CH301880A - Machine pour le perçage automatique de filières. - Google Patents

Machine pour le perçage automatique de filières.

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CH301880A
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CH
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Textile Chemical Resea Limited
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Textile & Chem Res Co Ltd
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    • BPERFORMING OPERATIONS; TRANSPORTING
    • B21MECHANICAL METAL-WORKING WITHOUT ESSENTIALLY REMOVING MATERIAL; PUNCHING METAL
    • B21DWORKING OR PROCESSING OF SHEET METAL OR METAL TUBES, RODS OR PROFILES WITHOUT ESSENTIALLY REMOVING MATERIAL; PUNCHING METAL
    • B21D31/00Other methods for working sheet metal, metal tubes, metal profiles
    • B21D31/02Stabbing or piercing, e.g. for making sieves

Landscapes

  • Engineering & Computer Science (AREA)
  • Mechanical Engineering (AREA)
  • Perforating, Stamping-Out Or Severing By Means Other Than Cutting (AREA)

Description


  Machine pour le perçage     automatique    de     filières.       Les filières     utilisées    dans la fabrication  des textiles artificiels à partir de solutions  alcalines avec utilisation de bains acides sont  généralement en métaux précieux, notamment  en platine, seul ou allié à d'autres métaux.  Ces filières sont constituées par des capuchons  comportant des trous multiples très fins,  ayant un diamètre de l'ordre de     0,5-0,10    mm,  et qui sont généralement disposés sur plu  sieurs cercles concentriques sur la face plate  de la filière, soit avec répartition uniforme  des trous, soit selon des dessins spéciaux lais  sant des zones non percées.  



  Dans la grande majorité des cas, le per  çage des filières s'effectue par poinçonnage.  Le capuchon à percer est placé à l'envers sur  un matelas en matière plus molle, par exem  ple en aluminium, et un poinçon dur, de  forme et de dimensions appropriées, est en  foncé     axialement    dans le fond aux endroits  à percer. Le métal est refoulé extérieurement  par l'enfoncement du poinçon, et vient for  mer un     bossage.    Lorsque le poinçonnage est       terminé,    on effectue un polissage abrasif exté  rieur enlevant les bossages, ce qui dégage les  trous, puis diverses opérations de finissage.  



  Le poinçonnage a été effectué jusqu'ici  manuellement au moyen d'un levier dont  l'extrémité libre est     manoeuvrée    par un ou  vrier spécialisé. Le capuchon est placé dans  une monture susceptible de tourner. L'espace  ment est déterminé par le mouvement d'un    plateau diviseur représentant à une échelle  très agrandie le schéma de perçage, et par l'in  termédiaire d'un     stylet-tâteur    relié à la mon  ture du capuchon.  



  Malgré tout l'habileté manuelle de l'ou  vrier perceur, l'impulsion donnée au poinçon  varie sensiblement d'intensité d'un coup à  l'autre. L'invention a pour but d'éliminer ces  inconvénients et ce au moyen d'une machine  pour le perçage automatique de filières, qui  se caractérise en ce qu'elle comprend un sup  port destiné à recevoir un capuchon à percer.

    pour faire une filière, un plateau rotatif pour  porter le support et un poinçon effectuant des  mouvements de     monte-et-baisse    pour le per  çage dudit capuchon, avec commande positive  à la montée et à la descente sous l'influence  d'un levier chargé, puis des     moyens    pour le  perçage successif des trous et pour     l'excen-          trage        progressif    du plateau.  



  Il convient de noter qu'en plus d'une amé  lioration de la qualité du perçage, les formes  d'exécution préférées de la machine selon l'in  vention permettent de percer plusieurs fois  plus vite, et atteindre des vitesses de perçage  de plusieurs milliers de trous par heure.  D'autre part, comme certaines formes d'exé  cution peuvent fonctionner pratiquement sans  surveillance, grâce aux nombreuses sécurités  assurant l'arrêt automatique en cas de fonc  tionnement défectueux, il est possible d'obte  nir, avec ces formes d'exécution, un rendement      encore accru en laissant la machine fonction  ner pendant les arrêts de travail;

   on peut  ainsi gagner au moins 2 heures par jour de  fonctionnement, soit réaliser une augmenta  tion de rendement, à nouveau, de plus de  25 %, puis étant donné que l'ouvrier manuel  a souvent besoin de petits arrêts dans ce tra  vail extrêmement minutieux, arrêts qui, natu  rellement, diminuent le rendement, la machine  automatique continue à fonctionner toujours  uniformément jusqu'à la fin de sa tâche, ou  jusqu'à ce qu'il se produise un arrêt acciden  tel. On peut utiliser de la     main-d'oeuvre    non  spécialisée. Par ailleurs, la qualité et notam  ment la régularité de perçage est meilleure et  les     capuchons    sont moins déformés, d'où  moindre perte de métal au polissage et épais  seur plus     régulière    des filières.  



  Le dessin annexé représente, à titre  d'exemples, diverses formes d'exécution de la  machine faisant l'objet de l'invention.  



