CH267696A - Procédé pour relier un bloc de feuilles libres présentant chacune une rangée de trous, et machine pour la mise en oeuvre dudit procédé. - Google Patents

Procédé pour relier un bloc de feuilles libres présentant chacune une rangée de trous, et machine pour la mise en oeuvre dudit procédé.

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Description


  Procédé pour relier un bloc de feuilles libres présentant chacune une rangée de trous,  et machine pour la mise en     #uvre    dudit procédé.    Cette invention se rapporte à un procédé  pour relier un bloc de feuilles libres présen  tant chacune une rangée de trous, à l'aide  d'un relieur constitué d'un fil formé en hélice.  



  Ce procédé est caractérisé en ce qu'on  place le bloc de feuilles sur un support, en  ce qu'on met en place chaque rangée de trous  superposée de façon que la ligne passant par  les centres de ceux-ci ait une forme arquée,  en ce qu'on serre ensuite les feuilles ensemble  sur le support et en ce qu'on introduit le  relieur en hélice à travers les rangées clé     trous     du bloc de feuilles.  



  L'invention a aussi pour objet une ma  chine pour la mise en rouvre du procédé     ci-          dessus    indiqué. Cette machine est caractérisée  en ce qu'elle comprend une table adaptée  pour recevoir un bloc de feuilles libres pré  sentant une série de trous     successifs    disposés  en une rangée le long du côté de reliure du  bloc, des organes de mise en position des  feuilles montés sur des organes de support  pivotants, actionnables pour mettre en place  les feuilles du bloc de façon que les rangées  de trous successifs forment des passages con  formés sensiblement selon la courbure du re  lieur en hélice qui doit y être introduit,

   des  moyens actionnables pour faire entrer lesdits  organes de mise en position dans les rangées  de trous du bloc pour l'opération de mise en  place et pour retirer lesdits organes après que  les rangées de trous ont été mises en place,    un dispositif de serrage pour serrer le bloc  de feuilles sur la table, des organes d'amenée  d'un relieur en hélice pour le faire passer à  travers les trous alignés après que lesdits  organes de mise en position aient été retirés  et au moins un dispositif pour couper le re  lieur à une longueur déterminée et pour cour  ber ses extrémités de façon à fixer le relieur  en place sur le bloc de feuilles.  



  Une forme d'exécution de la machine fai  sant l'objet de l'invention est décrite ci-dessus,  à titre d'exemple, en regard du dessin annexé,  dans lequel:  La     fig.    1 est une vue en élévation de  l'arrière de la. machine.  



  La     fig.    2 est une coupe verticale suivant  une ligne     passant    à peu près au milieu de la  machine.  



  La. fi,. 3 est. une     vue    sensiblement pareille  à la     fig.    2, niais en regardant en sens opposé.  La     fig.    4 est. une vue arrière en élévation  de la partie supérieure de la machine, cer  taines     clés    parties étant omises pour montrer  la disposition des éléments de coupe et clé  courbure et des     appareils    connexes.  



  La fi-. 5 est. une vue arrière de détail  agrandie, en partie en coupe, de la matrice  de conformation et des dispositifs pour gui  der le fil à. travers le bloc.  



  La     fig.    6 est une coupe transversale ver  ticale suivant 6-6 de la     fig.    5.      La fig. 7 est une coupe horizontale de la  machine, montrant en plan le mécanisme     pour     commander l'amenée et la conformation du  fil.  



  La fig. 8 est une coupe suivant 8-8 de  la fig. 7.  



  La fig. 9 est une élévation de devant de  détail du mécanisme compteur représenté en  fig. 7 pour régler la durée de l'alimentation  du fil.  



  La fig. 10 est une vue de détail agrandie  d'une partie du mécanisme représenté en  fig. 3, mais en regardant dans le sens opposé,  vue illustrant la manière dont les organes  pour réarranger les feuilles du bloc opèrent  pendant la poussée initiale de la poignée de  commande, en avant.  



  La fig. 11 est une vue semblable à la  fig. 10, montrant les parties dans une     poli-          tion    d'avancement et montrant aussi en poin  tillé la position du mécanisme d'arrangement  des feuilles en fin de course de la poignée de  commande, en avant.  



  La fig. 12 est une coupe du mécanisme de  coupe et de courbure suivant 12-12 de la  fig. 13.  



  La fig. 13 est une élévation de devant  d'un élément de coupe et de courbure.  



  La fig. 14 est une élévation latérale de  l'élément représenté en fig. 13.  



  La fig. 15 est une élévation de devant de  la partie d'extrémité supérieure de l'autre élé  ment de coupe et de courbure.  



  La fig. 16 est une élévation arrière en  coupe partielle du mécanisme d'embrayage à  broches pour commander l'opération de l'ar  bre à came principal.  



  La fig. 17 est une vue en plan de dessous,  en partie en coupe et en partie enlevée, du  mécanisme pour commander le réglage de la  partie arrière de la table.  



  La fig. 18 est une élévation latérale du  mécanisme représenté en fig. 17.  



  La fig. 19 est une élévation latérale d'une  partie des appareils destinés à faire fonction  ner la machine et à l'arrêter.    La fig. 20 est une élévation latérale d'une  partie du mécanisme pour commander l'opé  ration du calibre latéral.  



  La fig. 21 est une coupe transversale selon  21-21 de la fig. 22.  



  La fig. 22 est une vue semblable à la  fig. 20, montrant la position d'une partie du  mécanisme d'actionnenient du guide latéral  après que ce mécanisme a été mis en action, et  la fig. 23 est une vue en plan de dessus,  en coupe partielle, de la partie avant de la  table de fonctionneraient de la machine, repré  sentant les mécanismes pour régler la position  latérale ou avant-arrière de la machine.  



  Dans les dessins (voir notamment la  fig.1), le chiffre 1 désigne le fil métallique  dont sont faits les relieurs, ce fil étant tiré  d'une bobine 2 qui est montée sur la hase de  la machine et qui est destinée à contenir une  longueur considérable de fil, de manière à  pouvoir débiter suffisamment de fil pour la  formation d'un nombre considérable d'élé  ments relieurs en hélice. Le fil 1 s'élève à par  tir de la bobine 2 dans une coupelle d'huile 3  qui est de préférence remplie de coton ou  autre matière absorbante saturée d'un lubri  fiant léger qui adhère aux surfaces externes  du fil pendant le passage de celui-ci à travers  la coupelle et qui facilite le passage du fil à  travers la machine.

   Le fil passe ensuite à tra  vers deux séries de rouleaux redresseurs 4 et  5 à gorge (voir fig. 1 et 2) qui suppriment  tous     nmuds    ou coudes du fil. En quittant les  rouleaux 4 et 5, le fil     passe    à travers un tube  de     guidage    6 placé entre une paire de rou  leaux d'amenée 7 et 8;

   ces     derniers        tirent,    le  fil de la bobine ? et le     poussent.    en haut dans  d'autres organes     d'amenée_,        notamment    dans  un tube de guidage 9     et        dans    une     matrice     de conformation en hélice qui est indiquée de  manière générale par le chiffre 10 (voir       fig.    5) et qui se compose d'un bloc ayant un  alésage 11 disposé     perpendiculairement    au  tube de guidage 9.

   On voit à. la     fig.    5 que le  tube 9 passe dans la matrice     1_(1    et est en com  munication avec     l'alésa-e    11. (le celle-ci. L'ex  trémité de sortie du tube de guidage 9     coni-          niunique    aussi avec l'entrée     dîme    gorge in-      terne hélicoïdale 12 ménagée dans la paroi de  l'alésage et s'enroulant à gauche, quand on  regarde la fig. 5, vers l'extrémité de sortie de  l'alésage 11. A travers cet alésage passe un  mandrin 13 qui s'effile quelque peu de façon  que son extrémité intérieure s'adapte exacte  ment dans l'alésage 11, tandis que son autre  extrémité est espacée Cie la partie de paroi de  cet alésage présentant la gorge interne 12.

   De  la sorte, le mandrin 13 est supporté dans l'alé  sage 11 par son extrémité intérieure et son  extrémité extérieure agit avec la gorge in  terne 12 pour conformer le fil amené par la  matrice à la Forme hélicoïdale.  



  Le mandrin 13 est mobile le long de l'alé  sage 11 pour son réglage par rapport à la  gorge hélicoïdale 12 à l'aide d'une tige file  tée 14 qui est reliée à l'extrémité intérieure  de l'arbre et s'étend au-delà de l'extrémité  intérieure du bloc de matrice 10 et un écrou  15 est adapté pour porter contre la face ter  minale connexe de la matrice 10. L'extrémité  extérieure du mandrin ou arbre 13 porte une  pièce on pilote 16 en forme de bouchon ayant  dans sa surface externe une gorge hélicoïdale  17 dans laquelle sont amenées les spires de  l'hélice formée par la gorge 12, la gorge 17  du pilote 16 guidant le fil formé en  hélice en avant à l'endroit où ce fil sera  enfilé dans les trous du bloc.

   Le fil, en  quittant l'extrémité avant du pilote 16, passe  au-dessus du bloc,     puis    vers le bas dans le  premier trou de la série de trous perforés le  long du bord de reliure du bloc. Avant l'en  trée de ce fil dans les trous du bloc, ceux-ci  sont d'abord alignés en arc par un mécanisme  qui sera expliqué plus complètement ci-après.  Lorsqu'une longueur suffisante de fil a été  délivrée pour donner un élément     relieur    com  plet, un mécanisme de coupe et de courbure  entre en action pour couper la partie de fil  enfilée dans     les    trous à sa longueur conve  nable et courber ses extrémités d'une manière  qui sera expliquée aussi plus complètement  ci-après.  



  A ce point de     vue,    il sera signalé dès  maintenant que l'extrémité saillante exté  rieure du pilote 16 est découpée pour ména-    ger un espace dans lequel le mécanisme de  coupe et de courbure à cette extrémité de la  machine peut     pénétrer    pour effectuer ses opé  rations.  



  En déplaçant le pilote 16 par rapport à  la matrice 10 au moyen de la tige 14 et de  l'écrou 15, des variations du pas du fil et du  diamètre du trou ménagé dans la matrice  peuvent être effectuées. Ainsi, en réglant  l'écrou 15 de manière due le pilote 16 soit  éloigné légèrement de la matrice 10, le tour  ou spire du fil hélicoïdal sortant de celle-ci  dans la région du col du mandrin 13 sera  allongé, tandis qu'en réglant le pilote 16 vers  la matrice 10, ce tour ou spire sera comprimé.  Cet allongement ou cette compression du fil  sera suffisant pour corriger de petites inexac  titudes dans le fil en hélice conformé par la  matrice 10 et ces corrections ne sont pas in  fluencées par la gorge hélicoïdale 17 du pilote  qui est plus large que le diamètre du fil.

   De  petits réglages peuvent aussi être exécutés sur  l'extrémité de sortie de la gorge 17 du pilote  16 par rapport au premier trou de la, série  de trous du bloc. Le pilote 16, aussi bien que  la matrice 10, peut être réglé en variant. la  position de la matrice 10 dans son guide de       support    ou console 18, la.     matrice    étant main  tenue dans sa position réglée au     moyen    du  boulon. à main fileté 1.9 qui passe à travers  une ouverture taraudée du sommet de la con  sole ou bloc 18 et dans un     passage    de guidage  clans lequel est placée la matrice 10.

   ,    Le     mécanisme    pour aligner les trous du  bloc à relier est réglé par     une    poignée A qui,  comme le montrent clairement les     fig.    1 et ",  est supportée sur les extrémités extérieures  d'une paire de bras B. Les autres extrémités  des bras B sont reliées fixement à une tige C  qui     s'étend        lon--itudinalemeiit    à l'arrière de  la machine et est supportée à rotation à ses  extrémités     par    deux paliers-consoles 20, 21       (fig.    1).

   Les paliers-consoles 20, 21 sont mon  tés à coulisse et à rotation sur une paire (le  fusées ou tiges espacées et dirigées longitudi  nalement, qui sont assujetties fixement au  bâti de la machine et dont un seul se voit,      en fig. 1, cette tige étant indiquée par le  chiffre 22. L'arbre C et la tige 22 au côté  gauche de la machine, quand on regarde la  fig. 1, sont séparés. La tige 22,à droite de la  machine sur cette figure, est cependant reliée  à l'arbre C par une barre 24 qui est assujettie  fixement à l'arbre ou tige 22, mais est mo  bile par rapport à l'arbre C qui la traverse.

    Entre la barre 24 et le bras de poignée adja  cent B de la poignée d'actionnement se trouve  un ressort hélicoïdal 25 entourant l'arbre C  et qui pousse normalement l'ensemble ou cha  riot comprenant la poignée A, les bras B, B  et l'arbre C vers le côté opposé de la machine.  A l'arbre C est assujettie fixement entre les  consoles 20 et 21 une console de support  allongée 26 sur la surface supérieure de la  quelle est montée une plaque 27, comme le  montrent plus clairement les fig. 2, 10 et 11.  La partie de bord avant de la plaque 27 fait  saillie en avant au-delà du bord avant de la  console 26 et porte, fixée dessus, une série  d'organes en forme de crochets surplombant  la plaque 27, et les extrémités crochues 29  s'étendent en avant à partir du bord avant  de la plaque 27.

   Chacune des extrémités cro  chues 29 est d'un rayon déterminé par le dia  mètre du relieur en hélice, de façon à pouvoir  être engagée dans les trous et est de préfé  rence du même diamètre. Les extrémités cro  chues 29 sont aussi décalées du même degré  que le pas des spires du relieur en hélice à  introduire. Ainsi, lorsque ces extrémités 29  sont introduites dans les trous du bloc, elles  arrangeront chaque série de trous de manière  à définir un passage qui ait la même cour  bure que la partie courbe ou segment du  relieur en hélice qui passe à travers.  



  Cette opération est obtenue en imprimant  un mouvement en avant à la poignée A. Au  moment où la poignée A est déplacée en avant  pour amener les extrémités crochues 29 des  organes 28 dans les séries de trous du bloc D,  celui-ci se trouve non serré sur la table de  travail 23 de la machine avec son bord de  reliure contre deux organes d'arrêt ou de     gui-          clage    30, 30 (fig. 4 et 10).

