CH273359A - Procédé de bobinage de fil, et bobinoir pour sa mise en oeuvre. - Google Patents

Procédé de bobinage de fil, et bobinoir pour sa mise en oeuvre.

Info

Publication number
CH273359A
CH273359A CH273359DA CH273359A CH 273359 A CH273359 A CH 273359A CH 273359D A CH273359D A CH 273359DA CH 273359 A CH273359 A CH 273359A
Authority
CH
Switzerland
Prior art keywords
speed
cam
clutch
coil
lever
Prior art date
Application number
Other languages
English (en)
Inventor
Dreyfus Camille
Original Assignee
Dreyfus Camille
Priority date (The priority date is an assumption and is not a legal conclusion. Google has not performed a legal analysis and makes no representation as to the accuracy of the date listed.)
Filing date
Publication date
Application filed by Dreyfus Camille filed Critical Dreyfus Camille
Publication of CH273359A publication Critical patent/CH273359A/fr

Links

Classifications

    • BPERFORMING OPERATIONS; TRANSPORTING
    • B65CONVEYING; PACKING; STORING; HANDLING THIN OR FILAMENTARY MATERIAL
    • B65HHANDLING THIN OR FILAMENTARY MATERIAL, e.g. SHEETS, WEBS, CABLES
    • B65H59/00Adjusting or controlling tension in filamentary material, e.g. for preventing snarling; Applications of tension indicators
    • B65H59/38Adjusting or controlling tension in filamentary material, e.g. for preventing snarling; Applications of tension indicators by regulating speed of driving mechanism of unwinding, paying-out, forwarding, winding, or depositing devices, e.g. automatically in response to variations in tension
    • B65H59/382Adjusting or controlling tension in filamentary material, e.g. for preventing snarling; Applications of tension indicators by regulating speed of driving mechanism of unwinding, paying-out, forwarding, winding, or depositing devices, e.g. automatically in response to variations in tension using mechanical means
    • BPERFORMING OPERATIONS; TRANSPORTING
    • B65CONVEYING; PACKING; STORING; HANDLING THIN OR FILAMENTARY MATERIAL
    • B65HHANDLING THIN OR FILAMENTARY MATERIAL, e.g. SHEETS, WEBS, CABLES
    • B65H2701/00Handled material; Storage means
    • B65H2701/30Handled filamentary material
    • B65H2701/31Textiles threads or artificial strands of filaments

Landscapes

  • Engineering & Computer Science (AREA)
  • Mechanical Engineering (AREA)
  • Transmission Devices (AREA)

Description


  
 



  Procédé de bobinage de fil, et bobinoir pour sa mise en   oeuvre.   



   La présente invention comprend un procédé de bobinage de fil, ainsi qu'un bobinoir pour sa mise en oeuvre.



   Le procédé de bobinage de fil, à vitesse linéaire sensiblement constante, que comprend l'invention, est caractérisé par le fait qu'on amène le fil à une bobine tournante, que   l'on    actionne cette bobine par   un    dispositif à vitesse variable, auquel est associé un dispositif de commande de la vitesse, que   l'on    actionne ce dernier dispositif à l'aide d'une commande à glissement, dans lequel le degré de glissement est commandé suivant l'écart entre le taux réel d'augmentation de la bobine et un taux arbitraire d'augmentation choisi comme étant supérieur au taux réel d'augmentation, grâce à quoi la vitesse périphérique de la bobine est maintenue constante, malgré l'augmentation de son diamètre.



   Le bobinoir que comprend aussi l'invention, pour la mise en oeuvre du procédé cidessus, comprend une broche, un mécanisme   de    transmission à vitesse à variation continue actionnant cette broche, un dispositif de commande de cette transmission qui, étant actionné régulièrement, provoque une dimination régulière du rapport de vitesse de la transmission, un embrayage actionnant ce dispositif de commande et comprenant un élément menant et un élément mené, un tâteur agissant sur la surface de la bobine en cours de formation, déplaçant un de ces éléments en fonction du diamètre de la bobine et un dispositif déplaçant l'autre élément suivant la vitesse à laquelle la bobine tourne.



   A titre d'exemple, on va maintenant dé  crire    plus en détail une forme d'exécution du bobinoir que comprend l'invention, sans support à rebord, analogue à beaucoup de points de vue à celui décrit dans le brevet suisse   N"    269766 et servant de bobinoir pour un appareil de filage à sec donnant des fils en filaments artificiels. La description est faite en se référant au dessin annexé dans lequel:
 La fig. 1 est une vue en élévation de face de ladite forme d'exécution du bobinoir, appliquée à un appareil de filage à sec.



   La fig. 2 est une vue en plan d'une partie de la fig. 1.



   La fig. 3 est une vue en élévation par l'arrière, en coupe, de la partie supérieure de la boîte de transmission représentée sur la fig. 1.   



