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Maohine à dévider.
La présente invention concerna des perfectionnements aux machines à dévider pour le fil et les matières analogues et elle peut être employée dans des machines pour faire des bobines,des cônes,des enroulements \ou \ d'autres formes de paquets..
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L'un des buts de la présente invention est de simpli- fier le travail à exéc@ter par l'opérateur. Un autre but est de fournir un mécanisme perfectionné de démarrage et d'arrêts
Dans la spécification qui suit et dans les revendica- tions, la terme "paquet" est employé dans un sens général pour indiquer n'importe quelle forme de produit obtenu sur la machine et le terme "fil" est employé pour désigner d'une ma- nière générale toutes sortes de matières, textiles ou autres.
Dans pratiquement tous les types de machines à dévider, l'approvisionnement pour le fil, que ce Boit une bobine, un éoheveau ou une autre forme de paquet, doit être situé relati- vement loin du paquet en enroulement et habituellement l'appro- visionnement est plaoé en-dessous de la machine.
Il est avan- tageux et en fait complètement nécessaire, comme cala apparat- tra dans la suite, d'avoir une longueur considérable de fil entre son point de débit par l'approvisionnement et le point où il est, pris par le dévidage, mais lorsque la bobine d'appro- visionnement est plaoée à une certaine distance du méoanisme dévideur, elle est incommode d'accès pour l'opérateur et oblige celui-ci à étendre les bras ou à se baisser pour attacher les extrémités ou pour enlever et remplacer l'approvisionnement.
Même ai la bobine d'approvisionnement est placée près du paquet en enroulement; le fil doit être amené en un point éoarté du mécanisme dévideur avant qu'il puisse être oonduit au paquet, et oeoi également oblige l'opérateur à étendre les bras ou à se penoher pour plaoer le fil dans le moyen de guidage à par- tir duquel il est conduit au paquet.
Pour surmonter les difficultés ci-dessus, la présente invention envisage la oréation d'une machine à dévider oompre. nant un approvisionnement où le fil ou la matière analogue est prie, un support rotatif pour le paquet et un dispositif de mouvement transversal, oette maohine étant caractérisée en ce qu'elle comporte un dispositif pour déplacer le point de débit
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du fil (point de débit qui peut être la source dapprovision- nement ou peut être un point entre cette dernière et le sup- port de paquet)
pour le placer à distance du support de paquet pendant 1'opération de dévidage et à proximité du support de paquet lorsque l'opération de dévidage est arrêtée (par exem- ple par suite de rupture du fil ou de l'achèvement d'un paquet dévidé). Lorsque la machine a été arrêtée, la réunion des ex- trémitéa rompues et l'attachement du fil au support de paquet sont facilitées. On peut prévoir avantageusement un organe de guidage oonstituant le point de débit du fil (et débitant par exemple le fil au dispositif de mouvement transversal), orga- ne de guidage qui est maintenu écarté du support de paquet pendant l'opération de dévidage et est amené dans un endroit voisin de celui-ci lorsque le dévidage est arrêté.
Dans une machine dans laquelle le support de paquet est disposé sensiblement horizontalement; l'approvisionnement en fil est de préférence disposé sensiblement en face d'un point situé à mi-distance entre les extrémités du support de paquet et l'organe de guidage est de préférence déplacé sensi- blement dans un plan vertical passant par l'approvisionnement de fil et à midistanoe entre les extrémêtés du support de pa- quet. L'organe de guidage peut par exemple être déplaoé le long d'une ligne verticale contenue dans ces plans.
Il est pré- férable également de prévoir un mécanisme d'arrêt pour arrêter la rotation du supportde paquet et de faire en sorte que le dispositif pour déplacer le point de débit du fil en vue de le rapprocher et de 1'écarter du support de paquet soit aotionné à partir du mécanisme d'arrêté
Dans une construction appropriée suivant la présente invention, on a prévu un organe rotatif accouplé à l'organe de guidage et un embrayage destiné à être aotionné pour oomman- der l'organe rotatif à partir d'une pièoe rotative de la maohi- ne, de façon à déplacer l'organe de guidage, dans une direction
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de son trajet, vers le support de paquet ou à partir de celui- oi;
oet embrayage est également disposé de façon à être libéré pour permettre à l'organe de guidage de se déplacer dans l'au- tre direction de son trajet. L'organe rotatif peut prendre la forme d'un tambour pour l'enroulement d'une corde qui est atta- ohée à l'organe de guidage. La pàèoe rotative mentionnée de la machine peut être une pièce qui tourne de faon continue et l'on peut prévoir un levier de commande d'embrayage qui est dé- placé pour libérer cet embrayage lorsque l'opération de dévida- ge est oommenoée et pour mettre en prise celui-ci en vue d'ac- tionner l'organe rotatif lorsque l'opération de dévidage est arrêtée.
L'invention envisage également la création d'une ma- ohine à dévider à tambour qui peut contenir ou non l'une quel- oonque des caractéristiques ci-dessus et qui comprend en combi- naison une broche de dévidage pour reoevoir le paquet, un orga- ne qui supporte la broche de dévidage et qui est mobile pour amener le paquet en contact et hors de contact avec le tambour de commande, un bras basculant disposé de façon à déplacer cet organe pour écarter le paquet du contact avec le tambour de commande, un taquet sur le bras basculant, une oame rotative disposée de gaon à venir en prise avec le taquet pour faire basculer le bras basculant, un ressort maintenant normalement le taquet hors de oontaot avec la oame,
et un dispositif fonc- tionnant pour obliger ou permettre le mouvement du taquet jus- que dans une position pour être en prise avec la oame, dans le but d'arrêter l'opération de dévidage. On peut prévoir égale- ment un levier qui pivote sur l'arbre basculant et est relié au taquet par l'intermédiaire du ressort, et un élément, par exemple une came fixe, au moyen duquel ce levier est basculé lors du mouvement avec le bras basculant de façon à étendre le ressort pour écarter le taquet de la came après qu'il a été aotionné par celle-ci.
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Pour une meilleure compréhension de ces caracétristi- ques et d'autres encore de l'invention,, on décrira à titre d'exemple seulement et avec référence aux dessins annexée, cer- taines formes de machines à dévider suivant la présente inven- tion. Il va de soi toutefois que l'invention n'est pas limitée aux détails précis de construction indiqués.
La figure 1 est une vue en élévation de faoe d'un élé- ment d'une machine à dévider, montrant la présente invention ap- pliquée à celle-ci.
