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" Machine à former le tissu métallique."
L'invention se réfère à une machine à former le tissu mé- tallique et plus spécialement le tissu à mailles carrées ou rec- tangulaires formé par au moins deux séries séparées de fils métalliques disposésà écartement convenable et qui se croisent à angle droit ou à peu près; ces séries de fils seront appelées ci-après respectivement fils de "ligne" et fils "d'arrêt"; les premiers constituent généralement les fils longitudinaux du produit achevé, clôture ou analogue, tandis que les seconds con- stituent gnéralement les fils verticaux de celui-oi.
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L'invention concerne /plus particulièrement une machine du type ci-dessus,destinée à former le tissu métallique ci-dessus décrit dont les fils de ligne intermédiaires sont assemblés avec les fils d'arrêt, aux points d'intersection, par des orga- nes verrouilleurs ou attaches en fil métallique fixées séparé- ment et qui sont formées autour des deux séries de fils qui se coupent, tandis que les bouts des fils d'arrêt sont enroulés au- tour des fils de ligne extérieurs que l'on appellera ci-âpres "fils de marge".
L'objectif de l'invention est de réaliser une machine du type dont question, qui est beaucoup plus efficace que les ma- chines analogues employées jusqu'à, ce jour pour le même objet ; qui est aussi plus rapide, de manière que l'on puisse fabriquer avec elle du tissu métallique à des prix marchands, tandis qu'en même temps le produit qu'elle donne a une vie pluslongue et ré- siste mieux aux exigences auxquelles il est soumis,que le tissu métallique fabriqué jusqu'à présent.
Un autre objectif de l'invention est également de réaliser une machine dont les diverses parties opératoires sont faciles à fabriquer et dont conséquemment le prix de revient est réduit au minimum, tandis qu'en mme temps l'efficacité de la machine se trouve accrue.
D'autres objectifs de l'invention apparaîtront dans la des- cription qui va suivre.
L'invention consiste en une machine du type dont il a été question; cette machine comporte des organes servant à guider et à introduire les fils de ligne dans la machine, des organes servant à débiter des longueurs données de fils d'arrêt en tra- vers des fils de ligne, des organes servant à débiter le fil ou les fila destinés à former les attaches séparées en fil métalli- que des fils de ligne intermédiaires et des fils d'arrêt qui aou- pent ces derniers et des organes pour former ces attaches simul- tanément.
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L'invention porte également sur une machine du type dont question, pourvue d'organes servant à introduira les fils d'ar- rêt directement entre des matrices ou organes de même genre servant à former les attaches dont question,, tandis que les ma- trices sont ouvertes.
Une autre caractéristique de l'invention est que les fils d'arrêt sont envoyés en sens transversal directement entre des matrices ou organes de même genre servant à former les attaches.
L'invention comporte également un procédé, d'introduction des fils d'arrêt dans la position dans laquelle ils ooupent les fils de ligne, et qui consiste à introduire les fils d'arrêt dans une direction transversale directement entre les matrices ou or- ganes de même genre servant à former les attaches quand les ma- triees sont ouvertes.
L'invention porte ensuite sur une machine du type dont question, qui est pourvue de guides servant à supporter et à diriger les parties des fils d'arrêt entre les matrices ou or- ganes de même genre,et qui peuvent *être mises en mouvement pour permettre aux fils d'arrêt d'être amenés en position opératoire, entre les matrices ou organes de même genre9 en vue de l'opéra- tion du tissage et également pour permettre d'alimenter le tissu après les opérations de façonnage successives.
L'invention consiste également en une machine du type dont question, qui est pourvue d'organes servant à mettre en posi- tion des longueurs de fil,de longueur déterminée.pour former le tissu métallique, et à couper le fil en sections de longueurs déterminées pendant l'introduction du fil.
L'invention porte également : sur une machine du type dont question, pourvue d'organes pour alimenter le fil, pour former les fils d'arrêt du tissu et pour couper le fil en sections de longueurs déterminées d'avance et des organes pour introduire successivement les sections de lon- gueurs déterminées en position pour la formation du tissu; sur des organes servant à introduire et à. couper une longueur
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ou des longueurs de fil en vue'de former du tissu mé ta lli qu e ou en vue de tout autre usage,et comportant des moyens pour intro- duire la longueur ou les longueurs de fil et pour couper celles -ci en sections déterminées sans arrêter l'alimentation du fil ;
sur des organes servant à introduire et à couper une longueur ou des longueurs de fil en vue de former du tissu métallique ou de tout autre usage comportant des moyens pour l'introduction continue d'un fil longitudinalement ou dans toute autre sens requis, à vitesse constante, et pour couper le fil en longueurs données pendant que s'accomplit ce mouvement d'alimentation et des moyens pour reprendre l'alimentation de chaque longueur de fil après que celle-ci a été coupée et servant à débiter celle- ci à une vitesse plus grande que l'organe d'alimentation initial, de telle sorte que les longueurs de fil sont débitées successi -vement à des intervalles déterminés d'avance;
sur une machine du type dont question, pourvue d'organes ser- vant à mouvoir continuellement un fil et à le mesurer longitu- dinalement, à vitesse constante et à couper le fil en longueurs déterminées sans modifier ledit mouvement de mesurage du fil et pourvue de rouleaux d'alimentation qui viennent saisir le bout de chaque longueur de fil, dès que celle-ci est coupée; les rouleaux en question débitent chaque longueur à une vitesse plus grande que celle de son mouvement de mesurage,en vude ménager des intervalles dans l'alimentation des longueurs suc- cessives. de durée égale à ou plus grande que la période "fer- mée" des matrices verrouilleuses ou organes de même ordre, pen- dant que l'on attache l'une des longueurs de fil qui ont été coupées aux fils de ligne ou aux autres fils du tissu ;
sur une machine du type décrit, pourvue d'organes à l'aide des- quels les fils d'arrêt peuvent 'être amenés en position en tra- vers des fils de ligne sensiblement dans la largeur de la machi- ne et de telle manière que les fils d'arrêt soient débités di-
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rectement entre les matrices 'ou organes de même ordre, pour for- mer les attaches de fils assemblant les uns avec les autres les fils d'arrêt et les fils de ligne qui se coupent; sur une machine du type dont question, pourvue d'organes pou- vant agir sur les fils de ligne quand ceux-ci sont débités à travers la machine,de manière à donner une forme en spirale ou en boudin aux fils, ce qui donne au produit fini une forme heli- coïdale ;
sur une machine conforme au paragraphe précèdent, dans laquelle les organes dont question comprennent une série de rouleaux dis- posés en relation déportée et où. des organes sont prévus pour faire varier la position angulaire de l'un ou de plusieurs de ces rouleaux par rapport à l'autre ou aux autres rouleaux,- également sur une machine conforme au paragraphe précèdent, dans laquelle les axes desdits rouleaux sont inclinés les uns sur les autres;
sur une machine du type dont question, dans laquelle les organes qui servent à débiter les fils de ligne à travers la machine, comportent un tambour aérien rotatif pourvu d'une série de pre- neurs disposés en anneau qui peuvent 'être mis en action succes- sivement pendant que le tambour tourne, de préférence de telle manière que plus d'une série de preneurs du côté du tambour éloi -gné du côté alimentation de la machine ,soit en marche à la fois ; sur une machine conforme à l'exposé du paragraphe précédent, dans laquelle lesdites séries de preneurs sont commandés par une came (de préférence par une came fixe avec laquelle colla- borent les organes de commande des preneurs), de manière à sai- sir et à abandonner les fils aux moments voulus;
sur une machine conforme aux paragraphes précédents, pourvue d'organes pour abaisser périodiquement le tambour en vue d'arrê- ter l'alimentation des fils de ligne pendant chaque opération de
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la machine, pour fournir un fil d'arrêt à la série des fils de ligne; sur une machine conforme aux paragraphes précédents, dans la- quelle le tambour dont question est actionné par une chaîne à marche continue ou organe de même genre, et dans laquelle des organes sont prevus pour rattraper le balant de la chaîne quand on abaisse le tambour; sur une machine conforme aux paragraphes précédents, dans la- quelle sont prevus des organes, actionnes de préférence par ladite chaîne ou par un organe de même ordre, servant à amener correctement les fils de ligne dans lesdits preneurs;
sur une machine conforme aux paragraphes précédents, dans la- quelle le tambour en question est monté à rotation sur une structure qui le supporte (comportant de préférence une paire d'axes verticaux ou sensiblement verticaux, disposés à raison d'un à chaque extrémité du tambour) et qui peut 'être mise en action périodiquement, comme par exemple par une came ou par des cames, de manière à provoquer les mouvements de descente et de montre du tambour; sur une machine conforme au paragraphe précédent, dans laquelle ladite structure est commandée par une ou plusieurs cames por- fées par ou commandées par l'arbre principal de la machine, c'est- à-dire par l'arbre portant les organes qui servent à commander les formateurs d'attaches, etc.;