   La fig. 4 est une vue en plan n du méca-    nisme de la fig. 3, prise suivant la ligne de coupe   44    de la fig. 3, c'est-à-dire le couvercle étant enlevé, et une partie du mécanisme se trouvant en dessous (représentée sur la fig. 5) étant omise pour plus de clarté.



   La fig. 5 est un plan en coupe suivant la ligne 5-5 de la fig. 3, certaines parties étant enlevées pour faire voir des détails supplémentaires.



   La fig. 6 représente un détail de la fig. 5.  



   La fig. 7 est une vue en élévation, en coupe, de l'extrémité de droite des boîtes à engrenage, visibles sur la fig. 1.



   Comme dans le brevet précité, le bobinoir représenté eomprend un carter pivotant 11 de section   transversale    sensiblement   reetangn-    laire, monté de façon à tourner autour de son axe horizontal longitudinal et présentant des broches 12, porte-bobine, en saillie sur les côtés opposés du carter, les. broches 12 étant parallèles   l'une    à l'autre et se trouvant respec  tivement    au-dessus et en dessous de l'axe de pivotement. Deux arbres 13, s'étendant dans le sens de la longueur de l'axe de pivotement, actionnent respectivement une des broches de chaque paire, chacun des arbres étant actionné, comme dans-le brevet précité, par une transmission à vitesse à variation continue dont la commande sera décrite plus en détail ci-dessous.

   Le earter pivotant s'étend au-dessous d'un certain nombre de   c. cellules    de filage 14 et comprend une paire de broches 12 pour chaque fil formé dans les   cellules.    Le fil 16 est amené par une tige d'alimentation 15 de la cellule de filage 14, en descendant sur un côté du carter   11 et    la broche 12 servant à recevoir le support sur lequel se place le fil 16 se trouve en dessous de   l'axe    de pivotement et est dirigée vers la cellule de filage 14. Le carter 11 tourne de manière à amener cette broche 12 vers le bas et en dessous de l'axe du carter pour l'amener ainsi à une position d'évacuation, en amenant en même temps l'autre broche 12 portant un support de bobine vide, en la faisant monter par-dessus l'axe du carter, pour venir en position de bobinage.

   Le long de la position de bobinage est montée une boîte à va-et-vient 17 de laquelle par une série de   ginde-fil    18 dont la   course    est sensiblement, pour chacun, la longueur de la bobine, les différents guides 18 étant actionnés par des   cames    19 montées sur des arbres 20 actionnés par un arbre commun 21 se trouvant dans la boîte 17.



   Le carter 11 part d'une boîte de vitesse 25 contenant des transmissions à vitesse à variation   continue    (placées l'une derrière l'autre en 26) servant à actionner les   aires    13 et le mécanisme réglant la vitesse de sortie des transmissions 26 et le changement d'un jeu de broches 12 pour passer à l'autre, lors de l'achèvement d'une série de bobines. La   commande    principale du mécanisme pénètre dans la boîte de vitesse 25 au moyen d'une roue à chaîne 27 montée sur l'arbre principal 28.

   Comme on le voit sur la fig. 7, l'arbre principal 28 porte une roue dentée 29   action    nant deux roues dentées 30 (une de chaque côté du plan de la coupe de la fig. 7), dont chacune est reliée par un embrayage 31 à l'arbre   d'entrée    32 des transmissions à vitesse à variation continue. Une des roues dentées 30 est également en prise avec une roue den   tée 33 qui est reliée, par r un train d'engrenages    34, à une roue à chaîne 35 qui, par, l'intermédiaire d'une roue à chaîne 36 (fig. 1) et d'arbres 37 et 38, actionne les pompes de filage 39 montées sur le dessus des cellules de filage 14.

   L'arbre principal 28 est également relié, par l'intermédiaire d'un dispositif de rupture à   rtiban    du genre décrit   dans    le brevet précité et disposé de façon générale en 40, à une roue à chaîne 42 reliée par une chaîne à une roue à chaîne 33 montée sur l'arbre 21 qui pénètre dans la boîte à déplacement transversal 17. La plaque d'extrémité 44, recouvrant le train d'engrenages 34, est amovible, de manière à pouvoir changer les roues pour modifier le rapport de vitesse entre les pompes de filage, d'une part, et la tige   d'amenée    15 et les broches 12, d'autre part, de manière à pouvoir obtenir, Si on le désire, des fils de deniers différents.



   Le moyen grâce auquel on remplace une bobine pleine par un support de bobine vide consiste à faire tourner le carter 11 de 1800 et cela exactement comme décrit dans le brevet précité, le restant de la présente   deserip-    tion ayant trait à la façon suivant laquelle on règle la vitesse de la broche   pendant    le bobinage et la façon suivant laquelle la rotation du carter 11 comme indiqué   ci-dessus    s'effectue aux moments voulus.



