CH290626A - Machine à calculer. - Google Patents

Machine à calculer.

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CH290626A
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Sutter Robert
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Sutter Robert
Gysin Ernest
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    • GPHYSICS
    • G06COMPUTING; CALCULATING OR COUNTING
    • G06CDIGITAL COMPUTERS IN WHICH ALL THE COMPUTATION IS EFFECTED MECHANICALLY
    • G06C7/00Input mechanisms
    • G06C7/02Keyboards
    • G06C7/08Keyboards with one set of keys for all denominations, e.g. ten-key board

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Description


      Machine    à     calculer.       Il existe sur le marché plusieurs types de  machines à     calculer    permettant d'effectuer  rapidement les opérations d'addition et de  soustraction. D'une manière générale, ces  machines, bien que très appréciées, ne peu  vent atteindre une grande diffusion vu leur  prix élevé. Ce prix élevé est     dîi    au fait que  ces machines comportent des mécanismes dé  licats et un nombre considérable de pièces  différentes d'un montage long et onéreux.       Plusieurs    de ces machines comportent  1  Un clavier de touches permettant, par  manipulation de celles-ci, l'enregistrement.  des chiffres composant le nombre à intro  duire.  



       2     Des organes d'enregistrement actionnés  successivement par la manipulation des tou  ches.  



  3  Un organe     d'actionnement    manuel pro  voquant l'opération de calcul (addition ou  soustraction) avec apparition du résultat sur  des tambours totalisateurs.  



  Toutefois, la complication de chacun de  ces mécanismes et des mécanismes reliant  ceux-ci les     uns        aux        autres    est telle que le prix  de revient de ces machines est prohibitif.  



  La présente invention a pour objet     une     machine à calculer comportant.un clavier de  touches, des organes d'enregistrement du nom  bre introduit par la manipulation des tou  ches, un dispositif d'addition et de soustrac  tion actionné par     un    mécanisme d'entraîne  ment et muni de tambours totalisateurs, et  un dispositif de remise à zéro des organes      d'enregistrement.

   Cette machine se distingue       des    machines à     calculer    connues par le fait  qu'elle comporte trois ensembles partiels mon  tés individuellement sur un bâti portant le  mécanisme d'entraînement ainsi que divers  mécanismes     d'actionnement,    et par le fait que  chacun de ces ensembles partiels comporte  des jeux de pièces identiques, le premier en  semble partiel comportant neuf mécanismes  de positionnement semblables entre eux,.

    actionnés chacun par l'une des touches du  clavier et     destinés    au positionnement des  organes d'enregistrement, le second ensemble  partiel comportant lesdits organes d'enregis  trement montés sur un chariot actionné- pas  à pas par la manipulation des touches, le troi  sième ensemble comportant des mécanismes       d'actionnement    des tambours totalisateurs et  des dispositifs de report montés sur un sup  port mobile.  



  Le dessin annexé illustre, à titre d'exem  ple et schématiquement, une forme d'exécu  tion de la machine faisant l'objet de l'inven  tion.  



  La     fig.    1 en est     une    vue perspective.  



  La     fig.    2 en est une     vile    en plan, le cou  vercle étant retiré.  



  La     fig.    3 est     une    vue en plan des orga  nes montés sur une plaque de base, un cha  riot portant des organes d'enregistrement et  un support mobile portant des tambours tota  lisateurs étant retirés.  



  La     fig.    4 est une vue en plan d'un ensem  ble partiel formé par des     mécanismes    de -posi-      bonnement des organes d'enregistrement, des  leviers 26 portant des butées 25 étant retirés.  



  La     fig.    5 est une     vue    de face d'un     ensem-          ble    partiel formé par des touches et leurs       crémaillères.     



  La     fig.    6     est        une    vue     perspective    des orga  nes mécaniques reliant les touches aux organes  d'enregistrement portés par le chariot.  



  La     fig.    7 est     une    vue perspective partielle       d'un    mécanisme actionné par la manipulation  de la touche portant le zéro.  



  La     fig.    8 est une     vue    perspective de détail  illustrant partiellement des dispositifs de  commande de la correction et de la soustrac  tion.  



  La     fig.    9 est une vue en coupe partielle  suivant la ligne     IX-IX    de la     fig.    2.  



  La     fig.    10 est     une        vue    en plan de l'ensem  ble partiel formé par le chariot portant les  organes     d'enregistrement.     



  La     fig.    11 est     une    vue en coupe et à grande  échelle suivant la ligne XI-XI de la     fig.    10.  La     fig.    12 est une vue en plan de l'en  -semble partiel formé par le support mobile  portant les tambours totalisateurs et les mé  canismes de report.  



  La     fig.    13 est une vue en coupe et à     phis     grande échelle suivant la ligne     XIII-XIII     de la     fig.    12.  



  La     fig.    14 est une vue en coupe partielle  suivant la ligne     XIV-XIV    de la     fig.    2.  



  La     fig.    15 est une vue en coupe partielle  suivant la ligne     XV-XV    de la     fig.    2, l'or  gane de     commande        M    étant retiré.  



  La     fig.    16 est une -nie en coupe partielle  suivant la ligne     XVI-XVI    de la     fig.    3 et       illustrant    un détail.  



  La machine à calculer représentée com  porte     -un    carter     renfermant    et protégeant  tous les mécanismes. Ce carter comporte un  couvercle     amovible    C, fixé par des vis     v    à  une plaque<I>b</I>     (fig.    2) munie de pieds<I>p.</I> De  ce couvercle émergent  a) Un clavier de touches t     nuunérotées    de  0 à 9.  



  <I>b)</I> Un organe de commande manuelle<B>11.</B>  c) Un organe de remise à zéro     R        (fig.    2).  d) Deux organes de     manoeuvre    S et A.    En outre, ce couvercle C comporte deux  fenêtres Fi et     F.,    dont l'une, Fi,     laisse    appa  raître le nombre introduit par la manipula  tion des     touches,    tandis que l'autre,     F,,,        laisse     apparaître le résultat de l'opération (addi  tion ou soustraction) effectuée.  



  Les divers     mécanismes    que comporte la  machine représentée peuvent, être divisés en  quatre groupes principaux:  a) Mécanisme de mise en position d'orga  nes d'enregistrement e du nombre manipulé.  Ce mécanisme forme un     ensemble    partiel fixé  sur la plaque de base b et relié mécanique  ment aux touches t.  



  b) Mécanisme     d'enregistrement    du nombre  manipulé. Ce mécanisme porté par un cha  riot V comporte les organes d'enregistrement  e et des tambours de contrôle te.  



  c) Un mécanisme totalisateur porté par  un support mobile     U.    Ce mécanisme totalisa  teur comporte des tambours totalisateurs T,  un dispositif d'entraînement de     ceux-ci    et un  mécanisme de report. . .  



  d) Divers     dispositifs        d'actionnement    mon  tés sur la plaque de base b, commandés par  les organes de     manoeuvre    A et S et entraînés  par un mécanisme d'entraînement commandé  par l'organe de commande M.  