   Lorsque les extré  mités avant libres 29 des organes 28 s'enga-    gent dans la ou les séries de     trous    ménagés le  long du bord de reliure du bloc, comme le  montre la fig. 11, les pages libres du bloc  sont déplacées clé manière que les trous de  chaque série forment un passage en arc sui  vant la configuration des     extrémités    crochues  29 et sont aussi décalés du même degré que  le pas de ces extrémités. Dans leur passage à  travers les trous des feuilles superposées du  bloc, les crochets arrangent ainsi ces trous à  la forme désirée et en même temps libèrent  les trous de toute     matière    qui a pu y être  retenue par suite du forage ou du poinçon  nage de ces trous.

   Du fait que les extrémités  libres des organes 28 sont pointues, les extré  mités crochues dans     leur    passage à travers les  différentes séries de trous du bloc aligne  ront d'abord les trous     sensiblement    à. la posi  tion correcte avant de les arranger en forme  de segment d'hélice.  



  L'arbre C et la console 26 sont enfermés  dans une enveloppe E clé forme cylindrique,  qui est attachée par ses extrémités aux con  soles de support 20, 21 (fi-. 1, 10 et 11).  Sur l'enveloppe E est montée     une    paire d'or  ganes effectuant le     serrage,    comprenant     deltS     vis de réglage 37, 31 qui sont     engagées    à. file  tage et s'étendent à travers les consoles 32, 32  assujetties à la surface externe de l'enveloppe  E, ces vis de réglage 31, 31 étant fixées dans  leur position de réglage par rapport aux con  soles 32, 32 par les écrous d'arrêt usuels.

   Les       extrémités    avant en saillie des     -vis    de réglage  31, 31 sont disposées pour venir en     engage-          ment    avec     lune    paire de plongeurs     33,    33 pres  sés     par    ressort pour les abaisser, ces plon  geurs étant. disposés à     chaque        extrémité    ,lu  corps de serrage 34 (voir fi-. 1 et 11, et plus  particulièrement cette dernière qui montre,  par des contours en pointillé, la manière dont  les vis de réglage viennent en     engagement     avec ces plongeurs).  



  Les     plongeurs    33, 33 reposent normale  ment sur les extrémités supérieures de deux  guides de serrage 35, 35 pour     maintenir    le  corps de serrage 34 dans la position levée,  comme le montrent les fi-. 1 et 10 des des  sins. Le corps de serrage 34, dont les extré-      mités peuvent coulisser dans les rainures op  posées des guides de serrage 35, 35, est muni  entre ces guides d'un organe de serrage ou  sabot 36 (fig. 10) propre à venir en engage  ment avec la surface supérieure d'un bloc D  placé sur la table 23 lorsque les plongeurs 33,  33 sont abaissés ou retirés par les vis de ré  glage 31, 31, comme le montre le contour en  pointillé de la fig. 11.

   Le sabot 36 est relié  au corps de serrage 34 par une paire d'or  ganes de guidage 43, 43, en forme de T (fig. 1  et 10), qui sont montés à coulisse dans un  chemin de guidage 37, en forme de T, ménagé  le long du bord longitudinal inférieur du  corps 34 de la pièce de serrage. Le sabot 36  est relié de manière réglable à chacun des  organes 43, 43, en forme de T, au moyen  d'un boulon 44 dont la tête est placée dans  une fente transversale 36' ménagée dans la  surface inférieure du sabot 36, comme le  montre la fig. 1l et dont la tige s'élève à tra  vers le sabot et clans la partie de corps verti  cale de l'organe de guidage en T, de façon  que le sabot 36 puisse se déplacer en avant  et en arrière par rapport à ces organes et  serrer ainsi le corps de serrage 34.

   Lorsque  le sabot 36 est convenablement réglé, les bou  lons 44, 44 sont serrés pour assujettir le sabot  en position.  



  Dans le bras avant du chemin de guidage  37 en<B>T</B> est montée, entre les deux organes  de guidage en T, une     crémaillère    38 dont les  extrémités sont en prise avec les organes de  guidage espacés 43, 43 disposés sur le sabot  36. Les dents de la crémaillère 38 sont en  prise avec un pignon 39 disposé sur l'extré  mité inférieure d'une tige 40 qui vient en  prise avec un écrou d'arrêt 41 reposant sur  une surface horizontale du     corps    de serrage  34, l'extrémité supérieure de la tige 40 étant  munie d'un volant à main 42 à l'aide duquel  on     petit    faire tourner le pignon.

   On voit ainsi  que le sabot 36 est réglable à, la fois dans une  direction longitudinale et dans les deux sens  transversaux pour obtenir une position exacte  du sabot 36 par rapport aux     extrémités    cro  chues ou doigts de mise en position 29. Le  sabot 36 est pourvu le long de son bord    arrière d'un rebord en saillie présentant     unie     série de fentes ouvertes 45 ménagées dedans,  de telle manière que, quand le corps de ser  rage est en position sur le bloc, comme le       montre    le contour pointillé de la     fig.    11, ces  fentes s'alignent avec les trous du bloc.

   Dans  cette partie du sabot 36, les parties en saillie  ou dents     formées    par les fentes 45 seront       nuises    en position entre les séries de trous  donnant ainsi     un    support ferme ou un     moyen     de serrage pour les parties des feuilles     coin-          prises    entre les trous de celles-ci. Les fentes  45 sont. formées chacune de manière à avoir  un angle moyen de     l'liéIice    et sont de largeur  suffisante pour     lie    pas gêner soit le retrait  des doigts de mise en position 29, soit l'enfi  lage du relieur dans les trous du bloc.  



  On comprendra par ce qui précède que,  lors de la poussée de la poignée     l'1    en avant,  les doigts     \?9    de mise en position s'engagent  d'abord dans les séries de trous du bloc D  pour les disposer dans la forme convenable  pour recevoir le relieur en hélice. Lorsqu'on  a déplacé la poignée A en avant, de manière  que les vis de réglage 31, 31 viennent en       engagement    avec les plongeurs à ressort 33,  33, comme le montre le contour pointillé de  la     fig.    11, ces plongeurs sont abaissés, déter  minant ainsi le     coulissage    du corps de serrage  34 dans le guide 35, 35 et amenant le sabot  36 en engagement avec le dessus du bloc D.

    Ainsi, à la fin du mouvement avant de la poi  gnée     -1,    les feuilles du bloc auront été dispo  sées de manière que les trous de celui-ci soient  à la forme convenable pour recevoir le relieur  en hélice et les feuilles du bloc ainsi arran  gées sont. serrées     dans        leurs    positions de ré  glage sur la table 23 de la. machine par le  sabot 36 du corps de serrage 34. La poignée  A est. alors déplacée en arrière par l'opéra  teur pour retirer les doits de mise en posi  tion 29 des trous du bloc et, pendant ce       mouvement    arrière, les     doigts    29 s'élèvent à  travers les fentes 45 du sabot 36.

   En raison  du fait que le bloc est serré en position, de  manière que les surfaces internes des trous  du bloc soient relativement fixes, les doigts  29, pendant leur mouvement extérieur ou de      retour étant dirigés dans le sens du pas des  trous, déplacent latéralement le chariot, dont  la poignée fait partie, contre l'action du res  sort 25, celui-ci ramenant aussitôt le chariot  à sa position normale après que les crochets  se sont détachés     des    trous du bloc.

      Le déplacement arrière de la poignée     t1     fait aussi venir un bras d'actionnement 46  (fig. 1 et 19) assujetti fixement à l'extré  mité de gauche de l'arbre C quand on re  garde la fig. 1, en engagement avec l'extré  mité     libre    d'un levier de départ 47 monté à  pivot en 47' sur un bâti latéral de la machine,  pour déclencher l'avancement et la conforma  tion du fil, comme il a été expliqué précé  demment. Lorsque le levier de départ 47 a  été poussé en avant par la poignée A à l'aide  du bras 46, il déplace un levier 48 qui est  monté à pivot entre     ses    extrémités sur les  consoles 49 et est relié par son extrémité exté  rieure au levier 47 au moyen d'une biellette  50.

   L'autre extrémité ou extrémité intérieure  du levier 48 porte un coin 51 (fig. 1) qui  commande la mise en action d'un embrayage  à broches de construction courante, tel que  représenté par exemple en fig. 16, désigné de  manière générale par le chiffre 52. Le dépla  cement du levier 48 provoqué par le mouve  ment avant du levier 47 fait retirer le coin 51  (qui est semblable au coin 51' de la fig. 16,  mais placé en un endroit différent par rap  port à l'embrayage 52), hors du trajet d'une  oreille d'arrêt 53 montée sur une broche 54  disposée sur l'organe mâle 58 de l'embrayage  52. La broche 54 est normalement poussée par  un ressort 55 vers la plaque femelle d'em  brayage 56 qui est montée à rotation sur un  arbre à came principal 59 et comporte un cer  tain nombre d'entailles 57 propres à recevoir  l'extrémité extérieure de la broche 54.

   Lors  que cette broche repose dans une entaille 57,  l'organe femelle 56 de l'embrayage 52 est  réuni à l'organe mâle 58 de cet embrayage et  à l'arbre à came principal 59 auquel est atta  ché fixement l'organe mâle d'embrayage 58.    A l'organe femelle 56 est assujettie fixe  ment une roue hélicoïdale 66 montée à rota-         tion    sur l'arbre 59, laquelle roue est en prise  avec une vis sans fin 65 assujettie à un arbre  transversal 63. Cet arbre 63 est monté à ses  extrémités dans des paliers disposés sur la  boîte 64 de l'engrenage réducteur et est relié  à un moteur 60 (fig. 1) qui est monté sur le  bâti de la machine à l'aide d'une poulie 62  assujettie à cet arbre et reliée par une cour  roie 61 à une poulie portée par l'arbre du  moteur 60.

   On voit ainsi que, quand la broche  54 s'engage dans une entaille 5 7 de l'organe  femelle d'embrayage 56, l'arbre 59 est. relié  au moteur 60 par la roue hélicoïdale 66, la  vis sans fin 65, l'arbre 63, la poulie 62 et la  courroie 61, et est mis en rotation au moyen  de ces connexions. La rotation de l'arbre 59  fait tourner une série<B>(le</B> cames assujetties à  lui, après quoi .différents mécanismes com  mandés par ces cames sont mis en action.  



  Revenant au coin 51, on voit que celui-ci  est. en engagement avec l'oreille 53 an départ  de chaque cycle d'opérations de la machine  et pendant cet engagement la surface de came  maintient, par l'oreille 53, la broche 54 pres  sée     élastiquement    dans la position de retrait  avec son extrémité extérieure hors de prise  avec l'entaille 5 7 de l'organe femelle d'em  brayage, supprimant ainsi la liaison de l'arbre  à came 59 avec le moteur 60.

   Lorsque le  levier 47 est actionné lors de la poussée de  la poignée<B>A</B> en arrière pour retirer le coin  51 hors du trajet de l'oreille 53, la broche     5.1     est libre de s'engager dans une entaille asso  ciée 57 pour relier l'arbre 59 dans la position  d'entraînement par le moteur 60 et faire com  mencer par cet arbre son mouvement de rota  tion, cet arbre tournant d'un tour complet  pour chaque cycle d'opérations de la machine.

    Dès que l'oreille 53 se déplace au-delà du coin  retiré 51, celui-ci revient à sa position nor  male d'avancement où il se trouve encore sur  le trajet de l'oreille 53 par le fait que la poi  gnée     d'actionnement    A, après cette opération,  est ramenée à sa position de départ,     relâchant     ainsi la pression du bras     d'actionnement    46  sur le levier 47. Lorsque l'arbre 59 tourne,  l'oreille 53 vient en prise avec le second coin  51' représenté en     fig.    16 et est mise en posi-      tion par le coin 51 suivant un angle d'envi  ron 90  de l'organe mâle d'enclenchement 58.

    Si le coin 51' n'a pas été retiré, l'oreille 53  sera poussée, par la face de came du coin 51',  vers l'extérieur contre la tension de son res  sort associé 55, séparant la broche 54 de l'en  taille en prise 57 et supprimant 1a liaison  d'entraînement de l'arbre 59 avec le moteur  60. Pendant cette rotation initiale clé 90  de  l'arbre 59, certaines des cames montées sur  cet arbre font entrer en action certains méca  nismes.

      Les cames montées sur l'arbre 59 compren  nent une paire (le cames du dispositif de ser  rage 70, 70, une came 71 d'actionnement du  couteau, une came 72 élévatrice du couteau et  une came 73 clé commande du rouleau d'ame  née. lia première de ces cames entrant en  action pendant le mouvement rotatif de  l'arbre 59 est la came 73 qui commande l'ac  tion des rouleaux d'amenée 7 et 8 pour four  nir le fil 1 de la bobine 2 à la matrice 10 et  amener la partie de ce fil conformée en hélice  aux trous du bloc D. Les rouleaux d'amenée  sont entraînés continuellement pendant l'opé  ration de la     machine,    mais sont normalement  dans la     position    (le séparation, de manière à  être inactifs pour fournir le fil à la matrice  de conformation 10.

   Le mouvement rotatif est  communiqué au rouleau d'amenée 7 à partir  du moteur 60 (fig. 1) qui, comme il a été  expliqué, est relié à l'arbre transversal 63  par la courroie 61 et la roue de poulie 62.    Sur l'arbre 63 est assujetti un engrenage  74 qui engrène avec un engrenage 75 monté  à rotation sur une     fusée    76     assujettie    par une  extrémité clans un     bossage    77 ménagé sur la  boîte d'engrenage 64, comme il est représenté  plus clairement en fig. 3. L'engrenage 75 est  solidaire d'une poulie 78 qui porte l'extrémité  supérieure d'une courroie 79 (fig. 1 et 3),  l'extrémité inférieure de celle-ci étant portée  par une poulie 80 montée sur un arbre trans  versal 81 monté à rotation sur un palier 82  (fig. 2).

   L'arbre 81 porte aussi une poulie à  cône 88 qui est reliée au moyen d'une cour  roie 89 à une poulie à cône 90 disposée sur    l'arbre 91 auquel est relié le rouleau d'ame  née 7.  