   Pour servir comme tâteurs, les guides à va-et-vient 18 sont disposés de manière à appuyer légèrement contre les bobines en  cours do bobinage sur les broches 12, en étant montés chacun sur un bâti 45 pivotant sur l'arbre 20 de la came 19 de déplacement transversal. Le bâti 45 peut pivoter en venant vers l'extérieur à partir de la bobine sur laquelle il appuie; il est équilibré de façon appropriée en 46, de façon qu'il suffise d'une légère pression pour obtenir ces résultats.



  Chacun des bâtis 45 de la série est relié en 47 à une tige 48 de retrait des guides-fil, s'étendant sur la longueur du bobinoir et qui est actionnée, pendant le bobinage, de manière   a se    déplacer dans le sens de sa longueur du fait du déplacement des guides à va-et-vient 18 lorsqu'ils s'écartent des axes 12 des bro  ches    à mesure que les bobines augmentent et qui, à la fin du bobinage, recule indépendamment de façon à permettre aux guides 18 de pivoter pour s'écarter des surfaces des bobines terminées. Ce résultat est obtenu à l'aide d'un mécanisme de commande se trouvant dans la boîte 25.



   Dans la boîte 25, comme on le voit sur la fig. 3, une roue extérieure 50 à vis sans fin, faisant partie du carter pivotant, est en prise avec une vis sans fin 51 qui peut être action née, à intervalles déterminés, par un em  brayage    52 prévu à cet effet et que   l'on    appellera   ci-dessous    embrayage de rotation. Dans la commande de la vis sans fin 51 se trouve également un embrayage à glissement 53 (fig. 4 et 5), de manière à pouvoir actionner l'arbre 54 portant la vis sans fin 51 plus vite qu'il n'est possible à la vis même sans appliquer un couple excessif sur la vis.

   La commande de l'embrayage 52 dérive   d'une    roue à chaîne (non représentée), à l'intérieur de la boîte 25, sur le même arbre que la roue à chaîne 42, qui actionne une roue à chaîne 59 (fig. 5) et, par l'intermédiaire de deux roues dentées hyperboliques, l'embrayage 52. Le carter 11 est maintenu dans   l'une    ou l'autre de deux positions de fonctionnement, décalées de   180     l'une par rapport à l'autre, à l'aide de   l'un    on l'autre de   deux    axes de verrouillage 55 pénétrant dans des trous 56 (fig. 3) ménagés sur la surface 57 de la partie du carter se trouvant à l'intérieur de la boîte 25.



  L'axe en action 55 pénètre dans le trou correspondant 56 du carter, tandis que l'axe hors d'action 55 appuie sur la surface 57 du carter, ces deux axes étant poussés par des ressorts 58.



   Les deux arbres 13 s'étendant dans lé sens de la longueur du carter en vue d'actionner les broches sont actionnés respectivement par les deux mécanismes de transmission 26 à vitesse à variation continue (fig. 1 et 5), lesquels sont actionnés par l'arbre d'entrée principal 28 de la machine, par l'intermédiaire de deux embrayages 31 (fig. 7). Les embrayages   31    sont actionnés par les extrémités opposées d'un levier 60 (fig. 5) pivotant en son centre, en 61, de sorte que, lorsque l'un des embrayages 31 est en prise, l'autre est débrayé. Le levier 60 est actionné par les axes de verrouillage 55 du carter 11. Chaque axe 55 passe dans un trou du levier 60 et dans un trou de l'extrémité inférieure d'un levier vertical 62 et porte une tête 63 agissant sur le levier 62 et, par l'intermédiaire de celui-ci, sur le levier 60.

   De cette façon, l'axe de verrouillage en action peut être retiré de son trou 56 du carter   comme    cela est nécessaire pour que celuici puisse tourner), sans agir sur le levier 60.



  Toutefois, lorsque l'axe de verrouillage précédemment inactif tombe dans son trou 56, lorsque le carter 11 a achevé son déplacement, il agit sur le levier 60 (et incidemment sur le levier correspondant 62), de façon que l'embrayage 31 précédemment en prise soit débrayé et vice versa. La mise en prise de l'embrayage 31, maintenant actif, s'effectue im  médiatement    lors de la mise en prise de l'axe de verrouillage 55. Toutefois, le débrayage de l'embrayage 31 précédemment en prise est retardé pendant un certain temps court, pour une raison que   l'on    indiquera plus loin.

   Ceci s'obtient en actionnant   chacun    des embrayages 31 par l'intermédiaire de leviers 65 et d'une bielle 66, poussée par ressort, qui est susceptible d'être comprimée au lieu de dégager l'embrayage 31 et en prévoyant un frein d'amortissement 67 à fluide s'opposant au débrayage de chacun des embrayages 31, de sorte que la bielle 66, poussée par ressort,  est   d'abord    comprimée lors de la mise en prise de l'axe de verrouillage 55 et débraye ensuite lentement l'embrayage 31, en antagonisme à la résistance du frein d'amortissement 67.



