BE509262A - - Google Patents

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BE509262A
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    • BPERFORMING OPERATIONS; TRANSPORTING
    • B21MECHANICAL METAL-WORKING WITHOUT ESSENTIALLY REMOVING MATERIAL; PUNCHING METAL
    • B21DWORKING OR PROCESSING OF SHEET METAL OR METAL TUBES, RODS OR PROFILES WITHOUT ESSENTIALLY REMOVING MATERIAL; PUNCHING METAL
    • B21D31/00Other methods for working sheet metal, metal tubes, metal profiles
    • B21D31/02Stabbing or piercing, e.g. for making sieves

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  • Engineering & Computer Science (AREA)
  • Mechanical Engineering (AREA)
  • Perforating, Stamping-Out Or Severing By Means Other Than Cutting (AREA)

Description


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  DISPOSITIF DE PERCAGE AUTOMATIQUE DE FILIERES. 



   Les filières utilisées dans la fabrication des textiles arti- ficiels à partir de solutions alcalines avec utilisation de bains acides sont généralement en métaux précieux, notamment en platine,seul ou allié à d'au- tres métaux. Ces filières sont constituées par des capuchons comportant des trous multiples très fins  ayant un diamètre de l'ordre de 0,5-0,10 mm., et qui sont généralement disposés sur plusieurs cercles concentriques sur la fa- ce plate., soit avec répartition uniforme des trous, soit selon des dessins spéciaux laissant des zones non percées. 



   Dans la grande majorité des cas, le perçage des filières s'effec- tue par poinçonnage. Le capuchon à percer est placé à l'envers sur un matelas en matière plus molle, par exemple, en aluminium  et un poinçon dur, de forme et de dimensions appropriées  est enfoncé axialement dans le fond aux   endroits   à percer. Le métal est refoulé extérieurement par l'enfoncement du poinçon, et vient former un bossage. Lorsque le poinçonnage est terminé, on effectue un polissage abrasif extérieur enlevant les bossages, ce qui dégage les trous, puis diverses opérations de finissage. 



   Le poinçonnage a été effectué jusqu'ici manuellement au moyen d' un levier dont l'extrémité libre est manoeuvrée par un ouvrier spécialisé. 



  Le capuchon est placé dans une monture susceptible de tourner. L'espacement est déterminé par le mouvement d9un plateau diviseur représentant à une échelle très agrandie le schéma du perçage, et par l'intermédiaire d'un stylet- tâteur relié à la monture du capuchon. 



   Malgré toute Inhabileté manuelle de l'ouvrier perceur, l'impul- sion donnée au poinçon varie sensiblement d'intensité d'un coup à l'autre. 



  L'objet principal de la présente invention est un dispositif de perçage auto- matique, caractérisé principalement par le fait que l'impulsion est donnée mécaniquement et est   d'une   intensité constante. Cet effet est obtenu à   l'ai=   de d'une charge (réglable) appuyant sur l'équipage coulissant du poinçon;Le 

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 mouvement de monte-et-baisse du coulisseau porte-poinçon est commandé par un moteur électrique, et la course du poinçon a une amplitude réglable. 



   Selon un autre objet de l'invention, on peut obtenir soit un perçage uniforme, selon le même principe que dans le procédé manuel, soit par places seulement, par l'intermédiaire d'un plateau-gabarit spécial permettant d'imprimer un mouvement accéléré à la monture porte-filière en cor- respondance avec le passage des zones qui ne doivent pas être percées. 



   D'autres éléments de l'invention, et concernant plus spécia- lement le contrôle des différentes opérations et les sécurités assurant un fonctionnement parfait du dispositif, seront décrits en détail ci-après, à l'aide d'un exemple de réalisation, qui n'est bien entendu aucunement limitatifl'invention s'étendant également à toute variante dans le mê- me esprit. 



   Il convient de noter qu'en plus d'une amélioration de la qua- lité du perçage, le dispositif permet de percer plusieurs fois plus vite, et atteindre des vitesses de perçage de plusieurs milliers de trous par heure. D'autre part, comme le dispositif peut fonctionner pratiquement sans surveillance, grâce aux nombreuses sécurités assurant l'arrêt automatique en cas de fonctionnement défectueux, il est possible d'obtenir un rendement encore accru en laissant la machine fonctionner pendant les arrêts de tra- vail;

   on peut ainsi gagner au moins deux heures de fonctionnement par jour, soit réaliser une augmentation de rendement à nouveau, de plus de 25%, puis étant donné que l'ouvrier manuel a souvent besoin de petits arrêts dans ce travail extrêmement minutieux, arrêts qui naturellement diminuent le rende- ment, la machine automatique continue à fonctionner toujours uniformément jusqu'à la fin de sa tâche, ou jusqu'à ce qu'il se produise un arrêt acciden- tel. On peut utiliser de la main d'oeuvre non spécialisée. Par ailleurs, la qualité et notamment la régularité du perçage est meilleure et les capu- chons sont moins déformés, d'où moindre perte de métal au polissage et épais- seur plus régulière des filières. 