  Les touches     (fig.    5 et 6) sont constituées  chacune par un poussoir comportant une tête  formant la touche proprement dite, fixée à  l'extrémité d'une tige 1. Cette tige coulisse  dans des guides 2 et porte une crémaillère 10.  Les guides 2 sont aménagés dans deux pla  tines     -1    et 5 fixées rigidement     l'une    à     l'autre     au moyen d'organes de serrage 7 et d'entre  toises 6. L'ensemble partiel ainsi formé est  fixé rigidement sur la. plaque de base b par  l'intermédiaire d'entretoises 6a et d'organes  de serrage 8. Chaque tige est soumise à l'ac  tion d'un ressort r tendant à la maintenir  dans la position représentée au dessin, défi  nie par une butée 9 prenant appui sur la  face inférieure de la platine 5.  



  Chaque crémaillère 10     portée    par     un    pous  soir engrène avec un secteur denté 11     (fig.    5  et 6) fixé rigidement sur un axe 12 tournant  dans des paliers aménagés dans des parois 14      et .22, reliées rigidement entre elles par un  pont 16     (fig.    4). Chaque axe 12 porte un  doigt 17 engagé dans une entaille 18 prati  quée dans un     coulisseau    19.  



  Chaque extrémité de chaque coulisseau 19  présente une lumière 20 traversée par une  tige 21 formant guide et dont les extrémités  tournent dans des trous borgnes pratiqués,  d'une part, dans une paroi 15 et, d'autre  part, clans la paroi 22. Ces deux parois 15 et  22 sont maintenues rigidement entre elles par       un    pont 23     (fig.    4). Ce dernier présente des  ouvertures 24 formant guides pour des bu  tées 25 portées chacune par un. levier 26  tournant librement sur un axe 27 dont les  extrémités prennent appui sur les parois 15  et 22. Chaque levier 26 porte un doigt 29 en  gagé dans une encoche 28 pratiquée     dans     chacun des coulisseaux 19 correspondant aux  touches portant les numéros d'ordre de 1 à 9.  



  Un étrier 30, articulé en 31 sur les parois  15 et 22 et soumis à l'action d'un ressort 32,  porte un organe     d'actionnement    33 prenant  appui sur les extrémités des coulisseaux 19.  Cet. étrier est relié par une biellette 34 à une  pièce 35 tournant librement sur un axe 36  pivoté dans deux parois 37     (fig.    3) fixées  rigidement sur la plaque de base     b.    Cette  pièce 35 porte un cliquet d'échappement 38  et un cliquet de retenue 39 coopérant avec une  roue d'échappement 40. L'axe 36 est relié  mécaniquement à la pièce 35 par un accou  plement à un seul sens d'entraînement. Ce  dernier est constitué, d'une part, par une  came munie d'une dent 75 et fixée rigidement  sur l'axe 36 et, d'autre part, par un cliquet  76 articulé en 77 sur la pièce 35.

   Un ressort  43     (fig.    3) tend à maintenir la dent 75 en  contact avec le cliquet 76, tandis qu'un res  sort 78 tend à maintenir ce     cliquet    en con  tact avec le profil de la came.  



  Le coulisseau 19 correspondant à. la tou  che portant le numéro d'ordre 0 présente une  entaille 82     (fig.    7) avec laquelle coopère un  doigt 83 fixé rigidement à un axe 84. Ce  dernier est pivoté dans les parois 15 et 22 et  porte une came     84a    coopérant avec un ergot  85 porté par le cliquet 76.    L'axe 36 porte encore un levier. 41 muni  d'un talon 44 destiné à actionner individuel  lement et l'un après , l'autre des cliquets 45  pivotés librement sur un axe 46. Le talon 44  exerce -une poussée sur un bec 49 contre l'ac  tion d'un ressort 47     (fig.    11), afin de provo  quer le dégagement de l'extrémité du cliquet  45 d'une denture 48 portée par chacun des  organes d'enregistrement e.

   Ces derniers sont  montés sur le chariot V qui comporte deux  platines 50     (fig.    10) reliées rigidement entre  elles par des entretoises 51 et- sont pourvues  de perçages 52b     (fig.    11) destinés à recevoir       des    guides     52u        (fig.    2). Le chariot coulisse  le long de ces guides     52a    qui sont portés par  des supports 53 fixés rigidement sur la. plaque  de base b. Les extrémités de l'axe 46 prennent  appui sur les deux platines 50 et des ron  delles 54 fixent les positions axiales- des     cli-          quets    45.

   Chaque organe d'enregistrement e  présente une     hunière    55 traversée par des  guides 42 fixés par leurs extrémités -aux pla  tines 50. Les entretoises 51 présentent encore  des entailles 56     (fig.    11), de     forme-rectan-          gulaire,    dans lesquelles coulissent les organes  d'enregistrement e. Ainsi, ces derniers sont  guidés dans leur plan et perpendiculairement  à leurs plans par lesdites entretoises 51 et  les -guides 42.  



  Chaque organe d'enregistrement e pré  sente, en outre,     tme    crémaillère 57 engrenant  chacune avec un pignon 58     (fig.    6, 10 et 11)  solidaire d'un tambour de contrôle- te. Ces  tambours tournent librement sur un axe 59  prenant appui par ses extrémités sur les pla  tines 50 du chariot V. La position     axiale-    de  chaque tambour de contrôle est fixée par des  douilles d'écartement 60 engagées sur l'axe  59. Chaque organe d'enregistrement e est sou  mis à l'action d'un ressort 80 tendant à le  déplacer vers le haut de la     fig.    2. ou 10, leurs  positions étant définies par l'une des dents  des dentures 48     prenant    appui sur l'un des  cliquets 45.

   Enfin, chaque organe d'enregis  trement     e    porte encore un bec 81 destiné à  coopérer avec les butées 25 portées par les       leviers    26. Ces dernières butées sont équidis  tantes et leur écartement correspond au pas      de la dent-Lire 48. Le déplacement d'un organe  d'enregistrement d'une valeur égale au pas  de la     denture    48 provoque un déplacement       angulaire    de son tambour de contrôle d'un  dixième de tour.  



  Le chariot V porte encore deux crémail  lères 61     (fig.    11) engrenant avec des roues  dentées 62     (fig.    3) fixées rigidement sur un  axe 63. Ce dernier tourne. dans des paliers  aménagés dans les parois 37 et porte, fixée  rigidement à son extrémité, une roue à crans  68 qui constitue l'une des parties     d'un    accou  plement. La seconde partie de ce dernier est  constituée par un cliquet 69 articulé en 70  sur la roue d'échappement 40 et soumis à  l'action     d'-an    ressort 71. Ce     ressort    tend à       maintenir    le cliquet en position d'engagement  avec la roue à crans 68.  



  _ Enfin, le chariot V est     solunis    à l'action       d'un    ressort logé dans un barillet 64 tournant  librement     sur    un axe 65 porté par une patte  66 solidaire de la plaque de base. Ce barillet,  relié - au chariot V par un ruban 67 s'enrou  lant sur sa périphérie, tend à déplacer le  chariot V vers la gauche de la     fig.    2.  



  Comme représenté au     dessin,    les touches t  portent     chacune    leur     crémaillère    10 et sont  engagées dans leurs guides 2. Elles forment  ainsi un ensemble partiel pouvant être monté       d'un_    bloc sur la plaque de base b par serrage  des vis 8.  



  De même, le     mécanisme    de transmission,  avec ses secteurs dentés, ses     coulisseaux    19  et son étrier 30, forme un ensemble partiel  qui peut être assemblé séparément et     .Fixé     d'un bloc sur la plaque de base b au moyen  de vis 89 engagées dans des colonnettes 90  fixées rigidement sur la plaque de base. La  mise en place. de cet ensemble partiel étant  terminée, la biellette 34, faisant partie des  organes montés préalablement sur la plaque  de base b, est montée sur l'extrémité de l'or  gane     d'actionnement    33.