   Le mécanisme   ci-dessus    décrit fonctionne par intervalles au moyen de deux cames 70 et 71 (fig. 3 et 4) librement montées sur   1111    arbre commun 72 actionné à partir de la commande principale, avec une réduction de vitesse considérable, par un excentrique, un cliquet allant et venant sous la commande de l'excentrique et une roue à rochet actionnée lentement par le cliquet. La commande se fait à partir de l'arbre principal 28 par l'intermédiaire des roues dentées 29, 30 et 33 et de l'engrenage à vis sans fin 73 (fig. 7) jusqu'à   im    arbre 74 portant   un    excentrique 75 (fig. 1). L'excentrique 75 actionne un levier 76, relié par une   bielle 77    à un levier 78 portant un cliquet 79 agissant sur une roue à rochet 80   ealée    sur un arbre 81.

   L'arbre 81 porte une vis sans   fin 82    (fig. 3) en prise avec une roue à vis sans fin 83 reliée aux cames 70 et 71.



  Cette disposition permet de faire tourner rapidement l'arbre 81 et, par suite, les deux cames 70 et 71, au moyen   .d'îme    manivelle 84, de sorte que, si on le désire, on peut effectuer un changement à tout moment, même avant que les bobines soient terminées.



   La came 70 est une came de libération servant simplement à dégager l'axe de verrouillage 55 en service, de manière à libérer le carter 11 et à maintenir cet axe hors de prise jusqu'à ce que le carter ait commencé à tourner. Ensuite, la came 70 libère l'axe de verrouillage qui, toutefois, reste hors de prise puisqu'il ne correspond plus avec le trou 56 du carter, mais est poussé contre la surface 57.

   La came 71 est la came principale agissant à intervalles réguliers, suffisants pour achever un jeu de bobines, et elle met d'abord en prise l'embrayage 52,   pnis    le débraye, le temps qui s'écoule entre deux opérations étant légèrement supérieur à celui qui est nécessaire pour faire tourner le carter 11 de   180'.    Lorsque ce carter a tourné de   180 ,    l'axe de verrouillage 55 qui n'était pas précédemment en action tombe dans le trou 56 de la surface 57 du carter 11 et empêche une nouvelle rotation, un glissement se produisant alors sur l'embrayage à glissement 53 jusqu'à ce que l'embrayage de rotation 52 soit débrayé.



   Comme on le voit sur la fig. 4, le pourtour actif de la came principale 71 présente une légère montée et une chute brusque, se répétant deux fois sur le pourtour de la came, chaque levée et chaque chute occupant   180     du pourtour. La came est en prise sur les côtés opposés avec deux taquets 86 et 87   'sous-tendant    au centre de la came 71 un angle légèrement inférieur à   180 ,    cet angle étant réglable à l'aide d'un dispositif de réglage mierométrique 91. commandant la position des taquets sur leurs leviers respectifs 88 et 89. Les extrémités libres des leviers 88 et 89 sont reliées l'une à l'autre par un ressort 92 à forte tension et elles sont également reliées, à l'aide de bielles parallèles 93 et 94, aux extrémités opposées d'un levier oscillant court 95.

   Le levier 95 pivote en son centre sur une extrémité d'un levier coudé 96 dont l'autre extrémité 97 actionne l'embrayage de rotation 52. Les deux levées lentes de la came principale 71 agissent simultanément sur les deux taquets 86 et 87 pendant tout le bobinage de chaque bobine et maintiennent ainsi écartés les deux leviers 88 et 89 en antagonisme à l'action du ressort   puis-      sant    92 reliant leurs extrémités. Toutefois, ceci fait tourner simplement le levier pivotant 95 sans affecter la position de son pivot ou la position du levier coudé 96.

   Etant donné que les deux taquets 86 et 87 sont séparés d'un angle un peu inférieur à   180 ,    tandis que les deux chutes brusques de la came 71 sont à   180     l'une de l'autre, le taquet 86 est libéré par sa chute brusque avant le taquet 87 et, en conséquence, une extrémité seulement du levier pivotant 95 est tirée de façon brusque, ce qui fait déplacer le levier coudé 96 et   met -en    prise l'embrayage 52. Au bout de peu de temps, le deuxième taquet 87 est libéré par la chute brusque de la came 71, ce qui fait tourner l'autre extrémité du levier  pivotant 95 et ramène le levier coudé 96 à sa position primitive, en dégageant l'embrayage 52.