sur une machine conforme aux paragraphes qui précèdent, pourvue d'organes pour former plusieurs crochets et pour ensuite amener ses crochets dans la position requise pour qu'ils chevauchent les fils d'arrêt,aux points d'intersection de ceux-ci avec les fils de ligne, et pourvue de matrices qui servent à façonner l'attache définitive en formant les crochets en question autour des fils qui se coupent;
sur une machine du type décrit, dans laquelle chacun des crochets
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en question est formé par les actions combinées d'un coulisseau et d'une enclume mobile, et un autre coulisseau peut 'être mis en jeu quand un crochet a été formé, de manière à pousser ledit crochet dans la matrice, des organes étant prévus pour actionner lesdites pièces dans un ordre exact et déterminé;! sur une machine conforme aux paragraphes précédents, dans laquel- le les matrices comprennent des parties fixes et des parties mo- biles et des organes sont prévuspour mouvoir ces dernières par- ties en vue de les faire collaborer a vee les parties fixes de la matrice et de compléter ainsi les matrices pour la formation des crochets;
sur une machine conforme aux paragraphes précédents, dans lequel-' le chaque enclume et ses coulisseaux respectifs.servant à for- mer les crochets et les parties des matrices qui servent à transformer ces crochets en attaches de fils, sont portés par un élément disposé suivant un certain angle ou par des éléments disposés suivant un certain angle et une série de ces éléments sont logés de préférence horizontalement et transversalement à travers la machine, à un certain écartement correspondant à la distance qui doit rester entre les fils de ligne, sur une machine conforme aux paragraphes précédents, dans laquelle les boucles des crochets passent au-dessus ou en dessous des fils d'arrêt et les matrices forment les branches du crochet en des- sous ou au-dessus (devant ou derrière)
des fils de ligne voisins et autour des fils d'arrêt du coté des fils de ligne éloigné desdites boucles afin de compléter l'attacher sur une machine conforme aux paragraphes qui précèdent, dans la- quelle les séries de crochets sont déplacés dans un plan sensi- blement à angle droit avec le plan du tissu et faisant un cer- angle tain/avec les fils d'arrêt, angle de préférence voisin de 40 à 45 degrés;
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sur une machine conforme au/ paragraphes qui précèdent, destinée à produire un tissu métallique, dans laquelle les joues des pre- neurs des fils de ligne peuvent 'être réglées en position dans leurs guides sur ledit tambour, de manière à pouvoir s'adapter à des oartements variables des fils de ligne ; ce résultat est atteint de préférence en arrangeant les joues des preneurs de manière qu'elles puissent s'adapter à l'écartement minimum des espaceurs fils de ligne et en prévoyant des tubes ou autres organes/conve- nables pouvant 'être interposés entre les paires de joues de pre- neurs en vue de donner d'autres ecartements, qui peuvent 'être nécessaires, aux fils de ligne;
sur une machine conforme au paragraphe précédent pourvue d'or- ganes sous forme de réglage à vis par exemple, pour empcher le déplacement transversal excessif des joues preneuses qui les amèneraient hors d'alignement avec les fils de ligne lors de la révolution suivante du tambour; sur une machine conforme aux paragraphes précédents, pourvue d'organes servant à commander les coulisseaux des parties mobi- les des matrices en série et à l'unisson, lesdits organes con- sistant par exemple en une crémaillère ou barre de traction den- tée formant un angle droit avec les coulisseaux;
sur une machine conforme au paragraphe précédent, dans laquelle lescrémaillèresou barres de traction dentées servent à actionner les coulisseaux, à former les crochets et à introduire ces der- niers dans les matrices; sur une machine conforme aux paragraphes précédents, dans laquel- le une des crémaillères, plusieurs crémaillères ou toutes les crémaillères actionnent lesdits coulisseaux par des organes in- termédiaires pouvant céder quand des efforts excessifs se font sentir sur les parties opératoires;
sur uns. machine conforme aux paragraphes précédents, dans laquel- le les barres tireuses sont pourvues de sections dentées connec-
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tées aux barres par des organes qui cèdent sous un effort ex., cessif, tels que par exemple par des goupilles qui se cisaillent quand un effort excessif se fait sentir sur la parti dentée ou sur leparties dentées;
sur une machine conforme aux paragraphes précédents, dans laquel- le on fait usage de bielles pour connecter lesdits coulisseaux aux barres de traction en vue de les actionner, la connexion entre lesdites bielles et les coulisseaux consistant en organes qui cèdent sous l'effet d'un effort excessif, tels que par exem- ple des goupilles qui se cisaillent quand un effort excessif se fait sentir sur ces parties; sur une machine conforme au paragraphe précédent, dans laquelle lesdits coulisseaux sont commandes par des barres de traction dentées, soit directement. soit par l'intermédiaire dentelles ou autres articulations, les barres en question étant de préfé- rence sous tension;
sur une machine conforme aux paragraphes qui précèdent,pourvue d'un organe, par exemple d'une crémaillère, qui peut agir si- multanément sur les enclumes qui forment les crochets ou ferme- tures; sur une machine conforme aux paragraphes si-dessus, pourvue d'or- ganes servant à débiter des longueurs de fils pour former les crochets; les organes en question comprennent de préférence une série de paires d'embrayages à friction, que l'on peut mettre en action successivement de manière à déplacer une longueur de fil déterminée d'avance dans une position dans laquelle le con- lisseau qui forme le crochet peut entrer en jeu pour former ce dernier; des organes sont prévus pour couper les longueurs suc- cessives de fil amenées dans cette position avant l'opération de formation du crochet;
sur une machine conforme au paragraphe précédent, dans laquelle les fils destinés à former les crochets peuvent être lubrifiés du fait qu'on les déplaceau delà de rouleaux alimentés en lu-
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brifiant provenant d'un réservoir approprié de la machine; le crochet lubrifie sert alors à lubrifier les pièces qui forment le crochet et l'attache; sur une machine conforme aux paragraphes précédents, pourvue d'organes servant à retordre les fils d'arrêt autour des fils de ma rge; sur une machine conforme au paragraphe précédent, dans laquelle les organes de torsion peuvent faire tourner des rouleaux ou autres organes appropriés en vue d'introduire les fils d'arrêt en travers des fils de ligne;
sur une machine conforme aux paragraphes précédents, pourvue d'organes qui peuvent 'être mis en action à des moments appro- priés, de manière à dévier les bouts du fil d'arrêt dans la trajectoire des pièces actives des retordoirs; sur la combinaison de certaines des caractéristiques ou de tou- tes les caractéristiques dont question ci-dessus dans une ma- chine destinée à produire du tissu métallique, particulièrement du type décrit ci-dessus et également qui comporte d'autres caractéristiques susceptibles d'être incorporées à une machine de l'espèce ou employées pour d'autres usages; ces caractéris- tiques se réfèrent notamment à un tambour enrouleur qui, dans le cas de la machine dont question, facilite l'enlèvement des rouleaux complets de tissu;
un moteur (de préférence électri- que) pour actionner ce tambour, dont la vitesse décroît quand augmente la résistance à la torsion de son poids par suite de l'augmentation des dimensions du rouleau de tissu métallique; des bobines servant à maintenir les rouleaux de fil employés pour la fabrication du tissu métallique ou pour tout autre usage; un jeu de bobines ou analogues particulièrement en collaboration avec la machine prévue conformément à l'invention et également des organes pour enregistrer la quantité de tissu ou autre ma- tière produite par la machine, lesdits organes étant de préfé-
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rence associés avec des organes qui signalent quand une quanti,. té déterminée de matière a été produite.
La figure 1 est une vue en élévation de face d'une forme de machine conforme à l'invention.
La figure Z est une vue en élévation sur bout de la machine représentée par la figure 1; cette figure montre également le mécanisme enrouleur du tissu fabriqué.
La figure 3 est une vue partielle du mécanisme qui sert à faire fonctionner les matrices; cette figure montre également le retordoir droit.
La figure Sa est une vue en plan partielle montrant d'au- tres matrices et un autre mécanisme de commande de celles-ci ainsi que des retordoirs centraux et le retordoir gauche.
La figure 4 est une coupe transversale dans le mécanisme de commande des matrices et les parties associées représentées par les figures 3 et 3a; cette figure montre l'un des fils de ligne et également l'un des fils à crochet; la paire de matri- ces représentée dans cette figure est ouverte.
La figure 5 est une vue en plan partielle montrant une pai- re de matrices en position ouverte.
La figure 6 est une coupe verticale partielle du mécanisme formateur de crochets, pratiquée dans le sens de la flèche!. de la figure 5,et montrant le couissau formateur de crochets en position avancée dans laquelle il a coupé une partie du fil à crochet.
La figure 7 est une vue de détail du mécanisme formateur de crochets. La figure 8 est une coupe pratiquée suivant la ligne C-C de la figure 10.
La figure 9 est une coupe pratiquée suivant la ligne B-B de la figure 10.
La figure 10 est une vue en plan partielle. à échelle plus grande, analogue à la fig.5, mais montrant les matrices fermées et le formateur de crochets en position avancée.
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La figure 11 est une coupe verticale pratiquée suivant la ligne A-A de la fig.10.