La figure 2 est une vue en bout de cet élément de ma- ohine, montrant des pièces du mécanisme de dévidage en position normale pendant l'enroulement d'un paquet.
La figure 3 est une vue semblable montrant les piè- ces du mécanisme de dévidage en position après que le paquet a été retiré du oontaot aveo le rouleau de commande pour arrêter l'opération de dévidage.
La figure 4 est une vue de côté, à plus grande éohel- le, du mécanisme d'arrêt de la machine, regardé dans la direc- tion opposée de celle de la figure 3.
La figure 5 est une vue en plan en détail d'une par- tie du mécanisme qui effectue l'arrêt de la maohine lorsque le paquet atteint un diamètre déterminée
La figure 6 est une vue à plus grande 'échelle montrant un embrayage et.un tambour qui sont aotionnés automatiquement pour enrouler une corde de façon à déplacer le dispositif de guidage du fil en vue de faire varier la position du point de débit du fil.
La figure 7 est une vue de face d'une forme modifiée de l'invention montrant celle-ci appliquée au déplacement du dispositif de tension vers le mécanisme dévideur et en s'écar- tant de celui-ci.
La figure 8 est une vue de oôté des pièces représen- tées à la figure 7.
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Les mêmes chiffres de référence désignent' les mêmes pièces dans tous les dessins.
Les dessins montrent une machine à dévider du genre représenté et déorit au brevet anglais No 27845/29, mais il va de soi que la présente invention est applicable à d'autres ty- pes de mécanismes dévideurs et peut être employée dans des ma- chines ayant d'autres caractéristiques, s'occupant du transport de fil ou d'une matière analogue d'une opération à une autre dans diverses branches des industries textiles et analogues.
Dans les dessins, le mécanisme représenté peut être un élément d'un certain nombre d'éléments semblables montés sur une table ou une assise horizontale qui est supportée par des colonnes ou des pieds 3. Partant de l'assise ou de la table 2,sont disposés des consoles ou des organes de châssis 4 qui portent des paliers pour l'arbre de commande rotatif 5 et d'autre? pièces du mécanisme à dévider. Comme on l'a représenté, l'arbre de commande 5 est supporté dans des paliers à billes 6 portés par les consoles 4 et il s'étend horizontalement sur toute la longueur de la machine pour servir à la commande de tous les é- léments de oelle-ci.
L'arbre 5 porte une séria de tambours ou de rouleaux de commande 7, et bien qu'on n'en ait représenté qu'un sur les dessins, il doit être entendu qu'un rouleau sépa- ré est prévu pour chaque élément de dévidage.
Le rouleau de commande 7 sert 4 faire tourner le pa- quet par contact avec sa surface et dans la construction déori- te dans la spécification mentionnée plus haut, les rouleaux sont également un moyen de faire voyager le fil longitudinalement par rapport au paquet pour le déposer en des hélices formant les couches qui constituent la masse de fil.
A cet effet, ce rouleau 7 qui peut être appelé un rouleau de mouvement transversal est pourvu sur sa périphérie d'une rainure 8 recevant et guidant le fil et constituée par des hélices qui se croisent et se rejoi
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gn.ent et s'étendant dans des directions opposéeso En d'autres termes, la rainure 8 dans la surface du rouleau 7 de mouvement transversal s'étend d'une extrémité à l'autre du rouleau an un nombre approprié quelconque d'hélices et revient alors dans la direction opposée avec un nombre égal d'hélices croisant les premièreso Des mesures sont prises pour retenir le fil dans la partie de la rainure dans laquelle il voyage,
pour l'empêcher d'être détourné dans l'hélioe opposée de la rainure, le tout oomme il est expliqué et représenté dans la Spécification déjà mentionnée
Comme on l'aiindiqué, le produit de la maohine peut être un paquet de n'importe quelle forme préférée, la forme u- suelle étant oylindrique ou conique. Le fil est enroulé sur un récepteur ou noyau approprié, comme un tube en papier ou un man- drin en bois ou en fibre. Comme on l'a représenté au dessin, la machine est destinée à enrouler des paquets ooniques et à cet effet un tube oonique ou récepteur 0 est monté de façon à pou- voir tourner sur une broche morte 10.
Pour faire en Sorte que l'axe du paquet puisse s'écarter du rouleau de oommande ou de mouvement transversal 7 pendant la oroissanoe de l'enroulement, la broche d'enroulement 10 est portée à l'extrémité d'un bras basoulant 11 pivotant sur un bouton horizontal 12 qui est suppor- té dans un moyeu à l'extrémité supérieure d'un montant 14 fai- sant partie de la console 4. Le bras 11 est fait en deux pièoes aveo un prolongement extérieur 15 disposé de façon à pivoter dans un palier à l'extrémité du bras prinoipal pour faire en sorte que la broche d'enroulement 10 prenne une position incli- née par rapport à la surface du rouleau 7. Le tube en bois ou le réoepteur 0 pour le fil est maintenu sur la broche d'enrou- lement au moyen d'un loquet 16 à son extrémité externe.
Dans les machines du type actuel, le rouleau de com- mande ou de mouvement transversal 7 est mis en rotation de façon
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oontinue et en vue d'arrêter l'opération de dévidage, le pa- quet est enlevé du contact aveo le rouleau par suite du fonc- tionnement du mécanisme d'arrêt disposé comme suit. On prévoit habituellement un moyen d'actionner le mécanisme d'arrêt automa- tiquement lorsque le fil ;le brise ou que son approvisionnement est épuisé et également lorsque le paquet atteint un diamètre déterminé. Le bras 11 portant la broche de dévidage 10 possède une branohe 18 qui est dirigée vers le bas et à l'extrémité de laquelle est relié par pivot une barre ou un coulisseau 20.
L'ex- trémité postérieure de la barre 20 présente une boutonnière 21 dans laquelle vient en prise une broche 22 fixée à l'extrémité de la branohe 18, et un ressort 23 maintenu dans un trou de l'extrémité de la barre agit sur un plongeur 24 prenant appui contre la broche 22. Grâce à cette disposition la liaison entre la barre 20 et le bras 21 est rendue élastique pour permettre un léger jeu entre les pièces. La barre 20 s'étend evers l'avant et vers le bas et à spn extrémité libre elle comporte une série de dents de roohet 25 sur sa face inférieure. Les dents 25 sont destinées à venir en prise aveo le bord en biseau d'un cliquet 26 construit sous la forme d'une lame et fixé à un levier à deux branches ou bras basculant 27 au moyen d'une vis 28.