     En outre,. le chariot V avec ses organes  d'enregistrement e, leurs cliquets de retenue  45 et les tambours de contrôle<I>te,</I> constitue  également un ensemble partiel assemblé sé  parément et monté ensuite sur ses guides 52a.    Les divers dispositifs et mécanismes dé  crits ci-dessus permettent à l'usager d'intro  duire un nombre dans la machine à calculer.  En effet, lorsque l'une des touches portant.  l'un des numéros d'ordre de 1 à 9 est abais  sée contre l'action de son ressort     r,    le     coulis-          seau    19 correspondant est déplacé vers la  droite de la     fig.    6.  



  Ce déplacement d'un coulisseau 19 provo  que:  a) Une oscillation du levier 26 correspon  dant, provoquant la mise en position de tra  vail de la butée 25 correspondante, c'est-à-dire  dans une position pour laquelle elle émerge du  pont 23.  



  b)     L'actionnement    de l'étrier 30 et donc  l'oscillation, dans le sens des aiguilles d'une  montre, de la pièce 35. Cette oscillation pro  voque:  1  Une levée du levier 41 dont le talon  44, exerçant une poussée     surlebec49,actionne     le cliquet 45 contre l'action de son ressort 47.  Le déplacement angulaire du cliquet 45 pro  voque la libération de l'organe d'enregistre  ment e situé en position de travail (position  occupée sur la     fig.    2 par l'organe e extrême  de gauche). Cet. organe d'enregistrement. se  déplace alors dans son plan, sous l'action de  son ressort 80, jusqu'à une position définie  par le bec 81, venant prendre appui sur la  butée 25 placée en position de travail.  



  2  L'échappement du cliquet 38 et le dé  placement du chariot V le long de ses     guides          52a    sous l'action du ressort logé dans le ba  rillet 64.  



  3  L'engagement du cliquet de retenue 39  avec la roue à écrans 40 et l'arrêt du chariot     V.     Les butées 25 sont équidistantes et dispo  sées à la manière des butées d'un tabulateur.  Leur écartement est choisi de manière qu'un  déplacement de translation dans son plan  d'un organe d'enregistrement e, correspon  dant à cet écartement, provoque une rotation  d'un dixième de tour du tambour de con  trôle te relié mécaniquement à cet organe  d'enregistrement. Dès lors, on comprend sans  autre qu'après manipulation de la première  touche t apparaisse, dans la fenêtre     Fi,    le      chiffre correspondant au numéro d'ordre de  la touche manipulée.

   Lorsque     l'usager    relâche  la touche abaissée, le coulisseau 19 revient à  sa position primitive ou de repos, sous l'ac  tion du ressort de rappel     r    de la touche<I>t, et</I>  l'étrier 30 revient également dans sa posi  tion primitive sous l'action de son ressort de  rappel 32. Cette position de repos est définie  par la tige 33 prenant appui sur les extrémi  tés des     coulisseaux    19. Au cours de ce déplace  ment de retour de l'étrier 30, le cliquet de  retenue 39 échappe aux crans- de la roue 40  et le chariot V est à nouveau déplacé vers la  gauche du dessin jusque dans une position  définie par le cliquet 38 entrant en prise  avec l'un des crans de cette roue 40. Ainsi, le  chariot V est déplacé pas à pas par la mani  pulation des touches t.

   Le pas des crans de  cette roue 40 est choisi de manière à obtenir  une amplitude des pas     correspondant    aux  intervalles     j    des organes d'enregistrement e.  Il s'ensuit qu'après retour de la touche t ma  nipulée à sa position primitive, définie par la  butée 9 prenant appui sur la platine 5, le  talon 44 du levier 41 se trouve être en regard  du bec 49 du     cliquet    45 coopérant avec la  denture 48 de l'organe e d'enregistrement si  tué immédiatement à droite de celui posi  tionné par la manipulation de ladite touche  t, d'une part, et que, d'autre     pari:,    le bec 81  du second organe d'enregistrement e men  tionné est maintenant situé dans un plan cou  pant perpendiculairement les butées 25.

   En  d'autres termes, le chariot V est maintenant  à nouveau dans une position permettant le  positionnement d'un organe e et prêt pour  l'enregistrement du second chiffre du nom  bre à enregistrer.  



  Le coulisseau 19 correspondant à la tou  che t portant le numéro d'ordre zéro n'ac  tionne aucun levier 26     (voir-    fie. 7). Par  contre, l'extrémité de ce     coulisseau    actionne  l'étrier 30 qui engendre     _    le déplacement du  chariot V, vers la gauche du dessin, d'une  amplitude égale à un pas. Toutefois, comme  représenté à la-fie. 7, ce coulisseau provoque,  par l'intermédiaire du doigt 83 engagé dans  l'encoche 82, le dégagement. des deux parties    de l'accouplement 75, 76 reliant la pièce 35  au levier 41.

   En conséquence, ce dernier n'est  pas actionné par la manipulation de la tou  che 0, de sorte que l'organe d'enregistrement  e, situé en position d'enregistrement, n'est  pas libéré et reste donc dans sa position de  repos (position représentée à la     fig.    2) et  pour laquelle le chiffre 0 de son tambour     tc     apparaît dans la fenêtre Fi..  



  La machine représentée comporte encore  lin quatrième ensemble partiel     (fig.    12 et 13)  constitué par un support oscillant     'l    portant  les organes     d'entraînement        des    tambours to  talisateurs T, le dispositif dé report et le dis  positif de remise à zéro desdits tambours. Cet  ensemble partiel comporte deux platines 91,  maintenues rigidement l'une par rapport à  l'autre par des brides 92. Ces platines oscil  lent sur un axe 93 à dix pans, porté par des  supports 94 fixés rigidement sur la plaque  de base b. Cinq axes 95, 96, 97, 98, 99 pren  nent appui par leurs extrémités sur les pla  tines 91.  



  L'axe 95 porte neuf pignons 100 équidis  tants et dont les écartements     j    correspondent  à ceux des neuf organes d'enregistrement e.  Ces pignons 100 engrènent chacun avec l'une  des neuf roues dentées 101 tournant libre  ment sur l'axe 96 et qui, à leur tour, engrè  nent avec neuf roues dentées intermédiaires  102 tournant librement. sur l'axe 97. Ces roues  intermédiaires sont disposées chacune dans  un plan décalé par rapport au plan conte  nant les pignons 100 et les- roues dentées 101,  mais leur écartement est toujours égal à     j.          Ainsi,        seule    une partie de la     largeur    de ces  roues 102 est en prise avec les dents des  roues 101 (voir fi-. 12).

   Les neuf tambours  totalisateurs T tournent librement sur l'axe  98 et sont entraînés chacun par un pignon.  103 engrenant chacun avec l'une -.des neuf  roues dentées intermédiaires 102. Enfin, l'axe  99 porte des organes de report 106, actionnés  eux-mêmes par des doigts 104 fixés rigide  ment sur l'axe à,     dix.    pans 93, dans des posi  tions angulaires définies.  