   Les dessins accompagnant la présente description permettent de comprendre plus aisément l'invention : la fig. 1 est une élévation de côté montrant certaines parties en coupe, la fig. 2 est une coupe verticale de la fig. 1 suivant 2-2, la fig. 3 est une coupe horizontale de la fig. 1 suivant 3-3, la fig. 4 est une vue en perspective d'un détail du mécanisme de commande pour le perçage des trous en cercles concentriques, la fig. 5 est une coupe verticale partielle (agrandie) du méca- nisme d'accélération pour le passage des zones non percées, la fig. 6 est un schéma de perçage suivant des cercles concen- triques avec secteurs non perforés., la fig. 7 est une vue similaire à la fige 6,mais correspon- dant à une disposition des trous en spirale, la fig. 8 est analogue à la fig.

   6, mais présente, en plus des zones non perforées, des bandes concentriques non perforées, la fig. 9 est une coupe partielle d'un poinçon en mouvement, la fig. 10 est une coupe verticale d'une variante du dispo- sitif, la fig. 11 est une vue en plan du plateau-gabarit et des dis- positifs solidaires représentés dans la fig. 10, la fig. 12 est une coupe verticale d'une autre variante du dis- positif, 

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 la fige 13 est une coupe horizontale suivant approximativement la direction 13-13 dans la fig. 12, la fig.   14   représente une   vue,détaillée   (agrandie) d'un comp- teur et dispositif de sécurité suivant   14-14   dans la fig. 2, la fig. 15 est une coupe détaillée d'une roue libre contrôlant le mouvement de monte-et-baisse du porte-poinçon suivant la ligne 15-15 dans la fig.

   3, la figa 16 est une vue en coupe d'un détail de la fig. 5, mon- trant le fonctionnement d'une partie de ce mécanisme. 



   Dans les figo 1,2,3 représentant, comme il est indiqué plus haut, l'ensemble du dispositifune filière à percer 1, par exemple en pla- tine pur, repose sur une enclume 1 b par l'intermédiaire d'un support 1 a. 



  Un poinçon 2, fixé dans un porte-poinçon 2 a et exactement perpendiculaire à la surface horizontale, est monté sur une glissière inférieure 3, à ratrap- page de jeu automatique par lardons maintenus en contact avec la glissière au moyen de ressorts, reliée par un joint universel 4 à la glissière supé- rieure   5.   Cette dernière porte une crémaillère 6 avec une tige rigide 7 en haut, se terminant par une coupelle 8 destinée à recevoir une rotule d'appui 9, dont le bras 10 s'articule en 11 avec un levier 12 à point fixe 13. Le levier comporte de l'autre côté de l'articulation 11 une partie filetée 14 sur laquelle se visse un écrou contrepoids 15, en vue du réglage de la pres-   sion   exercée par le levier 12.

   On peut assurer un micro-réglage complémen- taire au moyen d'une molette 16 sur l'extrémité libre du levier 11 ayant un filetage plus serré. 



  On peut cependant dans certains cas exercer simplement une pression par poids sur l'articulation 11. 



   Un pignon moteur 19 est commandé par un moteur électrique 18, de préférence à vitesse réglable. Ce pignon moteur commande à son tour un engrenage réducteur comportant 3 pignons successifs 20, 21, 22. Ce dernier porte, sur son axe 23, une came fixe 24 sur laquelle repose un galet 25 sur un petit axe 26 monté dans l'extrémité fourchue d'un bras coudé 27, oscil- lant d'autre part sur un axe 28 qui porte par ailleurs un pignon 29 (fig. 



  15) s'engrenant avec la crémaillère 6 solidaire de la glissière supérieure 5 sont il a été question plus haut, la came 24 assure de la sorte la remon- tée du poinçon et la charge du levier assure la descente, contrôlée un certain temps par la came, puis libre ensuite pour obtenir sous l'effet de la pesan- teur, le poinçonnage désiré. 



   L'enclume 1 b est solidaire d'un plateau 30 lui-même centré sur un disque 31 à couronne dentée. Le disque 31 a une denture très fine (600 à 1200 dents) à la périphérie.. et est associé à un autre disque 32 à couron- ne dentée. 



   D'autre part, le pignon 21 mentionné ci-dessus, qui porte latéralement la came 24, porte une autre came 33 qui actionne une fourchet- te ou un fourreau 34 pivotant en 35 et comportant à l'autre extrémité une rainure 35 a. Dans cette rainure 35 a est engagé un axe 35 b fixé à une tige carrée 36 coulissant dans un tube 37 lui-même coulissant dans un support. Le tube 37 porte à son extrémité un support 38 a sur lequel est articulé un cliquet 38 qui est en prise avec la denture du plateau 31.