On compren- dra qu'à mesure que le paquet en enroulement augmente de diamè- tre, le bras 11 bascule vers le haut et pendant ce mouvement la barre 20 glisse vers l'avant transversalement à la lame ou au oliquet 26, de sorte que les dents de roohet 25 de la barre sont successivement mises en prise aveo le oliquet 26. Pour arrêter le mouvement de dévidage, la barre 20 est attirée vers l'avant par le basculement du cliquet 26 sous l'action de pivotement du levier 27.
Si on se reporte particulièrement à la figure 4, on vpit que le levier 27 pivote sur des boutons 30 portés dans des moyeux ou paliers 31 formée sur l'organe de châssis 4. Sur les extrémités libres du levier 27 pivote en 32 up. taquet en forme
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d'étrier 33 dont l'extrémité inférieure est destinée à venir en contact avec une pièce 35 en forme de oame oalée sur un ar- bre 36 et mis continuellement en rotation dans la direction indiquée par la flèche. L'arbre 36 est supporté dans des pa- liers 37 de l'organe 4 et peut être relié par engrenages ou au- trement pour être actionné par l'arbre 5 du rouleau de mouve- ment transversale à une vitesse beauooup plus faible.
Le levier 27 est sensiblement en forme d'U et oompor- te des bras opposés dirigés vers l'avant 29 reliés par une pla- que 38 qui normalement reste dans une position sensiblement verticale comme on le voit à la figure 3 et sert de garde-fil avec son extrémité supérieure en avant du rouleau de mauve... ment transversal 7. Si l'on se reporte à la figure 1, on voit que des oreilles 39 font saillie vers l'avant sur la plaque 38 pour fournir des paliers pour une anse 40 en fil métallique en forme d'U renversée Les extrémités des branches de l'anse 40 en fil métallique sont repliées en 41 pour former des paliers encerclant des broches 42 chassées à travers les côtés des pattes 39.
D'une des broohes de l'anse s'étend une queue 43 qui est destinée à frapper contre un épaulement 44, voir figu- re 4, entre les pattes pour agir oomme arrêt an vue de limiter l'action d'inclinaison vers 1 avant de l'anse. L'anse à fil 40 comporte une traverse 45 par-dessus laquelle le fil y se diri- ge vers les rainures 8 du rouleau 7 oomme on le voit à la figu- re 2, et lorsque le fil se brise ou que son approviâonnement est épuisé, la barre bascule vers l'avant sous l'action d'un levier 48.
Le levier 48 pivote sur la broche 42 à proximité de la branche de droite de 11 anse à fil 40, voir figure 1, et il est enfermé et protégé par une sorte de caisse 49 faisant sail lie qur l'avant de la plaque ou du garde-fil 38o La branohe de droite de 1 anse à fil 40 possède un prolongement 50 enroulé en un coude pour faire en sorte qu'il frappe contre le bord
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postérieur du levier 48 de telle sorte que lorsque l'extrémi- té inférieure du levier est basculée vers la droite suivant la figure 2, elle fait basouler vers l'extérieur l'extrémité su- périeure de l'anse à fil, ce mouvement étant permis lorsque la traverse Supérieure 45 de l'anse est libérée par une rupture ou une sortie du fil v.
L'extrémité inférieure du levier 48 porte une broche 51 à laquelle est relié un ressort 55 ayant son extrémité opposée anorée au taquet 33 en 56. Le ressort 55 est normalement sans tension et forme une bielle ou une liai- son entre le levier 48 et le taquet 33 de sorte que ce dernier est maintenu normalement soulevé et hors de contact aveo la oame 35. Lorsqu'au contraire l'anse à fil 40 est libérée, el- le permet le basculement du levier 48 de façon à permettre au taquet 33 de tomber par son propre poids dans la position pour être en prise avec la came 35. D'autre part, le ressort 55 fournit une liaison entre le taquet 33 et le levier 48, liai.. son qui est élastique de sorte que le levier 48 peut être dé- placé indépendamment du taquet pendant que ce dernier reçoit l'aotiion de la came de la manière déorite ci-après.
La came 35 agit sur le taquet 33 pour faire basculer le levier 27 et son oliquet 26 de façon'à faire glisser la barre 20 pour soule- ver le paquet hors de contact aveo la rouleau de commande 7 en vue d'arrêter l'opération de dévidage. Lorsque l'extrémité an- térieure du levier 27 est basculée vers le bas, l'extrémité in- férieure du levier 48 est amenée contre une butée inclinée ou une oame 57 sur le côté de la oonsole 4. Le levier 48, en ve- nant en prise avec la butée 57, bascule ae façon à étendre le ressort 55, après quoi la tension dans ce dernier fait basou- ler le taquet 33 vers l'avant dès que celui-ci est libéré de la came 35.
Un ressort à lame plat 60, fixé à l'extrémité de l'organe 4 en 61, s'étend vers le bas transversalement au moyeu 31, avec son extrémité inférieure repliée prenant appui oontre
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le garde-fil ou la plaque 38 pour maintenir le levier en étrier ou à deux branches 27 normalement dans une position sensible- ment horizontale, comme le montre la figure 2. Lorsque l'extrémi-' té antérieure du levier 27 est basculée vers le bas sous l'ao- tion de soulèvement du oliquet 33 Sur son extrémité postérieure (voir figure 4), il est verrouillé dans cette position au moyen d'un engagement de loquet aveo un levier de démarrage 65. Le levier de démarrage 65 est fixé sur une tige ou un arbre pivo- tant 66 au moyen d'une vis de pression 67.
Le bras 66 peut pivo- ter dans des paliers 68 sous les organes de châssis opposés 4.
Le levier de démarrage 65 s'étend vers l'avant du côté gauche du mécanisme de dévidage avec son bord inférieur passant en tra- vers d'un bord à oavité 69 sur la planque ou le garde-fil 38, voir figure 1. L'extrémité antérieure du levier de démarrage 65 forme une poignée 70 faisant saillie vers l'extérieur au-delà du garde-fil 38, et vers l'intérieur par rapport à oelui-oi se trouve un épaulement de détente éohanoré 71 destiné à venir en prise aveo le bord 69 de la plaque 38 comme le montre la figure 4 du dessin.
Le levier de démarrage 65 est relié par l'intermé- diaire de l'arbre pivotant 66 pour actionner un levier coudé 75 dont le moyeu est fixé sur l'arbre 66 au moyen d'une vis de pression 760 Le bras supérieure 77 du levier 75 forme à son ex- trémité une patte 78 qui est destinée à être déplacée vers le haut oontre la barre basculante 20 pour dégager les dents de celle-ci du oliquet 26, après quoi la barre est autorisée à glis- ser vers l'arrière de façon à abaisser le paquet jusqu'en oontaot avec le rouleau de oommande 7.