  " Des dispositifs d'arrêt définissent les po  sitions angulaires que peuvent . occuper les           organes    de report 106.     Chacun    desdits dis  positifs d'arrêt comporte un pignon 107 fixé  rigidement à     lin    organe de report 106 et une  languette de     ressort    108 coopérant avec la  denture dudit pignon 107. De même, les posi  tions angulaires des tambours totalisateurs T,  pour lesquels l'un des chiffres de 0 à 9 apposé  sur leur périphérie est visible par la fenêtre       F'2,    sont définies par des languettes à ressort  109 coopérant avec la denture des roues den  tées 102.  



  Les huit .organes de report 106     (fig.    13)  sont constitués     chacun    par un organe sembla  ble à une croix de Malte à     six    branches. Ce,  organes 106 sont     disposés    sur l'axe 99 à égale  distance les uns des autres et leur écarte  ment     j    correspond à celui des tambours tota  lisateurs T et des roues dentées 101. Ces tam  bours T portent, d'une part, fixés sur leur  face frontale, des doigts 110 destinés à être  actionnés par les organes 106 et, d'autre part,  fixés sur leur périphérie, des doigts 111 des  tinés à actionner lesdits organes 106.

   Chaque       tambour    T porte dix doigts 110 disposés sy  métriquement autour de l'axe de rotation et  un seul     doigt    111 fixé dans une position angu  laire telle qu'il provoque, lors de la rotation  dudit tambour T, un déplacement angulaire  d'un douzième de tour de l'organe de     report106     correspondant lorsque le 9 dudit tambour T dis  paraît d'une fenêtre     f2    et que le zéro appa  raît dans     celle-ci;    la fenêtre     f2    correspond à  la fenêtre     F2        pratiquée    dans le couvercle.

   Ce  déplacement d'un douzième de tour de l'or  gane de report 106 place ce dernier dans     une     position     angulaire    pour laquelle, lors     d'une     rotation de l'axe 93, le doigt 104 correspon  dant agit sur le dos de l'une des dents 112  et déplace     angulairement    cet organe 106 d'un  douzième de tour. Or, comme indiqué plus  bas, lorsque l'axe 93 est entraîné en rotation,  une autre dent 112 de ce même organe de re  port 106 est en prise avec l'un des ergots 110  du tambour totalisateur voisin de gauche.     En     conséquence, ce dernier est. déplacé d'un  dixième de tour et l'opération de report est  réalisée.  



  Le     support    mobile U porte encore     un    dispo-         sitif    de remise à zéro des tambours totalisateurs  T. Ce dispositif est actionné par     l'organeR    qui  tourne librement sur l'axe 96 et émerge du cou  vercle. Cet organe R porte un engrenage 113  en prise avec un pignon 114 fixé rigidement  sur l'axe 95. Un ressort 115 tend à maintenir  une dent frontale 116, solidaire d'une douille  117 fixée sur l'axe 95, en prise avec une en  coche 118 pratiquée dans une came 119 fixée  à l'une des platines 91.

   Cette dent 116 et  cette encoche 118 constituent ensemble un ver  rou définissant la position angulaire de l'axe  95 pour laquelle le zéro de chaque tambour  totalisateur T apparaît dans la fenêtre     F2.     Chaque pignon 100 porte un plateau 120  muni d'un ergot 121, destiné à être actionné  par un doigt 122 solidaire de l'axe 95 et cou  lissant dans une lumière 123 pratiquée dans  une douille d'écartement 124.  



  Ainsi, lorsque l'usager actionne l'organe  R, il provoque l'entraînement en rotation de  l'axe 95, dont le déplacement angulaire en  gendre son déplacement axial contre l'action  du ressort 115, la dent 17:6 glissant le long  des parois inclinées de l'encoche 118. Ce dé  placement axial est suffisant pour qu'au  cours de la rotation de l'axe 95, ses doigts  122 viennent en prise avec les ergots 121 et  les entraînent. Lorsque l'axe 95 a effectué un  tour complet, la dent 116 tombe dans l'enco  che 118 et verrouille l'axe 95 à nouveau dans       la;    position angulaire représentée au dessin.  En outre, le déplacement. axial de cet axe 95,  sous l'action du ressort 115, provoque l'inter  ruption des liaisons mécaniques reliant l'or  gane R aux tambours totalisateurs T.

   En  effet, les doigts 122 sont à nouveau dans la  position axiale représentée à la     fig.    12,     c'est-          à-dire    hors de portée des ergots 121. Ces der  niers sont fixés sur les plateaux 120 dans des  positions telles que, lorsque la dent 116 tombe  dans l'encoche 118, le zéro de chacun des  tambours T apparaît dans la fenêtre     F2.     



  L'axe 98 portant les tambours T est prolongé  au-delà des deux platines 91 et ses extrémités  sons; engagées chacune dans une ouverture  126 pratiquée dans deux leviers 127 fixés      rigidement     sur,    un arbre oscillant 128     (fig.    8).  Ce dernier est porté par des paliers aména  gés     dans    des     supports    129, 130, 131 et 53.  Chaque ouverture 126 présente une face d'ap  pui 132 sur laquelle repose normalement une  extrémité de l'axe 98, un décrochement 133  clans lequel tombe l'extrémité de l'axe 98, sous  l'action du poids du support mobile U, lors  de l'oscillation de l'axe 128, et une face de  retenue     1257    interdisant un rebondissement du  support mobile pendant l'opération de cal  cul.  



  La commande de l'oscillation de l'arbre  128 ainsi que celle de l'opération de calcul  après introduction d'un nombre par manipu  lation des touches t sont provoquées par     l'ac-          tionnement    de l'organe de     commande    manuelle       JT.    Ce dernier tourne librement sur     im    axe  134     (fig.    15) porté par un support 135. L'or  gane de commande     ill    est relié mécaniquement  à une roue dentée 136 engrenant avec une  crémaillère 137 coulissant entre des guides 138.  Cette roue dentée porte sur sa face frontale  un secteur muni de crans 139 coopérant avec  un cliquet 140 pivoté sur un axe 141 et sou  mis à l'action d'un ressort 142.

   Ce secteur et  ce cliquet constituent -un dispositif de sécu  rité interdisant un retour de l'organe     !12    à sa  position de repos (représentée au dessin) aussi  longtemps que cet organe     D'1    n'a pas été- dé  placé d'un angle suffisant pour que le sec  teur 139 échappe au cliquet 140. Or, ce dé  placement angulaire est choisi, par construc  tion,     d'une    amplitude suffisante pour pro  voquer le retour de tous les tambours     tc    por  tés par le chariot V jusque dans leurs posi  tions     anjilaires    pour lesquelles leurs zéros  apparaissent dans la fenêtre FI.  



  La position de repos de l'organe de com  mande est définie par une face d'appui 143       (fig.    15) aménagée sur une pièce 144 fixée  rigidement sur la roue dentée 136 et prenant  appui sur une butée 145 à position réglable,  portée par la plaque de base     b.    Le déplace  ment angulaire de l'organe de commande     ill     est limité par une face     d'arrêt    146 venant  buter sur une butée 147,à position réglable,  portée par la plaque de base.    La crémaillère 137 porte un organe d'en  traînement 158 présentant une face d'appui  159 et     une    rampe 148     (fig.    8).

   La face d'ap  pui agit, lors du déplacement de la crémaillère  137 dans le sens de la flèche P, sur un ergot  149 solidaire d'un levier 150. Ce dernier est  pivoté librement sur l'extrémité de l'arbre  128 et porte un doigt 151 destiné à exercer  une poussée sur un bras 152 fixé rigidement  sur l'arbre 128.    Ainsi, lors de     l'aetionnement    de l'organe  de commande<I>Dl,</I> en sens opposé à celui des  aiguilles     d'une    montre, la crémaillère 137 est  déplacée dans le sens de la flèche P, puis la  face<B>159</B> attaque l'ergot 149 et provoque l'os  cillation du levier 150. L'ergot 149 glisse le  long de la face 159, puis échappe à celle-ci.