  Par ce mécanisme, le rouleau d'amenée 7  est maintenu en liaison constante avec le mo  teur 60 et est ainsi entraîné continuellement  pendant la marche de celui-ci. Le mouvement  rotatif continu est     communiqué    an rouleau  d'amenée 8 à partir de l'arbre 91 au moyen  d'un engrenage 92 qui est monté sur cet arbre       e1:    qui engrène avec l'engrenage 93 assujetti  à l'arbre     9.1    auquel est assujetti aussi le rou  leau d'amenée 8, comme il est représenté plus  clairement en     fig.    7.

   Pendant le     mouvement.     rotatif des rouleaux d'amenée 7 et 8, une ten  sion équilibrée sur les deux courroies 79 et  89 est obtenue par le montage de l'arbre 81       sur    le palier de support 82 qui est en forme  clé levier coudé.     Comme    le montre plus claire  ment la     fig.    1, un bras de support 82 est  tendu par un ressort 83 qui est relié à un  montant réglable 84 et l'autre bras de ce  support est relié au point 86à une extrémité  d'une biellette 85 qui est supportée à son  autre extrémité par une console 87 fixée au  bâti de la. machine.

   Le montant     8.1    est relis  aussi de manière réglable par sa partie 84' à  la biellette 85 et supporte rigidement l'extré  mité libre de la biellette 85 dans sa position  réglée. Ainsi, la tension initiale appliquée aux  courroies 79 et 89 est obtenue par     l'interiué-          diaire    du montant réglable 84 et de la     biel-          lette    85, tandis qu'une     tension    égalisatrice est  appliquée par l'intermédiaire .du ressort 83.  



       L'actionnement    de la came 73 met en  action le mécanisme qui rend actifs les rou  leaux     d'amenée    7 et 8 à rotation continue  pour fournir le fil à la matrice de conforma  tion 10 pendant une période suffisante pour  réaliser la. conformation et l'enfilage à     travers     le bloc D d'un relieur en hélice de longueur  prédéterminée.

   Au moment du départ du  cycle d'opérations et avant que l'arbre 59 soit  mis en rotation de la manière expliquée pré  cédemment, la came 73 est à la position repré  sentée en fi-. 2, avec un rouleau de came 95  reposant sur     mie        partie    de la came immé  diatement avant la partie de surface éléva  trice ou surface externe de la partie 73' en      forme de dent de la came, étant entendu que  la came 73 tournera dans le sens de la flèche  indiquée sur cette came.  



       Lorsque    l'arbre 59 commence son mouve  ment rotatif, la surface élévatrice de la partie  de came 73' se déplace dans le sens indiqué  par la flèche et fait rouler le rouleau de came  95 en montant sur cette surface, élevant ainsi  ce rouleau de came et la biellette 96, disposée  verticalement, et sur laquelle il est pivoté. La  biellette 96 est munie à son extrémité infé  rieure     d'une    partie fourchue qui chevauche  une partie réduite 98 (fig. 16) d'un collier  99 monté sur l'arbre 59 près de la came 73,  de sorte que cette extrémité fourchue 97 de  la biellette 96 est limitée avec coulissement  entre le collier 99 et la came 73.

   L'extrémité  supérieure de la biellette 96 est articulée à  l'extrémité extérieure d'un levier 100 dont  l'autre extrémité est supportée à rotation et  à coulisse sur un arbre 101 qui est lui-même  supporté à coulisse dans un palier 102.  



  Comme le montre plus clairement la fig. 8,  l'arbre 101 est, muni entre le levier 100 et un  second levier 103 monté aussi à pivot sur cet  arbre, d'une partie élargie de forme rectangu  laire 104 disposée pour être redue dans des  évidements ménagés dans les faces opposées  des extrémités formant moyeux des leviers  100 et 103 et relier ainsi ces leviers ensemble,  de manière     qu'ils    fonctionnent à la faon d'un  levier coudé sur l'arbre 101. Les fentes prati  quées dans les moyeux des leviers 100 et 103  s'évasent chacune vers leurs extrémités exté  rieures pour permettre aux leviers d'être dé  placés par rapport à la partie élargie 104.  Ainsi, le levier 100 est en mesure d'être dé  connecté de la partie 104 et de tomber lorsque  la came 73 a tourné au-delà de son point le  plus haut.

   Le levier 103, cependant, restera  dans sa position de déplacement pendant la  période où la biellette 96 et le levier 100  reviennent à leurs positions normales et jus  qu'à ce que le levier 103 soit déplacé davan  tage pour revenir à sa position normale de  repos, d'une manière qui sera décrite plus  complètement ci-après.

      L'élévation de la biellette 96 fait que les  leviers 100 et 103, qui sont à ce moment réunis  par la partie servant de clavette 104 de  l'arbre 101, tournent dans le sens des aiguilles  d'une montre, en regardant la fig. 2, et dé  place ainsi une biellette 105, reliée à l'autre  extrémité du levier 103 (fig. 2, 7 et 8), lon  gitudinalement vers le     devant    de la     machine.     La biellette 105 est reliée à son extrémité  avant, par un joint universel 106, au levier  de commande 107 qui, comme le montre plus  clairement la fig. 7, est articulé entre ses  extrémités au point désigné par 108 et porte,  à son extrémité avant un rouleau de came  109.

   Ainsi, lorsque la biellette 105 est dépla  cée vers le devant de la machine, le levier  107, par la connexion à joint universel 106,  sera amené à pivoter autour du point 108 vers  la position indiquée en pointillé (fig. 7) et  amène ainsi le rouleau de came 109 porté par  lui à venir en engagement avec l'organe (le  came 110 et à le presser contre lui, cet organc  étant disposé sur l'extrémité libre d'un levier  111 pour faire déplacer celui-ci à la position  indiquée en pointillé (fig. 7) autour de son  pivot 112. Le levier 111, près de son extré  mité à pivot, porte une saillie 113 en forme  de came qui est normalement en engagement  avec la face adjacente d'un bloc 114 monté à  coulisse dans un guide 115, l'engagement du  bloc 114 avec la saillie de came 113 étant  maintenu au moyen du ressort 116 (fig. 8).

    Le bloc 114 porte l'arbr e 91 sur lequel est  monté le rouleau d'amenée 7.  



  Il est évident, d'après     -ce    qui précède,     que     l'élévation de la biellette 96 par la     eaine    ï     ï     et le déplacement résultant du levier 111 à. la  position en pointillé représentée en.     fig.    7 font  que la saillie de came 113 pousse le bloc 114  à gauche, quand on regarde les fi.-. 7 et 8, à  l'encontre de la tension du ressort 116, por  tant ainsi l'arbre 91. et le rouleau d'amenée 7  ver- le rouleau d'amenée 8 monté sur l'arbre  94 et mettant ces rouleaux en état de coopé  rer pour fournir le fil.     vers    la. matrice 10 de  conformation de l'hélice.

   Le pivot 11? du  levier 111 comprend une goupille qui passe  en travers d'un bloc 117 monté     dans    le che-      min de guidage du guide 115. Le bloc 117  est assujetti en position de manière réglable  dans ce guide au moyen d'un organe à vis  réglable 118 qui passe à travers la fermeture  terminale adjacente du guide 115 et est mu  nie d'un écrou d'arrêt qui s'engage contre la  face externe clé cette fermeture, l'extrémité  saillante clé l'organe 118 étant pourvue d'un  volant à main par lequel peut être obtenu le  réglage de cet organe. Avec cette construc  tion, il est possible, cependant, d'effectuer  un réglage de l'amplitude du mouvement du  bloc 114 et, par conséquent, du rouleau d'ame  née 7 pour tenir compte d'épaisseurs varia  bles du fil à fournir à la matrice de confor  mation 10.

      Au moment où les deux rouleaux d'ame  née 7 et 8 ont été mis ainsi en état de coopé  rer pour saisir le fil et le fournir, la came  73 aura été tournée par l'arbre 59 à son point  le plus haut, clé sorte qu'aussitôt après le  rouleau de came 95 et la biellette 96 retom  bent à leurs positions normales, le rouleau de  came 95 venant en engagement avec la partie  de cane e 73 en arrière \clé la partie 73' de  celle-ci en forme (le dent. Avec le retour de  la biellette 96, le levier 100 revient de même  à sa position normale la plus basse.

   Comme  il a été dit précédemment, le mouvement de  retour du levier 100 est rendu possible à  cause (le la forme de sa liaison avec la partie  servant de clavette 104 de l'arbre 101, le  levier 100 étant relâché de cette partie 104  et interrompant ainsi sa liaison positive avec  l'arbre 101 et par conséquent avec le levier  103.  



  Le levier 103 non seulement amène les  rouleaux 7 et 8 en état clé coopération clé la  manière décrite ci-dessus, mais encore met en  marche un dispositif compteur pour régler la  durée de la période pendant laquelle ces rou  leaux restent en coopération en mène temps  que les rouleaux d'amenée 7, 8 commencent à  fournir le fil à la matrice de conformation 10.  Le dispositif compteur comprend un montant  l33 (fig. 7 et 9) monté sur le levier 107 qui  est, comme il a été expliqué, commandé par    le levier 103 à l'aide de la biellette 105 et du  joint universel 106.

   Le montant 133 porte un  rouleau 132 rotatif sur son extrémité supé  rieure, lequel est disposé pour venir en enga  gement avec la surface inférieure d'un sabot  131 prévu sur l'extrémité extérieure d'un  levier 130 qui est supporté à pivot entre ses  extrémités en 129 sur une paire d'oreilles ver  ticales espacées, formées sur une console 126  assujettie au bâti de la machine. L'autre  extrémité du levier 130 repose sur l'extrémité  supérieure d'un arbre 128 disposé verticale  ment, qui est. monté à coulisse et à rotation  dans une paire de bras clé support ménagés  sur la console de support 126 et est poussé  normalement à sa position la plus élevée au  moyen d'un ressort hélicoïdal reposant entre  le bras de support inférieur et une bobine 127  assujettie à l'arbre 128 entre ces bras.

   L'extré  mité inférieure de l'arbre 128 est munie d'un  plateau d'embrayage 124 disposé pour s'en  gager contre un plateau d'embrayage 123  monté sur l'extrémité supérieure d'un arbre  qui est monté à rotation dans une boîte de  palier fermée 122 supportée par le bâti de  la machine. A l'arbre portant le plateau 123  est assujettie aussi une roue hélicoïdale 121  qui est en prise avec une vis sans fin 120 dis  posée sur l'arbre 94 du rouleau d'amenée,  comme le montre clairement la fig. 7. Comme  l'arbre 94 tourne continuellement, la vis sans  fin 120, la roue hélicoïdale 121 et le plateau  d'embrayage 123 sont mis en rotation     con-          tinue.illue.     



  On voit clone que quand le rouleau 132 du  montant 133 vient en prise avec Je sabot 131,  le levier 130 pivote an point 129 pour dépla  cer l'arbre 128 vers le bas d'une quantité suf  fisante pour amener le plateau 121 en prise       a@-ec    le plateau l23. Le montant 133 est. monté  sur le levier 106 de telle manière due la prise  des     deux    plateaux 123, 1-1 a lieu en même  temps que les     rouleaux    d'amenée 7 et     S    sont       J    e     rmés    par la saillie 113 du levier 111 et     com-          melicelit    la     fourniture    du fil à la.

   matrice de       conformation.    Comme le plateau     d'embrayage          'l   <B>23</B> est mis en rotation continue par l'arbre  9', lavis sans fin 120 et la roue hélicoïdale      121, l'accouplement des deux plateaux 123,  124 entraîne l'arbre 128 en rotation.  



  Le plateau d'embrayage 124 présente, sur  sa surface périphérique supérieure, une rai  nure cireulaire 134 (fig. 7 et 9) qui est de  section en T et à l'intérieur de laquelle est  mise en position à coulisse la tête d'un boulon  135' en T qui porte par un filetage un bouton  ou poignée 135. Le boulon 135' et le bouton  135 peuvent être déplacés dans la rainure 134  en T à toute position désirée en dévissant  d'abord le bouton 135, puis en déplaçant à la  main ces éléments. Toutefois, lorsque ces  pièces sont convenablement réglées, elles sont  assujetties     fixement    en position par rapport  à la rainure en T par vissage du bouton 135  vers le bas contre la surface supérieure du  plateau d'embrayage 124.

   La position du bou  lon 135' et du bouton 135 sera déterminée par  l'espace de temps pendant lequel les rouleaux  d'amenée 7 et 8 doivent coopérer. Dans le  mouvement rotatif du plateau d'embrayage  124, le bouton 135 est déplacé en sens inverse  des aiguilles d'une montre, quand on regarde  la fig. 7, et est amené en engagement avec  l'extrémité extérieure d'un bras oscillant libre  136 (fig. 7) qui est monté à rotation à son  autre extrémité sur l'arbre 128. Le bras oscil  lant libre 136 est relié au levier 107 au moyen  d'une biellette 137 qui est reliée par une  extrémité à l'extrémité extérieure de ce bras  oscillant libre et par son autre extrémité à  l'extérieur d'un prolongement 138 disposé sur  le levier 107.  



  Ainsi, l'appui du bouton 135 sur le bras  oscillant libre 136 fait tourner celui-ci en  sens inverse des aiguilles d'une montre, quand  on regarde la fig. 7, pour faire déplacer la  biellette 137 vers la gauche, quand on regarde  cette figure, et faire ainsi tourner le levier  107 en sens inverse des aiguilles d'une montre  autour de son pivot 108 en arrière vers sa  position normale ou de départ.  



  L'extrémité libre du levier 107 porte, reliée  en un point adjacent au joint universel 106  et de préférence à ce joint, comme le mon  trent les fig. 7 et 9, une extrémité d'un ressort  139 qui est relié par son autre extrémité à    l'extrémité libre du levier 111. Par cette dis  position, le ressort 139 est disposé sur un côté  du pivot 108 du levier 107 dans les positions  normales de départ des leviers 107 et 111.  Mais lorsque le levier 107 oscille dans le sens  des aiguilles d'une montre à la position en  pointillé de la fig. 7 de la manière expliquée  ci-dessus, le ressort 139 oscille pareillement  dans le même sens, de sorte qu'il est mis en  position de l'autre côté du point pivot 108  et dans cette position le ressort est tendu et  se trouve sous une tension     accrue.     