Les figures 12 et 13 sont des vues détaillées montrant le mécanisme formateur de crochets dans différentes positions opé- ratoires.
La figure 14 est une vue détaillée montrant une variante de forme d'enclume par le mécanisme formateur de crochets.
La figure 15 est une vue analogue à la figure 14, mais montrant l'enclume dans sa position normale, prête pour la for- mation d'un crochet.
Les figures 16, 17, 18, 19, 20, 21 et 22 sont des vues mon- trant les diverses cames employées dans la machine.
La figure 23 est une vu de détail du guide du fil d'arrêt supérieur et de son mécanisme de commande, qui'sont représentes en partie par la fig.4.
La figure 24 est une vue de la figure 23, vue dans le sens de la flèche b.
La figure 25 montre la forme d'entrelacement produite par la maohine conforme à l'invention.
Les figures 26, 27, 28 et 29 sont des vues de détail mon- trant les matrices.
La figure 30 est une vue en plan partielle montrant certai- nes des boudineuses des fils de ligne.
La figure 31 est une vue en coupe verticale, à échelle plus grande, du mécanisme d'alimentation du fil à crochets.
La figure 32 est une vue en élévation de la figure 31.
La figure 33 est une coupe pratiquée suivant la ligne D-D de la figure 31.
La figure 34 est une vue sur bout partielle, partie en ou- pe montrant les boudineuses pour l'un des fils de ligne; cette figure montre également l'un des fils à crochets et l'arrange- ment que l'on peut adopter pour en assurer le graissage.
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Les figures 35. 36, 3% et 38 sont des vues montrant les boudineuses des fils de ligne; la figure 35 est une vue en élé- vation sur bout, la figure 36 est une vue de face) la figure 37 est une vue partielle en coupe horizontale pratiquée suivatla ligne E-E de la fig.5 et la figure 38 est une coupe horizontale partielle pratiquée suivant la ligne F-F de la fîg.35.
La figure 39 montre une variante de base destinée à porter les boudineuses de la machine.
La figure 40 est une coupepartielle du tambou,r mesureur.
La figure 41 est une vue partielle de côté du tambour mesu- reur.
Les figures 42, 43 et 44 montrent des détails du tambour mesureur.
La figure 45 est une coupe verticale pa rtielle montrant le tambour enrouleur pour le tissu fabriqué et montre le tam- bour en position étendue.
Les figures 46, 47. 48 et 49 montrent des détails du tam- bour enrouleur.
La figure 50 est une vue en plan partielle montrant les re- tordoirs de gauche.
La figure 51 est une vue en soupe verticale pratiquée sui- vant la ligne G-G de la figure 50.
La figure 52 est une coupe verticale pratiquée suivant la ligne H-H de la figure 50.
La figure 53 est une vuepartie en coupe horizontale, mon- trant un détail de la commande des retordoirs gauches.
La figure 54 est une vue en élévation détaillée du preneur de fil d'arrêt.
La figure 55 est une vue en élévation de face partielle montrant les retordoirs droits.
La figure 56 est une vue en élévation partielle montrant les retordoirs centraux et le couteau.
La figure 57 est unevueen plan partielle de la fig.56.
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La figure 58 est une coupe verticale pratiquée suivant la ligne I-I de la figure 57.
La figure 59 est une vue en élévation de face du mécanisme employé, conformément à l'invention, pour débiter des longueurs de fils déterminées et que l'on peut employer pour introduire des longueurs de fils d'arrêt déterminées et sectionnées dans la machine conforme à l'invention, pour former du tissu metalli- que.
La figure 60 est une vue partielle, partie en coupe, du cô té gauche du mécanisme représente par la fig.59.
La figure 61 est une coupe verticale pratiquée suivant la ligne J-J de la figure 59.
La figure 62 est une coupe verticale partielle pratiquée suivant la ligne K-K de la figure 60.
La figure 63 est une vue en plan horizontale partielle du mécanisme représenté par la fig.59.
Les figures 64, 65 et 66 sont des vue détaillées du cou- teau du mécanisme d'alimentation représenté par les fîgs.59 à 63, tandis que la figure 66 est une coupe pratiquée suivant la li- gne L-L de la figure 64.
La figure 67 est une coupe à échelle plus grande montrant le fil saisi dans une paire d'articulations du mécanisme d'ali- mentation.
La figure 68 est une coupe partielle montrant le mécanisme utilisé pour modifier l'espace compris entre les fils d'arrêt.
La figure 69 est une coupe montrant l'arbre de came prin- cipal servant à commander les matrices et les autres mécanismes de la machine.
La figure 70 est une Que de face, à 'échelle plus grande, du mécanisme représenté par la fig.68.
La figure 7l est une vue sur bout du mécanisme compteur conforme à l'invention.
La figure 72 est une vude côtéde la figure 71.
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La figure 73 est une vue, partie en coupe, pratiquée sui- vant la ligne M-M de la fig.72.
Les figures 74 et 75 montrent des détails du mécanisme compteur.
La figure 76 est une vuee en plan montrant le jeu de bobi- nes conforme à l'invention et utilisées en collaboration avec la machine pour former le tissu métallique.
La figure 77 est une vue en élévation, partie en coupe, de la figure 76.
La figure 78 est une coupe à travers les figures 76 et 77.
Les figures 79 et 80 sont des vue e an élévation et des vues en plan, respectivement, montrant une forme perfectionnée de bo- bine conforme à l'invention; ces bobines sont représentées sché- matiquement dans les figures 76 et 78.
Les figures 81, 82 et 83 sont des vues montrant une forme préférentielle de bobine conforme à l'invention.
La figure 84 est une vue, partie en coupe, d'une forme d'embrayage principal de la machine adoptée de préférence. Cet embrayage est indiqué d'une façon générale dans les figs.1 et 2.
Dans une de ses réalisations commodes et dans son applica- tion, à titre d'exemple, à une machine destinée à faire du tissu métallique, du type ci-dessus décrit, la charpente de la machine comporte des éléments verticaux 1 (figures 1 et 2) montés sur des pièces 2 et ! genre tables, supérieure et inférieure; l'élé- ment supérieur sert de table pour porter des éléments du mé- canisme de commande que l'on va décrire, y compris une série de formateurs d'attaches de fil, disposés dans un plan horizontal, quipeuvent former une série d'attache-fil et en même temps as- sembler la ligne d'intersection et les fils d'arrêt et qui sont indiqués par les références 4 et 5 respectivement, de la fig.l.
Les formateurs d'attaches de la série sont les m'ornes, à tous points de vue, et par conséquent il suffira d'en décrire un seul.
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Chaque formateur d'attache (figs.3, 38, 5,10 etc.) com- porte un porteur consistant en une pièce en fonte de forme an- gul,euse et semblable à une boite, dont l'un des bras, le bras 6. fait sensiblement un angle droit avec la table, tandis que l'autre bras, le bras 6a, fait un certain angle avec le bras 6, angle voisin de 130 à 135 ,de manière que le crochet,formé dans le bras 6a est introduit dans une matrice pour former l'attache des fils 18 sous un angle voisin de préférence de 40 à 45 ; il est entendu toutefois que l'arrangement de ces pièces ne doit pas nécessairement être celui que l'on vient de décrire.
La matrice est constituée par une partie fixe 7a et une partie mobile 7b (figures 86 à 29) situées à la jonction desdits bras; la partie 7a est assemblée avec le bras 6a et la partie 7b est portée par le bras 6.
L'assemblage entre le porteur et la table 8 est de préféren -ce tel que l'on puisse régler facilement le premier, de manière à assurer tout écartement désirable entre des porteurs voisins, suivant la distance que l'on désire laisser entre les fils de ligne.
Les bras 6, 6a sont assemblés à réglage par leurs bouts avec des barres 150 assemblées à leur tour avec les côtés de la table ils- dans ces bras sont ménagées des ouvertures 8, de distan- ce en distance. par exemple à un écartement d'un demi pouceou plus, de manière qu e le po rteur puisse être fixé amoviblement sur la table, par exemple par le moyen de cales mobiles 9, et puisse être réglé facilement sur tout espacement requis.
L'organe qui sert à former un crochet et à l'introduire dans la matrice (figs.6, 8, 9, 12 et 13), est porte dans le bras 6a du porteur et comporte des coulisseaux 11 et 12. Le coulis- seau 11,en collaboration avec une enclume 13. qui peut être ani- mée d'un mouvement de va-et-vient intermittent dans un plan ho- rizontal, sert à former le crochet 10. après quoi l'autre cou- lisseau 12, situé de l'un des eûtes du coulisseau 11 et qui peut
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tre déplacé au delà de /?enclume, après que le coulisseau 11 a été déplacé pour former le crochet autour de cette dernière, entre en jeu pour pousser le crochet qui vient d'être formé dans les parties de matrices 7a , 7b.
1,?organe qui sert à com- mander les coulisseaux dont questions et également l'enclume, sera décrit plus loin.