   L'intervalle entre ces deux opérations dépasse le temps nécessaire pour faire tourner le carter 11 de   180o    à l'aide de la vis 51 et de la roue à vis sans fin 50 du carter. Une rai  nure-came    99 que présente la surface extérieure du carter 11 dans la boîte de transmission agit, par l'intermédiaire   d'un    levier de retrait à articulation 100, sur la barre de retrait 48 dont il a été fait mention   phis    haut de manière à écarter le guide 18 à déplacement transversal des bobines pendant l'opération   ci-dessus.    La tige 48 passe dans l'extrémité libre du levier 100 sur laquelle elle est fixée, ce levier étant libre de se déplacer indé  pondamment    de son extrémité intérieure, du fait de l'articulation sur le pivot du levier.   



  Le e levier 88 qui est actionné en premier lieu    présente un prolongement 98   au-delà    du point de fixation du ressort 92, pour une raison qui sera indiquée   plns    loin.



   La description qui précède a trait au mécanisme de changement au moyen duquel un jeu de broches 12 portant des bobines pleines s'écarte de la position de va-et-vient, tandis que l'autre jeu de broches, portant des supports de bobines vides, vient dans cette position de va-et-vient, la transmission 26 à vitesse à variation continue actionnant le premier jeu de broches 12 étant débrayée d'avec la commande principale 28 par l'intermédiaire de l'embrayage 31, tandis que celle actionnant le deuxième jeu de broches 12 est embrayée avec la commande principale par l'intermédiaire de son embrayage 31. Il reste à décrire comment cette tige 48, actionnée par l'augmentation des bobines pendant le bobinage,    commande la vitesse de la broche par r l'inter-    médiaire des transmissions à vitesse à variation continue actionnant les broches 12.



   Les deux   transmissions    26 sont   comman-      dées,    en ce qui concerne leur rapport de vitesse, par des plongeurs 101 (fig. 5) poussés par ressorts et agissant par l'intermédiaire de mécanismes à genouillère 102, de   facon    à modifier le rapport de vitesse d'une manière connue dans des dispositifs   do    ce genre. Les deux transmissions variables 26 sont assemblées de façon que leurs plongeurs 101 soient opposés   l'un    à l'autre et puissent être actionnés par une canne unique 103 que   l'on    appellera la came de vitesse.

   La came de vitesse 103 présente une partie de repos, de rayon minimum, s'étendant sur   1808    et une montée lente   oeeu-    pant les autres   180'.    Cette montée lente se termine par une chute brusque pour revenir au diamètre minimum. Grâce à cette disposition, lorsque   l'un    des plongeurs 101 est en prise avec la montée lente de la came 103, de façon que la vitesse de sa transmission diminue régulièrement, l'autre plongeur 101 porte sur la partie de repos de la came 103 à rayon minimum, de sorte que sa transmission 26 est dans sa position de vitesse maximum.



   La came de vitesse 103 est calée sur l'arbre 72, ainsi que la came 104 de commande d'embrayage qui présente deux montées lentes et deux chutes brusques, une pour chaque cycle de bobine se produisant pendant une rotation complète des cames 103 et 104. Les deux cames sont actionnées, à partir de la commande prin  cipale 28,    par l'intermédiaire   d'un    embrayage dont les deux éléments, mené 105 et menant 106, sont mobiles et sont commandés. L'élément mené   105porte    une vis sans   flan 107    en prise avec une roue à vis sans fin 108 et un arbre 109 (fig. 5) portant   une    autre vis sans fin 110 actionnant une roue à vis sans fin 111 calée sur l'arbre 72.

   L'élément menant 106 est   ac-    tionné à partir de l'arbre 112 portant la roue à chaîne 35, par l'intermédiaire   d'une    roue dentée 113 (fig. 7), portée par l'arbre 112, qui actionne une roue de renvoi 115 en prise avec une roue 116 solidaire de l'élément menant 106. L'élément mené 105 est commandé par la came d'embrayage 104, laquelle, par l'intermédiaire d'un levier de commande d'embrayage 117 en prise avec la surface de la came 104, écarte régulièrement l'élément 105 de l'autre élément 106 pendant l'opération de bobinage. L'élément menant 106 est commandé par la tige de retrait 48 qui est action née par l'augmentation des bobines pendant le bobinage.

   Dans ce but, les deux éléments  d'embrayage 105 et 106 tournent librement sur un arbre coulissant 120, l'élément mené 105 pouvant glisser librement le long de   l'ar-.    bre 120, tandis que l'élément menant 106 est tenu de se déplacer axialement avec l'arbre 120. L'extrémité de l'arbre 120 sort de la boîte 25 et est en prise avec un levier 121 poussé par ressort et pivotant sur   une    console 122, la tige de retrait 48 agissant sur l'autre extrémité du levier 121. De cette façon, la tige 48, agissant par l'intermédiaire du levier 121 et de l'arbre 120, pousse régulièrement l'élément menant 106 vers l'élément mené 105 qui est commandé par la came d'embrayage 104. De cette façon, à mesure que la bobine augmente, l'élément menant 106 est mis en prise avec l'élément mené 105, ce qui fait tourner l'arbre 72 portant les deux cames 103 et 104.