   Pour régler la valeur de l'avance communiquée ainsi à ce plateau par chaque impulsion du cliquet., les dispositions suivantes ont été retenues: 
La tige carrée 36 qui reçoit du levier 34 un mouvement de va- et-vient à amplitude constante agit sur le tube 37 par l'intermédiaire d'un ressort 390 Le support a du cliquet 38 porte un doigt latéral 38 b qui, par son épaulement 38 c, vient buter sur une vis micrométrique 40 fixe. Cette vis limite le mouvement en amont de l'ensemble coulissant porte-cliquet et le ressort 39 se comprime. Lors du mouvement en arrière de la tige 36, le ressort 39 se détend et l'ensemble coulissant porte-cliquet est ramené à sa 

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 position de départ à l'aide du ressort 40 a de la vis micrométrique 40 qui repousse le doigt 38 b du support 38 a du cliquet 38. 



   De la sorte, le plateau 31 reçoit une avance circulaire pério- dique dont l'amplitude dépend du réglage de la vis   40.   



   Les deux cames 24 et 33 étant en opposition lorsque la premiè- re soulève le système porte-poinçon, la seconde provoque alors une avance circulaire du plateau 31 qui, au contraire, reste immobile pendant la des- cente du poinçon. Comme cette avance est absolument essentielle pour déter- miner l'écartement angulaire des trous formés par le poinçon 2, il peut être utile d'avoir deux et même trois cliquets 38 accouplés d'une façon appropriée et disposés à distance angulaires égales autour du plateau 31. 



  De cette façon, la précision d'avance est accrue et le risque d'erreur mê- me d'une dent est sensiblement réduit. 



   Le disque 32 est solidaire d'un long axe diamétral   41   (fig. 



  3 plus particulièrement) et qui peut être une plate-bande. Celle-ci pivote en   42,  point fixe. Ce pivotement horizontal a pour effet un écartement plus ou moins grand de l'axe de l'enclume 1 b de l'axe du poinçon 2. Lors du perçage, on peut percer des trous en cercles concentriques de plus en plus grands, ou suivant une spirale de plus en plus large, mais dans les deux cas on doit pouvoir régler l'écartement du centre de la filière sur l'en- clume et de l'axe du poinçon. Le rôle de ce réglage incombe à l'axe pivota- ble 41. Un mécanisme de pivotement est décrit ci-après pour le cas de perça- ge en cercles concentriques, ainsi que le représente la fig. 4. 



   Le bâti fixe de la machine porte une crémaillère circulaire 43 ayant pour centre l'axe 42 de la plate-bande   41.   Un pignon 44 (voir fig. 



  4) est en prise avec cette crémaillère   43;   il est solidaire d'un pignon coaxial 44' en prise avec un cliquet à ressort 46 et freiné par un doigt 47. 



   Le cliquet à ressort 46 est fixé sur un petit bloc 48 solidai- re d'une tige 49 coulissant dans le support en forme de fourche 50. 



   Un ressort à boudin 51 s'appuyant d'une part sur une branche du support 50, et d'autre part sur une butée 52 fixée sur la tige 49 appuie constamment cette dernière contre une came 54 par un doigt à méplat approprié   53.   



   Le disque 51 sous l'enclume est en prise par sa denture avec un disque similaire 55, solidaire d'un pignon conique co-axial 56 agissant sur un autre pignon conique   57   à axe perpendiculaire 58. Cet axe 58 porte le chemin à cames 54 qui, à chaque tour, donne une impulsion à la tige 49 et donne lieu à une rotation angulaire déterminée du pignon   44'   et du pignon 44, ce dernier engrenant avec la crémaillère fixe 43, il en résul- te un pivotement angulaire déterminé de la plate-bande   41   qui écarte le centre de la filière brusquement d'une certaine valeur de l'axe du poin- çon lorsque tous les trous d'un même cercle sont poinçonnés. 



   Lorsqu'on désire placer les trous non plus sur des circonfé- rences concentriques mais sur une spirale,, on peut prévoir sur l'axe 58 (voir fig. 3) un pignon hélicoldal approprié 59 directement en prise avec un pignon hélicoïdal 45   co-axial   du pignon 44 engrenant avec la   crémaillè-   re. A chaque écartement circulaire entre deux'trous consécutifs correspon- dra également un écartement axial différent. Cette disposition est celle des fig. 2 et 3. Voir aussi fig. 7. 



   Dans la filature de fibranne au moyen de filières comportant des milliers de trous, il est connu de répartir les trous suivant des secteurs séparés par des secteurs non percés, et éventuellement aussi par des zones circulaires non percées. 



   Dans la fig. 6, la filière comporte cinq secteurs percés, a, b, c, d, e, séparés par cinq secteurs non percés f; g; h; i; j ; et avec des rangées de trous circulaires (par suite du dispositif de la fig. 4). 

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   Dans la fige 7, la disposition des trous par secteurs est la même, mais les trous sont disposés en spirale. 