Le long bras 79, dirigé vers le bas, du levier 75 forme une patte ou une butée 80 destinée à frapper contre le bord d'un poids pivotant 82 qui est un des éléments d'un dispositif d'arrêt de calibrage, pour ramener cette pièce dans sa position initiale de la manière qui va être décri- te.
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Le dispositif d'arrêt à calibrage, pour arrêter l'opé- ration de dévidage lorsque le paquet atteint la dimension dési- rée, est construit oomme suit. Le poids en forme de secteur 82 peut basculer sur la voie 32 à l'extrémité du levier 27, voir figure 5, et il est disposé d'un côté de l'étrier du taquet 33.
En saillie sur le coté du poids 82 se trouve une broche 83 qui prend appui normalement contre le côté du taquet 33 et est dis- posée de façon à faire basculer ce dernier vers le bas jusqu'en position pour être en contact avec la oame 35 lorsque le poids tombe. Le poids 82 est normalement maintenu suspendu dans la po- sition représentée à la figure 4 au moyen d'un loquet 85 mobile latéralement qui s'étend vers l'arrière à partir de son pivot.
Si l'on se reporte en particulier à la figure 6, on voit que le loquet 85 présente des oreilles 86 qui chevauchent une patte 87 en saillie sur le moyeu du poids 82 et qu'une broche 88 est in- troduite à travers les oreilles 86 et la patte 87 pour fixer par pivot le loquet au poids. Un plongeur 89 est maintenu dans un trou latéral dans le côté du poids 82 et est repousée vers l'extérieur par un ressort 90 pour prendre appui oontre l'extré- mité extérieure ou la queue du loquet 85 en vue de maintenir celui-ci en alignement avec le poids. Un doigt 91 est replié sur le oôté du loquet 85 pour prendre appui contre la patte 87 en vue de limiter le mouvement de basculement du loquet sous l'ac- tion du plongeur à ressort 89.
L'extrémité libre opposée du lo- quet 85 est repliée à angle droit pour former un arrêt en déten- te ou un loquet 92 qui vient normalement en prise sous la face inférieure d'une tablette 94 en saillie sur le côté d'un bras 95 fixé à la crémaillère 20. La partie supérieure du bras 95 s'adapte contre le côté de la barre 20 et est pourvu d'un rebord 96 surplombant le sommet de la barre. Le bras 95 est fixé à la barre 20 au moyen d'un boulon 97 passant dans une boutonnière 98 du bras. En desserrant le boulon 97, on peut faire glisser le bras 95 le long de la barre 20 pour régler la position de sa ta-
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blette 94 par rapport à la détente 92 du loquet 85 de façon à régler le dispositif d'arrêt de calibrage pour arrêter l'opé- ration de dévidage lorsque le paquet atteint n'importe quel dia- mètre désiré.
Il doit être bien entendu que lorsque la barre 20 glisse vers l'extérieur, transversalement au oliquet 26, aveo le soulèvement du bras 11, par suite de la croissance de l'en- roulement, la tablette 94 du bras 95 glisse éventuellement de l'extrémité du loquet 85. Le poids 82 est ainsi autorisé à tom- ber de Sorte que Sa broche 83 agit sur le taquet 33 pour faire basculer ce dernier jusqu en position pour être en prise aveo la oame 35. Il est à remarquer en particulier que l'extrémité externe de la détente 92 du loquet 85 est ohanfreinée en 93 pour lui permettre de glisser transversalement au bord de la tablette 94 lorsque le poids 82 est ramené dans sa position initiale. Le loquet 85 bascule autour de son pivot 88 pour per- mettre à cette opération de verrouillage de s'effectuer.
Le fonctionnement de ces pièces Sera expliqué aveo plus de détail à propos du mode de fonotionnement du mécanisme complet d'arrêt de la machinée
Le support d'approvisionnement pour les bobines ou les paquets d'où le fil est débité vers l'enroulement est monté sur un châssis vertical ou une console 100 qui supporte égale- ment le dispositif de tension et le moyen de guidage mobile du fil pour déplacer le point de débit du fil par rapport au paquet à enroulera Une console 100 est prévue pour chacun des éléments de dévidage et un moyen approprié de supporter la console com- prend une tige horizontale 101 montée dans des bras 102 fixée sur les branches 3 de la machine.
La console 100 comprend un organe 103 oomprenant un moyeu fixé sur la tige 101 au moyen de vis de pression 104 ou d'autres moyens appropriés et l'orga- ne 103 possède des bras 105 boulonnés à un rebord 106 faisant saillie sur le oôté de la console verticale 100. Un prolongement supérieur du rebord 106 est pourvu d'une fente)107 qui sert de
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monture pour un support d'approvsionnement. Le support d'appro- visionnement peut être de n'importe quel type approprié et comme on l'a représenter il consiste en une console 110 fixée au re- bord 106 au moyen de boulons 111 passant à travers la fente 107.
De cette manière, la console 110 peut avoir sa position réglée verticalement pour mettre en position la bobine ou un autre pa- quet d'approvisionnement porté par oelle-oi en corrélation oon- venable aveo le dispositif tendeur qui est indiqué d'une maniè- re générale en 120 et est porté à l'extrémité supérieure du châssis ou de la console 100.!
La console 110 de support d'approvisionnement possède
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un bras 112 dirigé vers le baL., te terminsjit par un uoyeu 2'i sur lequel est monté de façon à pouvoir tourner un organe à rayons 114.
L'organe 114 porte un oertain nombre de broches ra., diales 115 sur lesquelles les bobines B sont maintenues, une bo- bine étant placée sur une broche pendant qu'une autre est en train de débiter, puis amenée par rotation dans la position de débit lorsque la première bobine est épuisée. De cette manière l'enlèvement des dispositifs d'approvisionnement vides et leur remplacement par des bobines nouvelles sont rendus plus rapide.
Cette partie de la machine est construite et disposée conformé- ment à l'invention divulguée par la demande de brevet amérioain No 424.709, déposée le 30 Janvier 1930, et ne demande donc pas de plus amples explications ici. Il est à remarquer toutefois qu'avec la présente disposition, la bobine d'alimentation est située tout près du mécanisme dévideur, cette bobine étant dans une position élevée Sur la machine au lieu d'être supportée en- dessous d'elle oomme dans la disposition usuelle.
