  



  Quand les bossages 421     viennent    en con  tact avec les galets 345 et 346, les. distribu  teurs d'eau chaude et d'eau froide de la com  mande mécanique et. automatique 70 sont  ouverts et restent. ouverts pour qu'une quan  tité d'eau suffisante, suivant le même trajet  que celui adopté pour le remplissage de la  cuve, soit admise dans cette dernière pour  expulser les écumes et les matières étran  gères qui se sont accumulées à la partie     supé-          rieure    de l'eau de lavage.

   Cette opération est  connue sous le nom     d' éciunage     et l'eau       expulsée    avec les matières qu'elle entraîne  s'écoule par les trous 126     (fig.        2---4),    ménagés  dans la partie supérieure de la cuve 46, avec    ou sans soulèvement du couvercle 47 de celle-ci  et comme décrit en référence à ces     fig.        2-4.     La longueur périphérique des bossages, ainsi  que celle de tous les autres bossages, est choi  sie de manière qu'elle convienne à la durée  voulue de l'opération particulière envisagée.  I1 en résulte que lorsque les bossages 421 ont.

    dépassé les galets 345 et 346, les distributeurs  d'eau correspondants se ferment, ce qui inter  rompt la période d'écumage.  



  A ce moment, le bossage 423 de la came  353 vient en contact avec son galet 347 pour  mettre la chambre 401 du tiroir 390 en com  munication avec sa sortie 383, de sorte que  l'eau chaude s'écoule,     depuis    la chambre 400  du tiroir 389 et qui est alimentée par le con  duit 407, par le passage 408     dans    ladite cham  bre 401 et     ensuite    par la sortie 383 et par le  conduit 246     (fig.    38) vers les soupapes de vi  dange 81 établies dans les chicanes 52.

   De  cette manière, on fait monter le piston 248       (fig.    29) qui entraîne le registre 226 vers le  haut, de sorte que l'eau d'écumage s'écoule  hors de la cuve 46 par les ouvertures 233 jus  que dans la. caisse 41 hors de laquelle elle est  évacuée par la pompe centrifuge 67, fonction  nant d'une manière continue, qui déverse cette  eau en un point voulu, par exemple dans une  cuve fixe ou dans un égout. Il est à, noter  que la cuve 46 oscille constamment pendant  la vidange, de sorte qu'elle peut se vider ra  pidement et convenablement.  



  Un peu avant la fermeture des soupapes  de vidange 81, ce qui est obtenu lorsque le  bossage 423 dépasse son galet, les bossages  422 des cames 351 et 352 viennent en contact  avec les galets 345 et 346 pour agir sur les  distributeurs d'eau chaude et froide, afin  qu'une eau tempérée soit introduite à nouveau  dans la cuve 46, comme expliqué plus haut.  Ainsi débute la période de rinçage, et l'eau  introduite en premier lieu peut s'écouler hors  de la cuve en entraînant avec elle une quan  tité minime d'eau de lavage qui peut encore  rester dans la cuve.

   Quand le bossage 423 a  dépassé son galet, les soupapes de     vidange    se  ferment et la cuve se remplit avec de l'eau de       rinçage    qui déborde par les trous 126 et 127,      ménagés dans la partie supérieure de cette  cuve, avec ou sans soulèvement du     couvercle     47, suivant le cas. Pendant que l'eau de rin  çage traverse la cuve, celle-ci continue son  mouvement oscillant, de sorte que le linge est  soigneusement rincé en étant remué dans cette  eau fraîche et propre.  



  A ce moment, le bossage 424 de la came.  353 et le bossage 427 de la came 354 viennent  simultanément en contact avec leurs galets  respectifs 347 et 348. Le bossage 424 agit à  nouveau sur les distributeurs ou soupapes 81  des chicanes, en     vue    d'assurer la vidange de la.  cuve, comme décrit     phis    haut, alors que le bos  sage 427 refoule le poussoir 3'70, etc., pour que  de l'eau froide soit admise par le passage 408  dans la chambre 402, par la sortie 384, le  conduit 561 et la soupape de retenue 80, d'où  cette eau s'écoule par le conduit 181 vers le  distributeur 72 du diaphragme, afin que l'eau  soit admise derrière le diaphragme 55 pour  refouler celui-ci et pour le presser contre 'la  masse du linge rincé en vue de l'essorer.