   Le but de ces zones non percées est d'obtenir un accès plus facile du bain de coagulations dans le grand faisceau de brins sortant de la filière par les groupes de trous a, b, c, d, e, le bain pénétrant dans les parties correspondant aux zones non percées,, et on obtient une coagu- lation uniforme. Dans la fige 8, la disposition des trous est la même que dans la fig. 6, mais on a prévu en outre deux zones circulaires non percées A et B pour obtenir une pénétration meilleure encore du bain de coagulation en filature. 



   Pour obtenir des zones segmentaires non percées, il suffit d'interrompre le poinçonnage sur les arcs correspondants des différents cercles de perçage. A cet effets des fenêtres sont ménagées dans le disque 
30 et leur nombre correspond au nombre de secteurs sur lesquels aura lieu le perçage. 



   Dans le cas de l'exemple précédent, il y a cinq fenêtres 60 dont quatre sont visibles sur la fig. 3. 



   D'après la fig. 2 un palpeur vertical 61 écarté d'une distan- ce convenable de l'axe du porte-filière  coulissant dans deux guides non numérotés est attaché en 61 a au levier 12. 



   De ce fait, ce palpeur terminé par une pointe 62, lorsqu'il n'est pas arrêté dans sa course par les parties pleines du disque 30, ef- fectue avec une amplitude réduite dans le rapport des bras des leviers, les mêmes déplacements que le   poinçon.   Si la pointe 62, par exemple en acier trempé, vient à rencontrer une partie pleine entre deux fenêtres 60 du disque 30, le palpeur s'immobilise dans sa descente et donc aussi le poin- çon dont il est solidaire, ce qui empêche ce dernier d'atteindre la filiè- re. En laissant la machine fonctionner normalement après un certain temps la pointe 62 ne rencontrant plus d'obstacle le poinçon reprendra son travail. 



   Pour augmenter la productivité de la machine, il a été prévu d'accélérer la rotation du disque 30 sur les secteurs pleins entre deux fenêtres. A cet ef- fet,le palpeur 61 porte un écrou 61 a qui tendà ouvrir un contact double 
61 b lorsque le palpeur reste relevé., en fermant un circuit 61 c du moteur 
64 dont l'arbre porte un pignon 66 constamment en prise avec la denture du plateau 32, ce pignon étant normalement à roue libre (voir fig. 15, repré- sentant le même dispositif, avec le détail d'une variante). 



   Pour éviter une usure par la pointe du palpeur 61 et qui peut devenir excessive, on peut prévoir un dispositif électrique à contact tâ- teur sur le disque 30. Au passage des fenêtres,, ce contact est inactif, au passage des parties pleines., le disque 30 étant à la terre, ce contact fer- me un circuit à relais comprenant le moteur 64 et un verrou électromagnéti- que pour la glissière 5. 



   Pour pouvoir surveiller constamment la marche du perçage et notamment le comportement du poinçon et sa pénétration normale, ainsi qu'un contrôle rapide des zones neutres, on utilise de façon connue un microscope, par exemple, un binoculaire. L'axe optique de ce microscope est figuré en 
67 (fig. 1). Il est éclairé par le faisceau lumineux 68, venant de la sour- ce lumineuse 69,et condensé par les lentilles 70. L'oculaire du microscope est indiqué en 71.

   A l'aide d'un prisme 72,on dévie par ailleurs une partie du faisceau vers une cellule photoélectrique 73, reliée à un amplificateur électronique 74 qui fait partie d'un circuit   interrupteur.,   pour arrêter auto- matiquement la marche lorsqu'un poinçon casse ou qu'il se produit une modifica- tion subite de l'intensité du faisceau lumineux réfléchi vers l'oculaire, donc de la partie du faisceau déviée vers la cellule photoélectrique 73. A cet ef- fet, on peut brancher sur l'amplificateur électronique 74, un circuit 89 vers un verrou électromagnétique 90 qui arrête la glissière supérieure 5 dans sa descente lorsque l'amplificateur signale un comportement anormal du poinçon 
2. 

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   Pour que le fonctionnement soit satisfaisant, il est indispen- sable que la machine   s'arrête   lorsque le nombre nécessaire de trous a été percé. Pour obtenir ce résultat, on a recours à un dispositif supplémentai- re très simple. 



   La glissière de compande supérieure 5 porte à son extrémité supérieure une lame latérale 75 (fig.2) en porte-à-faux, et qui comporte à son extrémité libre un trou fileté 75 a, pour l'introduction d'une petite vis 76. Lorsque la glissière 5 descend, à chaque coup du poinçon 2, la vis vient porter sur un pointeau 77 et forme un circuit 78 comprenant une source de courant 79 et un solénoïde   80,,   avec noyau en fer doux 81. A chaque coup de poinçon, le noyau 81 est attiré dans le solénoïde 80,contre l'action d'un ressort de rappel non figuré.