   La rotation de la came de vitesse 103 réduit la vitesse de sortie de la transmission variable 26 qui est en   serviee    et réduit ainsi la vitesse de la broche. La rotation simultanée de la came d'embrayage 104   éearte      eepcn-    dant l'élément mené 105 de l'élément menant 106 et arrête ainsi la commande des deux cames 103 et 104 jusqu'à ce qu'une nouvelle augmentation de la bobine ait eu lieu. En fonctionnement, l'effet produit est celui   d'iule    commande glissant constamment, effectuée par l'embrayage, de sorte que les deux cames 103 et 104 sont actionnées de façon sensiblement constante, mais à une vitesse qui est plus faible que celle à laquelle l'élément menant 106 de l'embrayage tourne et cette vitesse se règle automatiquement suivant la vitesse réelle d'accroissement de la bobine.



   On a déjà dit que la forme de la came de vitesse 103 doit être telle que, si elle est actionnée de façon constante à vitesse maximum (la vitesse de l'élément menant 106 de l'embrayage), elle réduit la vitesse de la bro  che    davantage que ce qui serait nécessaire pour le taux   prévtl    d'augmentation de la bobine. De façon commode, on peut baser la forme de la came en supposant qu'elle a une vitesse constante légèrement inférieure à ce maximum, en tenant compte du mode de variation du rapport de vitesse lorsque la position des plongeurs de commande varie et du taux calculé de croissance de la bobine.

   Dans ces conditions, la forme de la came de commande d'embrayage 104 doit être basée sur la même supposition en ce qui concerne sa vitesse et elle doit être telle qu'à tout moment la dimension attendue de la bobine et la position attendue de la   ca.me    104 amènent les deux éléments d'embrayage juste en contact.



  Si alors, la bobine tend à augmenter plus rapidement que ce qui est attendu, les éléments d'embrayage 105 et 106 sont poussés l'un vers l'autre plus fortement, en donnant aux deux cames une vitesse légèrement supérieure à la vitesse supposée et diminuant la vitesse de la broche dans une plus grande mesure, de façon à compenser le taux élevé inattendu d'augmentation de la bobine et à donner les vitesses périphériques et d'enroulement constantes et désirées. D'autre part, si la bobine tend à augmenter plus lentement que ce qui était attendu, les éléments d'embrayage 105 et 106 sont serrés moins fortement   l'un    contre l'autre, d'où résulte encore la vitesse périphérique et le taux d'enroulement désirés.

   Pour   expri-    mer la chose de façon différente, le diamètre de la bobine détermine la position de l'élément d'embrayage 106 par l'intermédiaire de la tige de retrait 48, tandis que la vitesse de la broche détermine la position de l'autre élément d'embrayage 105, par l'intermédiaire des plongeurs 101, de la came de vitesse 103 et de la came d'embrayage 104. Si ces deux facteurs déterminants sont dans une relation telle qu'ils donnent la vitesse périphérique désirée, les éléments d'embrayage 105 et 106 sont en prise avec une force suffisante pour maintenir cet état, mais si cela n'est pas, les éléments d'embrayage sont en prise plus fortement ou moins de façon à créer ou à rétablir cette condition.



   Alors qu'il est commode de baser la forme des   doiix    cames 103 et 104 sur la supposition basée sur la vitesse attendue d'augmentation de la bobine et sur   une    vitesse supposée constante des cames, aucune de ces suppositions n'est essentielle. En fait, l'une ou l'autre came peut avoir une forme déterminée arbitraire  ment pourvu qu'elle ait grossièrement la forme indiquée ci-dessus, c'est-à-dire une montée douce et une chute brusque.

   La forme de l'autre came est alors déterminée de façon    absolue par r celle qui est déterminée de façon    arbitraire et elle doit être telle que, pour tout diamètre de bobine et pour la position correspondante de l'élément d'embrayage menant, les deux cames ensemble amènent l'élément   d'embrayage    mené au contact de l'élément d'embrayage menant, si et seulement si la vitesse de la broche est celle qui est nécessaire pour donner la vitesse périphérique désirée.



  Toutefois, ces conditions, en ce qui concerne la forme des deux cames, sont soumises à la condition que la vitesse à laquelle elles doivent tourner pendant la formation d'une bobine réelle, en vue de maintenir les éléments d'embrayage au contact, ne doit jamais être plus grande que la vitesse maximum déterminée par la vitesse de l'élément menant.



  Le mode préféré de détermination de la forme des cames est non seulement simple en   Ini-    mime, mais encore il tient compte de cette condition.