   On a  expliqué plus haut comment la pompe auxi  liaire intervient pour augmenter la pression  de l'eau admise si et quand cela est nécessaire.  



  Pendant cette opération, le linge est pressé  contre le couvercle 47 de la cuve. L'eau  s'échappe hors de la partie supérieure de  celle-ci par les trous de vidange 233. Cette  compression du linge provoque, si nécessaire,  le soulèvement du couvercle de la cuve pour  amener les trous 126 et 127 en regard les uns  des autres pour obtenir la. vidange. Pendant  ces opérations, les mouvements de la     clive    con  tinuent, de sorte que toute l'eau est rapide  ment évacuée.  



  Il est évident que plusieurs des com  mandes automatiques peuvent être suppri  mées, si on le désire, par exemple la com  mande par flotteur pour la mise en     marelle     automatique, et elle peut être remplacée par  un mécanisme de commande à temps puisque  la machine est destinée à recevoir de l'eau  avec un débit connu. Divers autres organes  peuvent être omis, tels que le mélangeur  d'eau froide et d'eau chaude ainsi que le ré  servoir de savon. De plus, dans les localités où    la pression d'eau n'est jamais trop faible pour  faire fonctionner convenablement le dia  phragme, la pompe auxiliaire peut être omise.  De même, quand la machine est raccordée en  permanence à l'égout, la pompe centrifuge  n'est     phis    nécessaire.

   L'essorage peut être  obtenu par d'autres moyens qu'un diaphragme  extensible en caoutchouc, et d'autres méca  nismes peuvent être utilisés pour obtenir les  différentes opérations envisagées. Plusieurs  fonctions, décrites plus haut, peuvent être  combinées, et c'est ainsi que l'interrupteur  auxiliaire pourrait être éliminé et sa com  mande agir sur l'interrupteur principal pour  la mise en marche automatique du moteur.  Les opérations d'écumage et de rinçage pour  raient être combinées, ce qui supprimerait       tolite    l'opération du premier rinçage. Dans ce  dernier cas, l'admission de l'eau de rinçage  par le fond de la cuve et l'évacuation par les  trous de la partie supérieure de celle-ci ser  viraient an refoulement de toute l'eau de la  vage pendant les périodes d'écumage et de  rinçage combinées.  



  Une variante polir obtenir     l'évacuation     des écumes et matières étrangères sans     devair     introduire de l'eau dans la cuve contenant le  linge lavé consiste à ajouter un court bossage  à la came 354 pour déclencher un soulèvement  partiel du diaphragme en vue de refouler la  masse d'eau dans la cuve pour provoquer son  débordement par des trous d'évacuation supé  rieurs. Quand cette opération s'est poursuivie  pendant un temps déterminé, le distributeur  72 du diaphragme intervient pour permettre  la décharge de l'eau derrière le diaphragme,  de sorte que la partie restante du cycle com  plet peut se faire de la manière décrite. Il est.

    évident que, pour un tel écumage, on pourrait  supprimer les bossages 421 qui, pour l'exem  ple montré, servaient à ouvrir les tiroirs ou  soupapes débitant l'eau d'écumage.  



  Diverses modifications constructives peu  vent être envisagées. Par exemple, on pour  rait adopter d'autres méthodes que celle dé  crite pour agiter le linge et l'eau pendant  l'opération de lavage. De plus, le couvercle 47  ne doit pas nécessairement être concave,      comme montré; il peut également. être plat ou  convexe.

