BE464627A - - Google Patents

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BE464627A
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    • BPERFORMING OPERATIONS; TRANSPORTING
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    • B65H54/00Winding, coiling, or depositing filamentary material
    • B65H54/02Winding and traversing material on to reels, bobbins, tubes, or like package cores or formers
    • B65H54/28Traversing devices; Package-shaping arrangements
    • B65H54/36Yarn-guide advancing or raising mechanisms, e.g. cop-building arrangements
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    • B65H59/38Adjusting or controlling tension in filamentary material, e.g. for preventing snarling; Applications of tension indicators by regulating speed of driving mechanism of unwinding, paying-out, forwarding, winding, or depositing devices, e.g. automatically in response to variations in tension
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    • B65H2701/31Textiles threads or artificial strands of filaments

Landscapes

  • Engineering & Computer Science (AREA)
  • Structural Engineering (AREA)
  • Textile Engineering (AREA)
  • Winding Filamentary Materials (AREA)

Description


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    MACHINE   A   BOBINER   LE FIL* 
La présente invention est relative aux machines à dévider ou bobiner du   fil,   du fil retors ou autres filaments et consiste en des perfectionnements à l'aide   desquels   des pelotons peuvent être   bobinés   automatiquement à une grande vitesseavec un   contrôle   plus exact de la densité et une plus grande précision dans les dimen-   sions, les formes, la capacité, etc..., et sous tous les autres rap. ports, un meilleur rendement que ce qu'on a pu obtenir jusqu'à pré..   sent.   L'invention   s'étend également au nouveau procédé de bobinage de filaments qui est décrit   ici.   



   Elle consiste, d'une part, dans la combinaison générale d'un dos ou fond portant un guide-fil avec une broche pour un peloton de fil, dans laquelle ces deux éléments se meuvent d'une façon posi- tive   lun   par rapport à l'autre, à une vitesse de séparation prédé- terminée, commandée ou déterminée par le nombre de tours que fait le peloton de   fil,   ou bien sont séparés sous un rapport sensible- ment fixe relativement à la vitesse de rotation de la broche, en maintenant ainsi une pression uniforme ou une pression, commandée et réglée d'une façon bien définie, sur la périphérie du peloton au fur et à mesure de sa formation au cours du bobinage. 



   De nombreuses tentatives ont été faites jusqu'à présent en vue de commander la position et le mouvement du dos ou fond au moyen d'un. frein, de contre-poids ou d'un   système   de réglage par gravité,, mais aucun de ces systèmes n'a permis d'obtenir, avec un succès complet, un mouvement prédéterminé, doux et constant du dos et une pression prédéterminée sur le peloton de fil sans qu'il se produise d'irrégularités dues aux vibrations,   à   l'inertie ou au frottement. En conséquence, ila été pratiquement impossible de bobiner automatiquement des pelotons de fil aveo une uniformité parfaite et sans variations dans la densité, la longueur des fila- ments ou la distribution du fil.

   Or, les inventeurs ont constaté que ces inconvénients pouvaient être supprimés en rappelant le dos ou fond d'une manière positive en vertu d'un mouvement commandé par le nombre de tours de la broche ou du peloton de fils On peut, de cette manière, obtenir du dos qu'il exerce une pression prédétermi- née ou uniforme sur la périphérie du peloton de fil pendant toute la durée du bobinage. 0'est   là   le facteur le plus important, mais non   l'unique   facteur, dans le réglage de la densité du peloton, at- tendu que la pression du dos tend continuellement à renvider le pe- loton au fur et à mesure de sa formation sur la broche.

   En   consé-     quence,   lorsqu'on veut avoir une uniformité de densité du peloton, il faut que la pression que le dos exerce sur sa périphérie soit maintenue uniforme, ou bien, si on veut faire varier cette densité, que cette pression soit réglée avec précision en accord parfait avec le résultat que l'on veut obtenir. 



   La forme d'exécution de l'invention que l'on adoptera de préfé- 

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 rence comporte un mécanisme permettant de compter le nombre de tours de la broche et de retirer ou rappeler le dos suivant le nombre de tours que fait celui-ci. Gala implique une démultiplica- tion de l'ordre d'environ 1.000.000 pour 1. Ce dernier mécanisme constitue une autre caractéristique de la présente invention,qui va être décrite en détail ci-après. 



   Parmi d'autres caractéristiques importantes, l'invention pré- voit, en vue de régler convenablement le rapport entre le mouve- ment de rappel du dos ou fond et la rotation de la broche ou du peloton de fil, un dispositif pour réajuster le mécanisme en vue de la confection d'un nouveau peloton de fil, et un dispositif convenable pour permettre d'opérer, en cas de besoin, une sépara- tion temporaire du dos et du peloton de fil. 