   A la fin de chaque cycle de bobinage, il est nécessaire de remettre en position la came de vitesse 103 et la came d'embrayage 104 pour préparer le cycle suivant. Ceci se fait à l'aide d'une deuxième commande ou commande de remise en place, par l'intermédiaire d'une roue à vis sans fin 125 (fig. 3 et 5) agissant sur l'arbre 72, portant les deux cames. La roue 125 et également la roue 111 dont il a été fait mention plus haut sont reliées à l'arbre 72 par l'intermédiaire de transmissions à roue libre 126 et 127 respectivement, de sorte que, lorsque la commande de remise en position par l'intermédiaire de la roue 125 est en action, cette commande, qui est la plus rapide, fait tourner plus vite l'arbre à cames 72 sans en être empêchée par la commande normale s'effectuant par la roue 111.

   Le dispositif de remise en place est relié, comme on le voit sur la fig. 5, à la commande principale du bobinoir, au moyen de deux embrayages 128 et 129, l'embrayage 128 étant un embrayage à glissement, tandis que l'autre est   un    embrayage de remise en place susceptible d'être embrayé et débrayé. L'embrayage de remise en place 129 est actionné par un levier 130 en un point 131 duquel pivote un levier 132 dont les deux extrémités sont commandées séparément et, de façon générale, parallèle au levier 130 sur lequel il est monté. Une extrémité du levier pivotant 132 est reliée, par une bielle 133, au levier 117 sur lequel agit la came de commande d'embrayage 104. 

   L'autre extrémité du levier pivotant est reliée, par une bielle 134, poussée par un ressort, et par des leviers 135 et 136, au prolongement 98, dont il a été fait mention plus haut, du levier 88 en prise sur la came principale 71. On se rappelle que le levier 88 se déplace brusquement pour effectuer le changement de broche à la fin du cycle. Ce mouvement brusque amène en prise l'embrayage 129 de remise en position par l'intermédiaire du levier pivotant 132 et du levier 130 commandant cet embrayage. Toutefois, il ne peut le faire que si le levier 117 de commande d'embrayage est dans sa position extrême de soulèvement, ce  avec tm axe fixe 141.

   La mise en prise effective de la came de commande d'embrayage 104 avec le levier de commande d'embrayage 117 s'effectue par l'intermédiaire d'un levier auxiliaire 142 pivotant en 143 sur la partie principale   du levier de commando    d'embrayage 117 et normalement maintenu en arrière, sensiblement parallèle à   lui,    par la mise en prise de la came 104, un axe 144 étant prévu sur la partie principale du levier 117, le levier 142 appuyant sur cet axe dans ces conditions.



  L'extrémité du levier auxiliaire 142 est également en prise avec une saillie 145 de la base   dt    crochet 140 poussé par ressort, en maintenant ainsi ce crochet à l'écart de l'axe fixe 141 avec lequel il doit venir en prise. Toutefois, lorsque la partie principale du levier 117 vient dans sa position extrême autrement que sous l'action de la came 104, le crochet 140, poussé par ressort, pousse le levier auxiliaire de façon à le mettre en prise constante avec la came 104 et hors de prise d'avec l'axe de butée 144 porté par la partie principale du levier   117.    Ceci permet également au crochet 140 de jouer son rôle de retenue du levier 117 dans sa position extrême.



   Lorsque l'embrayage 129 de remise en position qui est actionné par la roue 147 (fig. 5) à partir de l'arbre 112, est ainsi en prise, il actionne la roue 125. De cette façon, les deux rames 103 et 104 tournent rapidement jusqu'à ce qu'une butée 150, en saillie sur la face de la   came    104, rencontre une butée 151 du levier auxiliaire 142. A ce moment, le levier 142 actionné par le bord actif de la came 104, a libéré de nouveau le crochet 140, poussé par ressort, de son axe 141 et a, en outre, atteint la chute de la came 104, de sorte que les deux leviers 117 et 142 reviennent dans leur position intérieure, tandis que-la butée 151 portée par le levier auxiliaire s'écarte de la trajectoire de la butée 150 de la came de commande d'embrayage, pour préparer le nouveau cycle.

   En même temps, la came de vitesse 103 tourne, de sorte que le plongeur en action 101 passe sur la chute brusque de la came et permet au mécanisme de la transmission variable 126 de revenir à la position de vitesse de sortie maximum. Pour que le mécanisme revienne à cette position, il est nécessaire que la transmission variable 26 continue à être actionnée pendant un peu de temps et c'est pour cette raison qu'il y a un retard dans le débrayage de l'embrayage 31 reliant la transmission 26 à la commande principale 28, retard dû, comme on l'a dit plus haut, à l'action des freins d'amortissement à fluide 67.
  