Dans cette situation, le support d'approvisionnement est à portée commode pour l'enlèvement et le renouvellement des bobines ou pour réu- nir les extrémités du fil de la bobine, de sorte que l'opéra- teur ne doit pas s'étendre ni se baisser pour desservir la machi- ne.
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On peut employer n'importe quel type des dispositifs de tension dans la machine à dévider et les dessins annexés montrent un dispositif de tension à disque suivant une disposi tion conventionnelle.. A une oreille ou une bride latérale 121 sur le coté du châssis 100, est fixée une console 122 pourvue de paliers 123 pour une broche horizontale 124 sur laquelle sont montés deux disques de tension 1250 Les disques de tension ont la forme usuelle oonoaveoonvexe et sont disposés aveo leurs faoes de butée dans l'alignement de l'axe de la bobine B pour faire en Sorte que le fil y soit tiré entre eux. L'un des dis- ques 125 est empêché de se déplacer latéralement et l'autre re- çoit l'action d'un ressort en hélioe 126 sur la broche 124 pour presser oe disque vers le dis que fixe.
Des poids appropriés 127, portés par un levier 128 qui est monté à pivot sur la oon- sole de tension en 129 agissent pour faire glisser la broche 124 de façon à maintenir le ressort oontre le côté du disque de tension approprié, en vue de maintenir les deux disques en oontaot éla&tique aveo le fil passant à travers le dispositif.
La console 122 présente des rebords circulaires 130, voir figure 2, faisant saillie vers l'extérieur dans des oreil- les recourbées 131 qui forment un guide pour diriger le fil en position entre les disques de tension. Monté en-dessous du dis- positif de tension et sur la console 122 se trouve un arrête- mèche 132 pour nettoyer le fil et en-dessous de celui-ci se trouve un guide 133 à travers lequel le fil est placé pour se maintenir en alignement avec l'ouverture dans 1'arrête-bourre.
Un guide en fil métallique 134 situé en-dessous du guide 133 est prévu pour faciliter l'opération d'enfilage du fil dans le guide 133 et à travers l'arrête-mèche 1320 Entre les rebords 130 de la console 122 s'étend une broche 135 sur laquelle est monté un rouleau 136, de préférence en porcelaine ou en une au- tre matière résistant à l'usure. Le fil est attiré à travers le dispositif de tension et autour du rouleau de poroelaine 136
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et de là il est dirigé vers le bas tandis que la machine fono tionne pour placer son point de débit à une distanoe appropriée du méoanisme dévideur,
Si l'on se reporte aux figures 1, 2 et 3,
on voit que le fil est attiré sous un organe de guidage ayant la forme d'une tige ou d'une cheville 140 qui est disposée de façon à glisser vers le haut et vers le bas sur la console verticale ou le châssis 100 pour placer le point de débit du,fil à proxi- mité du mécanisme dévideur lorsque l'opération de dévidage est arrêtée, et loin du paquet pendant le dévidage. Dans ce but, l'organe de guidage ou la broche 140 est monté sur un poids ou un coulisseau 141 destiné à être soulevé et abaissé sur le châs- sis 100,. Le coulisseau 141 consiste en une plaque ou un bloo présentant un trou dans son extrémité supérieure, trou dans le- quel la broche 140 est fixée au moyen d'une vis de pression 142.
En saillie vers l'arrière sur le ooulisseau 141 se trouvent des boutons 143 destinés à glisser dans une fente verticale 144 qui s'étend du haut en bas du châssis 100. Lesboutons 143 ont des rondelles 146 recouvrant les côtés de la fente 144 à l'ar- rière du châssis 100, avec des goupilles 145 pour maintenir le ooulisseau contre la face antérieure du châssis. Grâce à cette disposition, le châssis 100 forme une voie avec le coulisseau 141 disposée de façon à se mouvoir sur cette voie vers le haut et vers le bas.
Le mouvement dé descente du ooulisseau 141 est limité par le contact de son bord inférieur avec une rondelle 147 maintenue en place par un boulon 148 passant à travers la fente 144; la position de l'arrêt inférieur pour le ooulisseau peut être réglée verticalement dans la fente pour déterminer la position la plus basse du coulisseau dans Sa voie.
Le ooulisseau 141 est soulevé sur le châssis 100 pour porter le dispositif de guidage ou la broche 140 dans une posi- tion élevée à proximité du dispositif de tension et du mécanis- me de dévidage au moyen d'une oorde 140 qui est enroulée sur un
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tambour 155 portée par l'arbre 36. La oorde 150 est attaohée à la goupille 145 qui passe à travers la bouton supérieur 143 et est placée autour d'une poulie 152 pivotant sur une broche 153 au sommet du châssis 100.
La oorde 150 est alors amenée vers le bas et autour d'une poulie analogue 154 montée Sur une bro- ohe 156 et sur le tambour 155, l'extrémité de la @ oorde étant passée dans un trou du rebord de celui-ci et nouée en vue de la fixation à celui-ci, voir figure 60 Le tambour 155 est aotionné automatiquement à partir du mécanisme de démarrage et d'arrêt de la machina pour permettre au ooulisseau 141 de tom- ber lorsque le mécanisme de dévidage commence à fonotionner et à ramener le ooulisseau dans sa position supérieure lorsque le dévidage est arrêtéo Le moyen automatique de commander le fono.. tionnement du tambour 155 est disposé de la manière décrite oi- dessous.
Si l'on se reporte en partioulier à la figure 6, on voit que le tambour 155 est monté de façon à pouvoir tourner sur l'arbre 36 en rotation continue et est disposé de façon à être relié à celui-ci au moyen d'un mécanisme d'embrayage. Une extrémité du tambour 155 a son moyeu s'appuyant oontre le oôté de la oame 35 qui est maintenue calée sur l'arbre 36 et son ex- trémité opposée possède un bord en saillie 157 muni sur le côté de dents de roohet 1580 Les dents de roohet 158 sont destinées à venir en prise avec des dents analogues 159 Sur un disque de roohet 160 qui tourne librement sur un manchon 161 fixé à l'ar- bre 36 au moyen d'une vis de pression 1620 Le manohon 161 porte un moyeu ou un oollier 163 fixé à celui-ci au moyen de la via de pression 162 qui passe à travers les deux éléments.