  La     fig.    1 est une élévation de côté, avec  certaines parties en coupe, d'une première  forme d'exécution.  



  La.     fig.    2 est une coupe verticale de la       fig.    1 suivant 2-2.  



  La     fig.    3 est une coupe horizontale de la       fig.    1 suivant     3-3-          La.        fig.    4 se rapporte à une variante et  montre, en perspective, un détail d'un méca  nisme de commande pour le perçage des trous  en cercles concentriques.  



  La     fig.    5 est une coupe verticale partielle  (agrandie) d'un mécanisme d'accélération  pour le passage des zones non percées.  



  La     fig.    6 est un schéma de perçage suivant  des cercles concentriques avec secteurs non  perforés.  



  La     fig.    7 est une vue similaire à la     fig.    6,       mais    correspondant à une disposition des  trous en spirale.  



  La     fig.    8 est analogue à la.     fig.    6, mais  présente, en plus des zones non perforées, des  bandes concentriques non perforées.  



  La     fig.    9 est     iuie    vue partielle d'un poin  çon en mouvement.  



  La     fig.    10 est une coupe verticale d'une  seconde forme d'exécution de la machine.    La     fig.    11 est une vue d'un     plateau-          gabarit    et des dispositifs solidaires représen  tés dans la     fig.    10.  



  La     fig.    12 est une coupe verticale d'une  troisième forme d'exécution de la machine.  La     fig.    13 est une coupe horizontale sui  vant approximativement la ligne 13-13 de  la     fig.    1.2.  



  La     fig.    14 représente     une-    vue détaillée  (agrandie) d'un compteur et dispositif de sécu  rité suivant 11-14 de la     fig.    2.  



  La     fig.    15 est une coupe détaillée d'une  roue libre contrôlant le mouvement de     monte-          et-baisse    du porte-poinçon suivant la ligne  15-15 de la     fig.    3.  



  La     fig.    16 est une vue en coupe d'un dé  tail de la     fig.    5, montrant. le fonctionnement  d'une partie de ce mécanisme.  



  Dans la forme d'exécution de la machine  représentée en     fig.    1, 2, 3,     un    capuchon à  percer 1, par exemple en platine pur, repose  sur une enclume     lb    par l'intermédiaire d'un  support. la. Un poinçon     \?,    fixé dans un     porte-          poinçon        2a    et exactement perpendiculaire à la  surface horizontale du capuchon, est monté  sur une glissière inférieure 3, à rattrapage de  jeu automatique par lardons maintenus en  contact avec la. glissière au moyen de ressorts,  reliée par un joint universel 4 à une glissière  supérieure 5.

   Cette dernière porte une cré  maillère 6 avec une tige rigide 7 en haut, se  terminant par une coupelle 8 destinée à rece  voir une rotule d'appui 9, dont le bras 10  s'articule en 11 avec un levier 12 à point fixe  13. Le levier comporte, de l'autre côté de  l'articulation 11, une partie filetée 11 sur la  quelle se visse un écrou-contrepoids 15, en  vue du réglage de la. pression exercée par le  levier 12. On peut assurer un     micro-réglage     complémentaire au moyen d'une molette 1.6  sur l'extrémité libre du levier 12 ayant un  filetage plus serré. On peut cependant, dans  certains cas, exercer simplement une pression  par poids sur l'articulation 11.  



  Un pignon moteur 19 est. commandé par  un moteur électrique 18, de préférence à vi  tesse réglable. Ce pignon moteur commande à  son tour un engrenage réducteur comportant      trois pignons successifs 20, 21, 22. Ce dernier  porte, sur son axe 23, une came 24 sur la  quelle repose un galet 25 sur un petit axe 26  monté dans l'extrémité fourchue d'un bras  coudé 27, oscillant, d'autre part, sur un axe  28 qui porte, par ailleurs, un pignon 29       (fig.    15)     s'engrenant    avec la crémaillère 6  solidaire de la glissière supérieure 5 dont il a  été question plus haut. La came 24 assure de  la sorte la remontée du poinçon et la charge  du levier assure la descente, contrôlée un  certain temps par la came, puis libre ensuite  pour obtenir sous l'effet de la pesanteur le  poinçonnage désiré.  



  L'enclume     1b    est solidaire d'un plateau 30  lui-même centré sur un disque 31 à couronne  dentée. Le disque 31 a une denture très fine  (600 à. 1200 dents) à la. périphérie, et est.  associé à un autre disque 32 à couronne  dentée.  



  D'autre part, le pignon 22 mentionné     ci-          dessus,    qui porte latéralement la came 24,  porte aussi sur son axe une autre came 33 qui  actionne une fourchette 34 pivotant en 35 et  comportant à l'autre extrémité une rainure       35a.    Dans cette rainure     35a    est engagé un  axe     35b,    fixé à une tige carrée 36, coulissant  dans un tube 37 lui-même coulissant dans un  support. Le tube 37 porte, à son extrémité,  un support 38a sur lequel est articulé un     cli-          quet    38 qui est en prise avec la denture du  plateau 31.