  Ainsi, lorsque le levier 107 revient à sa  position normale sous l'influence de la     biel-          lette    137, du bras oscillant libre 136 et du  bouton 135, le ressort 139, dès qu'il a été ra  mené au-delà du pivot 108, commencera par  une action brusque à amener immédiatement  le levier 107 à sa position normale de départ.  Comme résultat de cette action, il se produit  un relâchement immédiat de la pression exer  cée par le rouleau de came 109 sur l'extré  mité libre du levier 111, ce qui permet au  levier 111 de revenir à sa position normale  de départ.

   En revenant à sa position de dé  part, le levier 111 à son tour retire la saillie  de came 113, relâchant ainsi la pression de  celle-ci sur le bloc 114 et permettant au res  sort 116 de déplacer ce bloc vers la droite,  quand on regarde les     fig.    7 et 8. Le déplace  ment du bloc 114 par le ressort 116 sépare  les deux rouleaux d'amenée 7 et 8 de leur  entraînement et les rend inactifs pour conti  nuer la fourniture du fil à la matrice de con  formation 10.  



  Le mouvement de retour du levier 107 fait  aussi que le rouleau 132 quitte l'extrémité  d'entrée du sabot 131, permettant ainsi à  l'extrémité libre du levier 130 de retomber à  sa position normale par son propre poids. Le  retour du levier 130 à. sa position normale fait  que son autre extrémité déplace l'arbre 128  pour couper     l'entraînement    entre les plateaux  d'embrayage 124 et 123. A l'arbre<B>128</B> est  assujettie, entre les deux bras de     paliers    espa  cés disposés sur la console 126, une bobine<B>127</B>  munie d'un ressort hélicoïdal qui est attaché  à la console 126, de telle sorte qu'il s'enroule      lorsque le plateau d'embrayage 121 tourne en  sens inverse des aiguilles d'une montre, quand  on regarde la fig. 7, pendant la période de  fourniture des rouleaux 7 et 8.

   Lorsque le  plateau 124 est relâché du plateau 123, toute  fois, le ressort hélicoïdal tendu ramène immé  diatement le plateau 124 et, par suite, le bou  ton 135 à leurs positions de départ pour le  commencement d'un nouveau cycle d'opéra  tions, tel qu'il a été décrit précédemment.  



  Lorsque l'arbre 59 a tourné des premiers  90 , la came 73 a été tournée à une position  où le rouleau de came 95 et, par suite, la  biellette 96 ont été libres de retomber à leurs  positions normales, comme il a été expliqué  précédemment. A la fin de cette partie du  cycle de l'arbre 59, l'oreille 53 est venue en  engagement avec le second coin 51' (fig. 15),  ce qui retire l'oreille 53 contre la tension de  son ressort 55, enlevant ainsi la broche 54 de  son entaille 57 dans laquelle elle était engagée  dans l'organe d'embrayage femelle 56 et libé  rant l'arbre 59 de son entraînement par le  moteur 60.

   Cette opération a lien en même  temps que les rouleaux d'amenée 7 et 8 ont  commencé la fourniture du fil à la matrice de  conformation 10 et l'arbre 59 restera libéré  du moteur 60 pendant toute la période de  fourniture des rouleaux 7 et 8 et jusqu'à ce  que le levier 107 ait été ramené à sa position  normale ou de départ par le mécanisme comp  teur décrit ci-dessus.  



  Lorsque le levier 107 a été ramené à sa  position normale, le mécanisme entre en jeu  pour retirer le coin 51' du trajet de l'oreille  53, permettant ainsi à la broche 54 de péné  trer dans une entaille 57 de l'organe d'em  brayage femelle 56 et rétablissant l'entraîne  ment de l'arbre 59 par le moteur 60. L'arbre  59 continue alors son mouvement rotatif sur  les 270  restant de son cycle, à la fin clé quoi  l'oreille 53 reviendra en prise avec le coin 51  pour séparer cet arbre du moteur 60.

   Pendant  les derniers 270  du mouvement de l'arbre 59,  la came 72 élévatrice du couteau entre en  action pour élever le mécanisme de coupe à la  position pour couper les extrémités du fil, la  came 71 d'actionnement du couteau fait agir    ce mécanisme de coupe pour couper les fils et  en même     temps    courber les extrémités coupées,  et les cames 70, 7 0 d'actionnement de serrage  entrent en jeu pour élever l'organe de ser  rage 36 du dessus du bloc, de manière à per  mettre à l'opérateur de l'enlever et de placer  un nouveau bloc en position pour le cycle     sui-          vaut    d'opérations clé la machine.  



  Le mécanisme pour relier de nouveau  l'arbre 59 au moteur 60, pour permettre aux  opérations ci-dessus d'être accomplies par les  cames 70, 70, 71 et 72, comprend un bras 140  à pivot qui est artieulé en 140' à la boîte  d'engrenage 64 et porte à son extrémité exté  rieure le coin 51', comme il est représenté plus  clairement en fig. 16. L'extrémité extérieure  du bras 140 est aussi reliée par une biellette  141 à un levier 142 qui est articulé entre ses  extrémités sur une console 143 placée au som  met de la boîte d'engrenage     6.1.    Le levier 142  est maintenu normalement     pour    placer le coin  51' sur le trajet de l'oreille 53 par un ressort.  114 monté dans un siège ménagé dans la con  sole 143.

   Le mouvement pivotant. du levier  142 contre la     tension    du ressort 144 pour reti  rer le coin     51.'    du trajet de l'oreille 53 est  effectué au moyen d'un sabot 115     (fig.    8) qui  est     disposé    sur l'autre extrémité du levier 142  et prévu pour être pris et abaissé par un rou  leau     1.16    disposé sur le côté inférieur de la  biellette 105 lorsque celle-ci est déplacée en  arrière à sa position normale lorsque le levier  107 est en train. d'être ramené à sa position  normale par le ressort 139.  



  Le rouleau 146 est pressé par ressort, de  sorte que, dans le mouvement avant du levier  105, la tête de celui-ci vient. en prise avec une  surface (le came ménagée sur le sabot.     1-15    et  est     repoussée    en arrière contre la tension de  ce ressort jusqu'à ce que le rouleau s'écarte  du sabot 145 à la fin du mouvement avant de  la biellette 105, le sabot 145 étant construit  de manière que, lors du mouvement arrière  de la     biellette    105, le rouleau 146 vienne en  prise avec la surface externe supérieure du  sabot. 115 pour l'abaisser, comme il a été expli  qué précédemment. Comme il a été dit, le re  trait du coin 51' permet à la broche 54 de      venir     s'engager    dans l'entaille 57 et de relier  ainsi l'arbre 59 au moteur 60.

   Lorsque l'arbre  59 tourne, la came 72 élévatrice du couteau  déplace une biellette 147 (fig. 3) en longueur  au moyen du rouleau de came 148 monté sur  cette biellette. La biellette 147 est pourvue  d'une extrémité fourchue qui chevauche  l'arbre 59 entre la came 72 et la boîte d'engre  nage 64 et à son autre extrémité elle est reliée  à une barre 152 qui est supportée sur les  extrémités extérieures de deux bras oscillants  149, 149. Les autres extrémités de ces bras  sont assujetties à un arbre oscillant 153 qui  est supporté à rotation dans des paliers 150,  150 reliés aux bâtis latéraux de la machine,  comme le montre plus clairement la fig. 1.

    A la barre 152 sont reliées fixement des     biel-          lettes    espacées désignées par 151, qui s'éten  dent vers le haut à partir de la barre 152 et  sont reliées à leurs extrémités supérieures à  la face inférieure d'une tablette 154. Le mou  vement de cette tablette 154 est limité au sens  vertical à l'aide de deux     guides    terminaux  155, 155 qui sont entaillés pour recevoir des       languettes    ménagées sur les extrémités exté  rieures de la tablette 154.  



  On verra donc que, quand la came 72  tourne, la biellette 147 est déplacée longitudi  nalement dans une direction ascendante par  sa connexion avec la came au moyen du rou  leau de came 148, faisant ainsi tourner la  barre 152 et les bras oscillants 149 en sens  inverse des aiguilles d'une montre quand on  regarde la fig. 3, élevant ainsi les biellettes  151 pour élever la tablette 154 de sa position  la plus basse dans les guides 155. Lorsque la  tablette 154 est élevée, elle élève une paire  d'éléments de coupe et de courbure qui sont  indiqués de manière générale en fig. 1 et 3  par le chiffre 156 et sont montés à coulisse  sur le bâti de la machine, comme il sera expli  qué plus complètement ci-après.  



  La came 72 présente une surface 72' qui  est concentrique à l'arbre 59 et fait rester la  tablette 154 dans sa position la plus élevée  pendant une période prédéterminée pendant  que l'arbre 59 et la came 72 sont mis en rota  tion. Pendant cette période de stationnement,    la came 71 vient en action pour actionner les  dispositifs de coupe et de courbure 156 pour  couper le fil en hélice conformé et, immédiate  ment après, courber les extrémités du fil en  dedans, achevant ainsi la formation     du    fil  hélicoïdal de reliure et empêchant que le re  lieur en hélice ne se sépare du bloc.  



  La came 71 est prise par un rouleau de  came 157 (fig. 3) qui est monté sur Lin bras  158 entre les extrémités de celui-ci. Le bras  158 est relié à pivot par une extrémité à une  oreille 159 ménagée sur la boîte d'engrenage  64 et est relié par son antre extrémité à  l'extrémité inférieure d'une biellette 160 dis  posée à peu près verticalement. L'extrémité  supérieure de la biellette 160 est reliée à  l'extrémité avant extérieure d'un bras 161  assujetti fixement à une barre carrée 162, di  rigée longitudinalement à la machine. Les  extrémités de la barre 162 sont de forme  cylindrique et sont montées à rotation dans  des paliers portés par le bâti de la machine.  



  Entre les extrémités de la barre 162 se  trouve une paire de leviers réglables 163  (fig. 3 et 4) dirigés vers l'arrière de la ma  chine, de manière que leurs extrémités exté  rieures soient en position au-dessus de la ta  blette 154. Les leviers 163 sont écartés d'une  distance à peu près égale à la largeur du bloc  à relier.

   On voit ainsi que lorsque la came 71  approche de son point élevé, pendant la. pé  riode de stationnement de la tablette 154, le  bras 158 est mis en rotation vers le haut  autour de son pivot 159 pour élever la     biel-          lette    160, et faire pivoter le     bras    161 vers le  haut et tourner l'arbre 162 en sens inverse  des aiguilles d'une montre, quand on regarde  la     fig.    3, et abaisser ainsi les extrémités exté  rieures des leviers 163 qui, pendant ce mou  vement vers le bas, actionnent les     niécaiüs,.nes     de coupe 156 associés à. eux.  



  Les dispositifs de coupe 156,     comme    on le  voit plus clairement en     fig.    12 à 14, compren  nent un corps 165 présentant sur sa face  avant une fente en     queue    d'aronde 166 qui  s'étend transversalement à. la planchette     15-1     et s'incline sur la verticale suivant     Lui    angle  correspondant à l'angle de pas de l'hélice.      Dans la fente 166 est monté à coulisse un  bloc 167 en queue d'aronde avec lequel est  formée solidairement une partie de bloc cou  lissante 168 s'étendant transversalement an  bloc 167.

   La partie 168 de cet organe est mon  tée à coulisse dans un chemin de guidage 169  dirigé longitudinalement et ménagé dans une  partie descendante 170 (fig. 11) prévue le  long du bord arrière de la table de travail.  Ainsi, l'élément (le coupe 156 peut être dé  placé le long de la table par le déplacement  de la partie de bloc 168 clans le chemin de  guidage 169 et le corps 165 peut être déplacé  dans une direction transversale inclinée par  rapport au chemin de guidage 169 au moyen  du bloc 167 coulissant dans le chemin 166.  



  Les dispositifs de coupe 156 sont placés à  chaque extrémité du bord de reliure du bloc  et, lorsqu'ils ont été convenablement disposés  pour les opérations à effectuer, ils sont assu  jettis dans cette position par tous moyens  appropriés tels que les vis de réglage 171.  Le mouvement incliné ascendant du corps 165  de ces éléments pour amener les dispositifs de  coupe et de courbure portés par eux en con  tact avec le relieur en hélice enfilé dans le  bloc est obtenu par la prise de la tablette 154  par les têtes des vis de pression réglables 165',  165' vissées dans les extrémités du bas du  corps 165 de ces éléments, comme il est repré  senté clairement en fig. 11.  



  Un organe ou prolongement 30 est     soli-          claire    de l'extrémité supérieure du corps 165  de chaque élément. Ce prolongement 30 est  sensiblement parallèle à la ligne centrale lon  gitudinale de la fente 166. Le prolongement  30 est de section sensiblement triangulaire,  dont la face avant en coin est propre à péné  trer entre les spires de l'hélice dans le mouve  ment ascendant du corps 165 du dispositif de  coupe 156 sous l'action de la tablette 154, de  manière à ne pas déranger les parties du fil  en hélice qui s'étendent en arrière à partir     du     bord de reliure du bloc.

      A l'autre extrémité de la partie supérieure  du corps 165 de chacun des dispositifs de  coupe est prévu un prolongement 181, dirigé    vers le haut, qui est pourvu sur sa face avant  d'une paire d'organes de guidage 179 et 180  disposés pour passer de chaque côté d'une des  spires du fil dans le mouvement ascendant du  corps 165 du dispositif de coupe. Les extré  mités supérieures des organes 179, 180 sont  chanfreinées ou évasées pour permettre l'accès  facile de la spire entre ces organes, et. les corps  de ces     organes    sont écartés d'une distance dé  passant légèrement le diamètre du fil, de  sorte que la spire s'adapte facilement entre  eux sans jeu excessif. A la fin du mouvement.

    ascendant du corps 165 du dispositif, les deux  organes 179 et 180 sont placés près de l'extré  mité supérieure de la spire avec la partie  supérieure de la spire entre ces organes, les  extrémités inférieures de ces organes étant  placées en un point situé au-dessus de l'axe  de la spire, comme le montre la     fig.    13.  