Dans le moyeu 163 se trouvent des poches 164 oontenant des ressorts en hélioe 165 qui prennent appui oontre un disque ou une rondelle 166 pouvant tourner Sur le manohon 1610 Entre la rondelle 166 et le disque de roohet 160 se trouve un disque de friotion ou
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une rondelle 167 construit de préférence en fibre, en cuir ou en une matière analogue. Les ressorts 165 agissent pour refou- ler la rondelle 166 vers le disque 150 en vue de fournir un con- tact par friotion entre ce dernier et le disque de friction 167, de Sorte que le disque de roohet 160 est normalement actionné par et avec le manchon 161 et le moyeu 163. La poussée sur le disque de roohet 160 est supportée par un épaulement 168 à l'ex- trémité du manchon 161.
Contre cette extrémité du manchon 161 s'appuie un ressort en hélice 170 enroulé autour de l'arbre 36, avec son extrémité opposée prenant appui Sur le moyeu du tam- bour 155. Normalement, le ressort 170 maintient le tambour 155 dans sa position de droite à la figure 6, avec son moyeu prenant appui contre le moyeu de la came 35. En vue d'enrouler la corde, le tambour 155 est déplacé vers la gauche contre l'action du ressort 170 de façon à amener la roue de roohet 158 en prise avec les dents 159 du disque 160 pour actionner le tambour par friotion à partir du moyau 163.
Le déplacement du tambour 155 pour l'embrayer avec la commande de friotion est effectué au moyen d'un levier d'embraya ge 172 actionné par le mécanisme d'arrêt de la machine. Si l'on se reporte à la figure 4 on voit que le levier d'embrayage 172 a la forme d'un coude ayant une extrémité à rebord 173 fixée à l'arrière de la plaque ou du garde-fil 38 au moyen de vis 174.
L'extrémité libre du levier d'embrayage 172 porte un doigt dé- saxé 175 qui est chanfreiné sur son bord pour qu'il puisse mon- ter contre un épaulement radial 176 sur le rebord 157 du tambour 155 de façon à déplacer le tambour pour mettre en prise ses dents 158 avec les dents 159 du disque à rochet 160. Cette pri- se est effectuée lorsque le levier 27 est amené par basculement dans la position représentée à la figure 4, pour arrêter l'opé- ration d'enroulement, le tambour 155 étant alors embrayé au dis- que 160 qui est aotionné par friction à partir du moyeu 163.
De cette manière, le tambour est mis en rotatio pour enrouler la
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o'orde 1500 Lorsque la corde 150 est enroulée sur le tambour 155, le ooulisseau 141 est soulevé jusqu'au commet du ohâssis ou de la voie 100 où son mouvement est arrêté par le contact du bou- ton 143 aveo l'extrémité de la fente 144o A ce moment, le roohet Sur le tambour 155 est encore en prise aveo le disque à roohet 160, mais l'embrayage à friotion entre le disque et le moyeu 163 permet le glissement entre le tambour et l'arbre 36 de sorte que le tambour vient au repos.
L'embrayage à roohet est dégagé pour permettre au tambour 155 de tourner pour dérouler la oorde 150 lorsque le levier d'embrayage 172 est ramené dans sa @osi- tion initiale au commencement d'une opération de dévidage. Le fonotionnement de oes pièces est expliqué avec plus de détails dans la suite.
Dans une forme modifiée de l'invention représenté aux figures 7 et 8 des dessins, le dispositif de tension lui-même constitue l'organe de guidage mobile et est monté sur un oou- lisseau 177 qui est disposé de façon à être amené d'une position élevée en un point situé plus bas au commencement d'une opéra- tion de dévidage= Cette construction présente certains avantages oar le dispositif de tension est écarté de la proximité aveo le dispositif de dévidage pendant l'opération de dévidage et n'est pas ainsi amené à reoevoir la filasse et les poussières proje- tées par le fil pendant le dévidageo Comme le montrent les figu- res 7 et 8,
le ooulisseau 177 porte un bouton 178 sur lequel sont montées des plaques ou des brides opposées 179 et 180 sup- portées par un moyeu 1810 Les disques de tension 183 sont main- tenus Sur une partie de diamètre réduit du bouton 178 entre les plaques 179 et 180 et sont pressés ensemble au moyen d'un res- sort en hélio 184 maintenu par un éorou 185 vissé sur l'extrémi té du boutons
Une oonsole 186 près du soumet du châssis 100 porte un arrête-mèche 132 et des guides 133 et 134 disposés de la ma-
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nière déorite précédemment.
Une paire de guides d'enfilage espacés 188 en forme de cornes est également montée sur le sup port 186 pour diriger le fil en travers d'une broche ou d'un rouleau 189 d'où il est conduit sur un rouleau 190 et vers le bas à travers le dispositif de tension mobile.
Le mode de fonctionnement de la machine renfermant la présente invention est le suivant. En vue de préparer la machine pour le dévidage, une bobine d'approvisionnement B, voir figures 1 et 2, est placée Sur une des broches 115 du sup- port d'approvisionnement et amenée dans une position verticale.
Le fil y est alors attiré de la bobine et conduit à travers les guides-fils 134 et 133. Il est en&uite passé à travers l'ar- rête-mèche 132 et entre les gardes ou oreilles 131 qui le diri- gent entre les disques de tension 125.
Lorsque l'opération de dévidage est arrêtée, le cou- lisseau 141 est suspendu à l'extrémité supérieure de la voie de guidage ou du chassie 100 comme le montre la figure 3 et lorsqu'on actionne la machine, le fil est attiré vers l'ar- rière à partir du dispositif de tension et sous l'organe de guidage ou le bouton 140. L'extrémité du fil est alors attachée au récepteur de fil ou au tube conique 0 qui a au préalable été monté sur le broche 10 et fixé en place par rotation du loquet 16, voir figure 1.
Pour faire commencer l'opération de dévidage, on sou- lève la poignée 70 de façon à soulever la bras supérieur 77 du levier ooudé 75 en vue de soulever la crémaillère 20 et de li--. bérer ses dents 25 du cliquet 26. Lorsque la crémaillère 20 est dégagée du cliquet 26, le poids du bras 11 et des pièces associées fait basculer la broche 10 vers le bas pour ramener la surface du récepteur de fil 0 en oontaot aveo le rouleau de commande ou de mouvement transversal 7, tournant de façon con- tinue.
Lorsque le contact avec le rouleau de commande est éta- bli, le récepteur de fil 0 commence à tourner et à enrouler le
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fil sur luio Lorsque le fil commence à être enroulé sur le ré- oepteur 0 il est oueilli par la rainure 8 du rouleau 7 et obli- gé ainsi à se mouvoir transversalement d'un côté à l'autre sur la longueur du réoepteur pour que le fil Soit déposé en hélice sur celui-ci comme on l'a indiqué en "y" à la figure 1.