La face de chaque partie fixe de matrice 7a (figs.36 à 29) voisine du coulisseau 12, présente une ouverture oblique 14 qui se trouve dans cette partie de matrice se trouvant dans l'ali- gnement du coulisseau 12. Dans les faces collaborantes des deux parties de matrice 7a et 7b, sont ménagées des rainures 15, 16 faisant un angle droit l'une avec l'autre et qui peuvent rece- voir respectivement le fil d'arrêt et le fil de ligne ; rainures 17 sont formées dans les faces des parties de matrice en collaboration;
ces rainures sont conformées et arrangées de manière que, quand un crochet est introduit dans la matrice fer- mée. il soit recourbé autour de la ligne d'intersection et des fils d'arrêt, de manière à produire l'attache de fil 18 qui unit les fils d'arrêt et les fils de ligne.
Les parties mobiles de la matrice 7b sont connectées aux coulisseaux 19 (figoll) qui sont disposés pour effectuer un mou- vement de coulissement dans les bras 6 des éléments porteurs; lesdits coulisseaux sont disposés de manière à être commandés en série et à l'unisson par une barre 20 (fig.3a) que l'on peut commander à angle droit avec les coulisseaux 19 et qui est de préférence disposée de manière à agir sous tension, tandis que les coulisseaux 19 sont actionnés directement par la barre ou par des organes intermédiaires comme,par exemple,par des bielles réglables 21;
la connexion entre ces bielles et les coulisseaux 19 est constituée de préférence par des goupilles 22 qui se ci- saillent quand un effort excessif se fait sentir, ce qui empêche ainsi que les parties actives soient détériorées.
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Le coulisseau 11, qui sert à former les crochets, est com- mandé par une crémaillère ou barre dentée23 (fig.3a) disposée dans un plan parallèle à la barre 20 Précitée et celle-ci peut agir directement sur les pistons 11 aux moments voulus ou enco- re peut actionner ces derniers par un mécanisme intermédiaire analogue à celui précédemment décrit au sujet des pistons des matrices.
Les coulisseaux 12, qui servent à pousser les crochets formés dans les matrices respectives, sont commendés par la bar -re 150a avec laquelle ils sont en relation par les articula- tions réglables 150b. Ladite barre et les barres dentées dont question sont commandées par des cames qui seront décrites plus loin.
Lorsque les crémaillères 23 agissent directement sur la matrice et sur les coulisseaux formateurs de crochets, il est préférable de se servir de sections dentées 24 pour commander ces coulisseaux. Ces sections sont connectées à une barre pleine par l'intermédiaire, par exemple, de goupilles qui se cisaillent quand un effort excessif se fait sentir sur les pièces, ce qui empêche ainsi leur détérioration.
Le fil qui sert à former les crochets, est désigné par la référence 25 (figs.4 et 34); il est débité par des supports de bobines disposas convenablement, qui seront décrits plus loin et est amené en position de fonctionnement par des coulisseaux formateurs de crochets; on a prevu des organes pour guider le fil à crochet en position et pour couper des longueurs détermi- nées de fil successivement à mesure que celui-ci est débité.
Les opérations de coupage se font en avance sur l'opération de forma- tion du crochet, ou encore le coupage peut se faire en partie en avance sur l'opération de formation du crochet et en partie simultanément avec le commencement de l'opération de formation du crochet; dans ce cas, on forme sur le bord avant du coulisseau
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11 une arête tranchante qui, quand le coulisseau se meut, est amenée en relation avec une buselure 27 à travers laquelle le fil est amené dans le mécanisme formateur de crochets et est coupé.
Une bande de fil à. crochet, coupée de manière à former un crochet, est désignée par la référence 10a dans les figures 6 et 7; ce morceau de fil est soutenu en trois points, à savoir par l'arête supérieure du coulisseau 11, l'arête de la buselure 27 et pa r un réduit formé dans 1?un des côtés d'un plongeur 10b à ressort porté par le coulisseau 11.
Les organes qui servent à débiter les fils à crochets (il existe évidemment une série de longueurs de fils à crochets que l'on introduit dans la série de formateurs d'attaches),peuvent se composer d'une barre dentée ou crémaillère 28 (figures 30 à 33) actionnée par une manivelle et une série de coulisseaux den- tés 29 qui engrènent ladite crémaillère; chacun desdits coulis- seaux porte un embrayage agrippant ou à friction 30 comprenant, par exemple, trois billes 31 ou plus (trempées si c'est néoes- saire) disposées dans une buselure conique trempée 32; le fil à crochet passe entre ces billes et est saisi et débité par ces dernières quand on actionne les coulisseaux 29.
Une série ana- logue de dispositifsd'attache ou de friction est disposée au- dessus desdites attaches et en alignement sur l'alimentation des fils à crochets (que l'on introduit de préférence en sens verti- cal(, et cette série peut venir saisir et maintenir le fil pen- dant la course de retour des coulisseaux 29; l'autre série de dispositifs de verrouillage ou d'embrayage à friction est dési- gnée par la référence 33, dans la fig.31.
La manivelle qui sert à commander la barre 28. est désignée par la référence 34 (fig.34) et la longueur du fil à crochet dé- bité ou le mouvement des soulisseaux 29 se règle en réglant la position radiale de ladite manivelle.
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Les fils à crochets sont de préférence lubrifiés par des galets 35 (fig.34), qui fonctionnent dans un réservoir d'huile 36 de manière que le lubrifiant soit amené par les fils aux diverses parties de la machine qui sont ainsi lubrifiées.
Ainsi qu'il est dit précédemment, les longueurs des fils à crochets qui ont été coupées sont transformées en crochets par l'action des coulisseaux 11, en collaboration avec les en- clumes 13. ces dernières sont disposées de manière à prendre un mouvement de va-et-vient dans le trajet des coulisseaux 11, par l'intermédiaire de goupilles excentriques 37 par exemple (fig.9). qui s'engagent dans les enclumes et sont portées par un arbre 38 qui porte également une roue dentée 39;
cette derniè- re est commandée par une barre dentée ou crémaillère 40 (figs.3, Sa); l'arrangement et le fonctionnement de ces pièces sont tels que les enclumes sont retirées de leurspièces respectives, forma- trices'd'attaches, quand les crochets ont été formés, de manière à permettre le mouvement des coulisseaux 12 qui poussent les crochets formés dans les matrices,
Dans une variante, la barre 40 est supprimée et le aoulisseau 11 présente une surface de came 40a qui peut faire fonctionner un piston contrôlé par un ressort, portant l'enclume (figs.14 et 15).
Dans cette variante de l'invention, on peut ménager un léger biseau ou une surface de came sur le bord avant de contact ou sur le coulisseeu formateur de crochet qui agit pour pousser ce dernier en arrière jusqu'à ce que le crochet, poussé par le cou- lisseau moteur, puisse dépasser l'enclume et, en agissant sur le biseau, pousse l'enclume complètement hors de son chemin.
En ce qui concerne l'alimentation des fils de ligne et des fils d'arrêt à travers la machine, celle-ci est réalisée comme suit : pour les fils de ligne,par des preneurs portés par un tam- bour rotatif 42 situé à un niveau plus élevé (figs.l et 2); pour
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les fils d'arrêt, par la pièce 43 (fig.1) qui coupe des longueurs uniformes,déterminées d'avance,de fil d'arrêt fourni par une bobine et qui débite les longueurs ainsi codées successivement, directement dans les matrices. Les fils de ligne sont arrangea dans la machine aux écartements voulus et passent entre les ma- trices et un fil d'arrêt introduit entre les matrices et en trs- vers des fils de ligneo avant la formation des crochets, ainsi qu'on le comprendra par la description ci-dessus.
Les fils de ligne proviennent de bobines, que l'on décrira plus loin, et sont conduits de ces dernières par des guides tu- bulaires qui amènent le fil en dessous de la base de la machine.
Les longueurs de fil, âpres avoir quitté ces guides tubulaires, sont conduites de préférence par une série de dispositifs qui agissent pour imprimer au fil une forme hélicoïdale, ce qui donne également une forme hélicoïdale au produit fini.
Les séries de bobineuses peuvent se trouver commodément immédiatement derrière les dispositifs débiteurs de fil à cro- chet; elles se composent de séries de rouleaux 44 disposés ver- ticalement (figs.34 à 38), et les rouleaux de chaque série sont disposés en ordre déporté et de préférence leurs axes sont in- clinés les uns sur les autres,ainsi que le montrent ces figures.
Les rouleaux sont portéspar des supports 45 montés de préférence à rotation,de manière à leur permettre de tourner li- brement pendant l'opération du boudinage et de rester fixes pen- dant la période de formation des attache-fils.. Toutefois, on prévoit de préférence l'application d'un effet de tension de nature à permettre de rattraper le balant des fils immédiatement avant que les fils ne soient saisis par les matrices; de la sorte on est certain que l'écartement entre les parties de fils de li- gne, comprises entre des fils darrt adjacents, est uniforme.
On prévoit aussi des organes pour modifier la valeur du dé- port des rouleaux boudineurs, de façon qu'il soit possible de con -trôler exactement le boudinage des fils de ligne. Ces organes
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comportent, par exemple, une vis hélicoïdale 46 et un segment denté 47 qui s'engage dans la vis et associé avec un ou plusieurs rouleaux de la série, de façon qu'en faisant agir cette vis et ce segment, on puisse modifier la position angulaire des rouleaux qui y sont associer comme on le désire.
