CH251185A - Tour automatique à fileter. - Google Patents

Tour automatique à fileter.

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CH251185A
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Tarex S A
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Tarex Sa
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    • BPERFORMING OPERATIONS; TRANSPORTING
    • B23MACHINE TOOLS; METAL-WORKING NOT OTHERWISE PROVIDED FOR
    • B23GTHREAD CUTTING; WORKING OF SCREWS, BOLT HEADS, OR NUTS, IN CONJUNCTION THEREWITH
    • B23G1/00Thread cutting; Automatic machines specially designed therefor
    • B23G1/02Thread cutting; Automatic machines specially designed therefor on an external or internal cylindrical or conical surface, e.g. on recesses

Description


  Tour automatique à     fileter,            Les        tours    à     fileter        automatiques        les    plus       appréciés        actuellement        comportent    un dispo  sitif de commande des     déplacements    des cou  lisses croisées du porte-outils présentant une  vis-mère entraînée en rotation coopérant avec  un patin coulissant     parallèlement    à l'axe de  la vis-mère et     pouvant    osciller     dans    un     plan     perpendiculaire à cet axe.

   Des cames provo  quent en début et fin de course de travail  l'engagement,     respectivement    le     dégagement     du patin avec la vis-mère, Les     déplacements     du patin, parallèlement à l'axe de la vis-mère,  commandent les     déplacements    de la coulisse       longitudinale    du     porte-outils.    Ces tours     pré-          sentent    certains inconvénients ,dus au fait que  le patin doit pouvoir exécuter des déplace  ments dans deux plans perpendiculaires l'un  par rapport à     l'autre,    d'une part, et, d'autre  part,

   au fait que le     dégagement    du patin  d'avec la vis-mère en fin de course de travail  est provoqué par une came.<B>En</B> effet, pour       permettra    au     patin    d'exécuter des déplace  ments dans deux plans     perpendiculaires    l'un  à l'autre, les     constructeurs    Ont en général       rendu,ce    patin     solidaire    d'une douille     montée     sur une     tige    pouvant coulisser dans ses loge  ments.

   Il est     évident    -qu'un tel     montage    est       difficilement        réalisable    lorsqu'une grande  précision de filetage est demandée,     les        jeux     devant être réduits au minimum. En outre,       cette    douille     présente    en     général    un collier  à position     longitudinale    réglable.

   Ce     collier     porte un nez destiné     é,        coopérer    avec les     cames     au     début    et à la     fin,    de la course de travail    de l'outil. Or, il     est        clair    que la portée que  peut présenter ledit nez à la came qui l'atta  que -est au     maximum    égale au pas du     filet    de  la vis-mère. Le     nez    et la -came s'usent     .donc     rapidement et la     commande    du dégagement  du patin risque de s'effectuer un tour trop  tard.

   En     conséquence,    l'outil     risque    de se  planter dans la matière     et    d'être, ou cassé ou  un tout cas échauffé à tel point que son     réaf-          fûtage    soit obligatoire.

   Or, après chaque  réaffûtage, tout le réglage du tour doit être  effectué à nouveau et     contrôlé    si on désire  obtenir un     filet    de     précision.    En -outre, selon  le degré     d'usure    du     nez    coopérant avec la  came, il :se peut que le     patin    reste à     demi-          engagé    avec la     vis#mère.    Dans ce cas, il se  produit une usure locale rapide de la     vis-          mère    et du     patin.     



  Enfin, le mouvement de dégagement du  patin ne     peut    être brusque puisqu'il est com  mandé par une     carne    qui doit     nécessairement          effectuer    un     certain        angle    de     rotation    pour  effectuer cette     commande.    Or, cet angle de  rotation     correspond    à un angle de rotation  de la     vis-mère.    En     -conséquence,    le     patin:

      use  les     filets    de la     vis-mère        suivant    une spirale,  -ou, si     le        patin,    est en un -étal tendre, c'est       @ce    dernier     qui        s'use        prématurément.    Il est       évident    qu'une telle     usure        interdit    tout usi  nage de     précision,     De ce qui précède;

   on. peut se     rendre          ,compte    que les vis-mères et les     patins    des       tours    à fileter automatiques connus s'usent       relativement    rapidement et     surtout    très     irré,         gulièrement, de sorte qu'il est nécessaire de  les vérifier fréquemment.  