   Une autre caractéristique importante de l'invention consiste dans la combinaison d'un mécanisme perfectionné de commande du dos, comme décrit ci-dessus, avec un distributeur qui assure, pen- dant toute la durée du bobinage ou dévidage l'arrivée du fil au peloton sous une tension uniforme. Les tendeurs habituels ne peu- vent qu'ajouter à la tension du fil venant de sa source d'alimen- tation. Dans les bobineuses employées jusqu'à présent, une légère pension venant de la source augmente considérablement la tension résultante exercée sur le fil à mesure que celui-ci s'enroule sur   la bobine et le changement dans le rapport de vitesse influence également la tension lorsque le fil s'amasse dans la bobine en ro-   tation.

   Toutefois, on a constaté que si on place un dispositif dis- tributeur entre la source d'alimentation et le guide-fil, toutes les irrégularités de tension disparaissent et la livraison du fil est assurée sous une tension uniforme, à l'état détendu ou avec une tension uniforme. Ceci présente une importance particulière avec les fils plus élastiques, tels que le nylon, si le peloton doit avoir une grosseur maximum et si le fil doit se présenter dans les meilleures conditions possibles. 



   La présente invention possède les importants avantages sui- vants: 
1) La pression exercée sur le peloton de fil peut être légère et uniforme, ou bien forte et uniforme, Le fil a tendance à fuir sur une bobine, ce qui exige une gamme considérable de variations   dans la vitesse du dos portant le guide-fil. Les mécanismes de freinage employés jusqu à présent concurremment avec le dos, une   fois qu'ils ont été éloignésde la bobine, exerçaient souvent une pression saccadée, d'où man que d'uniformité dans la densité du peloton. 



   2) Le mécanisme selon l'invention, lorsqu'il en est fait usa- ge, supprime la tendance qu'à le peloton à sauter. Dans les bobi- neuses connues jusqu'à présent, ceci a constitué un   inconvénient,   surtout dans le pas de pelotons mous et à mesure que la grosseur de ceux-ci augmentait. 



   3) Une plus grande précision du guide-fil est assurée en dé- terminant d'une façon positive la position du dos. Le guide se meut en un cycle constant avec moins de vibrations que dans n'importe quel mécanisme connu jusqu'à ce jour et, par conséquent, donne au peloton de fil des.bouts plus nets, exempts de parties se croisant ou se   chevauchant.   



   4) La présente invention permet à tous les bobinoirs ou dévi- doirs d'une salle   d'être   ajustés de la même façon, de sorte qu'un nombre défini de tours de broches pour chacune des machines per- mettra de poser le fil à l'état uniforme, avec une tension unifor- me ou sans tension.

   àn5 Une autre caractéristique importante de l'invention consiste dans la combinaison d'un mécanisme pour régler d'une manière posi- tive le retrait ou rappel du dos à mesure que le peloton de fil augmente de dimensions, de telle façon que la pression exercée sur la fil en cours de bobinage sera uniforme ou pratiquement inexis- 

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 tante, concurremment avec un dispositifagissant normalement pour tirer le fil,   d'une   manière positive, d'une source d'alimentation et le livrer au guide-fil, toujours sous une tension uniforme. 



   Cette combinaison nouvelle présente une importance capitale dans la confection d'un peloton, d'une forme précise, formé de fil bobiné sous une tension uniforme, surtout lorsqu'on désire avoir une légère tension uniforme. La pression du guide-fil sur le pelo- ton augmente la tension du fil au fur et à mesure de son bobinage. 



  Il s'ensuit que cette pression doit être maintenue à un degré pré- déterminé c'est à dire qu'elle doit ou bien ne rien ajouter à la tension du fil livré au peloton, ou bien y ajouter un degré défini, susceptible   d'être   déterminé. Dans le second cas, il importe abso- lument que le fil atteigne toujours le guide-fil à un degré de ten- sion uniforme et prédéterminé, Le premier point est réalisé   grce   au nouveau mécanisme qui est représenté ici et servant à commander la position et le mouvement du dos ou fond, et le second facteur l'est grâce à la disposition d'un   mécanisme   livreur, tel que celui qui est représenté, qui agit normalement pour tirer le fil d'une source d'alimentation et le faire   filer .'abus   un degré de tension prédéterminé, aisément reconnaissable.

   lorsque ces deux conditions sont complètement remplies, le peloton de fil obtenu, dépasse en uniformité les pelotons obtenus jusqu'à présent, attendu que le fil est ainsi enroulé sous une tension uniforme depuis le commencement jusqu'à la fin. Les pelotons bobinés ou envidés sous le   contrôle     d'un   livreur ou distributeur unique ou d'un dos unique ne sont pas complètement uniformes, car même si le fil quitte le livreur sous une tension uniforme pour descendre au guide,   1 absence   de pression uniforme du dos sur le peloton provoque des fluctuations dans le degré de tension imprimé au fil dans son passage sur le peloton. 



    D'autre part, même si le dos est réglé de manière à exercer une pression uniforme sur le peloton, 1 absence de tension uniforme dans   le fil venant de la source d'alimentation provo que inévitablement des irrégularités dans le peloton. C'est seulement par la coopéra- tion des deux mécanismes combinés   qu'il   est possible d'obtenir une uniformité compète dans la tension du fil du peloton. 