   Le noyau 81 est rattaché par une petite tige 82 à la manette 83 d'un compteur   84.   Dans ce compteur, on a bagué les roues par bagues ouvertes, de telle façon que lorsque le nombre requis de coups de poinçon a été donné et le chiffre requis apparaît dans la fente des bagues, il se produit une interruption du courant dans le circuit du moteur commandant le pignon moteur 19. 



   En se reportant à la fig. 14, qui représente schématiquement ce dispositif de sécurité, 85 est une des roues dentées du compteur   84,   et 86 est une bague fendue entourant cette roue 85. Admettons qu'on veuil- le arrêter le perçage à 8.400 trous,   c'est-à-dire,   lorsque le chiffre 8 des milliers et le chiffre 4 des centaines s'inscriront pour la première fois. On utilisera alors une bague fendue sur la roue des milliers, et une bague identique sur la roue des centaines. Une butée   87,   sur une lame de ressort 87 a qui fait partie du circuit du moteur général, s'appuie sur les deux bagues, et lorsque la butée 87 peut pénétrer dans les deux fentes alignées des bagues 86, elle dégage ainsi la lame 87 a   d'un.   pointeau b qui se trouve sur le circuit 88. 



   Si, pour une raison quelconque, le compteur 84 ne fonctionne pas, un dispositif de sécurité arrête le moteur général. Un second compteur auxiliaire 91 (voir fig. 3) est destiné à compter le nombre de tours du pla- teau 32. Lorsque ce nombre de tours est atteint, et que ce compteur 91 a ac- compli un tour complet, il s'établit, grâce à un contact de sécurité 92, un courant dans le circuit 93, qui comporte un autre relais débrayant le moteur principal. 



   Divers perfectionnements de détail de l'appareil peuvent enco- re être prévus. 



   Ainsi, on peut modifier la forme de la came 23 de façon telle que la descente du poinçon 2 soit ralentie lors de l'attaque du poinçon sur le métal à percer, et aussi en fin de descente, pour adoucir les chocs subis par le poinçon dans ces parties de la course de descente. On peut accélérer par la forme de la came le mouvement du poinçon dans les parties de sa cour- se, tant à la descente qu'à la montée, où le poinçon n'est pas encore ou n'est plus en contact avec le métal à percer, et augmenter de ce fait la par- tie productive du cycle de perçage par rapport au temps total, en accélérant la partie improductive de la course. 



   Dans la fig. 9, le poinçon 2 est représenté, par rapport à la filière, après pénétration partielle dans le métal. Le fond de la filière repose sur une plaque d'aluminium, métal plus mou que le platine. Quand la pointe du poinçon attaque le fond de la filière dans sa descente il se pro- duit un choc, et dans certains cas ce choc peut casser le poinçon. En ralen- tissant le mouvement juste avant le contact, ce risque est atténué. 



   La cote d'enfoncement du poinçon dans le métal peut être réglée par exemple par une monture spéciale de 1,'enclume dans un système à vis micro- métrique. 



   La pénétration du poinçon peut être suivie au moyen d'un dispo- sitif comprenant, sur la glissière 5, un tâteur, avec vis micrométrique de ré - glage et venant pousser sur un comparateur à aiguille indiquant la profondeur 

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 de pénétration. Des variations excessives de l'épaisseur de métal du capu- chon et donnant lieu à des variations excessives de la cote d'enfoncement, peuvent être signalées par moyens optiques, sonores ou électriques. 



   Lorsqu'on désire percer des métaux plus durs, il peut être utile de procéder en deux coups, c'est-à-dire, de former un avant-trou par un poinçon, de préférence conique., puis de terminer par un second poinçon cylindrique. Les deux poinçons peuvent être jumelés sur le même porte-poin- çon. 



  L'écartement entre les deux poinçons est un multiple de l'entre-axe de deux trous. 



   Quand on désire obtenir un schéma de perçage plus complexe, le dessin du plateau 30 du palpeur peut devenir si compliqué qu'il serait difficile à construire. Dans ces cas-là, on peut avoir recours à un plateau- ga- barit synchronisé avec le plateau porte-enclume, ce gabarit représentant le sché- ma de perçage à une échelle très agrandie, et comportant une couche isolan- te sur toutes les parties qui correspondent aux zones non percées. Un palpeur explore méthodiquement le gabarit et est relié au poinçon de manière à assu- rer la descente de celui-ci seulement lorsque le palpeur explore les parties non isolées du gabarit. Cette variante de l'appareil selon l'invention est représentée de manière plus détaillée dans les fige 10 et 11. 



   Dans la fig. 10, la partie gauche est presque identique (à une échelle plus petite), à la fig. 2 pour le perçage en spirale, mais la ro-   tation   de l'enclume s'effectue directement en prise avec le gabarit. 