  En     vue    d'éliminer certains des inconvé  nients cités, certains     constructeurs    ont arti  culé le     porte-patin    directement sur la     coulisse     longitudinale     du,chariot    porte-outil.

       Une,    telle  construction     n'est    toutefois pas désirable, car  elle alourdit le chariot porte-outil, d'une part,  et, d'autre part, cette construction n'élimine  pas les     inconvénients    -dus à la commande du       patin        .par        deux        cames,    l'une pour la com  mande de son dégagement, l'autre pour la       commande    :de son engagement.  



  Enfin, cette commande de l'engagement  et du dégagement du     patin    au moyen. de deux       cames    ne permet pas de réaliser une com  mande sûre aux grandes vitesses de coupe que       permettent    les     outils    en acier spéciaux utili  sés actuellement.

   En effet, pour que la com  mande de l'engagement du     patin    avec la     vis-          mère    soit     effectuée    de manière irréprocha  ble, il est     nécessaire    que la douille porte  patin et donc toute la coulisse     longitudinale     du     porte-outil        effectue    son déplacement de  retour en position de départ en un temps en  tout cas bien inférieur aux     temps    correspon  dant à une     révolution        complète        des    cames.

   Il  est clair que plus la     vitesse    de coupe est  grande,     plus    la     vitesse    de     rotation    des cames  est grande et plus: le laps -de temps     encore     admissible pour le retour du chariot est petit.  En effet, la     vitesse    de rotation     des    cames  peut être inférieure à celle de la vis-mère.

         Toutefois,    ces deux     vitesses    doivent être syn  chronisées et de plus la     vitesse    des cames ne  peut être inférieure à celle de la vis-mère sinon  l'engagement et le dégagement du patin       s'effectuent    sur une     très    grande     coursa    an  gulaire de la vis-mère, ce qui provoque une  usure exagérée de     cette    dernière, d'une part,  et, d'autre part, la nécessité .de prévoir une  course morte     longitudinale        insuffisante    pour       permettre    l'entrée et la     sortie    du burin.

   Or;  les aciers     spéciaux        utilisés    actuellement,     per-          mettent    des vitesses de coupe     telles    qu'il     n'est     plus     possible    de     garantir    un     retour    suffisam  ment rapide du chariot et il s'ensuit que le  porte-patin vient buter contre la face laté-         rale    de la came de commande de l'engage  ment du patin avec la     vis-mère,     Les tours     comportant    deux     vis-mères,    l'une  pour la commande de la course de travail,

    l'autre pour la commande de la course de re  tour du chariot ne permettent pas d'éviter  des pertes de     temps.    En effet, s'ils     permettent          l'usinage    à toutes les vitesses de coupe -dési  rées, la commande du retour du chariot en  position de repos est toujours la cause d'une  grande perte de temps.  



  L'invention a pour objet un tour automa  tique à     fileter        comportant    une     'broche    porte  pièce et un     porte-outils    à coulisses croisées,  dont les déplacements     longitudinaux    -sont  commandés par un patin coopérant avec une       vis-mère.    Ce tour se distingue des tours  connus à ce jour par le fait qu'il présente  un relais à     action    brusque, mis en action à la  fin de chaque course de travail et provoquant  le .dégagement du patin à une vitesse indé  pendante de la     vitesse    de rotation de la bro  che.  



  Le dessin annexé montre, à titre d'exem  ple, une vue perspective schématique d'une  forme d'exécution d'un tour à     fileter    auto  matique.  