   Pour régler la valeur de l'avance  communiquée     ainsi    à ce plateau par chaque  impulsion du cliquet, les dispositions suivantes  ont, été retenues:  La tige carrée 36, qui reçoit du levier 34  un mouvement de va-et-vient à amplitude  constante, agit sur le tube 37 par l'intermé  diaire d'un ressort 39. Le support     38a    du     cli-          quet    38 porte un     doigt.    latéral     38b    qui, par  son épaulement 38c, vient buter sur une vis  micrométrique 40 fixe. Cette vis limite le mou  vement en amont de l'ensemble coulissant       porte-cliquet    et le ressort 39 se comprime.

    Lors du mouvement en arrière de la. tige 36,  le ressort 39 se détend et l'ensemble coulis  sant     porte-cliquet    est ramené à sa position  de départ à l'aide d'un ressort     40a    de la vis    micrométrique 40 qui repousse le doigt 38b  du support     38a    du cliquet 38.  



  De la sorte, le plateau 31 reçoit une avance  circulaire périodique dont l'amplitude dépend  du réglage de la vis 40.  



  Les deux cames 24 et 33 étant en opposi  tion, lorsque la première soulève le système  porte-poinçon, la seconde provoque alors une  avance circulaire du plateau 31 qui, au con  traire, reste immobile pendant la descente du  poinçon. Comme cette avance est absolument  essentielle pour déterminer l'écartement angu  laire des trous formés par le poinçon 2, il peut  être utile d'avoir deux et même trois cliquets  38 accouplés d'une façon appropriée et dis  posés à distances angulaires égales autour du  plateau 31. De cette façon, la précision  d'avance est accrue et le risque d'erreur même  d'une dent est sensiblement réduit.  



  Le disque 32 est solidaire d'un long bras  41     (fig.    3 plus particulièrement) qui pivote  en 42, point fixe. Ce pivotement horizontal a  pour effet un écartement plus ou moins  grand de l'axe de l'enclume 1b de l'axe du  poinçon 2. Lors du perçage, on peut percer  des trous en cercles concentriques de plus en  plus grands, ou suivant une spirale de plus  en plus large, mais dans les     deux    cas on doit  pouvoir régler l'écartement du centre de la  filière sur l'enclume et de l'axe du     poinçon.     Le rôle de ce réglage incombe au bras     pivo-          table    41.

   Un mécanisme de pivotement est dé  crit ci-après .pour le cas de perçage en cercles  concentriques, ainsi que le représente la     fig.    4.  



  Le bâti fixe de la machine porte une cré  maillère circulaire 43 ayant pour centre l'axe  42 du bras 41     (fig.    3). Un pignon 44 (voir       fig.    4) est en prise avec cette crémaillère 43;  il est solidaire d'un pignon coaxial 44' en  prise avec un cliquet à ressort 46 et freiné  par un doigt 47.  



  Le cliquet à ressort 46 est fixé sur un  petit bloc 48 solidaire d'une tige 49 coulis  sant dans un support 50 en forme de     fourche.     



  Un ressort à boudin 51, s'appuyant, d'une  part, sur une branche du support 50 et,  d'autre part, sur une butée 52 fixée sur la      tige 49, appuie constamment cette dernière  contre une came 54 par un doigt à méplat 53.  



  Le disque 31 sous l'enclume est en prise  par sa denture avec un disque similaire 55,  solidaire d'un pignon conique coaxial 56 agis  sant sur un autre pignon conique 57 à axe  perpendiculaire 58. Cet axe 58 porte un che  min à cames 54 qui, à chaque tour, donne une  impulsion à la tige 49 et donne lieu à une  rotation angulaire déterminée du pignon 44'  et du pignon 44, ce dernier engrenant avec  la crémaillère fixe 43, il en résulte un pivote  ment     angulaire        déterminé    du bras 41 qui  écarte le centre de la filière brusquement  d'une certaine valeur de l'axe du poinçon lors  que tous les trous d'un même cercle sont poin  çonnés.  



       Lorsqu'on    désire placer les trous non plus  sur des circonférences concentriques, mais sur  une spirale, on peut monter sur l'axe 58 (voir       fig.    3) un pignon hélicoïdal 59 directement  en prise avec un pignon hélicoïdal 45 coaxial  au pignon 44 engrenant avec la crémaillère  43. A chaque écartement circulaire entre deux  trous consécutifs correspondra également un  écartement. axial différent. Cette disposition  est celle des     fig.    2 et 3 (voir aussi     fig.    7).  



  Dans la filature de fibranne au moyen de  filières comportant des milliers de trous, il est  connu de répartir les trous suivant des sec  teurs séparés par des secteurs non percés, et  éventuellement aussi par des zones circulaires  non percées.  



  Dans la     fig.    6, la filière comporte cinq  secteurs percés a,<I>b, c, d,</I> e séparés par cinq  secteurs non percés<I>f, g, h, i, j</I>et avec des  rangées de trous circulaires obtenues au moyen  du dispositif de la     fig.    4.  



  Dans la     fig.    7, la disposition des trous  par secteurs est la même, mais les trous sont.  disposés en spirale.  