Avant de mettre en marche la machine, le taquet 33 a été amené hors de portée de la came 35 sous l'action du res- sort 55 oomme on l'expliquera ci-après. Lors du soulèvement du levier de démarrage 65 son épaulement-détente 71 est dégagé du bord de la plaque 38, voir figure 4, de sorte que le levier 27 est autorisé à retourner dans une position horizontale oom- me le montre la figure 2, sous l'action d'un ressort à lame 60. Lorsque le levier 27 retourne dans cette position, le oli- quet 26 vient en prise avec la dent appropriée 25 de la oré- maillère 20 pour mettre le méoanisme d'arrêt en fonotionnement de la manière déorite plus loin.
Entretemps, le mouvement de retour du levier 27 fait basculer le levier d'embrayage 172 en 1 écartent du rebord 176 du tambour d'enroulement 155, après quoi le ressort 170 agit poar faire glisser oe dernier en vue de dégager ses dents 158 des dents 159 du disque à roohet ou de l'organe d'embrayage 1600
La libération du tambour 155 a lieu dès que le levier de démarrage 65 est( soulevé pour faire commencer l'opération de dévidage et le tambour 155 est alors libre de tourner pour laisser sortir la corde 150 de façon que le ooulisseau 141 soit abaissé sur Sa voie du châssis ou de la console 1000 Il a été indiqué que le fil est conduit au réoepteur de fil 0 ou au paquet en enroulement en-dessous de la broche de guidage 140 lorsque la maohine à dévider est actionnée.
En conséquence, lorsque le coulisseau 141 desoend sur sa voie, il forme une bouole dans le fil oomme on l'a indiqué à la figure 2, vu que le fil passe du dispositif de tension 120 sur le rouleau de porcelaine 136 et en-dessous de la broche 140, d'où il est
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attiré vers le haut en travers de la barre 45 de l'anse à fil 40.
De l'anse à fil 40, le fil est attiré en travers de la périphé- rie du rouleau de mouvement transversal 7 et passe dans la rai- nure en hélioe 8 de celui-ci de sorte qu'il reçoit un mouvement dans le sens de la longueur du paquet en enroulement. Il est à remarquer que le déplacement au point de débit du fil par le fonctionnement du ooulisseau 141, commandé par le tambour 155, est entièrement automatique et n'exige pas d'attention de la part de l'opérateur. Aveo les pièces de la maohine dans la position représentée à la figure 2, le fil est envoyé à travers le dispo- sitif tendeur 120 et de là il est attiré vers le bas autour de la broche de guidage 14o pour l'allonger en une bouole qui pro- oure une longueur considérable de fil entre le dernier point de débit et le paquet en enroulement.
Lorsque le fil Se rompt ou que son approvisionnement est épuisé, l'opération de dévidage est arrêtée automatiquement par le fonctionnement du mécanisme d'arrêt suivant. La rupture du fil ou l'épuisement du fil libère l'anse à fil 40 pour permet- tre au levier 48 de basculer vers la droite à la figure 2. La li- bération du levier 48 permet au taquet 33 relié à celui-ci par le ressort 55 de s'abaisser dans une position verticale dans la- quelle son extrémité vient en prise avec la périphérie exoontri. que de la came 35 lorsque cette dernière tourne avec l'arbre 36.
En conséquence, le taquet 33 est refoulé vers le haut par la oame, comme l'indique la figure 3, pour inoliner vers le haut l'extrémité postérieure du levier 27 et faire basculer son ex- trémité antérieure vers le bas. Cette action de basculement du levier 27 oblige le oliquet 26 porté par celui-ci à attirer la crémaillère 20 vers l'avant, de sorte que le bras 11 bascule vers le haut pour soulever le paquet en ltéoartant de la bobine de commande 7, comme le montre la figure 3.
Lorsque l'extrémité an- térieure du levier 27 est basculée vers le bas, ;1 'extrémité in-
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têrieure du levier 48 glisse contre la faoe inclinés 57 qui, comme on l'a déorit préécédemment, fait partie de l'organe fixe de chassie 4, et le levier 48 est basculé vers l'extérieur pour étendre le ressort 55 relié au taquet 33. Le ressort 55 est par conséquent maintenu sous tension et il agit pour attirer le ta- quet 33 vers la droite, comme on le voit à la figure 4, dès que l'extrémité inférieure de ce dernier est dégagée de la ca- me 35.
La continuation du mouvement du taquet par la oame est ainsi empêohéeo Antérieurement à la libération du taquet 33, le levier de démarrage 65 qui glisse en travers du bord 69 de la plaque 38 tombe sous l'action de la pesanteur pour mettre en prise son épaulement de détente 71 aveo la plaque, comme le montre la figure 4 de façon à maintenir le levier 27 pour em.. pêcher un mouvement de retouro Les pièces du mécanisme d'arrêt sont ainsi verrouillées pour retenir la crémaillère 20 dans la position vers l'avant en vue de maintenir le paquet soulevé hors de contact aveo le rouleau de commande 7 jusqu'à oe qu'on désire de nouveau commencer l'opération de dévidage.
Lorsque le levier 27 est basculé jusque dans la posi- tion représentée aux figures 3 et 4 pour effectuer l'arrêt de la machine, le levier d'embrayage 172 porté par le levier 27 est déplacé pour amener le tambour d'enroulement 155 en prise aveo son embrayage pour l'obliger à être mis en rotation par l'arbre 360 Si l'on se reporte à la figure 6, le doigt ohan. freiné 175 du levier d'embrayage 172 rencontre la bride 176 de façon à faire glisser le tambour 155 vers la gauche contre la tension du ressort 1700 De cette manière, les dents 158 du tambour sont amenées en prise aveo les dents 159 du disque à roohet 160.
Comme on l'a expliqué, le disque à roohet ou d'em- brayage 160 est aotionné par friction par l'intermédiaire des rondelles 166 et 167 qui le relient au moyeu en rotation con- tinue porté par le manchon 1610 En conséquence., lorsque le tam-
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bour 155 est relié au disque d'embrayage 160, il est mis en rotation par celui-ci dans la direction indiquée par la flèche à la figure 6 de façon à enrouler la corde sur son tambour.