Claims (1)

  1. REVENDICATIONS I. Procédé de lavage au moyen d'une ma chine à laver, caractérisé en ce qu'on intro duit du liquide de lavage dans le comparti ment destiné à recevoir les pièces à laver dans la cuve de la machine à laver, on agite le contenu de la cuve, on refoule les matières étrangères hors de la cuve, on admet du liquide frais dans la cuve pour le rinçage, on diminue la capacité dudit compartiment pour la vidange du liquide et des matières étran gères qui flottent sur celui-ci et qui sont en suspension dans ce liquide, et on comprime lesdites pièces pour en expulser l'eau. II.
    Machine à laver pour la mise en ceuvre du procédé selon la revendication I, caracté risé en ce qu'elle comporte une cuve, suscep tible de recevoir les pièces à laver et les liquides nécessaires au lavage, cette cuve com prenant, à sa partie supérieure, au moins un orifice de vidange et contenant des moyens permettant de diminuer sa capacité, disposés de manière à agir dans une direction telle que l'on puisse expulser hors de la cuve et par ledit orifice de vidange supérieur le liquide qu'elle contient, ainsi que les matières étran gères qui sont en suspension dans ce liquide, lesdits moyens étant susceptibles également de servir à l'essorage des pièces lavées, des moyens, entrainés par un moteur,
    permettant de pro voquer l'agitation du contenu de ladite cuve. <B>SOUS-REVENDICATIONS:</B> 1. Procédé selon la revendication I, carac térisé en ce qu'on vidange le liquide, expulsé par suite du refoulement du contenu de la cuve, par une sortie ménagée dans la partie supérieure de celle-ci. 2. Procédé selon la revendication I, carac térisé en ce qu'on effectue l'écumage et l'expulsion du liquide par une diminution de la capacité du compartiment de la cuve con tenant. les pièces à laver, de manière à refou ler la masse de liquide et les matières étran gères flottant sur celui-ci ou en suspension dans ce liquide, hors de ce compartiment par une sortie de vidange ménagée dans la partie supérieure de ladite cuve. 3.
    Procédé selon la revendication I, carac térisé en ce qu'on effectue l'éciunage et l'expulsion du liquide en admettant. une quan tité suffisante de liquide dans le comparti ment de la cuve contenant les pièces à laver, de manière que le liquide et les matières étran gères flottantes et en suspension puissent dé border hors de la cuve par une sortie de vi dange ménagée dans la partie supérieure tic celle-ci. 4.
    Procédé selon la revendication I, carac térisé en ce qu'on effectue l'écumage et l'expulsion du liquide en admettant du liquide supplémentaire dans le compartiment de la cuve contenant les pièces à laver, après que le liquide de lavage a été refoulé hors de ce compartiment, l'expulsion de ce liquide sup plémentaire se faisant par un orifice de vi dange ménagé dans la partie inférieure de la dite cuve. 5. Procédé selon la revendication 1, carac térisé en ce qu'on poursuit l'introduction de liquide supplémentaire en vue d'obtenir le rin çage des pièces lavées. 6. Procédé selon la revendication I, carac térisé en ce qu'on admet le liquide de rinçage en quantité telle qu'il se produit un déborde ment continu de la cuve pendant que le rin- cage a lieu. 7.
    Procédé selon la revendication I, carac térisé en ce qu'on effectue l'aftation du con tenu de la cuve également au cours de l'écu mage, du rinçage et de l'expulsion du liquide et des matières étrangères. 8. Procédé selon la revendication I, carac térisé en ce qu'on effectue automatiquement les interventions successives et dans l'ordre voulu d'au moins deux des opérations à effec tuer. 9.
    Machine selon la revendication II, ca ractérisée en ce qu'elle comporte des moyens permettant d'introduire du liquide dans la cuve pour expulser le liquide qu'elle contient ainsi que les écumes et matières étranères portées par ce liquide, par des trous de vi- dange ménagés dans la partie supérieure de cette cuve. 10.
    Machine selon la revendication i I et la sous-revendication 9, caractérisée en ce qu'elle comporte des moyens permettant d'ad mettre dans la. cuve une quantité de liquicle telle qu'elle puisse refouler la masse du li quide ayant servi au lavage et qu'elle puisse ensuite faire déborder la cuve soifs forme d'un courant continu pendant l'opération de rincage. 11.