  Le but de ces zones non percées est d'ob  tenir un accès plus facile du bain de coagula  tion, dans le grand faisceau de brins sortant  de la filière par les groupes de trous a., b, c,  d, e, le bain pénétrant     dans    les parties cor  respondant aux zones non percées, et on ob  tient une coagulation plus uniforme. Dans la         fig.    8, la disposition des trous est la même que  dans la     fig.    6, mais on a. prévu en outre deux  zones circulaires non percées A et B pour  obtenir une pénétration meilleure encore du  bain de coagulation en filature.  



  Pour obtenir des zones segmentaires non  percées, il suffit d'interrompre le poinçonnage  sur les arcs correspondants des différents  cercles de     pereage.    A cet, effet, des fenêtres  sont ménagées dans le disque 30 et leur  nombre correspond au nombre de secteurs  sur lesquels aura. lieu le perçage.  



  Dans la, forme d'exécution représentée, il y  a cinq fenêtres 60, comme on le voit sur la     fig.    3.  D'après la:     fig.    2, un palpeur vertical 61,  écarté d'une distance convenable de l'axe du       porte-filière,    coulissant dans deux guides, est  attaché en     61a    au levier 12.  



  De ce fait, ce palpeur, terminé par une  pointe 62, lorsqu'il n'est. pas arrêté dans sa  course par les parties pleines du disque 30,  effectue, avec. une amplitude réduite dans le       rapport    des bras des leviers, les mêmes dé  placements que le     poineon.    Si la. pointe 62,  par exemple en acier trempé, vient. à rencon  trer une partie pleine entre deux fenêtres 60  du disque 30, le palpeur s'immobilise dans sa  descente et donc aussi le poinçon dont il est  solidaire, ce qui' empêche ce dernier d'attein  dre la filière. En laissant la machine fonc  tionner normalement, après un certain temps,  la pointe 62 ne rencontrant     plus    d'obstacle,  le poinçon reprendra son travail.

   Pour aug  menter la productivité de la machine, il a  été prévu d'accélérer la rotation du disque  30 sur les secteurs pleins entre deux fenêtres.  A cet effet, le palpeur 61 porte un écrou 61'  qui tend à fermer un contact double 61b  lorsque le palpeur reste relevé, en     fermant    un  circuit 61c du moteur 64 dont l'arbre porte  un pignon 66 constamment en prise avec la  denture du plateau 32, ce pignon étant nor  malement à roue libre.  



  Pour éviter une usure par la pointe du  palpeur 61 et qui peut, devenir excessive, on  peut prévoir un dispositif électrique à con  tact tâteur sur le disque 30. Au passage des  fenêtres, ce contact est inactif; au     passage         des parties pleines, le disque 30 étant à la  terre, ce contact ferme un circuit à relais  comprenant le moteur 64 et un verrou élec  tromagnétique pour la glissière 5.  



  Pour pouvoir surveiller constamment la  marche du perçage et notamment le compor  tement du poinçon et sa pénétration normale,  ainsi qu'un contrôle rapide des zones neutres;  la, machine comprend un microscope binocu  laire. L'axe optique de ce microscope est figuré  en 67     (fig.    1). Il est éclairé par un faisceau  lumineux 68, venant d'une source lumineuse  69, et condensé par des lentilles 70. L'oculaire  du microscope est indiqué en 71.

   A l'aide  d'un prisme 72, on dévie par ailleurs une  partie du faisceau vers une cellule photo  électrique 73, reliée à un amplificateur élec  tronique 74 qui fait partie d'un circuit in  terrupteur, pour arrêter automatiquement la  marche lorsqu'un poinçon casse ou qu'il se  produit une modification subite de l'intensité  du faisceau lumineux réfléchi vers l'oculaire,  donc de la partie du faisceau déviée vers la  cellule photoélectrique 73. A cet effet, on  peut. brancher sur l'amplificateur électronique  74 un circuit 89     (fig.    2) vers un verrou élec  tromagnétique 90 qui arrête la glissière supé  rieure 5 dans sa descente lorsque l'amplifica  teur signale un comportement anormal du  poinçon 2.  



  Pour que le fonctionnement soit satisfai  sant., il est indispensable que la machine  s'arrête lorsque le nombre nécessaire de trous  a été percé. Pour obtenir ce résultat, la ma  chine présente un dispositif supplémentaire  très simple.  



  La glissière de commande supérieure 5  porte à son extrémité supérieure une lame  latérale 75     (fig.    2) en porte-à-faux, et qui  comporte à son extrémité libre un trou fileté       75a    pour l'introduction d'une petite vis 76.  Lorsque la glissière 5 descend, à chaque coup  du poinçon 2, la vis vient porter sur un  pointeau 77 et ferme un circuit 78 compre  nant une source de courant 79 et un solénoïde  80, avec noyau en fer doux 81.A chaque  coup de poinçon, le noyau 81 est attiré dans  le solénoïde 80, contre l'action d'un ressort    de rappel non figuré. Le noyau 81 est ratta  ché par une petite tige 82 à la manette 83  d'un compteur 84 (l'articulation de la tige 82  et de la manette 83 n'étant pas visible au  dessin).