   Ces caractéristiques, et d'autres encore, du nouveau procédé selon l'invention seront bien comprises par la description donnée ci-après d'une forme préférée de mise en pratique de l'invention, choisie à titre d'exemple et représentée dans les dessins annexés dans lesquels: 
Figure 1 est une vue en perspective de la machine complète; 
Figure 2 est une vue en bout de l'engrenage servant à rappeler ou retirer le dos de la broche ou du peloton qui est monté sur cel- le-ci; 
Figure 3 en est une vue en coupe longitudinale ; 
Figure 4 est une vue en perspective d'une partie de l'engrena- ge ; 
Figure 5 est une vue en perspeotive du couvercle de l'engrena- ge et des parties y associées; 
Figure 6 est une vue en bout, partie en coupe, de la machine;

   
Figure 7 est une vue partielle en perspective d'un détail du   guide-fil,   et 
Figures 8 et 9 sont des vues partielles montrant des détails du mécanisme livreur. 



   Le bâti de la machine comprend un socle 10 pourvu de flasques latéraux, verticaux 11 et 12 reliés par une partie supérieure 13. 



  Les flasques latéraux du bâti supportent des paliers pour la broche   de bobinage 14 laquelle est pourvue en un point adjacent à son extrémité de droite, comme on la voit à la fig.l, d'une poulie motrice   

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14   à bride 15. La broche%s'étend, à son autre extrémité, au-delà du flasque latéral vertical de gauche 12 du bâti et est pourvue d'une   bride et d'un collier entre lesquels peut être assujettie la bobine   sur laquelle doit s'envider le peloton de fil. A la fig.6, la bobine 29 est représentée comme étant de forme cylindrique et perforée   comme de coutume pour la teinture du peloton. Elle est maintenue en position sur la broche 14 entre la bride et le collier au moyen d'un écrou se vissant sur l'extrémité libre de la broche. 



   Dans les flasques latéraux 11 et 12 du bâti, au-dessous de la broche 14, tourillonne également l'arbre à came 18 portant la came transversale 19. L'arbre à came 18 est actionné d'une manière posi- tive par la broche 14, à une vitesse réduite par les engrenages contenus dans une botte 28 qui est fixée sur le flasque latéral de droite du bâti. La broche est actionnée par une courroie plate 21 réglée par un tendeur 22 monté sur un axe faisant saillie trans- versalement d'un bras 24 monté à pivot sur une console placée à l'arrière du bâti de la machine et tirée normalement de haut en bas, en relation active, par un ressort de traction 27. L'extrémité libre du bras 24 est arrondie et bute contre une came 25 reliée, par une tige horizontale 26, à une manette verticale de mise en mar- che 23.

   Lorsqu'on veut arrêter la machine, on amène la manette vers la gauche, comme on le voit à la figure 1, et le galopin se soulève pour permettre à la courroie 21 de quitter la poulie menée 15. 



    Lorsqu'on   veut mettre la machine en action, on amène la manette 23 vers la droite, en rappelant ainsi la came 25 et en permettant au bras 24 de s'abaisser sous l'action du ressort   27   et d'amener ainsi la courroie 21 en contact avec la poulie menée 15 pour faire mou- voir cette dernière. 



   Le peloton de fil 17 est envidé sur la bobine ou   cannette   mon- tée sur la broche 14 et est constitué par le fil passant par le guide-fil et les organes de réglage portés par un dos à bascule supporté en dehors du flasque vertical 12 du   bâti,   en face du pelo- ton de fil. 



   Le dos comprend un bâti   30   pivotant autour d'axes que présente un support en forme de joug 31, fixé au moyen de boulons au flasque latéral 12 du bâti de la machine. Le bâti 30 porte une/plaque verti- cale 32 munie, sur son bord supérieur, d'un rebord ou bourrelet qui vient en contact avec le peloton de fil et sert de guide à un guide-fil en forme de fourche 33 fixé, par son extrémité inférieure,   9 un   chariot vertical plat 34 (figs 6 et 7). La partie antérieure et extérieure de la glissière du chariot 34 est pourvue d'une plaque verticale 35 qui est fixée au bâti à bascule 30 à une certaine dis- tance de la plaque à rebord 32. 



   Le chariot 34 est recourbé en avant,   à   son extrémité inférieu- re, de manière à former un rebord qui est assujetti dans une rainure   prévue dans l'extrémité extérieure d'une tige horizontale 36 fixée, a son extrémité inférieure, dans un ooulisseau 44 portant un galet   descendant qui roule dans la gorge de la came 19. L'extrémité exté-   rieure   de la tige 36 est guidée dans un bloc 37, formé de segments, monté dans un manchon cylindrique 8 qui fait partie du bâti   à bascu-   le 30. Dans la machine qui est représentée, bien que cela ne soit pas indispensable, la tige 36 est disposée concentriquement à l'axe du bâti 30, de manière que le mouvement transversal ou longitudinal du guide-fil ne soit pas gêné par le basculement du bâti. 