  Directement en dessous de l'organe 180 est  assujettie au corps 165, par exemple par des  vis de réglage 171, une lame fixe<B>1.73</B> du dis  positif de coupe. Cette lame et l'organe de  guidage 180 sont alignés et s'étendent suivant  un angle sensiblement égal à l'angle de pas  de la spire. A. la lame fixe 173 du     dispositif     de coupe est associée une lame mobile ou cou  teau 175 placée normalement sous l'organe de  guidage 179 et qui est solidaire de l'extrémité  supérieure d'un bras 176 solidaire d'une par  tie de support. 176' passant à travers une  ouverture du corps 175 du dispositif et sup  portée à rotation dans cette ouverture.

   L'ex  trémité arrière de la partie 176' fait saillie à  l'extérieur au-delà de la surface arrière du  corps 165 du dispositif et porte, assujettie à  elle, une extrémité d'un bras 177 qui s'étend  le long de la partie supérieure du dispositif  et son extrémité libre fait saillie extérieure  ment sur un côté de celui-ci. Le bras 177 est  maintenu normalement dans sa position la  plus élevée, comme le montrent les     fig.    13 et  11, au moyen d'un ressort hélicoïdal 182 qui  est placé entre l'extrémité extérieure de ce  bras et un prolongement ménagé à l'arrière de  l'élément. A l'extrémité libre extérieure du  bras<B>177</B> est reliée à. pivot une bague allongée  descendante 178 à travers laquelle passe      l'extrémité extérieure d'un levier 163 (fig. 3  et 11).  



  Il est évident par ce qui précède que,  quand le levier 163 pivote vers le bas au  moyen de l'arbre 162, son extrémité libre s'en  gage avec l'extrémité inférieure de la bague  allongée 178 et pousse cette bague vers le bas,  faisant ainsi pivoter par le bras 177 la lame  mobile ou couteau 175 vers la lame fixe 173  et coupant la partie de l'hélice comprise entre  les surfaces coupantes de ces lames.

   Lorsque  la lame 175 continue son mouvement entre la  lame fixe 173 et l'organe de guidage ou en  clume 180, la partie de fil immédiatement     au-          dessus    du point de sectionnement est courbée  autour du bord inférieur gauche de l'enclume  180, quand on regarde la fig. 13, et étendue  en dedans vers les spires adjacentes du bloc,  de manière à être placée à peu près parallèle  ment à l'axe du fil en hélice, comme il est in  diqué par la partie terminale en pointillé dé  signée par l' en fig. 5.  



  Les deux dispositifs de coupe 156, 156 sont  sensiblement de construction pareille, sauf que  dans le dispositif de droite, quand on regarde  la fig. 4, la lame mobile est placée pour     ba-          laer    l'extrémité supérieure de la lame fixe,  comme le montre la fig. 13, de sorte que la  partie courbée en saillie vers l'intérieur est  reliée à une partie de spire s'élevant vers le  haut (voir la partie en pointillé désignée par  l' en fig. 5). Le dispositif de coupe sur la  gauche de la machine, quand on regarde la  fig. 4, comprend les dispositifs de coupe et de  courbure inversés, c'est-à-dire que les deux  organes de courbure sont placés sous les or  ganes de coupe et que leurs positions par rap  port au corps 165 sont interverties.

   Ceci est  représenté en fig. 15 où les organes de cour  bure 179' et 180' correspondent aux organes  de courbure 179 et 180, respectivement, repré  sentés en fig. 13, et les organes de coupe 173'  et 175' de cette figure correspondent aux  organes de coupe 173 et 175, respectivement,  représentés en fig. 13.  



  Référence étant faite plus particulièrement  à la fig. 15, on voit que l'organe de courbure  180' est placé sous la lame fixe 173' et en ali-    gnement avec elle, tandis que l'organe de cour  bure 179' est placé sous la larve mobile 175'  et en alignement avec elle. On remarquera  que les organes sont disposés de telle sorte  que la lame 175' se déplace en sens inverse des  aiguilles d'une montre, quand on     regarde     cette figure, au lieu de se déplacer dans le  sens des aiguilles, comme le fait la lame 175  représentée en fig.

   13 et, par suite, qu'elle  coupera et courbera le fil en sens opposé de  l'élément de la     fig.    13, de sorte qu'à la     tin     des opérations de coupe et de courbure, les  deux extrémités coupées et courbées du fil  seront placées en dedans des     extrémités    de la  pièce en hélice et seront dirigées l'une vers  l'autre. Au moment où ces opérations auront  lieu, le rouleau de came 148 aura traversé la  partie de came 72', terminant ainsi la période  de stationnement et permettant à la tablette       7.54    de     tomber    par son propre poids.

   Le corps  165 de chaque élément de coupe 156, toute  fois, est maintenu dans sa position élevée au  moyen d'un ressort de friction 183     (fig.        12')     qui est placé dans un évidement ménagé dans  la face interne de l'organe de guidage 167 et  porte contre la face adjacente du corps 165  du dispositif de coupe.  



  A la suite des opérations de coupe et de  courbure décrites ci-dessus, les deux cames  identiques 70, 70 montées sur les extrémités  de l'arbre 59 font     élever    le serrage 34 du bloc  par leur engagement avec les rouleaux de  came ménagés sur deux bras de leviers espa  cés 190 assujettis par leurs extrémités à une  barre ou arbre 191 s'étendant le long de la  machine et monté à rotation dans les paliers  1.92.

   Comme le montre     phis    clairement la       fig.    2, l'extrémité arrière ou libre de chacun  des leviers 190 est normalement poussée vers  le bas par un ressort de tension 194 relié par  son extrémité supérieure à l'extrémité libre de  son levier associé 190 au     moyen    d'une     biel-          lette    descendante 193 et par son     extrémité     inférieure à un ancrage réglable 195 disposé  sur le bâti de la machine.

   Les extrémités  libres des leviers 190 sont     aussi    reliées aux  extrémités     inférieures    de biellettes 196 dispo  sées à peu près verticalement, lesquelles, à      leurs extrémités supérieures, sont reliées à pi  vot aux broches de support 197 disposées à  chaque extrémité du corps 31 de serrage.  



  On voit ainsi que lorsque les extrémités  libres des leviers 190 pivotent vers le haut au  moyen des cames 70, 70, les biellettes 196  sont élevées à l'encontre de la tension de  leurs ressorts associés 194 pour élever le corps  de serrage 34 à une position où les organes  de maintien 33, 33 pressés par ressort et mé  nagés sur ce corps sont en mesure de se dé  placer vers l'extérieur sous la tension de leurs       ressorts        associés    et de venir en engagement  avec le dessus des guides 35, 35 qui suppor  tent à coulisse le corps de serrage et main  tiennent ainsi le corps de serrage dans sa po  sition levée.

   Dans la suite de la rotation de  l'arbre 59, les parties élevées des cames 70, 70       dépassent    les rouleaux associés avec les bras  de leviers 190, de sorte que, quand les organes  33, 33 pressés par ressort sont poussés par les  boulons filetés 31, 31, comme il a été expliqué  précédemment, le corps de serrage relâché 31  avec son mécanisme associé est libre de tom  ber à une position déterminée par l'épaisseur  du bloc de feuilles D placé sur la table.  



  Avec le corps de serrage 34 est élevée  aussi une barre d'amortissement et de guidage  198 (fig. 5 et 6) qui est articulée librement  au pied du corps de serrage au moyen de  deux bras terminaux solidaires 199, 199.  Lorsque le corps de serrage 34 est relâché par       l'abaissement        des    broches à ressort 33, 33, la  barre tampon ou amortisseuse 198 tombe en  position au-dessus du bord de reliure du bloc,  au-delà de la série de perforations pratiquées  dans celui-ci et en position pour être     au-          dessus    d'une partie de relieur en hélice lors  que celui-ci est introduit à travers le bloc.  



  L'organe amortisseur 198 comporte une  série de fentes 197 qui sont décalées dans le  même degré que l'angle de pas de l'hélice et  sont assez profondes pour que l'hélice, lors  qu'elle     est    introduite à travers le bloc, ne  vienne pas en contact avec les surfaces     in-          ternes    de ces fentes, mais avance librement au  travers.     Les    fentes sont chanfreinées à l'ar  rière pour permettre à l'extrémité avant de    l'hélice (le reliure de pénétrer librement dans  ces fentes progressivement à mesure qu'elle  est avancée à travers les perforations alignées  du bloc.

   L'organe 198 restera dans cette posi  tion sur le bord de reliure du bloc jusqu'à ce  que les éléments de coupe et de courbure 156,  156 soient élevés par la tablette 154; à ce  moment, les parties de guidage 30, 30 de ces  éléments prennent l'organe 198 et le bascu  lent vers le haut autour des bras 199. L'or  gane amortisseur 198 reste dans cette posi  tion de     basculement    sur les organes de gui  dage 30, 30 des éléments de coupe jusqu'à ce  que le sabot de serrage ait été élevé, après  quoi il est libre de retomber à une position  horizontale.  



  La machine comprend aussi un calibre  latéral 217 (fig. 2) pour mettre en position  correcte le bloc de feuilles sur la table, de  façon que les séries de perforations soient en  position convenable pour recevoir les doigts  en forme de crochet 29 lorsque la poignée  est     poussée        cri    avant par l'opérateur. Le     cali-          br    e latéral     21"i    est commandé par la. poignée  al à l'aide d'un bras     d'actionnement    200       (fig.    20) qui est assujetti par son     éxtrémité     supérieure au support. 20 associé avec l'élé  ment de poignée.

   L'extrémité inférieure des  cendante du bras 200 s'engage contre l'extré  mité supérieure d'un levier oscillant 201 qui  est monté à rotation sur l'arbre 153, l'extré  mité inférieure de ce bras oscillant étant re  liée à une extrémité d'une biellette 202 qui  est articulée par son autre extrémité à une  partie décalée ou bras 203 d'un levier coudé  205. Le levier coudé 205 est articulé au bâti  de la machine en 201. L'autre bras du levier  coudé est relié à l'extrémité inférieure d'une  tige réglable 206 qui s'élève à travers     Lui    sup  port<B>207</B> assujetti au bâti de la machine et.  est muni à son extrémité supérieure d'un joint  universel 209 qui     relie    cette extrémité de la  tige à un bras 210 d'un levier coudé.

   Sur la  tige 206 est disposé, entre le support<B>207</B> et  le joint universel 209, un ressort hélicoïdal  208 prévu pour maintenir normalement la  tige 206 et, par suite, les parties reliées men  tionnées clans la position représentée     cri         fig. 20. Le levier coudé 210 est articulé en 211  sur le support 212 monté sur le bâti de la  machine. Le bras 213 du levier coudé 210  s'étend vers le haut et est muni à son extré  mité libre d'un rouleau 214 qui est placé dans       une    entaille ménagée sur la face inférieure  du bloc 215. Ce bloc 215 s'étend à travers  une entaille 220 ménagée dans la table 221 et  à son extrémité supérieure, qui est de section  réduite, elle s'étend à travers une plaque cou  lissante 216.

   Cette plaque 216 est montée pour  le mouvement longitudinal dans une paire de  chemins ou plaques angulaires 218 (fig. 20)  qui forment des guides pour l'organe coulis  sant 216. L'extrémité avant de cet organe  porte la plaque 217 de calibrage de l'amenée.  



  D'après ce qui précède, on voit que quand  on fait pivoter d'abord la poignée A en avant,  le bras 200 porté par le support 20 s'engage  contre l'extrémité supérieure du levier oscil  lant 201 supporté librement et fait tourner  le levier en     sens    inverse des aiguilles d'une  montre, quand on regarde la fig. 20, pour  déplacer la biellette 202 reliée à l'extrémité  inférieure de ce bras oscillant en avant ou  vers la droite, comme le montre la fig. 22.  Le mouvement avant de la biellette 202 fait  pivoter le levier 205 autour de son pivot 204  en     sens    inverse des aiguilles d'une montre,  quand on regarde les fig. 20 et 22, en le  mettant à la position indiquée en fig. 22, où  il est arrêté dans une position de point mort  jusqu'à ce qu'il en soit déplacé comme on  l'expliquera ci-après.

    



  Le mouvement pivotant du levier coudé  205 tire la tige 206 vers le bas contre la ten  sion du ressort 208, faisant ainsi pivoter le  bras 210 du levier coudé, relié par le joint  universel à l'extrémité supérieure de la     biel-          lette    206, vers le bas autour de son pivot  211. Le mouvement descendant du bras 210  fait retirer par le bras 213 relié à lai, à l'aide  du rouleau 214, le bloc 215 et le coulisseau  216. La plaque de calibrage 217 montée sur  l'extrémité interne du coulisseau 216 est ainsi  retirée du bord adjacent 222 de la table 23  de la machine. Lorsqu'un bloc de feuilles est  placé sur la table 23, la plaque de calibrage    217 est dans sa position d'avancement total  à     Lune    distance prédéterminée du bord 222  de la table.

   Cette distance entre les deux  parties peut être réglée en tournant la vis  de calibrage 223, de façon que les perfo  rations du bloc à relier soient dans la posi  tion convenable pour recevoir facilement les  extrémités des doigts     \_'9    lorsque la     poignée     de commande est tournée en avant par l'opé  rateur.  



  Le mouvement avant de la poignée de  commande A retire la plaque de calibrage 217  hors de contact avec le bloc juste avant la  pénétration des crochets 29 clans les trous  du bloc, la distance de retrait de la plaque  de calibrage 217 étant de préférence au moins  égale au pas compris entre les spires adja  centes du relieur pour permettre aux Bro  chets 29 de déplacer les pages du bloc laté  ralement sans intervenir     darLs    la mise en  place des trous du bloc. Les positions dans  lesquelles ont été placés les organes     mention-          liés    ci-dessus, qui ont été actionnés par la.  poussée de la poignée 4 en avant, sont main  tenues pendant toute la. durée de l'amenée du  fil en hélice, la coupe et la courbure des  extrémités de ce fil.  



  Sur le levier oscillant 201 est. disposée  une goupille 225 qui peut s'engager dans une  fente ménagée dans un loquet 226 qui est  supporté à pivot entre ses extrémités sur     Lin     bras oscillant 227 assujetti à l'arbre 153     d'ac-          tionnement    de la tablette. Le loquet 226 est  normalement poussé vers une goupille d'arrêt  228 au moyen d'un ressort 229 qui est relié  par une extrémité au loquet 226 entre la  goupille 228 et son point de connexion à pivot  avec le bras 227 et par son autre extrémité  à un prolongement 230 assujetti à l'arbre  153.  