  Le tour représenté comporte une broche 1       tournant    dans des paliers 2 .aménagés dans  un bâti 3 du tour. La broche 1 est     entrainée     en rotation par un moteur M et porte la pièce  4 à usiner. Une     contre-pointe    5 maintient       cette    dernière en     position    à son extrémité  libre.  



  Ce tour     comporte    un chariot     porte-outils     à coulisses croisées dont la coulisse transver  sale 6 est guidée par des guides aménagés ;  dans le     bâti    3 et porte la coulisse longitudi  nale 7 guidée par des guides aménagés dans  la coulisse     transversale    6.     Cette    coulisse lon  gitudinale 7 est     soumise    à l'action d'un res  sort de rappel 8     tendant    à la maintenir en  prise avec une butée de repos 9 à position  réglable.  



  La     coulisse    longitudinale 7 est reliée par  des organes de     transmission    à une     vis-mère     ou     ,,patrone"    10.     Cette    dernière est     Entraînée     en     rotation    par le. moteur M et par l'inter-      médiaire d'un train d'engrenages interchan  geables. Cette vis-mère est montée rigidement  sur un arbre 11 dont une     extrémité    12 est  capelée, et coulisse à l'intérieur d'une douille  13.

   Cette douille tourne dans un palier 14  aménagé     dans    le bâti du tour et     porte    deux       engrenages    15, 16 fixés chacun     rigidement     sur l'une de ses extrémités.  15  est en     prise    avec une roue .dentée 17     solidaire     de l'arbre de la broche 1. L'arbre 11 est donc  entraîné en     rotation    par le     moteur    M; en  outre, il est relié, par l'intermédiaire d'un  accouplement 18,à un poussoir 19 coulissant  dans un     guide    20     pratiqué    dans le     bâti    du  tour.

   Un doigt 21, engagé dans une rainure  22, interdit tout déplacement     angulaire    du  poussoir. A son     extrémité    libre, ce poussoir  porte un doigt 23 engagé dans une rainure  transversale 24 de la coulisse 7. Le patin ou  peigne 25 coulisse dans un logement 26 amé  nagé dans le     bâti.    Un     doigt    de commande 27  engagé dans un logement 28 commande les  déplacements -du peigne provoquant son en  gagement et son dégagement     d'avec    la     vis-          mère    10. Ce doigt 27 est monté rigidement  sur un axe 29 tournant dans des paliers amé  nagés     clans    le bâti du tour.

   L'axe 29 porte en  core un levier 30 dont l'extrémité libre coopère  avec une came 31 provoquant les mouvements  d'engagement du patin à chaque     retour    du  chariot en position de repos. Cette came 31  est solidaire d'un arbre 32 entraîné en rota  tion par le     moteur    M et par l'intermédiaire  des     engrenages    17, 15, 16, 33, 34 et d'un  accouplement 35. Le dégagement du patin est,  par contre, provoqué par un relais à ac  tion brusque mis en     action    à la fin de chaque  course de travail de     l'outil.    Ce relais est cons  titué par un ressort 100 monté sur une tige  101 coulissant dans des logements aménagés  dans le bâti et portant une crémaillère 102  et un poussoir 103.  



  La crémaillère 102 est en     prise    avec un  secteur -denté 104 monté     rigidement    sur un  axe 105 et comportant un bras. 106 dont l'ex  trémité     coopère    avec un doigt 107. Ce dernier  est monté sur un axe 108 dont les déplace  ments angulaires sont commandés, contre    l'action d'un ressort de rappel 109, par les  déplacements de la coulisse longitudinale 7.  



  Un second secteur denté 110 figé sur l'axe  105 est en prise avec un secteur denté 111  fixé sur l'arbre 29, et relie donc mécanique  ment la tige 101 au     doigt    27     qui    commande  les déplacements du patin.  