   Le gabarit 94 repose sur un plateau-support 95, et est fixé au moyen d'un écrou à ailettes 96 sur l'axe 97 tournant dans le plateau-sup- port 95. Ce plateau 95 est fixé de manière inamovible sur un prolongement du support 41 du plateau rotatif de l'enclume 1 b, le centre du gabarit, le centre de l'enclume, et le pivot 42, étant initialement alignés. 



   Le plateau denté 32 porte un axe central 98, sur lequel est centré un pignon conique 99, directement en prise avec un autre pignon coni- que 100 sur l'arbre 101, relié au moyen d'un joint universel 102 à l'arbre 103, lui-même relié par le point universel 104 à l'arbre 105. Sur cet arbre 105 repose un pignon conique 106 directement en prise avec un pignon conique 107 sur l'axe 97. 



   De cette façon;, à condition de prévoir des rapports d'engrenages appropriés, l'enclume 1 b peut être parfaitement synchronisée avec le gaba- rit 94. 



   Le gabarit 94 comporte des secteurs isolés, dont trois, 94 a,   94 b,   94 c, sont visibles sur la figure., et des secteurs évidés non isolés, dont l'un 94 d, est indiqué dans la fig. 11. 



   Le gabarit comporte une rainure en spirale dans laquelle se déplace un stylet-tâteur 108 dont la monture 109 est isolée, mais qui est relié électriquement à un pôle 110 d'un circuit spécial. Le gabarit est lui- même isolé de ses montureso Un second pôle est relié à une partie non isolée du gabarit, ou mis à la terre., et chaque fois que le stylet entre en contact avec une partie du disque qui est isolée;, il s'établit un contact dans un circuit qui comporte le moteur d'accélération   64.   



   Le support 41 est relié par-un pivot 141 au support 95 du ga- barit 94, pour un mouvement relatif limité., ce qui est possible grâce aux deux joints universels 102 et 104. Sur l'axe 97 du gabarit 94, est monté fixe un pignon   142,   lequel pignon 142 actionne un réducteur 143; le dernier pignon 144 est en prise avec une crémaillère circulaire 145, qui est montée fixe, de même que le pivot central 42 du support 41, tandis que   141   est une articulation. 



   Lorsque le support   41   est progressivement déplacé et excentré par rapport au poinçon 2, le support 95 est également déplacé, et avance sur la crémaillère   145,   mais le capuchon et le gabarit tournent en synchronisme. 

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   Les fig. 12, 13, 5 et 16 représentent une autre variante,compor- tant un carrousel qui porte un groupe d'enclumes disposées en cercle. 



  Lorsqu'une filière est complètement percée et le moteur principal 18 débrayé par le compteur 84, l'enclume qui porte la filière percée est enlevée, une autre enclume., portant un capuchon non percé, vient se placer sous le poin- çon, et le perçage reprend. Ainsi, le dispositif permet un travail semi- continu, la seule tâche de l'ouvrier consistant à surveiller le travail, et à enlever les filières percées de leurs supports respectifs, pour les rempla- cer par les capuchonsnon percés. 



   Dans les fig. 12 et 13, le moteur auxiliaire 112 porte sur son arbre un disque 113 relié par des liaisons 114, 115 à un cliquet 116, repous- sé par un ressort 117 contre une des dents d'une roue à rochet 118 fixée sur l'arbre 119. Le dit arbre comporte une partie à section carrée 120 qui s'adapte à l'arbre tubulaire 121 du carrousel 122 portant un groupe d'enclu- mes disposées en cercle. Dans la fig. 13, l'une des enclumes se trouve au dessous du poinçon;, l'enclume 123 porte une filière déjà percée, et l'enclu- me 124 un capuchon non percé. 



   Dans le dispositif semi-continu que constitue cette variante, le poinçon doit avoir une course beaucoup plus longue, afin que, après la dernière course terminant le perçage de la filière, le poinçon se trouve relevé à une hauteur suffisante pour permettre la rotation du carrousel sans que la pointe du poinçon vienne heurter la partie supérieure de la filière. 



   Le système de perçage est identique, sauf quant à l'amplitude de la course, au système décrit plus haut. Toutefois, le dispositif d'ex- centrage du capuchon, bien qu'étant en principe le même que ci-dessus, comporte un mécanisme qui le repousse en arrière pendant la rotation du carrousel. Ce mécanisme est plus particulièrement représenté dans les fig. 



  5 et 16. 



   Le plateau 30 à fenêtres comporte axialement un tube 123 solide- ment emmanché dans un collier 124 du plateau normal. Ce tube 123 a porte un alésage carré dans lequel est engagée une tige carrée 125 dont l'extrémité supérieure est chanfreinée,ainsi qu'on le voit dans la fig. 5. Pendant le perçage, le plateau-support avec tout le système qu'il porte est déplacé, soit graduellement, soit de manière intermittente, dans le sens des flèches E par rapport au carrousel 122. Pour pouvoir déplacer également l'enclume 1 b, la base de celle-ci est coulissable dans une monture du carrousel 122. 