Claims (1)

  1. REVENDICATION I: Procédé de bobinage de fil, à vitesse li néaire sensiblement constante, caractérisé par le fait que l'on amène le fil à une bobine tournante, que l'on actionne cette bobine par un dispositif à vitesse variable auquel -est associé un dispositif de commande de la vitesse, que l'on actionne ce dernier dispositif à l'aide d'une commande à glissement, dans lequel le degré de glissement est commandé suivant l'écart entre le taux réel d'augmentation de la bobine et un taux arbitraire d'augmenta- tion choisi comme étant supérieur au taux réel Id'augmentation, grâce à quoi la vitesse périphérique de la bobine est maintenue constante malgré l'augmentation de son diamètre.
    SOUS-REVENDICATION : 1. Procédé de bobinage selon la revendication I, caractérisé par le fait que le taux choisi est légèrement plus élevé que le taux calculé d'augmentation de la bobine.
    REVENDICATION Il: Bobinoir pour la mise en oeuvre du procédé selon la revendication I, caractérisé par le fait qu'il comprend une broche, un mécanisme de tra. nsmission à vitesse à variation continue actionnant cette broche, un dispositif de commande de cette transmission qui, étant actionné régulièrement, provoque une diminution régulière du rapport de vitesse de la transmission, un embrayage actionnant ce dispositif de commande et eomprenant un élément menant et un élément mené, un tâteur agissant sur la surface de la bobine en cours de formation, déplaçant un de ces éléments en fonction du diamètre de la bobine et un dis positif déplaçant l'autre élément suivant la vitesse à laquelle la bobine tourne.
    SOUS-REVENDICATIONS: 2. Bobinoir selon la revendication II, ca- ractérisé par le fait qu'il comprend un guide amenant le fil à la broche de bobinage, ce guide venant on prise avec la surface de la bobine et fonctionnant comme tâteur.
    3. Bobinoir selon la revendication II, caractérisé par le fait que le dispositif de commande de la transmission à vitesse à variation continue consiste en une came dont est solidaire une autre came déplaçant le deuxième élément d'embrayage, de sorte que ce dernier se déplace suivant la vitesse à laquelle la bobine tourne.
    4. Bobinoir selon la revendication II, caractérisé par le fait qu'il comprend deux bro ches et un dispositif de permutation amenant successivement chacune des broches en position de bobinage lorsque la bobine faite sur l'autre broche est terminée.
    5. Bobinoir selon la revendication II et la sous-revendication 4, caractérisé par r le fait qu'un dispositif associé Fau dispositif de permutation remet on place le dispositif de commande de la transmission à vitesse à variation continue.
    6. Bobinoir selon la revendication II et la sous-revendication 4, caractérisé par le fait qu'une came do synchronisation effectue la permutation et qu'un dispositif fait tourner cette came d'un tour dans le temps nécessaire pour faire une bobine complète.
    7. Bobinoir selon la revendication II et les sous-revendications 4 et 6, caractérisé par le fait qu'un dispositif commandé à la main permet d'actionner rapidement la came de synehronisation, afin d'effectuer à tout moment la permutation.
CH273359D 1943-04-22 1947-12-22 Procédé de bobinage de fil, et bobinoir pour sa mise en oeuvre. CH273359A (fr)

Applications Claiming Priority (2)

Application Number Priority Date Filing Date Title
GB273359X 1943-04-22
GB40444X 1944-04-04

Publications (1)

Publication Number Publication Date
CH273359A true CH273359A (fr) 1951-02-15

Family

ID=26238794

Family Applications (1)

Application Number Title Priority Date Filing Date
CH273359D CH273359A (fr) 1943-04-22 1947-12-22 Procédé de bobinage de fil, et bobinoir pour sa mise en oeuvre.

Country Status (1)

Country Link
CH (1) CH273359A (fr)

Similar Documents

Publication Publication Date Title
CH468299A (fr) Appareil servant à commander et régler le dévidage d'une bande vers une machine l'utilisant
CH273359A (fr) Procédé de bobinage de fil, et bobinoir pour sa mise en oeuvre.
BE478568A (fr)
WO2001063031A1 (fr) Procede et metier a tricoter rectiligne pour former un tricot tubulaire sans couture
EP0030901A1 (fr) Machine pour les bobinages plats ou coniques en forme de disque, pour moteurs électriques
BE521721A (fr)
CH303999A (fr) Machine à renvider.
CH328385A (fr) Procédé pour la confection d'une bobine de fil, et bobinoir pour la mise en oeuvre de ce procédé
BE428376A (fr)
BE463339A (fr)
CH192860A (fr) Presse, servant notamment au découpage du carton travaillé en bande continue.
FR2505886A1 (fr) Dispositif d'enroulement d'une piece de tissu sous tension constante, notamment pour machine a tisser
BE464627A (fr)
CH263923A (fr) Machine de filature.
CH267696A (fr) Procédé pour relier un bloc de feuilles libres présentant chacune une rangée de trous, et machine pour la mise en oeuvre dudit procédé.
BE490773A (fr)
BE518646A (fr)
BE377153A (fr)
BE491899A (fr)
BE375158A (fr)
BE478488A (fr)
BE801793A (fr) Metiers a tisser a foules multiples
BE557447A (fr)
BE380811A (fr)
CH116187A (fr) Machine-outil.