   Dans ce compteur, on a bagué les  roues par bagues ouvertes, de telle façon que,  lorsque le nombre requis de coups de poinçon  a été donné et le chiffre requis apparaît dans  la fente des bagues, il se produit une inter  ruption du courant. dans le circuit du mo  teur commandant le pignon moteur 19.  



  En se reportant à la     fig.    14, qui repré  sente schématiquement ce dispositif de sécu  rité, 85 est une des roues dentées du comp  teur 84, et 86 est une bague fendue entou  rant cette roue 85. Admettons qu'on veuille  arrêter le perçage à 8400 trous,     c'est-à-.dire,     lorsque le chiffre 8 des milliers et le chiffre 4  des centaines s'inscriront pour la première  fois. On utilisera alors une bague fendue sur  la roue des milliers, et une     bague    identique  sur la roue des centaines.

   Une butée 87, sur  une lame de ressort     87a    qui fait partie du  moteur général, s'appuie sur les deux bagues  et, lorsque la butée 87 peut pénétrer dans  les deux fentes alignées des bagues 86, elle  dégage ainsi la lame 87a d'un pointeau 87b  qui se trouve dans un circuit 88.  



  Si, pour une raison quelconque, le comp  teur 84 ne fonctionne pas, un dispositif de  sécurité arrête le moteur général. Un second  compteur auxiliaire 91 (voir     fig.    3) est destiné  à compter le nombre de tours du plateau 32.  Lorsque ce nombre de tours est atteint, et  que ce compteur 91 a accompli un tour com  plet, il s'établit, grâce à un contact de sécu  rité 92, un courant dans un circuit 93 qui  comporte un autre relais débrayant le moteur  principal.  



  Dans une variante de la machine, on peut  modifier la forme de la came 24 de     façon     telle que la descente du poinçon 2 soit ra  lentie lors de l'attaque du poinçon sur le  métal à percer, et aussi en fin de descente,  pour adoucir les chocs subis par le poinçon  dans ces parties de la course de descente. On  peut accélérer par la forme de la came le  mouvement du poinçon dans les parties de      sa course, tant à la descente qu'à la montée,  où le poinçon n'est pas encore ou n'est plus  en contact avec le métal à percer, et augmen  ter de ce fait la partie productive du cycle  de perçage par rapport au temps total, en  accélérant la partie improductive de la  course.  



  Dans la     fig.    9, le poinçon 2 est représenté,  par rapport à la filière, après pénétration  partielle dans le métal. Le fond de la filière  repose sur une plaque d'aluminium, métal  plus mou que le platine. Quand la pointe du  poinçon attaque le fond de la filière dans sa  descente, il se produit un choc, et dans cer  tains cas, ce choc peut casser le poinçon.  En ralentissant le mouvement juste avant le  contact, ce risque est atténué.  



  La cote d'enfoncement du poinçon dans le  métal. peut être réglée, par exemple, par une  monture spéciale de l'enclume dans un système  à vis micrométrique.  



  La pénétration du poinçon peut être sui  vie au moyen d'un dispositif comprenant,     siir     la glissière 5, un tâteur avec vis micrométri  que de réglage et venant pousser sur un     com-          parateur    à aiguille indiquant la profondeur  de pénétration. Des variations excessives de  l'épaisseur de métal du capuchon et donnant  lieu à des variations excessives de la cote  d'enfoncement peuvent être signalées par  moyens optiques, sonores ou électriques.  



  Lorsqu'on désire percer des métaux plus  durs, il peut être utile de procéder en deux  coups,     c'est-à-dire    de former un avant-trou  par un poinçon, de préférence conique, puis  de terminer par un second poinçon cylindri  que. Les deux     poinçons    peuvent être jumelés  sur le même porte-poinçon. L'écartement entre  les deux poinçons est un multiple de     l'entre-          axe    de deux trous.  



  Quand on désire obtenir un schéma de  perçage plus complexe, le dessin du plateau  30 du palpeur peut devenir si compliqué  qu'il serait difficile à construire. Dans ces  cas-là, on peut avoir recours à un     plateau-          gabarit    synchronisé avec le plateau     porte-          enclume,    ce gabarit représentant le schéma  de perçage à une échelle très agrandie et com-    portant une couche isolante sur toutes les par  ties qui correspondent aux zones non percées.  Un palpeur explore méthodiquement le gaba  rit et est relié au poinçon de manière à assu  rer la descente de celui-ci seulement lorsque  le palpeur explore les parties non isolées du  gabarit.

   Une telle variante de la machine est  représentée dans les     fig.    10 et 11.  



  Dans la     fig.    7.0, la partie de gauche est  presque identique (à une échelle     plus    petite)  à la     fig.    2 pour le     perçage    en spirale, mais  la rotation de l'enclume s'effectue directement.  en prise avec le gabarit.  