    . La bâti à bascule 30 porte également une tige horizontale 38 (fig.6) sur laquelle est montée à pivot une bielle s'étendant en   descendant et comportant une branche verticale creuse 39 présentant une extrémité inférieure tubulaire carrée. Une bielle 40, pivotant autour d'une barre 41, présente une partie supérieure extrême qui coopère normalement avec ladite barre 41 pour combler l'espace exis- tant entre les parois latérales opposées de l'extrémité inférieure de la branche 39, comme on le voit   à   la fig.6, en établissant ainsi une liaison rigide entre la branche 39 et la barre 41. Lorsque la pièce 40 pivote, son extrémité supérieure s'éloigne de la branche 39, en établissant ainsi une liaison libre entre la barre 41 et la branche 39.

   Ceci débloque le dos et permet à ce dernier de   s'écar-   

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 ter légèrement du peloton de fil, suivant l'étendue du mouvement entre la branche 39 et la barre 41 avant que la paroi de droite de la branche vienne en contact avec la barre 41 et soit ainsi arrâ- tée. 



   La barre 41 est alésée pour recevoir, à son extrémité infé- rieure, une tige 42 fixée à son tour, par son extrémité inférieure, dans un bloc 43 qui est monté à pivot sur un bloc 37 calé sur 1'ex- trémité d'une crémaillère à mouvement horizontal 81 qui va mainte- nant être décrite. 



   On verra que, à mesure que la crémaillère se meut-vers l'inté- rieur,ou vers la gauche, à la figure 1, le dos est rappelé en ar-   rière,   en pivotant autour de l'axe de la tige 36, par l'intermé- diaire du mécanisme d'assemblage qui est décrit ci-dessus. La piè- ce de blocage 40 offre le moyen de rompre rapidement la liaison dans le cas où on désirerait faire mouvoir le dos indépendamment de son engrenage de commande. 



   Le bâti à bascule 30 est pourvu, à proximité de son extrémité extérieure, d'un bras 45, s'étendant enrayant et de haut en bas, qui porte une vis de butée réglable 48, -destinée à venir en con- tact avec une butée fixe 47 que présente le support 31, dans le but de limiter la position extérieure extrême du dos. 



   Le bloc 87 porte également une partie du mécanisme d'arrêt automatique qui comprend une plaque verticale 105, pourvue, à son extrémité extérieure, d'un épaulement 106 et supportant normale- ment, sur son bord supérieur, une tige horizontale de déclenche- ment 107. La plaque 106 se meut vers l'intérieur sous l'action de la crémaillère à mesure que le dos se retire. Lorsqu'elle atteint une position dans laquelle elle permet à la tige 107 de tomber sur l'épaulement 106, ce qui correspond à la grosseur d'un peloton plein, la machine est amenée au repos par un mécanisme   d'arrêt   automatique actionné par une came à gradins 20 montée sur l'arbre 18. Ce mécanisme ne sera pas décrit ici, car il ne fait pas partie de la présente invention, mais x est bien connu dans son applica- tion aux machines à bobiner. 



   Le mécanisme qui sert à commander la position du dos va main- tenant être décrit. Celui-ci est actionné par un pignon 49 fixé à l'extrémité extérieure de l'arbre à came 18 qui, comme on l'a déjà   fait remarquer, reçoit sa commande de la broche par l'intermédiaire d'engrenages démultiplicateurs. e mécanisme en question est renfermé dans un carter rectangulaire 50, fixé au bâti de la machine au-delà de l'extrémité da 1 arbre 18 et comportant un couvercle   amovible 51 fermant le côté extérieur. Un arbre creux en deux par- ties   48-62     ourillonne   dans ce/carter, la partie de gauche 48, dans un moyeu 53 s'étendant vers l'intérieur depuis la paroi interne du carter 50 et la partie de droite, dans un manchon ou chemise 54 monté de manière à pouvoir tourner dans le couvercle 51.

   A l'inté- rieur de l'arbre creux   48-52   tourillonne un arbre massif 55 relié, à son extrémité de gauche, comme le montre la figure 3, par une goupille 56,   àl'arbre   creux 48 et s'étendant vers l'extérieur à travers la paroi interne du carter 50 où il est pourvu d'un bras de friction 57 susceptible   d'être   ajusté, dans son action de sup- port, au moyen d'une vis de serrage 58 et   empêché   de tourner par une vis 59 qui traverse le bras 57 et se visse dans la paroi inter- ne du carter. On comprendra que les arbres concentriques 52 et 55 sont ainsi maintenus normalement au repos, mais peuvent tourner   d'une quantité limitée en antagonisme au frottement du bras 57, le degré de frottement étant réglé au moyen de la via 58.   



   Le/pignon 49, monté sur l'extrémité de l'arbre à came est des- tiné   à   engrener avec un pignon 60 oalé sur l'extrémité extérieure d'un court arbre 61 tourillonnant dans la partie supérieure de la paroi interne du carter et portant, à son extrémité intérieure, un pignon 62. Celui-ci actionne une grande roue dentée 63 tourillonnant sur l'arbre creux 48 à l'intérieur du carter et voisin du moyeu 63 monté sur sa paroi interne. La roue dentée 63 porte un large cliquet 

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   64, le mieux représenté à la figure 4, dont l'action est commandée par un disque protecteur fixe 66 et un disque réglable 66. Le disque 66 est calé sur l'arbre creux 48 et peut être mis en rotation par ce dernier, comme il va être décrit maintenant.