On peut aussi prendre les dispositions requises pour que les séries de boudineuses soient animées d'un mouvement de ro- tation impératif, à. l'aide , par exemple, d'une chaîne légère; toutefois, la rotation normale des boudineuses s'effectue sous l'effet de la traction des fils de ligne quand ceux-ci sont dé- bités à travers la machine.
Les boudineuses intermédiaires peuvent être déplacées de la ligne centrale, vers les boudineuses terminales, de préféren -ce dans une position vers les matrices, de manière à imprimer une action à ressort aux fils combinés 4, 5 quand on ouvre les matrices après une opération de formation d'attaches, ce qui tend à éjecter les intersections du tissu qui viennent d'être attachées, hors des matrices fixes, cet arrangement des boudi- neuses terminales facilite également l'enfilage des fils d'ar- rêt en travers des fils de ligne suivant un procédé grâce au- quel les fils d'arrêt passent derrière les fils de marge 4a et devant les fils de ligne intermédiaires ou vice-versa; toute- fois:
on peut prévoir des plaques déviatrices pour assurer cette mise hors position relative des fils de ligne et pour faciliter l'enfilage des fils d'arrêt de la façon qui a été décrite.
Les fils de ligne sont maintenus par les preneurs 41 du tambour et ce dernier se met à tourner après qu'une partie du tissu a été achevée dans les formateurs d'attaches, de manière que les preneurs interviennent pour faire avancer le tissu en position pour l'opération de formation qui va suivre.
Les pre- neurs sont disposés en séries annulaires autour de la circonfé- rence du tambour, de manière que les séries de preneurs (qui, comme représenté, comportent des paires de joues) soient ame-
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nées en action en vue de saisir les fils de ligne successive- ment pendant la rotation du tambour; l'arrangement est de pré- férence tel que plus d'une série de preneurs, du côté du tam- bour opposé à l'alimentation de la machine,soient en action à la fois.
En ce qui concerne le tambour 42, les preneurs qui y sont prévus comportent des joues 41a, 41b; les joues 41a peuvent effectuer un mouvement latéral vers les joues 41b ou s'écarter de celles-ci et elles sont commandées par des bras radiaux 48 (fig.40) dont les bouts intérieurs portent des rouleaux 49 qui engagent une came 50 fixée sur l'enveloppe 51 réservée à l'un des bouts de l'arbre 52 qui porte le tambour; quand le tambour tourne, lesdits rouleaux sont mis en mouvement de manière à en- gager la partie haute et la partiebasse de la came.Quand les rouleaux sont engagés avec la partiehaute de la came, les joues 41a sont amenées en relation de prise avec les joues 41b, grâce aux a rticulations 53, et quand les rouleaux arrivent ensuite à la partie basse de la came, les joues 41a sont écar- tées des joues 41b et engagées avec le fil de ligne;
ce dernier mouvement peut se faire automatiquement, si on le désire, gréée aux ressorts 54 qui s'excitent lors du mouvement des braspour fermer les, joues.
Les joues preneuses sont montées de préférence de manière à pouvoir 'être réglées pour tenir compte de tous les éoartements possibles des fils de ligne et ce rcglage peut 'être effectué en prévoyant des éléments espaceurs 55 (fig.42). qui peuvent 'être interposés entre les paires voisines de joues preneuses et ont des longueurs choisies conformément à 17 écartement désiré.
On peut aussi prévoir des organes pour régler la distance existant entre les joues preneuses, de manière que le jeu prévu pour le mouvement de ces dernières ne dépasse pas celui qui suffit pour
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obtenir un agrippage efficace des fils par les joues; cet or- gane empêche le déplacement transversal excessif des joues qui amènerait celles-ci hors d'alignement avec les fils d'arrêt pour le mouvement de rotation suivant du tambour.
Le tissu est retiré du tambour 2 pour 'être amené sur un tambour enrouleur 56 (fig.2); ce tambour enrouleur se trou- ve de préférence dans une position telle que les longueurs des fils de ligne venant des côtés opposés du tambour supérieur 42, aient des positions sensiblement parallèles. le tambour enrouleur peut être formé par une série de seg- ments 57 (figs.45 à 49), qui sont soutenus par des guides coni- ques 58; les segments sont pourvus de parties 59 qui peuvent effectuer un mouvement de glissement sur les guides en question.
Le mécanisme qui sert à faire descendre le tambour se compose d'une pédale 60, d'une tige 61, d'un levier 62 et d'une tige 63; oette dernière passe librement à travers l'arbre principal 64 qui porte les guides coniques et est assemble par son extrémité extérieure avec l'extrémité extérieure libre des segments du tambour enrouleur.
Le tambour enrouleur est, de préférence, commandé par un moteur qui peut être un moteur électrique comme indiqué par la référence 65 (fig.2). fonctionnant de manière que sa vitesse décroisse à mesure que la résistance à la torsion augmente, du fait que le rouleau de tissu augmente; ce moteur peut avoir une connexion à interrupteur avec la tige 66 commandée par Item- brayage principal (fig.l).
En ce qui concerne le débit des longueurs des fils d'ar- rêt, celui-ci se fait, quand les matrices sont ouvertes, par des rouleaux 67 (figs.51,53). situés sur l'un des côtés de la série des formateurs d'attaches. De préférence, et comme repré- sent$ par les dessins, deux rouleaux de l'espèce sont prévus et l'un d'entre eux est contrôlé par un ressort de manière à
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collaborer avec l'autre @ouleau qui est fixe; dans ce cas alors, il existe le contact de friction juste suffisant pour permettre au fil d'arrêt d'être saisi par les rouleaux 67 et d'être débité à travers les fils de ligne.
Ledit contrôle à ressort pour l'un des rouleaux d'alimentation, est indiqua par la référence 68; ce rouleau est porté par un arbre 68a,en rela- tion avec la charpente de la machine par un roulement à billes 68b dont la cuvette extérieure 68c a la forme sphérique. Le rou- leau et la pièce qui le porte, peuvent donc effectuer un léger mouvement radial sur le centre du palier en question, Cet arran- gement des rouleaux d'alimentation, grâce auquel on peut régler automatiquement l'espace qui reste entre eux, empêche que les fils d'arrêt ne soient aplatis pa r les rouleaux et permet à ces derniers de prendre facilement les fils.
Les rouleaux dtalimen- tation sont arrangés de préférence de manière à être commandes par les organes qui font tourner le mécanisme de retordage du fil de marge se trouvant de ce coté de la machine; ledit méca- nisme de retordage intervient pour retordre le bout du fil d'ar- rêt autour du fil de marge et un autre retordoir est prévu de l'autre côté de la machine (ou en un point intermédiaire entre les côtés extrêmes de la machine dans le cas où. cette dernière est construite pour former plus d'une largeur de tissu en une fois) pour retordre l'autre bout du fil d'arrêt autour de l'au- tre fil de marge.
Ledit mécanisme de retordage comporte une broche rotative 69 (fig.52) à t'été 70 et présentant des passages axiaux 71, il.8-9 71b. qui permettent d'y laisser passer le fil de marge 4a. En collaboration avec les retordoirs de marge, on a prévu une pièce 72 à laquelle on peut imprimer un mouvement de rotation par-des- sus les bouts du fil d'arrêt, les pièces en question (une à chaque côté extrême de la machine) ont un bord biseauté 73 qui, en engageant les extrémités du fil d'arrêt,amené celui-ci dans le chemin du crochet de torsion 74 du retordoir.
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Les retordoirs prennent un mouvement de rotation par l'intermédiaire d'un engrenage 71c,porte par l'arbre de comd- mande principal 152 de la machine,et de la vis sans fin 71d.
On peut imprimer auxdites pièces 72 un mouvement de va-et- vient par l'intermédiaire d'une barre dentée ou crémaillère 75, qui engage une section dentée 76 portée pa r les sections 72 qui portent à leurs extrémités une forme 77 (fig.53). disposée de manière à recevoir des fils de marge et qui sert à empêcher toute tendance de ces derniers d'être poussés sur le côté ou sur le bout du fil d'arrêt.