  Le gabarit 94 repose sur un     plateau-sup-          port    95, et est fixé au moyen d'un écrou à  ailettes 96 sur un axe 97 tournant dans le  plateau-support 95. Ce plateau 95 est fixé  de manière inamovible sur un prolongement  du bras 41 du plateau rotatif de l'enclume  lb, le centre du gabarit, le centre de l'en  clume et le pivot 42 étant initialement ali  gnés.  



  Le plateau denté 32 porte un axe cen  tral 98, sur lequel est centré un pignon co  nique 99, directement en prise avec un autre  pignon conique 100 d'un arbre 101, relié au  moyen d'un joint universel 102 à un arbre  1.03 lui-même relié par un joint     -universel     1.04 à un arbre 105. Sur cet arbre 105 est.  monté un pignon conique 106 directement en  prise avec un pignon conique 107 de l'axe 97.  



  De cette façon, à condition de prévoir des  rapports d'engrenages appropriés, l'enclume  lb peut être parfaitement synchronisée avec  le gabarit 94.  



  Le gabarit 94 comporte des secteurs iso  lés, dont trois,     94a.,    94b, 94c, sont visibles sur  la     fig.    11, et des secteurs non isolés, tels que  94d.  



  Le gabarit comporte une rainure en spirale  dans laquelle se déplace un     stylet-tâteur   <B>108</B>  dont la monture 109 est isolée, mais qui est  relié électriquement à un pôle 110 d'un circuit  spécial. Le gabarit est lui-même isolé clé ses  montures. Un second pôle est relié à une  partie non isolée du gabarit, ou mis à la  terre, et chaque fois que le stylet entre en  contact avec une partie du disque qui est      isolée, il s'établit un contact dans le circuit  d'un moteur d'accélération tel que le moteur  64 de la     fig.    1.  



  Le bras 41 est relié par un pivot 141 au  support 95 du gabarit 94, pour un mouvement  relatif limité, ce qui est possible grâce aux  deux joints universels 1.02 et 104. Sur l'axe  97 du gabarit 94 est monté fixe un pignon  142, lequel pignon 142 actionne un réducteur  143; le dernier pignon 144 est en prise avec  une crémaillère circulaire 145, qui est mon  tée fixe, de même que le pivot central 42  du support 41, tandis que 141 est une articu  lation.  



       Lorsque    le bras 41 est progressivement dé  placé et excentré par rapport au poinçon 2,  le support 95 est également déplacé et avance  sur la crémaillère 145, mais le capuchon et le  gabarit tournent en synchronisme.  



  Les     fig.    5, 12, 13 et 16 représentent une  autre variante comportant un carrousel qui  porte un groupe d'enclumes disposées en cercle.  Lorsqu'une filière est complètement percée et  le moteur principal 18 débrayé par le comp  teur 84, l'enclume qui porte la filière percée  est déplacée, une autre enclume, portant un  capuchon non percé, vient se placer sous le  poinçon et le perçage reprend. Ainsi, une telle  machine permet un travail     semi-continu,    la  seule tâche de l'ouvrier consistant à surveiller  le travail et à enlever les filières percées de  leurs supports respectifs pour les remplacer  par des capuchons non percés.  



  Comme on le voit sur les     fig.    12 et 13, un  moteur auxiliaire 112 porte sur son arbre un  disque 113 relié par des liaisons 114, 115 à un  cliquet 116 repoussé par un ressort 117 contre  une des dents d'une roue à rochet 118 fixée sur  un arbre 119. Ledit arbre comporte une partie  à section carrée 120 qui s'adapte à l'arbre tubu  laire 121 du carrousel 122 portant un groupe  d'enclumes disposées en cercle. Dans la     fig.    13,  l'une des enclumes se trouve au-dessous du  poinçon, l'enclume 123 porte une filière déjà  percée, et L'enclume 124 un capuchon non  percé.  



  Dans la machine     semi-continue    que consti  tue cette variante, le poinçon doit avoir une    course beaucoup plus longue,     afin,    que, après  la dernière course terminant le perçage de la  filière, le poinçon se trouve relevé à une  hauteur suffisante pour permettre la rotation  (lu carrousel sans que la pointe du poinçon       vienne    heurter la partie supérieure de la filière.  



  lie système de perçage est identique, sauf  quant à l'amplitude de la course, au système  décrit plus haut. Toutefois, le dispositif       d'excentrage    du capuchon, bien qu'étant en  principe le même que dans les formes d'exécu  tion précédentes, comporte un mécanisme qui  le repousse en arrière pendant la rotation du  carrousel. Ce mécanisme est plus particulière  ment représenté dans les     fig.    5 et 16.  



  Le plateau 30 à fenêtres comporte     axiale-          ment    un tube     123a    solidement     emmanché    dans  un collier     124a    du plateau normal. Ce tube       123a    porte un alésage carré     dans.lequel    est  engagée une tige carrée 125 dont l'extrémité  supérieure est chanfreinée, ainsi qu'on le voit  dans la     fig.    5. Pendant le perçage, le     plateau-          support,    avec tout le système qu'il porte, est  déplacé soit graduellement, soit de manière  intermittente, dans le sens des flèches E par  rapport au carrousel 122.