   En un point adjacent aux deux disques, se trouve un roohet 67 dont une faible partie de la circonférence est soumise à l'action du cliquet 64 dans l'évidement des deux disques 65 et 66. Le disque 66 occupant   la position qui est représentée à la figure 4, le cliquet 64 peut   venir en prise avec et faire avancer de 4 ou 5 dents le rochet 67 avant que ce cliquet soit mis hors d'action, mais le disque régla-   ble 65 peut âtre ajusté de manière que   l'opération   du cliquet 64 puisse faire.avancer le rochet d'une quantité allant de 1 à 50 dents, ou même davantage, suivant l'étendue du mouvement que 1 on veut imprimer au dos, dans le travail en cours. 



   Le rochet 67 est calé sur le moyeu d'un disque 68 susceptible 
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 de tourner librement sur l'arbre creux 62. Le moyeu est, à son t'.u"   tre extrémité, épaulé d'une façon symétrique, c'est à dire que son extrémité de droite, comme on le voit à la figure 3, est fixée à   un disque 70 qui porte, près de sa circonférence, un petit pignon 72. Ce pignon 72 engrène simultanément avec deux petite$ roues den- tées 73 et   74   qui sont montées sur l'arbre creux 52 et dont la pas ne diffère que d'une seule dent. La roue 73 est   calée   sur l'arbre creux et est par conséquent fixe à l'état normal, tandis que la roue 74 peut tourner librement et avancer par conséquent d'une dent par rapport à la roue 73, pour chaque tour complet du disque 
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 70 portant la petit pignon 72.

   Geost ainsi, par exemple, que la roue 73 peut comporter 50 dents at que la roue 74 peut en comporter 49, en sorte que la roue   74   fera un tour sur l'arbre 52 par rapport 
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 à la roue 73 pour 80 tours du disque porte-pignon 70. les disques 68 et 70 sont évidés de manière à pouvoir loger une série de petite pistons à ressort 69, disposés symétriquement, qui agissent comme freins sur la rochet 57 pour en empêcher la rotation excessive. 



   La roue dentée   74   est   duvetée   sur un second disque 71 portant, près de sa périphérie, un petit pignon 75 destiné à engrener avec deux petites roues 76 et 77 d'égal diamètre, la roue   76   étant   calée   sur l'arbre creux 52 et   la   roue 77 pouvant tourner librement sur celui-ci. Les roues dentées 76 et 77 ont un pas qui varie d'une dent et offrent par suite une autre démultiplication qui peut à 
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 nouveau t3tre de 50 à 1. 



   La roue dentée 77, qui tourne lentement, est fixée par une clavette 78 à un collier ou disque de friction   79,   le mieux repré- senté à la figure 5, qui est monté à friction sur l'extrémité inté- rieure du manchon 64. Oe manchon porte également un pignon 80 qui est fixé sur celui-ci et qui est destiné à tourner dans un loge- ment formé dans la face interne du couvercle 51 et engrène avec la crémaillère 81, mentionnée ci-dessus, qui est guidée de manière à 
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 pouvoir eff3rtuer un mouvement rectiligne dans une rainure horizon- tale qui a'.étend d'un coté à l'autre du couvercle 151, La oréraaillè- ra est reliée, à son extrémité extérieure, au bloo 87 par l'inter-   médiaire   duquel elle agit pour rapprocher et éloigner le dos de la broche, comme cela va maintenant être décrit.

   
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 La rotation du manchon 54 est limitée par une gorge oiroon'é- rentielle 83 qui s'étend sur la moitié environ de la périphérie de ce manchon et dans laquelle s'engage l'extrémité d'une cheville   d'arrêt   82 qui se visse dans un trou vertical ménagé dans la cou-   vercle.   La rotation partielle du manchon peut s'effectuer à la main par l'intermédiaire d'un collier 84 calé sur l'extrémité extérieure du manchon et pourvu d'une douille recevant une manette 86,comme on le voit à la figure   1..Lorsqu'on   tourne la manette 86 dans le sens contraire à celui du mouvement des aiguilles d'une montre pour l'a- 
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 mener I:

  t. sa position extrême de gauche (fin.8) ce qui est autorisé par la rainure 85, le manchon 54 tourne dan3.a pièce de friction 79, en faisant tourner le pignon 83 an prise avec la crémaillère 81 et en faisant mouvoir le dos vers l'intérieur pour l'amener à sa position initiale, en un point   adjacent   à la bobine montée sur la broche 14, la tout sans interrompre la liaison de commande entre le 

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 dos et le démultiplicateur. A mesure que le mécanisme décrit ci- dessus fonctionne sous l'action du démultiplicateur,, le pignon 80 tourne dans le sens opposé (sens des aiguilles d'une montre) comme représenté à la figure 2) et le dos se retire d'une façon   positive   de la bobine. 