  Ce mouvement est représenté dans la fig. 13 pour l'enclume 123. Le capuchon 1 avec sa monture 123 est coulissable dans deux glissières 126, 127, au moy- en de deux glissières latérales 128, 129. La monture 123, en se déplaçant, comprime un ressort 130. Le mouvement de glissement est imprimé par la par- tie supérieure de la tige 125 qui repousse une dent d'une came 131 de la glissière. Quand le perçage est terminé, la monture 123 de l'enclume se trouve dans la position représentée en fige 16. Le carrousel 122 commence alors à tourner dans le sens de la flèche E.

   La tige 125, repoussée vers le bas par une seconde dent 132 de la monture 123, comprime le ressort 125 a, et aurait tendance à s'enclencher derrière 132, mais une rampe 133 a été prévue dans la paroi latérale de l'alésage du carrousel 122, ce qui permet à la partie supérieure de la tige de glisser à nouveau sous le carrousel jusqu'à ce que le carrousel ait tourné de 60 , dans le cas de 6 postes, pour s'enclencher à ce moment entre les dents de l'enclume suivante. 



   Pendant le perçages le carrousel 122 est bloqué de la maniè- re habituelle par un petit verrou à ressort 134 qui s'enclenche dans un évidement 135, et qui est poussé au moyen d'un ressort 136. 



   Pendant la rotation du carrousel, le plateau-support 41 est ra- 

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 mené à sa position primitive par rotation inverse au moyen du pignon 44 qui actionne la crémaillère 43,le   cliquet   38 se trouvant temporairement dégagé dans le même temps. 



   La remise à zéro du plateau-support 41 est effectuée au moyen de la crémaillère de remise à zéro 137 dont la forme particulière est très nettement visible dans la figo 13. Cette crémaillère de remise à zéro com- porte sur le bord 6 crémaillères courbes décalées et séparées par des parties échancrées. Elle est montée sur le manchon 121 du carrousel 122, et fixée sur le carrousel 122 par une visa 
Normalement,,, la crémaillère de remise à zéro   n'est   pas en prise, mais dès que le carrousel 122 commence à tourner,, l'une des crémaillères entre en prise avec le pignon 139 et actionne la boite   140   du réducteurqui commande un'prolongement 141 de l'engrenage à vis sans fin 59.

   La réduction   doit correspondre très exactement au recul du plateau-support 41. achéve Le moteur 112 entre en action lorsque le compteur 84 achève son   cycle d'avances, en même temps que le moteur principal est débrayés au moyen d'un double commutateur. 



   Une came (non   représentée).,   sur le manchon 121 du carrousel 122, actionne un système de tiges qui dégage au même moment le cliquet 38. 



  Par ailleurs., un système de chronomètre bien connu remet à zéro le compteur 84. 



   Au lieu du dispositif décrite on peut également envisager un sys- tème analogue à celui pour les changeurs de disques sur machines parlantes et comprenant un verin hydraulique pour l'enclume.

Claims (1)