   Pour pouvoir dépla  cer également l'enclume     lb,    la base de celle-ci  est     coulissable    dans une monture du carrousel  122. Ce mouvement est représenté dans la  fi-.<B>13</B> pour l'enclume 123. Le capuchon 1 avec  sa monture 123 est     coulissable    dans deux  glissières 126, 127, au moyen de deux glis  sières latérales 128, 129. La monture 123, en se       déplacant,    comprime un ressort 130. Le mou  vement de glissement est imprimé par la partie  supérieure de la tige 125 qui repousse une dent  d'une came<B>131</B> de la glissière.

   Quand le per  çage est terminé, la monture 123 de l'enclume  se trouve dans la position représentée en       fig.16.    Le carrousel 122 commence alors à  tourner dans le sens de la flèche E. La tige  125, repoussée vers le bas par une seconde dent  132 de la monture 123, comprime le ressort       125a    et aurait tendance à s'enclencher derrière  152, mais -une rampe 133 a été prévue dans la  paroi latérale de l'alésage du carrousel 122, ce  qui permet à la partie supérieure de la tige de  glisser à nouveau sous le carrousel jusqu'à ce      que     1e    carrousel ait tourné de     60 ,    dans le cas  de six postes, pour s'enclencher à ce moment  entre les dents de l'enclume suivante.  



  Pendant le perçage, le carrousel 122 est  bloqué par un petit verrou à ressort 134 qui  s'enclenche dans un évidement 135, et qui est       poussé    au moyen d'un ressort 136.  



  Pendant la rotation du carrousel, le     bras-          support    41 est ramené à sa position primitive  par rotation inverse au moyen du pignon 44  qui actionne la crémaillère 43, le cliquet 38 se  trouvant temporairement dégagé dans le même  temps.  



  La remise à zéro du bras-support 41 est  effectuée au moyen d'une crémaillère de re  mise à zéro 137 dont la forme particulière est  très nettement visible dans la     fig.    13. Cette  crémaillère de remise à zéro comporte sur le  bord six crémaillères courbes décalées et sé  parées par des parties échancrées.  



  Elle est montée sur le manchon 121 du  carrousel 122, et fixée sur le carrousel 122 par  une vis.  



  Normalement, la crémaillère de remise à  zéro n'est pas en prise, mais dès que le carrou  sel 122 commence à tourner, l'une des cré  maillères entre en prise avec un pignon<B>139</B>  et actionne la boîte 140     d'im    réducteur qui  commande un prolongement 141 de l'engre  nage à vis sans fin 59. La réduction doit cor  respondre très exactement au recul du     bras-          support    41.  



  Le moteur 112 entre en action lorsque le  compteur 84 achève son cycle d'avances, en  même temps que le moteur principal est dé  brayé, au moyen d'un double commutateur.  



  Une came (non représentée), sur le man  chon 121 du carrousel 122, actionne un système  de tige qui dégage au même moment le cliquet  38. Par ailleurs, un système de chronomètre  remet à zéro le compteur 84.

Claims (1)