   Sur l'extrémité extérieure de l'arbre massif 55 est   claveté   un petit collier concentrique 85 pourvu également   d'une   douille destinée 4 recevoir une manette amovible au moyen de laquelle on peut faire   tourner-cet   arbre pour ajuster le disque   protecteur   85. 



  Au-dessous du collier   86   se trouve un disque 88 gradué de 1   à   50 pour indiquer le nombre de dents que comporte le rochet 67 et qui sont soumises à l'aotion du cliquet 84 correspondant au réglage du collier 85. 



   En supposant, par exemple, que la démultiplication entre la broche la et l'arbre à   oame   18 soit de l'ordre de 1 à 5; de 1 à 5 entre le pignon 62 et la roue dentée 63; de 1   à   15, entre la rochet et la roue 4   roohet;   de 1   à   50, entre les roues 73 et 74; de 1   à   50, entre les roues 76 et 77, on a une démultiplication totale de 937,500 à 1 entre la rotation de la broche et la rotation du pignon 80 qui actionne la crémaillère 81. En d'autres termes, pour 937.500 tours de la broche, pendant   lesquels     937.600   tours de fil sont appliqués au peloton, le dos est rappelé d'une quantité cor- respondant à un tour du pignon 80. 



   Le fil ou filament à bobinerest fourni au guide-fil 33 du dos depuis une source d'alimentation, par l'intermédiaire d'un disposi-   tif   livreur dont le   rôle   est de tirer d'une façon positive la fil de la source en question   à   la vitesse variable qu'exige le peloton de fil au fur et   à   mesure qu'il grossit et d'entraîner ensuite la brin après avoir exercé sur celui-ci une tension uniforme. Un   dispo-     sitif   livreur ou approvisionneur de ce genre est décrit en détail dans la patente antérieure N 2.273.052, datée du 17 février 1942, à laquelle on peut se référer pour les détails de construction. 



   Comme on le voit à la figure 1, le dispositif livreur est mon- té sur une paire de flasques 90 qui s'élèvent depuis la partie su-   périeure   du bâti de la machine et portent, à leurs extrémités supé- rieures, un support tubulaire horizontal 91. Dans ce support, tou- rillonne un arbre 92 portant, à son extrémité extérieure, une pou- lie motrice 93.   L'arbre   reçoit, par une courroie, sa commande d'une poulie motrice 94 disposée à l'extrémité extérieure de l'arbre ou broche 14, la tension étant maintenue sur la courroie par un rou- leau fou 95, monté dans une consola fixée au support tubulaire 91. 



   Une autre console 96 est fixée à l'extrémité de gauche du sup- port 91 dans lequel tourillonne un arbre portant un cône 97 disposé de manière à pouvoir tourner librement, dans la position renversée, autour d'un axe incliné en descendant. Le cône 97 vient en contact avec un cône analogue 98 calé sur l'extrémité gauche de l'arbre 92. 



  Les axes des deux cônes s'intersectent et leurs surfaces sont pour- vues de revêtements de caoutchouc qui saisissent entre eux le fil et le font avancer. Be fil passe de la source d'approvisionnement à un oeil ou chas porté par un support vertical 99 qui guide le fil vers un guide-fil mobile et de là à la surface de contact antre les deux   cônes   97 et 98. Le chemin du fil entre ces cônes, c'est à dire la distance qui le sépare du sommet, est déterminé par le guide-fil   mobile comportant un oeil 121 (fig.8) qui est supporté du o8té de l'entrée des cônes. Ce guide-fil est relié au bras 101 monté mobile   dans une boite 102 également supportée par la console 96.

   Le fil sort des   cônes   et se dirige vers un oeil fixe 100   (fig.1)   puis mon- te vers un oeil pratiqué dans l'extrémité extérieure du bras de ré- glage 101 et passe de là directement au guide-fil 33 qui se trouve sur le dos. 



   Comme on le voit sur les dessins, le bras 101 s'étend bers   l'extérieur   partir d'un. secteur 108 monté à pivot dans la partie supérieure de la botte 102 du dispositif livreur ou approvisionneur, Un secteur analogue 109 est monté dans la partie inférieure de la botte, comme on le voit le mieux à la fig.9. De courtes chaînes sont 

 <Desc/Clms Page number 8> 

 enroulées autour des deux secteurs et sont   relié@spar   une barre lé-   gère 120 dans laquelle est formé l'oeil guide-fil 121.

   Le secteur inférieur 109 comporte une cheville 110 à laquelle est relié un res-   sort de torsion 111 qui tend constamment à faire mouvoir le secteur 109 dans le sens contraire à celui du mouvement des aiguilles d'une   montre, en faisant ainsi mouvoir l'oeil 121 vers le sommet des cônes d'entrainement des brins et en tendant à soulever le bras 101. L'au-   tre extrémité du ressort 111 est reliée à un couvercle circulaire 112 maintenu par frottement sous un bras 113 attaché à la botte 102 et susceptible de tourner pour régler la tension du ressort 111. 