La position des rouleaux débiteurs de fils d'arrêt 67 par rapport aux têtes de retordoirs 70, est telle que les doigts marginaux 72 peuvent rabattre directement le fil d'arrêt sur la tête du retordoir animé d'un mouvement de rotation, de façon que le fil d'arrêt prenne la position incli- née représentée par la figure 56, et quela quantitéde fil bou- diné autour des fils marginaux, soit déterminée principalement par la position desdits rouleaux d'alimentation, ce placement oblique des bouts des fils d'arrêt est facilité par la présence de plaques 78 (fig.54) fixes et qui sont commandées en collabo- ration avec les plaques 79 fixées sur les doigts marginaux;
dans les plaques 78 est ménagée une ouverture obliqu e 80 et dans les plaques 79 une ouverture 81 qui, normalement, est alignée sur l'ouverture 80, de manière que le fil d'arrêt peut passer tout d'abord à travers les paires d'ouvertures, mais que,quand la plaque de doigt Marginale prend un mouvement de va-et-vient avec comme conséquence un mouvement de va-et-vient des plaques 79, les bouts du fil d'arrêt soient entraînes en avant et descendent dans l'ouverture 80 pour quitter celle-ci ensuite.
comme dit ci-dessus, les fils d'arrêt sont débitas direc- tement entre les matrices formatrices d'attaches et ceci peut être réalisé en alimentant les fils d'arrêt en direction trans- versale à travers les fils de ligne et en prévoyant des guides
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disposés entre les formateurs d'attaches voisins; les fils d'arrêt sont débites à travers ces guides et ces derniers sont de préférence conçus de manière à guider le fil suivant une ligne légèrement devant les parties fixes de la matrioe et dans un plan correspondant sensiblement à la rainure transversale 15 et au plan horizontal central des paires de matrices.
Lesdits guides peuvent comprendre des parties 82. 83 supé- rieure et inférieure ( figs.25, 34, 4, 3 et Sa); les parties in- férieures sont fixes et les parties supérieures mobiles par l'in -tervention de pièces 84 commandées par came ou autrement (figs.
4, 23 et 24). Ce mouvement des guides supérieurs permet d'intro- , duire le fil d'arrêt par les matrices de fermeture en position pour le tissage.
L'arrangement des guides 82, 83 pour le fil d'arrêt, par rapport aux passages 71, 71a. 71b des retordoirs marginaux, est tel que, quand le fil d'arrêt est amené en position dans les matrices,, il prend une position dans laquelle ses extrémités se trouvent entre les fils de marge et les fils de ligne intermé- diaires voisins; quand les matrices sont ouvertea, le fil d'ar- rêt se trouve à une courte distance devant les faces des matri- ces fixes et cette position initiale du fil d'arrêt est sensi- blement celle indiquée par la ligne X-X (fig.3 et Sa).
Quand les matrices sont fermées, le fil d'arrêt et les fils de ligne sont déplacés vers les matrices fixes et prennent une position sensi- blement comme indiqué par la ligne Y-Y, et les fils combinés reviennent dans leur position initiale lorsque les matrices sont ouvertes subséquemment.
Le fil qui sert à former les fils d'arrêt, peut 'être alimen- té par un guide tubulaire 85 (fig.1) et envoyé ainsi auxdits rouleaux 67; un mécanisme sert à agir sur la longueur de fil re- tirée de sa bobine ou de son support, pour la couper à toutes longueurs requises déterminées et uniformes, qui sont ensuite re-
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prises par lesdits rouleaux 67 et débitées ensuite successive- ment, en position de tissage, dans les matrices, ce mécanisme d'alimentation du fil d'arrêt consiste essentiellement en une paire de chaînes sans fin 86, 87 (figs.59 à 68) disposées l'une au-dessus de l'autre, de manière que ces chaînes puissent colla- borer pour saisir, par frottement,
le fil d'arrêt et l'introduire dans ledit guide tubulaire qui a la forme requise pour conduire les diverses longueurs sectionnées dudit fil en un point où el- les puissent être enlevées par lesdits rouleaux 67.
Lesdites chaînes sont soutenues par des roues 88, 89 qui peuvent être actionnées à l'unisson par toute source de force motrice convenable. Les chaînes peuvent 'être identiques et, dans le cas particulier représenté, chaque chaîne comporte une série de maillons 90 connectes les uns aux autres flexiblement, leurs extrémités se recouvrant;
les maillons de la chaîne supérieure présentent des rainures ou gorges 91, de manière à former une rainure longitudinale dans la surface périphérique de la chaîne et les maillons de l'autre chaîne portent les saillants 92, de façon que l'on forme un saillant longitudinal sur la surface périphérique de cette chaîne, qui collabore avec la gorge longi- tudinale de l'autre chaîne pour former un réduit fermé dans le- quel on admet le fil d'arrêt et par lequel ce fil d'arrêt est dé- bitédu fait de la prise à friction par ces parties de chaîne.
Des organes sont prévus en collaboration avec cesdites chaînes pour amener ces dernières à exercer une pression énergi- que sur le fil, à l'engager à friction, de façon que le mouvement des chaînes dans cette zone active, provoque le débit continuel du fil en question vers les rouleaux 67 à une vitesse sensible- ment égale à la vitesse périphérique des ahaines.
Ces organes comprennent une pièce 93 contrepoids qui peut venir porter sur la surface supérieure du brin inférieur de la
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chaîne supérieure; le degré de pression exercée par cette piè -ce est contrôlé par un ressort 94 et un écrou 95 montés sur la tige filetée 96, Cette tige filetée présente une partie 97 dans laquelle est ménagée une ouverture 98 ou. se trouve une broche portant un maillon 99 connecté à pivotement avec ladite rainure et avec la pièce de pression 93; un autre maillon, le maillon 100, est monté à pivotement sur le bout de la pièce 97 et ce maillon est également monte à pivotement sur 1'antre bout de la pièce de pression 93. ces maillons ont des pieds 101 (fig.
60) dont les bouts saillants tendent à exercer une pression sur la pièce 93; la valeur de cette pression exercée peut tre ré- glée en agissant sur le mécanisme de réglage dont question ci- dessus,
Le brin supérieur de la chaîne inférieure est porté par une pièce 102; cette dernière pièce ainsi que les moyeux de la roue 88 portant une pièce 103, pièces qui peuvent supporter chaque maillon en un endroit où. le couteau (qui sera décrit plus loin) agit pour sectionner le fil d'arrêt, font en sorte que les mail- lons soient soutenus convenablement pour qu 'ils puissent chemi- ner en ligne droite jusqu'à. cequ'ils soient repris par la roue gauche 88.
L'une des fonotions principales de ce mécanisme consiste à couper ledit fil en longueurs déterminées et uniformes et ce- ci est réalisé à l'aide du couteau 104 (fige.54 et 65) porté par l'un des maillons de la chaîne supérieure et pouvant être déplacé automatiquement vers l'extérieur au moment voulu; le couteau est disposé par exemple de manière à 'être poussé en position de sectionnement par l'action des dents de la roue (voir dent 105 de la figure 60) dentée gauche 89, pendant le mou- vement des chaînes, de manière à sectionner une certaine longueur de fil du fil d'arrêt principal.
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L'arrangement et le fonctionnement des pièces si-dessus sont tels que les chaînes débitent des longueurs unfformes de fil d'arrêt à une vitesse proportionnée à la vitesse requise du fonctionnement de la machine façonneuse de tissu, sans arrê- ter le débit du fil d'arrêt.
Les rouleaux106 (fig.59) servent à débiter et à étendre le fil d'arrêt pour l'amener aux chaînes. Les longueurs de fil d'arrêt, qui ont été sectionnées, quand elles quittent le guide 85, sont reprises par les rouleaux 67 antérieurement décrits; la vitesse de rotation de ces derniers rouleaux est de preféren -ce 50 % plus élevée à la périphérie que la vitesse d'alimenta- tion des chaînes; les rouleaux 67 sont disposés pour être ac- tionnés en synchronisme avec le mécanisme de fabrication, de sorte que la fourniture des fils d'arrêt à travers les fils de ligne est synchronisée exactement conformément à la position du couteau 104, sur l'alimentation intermittente des fils de ligne et le fonctionnement des formateurs d'attaches.
Le fil d'arrêt peut 'être coupé dans toutes les longueurs déterminées requises, simplement en faisant varier les longueurs des chaînes d'alimentation 86, 87 et en réglant les distances entre les roues 88, 89 et donc également les distances entre la zone de sectionnement réelle et les rouleaux 67, cette dernière mesure étant de préférence légèrement moindre que chaque lon- gueur de fil d'arrêt.
Le mécanisme qui sert à commander les chaînes comporte le train d'engrenages 153, 156, 157 (fig.70). la chaîne 158 qui est attachée entre la roue à chaîne 157 et une autre roue à chaîne 159 (fig.l): cette dernière roue est portée par un arbre 160 qui porte également un pignon conique 161 (fig.63), qui com- mande la roue gauche de la chaîne supérieure par le pignon coni- que 168, porté par l'arbre qui porte ladite roue à chaîne.La chat- ne inférieure est commandée par la roue dentée 163 portée par
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Marbre sur lequel est montée la roue de chaîne gauche de la chaîne inférieure et engrène le pignon conique 162.
Quand l'appareil est réglé pour faire varier la longueur des sections de fil d'arrêt, on change également la roue d'en- grenage 153 ( fig.70); l'arrangement de cet engrenage est préfé- rablement conçu de manière que le nombre de dents de la roue 153 représente en pouces. ou en toute autre mesure convenable, la longueur du fil d'arrêt qui doit 'être introduit dans la machine : chaque dent de la roue représente ainsi une unité de mesure de longueur de fil. La roue dentée e 156 est portée pa r un bras 154 monté à pivotement sur l'arbre 165 qui porte la roue dentée 157 et elle permet le remplacement facile de la roue dentée 153 par une roue de dimensions différentes.