    Le déplacement angulaire du levier 150 pro  voque un déplacement angulaire, dans lé sens  opposé à celui des aiguilles d'une montre,  de l'arbre 128 contre l'action d'un ressort 154       (fig.    2), par l'intermédiaire du doigt 151  entraînant le bras 152. L'oscillation de l'ar  bre 128 est d'une amplitude suffisante pour  que la face d'appui 132 échappe à l'axe 98  et que celui-ci tombe dans     l'échancrure    133.  De     phis,    l'arbre 128 est     maintenu    dans cette  position par la face 86 de l'organe 158 le long  de laquelle     glisse    l'ergot 149. En conséquence,  le support mobile est verrouillé en position  abaissée par les faces de retenue 125.  



  En fin de course     d'actionnement    dé l'or  gane de commande     Dl,    l'ergot 149 échappe à  l'extrémité 153 de l'organe 158, ce qui pro  voque l'oscillation des leviers 127 sous l'ac  tion de leur ressort 154 et la libération du  support mobile.  



  L'extrémité de la crémaillère 137 est en  prise avec une roue dentée 156     (fig.    3) fixée  rigidement sur un arbre 157 tournant dans  des paliers aménagés dans des supports 155,  94, 160, 161 fixés sur la plaque de     basé.    Cet  arbre 157 porte une roue à gorge 162 sur       laquelle    est fixée l'une des extrémités d'un  ressort de rappel 163 dont     l'antre        extrémité     est retenue     dans    une attache 164.     fixée    sur la  face inférieure de la plaque de base b.      Lors du retour de la crémaillère 137 à sa  position de repos sous l'action du ressort 163,  l'ergot 149 glisse le long de la rampe 148.  



  L'arbre 157 porte encore deux roues den  tées. 1.65     (fig.    3 et 14) engrenant chacune  avec une crémaillère 166. Ces dernières sont  taillées     chacune    dans un poussoir 167     pourvu          d'i-ine    lumière 168 traversée par des guide  169, Ces deux poussoirs sont reliés l'un à  l'autre par une tige 170 formant entretoise.  Cette tige se déplace dans un plan parallèle  à la plaque de base b et vient agir sur les  faces frontales 243 des organes d'enregistre  ment e portés par le chariot V.  



       Ainsi,    lors de     l'actionnement    de l'organe  de commande     ill,    l'arbre 157, entraîné en  rotation, engendre un déplacement de trans  lation de la tige 170 dans le sens de la flè  che N. Cette tige repousse alors les organes  d'enregistrement e jusque dans leur position  de repos. De plus, le support mobile U étant,.  dès le début de     l'actionnement    de l'organe     i11,     mis en position de travail et verrouillé, comme  décrit plus haut, grâce à l'oscillation des deux  leviers 127, les engrenages 101 sont mainte  nus en prise avec les crémaillères 57 portées  par les organes d'enregistrement e.

   En consé  quence, une liaison mécanique est établie  entre au moins une partie des organes d'en  registrement e et un nombre correspondant  de tambours totalisateurs T. Le nombre de  roues dentées 101 engrenant avec une cré  maillère 57 correspond     atu    nombre de pas  effectués par le chariot V, et donc au nombre       de@chiffres    que comporte le nombre introduit  dans la     machine.    Les tambours totalisateurs  T sont alors actionnés par le déplacement des  organes d'enregistrement e sous la poussée  exercée par la tige 170. Il s'ensuit que le  nombre     introduit    dans la machine et enregis  tré par les organes e est reporté sur les tam  bours totalisateurs T..  



  En fin de course de l'organe de commande       i11.    et après libération de l'axe 98, une face       d'actionnement    k     (fig.    14), aménagée sur cha  cun des. poussoirs 167, vient. buter sur une  tige n reliant les deux platines 91 du support  mobile     U    et provoque le     relevage-    de ce der-    nier.

   Les leviers 127 reviennent alors     sous     l'action du ressort 154 jusque dans la posi  tion de repos représentée à la     fig.    8, définie  par un bec 240 porté par un bras     3-11    fixé  rigidement     sur    l'arbre 128 et prenant appui  sur la face latérale 242 de l'organe de     ma-          naeuvre        !1.     



  Si les tambours totalisateurs T étaient,  avant     actionnement    de l'organe de commande       i11,        dans    la position zéro, le nombre qui était       visible    dans la fenêtre     Pl    est maintenant  visible dans la fenêtre     F,.    Si, par contre, un  premier nombre avait déjà été introduit dans  la machine et reporté sur les tambours tota  lisateurs, le second     actionnement    de l'organe  <B>31,</B> après nouvelle manipulation des touches  t, provoque l'addition du second nombre ma  nipulé au premier nombre manipulé. Dans  ce cas, il peut arriver que l'un des tambour s  T, ou plusieurs d'entre eux, passent à nou  veau par la position zéro.

   Si tel est le cas,  le doigt 111 de chaque tambour passant de  la position 9 à la position zéro entre en prise  avec le pignon 107 correspondant et provoque  un déplacement angulaire d'un douzième de  tour de l'organe de report. 106 fixé     rigide-          ment    audit pignon 107. Cet organe 106 est  alors en position angulaire pour l'opération  de report qui a lieu par entraînement de  l'axe à dix pans 93 au cours du retour de  l'organe de commande<B>11</B> à sa position de  repos (position représentée au dessin) sous  l'action du ressort de rappel 163.  



  A cet effet, l'arbre 157 porte l'une des  parties d'un accouplement à un seul sens d'en  traînement qui. relie mécaniquement cet arbre,  d'une part, à l'axe à dix pans 93, qui porte  les doigts 104 et, d'autre part, aux roues den  tées 62     engrenant    avec les crémaillères 61 ,  portées par le. chariot V.

   Cet. accouplement  à -un seul sens d'entraînement est constitué,  d'une part, par un plateau 171     (fig.    9) fixé  rigidement sur l'arbre 157 et présentant deux  dents 172 disposées suivant un même dia  mètre et reliées l'une à l'autre par deux ram  pes 177 et, d'autre part,     par    un cliquet 173       articulé    en 174 sur la face frontale d'une  roue     dentée    175 tournant librement sur Par-           bre    157. Un ressort 176 maintient le cliquet  1.73 en contact avec les rampes 177. La roue  dentée 175 est reliée à l'axe 93 par un train  d'engrenages 178, 180.

   Les rapports de trans  mission sont     tels    que le déplacement. angulaire  de l'organe de' commande<I>!il,</I>     défini    par les  deux butées 145, 147 engendre un déplacement  angulaire de 180  de l'arbre 157. Par contre,  un tel déplacement de l'arbre 157 provoque,  par l'intermédiaire de l'accouplement 172,  173,     une    révolution complète de l'axe à     dix     pans 93. Ce dernier     porte    l'une des parties  d'un verrou     (fig.    12)     fixant    sa position de  repos.