    Machine selon la revendication Il et les sous-revendications 9 et 10, caractérisée en ce qu'elle comporte des moyens agitateurs, disposés de manière à pouvoir intervenir au cours d'au moins une des opérations de la vage, de rinçage, d'écumage et de refoulement du linge contenu dans la cuve et également pendant l'essorage de ce linge par les moyens qui compriment ce linge. 12. Machine selon 1a revendication II, ca ractérisée en ce que la cuve comporte égale ment un orifice de vidange ménagé dans sa partie inférieure. 13.
    Machine selon la revendication II, ca ractérisée en ce qu'elle comporte des moyens permettant d'introduire du liquide dans la cuve pendant que l'orifice de vidange infé rieur est ouvert, afin que les matières étran gères puissent être évacuées hors de la cuve par cet orifice. 14. Machine selon la revendication II, ca ractérisée en ce que le liquide de lavage est introduit dans la cuve par un orifice situé au voisinage du fond de celle-ci. 15. Machine .selon la revendication II, ca ractérisée en ce que les orifices de vidange supérieurs sont. constitués par des trous prévus dans un couvercle de la cuve. 16. Machine selon la revendication II, ca ractérisée en ce que lesdits moyens pour di minuer la capacité de la cuve sont constitués par lin diaphragme flexible. 17.
    Machine selon la revendication II, ca ractérisée en ce que lesdits moyens pour di- riiinuer la capacité de la cuve sont disposés de manière à pouvoir fonctionner à l'aide d'un liquide sous pression. 18. Machine selon la revendication II, ca ractérisée en ce que lesdits moyens pour di minuer la capacité de la cuve subdivisent la cuve en un compartiment destiné à recevoir le linge et le liquide de lavage et un compar timent destiné à recevoir du liquide sous pression. 19. Machine selon la revendication II et la sous-revendication 17, caractérisée en ce qu'elle comprend une pompe destinée à four nir le liquide sous pression. 20.
    Machine selon la revendication II et les sous-revendications 17 et 19, caractérisée en ce qu'elle comprend un moteur unique ser vant à entraîner la pompe débitant le liquide sous pression et. à assurer L'agitation du con tenu de la cuve. 21. Machine selon la revendication II, ca ractérisée en ce qu'elle comprend des moyens permettant de maintenir les moyens pour di minuer la capacité de la, cuve pendant un cer tain temps sous une pression voisine de la pression maximum obtenue par l'admission du liquide sous pression, avant que cette pres sion soit relâchée. 22.
    Machine selon la revendication II, ca ractérisée en ce que lesdits moyens pour pro voquer l'agitation sont disposés de manière à pouvoir faire osciller la cuve, dans laquelle sont établies des chicanes. 23. Machine selon la revendication II et la sous-revendication 22, caractérisée en ce que lesdits moyens maintiennent, ledit mouvement de la cuve pendant le fonctionnement de la machine. 2-1. Machine selon la revendication II et. la sous -revendication 22, caractérisée en ce que lesdites chicanes sont établies le long des pa rois latérales de la cuve et s'étendent depuis la partie supérieure jusqu'au fond de la clive.
    25. llacliine selon la revendication II, ca ractérisée en ce qu'elle comporte des moyens de commande permettant. d'exécuter automa tiquement un cycle complet d'opérations, cons titué par le lavage, l'écumage pour l'expulsion des matières étrangères, le rincage, la vidange et l'essorage, dans l'ordre. 26. Machine selon la. revendication Il et la sous-revendication 25, caractérisée en ce due lesdits moyens de commande sont susceptibles d'être réglés de manière à faire varier la durée d'au moins une de ces opérations suc cessives. 27.
    Machine selon la revendication Il et la sous-revendication 25, caractérisée en ce que lesdits moyens de commande sont susceptibles d'être réglés de manière à permettre de faire varier les conditions d'exécution d'au moins une opération du cycle.
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