  L a position normale chi bras oscillant 201  avec le loquet et son mécanisme d'actionne  nient décrits ci-dessus est représentée en       fig.    20. Lorsque le bras oscillant 201 pivote  en 'sens inverse des aiguilles d'une montre  pour retirer la plaque de calibrage 217,  comme on l'a décrit ci-dessus, la goupille 225  a été déplacée vers la gauche à la position      représentée en fig. 22, la goupille et le bras  oscillant 201 qui la porte étant maintenus  dans cette position du fait que le levier condé  205 est arrêté au point mort, comme on l'a  expliqué précédemment.

   Lorsque l'arbre 153  est tourné pour élever la tablette 154, le bras  227 tourne en sens inverse des aiguilles d'une  montre, quand on regarde la fig. 20, pour  amener la fente du loquet 226 en prise avec  la goupille 225, mettant ainsi en position ces  parties, de telle sorte que, quand les opéra  tions de coupe et de courbure du relieur en  hélice sont achevées, les parties sont placées  pour être basculées, comme le représente la  fig. 22.  



  Lorsque la tablette 154 revient à sa posi  tion la plus basse, le bras 227, à l'aide de  l'arbre 153, est tourné dans le sens des       aiguilles    d'une montre, quand on regarde la  fig. 22, et, par la liaison du loquet 226 avec  la goupille 225, force le levier oscillant 201  à tourner dans le sens des aiguilles d'une  montre, autour (le l'arbre 153.

   Le levier coudé  205, par la liaison à biellette 202 avec le  levier oscillant 201, est ainsi tourné dans le  sens des     aiguilles    d'une montre au-delà du  point mort, après quoi le ressort sous tension  208 entre en jeu pour chasser brusquement  le bras 206 vers le haut, rétablissant ainsi  la plaque calibre 217, par le levier condé  210, le bloc 215 et le coulisseau 216, à sa  position     normale    avancée par rapport au  bord 222 de la table 23. La plaque calibre  217, par cette action, est rétablie à la position  de réception d'un nouveau bloc, ce bloc étant  placé debout par l'opérateur contre la face  avant de la plaque 217.  



  Le réglage (le la partie arrière de la table  de travail 23 dans le sens vertical est obtenu  par le réglage d'une molette 234 qui est  assujettie à l'arbre 235 passant en travers de  la largeur totale de la table le long de la  partie terminale arrière de celle-ci (fig. 17).  L'arbre 235 porte,     assujettie    à. lui en des  points espacés, une paire de vis sans fin 233  en prise avec des roues hélicoïdales 232 ren  fermées dans des évidements ménagés dans la.  partie de bord arrière de la table 23. Les    roues hélicoïdales 232 sont montées sur une  paire de broches de support 230     (fig.    17 et  18) qui descendent. sous la table et reposent  sur une partie fixe 231 du bâti.

   Les alésages  des roues hélicoïdales 232 comportent des ta  raudages dans lesquels se vissent des file  tages des broches 230. Ainsi, lorsqu'on règle  la. molette 234, le mouvement rotatif commu  niqué aux roues hélicoïdales 232 fait déplacer  les broches de support 230 le long de l'axe  de rotation de ces roues. Les broches 230  présentent des fentes longitudinales 236 dans  chacune desquelles pénètre une goupille 237  assujettie à la table et empêchant par cette  connexion les broches 230 de tourner avec les  roues hélicoïdales 232.  



  On voit ainsi qu'en manipulant la. molette  234, on peut régler l'extrémité arrière de la  table de travail par     rapport    à. la partie fixe  231 du bâti. dans un sens sensiblement verti  cal. L'extrémité de la table doit être réglée  à. une position telle que, quand on doit re  lier un     bloc,    de feuilles avec un relieur en  hélice de diamètre prédéterminé, le milieu du  bloc le long d'une ligne passant. par les cen  tres des séries de     perforations,    comme par  exemple la ligne indiquée par le chiffre 238  des     fig.    5 et 6, sera approximativement sem  blable à l'axe du relieur en hélice lorsque  celui-ci est amené au bloc de feuilles.  



  La. table 23 est placée entre deux parties  de table fixes 243, 243 et, comme le montre  plus clairement la     fig.    23, elle est articulée  à ces parties fixes à son extrémité avant au       moven    d'une paire de pivots 241, 241 qui font  saillie sur des prolongements 240, 240 ména  gés sur les extrémités avant de la. table 23  et pénètrent. clans des entailles 242, 242 d'une  paire de blocs 244 placés aux extrémités avant  des parties de table fixes 243, 243.  



  Les blocs 244, 244 sont faits en métal  durci et sont introduits dans des évidements  ménagés dans les extrémités avant des par  ties de table fixes 243, 243 près de l'extré  mité de la table 23. Les entailles 242, 242 des  blocs 244, 244 s'étendent. le long des parties  de table 243, 243 et permettent le mouve  ment des pivots 241, 241 par rapport à eux      pour permettre à la table 23 d'être déplacée  vers l'axe de la matrice d'hélice 10 ou d'en  être éloignée. Entre les extrémités de la table  23 et sur la face inférieure de la partie avant  de celle-ci est disposée une paire d'oreilles  descendante 246 et 247 entre lesquelles est  placé un étrier 248 qui est supporté à pivot  dans les oreilles 246, 247 à l'aide d'axes.

   A  travers le corps de l'étrier 248, et fixée à  celui-ci, passe l'extrémité d'une tige 249 d'un  organe de réglage, cette tige passant à tra  vers et étant vissée dans un bloc 250 qui est  assujetti à la partie fixe de la machine, par  exemple à la barre 251 qui est solidaire des  parties fixes 243, 243 de la table et s'étend  en travers du devant de la machine. Sur  l'extrémité extérieure de la tige 249 est dis  posée une roue à main 252 qui, quand on la  met en rotation pour faire tourner la tige  249, détermine des variations de réglage  comme entre le bloc 250 et l'étrier 248 et, par  suite, le réglage de la table dans le sens  avant et arrière par rapport à la tige 249.  



  Comme il a été expliqué précédemment,  les pivots 241, 241 supportant les extrémités  de la table sont montés à coulisse dans les  blocs de guidage 244, 244, de sorte que ce  réglage de la table peut s'effectuer facile  ment. De préférence, un écrou d'arrêt 253  ayant une poignée 254 est interposé entre la  roue à main 252 et le bloc 250, de façon que  l'opérateur, en tournant la poignée 254,  puisse arrêter la table dans sa position réglée.  



  Sur chaque côté de la partie arrière des  parties de table fixes 243, 243 fait saillie  une paire de supports 255, 255 (voir fig. 2)  à travers chacun desquels passe un organe  réglable 256 assujetti normalement à la po  sition fixe par rapport au support associé  255, par exemple par un écrou d'arrêt. Les  organes d'arrêt 256 ont chacun une tête élar  gie destinée à être prise par l'enveloppe ou  boîte E et qui sert de surface de support  pour cette enveloppe E lorsque la poignée de  commande A est déplacée en arrière pour  mettre en action le mécanisme d'amenée et  de courbure de l'hélice. Les surfaces de con  tact des têtes des organes 256 peuvent être    revêtues de caoutchouc ou finies autrement  pour réduire au minimum l'usure et le frotte  ment de l'enveloppe E sur ces organes.  



  Sur l'arbre 25 de la poignée est montée,  de manière à être concentrique aux doigts 2@,  une plaque 260 en forme d'arc (fig. 1, 3, 10  et 19) qui se déplace à l'unisson des crochets  29 lorsqu'on actionne la     poignée    de com  mande A. Sur le bâti de la machine est dis  posé un commutateur électrique 261 (fig. 1  et 19) qui, normalement, n'est pas pris par  l'organe 260 en forme d'arc dans les opéra  tions normales de la machine.

   Mais si les  crochets 29 ne pénètrent pas     convenablement     dans les trous du bloc, par suite d'une mau  vaise mise en place de celui-ci ou pour toute  autre raison, l'arbre 25 est déplace de sa po  sition normale, déplaçant ainsi l'organe en  arc 260 par rapport à l'axe de la     matrice     d'amenée et faisant que cet     organe    touche le  commutateur électrique 261 de façon à fer  mer celui-ci. Le commutateur 261 est placé  dans un circuit qui comprend un électro  aimant 262 (fig. 7 et 8)relié à l'arbre 101 et  à la partie élargie à clavette 104 de celui-ci  et commandant leur position, cette     partie     étant dans une position     comprise    entre les  moyeux entaillés et les leviers 100 et 103.  



  L'électro-aimant     26''    est relié à     l'arbre    101  par un levier 263 qui est supporté à pivot  entre ses extrémités sur un     support    264 assu  jetti à une partie fixe de la machine. On voit  donc que quand le     commutateur    261 est  actionné par suite de l'inaptitude des Bro  chets à pénétrer     convenablement    dans les  trous du bloc, l'électro-aimant. \362 est actionné  pour retirer l'arbre 101 de sa position nor  male, retirant ainsi la.

   partie     élarie    104  < 3  clavette hors de l'évidement du     levier    103 et       supprimant,    par suite, la liaison ri-ide  levier coudé entre les     leviers    7.00 et 103.

    Ainsi, lorsque la. biellette 96 et le levier 100  sont actionnés par la     came    73, ce     mouvement     n'est pas transmis au     levier    103 par suite de  la suppression de la liaison     opérative    entre  les leviers 100 et 103 et le mécanisme qui,  ordinairement, commanderait, les rouleaux  d'amenée pour fournir le fil, est maintenu à      l'état statique, de sorte due le cycle d'opéra  tions de la machine est achevé sans que le fil  soit fourni à travers le bloc.  



  A l'extrémité libre du levier 263 est dis  posé un rouleau 265 qui porte contre une  biellette 266 et commande le mouvement (le  celle-ci, biellette qui est reliée par une extré  mité au coin 51' et à son autre extrémité  comporte une fente 267 disposée pour rece  voir une goupille 268 placée sur une tige  ou biellette de poussée 96. Normalement, la  liaison entre la biellette 96 et le coin 51' est       interrompue    du fait que la fente 267 ne  remit pas la goupille 268, mais en est écartée,  comme le montre la fig. 8.

   Mais lorsque  l'électro-aimant 262 est actionné pour pousser  le     levier    263 dans le sens des aiguilles d'une  montre autour de son pivot 264, quand on  regarde la fig. 8, la roue 265, placée sur  l'extrémité extérieure du levier 263, cède pour  permettre à la fente 267 de recevoir et arrêter  la saillie ou goupille 268.

   Le levier 96 est  alors relié au coin 51', de sorte que, quand  la biellette 96 est actionnée par la came 73,  la biellette 266 est amenée à retirer le coin  51' de sa position normale de retenue par  rapport à l'oreille 53, permettant ainsi à la  broche 54 de pénétrer clans l'entaille de l'or  gane femelle 56 de     l'embrayage,    établissant  l'entrainement (le l'arbre 59 par le moteur et  permettant à la machine de continuer et     ache-          vers    son cycle (le mouvements sans toutefois,  comme il a été expliqué précédemment, per  mettre au fil en hélice d'être amené au bloc.  



  Lorsque l'électro-aimant 262 est actionné,  des moyens viennent en action pour rétablir  la position normale de l'arbre 101 par rap  port aux leviers 100 et 103, (le faon due,  lorsqu'on place de nouveau (les blocs sur la  machine, celle-ci puisse (le nouveau fonction  ner de     manière    normale. Le moyen pour  effectuer ceci comprend un levier coudé 270  qui est supporté à pivot en 271 dans une  partie fixe (le la machine et porte un bras  272 qui est relié à l'armature 273 de l'électro  aimant au moyen d'une biellette 274.

   L'extré  mité extérieure du levier coudé 272 commande  un commutateur 275 qui est ouvert lorsque    l'électro-aimant 262 est actionné par suite de  la fermeture du commutateur 261, coupant  ainsi le circuit dans lequel est intercalé     l'élec-          tro-aimant    262.  



  Le mouvement rotatif communiqué au le  vier coudé 270 fait déplacer le bras 276 de  celui-ci vers le bas sur la trajectoire d'une  goupille<B>277</B> disposée sur une tige de poussée  160 qui est reliée à la came 71 par le levier  158 et le rouleau à came 157, comme le montre  la fig. 3. Ainsi, lorsque la tige de poussée 160  est déplacée vers le haut pendant l'achève  ment du cycle de la machine, la saillie 277  touche le bras 276 du levier coudé 270 et fait  pivoter ce levier autour de son point clé pivo  tement 271 pour l'amener à sa position nor  male, le plongeur 273 de l'électro-aimant 262,  le levier 263 et l'arbre 101, avec la partie  élargie     10-1    à clavette, étant ramenés à leurs  positions de départ.  



  On comprend, d'après la description     ci-          dessus,    que quand la machine est en action  et prête à recevoir un bloc à. relier, la poignée  de commande     .1    est à la position     représentée     en     fig.    2, 3 et 10. Le corps 165 des éléments  156 de coupe et de courbure et, par suite, les  organes de guidage 30 disposés dessus sont  dans leur position la plus élevée, comme le       montre    la     fig.    1.0, et la plaque latérale de     gui-          clage    217 est dans sa position d'avancement  total.

   Le moteur 60 est en marche et fait  tourner constamment les rouleaux d'amenée 7  et 8 et le plateau d'embrayage 123 du méca  nisme compteur, comme il a été décrit     précé-          demment.        L'organe    de serrage 31 est main  tenu à sa position élevée inactive par les plon  geurs 33 à, ressort qui reposent     sur    les surfaces  supérieures des guides de serrage 35, 35,  comme le montre la<U>fi-.</U> 1.  



  Les     méeanismes    de la machine étant ainsi       mis    en état de marche, l'opérateur place un  bloc de feuilles sur la table 23 de la machine  de     faeon    que son bord arrière de reliure, per  foré, soit disposé debout contre     deux    organes  (le     guidage    30, 30 des éléments de coupe et de  courbure 156 et qu'un bord latéral soit. disposé  contre l'organe de guidage latéral 217. Le  bloc de feuilles sera ainsi en position, de faon      que ses perforations soient en mesure de rece  voir facilement les extrémités des doigts cro  chus 29 lorsque l'opérateur déplace la poignée  de commande en avant. L'opérateur saisit  alors la poignée A et la pousse à une position  en avant.