Lorsque la oorde 150 est enroulée sur le tambour 155, elle attire le ooulisseau 141 au sommet du châssis 100 où son bouton supérieur 143 rencontre l'extrémité de la fente 144 qui sert d'arrêt pour empêcher la continuation du mouve- ment du ooulisseau. Lorsque le coulisseau 141 est soulevé sut le châssis 100, il entraîne la broche 140 dans une position située au-dessus du dispositif de tension 12o de sorte que le fil y peut aisément être placé sous la broche 140 lorsqu'on rattache l'extrémité ou qu'on la relie au paquet en enroule- ment. On voit par conséquent, que l'opérateur ne doit pas se baisser ni s'étendre vers le bas pour l'enfilage de la machi- ne.
Lorsque le ooulisseau 141 vient au repos au sommet du châssis ou de la console 100, la rotation du tambour 155 est arrêtée et le glissement s'opère entre la rondelle de fric- tion 167 et les pièces de l'embrayage en prise avec celle-ci.
Il faut très peu de force motrice pour soulever le ooulisseau 141 sur Sa voie et par conséquent le glissement de l'embraya- ge lorsque la rotation du tambour est arrêtée ne provoque pas une usure importante des pièces de la machine.
L'arrêt de l'opération d'enroulement lorsque le pa- quet atteint la dimension désirée est effectuée par l'action- nement du mécanisme d'arrêt par le mécanisme d'arrêt à calibra- ge décrit antérieurement. Si l'on se reporte à la figure 4, le bras 95 est mis en position le long de la crémaillère 20 de façon que la tablette 94 de son extrémité inférieure glis- se de la détente 92 du loquet 85 lorsque le paquet atteint la dimension déterminée.
Lorsque le loquet 85 est dégagé de la tablette 94, il permet au poids 82 de tomber, après quoi la broche 83 fait basculer le taquet 33 vers le bas, jusqu'en po-
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sition pour être mis en prise avec la came 35 et être actionné par celle-ci. La prise (Eu taquet 33 aveo la came 35 produit alors l'arrêt de la machine exactement de la même manière qu'on l'a déorit plus haut, et le tambour lb5 est embrayé à l'arbre 36 de façon à enrouler la corde 150 pour soulever le ooulisseau 141 vers le sommet du châssis 100.
En vue de ramener les pièces du mécanisme d'arrêt à calibrage dans la position initiale pour le dévidage, le levier de démarrage 65 est soulevé de façon à faire basculer le levier coude 65. Ceci oblige la patte 80 sur le bras 79 à faire basou- ler le poids 82 vers le haut de façon à mettre de nouveau en prise le loquet 85 avec la tablette 94 bur le bras 95 de la ma- nière déorite précédemment.
Dans la forme modifiée de l'invention représentée aux figures 7 et 8, le fonctionnement des pièces est sensiblement le même que celui déorit ci-dessus. En d'autres termes, sous l'action du méoanisme d'arrêt, le tambour 155 est embrayé à l'ar- bre 36 pour l'obliger à enrouler la corde 150 en vue de soule- ver le coulisseau 177 au sommet du châssis 100. D'autre part, lors du démarrage de la machine, l'embrayage est dégagé de sorte que le tambour 155 peut laisser sortir la corde 150 pour abaisser le coulisseau 177 vers la position représentée aux figures 7 et 8.
Le soulèvement du coulisseau déplace le dispositif de tension 180 vers le haut dans une position accessible lorsque l'opéra- tion de dévidage est arrêtée en vue de facilter l'enfilage du fil en position; l'abaissement du dispositif de tension écarte le point de débit du fil du paquet en enroulement lorsque l'opéra- tion de dévidage est mise en train.
Il est à remarquer d'après ce qui précède que la pré- sente invention fournit une construction perfectionnée de mé- canisme d'arrêt pour des machines à dévider et également un moyen assooié au mécanisme d'arrêt et actionné automatiquement par ce-
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lui-ci pour régler la position du point de débit du fil par rapport au paquet en enroulement. Dans cette construction, la bobine d'approvisionnement sur laquelle le fil est pris et l'ar- rête-mèche, le dispositif de tension et les autres pièces à tra- vers lesquelles le fil doit être enfilé sont placés à portée commode pour supprimer la nécessité, pour l'opérateur, de Se baisser et de s'étendre pour desservir la machine.
Pour oette raison, la machine peut être desservie avec moins d'effort et de fatigure de la part de l'opérateur et aveo une économie de temps qui a pour résultat d'augmenter considérablement la pro- duction.
Lorsque l'opération de dévidage a commencé, le point de débit du fil, o'est-à-aire le point à partir duquel le fil arrive à l'enroulement est écarté du paquet de façon à fournir une longueur oon&idérable de fil entre l'approvisionnement et le paquet. Il a été indiqué qu'il est désirable d'avoir le point de débit situé à distance du point d'enroulement, un avantage étant que lorsqu'une rupture se produit près de l'approvisionne- ment, comme c'est habituellement le cas, l'extrémité brisée ne se met pas dans l'enroulement avant que"la rotation du paquet soit arrêtée. Pour cette raison, l'extrémité brisée peut être plus facilement retrouvée.
Un autre avantage est que la créa- tion d'une longueur relativement grande de fil libre entre le point de débit et le mécanisme de mouvement transversal tend à empêcher le fil de sauter ou d'être délogé de la rainure 8 du rouleau de mouvement transversal 7. La longueur de fil prolon- gée procure une action plus aisée pendant le mouvement trans- versal du fil vu qu'il ne doit pas se produire une flexion brus- que dans le fil au point de débit même lorsque la direction du mouvement transversal est renversée.
Bien que la présente invention telle qu'elle est re- présentée et décrite soit appliquée à un certain type de machi- ne de dévidage et réalisée sous une forme $référée de construo-
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tien, il va de soi que différentes modifications peuvent être apportées à la conception et à la disposition du mécanisme sans qu'on sorte du oaare de la présente invention,
REVENDICATIONS :
EMI27.1
q - q
1.- Une maohine à dévider pour le fil ou les matiè- res analogues, comprenant un approvisionnement d'où le fil ou la matière analogue est pris, un support de paquet rotatif, et un dispositif de mouvement transversal, caractérisée en ce qu' elle comporte un dispositif pour faire mouvoir le point de dé- bit du fil (point de débit qui peut être la source d'approvi- sionnement ou peut être un point entre cette dernière et le sup- port de paquet) pour le placer à distança du support de paquet pendant l'opération de dévidage et à proximité du support de paquet lorsque l'opération de dévidage est arrêtée (par exemple par suite de la rupture du fil ou de la matière analogue, ou de l'achèvement du paquet enroulé).