  Une vis de serrage   103   sert à maintenir le couvercle 112 dans toute position de réglage voulue. D'une manière générale, la/section du ressort 111 contrebalance le poids du fil qui passe par l'oeil du bras guide-fil 101, la tension du ressort offrant une légère résis- tance au mouvement de descente du bras   101.   



   Lorsque le peloton commence à s'amorcer et que le fil s'enroule à une vitesse linéaire relativement faible, le bras 101 occupe une position initiale élevée et guide, par ses relations, le fil sui- vant une voie adjacente aux sommets des deux   cônes.   Le fil étant guidé de la sorte, le dispositif livreur tire ce fil de la provi- sion à une vitesse relativement lente, mais positive. D'autre part, à mesure que le diamètre du peloton de fil augmente et que le fil s'envide à une vitesse linéaire croissante, le bras 101 s'abaisse et, par les organes y reliés, le fil est guidé suivant une voie qui est de plus en plus proche de la base des cônes 97 et 98, de sorte que le fil est tiré de la source d'approviabnnement à une vitesse toujours de plus en plus rapide. 



   Par conséquent, on verra que le dispositiflivreur tire le fil d'une façon positive de la source d'approvisionnement, supprime tou- tes irrégularités de tension inhérentes à ce mouvement et fait en- suite avancer le fil d'une façon positive de sorte que celui-ci sort d'entre les cônes 97 et 98 sans tension initiale. 



   Bien que l'invention ait été représentée comme étant appliquée   à une machine à bobiner dans laquelle la broche pour le peloton de fil ou filament tourne autour d un axe fixe, on comprendra que l'in-   vention peut être appliquée d'une façon tout aussi avantageuse aux machines à bobiner ou à dévider d'autres genres, comme par exemple la machine à bobiner Poster bien connue ou la bobineuse Universal dans laquelle le peloton de fil repose sur un rouleau rotatif qui le fait tourner. Dans l'application de l'invention à une machine de ce genre, la séparation respective serait assurée par un mouvement   positif de la broche et le rouleau constituerait parfaitement l'équivalent d'un dos.

   C'est pourquoi, dans @@@@ qui suivant le terme     "dos"   est employé dans le sens le plus large, pour désigner tout guide, rouleau ou pièce de contact qui remplit le rôle d'un dos en venant en contact avec le fil au fur et à mesure que celui-ci s'en- vide autour d'une broche pour former un peloton.      



   On remarquera en outre que, bien que la mécanisme   démultiplioa-   teur employé pour faire mouvoir le dos d'une façon positive, soit représenté comme recevant sa commande de la broche, et bien qu'on préférât l'actionner de cette manière, il rentre également dans le cadra de l'invention de l'actionner à l'aide d'un moteur électrique distinct, à vitesse constante, tournant dans un rapport sensiblement fixe vis à vis de la rotation de la broche. 



   Le fil ou filament venant d'une source d'approvisionnement est livré par l'intermédiaire du dispositif livreur au guide-fil 33 tou- jours sous une tension uniforme et toujours au degré de vitesse qu' exige le peloton de fil en rotation. Le dos est ajusté dans sa pool- tion initiale, en un point adjacent à la bobine 29 montée sur la broche de bobinage par suite de la rotation du collier 84 dans le sens du mouvement des aiguilles   d'une   montre. Le degré de mouvement du dos est réglé suivant la grosseur du fil en ajustant le disque 85 de manière à exposer la nombre correct de dents de rochet entre les disques protecteurs 65 et 66.

   Lorsqu'on met la/machine en   action,le   pignon 80 est   actionné: d'une   manière peaitive à un rapport fixe re- 

 <Desc/Clms Page number 9> 

   lativement   au nombre de tours de la broche, par exemple, 1 à   937.500.   Le mouvement du dos pendant lebobinage est ainsi réglé d'une manière positive pour permettre d'obtenir unpeloton de fil d'une densité uniforme et prédéterminée. Lorsque l'opération du bobi nage se déroule normalement, il est évident que du fil de la gros- seur voulue s'envide pour former un peloton de la forme et de la densité   prédéterminées,   ce qui supprime tout examen des pelotons in- dividuels, d'où une économie considérable dans les fraie de manuten- tion du fil.

   Lorsque le peloton est achevé et enlevé de la broche, le dos peut être ramené   à   sa position initiale en faisant tourner le oollier   84,   ou bien si, pour un motif   quelconque,   on désire faire mouvoir le dos indépendamment de son mécanisme de commande, on peut interrompre temporairement la liaison motrice, en faisant   basculer   la pièce de blocage ou de   v@@rouillage   40. 