   Ce verrou comporte, d'une     part,        un     canon 179, fixé sur l'axe 93 et présentant  une encoche 184 et, d'autre part, un bec 181  solidaire d'un levier 182 articulé en 183 sui  vant un axe perpendiculaire à l'axe 93. L'ex  trémité du second     bias    de ce levier 182 est  située en regard de l'extrémité de l'axe 99.  Ainsi, lorsque l'axe 93 est     entraîné    en rota  tion, dans le sens des aiguilles     d'ilne    montre,  le bec 181 est repoussé hors de l'encoche 184.  Il s'ensuit que le second bras du levier 182  déplace     axialement    l'axe 99 avec tous les  organes qu'il porte, contre l'action d'un res  sort 185.

   L'amplitude de ce déplacement axial  est telle que les organes de report 106 vien  nent se placer dans les plans de rotation des       doigts    104 et qu'une dent 112 de chacun d'eux  vient embrasser -un doigt 110.  



  Ainsi, au cours du mouvement     d &     retour  en position de repos de l'organe de     commande     JI, l'arbre 157 et l'axe 93 sont entraînés dans  le sens des aiguilles d'une montre et ceux des  organes de report 106 qui ont été au préala  ble déplacés d'un douzième de tour par un  tambour     totalisateur,    sont déplacés par les  doigts 104 correspondants, ceux-ci agissant  chacun sur le dos d'une dent 112. Le dépla  cement angulaire d'un organe de report pro  voque un déplacement angulaire d'un tam  bour T puisque l'une des dents 112 de ces  organes de report est en prise avec l'un des       doigts    110 fixé sur le tambour T voisin de  gauche.

   Le rapport de transmission entre les  organes de     report   <B>106</B> et les tambours T est  tel que chaque déplacement d'un organe de    report 106, provoqué par un doigt 104, engen  dre un déplacement du tambour T respectif  d'un     dixième    de tour, faisant apparaître dans  la fenêtre     F2    un chiffre d'une unité immé  diatement     supérieure    à celui     qui    apparaissait  juste après     l'actionnement    manuel de l'organe  de commande M.  



  En examinant le dessin     annexé,    on voit  que l'organe de report actionné par 'Lin tam  bour T pendant     l'actionnement    manuel de  l'organe de commande     M    actionne, au cours  du retour de cet organe à sa position de re  pos sous l'action du ressort de rappel 163, le  tambour T voisin situé à gauche du pre  mier tambour mentionné. Ainsi, le report est  effectué en deux temps,     un    premier temps de  préparation et de mise en position angulaire  des organes de report 106, puis un temps  d'action au cours duquel s'effectue le report.  



  Pendant que s'effectue le report, l'arbre  157     actionne    le chariot V, contre l'action de  son ressort logé dans le barillet 64, par l'in  termédiaire     d'une    couronne 186 solidaire de  la roue dentée 175. Cette couronne est en  prise avec un pignon d'angle 187 solidaire       d'iin    pignon 189 engrenant " avec un pignon  188.

   Ce dernier est fixé sur un arbre 190 pre  nant appui dans des paliers aménagés dans  des parois 191 fixées rigidement à la plaque  de base.     L'extrémité    de cet arbre 190 pré  sente en coupe     transversale        une    section de  forme non     circulaire    sur laquelle coulisse la  partie mobile 192 d'un accouplement à     im     seul sens     d'entraînement.    L'autre partie 193  de cet accouplement est fixée sur l'une des  roues 62 engrenant avec les crémaillères 61  fixées au chariot V.

   La partie mobile 192 pré  sente une gorge 194 dans laquelle est enga  gée     une    fourchette 195     pratiquée    dans l'ex  trémité de l'un des bras     d'un    levier 196 pi  voté sur un axe 197 vissé sur la plaque de  base b. Le second bras de ce levier présente  une extrémité taillée en pointe 198 engagée  dans une entaille 199 prévue dans l'un des  bras d'un levier 200 pivoté sur un axe 201  vissé sur la plaque de base et soumis à l'ac  tion     d'in    ressort 202.

   L'arbre 157 porte un  doigt de commande 203 coopérant avec     lin         levier 204 articulé en 205 sur le levier 196 et       soumis    à l'action d'un ressort de rappel 206  tendant à le maintenir dans la position repré  sentée à la     fig.    3 définie par une butée 207. Ce  levier 204 présente     une    extrémité coupée en  biais 208.  



  En examinant la     fig.    3, on conçoit aisé  ment que lors de     l'actionnement    manuel de  l'organe de commande     11l,    qui provoque une  rotation en sens contraire des aiguilles d'une  montre de l'arbre 157, le doigt 203 attaque  le levier 204 et provoque une oscillation du  levier 196 engendrant l'engagement des deux  parties de l'accouplement 192, 193. Toutefois,  l'arbre 157 étant relié à l'axe 190 par l'inter  médiaire de l'accouplement     à,    un seul sens       d'entraînement    172, 173, cet axe 190 n'est  pas     entraîné    en rotation.

   L'accouplement 192,  193 est     maintenu    en position engagée par un  bord 209, taillé en biais, du levier 200 qui  agit sur l'une des laces de la pointe 198.  



  Lorsque l'arbre 157 est     actionné    en sens  inverse par le ressort 163, l'axe 190 est en  traîné par     l'intermédiaire    de l'accouplement  172, 173 à un seul sens     d'entraînement    et les  organes de     transmission    186 à 189. En consé  quence, le chariot V est actionné vers la  droite de la     fig.    2 en direction de sa position  de repos, contre l'action de son ressort de  rappel logé dans le     barillet    64.  



  Lorsque le chariot atteint sa position de  repos, une butée 210     (fig.    3), solidaire de ce  dernier et coopérant avec une rampe 211  aménagée sur     une    partie 212 du levier 196,  provoque le dégagement des deux parties de  l'accouplement 192, 193 et     l'interruption    de  la liaison     mécanique    reliant l'arbre 157 aux       crémaillères    61 portées par le chariot V.  



  La     machine    représentée au dessin permet  d'effectuer également des soustractions. Pour  effectuer     -une    telle opération, l'usager ma  nipule le premier nombre, puis en action  nant l'organe de commande     i11,    après avoir  remis à zéro les tambours T à l'aide de l'or  gane     R,    reporte ce nombre sur les tambours  totalisateurs T. L'usager manipule alors le  second nombre, puis exerce une poussée sur  l'organe de     man#uvre    S avant d'actionner    l'organe de commande     11T.    Le déplacement clé  cet organe S contre l'action d'un ressort de  rappel 245 provoque -Lui déplacement axial  du support mobile U qui coulisse le long de  l'axe 93.

   Il est évident que l'axe 98 est prévu  d'une     longueur    suffisante     pour    que ses deux       extrémités    puissent toujours prendre appui  sur les faces 132, quelle que soit. la position  du support le long de l'axe 93. En outre, le  support     mobile    U est maintenu par un res  sort 246 dans la position représentée au des  sin, définie par une douille 247 prenant appui  sur le support<B>21.3.</B>  



  Le poussoir S porte un ergot 214 coopé  rant avec un doigt 215 solidaire d'un levier  216 pivoté en 217 sur un support 218. Ce  levier comporte une face 219 venant, lors de  l'abaissement de l'organe de commande S  constitué par un     poussôir,    en     prise    avec un  galet 220     (fig.    2) pivoté sur     un.    axe (non  visible) fixé à l'extrémité d'une équerre 221  solidaire de     l'une    des platines 91 du support  mobile U.  