   Pendant le mouvement avant initial  de la poignée A, le bord avant de la plaque  27 sur laquelle sont montés les organes 29  s'engage contre les parties 181, 181' des deux  éléments de coupe et de courbure 156, 156  pour abaisser les corps 165, 165 de ces élé  ments contre la pression de frottement de  leurs ressorts associés 183 dans une mesure  telle que les têtes des boulons 165' sont ame  nées en contact avec les surfaces supérieures  de la tablette d'actionnement 154.

   En même  temps, le bras 200, porté par le support 20,  vient contre l'extrémité supérieure du levier  oscillant 201 supporté librement et fait tour  ner le levier en sens inverse des aiguilles d'une  montre, quand on regarde la     fig.    20, pour dé  placer la biellette 202 reliée à l'extrémité infé  rieure de ce levier oscillant et en avant ou vers  la droite,     comme    le montre la     fig.    22, jusqu'à  ce que le bras du levier coudé 205 auquel est  reliée la tige réglable 206 ait été déplacé à la  position de point mort.

   Pendant ce mouve  ment du levier coudé 205, le bras 206 est tiré  vers le bas à l'encontre de la tension du res  sort 208, déterminant ainsi, à l'aide du méca  nisme associé, le retrait de la plaque latérale  de calibrage 217 à distance du bloc placé sur  la table.  



  Avec les organes de guidage 30, 30 et 217  enlevés, le bloc est en condition permettant le  déplacement des pages par les crochets 29 sans  intervention. Juste après l'enlèvement de ces  organes de     guidage,    comme la poignée A se  déplace en avant, les doigts 29 pénètrent dans  les trous de la partie de bord de reliure du  bloc et pendant que la poignée A se déplace  de la position indiquée en traits pleins en       fig.    11 à la position indiquée en pointillé sur  cette figure, ces crochets conforment chaque  série de trous successifs, de manière à définir  un passage présentant une courbure corres  pondant à la courbure de la partie ou segment       courbe    du relieur en hélice passant à travers.

      Juste avant l'arrivée de la poignée     .l    à la po  sition en pointillé de la     fig.    11, les organes  filetés 31, 31 actionnant le serrage     viennent     en engagement avec les plongeurs 33, 33 pres  sés par ressort, du dispositif de serrage 34 et  les poussent en avant à l'encontre de la ten  sion de leurs ressorts associés.

   Lorsque la poi  gnée aura atteint la position en pointillé re  présentée en     fig.    11, les plongeurs pressés par  ressort auront été retirés suffisamment pour  s'écarter des surfaces supérieures des guides  35, 35, le serrage 34 tombant alors par son  propre poids, de sorte que le sabot. 36 vient  au repos sur la page de dessus du bloc avec  les entailles 45 du bord arrière en saillie de  ce sabot en position, de manière que les par  ties saillantes ou dents formées par les en  tailles soient en position entre les séries de  perforations du bord de reliure du bloc.  Comme les entailles 45 sont alignées avec les  trous 185 ménagés dans le bloc 23' reposant.

    sur le bord arrière de la table 23, les dents  formées par les entailles 185 de cet organe 23'  prises avec les entailles 45 du sabot 36 serrent  ainsi fermement ensemble et donnent un sup  port ferme pour les parties de bord de reliure  des feuilles comprises entre les     trous    de  celles-ci.  



  En même temps, la barre 198 tombe en po  sition au-dessus de la partie de     bord    extérieure  du bord de reliure du bloc au-delà. des séries  de trous ménagés dans celui-ci et en position  pour surplomber une partie du relieur en  hélice lorsqu'elle est introduite à     travers    le  bloc, comme le montrent     plus    clairement les       fig.    5 et 6. La poussée avant. de la poignée A  retire ainsi le dispositif de     guidage    pour l'opé  rateur lorsque celui-ci place le bloc sur la  table, réarrange ou reforme le bloc de façon  que les trous de celui-ci aient la forme désirée  pour la fourniture du     relieur    au bloc et serre  fermement les pages du bloc en position réar  rangée.

   A ce propos, il sera noté que les cro  chets 29 qui sont non     réglables    sont les point  focaux pour tous les réglages de la machine.  Par exemple, le calibre latéral 217 est réglé  de manière que, quand le bloc est placé sur  la table contre ce guide, les trous du bloc      soient amenés en regard des crochets 29. Les  entailles 45 du sabot de serrage 36 et les  entailles 185 du bloc 23' placé à l'arrière (le  la table 23 sont (le même en regard des cro  chets 29. Le réglage de l'arrière de la table  et aussi de sa position avant-arrière est fait  de même pour assurer la mise en regard des  crochets 29 avec les trous du bloc et la mise  en position convenable de ces trous par les  crochets 29.

   Ainsi, lorsque le bloc, dans sa  condition de forme, est serré entre le sabot de       serrage    36 et le bloc 23', les trous du bloc et  les différentes parties agissantes sont en cor  respondance convenable pour la réception du  fil en hélice à introduire clans ces trous.  



  L'opérateur déplace ensuite la poignée A  en arrière pour retirer les crochets 29 des  trous du bloc. litant donné que le bloc est  alors     serré    en position (le manière que les  surfaces internes des trous du bloc soient rela  tivement fixes, les doigts 29 pendant leur  mouvement extérieur ou de retour sont guidés  à came dans la direction du pas des trous  pour déplacer le chariot dont fait partie la  poignée A vers mi côté à l'encontre de la  tension du ressort 25, celui-ci ramenant immé  diatement le chariot à sa position normale  après que les crochets se sont écartés des  trous du bloc.

   La poussée de la poignée A en  arrière fait venir le bras d'actionnement 46  en contact avec le levier (le départ 47 qui,  lorsqu'il est actionné, retire le coin 51 du mé  canisme d'embrayage à broches 52 hors du  trajet de l'oreille d'arrêt 53, permettant ainsi  à la broche 54 pressée par ressort de s'enga  ger dans une     entaille    57 (le l'organe femelle  56 de l'embrayage 52 et (le relier ainsi l'arbre  à came principal 59 en position d'entraîne  ment par le moteur 60, de la manière décrite  précédemment.  



  Pendant la première rotation de 90  de  l'arbre 59, la came 73 de commande du rou  leau d'amenée vient, en action et fait tourner  le levier 107 dans le sens des aiguilles d'une  montre à la position représentée en pointillé  en fig. 7. Par suite de ce mouvement du le  vier 107, le levier 777 est tourné pour mettre  la saillie 113 de celui-ci en prise avec le cou-    lisseau 114 et la déplacer contre la pression  de son ressort 116 d'une quantité suffisante  pour mettre les rouleaux d'amenée 7 et 8 en  position de coopération pour amener le fil  vers la matrice de conformation 10 de l'hélice.

    En même temps, le rouleau 132 disposé sur le  levier 107 vient en prise avec le sabot 131 du  levier 130 pour faire pivoter ce levier, de ma  nière que le plateau d'embrayage l24 vienne  en prise à friction avec le plateau 123 à ro  tation continue, mettant en mouvement le mé  canisme compteur au moment où les     rouleaux     d'amenée 7 et 8 sont rendus actifs pour four  nir le fil.

   Les rouleaux d'amenée 7 et 8 dans  leur position active fournissent le fil 1 de la  bobine 2 à la matrice 10 où ce fil est con  formé par la rainure interne 12 (fig. 5) à, la  forme hélicoïdale, puis amené à la rainure  hélicoïdale 17 du pilote 16 qui amène le fil a       -Lui        point.    où il sera amené vers le bas au pre  mier trou du bloc     immédiatement    adjacent à  l'extrémité du pilote 16.A mesure que l'ame  née et la conformation du fil     continuent,    le fil  passe     successivement        à.    travers les embou  chures évasées ou en     forme    de cloche des  entailles 197 de la barre     amortisseuse   <B>198,

  </B>  puis, par les entailles 45 de     l'organe    de ser  rage 36, à travers les trous     réarrangés    du bloc  et sort par les entailles     ménagées    dans la  barre 23' dirigée longitudinalement, en posi  tion le long du bord arrière (le la table 23.  



  Il sera évident, d'après la     fig.    5, que le fil.  pénètre dans les     trous    du bloc     immédiatement     après avoir quitté le pilote 1.6, de sorte que  le bloc lui-même forme en fait une continua  tion du pilote 16, réduisant ainsi au minimum  les vibrations du fil en hélice pendant ce  mouvement. (l'amenée.

   Toute possibilité du fil  de vibrer pendant cette amenée est évitée par  la barre     7.95    qui fonctionne comme barre       amortisserise    on tampon     pour    éliminer cette       possibilité.    Pendant la période de temps où  le fil en hélice est     introduit.    à, travers les  trous     du    bloc, le bouton 135 de l'appareil  compteur se déplace en sens inverse des  aiguilles d'une montre, quand on regarde la       fig.    7, jusqu'à ce     qu'il    soit amené en prise  avec le bras oscillant libre 136 et après cette      prise,

   le bras 136 est déplacé dans le même  sens pour faire commencer par la biellette  137 le mouvement de retour du levier 107.  



  Dès que le ressort 139 a été déplacé     au-          delà    du point pivot 108 du levier 107 pen  dant le mouvement de retour de celui-ci, il  entre en action pour ramener le levier 107 à  sa position normale par un mouvement brus  que. En même temps, il ramène le levier 111  à sa position normale par un mouvement  brusque, retirant ainsi presque instantané  ment la saillie 113 et permettant au ressort  116 de déplacer le bloc de guidage 114 à sa  position normale, rendant ainsi inactifs les  rouleaux d'amenée 7 et 8 pour la suite de la  fourniture du fil.

   En même temps, le rouleau  132 est séparé du sabot 131, permettant ainsi  au levier 130 de tomber à sa position normale  de repos par son propre poids et débrayant,  par conséquent, les deux plateaux d'em  brayage 124 et 123 pour arrêter le mécanisme  compteur. Le bouton 135, après ce débrayage  des plateaux, sera aussitôt ramené à sa posi  tion normale de départ par l'action de son  ressort hélicoïdal associé.  



  L'arbre 59 aura achevé les premiers 90  de  sa révolution au moment où les rouleaux  d'amenée 7 et 8 et le mécanisme compteur ont  été arrêté et à la fin de cette partie de son  cycle il aura été rendu inactif par l'engage  ment de l'oreille 53 avec le second coin 51'  du mécanisme d'embrayage 52 à broches. Pen  dant le mouvement de retour du levier 107,  le rouleau 146 porté par la biellette 105 vient  en contact avec le sabot 145 de l'extrémité  extérieure du levier 142 pour l'abaisser contre  la pression de son ressort associé 144, séparant  ainsi le coin 51' de l'embrayage à broches 52  pour permettre à l'arbre 59 de continuer son  mouvement rotatif.  



  Pendant les derniers 270  du mouvement  de l'arbre 59, la came 72 élévatrice du cou  teau entre en jeu pour lever la tablette 154  de la position représentée en fig. 11 à une  position où les corps 165 des éléments de  coupe et de courbure 156 sont mis en position  comme le montrent les fig. 3 et 10. Pendant  ce mouvement d'élévation, les organes de gui-    dage 30 des éléments 156 passent entre les  parties arrière des spires du relieur en hélice,  et les organes 179 et 180 des éléments de  coupe passent de chaque côté des spires par  ticulières du relieur qui doivent être coupées.

    Pendant la période de stationnement de la  came 72, tandis que la tablette 154 est main  tenue dans sa position la plus élevée, la came  actionnant le couteau entre en jeu pour abais  ser les doigts     d'actionnement    163 et abaisser  ainsi les leviers 177 montés sur ces éléments  pour actionner les lames mobiles de coupe  175, 175' de ceux-ci, ces lames pendant leur  période de mouvement     agissant    avec les lames  fixes 173, 173' pour couper les spires termi  nales du relieur et agissant avec les organes  180, 180' de ces éléments pour courber les  extrémités coupées du relieur, de façon  qu'elles soient dirigées en dedans du     relieur     et arrêtent celui-ci dans le bloc.  



  On remarquera que, du fait que le pilote  16 est coupé     (fig.    5) pour permettre à la  partie 181 de l'élément de coupe et de cour  bure 156, à l'extrémité de droite de la ma  chine, quand on regarde la     fig.    4, de se dé  placer vers le haut sans être gênée, le relieur  en hélice sera coupé en fine portion très voi  sine de l'extrémité extérieure du pilote 16 et  le fil sera ainsi prêt pour pénétrer immédiate  ment dans le premier trou d'un nouveau bloc  dès que les rouleaux d'amenée 7 et 8 entrent  à nouveau en action.

   On notera aussi     que,    pen  dant l'élévation de la partie de corps 165     dea     éléments de coupe et de courbure 156, les  organes de guidage 30, 30 de ceux-ci s'enga  gent contre la barre 198 et, la soulèvent à     un;     position supérieure hors du trajet du méca  nisme de     coupe    et de courbure. Dès que les  lames mobiles de coupe 175, 175' ont achevé  leur course de coupe, les ressorts 182 associé  avec ces éléments ramènent immédiatement.  ces lames à leurs positions normales de départ.  



  Lorsque les opérations de coupe et de cour  bure auront eu lieu, la. came 72 permettra à  la tablette 154 de tomber par son propre  poids. La partie de corps 165 de chaque élé  ment de coupe, cependant, est maintenue dan     ,;     sa position élevée au moyen des ressorts de      friction 183.

   Tandis que la tablette 154 re  vient à sa position la plus basse, le bras oscil  lant 227 monté sur l'arbre 153 est mis en  rotation dans le sens où il pousse le loquet  226 et, par suite, le levier oscillant 201 dans  le sens où ils déplacent la biellette 202 pour  amener le levier coudé 205 au-delà du point  mort, après quoi le ressort de tension 208  entre en jeu pour chasser brusquement la     biel-          lette    ou barre 206 vers le haut, ramenant ainsi  la plaque calibre 217 à sa position normale  d'avancement.  



  A la suite des opérations de coupe et de  courbure, les deux cames 77 déterminent aussi  l'élévation du dispositif de serrage 34 du bloc  de la manière décrite précédemment, jusqu'à  ce que les organes plongeurs 33, 33 pressés  par ressort se soient encore détachés de l'ex  trémité supérieure des guides de serrage 35,  35, après quoi les ressorts associés avec ces  organes entrent en action pour les faire avan  cer à une position où ils peuvent reposer sur  les extrémités supérieures des guides 35, 35  pour retenir le dispositif de serrage 34 dans  la position d'élévation.  