  1. REVENDICATION: Machine pour le perçage automatique de filières, caractérisée en ce qu'elle comprend un support destiné à recevoir un capuchon à percer, pour faire une filière, un plateau ro tatif pour porter le support et un poinçon effectuant des mouvements de monte-et-baisse pour le perçage dudit capuchon, avec com mande positive à la montée et à la descente sous l'influence d'un levier chargé, puis des moyens pour le perçage successif des trous et pour l'excentrage progressif du plateau. SOUS-REVENDICATIONS: 1.
    Machine selon la revendication, caracté risée en ce que lesdits moyens permettent de percer les trous en rangées circulaires eoncen- triques, avec décalage excentrique brusque du support du capuchon à la fin de chaque cercle complet de perçage. 2. Machine selon la revendication, caracté risée en ce que lesdits moyens permettent de percer les trous en spirale, avec décalage pro gressif du centre du support du capuchon. 3. Machine selon la revendication, caracté risée par des moyens interrompant le perçage selon plusieurs arcs régulièrement espacés d'une rotation complète du support du capu chon pour constituer des secteurs comportant des trous, alternant avec des secteurs non percés. 4.
    Machine selon la revendication, caracté risée par un poinçon centré sur une glissière inférieure rattachée par un joint homociné tique à une glissière supérieure dont le mouve ment de monte-et-baisse est commandé par une came mise en rotation avec réduction par un moteur principal, cette came agissant. sur un levier coudé avec un pignon en prise avec une crémaillère de la glissière supérieure et comportant dans ledit pignon un dispositif à roue libre, assurant une commande positive à la montée seulement de la glissière. 5.
    Machine selon la revendication et la sous-revendication 4, caractérisée par un pla teau composé d'un disque supérieur compre riant plusieurs fenêtres régulièrement espacées, d'un second disque médian à couronne dentée et d'un troisième disque inférieur à couronne dentée, ces disques étant associés rigidement. pour la rotation intermittente collective don née par un équipage à cliquet commandant le disque intermédiaire sous l'influence d'un levier à fourche oscillant, commandé par une came coaxiale avec la came commandant la. glissière mais en opposition. 6.
    Machine selon la revendication et les sous-revendications 4 et 5, caractérisée par une vis micrométrique de réglage de l'avance angu laire du plateau, laquelle vis forme une butée pour l'équipage qui comprend un ressort eom- pressible. 7. Machine selon la revendication, caracté risée par un plateau porté par un bras, pou vant pivoter horizontalement sur un pivot rixe d'un bâti portant l'ensemble. 8.
    Machine selon la revendication et la sous-revendication 7, caractérisée en ce que le pivotement dudit bras est causé par la rotation dit plateau, dont un disque inférieur engrène avec un autre disque denté qui transmet sa rotation par une transmission à un pignon sur un axe vertical dans l'extrémité libre du bras, lequel pignon engrène avec une crémaillère courbe fixée sur le bâti. 9.
    Machine selon la revendication et les sous-revendications 4 et 5, caractérisée par un palpeur vertical articulé au bras chargé commandant le poinçon et reposant sur le disque supérieur du plateau pour permettre la descente complète des glissières seulement lorsque la pointe inférieure très dure du pal peur pénètre à travers les fenêtres pour repo ser sur le disque médian, alors que lorsque le palpeur rencontre les parties pleines entre les fenêtres du disque supérieur, la descente com plète du poinçon ne peut pas avoir lieu. 10.
    Machine selon la revendication et les sous-revendications 4, 5 et 9, caractérisée par des moyens d'accélération de la rotation du plateau en correspondance avec le passage du palpeur sur les parties pleines du disque supé rieur et comprenant un circuit fermé par le palpeur lorsqu'il reste levé sur les parties pleines du disque supérieur du plateau et met tant. en marche un petit moteur d'accélération commandant un pignon engrenant, avec le dis- que inférieur du plateau et tournant normale ment à. vide. 11.
    Machine selon la. revendication, carac térisée par un compteur du nombre de cycles de monte-et-baisse du poinçon et arrêtant la machine automatiquement après ttiï nombre de poinçonnages déterminé. 12.
    Machine selon la revendication et la sous-revendication 11, caractérisée par une languette fixée sur la glissière supérieure du poinçon et fermant à chaque descente un con tact dans un circuit comprenant un solénoïde, avec un noyau en fer doux qui est attiré à chaque descente, lequel noyau est relié à la ma nivelle d'un compteur mécanique à roues den tées, ce compteur comportant, sur les roues dentées, des bagues fendues en regard du chiffre composant le nombre désiré du poin çonnages par capuchon, et une butée reposant transversalement sur les bagues pour pouvoir pénétrer dans les fentes lorsque celles-ci sont alignées, en correspondance avec la position du compteur en fin de perçage, la pénétration de la butée dans les fentes alignées donnant lieu au déclenchement d'un moteur général. 13.
    Machine selon la revendication et les sous-revendications 11 et 12, caractérisée par un compteur auxiliaire de sécurité comptant le nombre de rotations du plateau et débrayant le moteur général lorsque le nombre de rota tions désiré est atteint. . 14. .Machine selon la revendication et les sous-revendications 4, 5 et 11, caractérisée par un train de réduction commandé par le disque inférieur du plateau et commandant un pi gnon avec doigt déclencheur, lequel pignon fait un tour complet pour le nombre de rotations désiré du plateau. 15.
    Machine selon la revendication et la sous-revendication 11, caractérisée par un ver rou arrêtant la descente des glissières lors de la casse ' accidentelle d'un poinçon et compre nant un microscope d'observation centré sur la pointe du poinçon, avec moyens d'éclairage et prisme déviant une partie du faisceau vers une cellule photo-électrique, reliée à un ampli ficateur électronique commandant un verrou électromagnétique, de telle façon qu'une modi fication sensible de l'intensité du faisceau lu mineux, par suite de rupture de la pointe du poinçon, provoque le déclenchement du verrou. 16.
    Machine selon la revendication, caracté risée par le fait que la rotation et l'exeen- trage du plateau du capuchon sont commandés par la rotation d'un plateau-gabarit représen tant le schéma de perçage à échelle très forte ment agrandie, avec trous signalés dans un sillon en spirale qui est palpé par un tâteur à aiguille cheminant dans le sillon et qui com mande la position d'un bras pivotant portant: le plateau du capuchon, avec moyens assurant la descente du poineon pour chaque trou décalé par le tâteur dans le sillon du plateau-gabarit. 17.
    Machine selon la revendication, earae- térisée par un carrousel portant. plusieurs sup ports de filières en groupe circulaire et subis sant une rotation partielle lorsqu'une filière est complètement percée, ce dispositif présen tant des moyens d'excentrage à glissière du support de la filière en cours de perçage, et des moyens pour le retour automatique du support dans sa position initiale.
CH301880D 1951-02-21 1952-01-30 Machine pour le perçage automatique de filières. CH301880A (fr)

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