  Le poussoir S est maintenu     dans    sa posi  tion abaissée par un cliquet 222 s'engageant,  sous l'action     d'un    ressort 223, dans une en  taille 224 pratiquée     dans    ledit poussoir. Le  déplacement axial du support mobile U pro  voqué par l'abaissement du poussoir est d'une  amplitude suffisante pour que les engrena  ges 101 ne puissent plus engrener avec les       crémaillères    57, mais que, par contre, les en  grenages 102, qui sont situés dans les plans  parallèles, engrènent avec ces dites crémail  lères.  



  Ainsi, les liaisons mécaniques entre les  organes d'enregistrement e et les tambours  totalisateurs T comportent un engrenage de  moins que     précédemment.,    de sorte que le sens  de rotation desdits tambours est inversé, mais  le rapport de transmission reste inchangé.

   En  outre, une patte 225     (fig.    2) solidaire de  l'équerre 221 et engagée entre deux pignons  baladeurs 180 et     180a    solidaires     l'iin    de l'au  tre, provoque un déplacement axial de ces  pignons le long de l'axe 93,     afin    de dégager  le pignon 180 de la roue dentée 178 et de faire  engrener le pignon     180a    avec un engrenage      intermédiaire 178a qui est lui-même en prise  avec la roue dentée 178     (fig.    2, 9, 12).

   Ainsi,  la liaison mécanique entre l'arbre 157 et l'axe  93 passe maintenant par     le    pignon intermé  diaire     178a,    ce qui inverse le sens de rota  tion de l'axe 93, tout en maintenant le même  rapport de transmission.  



  De ce qui précède et de l'examen du dessin       annexé,    on conçoit     aisément    que lorsque le  poussoir S est en position abaissée, le second  nombre     introduit    dans la machine par mani  pulation des touches t soit, par     l'actionnement     de l'organe 111, soustrait du premier nombre  introduit, puisque le sens de rotation     des    tam  bours T et des doigts 104 est- inversé.  



  Lorsque l'organe de commande<B>21</B> en  traîné par le ressort 163 arrive en fin de  course de retour, le     poussoir    S est libéré par  un dispositif de commande de son déverrouil  lage. Ce dispositif comporte un doigt oscil  lant 226 pivoté en 227 sur la face frontale  de la roue à gorge 162 et maintenu, par un  ressort 229, dans une position angulaire dé  finie par une butée 228     (fig.    16). Ce doigt  226 présente une extrémité coupée en biais  230 coopérant avec un doigt 232 fixé rigide  ment sur un axe 231 prenant appui sur les  supports 129 et 130. Cet axe porte un autre  doigt 233     (fig.    8) destiné à agir sur un ergot  234 solidaire du cliquet 222, contre l'action  du ressort de rappel 223.

   On voit     (fig.    16) que  lorsque l'arbre 157 tourne dans le sens des  aiguilles d'une montre, le doigt 226 oscille  et échappe au doigt 232. Par contre, lorsque  cet arbre tourne en sens inverse et que l'or  gane     i11    arrive en position de repos, le doigt  226 agit     sur    le doigt 232 et provoque une  oscillation de l'axe 231 et le déverrouillage  du poussoir S. Ce dernier revient alors, sous  l'action de son ressort 245, jusque dans sa  position de repos (représentée à la     fig.    8) et  définie par des     guides    235 butant dans les  extrémités de lumières 237 pratiquées dans  ledit poussoir.  



  Enfin, la     machine    représentée comporte  encore -un     polissoir    A permettant d'effectuer  une correction, c'est-à-dire d'annuler un nom  bre introduit dans la machine et enregistré    par les organes e. Ce poussoir A, coulissant  le long du support 129; est guidé par des  guides 236. traversant     des    lumières 237. Un  ressort 238 tend à le maintenir en position  de repos définie par les guides 236 butant  dans les extrémités des lumières 237.

   Ce pous  soir porte un doigt 239 destiné à agir sur le  bras 152, afin de faire pivoter ce dernier,  contre l'action de son ressort de rappel, d'un  angle suffisant pour le faire agir sur l'ergot  151 et     maintenir    le levier 150 dans une posi  tion pour laquelle le doigt 149 est hors de  portée de la face 159. Afin d'autoriser ce  déplacement angulaire de l'axe 128 dans le  sens des aiguilles d'une montre, un dégage  ment 255 est pratiqué dans le poussoir A pour  recevoir le bec 240. Un dispositif de retenue,  semblable à celui décrit en référence au pous  soir S, maintient le poussoir A en position  abaissée.

   On conçoit sans autre que lorsque  le poussoir A est abaissé,     l'actionnement    de  l'organe de commande M ne peut     phis    provo  quer     l'entraînement    des tambours totalisa  teurs T puisque le doigt 149, n'étant plus sur  le     chemin    de la face 159, le support mobile     ZT     reste en position relevée     (fig.    8) définie par  les extrémités de l'axe 98 prenant appui sur  les faces 132. Par contre,     l'actionnement    de  l'organe     ill    provoque encore     l'entraînement     de l'arbre 157 qui actionne les poussoirs 167  et la tige 170.

   Celle-ci repousse, jusque dans  leur position de repos, les organes d'enregistre  ment     e.    En outre, pendant le retour de l'organe       l11    à sa position de repos sous l'action du ressort  163, l'arbre 157     actionne    le chariot V, contre  l'action de son ressort, jusque dans sa position  de repos. Le poussoir A est alors libéré par le  doigt oscillant 226 et par     l'intermédiaire        d'un     dispositif de libération semblable à celui  prévu pour la libération du poussoir S.  



  Enfin, la machine à calculer représentée  est pourvue d'un dispositif de blocage des  touches t, interdisant la manipulation de  celles-ci dès que l'organe de     commande        i11    est  hors de sa position de repos. Ce dispositif de  blocage comporte     -Lin    doigt de commande 248  fixé sur l'arbre 128 et destiné à agir sur un  nez 249     ,solidaire    d'une pièce coulissante 250.      Cette dernière est guidée par des vis 251 blo  quées dans la plaque de base et traversant des       lumières    252.

   Cette pièce coulissante porte  une butée mobile 253 qui, lorsqu'elle est pla  cée en position active par le doigt 248, se  trouve en regard     d'une    queue 254 de la     biel-          lette    34 et interdit un déplacement de celle-ci  vers la droite de la     fig.    3 ou 6, et bloque donc  les touches t.  



  De ce qui précède et de l'examen du des  sin, on petit se rendre compte que la machine  à calculer représentée est d'un prix de re  vient notablement plus bas     que    toutes les  machines de ce genre proposées jusqu'à ce  jour. Ceci est dû principalement au fait que  les divers ensembles partiels peuvent être  montés entièrement pour eux-mêmes, puis  placés sans autre en position sur la plaque de  base     munie    de tous les mécanismes de liaison  et     d'actionnement    des organes de la machine.

    Les liaisons mécaniques entre les organes por  tés par les     ensembles    partiels et ceux montés  au préalable sur la plaque de base s'effectuent  automatiquement lors de la mise en place de  chaque ensemble partiel     sans    nécessiter aucun  réglage ou assemblage, à part le montage de  la biellette 34 sur l'organe 33. En outre, le  nombre de pièces différentes nécessaires au  montage de chaque ensemble partiel     petit    être       réduit    à un     minimum,    ce     qui    permet de ré  duire encore les frais de production et de  stockage.  