   On a constaté que la manoeuvre du mécanisme décrit ici présen- tait encore un autre avantage par ce fait que celui-ci tend toujours à corriger la forme du peloton de fil. Par exemple si le peloton perd sa forme arrondie ou subit toute autre déformation, par suite d'accident ou de malchance, la nouvelle combinaison qui permet d'ac-   tionner   d'une façon positive le   dispositif'.:

  approvisionneur     conour-     remment   avec le mécanisme permettant de   commander   positivement le mouvement de retrait ou de rappel du dos, au fur et à mesure que le peloton de fil augmente de grosseur, commencera immédiatement à rame ner   leloton   à sa section transversale circulaire, parfaite, et ce- la d'une façon uniforme, d'un bout   à.   l'autre de sa longueur. 



   REVENDICATIONS. 



    @   
1. Une machine à bobiner comprenant en combinaison une broche rotative pour un peloton de fil, un dos portant un guide fil cons- truit et disposé pour coopérer avec cette broche en vue de bobiner ou envider un peloton de fil sur cette broche, un mécanisme pour séparer relativement le dos et la broche et comprenant des moyens pour effectuer ce mouvement relatif 3 une vitesse contrôlée en rela- tion avec l'accroissement de dimensions du peloton, et des moyens pour tirer du fil d'une source d'approvisionnement et l'amener au peloton sous une tension uniforme, de manière à permettre d'obtenir un peloton de densité uniforme, bobiné ou envidé sous une tension uniforme.

Claims (1)

  1. 2. Une machine à bobiner selon la revendication 1, dans la quela le dit mécanisme est actionné par la broche.
    3. Une machine à bobiner selon la revendication 1, dans laquel- le les moyens d'alimentation ou d'approvisionnement sont actionnés par la broche.
    4. Une machine à bobiner selon l'une quelconque des revendioa- tions préoédentes dans laquelle le dit mécanisme comprend des engre- nages actionnés positivement.
    6. Une machine à bobiner selon l'une quelconque des revendica- tions précédentes, dans laquelle ledit mécanisme retire ou rappelle le dos à une vitesse proportionnelle au nombre de tours de la bro- che, et des moyens capables d'être déplacés par/l'opérateur dans dif- férentes positions sont prévus pour régler la vitesse de ces mouve- ments de retrait ou de rappel.
    6. Une machine à bobiner selon l'une quelconque des revendica- tions précédentes, dans laquelle ledit mécanisme comprend un porte- cliquet rotatif, un rochet ou plateau denté actionné par celui-ci, des gardes ou organes protecteurs réglables pour déterminer le nom- bre de dents de rochet mues par le oliquet et des liaisons actives entre le rochet et le dos.
    7.Une machine à bobiner selon la revendication 5, dans laquelle ledit mécanisme comprend un cliquet et un rochet, et les moyens pour modifier la vitesse de retrait ou de rappel comprennent un arbre <Desc/Clms Page number 10> normalement fixe portant une garde ou organe protecteur contrôlant l'action du cliquet, des engrenages montés sur cet arbre et reliés au roohet, et des moyens pour faire tourner cet arbre à la main afin de régler la garde ou organe protecteur pour contrôler l'éten- due de l'action exercée parle cliquet sur le rochet.
    8. Une machine à bobiner selon la revendication 6, dans la- quelle les dites liaisons actives, comprennent un plateau ou disque tournant sur lequel est monté un pignon actionné par leplateau de rochet, une paire de roues d'engrenages, différant l'une de l'au- tre d'une dent, actionnées par ce pignon, et des liaisons actives actionnées par le mouvement relatif des deux roues.
    9. Une machine à bobiner selon l'une quelconque des revendica- tions précédentes, dans laquelle on a prévu des moyens actionnés à la main pour ramener le dos dans sa position initiale.
    10. Une machine à bobiner selon la revendication 8 eu 9, dans laquelle ladite liaison active comprend un dispositif à friction interposé entre le dos et le dispositif à engrenages, qui permet au dos d'être déplacé vers le support du peloton de fil sans inter- rompre la liaison entre le dos et le dispositif à engrenages.
    11. Une machine à bobiner selon l'une quelconque des revendi- cations précédentes,, dans laquelle ledit mécanisme comprend un man- chon rotatif entrainé par friction, un pignon commandé monté sur ledit manchon et une crémaillère actionnée par le pignon et reliée audit dos.
    12. Une machine à bobiner selon la revendication 11, dans la- quelle on a prévu des moyens pour faire tourner ledit manchon en sens inverse, afin de ramener ladite crémaillère dans sa position initiale.
    13. Une machine à bobiner selon l'une quelconque des revendi- cations précédentes, dans laquelle ledit mécanisme comprend un ar- bre normalement fixe, un ensemble démultiplicateur monté concentri- quement au dit arbre et actionné sous un rapport fixe par rapport à la broche, et des liaisons activas entre cet ensemble démultipli- cateur at ledit arbre.
    14. Une machine à bobiner selon l'une quelconque des revendica- tions précédentes, dans laquelle des liaisons entre ledit mécanisme et ledit dos comprennant un organe de blocage déclenchable, grâce au- quel le dos peut être temporairement libéré en vue de s'écarter ra- pidement de la broche.
    15. Une machine à bobiner,en substance comme décrit en référen- ce aux dessins annexés.
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