Le mécanisme d'alimentation de fil d'arrêt, qui est désigné d'une façon générale par la référence 43, (fig.1), est, comme re- présenté par cette figure;, disposé dans la largeur de la machine et on a prévu.des dispositifs grâce auxquels le mécanisme peut 'être réglé dans toute position requise par rapport à l'un ou l'autre coté de la machine. Le guide tubulaire 85 se trouve éga- lement dans la largeur de la machine et est conformé pour débi- ter la longueur de fil d'arrêt dans un sens transversal sur l'un des cotés de la série des formateurs d'attaches, de manière que les longueurs de fils d'arrêt, qui ont été sectionnées, puissent 'être prises successivement par les rouleaux 67 et introduites directement entre les matrices formatrices d'attaches.
Les guides tubulaires 85 peuvent être conçus de manière à traiter deux longueurs de fils d'arrêt ou plus; les longueurs séparées dans cet arrangement sont amenées aux rouleaux 67 par l'action de la pression exercée par la longueur ou les longueurs sectionnées qui suivent.
Bien que le dispositif d'alimentation et de coupage ci-des -sus décrit convienne particulièrement en collaboration avec le
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machine perfectionnée à produire du tissu métallique, il est entendu quecemécanisme peut 'être employé avec tout autant d'avantages dans d'autres cas où il est requis d'assurer un débit de longueurs successives de fils de longueurs uniformes et déterminées.
Le tambour supérieur 42. qui porte les preneurs 41 ser- vent à faire avancer les fils de ligne à mesure que le tissu est formé, tourne continuellement par l'intermédiaire d'une chaîne 107 (fig.2) qui passe sur des roues guideuses 108, 109, 110 et 111 et est commandée par la roue à chaîne 112; pour tenir compte de la période pendant laquelle un fil d'arrêt est fixé sur les fils de ligne, on fait en sorte que le tambour 42 soit abaissé pendant que les matrices sont fermées pour achever les attaches et qu'il soit ensuite soulevé quand on ouvre les matrices après la formation des attaches; pendant cette période, le tambour progresse d'une valeur déterminée suivant l'écarte- ment que l'on désire donner aux fils d'arrêt du produit fini.
Cette descente et cette montée du tambour peuvent être réali- sées à l'aide d'une charpente 113,qui supporte le tambour et sur laquelle agissent des cames 166 (figs.3, Sa) aux moments requis pendant la marche de la machine, de manière à imprimer au tambour les mouvements de montée et de descente requis, tandis que la roue à chaîne 108, portée par la structure mobile 113, sert à rattraper le balant de la chaîne provoqué par la descente de la -dite structure.
La came 50, sur la surface de laquelle roulent les galets 49 pour actionner les preneurs 41, peut 'être fixée à la struc- ture 113 afin de l'empêcher de tourner. Le tambour 42 a le dia- mètre requis pour empêcher la tendance au boudinage hélicoïdal des fils de ligne d'être détruit et la présence de ce tambour permet de se servir d'un seul organe de transfert pour amener le tissu sur le tambour enrouleur final.
La circonférence du tambour est un multiple de l'unité de
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mesure du tissu et sert à Mesurer ce dernier.
Avec le tambour sont associés des organes qui permettent d'enregistrer la quantité de tissu envoyé par celui-ci; cet or- gane enregistreur est associéà son tour avec des organes qui peuvent faire fonctionner un signal sonore quand une quantité dé- terminée de tissu a été alimentée par le tambour.
Dans les figures 71 à 75, l'organe de signal et d'enregis- trement est actionné parla roue à chaîne 108 par l'intermédiai- re de l'engrenage 114,115, 116, 117; la roue dentée 117 fait tourner un tambour 118 avec lequel le signal est associé, tandis qu'elle est en même temps associée avec un mécanisme qui peut enregistrer la quantité totale de tissu métallique produit par la machine, ce dernier mécanisme étant commandé par la roue den- tée 117 par l'intermédiaire des pignons 119, 120, de la vis sans fin 121 et de la roue dentée 122.
Le mécanisme enregistreur désigne d'une façon générale par la référence 123 de la fig.73. comporte un tambour extérieur 124 portant des nombres à sa périphérie (voir fig.74) qui ser- vent à indiquer la quantite totale de tissu produit par la ma- chine, avec le secours d'une aiguille 125.
La face du tambour 118 porte des séries de dénominations radiales 128 correspondant à une quantité déterminée de tissu et sa face périphérique porte des contacts 126 déplacés latéra- lement et alignés sur les séries de contacts représentant les diverses dénominations; lesdits contacts sont arrangés de maniè- re que, quand le tambour effectue un mouvement d'une certaine valeur, l'un ou l'autre de ceux-ci entre en contact avec un con- tact fixe 127 après quoi un circuit électrique se ferme et un dispositif de signalisation se met à fonctionner.
En fonctionnement, dans la pratique, les dénominations du tambour représentent la longueur du tissu en perches et l'arran- gement est tel que, si par exemple le signal doit fonctionner
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quand dix perches de tissu ont ete fabriquées, le contact 129 du tambour revenant buter sur le contact fixe, ferme le circuit et fait fonctionner le signal. Les autres contacts se trouvant sur le bord du tambour et désignés par les références 130. 131.
132. correspondent aux dénominations 20, 30, 40 respectivement.
La machine du type représenté peut former deux longueurs séparées de tissu métallique; ceci implique la présence de re- tordoirs en un point compris entre les extrémités de la machine qui agissent pour aouper le fil d'arrêt et retordre les extremi- tés ainsi coupées autour des fils de ligne voisins 4a des deux pièces de tissu.
Les mécanismes de retordage intermédiaires sont représen- tés par. la figure 3a d'une façon généra le, et en détail par les figs.57 et 58. leur construction et leur fonctionnement sont analogues à ceux du mécanisme de retordage décrit précédemment et dont on se sert pour retordre les bouts extérieurs du fil d'arrêt.
Il en resulte que les parties correspondantes du méca- nisme de retordage intermédiaire sont indiquées par les mmes références que celles qui ont été employées dans la description de l'antre mécanisme de retordage. Toutefois, avec le mécanisme de retordage intermédiaire est associé un couteau 166a qui pi- vote en 167 et est commendé par une bielle réglable 168 en re- lation avec la barre dentée 12. (fig.52)qui intervient pour amener les doigts 72 dans letrajet du fil d'arrêt;
cecouteau mobile fonctionne en collaboration avec un couteau fixe 166b et ces deux couteaux sont portes par un couvercle 166c,de maniè- re que le support de couteaux est maintenu aligné en vue de divers réglages de la distance existant entre les broches des retordoirs centraux. ce dernier réglage se fait à l'aide des vis 166d.
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Le fil d'arrêt, lorsqu'il se trouve disposé à l'origine dans les matrices, est guidé,en outre des gaides fixes et mo- biles dont il a été question ci-dessus. par un guide 169 dis- posé entre les mécanismes de retordage intermédiaires et per- cé d'une ouverture pour permettre le passage de l'arête tran- chante 170 du couteau,, de façon que l'on puisse sectionner le fil d'arrêt.
Les barres dentées 23, 40 et 75. qui servent à actionner les coulisseaux 11, formateurs de crochets, les enclumes 13 et les doigts 72 des mécanismes de retordage, sont montées de manière à être actionnées par des cames 171, 172 et 173 por- tées par un arbre 174 commandé par l'arbre principal de la ma- chine 152. L'arbre 174 porte également des cames, les cames 175, 176. et 177 qui servent à commander la barre 150a. une barre hexagonale 178 qui commande les pa rtiesmobiles des gui- , des de fil d'arrêt 82 et la barre 20 respectivement.
L'arbre en question porte également l'une des cames 166 servant à com- mander l'une des structures 113 qui soutiennent le tambour su- périeur; l'autre came, 166, se trouve à l'autre côté de la ma- chine et est actionnée par un arbre 179 actionné à son tour par l'arbre principal de la machine 152 (fig.70).
Lesdites cames sont disposées de manière à fonctionner dans des rainures ménagées dans des blocs 180 avec lesquels les barres sont assemblées à réglage, tandisquedes galets 181 sont prévus près d'une extrémité desdits blocs et les cames agissent sur ces galets pour déplacer les barres dans la direction indiquée par la flèche se trouvant du côté droit des figs.16 à 21; le mouvement des barres dans cette direction provoque le fonctionnement des diverses parties avec lesquelles elles sont en relation,de ma- nière à connecter un fil d'arrêt au fil de ligne; l'arrangement des cames est conçu de manière que 1'on assure le fonctionnement des barres dans la succession voulue ainsi qu'on l'exposera plus loin.