  1. R E SU M E. - 1) Dispositif de perçage automatique de filières comprenant un support pour le montage du capuchon, un plateau rotatif pour porter le sup- port et un poinçon effectuant des mouvements de monte-et-baisse pour le per- çage du capuchon, avec commande positive à la montée et descente sous l'in- fluence d'un levier chargée puis des moyens pour le perçage successif des trous, et pour 19excentrage progressif du plateau.
    2) Dispositif selon 1) où les trous sont percés en rangées circulaires concentriques,, avec décalage excentrique brusque du support du capuchon à la fin de chaque cercle complet de perçage.
    3) Dispositif selon 1) où les trous sont percés en spirale, avec décalage progressif du centre du support du capuchon.
    4) Dispositif selon 1) et 2) ou 1) et 3) amev moyens, interrom- pant le perçage selon plusieurs arcs régulièrement espacés d'une rotation complète du support du capuchon pour constituer des secteurs comportant des trous alternant avec des secteurs non percés.
    5) Dispositif selon 1) avec poinçon centré sur une glissière inférieure rattachée par un joint homocinétique à une glissière supérieure dont le mouvement de monte-et-baisse est commandé par une came mise en ro- tation par le moteur principal du bâti avec une réduction appropriée, cette came agissant sur un levier coudé avec un pignon en prise avec une crémail- lère sur la glissière supérieures et comportant dans le dit pignon un dis- positif à roue libres assurant une commande positive à la montée seulement de la glissière.
    6) Dispositif selon 4) avec plateau composé d'un disque supérieur comprenant plusieurs fenêtres régulièrement espacées, d'un second disque mé- dian à couronne dentée, et d'un troisième disque inférieur à couronne dentée, ces disques étant associés rigidement pour la rotation intermittente collec- tive donnée par un équipage à cliquet (s), commandant le disque intermédiai- <Desc/Clms Page number 10> re sous l'influence d'un levier à fourche oscillant, commandé par une came co-axiale avec la came commandant la glissière mais en opposition.
    7) Dispositif selon 6) avec vis micrométrique de réglage de 1' avance angulaire du plateau, laquelle vis forme une butée pour l'équipage qui comprend un ressort compressible.
    8) Dispositif selon 1) avec plateau porté par une plate-bande, pouvant pivoter horizontalement sur un pivot fixe d'un bâti portant l'en- semble.
    9) Dispositif selon 8) avec pivotement de la plate-bande causé par la rotation du plateau, dont le disque inférieur s'engrène avec un autre disque denté qui transmet sa rotation par une transmission à un pignon sur un axe vertical dans l'extrémité libre de la plate-bande, lequel pignon s'engrène avec une crémaillère courbe fixée sur le bâti, avec a) rotation intermittente du pignon, par emploi d'une came commandée par la transmission, et donnant une avance brusque déterminée au pignon en fin de chaque rotation du plateau, selon µ 2 ci-dessus. b) rotation lente constante du pignon commandé avec réduction convenable par la transmission, selon 3 du résumé.
    10) Dispositif selon 6) avec palpeur vertical articulé au bras chargé commandant le poinçon et reposant sur le disque supérieur du plateau, pour permettre la descente complète des glissières seulement lorsque la poin- te inférieure très dure du palpeur pénètre à travers les fenêtres pdur repo- ser sur le disque médian, alors que lorsque le palpeur rencontre les parties pleines entre les fenêtres du disque supérieur, la descente complète du poin- çon ne peut pas avoir lieu.
    Il) Dispositif selon 1) avec moyens d'accélération de la rota- tion du plateau en correspondance avec le passage du palpeur sur les parties .pleines du disque supérieur et comprenant notamment un circuit clos par le palpeur lorsqu'il reste levé sur les parties pleines du disque supérieur du plateau, et mettant en marche un petit moteur d'accélération commandant un pignon, s'engrenant avec le disque inférieur du plateau et tournant normale- ment à vide.
    12) Dispositif selon les paragraphes précédents isolément ou en combinaisons quelconques avec compteur du nombre de cycles de monte-et- baisse du poinçon et arrêtant le dispositif automatiquement après un nom- bre de poinçonnages déterminé.
    13) Dispositif selon 12) avec languette fixée sur la glissière supérieure du poinçon et fermant à chaque descente un contact dans un cir- cuit comprenant un solénoide, avec un noyau en fer doux qui est attiré à chaque descente, lequel noyau est relié à la manivelle d'un compteur méca- nique à roues dentées, ce dispositif comportant sur les roues dentées des bagues fendues en regard du chiffre composant le nombre désiré de poinçonna- ge par capuchon, et une butée reposant transversalement sur les bagues,pour pouvoir pénétrer dans les fentes lorsque celles-ci sont alignées, en corres- pondance avec la position du compteur en fin de perçage, la pénétration de la butée dans les fentes alignées donnant lieu au déclenchement du moteur géné- ral.
    14) Dispositif selon 12) et 13) avec compteur auxiliaire de sécurité comptant le nombre de rotatiors du plateau et débrayant le moteur général lors- que le nombre de rotations désiré est atteint.
    15) Dispositif selon 14) avec train de réduction commandé par le disque inférieur du plateau et commandant un pignon avec doigt déclencheur lequel pignon fait un tour complet pour le nombre de rotations désiré du pla- teau.
    16) Dispositif selon 12) avec verrou arrêtant la descente des glissières lors de la casse accidentelle d'un poinçon et comprenant un micros- <Desc/Clms Page number 11> cope d'observation centré sur la pointe du poinçon, avec moyens d'éclai- rage appropriés, et un prisme déviant une partie du faisceau, vers une cellule photoélectrique, reliée à un amplificateur électronique commandant un verrou électromagnétique, de telle façon qu'une modification sensible de l'intensité du faisceau lumineux, par suite de rupture de la pointe du poin- çon provoque le déclenchement du verrou.
    17) Dispositif selon 1) avec rotation et excentrage du plateau du capuchon relié à la rotation d'un plateau-gabarit représentant le schéma de perçage à échelle très fortement agrandie, avec trous signalés dans un sillon en spirale qui est palpé par un tâteur à aiguille cheminant dans le sillon et qui commande la position de la plate-bande pivotante portant le plateau du capuchon, avec moyens assurant la descente du poinçon pour cha- que trou décelé par le tâteur dans le sillon du plateau-gabarit.
    18) Dispositif selon 1) avec carrousel portant plusieurs supports de filières en groupe circulaire et subissant une rotation partielle lors- qu'une filière est complètement percée, ce dispositif étant remarquable par des moyens d'excentrage à glissière du support de la filière en cours de perçage, et des moyens pour le retour automatique du support dans sa posi- tion initiale.
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