  Comme décrit plus haut, seul     un    réglage  est     nécessaire    pour permettre le bon fonc  tionnement de la machine après montage des  cinq ensembles partiels. En effet, seule la  position des butées réglables 145 et 147 doit  être réglée, afin de définir les deux positions  angulaires extrêmes que peut occuper l'or  gane de commande 111.  



  Ainsi, les temps de montage et de mise  au     point    sont réduits au minimum.  



  Un autre avantage de la machine décrite  est la grande simplicité de conception de son  mécanisme de positionnement des organes  enregistreurs.e. En effet, un mécanisme conçu  selon le principe d'un tabulateur, c'est-à-dire       comportant    -des butées escamotables mises en    position active par la     manipulation    des tou  ches, peut être prévu de construction     très     robuste et est d'un fonctionnement, extrême  ment sûr, précis et rapide. De plus, ce dis  positif élimine toute interpénétration des orga  nes du mécanisme de positionnement et des  organes portés     par    le chariot.  



  Le mécanisme     d'entraînement    peut     aussi     comporter un moteur électrique     entraînant.     les divers mécanismes     d'actionnement    par  l'intermédiaire d'un accouplement. La mise  en marche de ce     moteur    peut être commandée  par un organe de commande constitué par  une touche actionnant un interrupteur bran  ché dans le circuit d'alimentation de ce mo  teur.

Claims (1)

  1. REVENDICATION Machine à calculer comportant un clavier de touches, des organes d'enregistrement. du nombre introduit par la manipulation des touches, un dispositif d'addition et de sous traction actionné par un mécanisme d'entraî nement et muni de tambours totalisateurs, et un dispositif de remise à zéro des organes d'enregistrement, caractérisée par le fait qu'elle comporte trois ensembles partiels mon tés individuellement sur un bâti portant le mécanisme d'entraînement ainsi que des mé canismes d'actionnement, et par le fait que chacun de ces ensembles partiels comporte des jeux de pièces identiques,
    le premier ensemble partiel comportant neuf mécanismes de posi tionnement semblables entre eux, actionnés chacun par l'une des touches du clavier et destinés au positionnement des organes d'en registrement, le second ensemble partiel com portant lesdits organes d'enregistrement mon tés sur un chariot actionné pas à pas par la manipulation des touches, le troisième ensem ble comportant des mécanismes d'actionne ment des tambours totalisateurs et des dispo sitifs de report montés sur un support mo bile. SOUS-REVENDICATIONS 1.
    Machine selon la revendication, carac térisée par le fait qu'elle présente un qua trième ensemble partiel comportant neuf tou ches de manipulation portant les numéros d'ordre de 1 à J et une dixième touche de manipulation portant le numéro d'ordre 0. 2.
    Machine selon la revendication et la sous-revendication 1, caractérisée par le fait que les neuf mécanismes de positionnement des organes d'enregistrement sont actionnés chacun individuellement par une touche por tant, l'un des numéros d'ordre de 1 à 9 et par le fait que chaque mécanisme de positionne ment comporte une butée escamotable desti née à coopérer, lors de la manipulation de la touche correspondante, avec l'un quelconque des organes d'enregistrement porté par le chariot, afin de définir une position de cet organe correspondant au numéro de la tou che manipulée. 3.
    Machine selon la revendication et les sous-revendications 1 et 2, caractérisée par le fait que lesdites butées escamotables sont disposées à la manière d'un tabulateur et que lesdits mécanismes de positionnement action nent, lors de la mise en position active d'une butée, un dispositif de libération provoquant la libération d'un organe d'enregistrement et le déplacement de celui-ci sous l'action d'un ressort individuel jusque dans une. position pour laquelle un bec porté par cet organe prend appui sur ladite butée placée en posi tion active. 4.
    Machine selon la revendication et les sous-revendications 1 à 3, caractérisée par le fait que les neuf dispositifs de positionnement ainsi qu'un mécanisme actionné par la tou che 0 actionnent un dispositif d'échappement provoquant, sous l'influence d'un ressort, l'avancement pas à pas du chariot portant les organes d'enregistrement, l'amplitude de cha que pas étant égale à l'écartement de deux organes d'enregistrement voisins. 5.
    Machine selon la revendication et les sous-revendications 1 à 4, caractérisée par le fait que le support mobile comporte des par ties prenant appui sur des faces d'appui ten- dantàlemaintenir en position relevée et par le fait que ces faces d'appLÛ sont aménagées sur des éléments reliés mécaniquement au méca nisme d'entraînement, de manière que ce der nier provoque l'effacement desdites faces d'appui et la mise en position active du sup port mobile pour laquelle des liaisons méca niques sont établies entre un nombre égal d'organes d'enregistrement et de tambours totalisateurs, ce nombre correspondant au nombre de touches manipulées préalablement. 6.
    Machine selon la revendication et les sous-revendications 1 à 5, caractérisée par le fait qu'elle présente un organe de remise à zéro des organes d'enregistrement déplacés par la manipulation des touches, cet organe étant relié mécaniquement à un organe de commande du mécanisme d'entraînement de manière à provoquer, pendant l'actionnement dans un sens de cet organe de commande, le déplacement desdits organes d'enregistrement contre l'action de leurs ressorts et l'entraîne ment des tambours totalisateurs par ces orga nes d'enregistrement. 7.
    Machine selon la revendication et les sous-revendications 1 à 6, caractérisée par le fait qu'elle comporte un dispositif d'actionne ment du chariot contre l'action de son ressort, qui comporte un organe d'actionnement relié à l'organe de commande par deux accouple ments à un seul sens d'entraînement, dont les deux parties de l'un sont mises en position d'engagement pendant l'actionnement dans un sens de l'organe de commande et sont main tenues dans cette position par -un verrou, tandis que les deux parties de l'autre accoLl- plement entrent en prise seulement lors du retour de l'organe de commande à sa position initiale qui provoque le retour du chariot à sa position de repos. 8.
    Machine selon la revendication et les sous-revendications 1 à 7, caractérisée par le fait qu'elle présente un dispositif de libéra tion du verrou maintenant les parties du pre mier accouplement en position engagée, ce dispositif étant actionné lorsque le chariot atteint sa position de repos. 9. Machine selon la revendication et.les sous-revendications 1 à 8, caractérisée par le fait qu'elle présente un organe de commande permettant d'effectuer des soustractions et un organe de commande permettant l'effacement du nombre introduit par 1a manipulation des touches et enregistré par les organes d'enre gistrement.
    7.0. Machine selon la revendication et les sous-revendications 1 à 9,- caractérisée par le fait qu'elle présente des éléments commandés par l'organe de commande de l'effacement du nombre introduit et provoquant l'interrup tion de la liaison mécanique reliant l'organe de commande manuelle avec les éléments mu nis des faces d'appui sur lesquelles reposent des parties du support mobile, de sorte que ce dernier reste en position relevée pendant l'actionnement dudit organe de commande. 11.
    Machine selon la revendication et les sous-revendications 1 à 10, caractérisée par le fait que le support mobile est déplaçable le long de son axe d'oscillation contre l'action d'un ressort au moyen d'organes commandés par l'organe de commande permettant d'ef fectuer des soustractions. 12.
    Machine selon la revendication et les sous-revendications 1 à 11, caractérisée par le fait qu'elle présente des dispositifs d'in version commandés par les déplacements axiaux du support mobile et provoquant, d'une part, l'inversion du sens d'entraînement des tambours totalisateurs par les organes d'enregistrement et, d'autre part, l'inver sion du sens d'entrainement des organes de report.
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