  On voit ainsi que, par suite de ces opéra  tions, les parties ont été rétablies à des posi  tions pour le départ d'un nouveau cycle d'opé  rations et lorsque l'arbre 59 a achevé un tour  complet, l'oreille 53 revient en contact avec  le coin 51, ce qui détermine la rupture de la  connexion d'entraînement de l'arbre 59 avec  le moteur 60, maintenant ainsi les parties dans  ces positions jusqu'à ce que la poignée A ait  été de nouveau actionnée par l'opérateur. Les  séries d'opérations de la machine sont extrême  ment précises et rapides au point que 600 à  1500 blocs, suivant la longueur du bord de  reliure et l'épaisseur des blocs à relier, peu  vent l'être en une heure sans pratiquement  aucun raté.

Claims (1)

  1. REVENDICATIONS: I. Procédé pour relier un bloc de feuilles libres présentant ehacune une rangée de trous, à l'aide d'un relieur constitué d'un fil formé en hélice, caractérisé en ce qu'on place le bloc de feuilles sur un support, en ce qu'on met en place chaque rangée de trous superposée, de faon que la ligne passant par les centres de ceux-ci ait une forme arquée, en ce qu'on serre ensuite les feuilles ensemble sur le sup port et en ce qu'on introduit le relieur en hélice à travers les rangées de trous du bloc de feuilles.
    IL Machine pour la mise en oeuvre du procédé selon la. revendication I, caractérisée en ce qu'elle comprend une table (23) adap tée pour recevoir un bloc de feuilles libres (D) présentant une série de trous successifs disposés en une rangée le long du côté de reliure du bloc (D), des organes (27, 29) de mise en position des feuilles montés sur des organes de support pivotants (C, 26), action- nables pour mettre en place les feuilles du bloc (D), de façon que les rangées de trous successifs forment des passages conformés sensiblement selon la courbure du relieur (1) en hélice qui doit.
    \ être introduit, des moyens (A, B) actionnables pour faire entrer lesdits organes (27, 29) de mise en position dans les rangées de trous du bloc (D) pour l'opéra tion de mise en place et pour retirer lesdits organes (27, 29) après que les rangées de trous ont été mises en place, un dispositif de serrage (31-36,1.93-197) pour serrer le bloc de feuilles (D) sur la table (23), des organes d'amenée (9, 10, 16, 17) d'un relieur en hélice pour le faire passer à travers les trous ali gnés après que lesdits organes (27, 29) de mise en position aient été retirés et au moins un dispositif (l56) pour couper le relieur (1) à une longueur déterminée et pour courber ses extrémités de façon à fixer le relieur en place sur le bloc de feuilles (D).
    SOUS-REVENDICATION S 1. Machine selon la revendication II, ca ractérisée en ce que les organes (27, 29) de mise en position des feuilles comportent des parties en forme de crochets (29) courbés sensiblement au même degré que le pas du relieur en hélice. 2. Machine selon la revendication II et la. sous-revendication 1, caractérisée en ce que lesdites parties en forme de crochets (29) sont., de plus, arquées, leur rayon de courbure étant sensiblement égal au rayon de courbure du relieur en hélice. 3.
    Machine selon la revendication II et les sous-revendications 1 et 2, caractérisée en ce que les organes de support pivotants (C, 26) portant les organes (27, 29) de mise en posi tion des feuilles sont susceptibles d'être dé placés suivant une ligne courbe après que les dits organes de mise en position (27, 29) aient pénétré dans les trous du bloc de feuilles (D). 4. Machine selon la revendication II et les sous-revendications 1 à 3, caractérisée en ce que les organes de support pivotants (C,<B>26)</B> comprennent un arbre rotatif (C), un sup port (26) assujetti à cet arbre (C) et sup portant lesdits organes de mise en position (27, 29) et des moyens (E, 20, 21) suppor tant cet arbre (C), de façon que l'arbre (C), le support (26) et les organes à crochets (29) puissent être déplacés suivant une ligne courbe.
    5. Machine selon la revendication II et les sous-revendications 1 à 4, caractérisée en ce que les organes de support pivotants (C, 26) sont susceptibles d'effectuer un mouvement transversal par rapport à leur mouvement de pivotement, contre l'action d'un dispositif de rappel (24, 25) tendant à les ramener en po sition initiale. 6.
    Machine selon la revendication II, ca ractérisée en ce que ledit dispositif de ser rage (31-36, 193-197) comprend un sabot (36) de serrage du bord de reliure du bloc de feuilles, ledit sabot (36) présentant une série d'entailles (45) espacées entre elles sen siblement de la distance séparant deux spires da relieur à introduire, les dents formées par ces entailles (45) étant prévues pour venir en prise avec le bloc de feuilles (D) entre les trous de celui-ci et pour fonctionner comme guides pendant l'introduction du relieur en hélice (1) dans les trous du bloc (D). 7.
    Machine selon la revendication II et la sous-revendication 6, caractérisée en ce que le dispositif de serrage (31-36, 193-197) com prend un corps de serrage (34) supportant ledit sabot (36), un dispositif (43, 44, 36') pour régler la position du sabot (36) trans- versalement par rapport au corps (34) et un dispositif (38-43) pour régler sa position longitudinalement. 8.
    Machine selon la revendication II, ca ractérisée en ce que ladite table (23) pré sente, dans la région destinée à être occupée par le bord de reliure du bloc de feuilles<B>(D),</B> une série d'entailles (185) espacées entre elles sensiblement de la distance séparant deux spires du relieur en hélice (1) et en ce que la partie (36) du dispositif de serrage (31-36, 193-197) destinée à venir en prie avec le bloc présente une série d'entailles (45) coïncidant avec les entailles (185) de la table (23), les dents formées dans ladite table (23) et ladite partie (36) du dispositif clé serrage (31-36, 193, 197) par lesdites entailles (45, 185) coopérant pour serrer le côté de reliure du bloc (D)
    pendant l'opération de reliure et fonctionnant comme guides durant l'introduc tion du relieur en hélice (1) dans les trous du bloc (D). 9. Machine selon la revendication II, ca ractérisée en ce que ledit dispositif de serrage (31-36, 193-197) est muni d'un organe amortisseur (198) de forme allongée relié de façon pivotante au dispositif de serrage (3l-36, 193-197) et prévu pour recouvrir le côté de reliure du bloc (le feuilles (D) à relier, ledit organe amortisseur (198) présen tant une série d'entailles (197) sur sa face inférieure, chacune desdites entailles (197') étant espacée des entailles adjacentes (19 7 @,
    sensiblement de la distance séparant deux spires du relieur (1) à introduire et présen tant une embouchure évasée pour faciliter l'introduction du relieur (1) dans les trous dii bloc (le feuilles (D).
    10. @laeliine selon la. revendication II et la sous-revendication 9, caractérisée en ce que la profondeur des entailles (1_97) de l'organe amortisseur (1.98) est moins grande due la hauteur clé la partie des spires du relieur (1) dépassant la surface du bloc (le feuilles (D) pour que ledit. organe (198) soit suscep tible de reposer sur le relieur (l.) pendant que eelui-ei est introduit dans les trous (In bloc- (D). 11.
    Machine selon la revendication II, ea- raetérisée en ce que lesdits organes d'amenée (9, 10, 16, 17) comprennent une matrice (10) placée à une certaine distance de l'emplace ment destiné à être occupé par le bloc de feuilles (D) à relier, cette matrice (10) étant destinée à donner à un fil (1) une forme en hélice, et des moyens de guidage (16, 17) du fil (1) en hélice vers le bord du bloc de feuilles (D) destiné à être relié. 12.
    Machine selon la revendication II et la sous-revendieation 11, caractérisée en ce que la matrice (10) comporte un alésage (11) présentant une rainure hélicoïdale interne (12) pour donner au fil (1) qui lui est amené une forme en hélice, et en ce que les moyens de guidage (16) comportent aussi une rai nure hélicoïdale (17) pour recevoir le fil (1) sortant de la matrice (10) et le guider vers l'endroit où il sera introduit dans le premier trou du bloc de feuilles (D). 13. Machine selon la revendication II et les sous-revendications 11 et 12, caractérisée en ce que les moyens (16, 17) de guidage sont formés d'un organe cylindrique (16) présen tant une rainure externe (17), des moyens (13, 14, 15) étant prévus sur ladite matrice (10), pour supporter ledit organe (16) et pour régler sa position par rapport à ladite matrice (10). 14.
    Machine selon la revendication II et les sous-revendications 11 à 13, caractérisée en ce qu'elle comprend un dispositif d'action- nement (46-116) entrant en action après la mise en position des feuilles du bloc (D) pour mettre en action les organes d'amenée (7-10) du fil (1) et un dispositif (107-116, 135-139) pour rendre ces organes (7-10) inactifs après une durée de fonctionnement, prédéterminée, ce dernier dispositif (107-116, 135-139) étant commandé par le premier (46-116). 15.
    Machine selon la revendication II et les sous-revendications 11 à 14, caractérisée en ce que les organes d'amenée (7-l0) compren nent en outre une paire de rouleaux d'amenée (7, 8) commandés par ledit dispositif d'action- nement (46-116) et un appareil compteur (120-l33), cet appareil (120-133) étant commandé par le dispositif d'actionnement (46-116), un dispositif (107, 135-138) étant commandé par l'appareil (120-133) pour rendre inactif le dispositif d'actionnement (46-116) et ainsi les organes d'amenée (7-10) après une durée de fonctionnement prédéterminée. 16.
    Machine selon la revendication Il et les sous-revendications 11 à 15, caractérisée en ce qu'un dispositif à ressort (114-116) est prévu pour rendre inactifs les organes d'amenée (7, 8, 9, 10) immédiatement après que le dispositif (l07, 135-138) commandé par l'appareil compteur (120-133) ait été actionné. 17. Machine selon la revendication II, ca ractérisée en ce que le dispositif de coupe et de courbure (156) comprend un couteau (175) pivotant, une lame fixe (173) coopérant avec ledit couteau (175) pour couper le fil (1) formant le relieur, et un organe (180) destiné à coopérer avec ledit couteau (175) après que le fil (1) ait été coupé pour cour ber l'extrémité du relieur en dedans des spires de celui-ci. 18.
    Machine selon la revendication II et la sous-revendication 17, caractérisée en ce qu'elle comprend un second dispositif de coupe et. de courbure (156), chacun d'eux étant placé à. une extrémité du bord de re liure du bloc (D), des moyens (71, 117-155) étant prédis pour faire avancer en position d'action lesdits dispositifs (156) pour action ner les couteaux pivotants (175) lorsque le relieur (1) a été enfilé à travers le bloc de feuilles (D) et pour ramener en position de repos lesdits dispositifs (156). 19.
    Machine selon la. revendication II, ca ractérisée en ce que les organes (A, 27, 29) de mise en position sont prévus pour eom- ma.nder des moyens (260-262) pour rendre inopérants les organes d'amenée (9,10,16,17 ). 20. Machine selon la revendication II, ca ractérisée en ce que les organes (A, 27, 29) de mise en position sont prévus pour comman der ledit dispositif de serrage (31-36, 193 à 197). 21.
    Machine selon la revendication II, ca ractérisée en ce que ledit dispositif de ser rage (31-36, 193-197) comprend un corps de serrage (34), les extrémités de ce corps de serrage (34) étant susceptibles de coulisser dans une paire de guides (35), un dispositif à ressort (33) étant prévu sur ledit corps de serrage (34) et normalement engagé dans les dits guides (35) pour supporter le dispositif de serrage (31-36, 193-197) en position élevée, des moyens (31-35, 77) commandés par les organes de mise en position (C, 26, 27, 29) venant en engagement avec le dispo sitif à ressort (33) pour relâcher le serrage lorsque lesdits organes pivotants de mise en position (C, 26, 27, 29) ont mis en place les rangées de trous du bloc de feuilles (D) et que le relieur a été placé sur celui-ci (D). 22.
    Machine selon la revendication II, ca ractérisée en ce que ladite table (23) est mu nie d'un dispositif de guidage (30, 217) pour mettre le bloc de feuilles (D) en place, de manière que les trous de ce dernier soient placés sur une partie déterminée de la table (23), le dispositif de guidage (30, 217) com prenant une paire d'organes de guidage (30) espacés, venant s'engager avec le côté du bloc (D) recevant la reliure, un dispositif (165 à 168) supportant à coulisse lesdits organes (30), des moyens (147, 154) pour amener lesdits organes (30) en position d'engagement avec le bloc, un dispositif élastique (182) maintenant les organes (30) en position avan cée et des moyens (27, 181) accouplés auxdit organes de mise en position (27, 29) permet tant de retirer lesdits organes de guidage (30)
    juste avant la pénétration des organes de mise en position (27, 29) dans les trous du bloc de feuilles (D). 23. Machine selon la, revendication Il et la sous-revendication 22, caractérisée en ce que le dispositif de guidage (30, 217) com prend, en outre, une plaque verticale (2l7) destinée à venir en contact avec un côté du bloc de feuilles (D), des moyens (20, 200 à 216) prévus pour retirer ladite plaque (21-7 avant la pénétration des organes de mise cri position (27, 29) dans les trous du bloc<B>(D),</B> et un dispositif (153, 226,227,201--216)
    polir avancer automatiquement la plaque (\_'171 après que le relieur en héliee (1) ait, été enfila à travers le bloc de feuilles (D).
CH267696D 1941-06-04 1947-08-07 Procédé pour relier un bloc de feuilles libres présentant chacune une rangée de trous, et machine pour la mise en oeuvre dudit procédé. CH267696A (fr)

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Cited By (1)

* Cited by examiner, † Cited by third party
Publication number Priority date Publication date Assignee Title
EP3093154A1 (fr) * 2015-05-12 2016-11-16 Qingdao H.Y Corporation Machine de liaison de bobine avec mécanisme de transmission

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* Cited by examiner, † Cited by third party
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EP3093154A1 (fr) * 2015-05-12 2016-11-16 Qingdao H.Y Corporation Machine de liaison de bobine avec mécanisme de transmission

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