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Pour ramener les barres dans leur position normale et inac -tive, on se sert d'autres cames, les cames 182, 183, 184 et 185; celles-ci sont portées par un arbre 186 qui est commandé par l'arbre principal par l'intermédiaire d'une vis sans fin 187 et .:d'une roue d'engrenage 188. L'arbre 174, qui porte les autres cames, tourne dans le sens des aiguilles d'une montre, l'intervention d'une vis sans fin 189 et d'une roue dentée 190, tandisque l'arbre qui porte l'autre came tourne dans le sens contraire des aiguilles d'une montre; les arbres respectifs sont ainsi pourvus de vis sans fin droite et de vis sans fin gauche, comme représente par la fig.3.
Les cames 182, 183, 184 et 185 sont alignées sur les cames 175, 171, 173 et 177 respectivement; elles sont disposées de manière à agir sur d'autres galets 191 portés par des blocs 180 pour déplacer les barres respectives dans le sens de la flè -che qui figure sur le côté gauche des figs.15 à 21.
La came 176, qui commande les guides mobiles des fils d'ar- rêt, est en gradin de façon que cette came soulève tout d'abord les guides de la quantité exactement suffisante pour permettre le passage,du fil d'arrêt et son guidage vers la rainure trans- versale centrale des matrices; le gradin suivant de la came agit ensuite pour ouvrir entièrement ces guides afin de permettre le mouvement vers le haut du tissu, les guides étant écartés de ce dernier par la seconde opération de la came 176.
La barre 40, qui sert à commander les enclumeformatrices de crochets, est montée de manière à revenir automatiquement en position après que la partie élevée de la came 172 a agi sur son galet 181; on se sert à cet effet, par exemple, d'un res- sort 192; la barre 178,qui sert à commander les guides mobiles des fils d'arrêt, peut aussi être arrangée de manière à être rappelée automatiquement, par exemple par l'action d'un ressort 193 (fig.4).
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Les bobines de fil remployées pour la fabrication du tissu, sont portées par des supports indiqués par les figs.76, 77 et
78, de manière à occuper le minimum d'espace et à 'être en mme temps faciliment accessibles. Dans les figures ci-dessus les supports des fils de ligne sont désignéspar la référence 133; ils sont arrangés par paires de chaque côté d'une fosse 134 ménagée dans le plancher de l'atelier ou autre endroit où la machine est installée; les supports à crochets sont indiqués par la référence 135 et sont disposés par paires directement au -dessus des paires des supports de fil de ligne;
les axes des premiers sont horizontaux et de préférence inclinés vers le bas, comme représente pa r la figure 78, tandis queles axes des sup- ports des fils à crochets sont verticaux.
Les supports des fils à crochets peuvent être portés par des braquets 136 portés à leur tour par des supports verticaux 137 disposés autour de la couche 134; lesdits supports sont as- semblés par des barres transversales 138 aux extrémités desquel- les est connectée une charpente 139 servant à soutenir un appa- reil de soudage 140 quipeut se déplacer le long de laditechar- pente.
Le mécanisme de soudage est employé pour souder les bouts des fils de ligne et des .fils à crochets (c'est-à-dire les bouts ' des fils que l'on a employés avec ceux des nouvelles bobines le mécanisme de soudage sert également pour assembler par sou- dage les bouts du fil d'arrêt qui doit tre soutenu par un sup- port 141 situé à l'extrémité de la fosse opposée à la machine; le fil d'arrêt est amené de son support à un treuil 142 qui sert à amener le fil d'arrêt au mécanisme d'alimentation à chaîne dont il a été question plu s hauta
Les fils de ligne sont enlevés à leur support respectif par des guides tubulaires;
ils sont arrangés autour d'un tambour de treuil 144 disposé devant la machine et duquel les fils de ligne sont enlevés par les formateurs d'attaches.
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Les supports des fils à crochets ont de préférence la for- me représentée dans les figs.81, 82 et 83; ils comprennent des couvercles 145 qui empêchent les bobines de fil de sortir de leur support 135, qui peuvent se bloquer d'eux-mêmes en position quand on les abaisse sur la charpente de leur support respectif et qui se déverrouillent automatiquement de ladite charpente quand on les soulevé, comme par exemple par l'action automatique d'organes verrouilleurs 146 faisant suite au soulèvement des cou -verales mobiles par des poignées 146 prévues dessus,
Les supports des fils de ligne ont de préférence la forme représentée dans les figs.79 et 80.
Ils comprennent, de préfé- rence, une charpente en forme de cloche 148, qui est fixe; le fil est amené des supports par un bras animé d'un mouvement de rotation 149 qui agit pour enlever le fil de son support res- pectif et le guider dans le guide tubulaire 143 de ce support.
Le fonctionnement de la machine peut être décrit comme suit: les fils de ligne 4 sont tout d'abord amenés vers le haut par les boudineuses 44, les fils marginaux 4a par les retordoirs 71 et les fils de ligne intermédiaires(4) par les cadres formateurs d'attaches, entre les matrices et ensuite sont introduits entre les preneurs du tambour mesureur supérieur 43 pour aller de là au tambour enrouleur 56, auquel les extrémités des fils de ligne sont attachées.
Les fils formateurs de crochets 25 sont également introduits dans les séries de chucks 30. 33 tandis que le fil formant arrêt 5 est pris par le mécanisme d'alimentation à chaîne 43.
Quand on met la machine en marche, le fil d'arrêt est coup ; par le couteau 104 et une section du fil est introduite à travers les fils de ligne directement dans les guides des fils d'arrêt 82. 83 et entre les séries de matrices 7a et 7b. Simultanément, ou presque, avec l'alimentation des fils d'arrêt en travers les fils de ligne, les coulisseaux formateurs de crochets 11, 12 en-
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trent en jeu et les crochets 10. quii sont formés, sont poussés par les coulisseaux 12 dans les matrices fixes 7a, de manière à venir chevaucher sur les fils d'arrêt au point d'intersection des fils de ligne intermédiaires avec le fil d'arrêt. ensuite de quoi les pièces 82,guideuses de fils d'arrêt. sont soulevées et les matrices sont fermées pour achever les attaches de fils 18;
ces attaches sont formées simultanément de manière à attacher les fils de ligne intermédiaires aux fils d'arrêt. En même temps que sont formées les attaches de fils, les retordoirs entrent en jeu pour boudiner les bouts du fil d'arrêt autour des fils de marge 4a (le couteau 166a du mécanisme de retordage intermédiaire a été préalablement mis en jeu pour couper le fil d'arrêt) afin de parfaire le tissage du tissu, après quoi les matrices s'ouvrent (les parties mobiles des matrices 7b 'sont écartées directement des parties fixes de fil 7a) et le tambour 42, qui tourne en continu, peut alors saisir le tissu par l'intermédiaire de ses preneurs;
le tissu achevé est finalement enroula sur le tambour enrouleur 56, le mécanisme d'alimentation du fil à crochets, le mécanisme de mesurage et ±Le coupage du fil d'arrêt, les rouleaux d'alimentation de fil d'arrêt 67 pour le fil d'arrêt suivant qui a été coupe .et les formateurs de crochets et d'attaches étant ensuite remis en marche pour tisser un autre fil d'arrêt sur le fil de ligne, à une distance déterminée du fil d'arrêt antérieu- rement attaché aux fils de ligne.
En même temps que fonctionnent les formateurs d'attaches et pendant qu'un fil d'arrêt est maintenu dans les matrices pendant cette opération, le tambour 42 est abaissa et ensuite les mairie ces sont ouvertes; puis le tambour est soulevé pendant que les matrices sont ouvertes sur des distances appropriées en vue d'as- surer la cessation de l'alimentation des fils de ligne du tissu par les preneurs sur le tambour supérieur; ce dernier est ramené
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dans sa position supérieure tandis que les matrices sont ouver- tes aprèsla fixation d'un fil d'arrêt sur les fils de ligne, de façon que les preneurs agissent directement pour déplacer les fils de ligne de la distance requise pour attacher le fil darrt suivant .au tissu;
le fonctionnement de ces pièces se fait automatiquement et dans un ordre exact déterminé par l'in- tervention des cames (le fonctionnement de ces cames peut 'être synchronisé suivant l'espacement des séries de fils qui est re- quis), jusqu'à, ce que la machine soit arrêtée.
Dans une variante de l'invention, le tambour tombe à une vitesse uniforme à partir du moment où les matrices se trouvent à 3/8" de leur fermeture jusqutà ce qu'elles se trouvent à 3/8" de leur ouverture complète; pendant le restant de la période ouverte des matrices, le tambour monte suivant une vitesse gra- duée.
Il est entendu que l'invention n'est pas limitée aux dé. tails de construction donnes ci-dessus, ni à la construction ,spéciale et au fonctionnement de la machine et que la combinai- son des diverses parties opératoires de celle-ci peut être mo- difie suivant les exigences spéciales ou toutes conditions pra- tiques ou autres que l'on désire remplir.
Revendications. l.-Machine à former le tissu métalliquecomprenant des or- ganes pour guider et débiter les fils de ligne à travers la ma- chine, des organes pour débiter des longueurs déterminées de fils d'arrêt en travers des fils de ligne, des organes pour dé- biter le fil ou les fils servant à former les attaches de fils séparées pour les fils de ligne intermédiaires et les fils d'ar- rêt qui les coupent et des organes pour former lesdites attaches simultanément.
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