  Le poussoir 106 est relié par des chaînes  d'organes de     transmission:     10 à .un     maneton    de commande 60 de  l'avance de     l'outil    en     profondeur    entre cha  que passe;  20 à un     doigt    oscillant 61 engagé dans  une rainure 62 de la réglette 41 et comman  dant les déplacements de celle-ci et donc le  retrait et l'engagement de     l'outil    avec la pièce       en,    usinage à la fin et au début de chaque  passe.  



  Les mouvements d'engagement et de dé  gagement des parties menante et menée de  l'accouplement 35 sont commandés manuelle  ment. A cet effet, l'une des parties de l'ac  couplement 35 est reliée par l'intermédiaire       d'organes    de     transmission    à     un    organe de       manoeuvre    L.

   Ce dernier est .en outre relié,  par une chaîne d'organes de transmission, à  une douille 36 portant un     secteur    denté 37 en  prise avec une crémaillère 38 coulissant dans  un guide 39 aménagé dans la coulisse trans  versale 6.     L'extrémité    40 de     cette    crémaillère  coopère avec. la face latérale d'une réglette 41       coulissant,dans        un    guide 42 de la coulisse 6.       Ce    guide 42 est pratiqué dans un plan per  pendiculaire au plan du guide 39 et un res  sort 43 tend à maintenir la face latérale de  la réglette en contact avec     l'extrémité    4û de  la crémaillère.

   La     manoeuvre    de l'organe L  provoque donc simultanément:       10-l'engagement    des .parties menée et     me-          nante    de l'accouplement 35;  20 la mise en position     transversale    de dé  but de travail du chariot     porte-outils    par le       déplacement    de la     coulisse        rtransversale    6  contre l'action de son     ressort    de rappel 43  qui     tend    à la     maintenir    en     position    de repos,

    c'est-à-dire en prise avec     une    butée d'arrêt  44 à     positions    réglables.      La douille 36     porte        encore    un nez 45 co  opérant avec deux     leviers    46, 47 en     vue    de       maintenir    la     coulisse        transversale    .en position  de travail     contre        l'action    du ressort de rappel  43.

   Ces leviers constituent donc avec le nez  45     deux    verrous dont     l'ouverture    de l'un est  commandée à la fin de chaque passe, tandis  .que     l'ouverture    de l'autre est     commandée    en  fin     d'usinage    du filet.  



  Les     leviers    46, 47 .sont pivotés sur l'un  des bras d'un levier 48 pivoté lui-même sur  un axe     fige    49. L'autre bras de ce levier 48       porte    un galet 50     -coopérant    avec une came       universelle    51 montée sur     an        axe    52 tournant  dans des paliers (non représentés) aménagés  dans le     bâti    du tour.     Cet    axe 52 porte encore,       fixées    rigidement sur lui, une roue à rochet  53 et une roue dentée 54.

   Un cliquet d'avance  55 coopère avec la roue à rochet 53 en vue  de provoquer,     entre    chaque passe, un dépla  cement angulaire .de la came universelle 51,  et par l'intermédiaire du levier 47 un dépla  cement, en direction de la     pièce    en usinage,  de la coulisse transversale 6 du chariot  porte-outils. Ce cliquet d'avance 55 est arti  culé sur un     levier    57 pivoté fou sur l'axe 52  et est soumis à l'action d'un ressort 56 ten  dant à le maintenir en prise avec la denture  de la roue 53. Le levier 57 est relié par une  tringle 58 à la manivelle de commande de  l'avance en profondeur de     l'outil.    Celui-ci est  constituée par un disque 59 comportant un  maneton 60 à position radiale réglable.

    Comme indiqué plus haut, le     disque    59 est  relié mécaniquement par une chaîne d'organes  de transmission à la     tige    101 soumise à l'ac  tion du ressort 100.  



  Un cliquet de retenue     63solidaire    d'un axe  64     tournant    dans des paliers aménagés dans  le bâti du tour, coopère, sous l'influence d'un  ressort de rappel 65, avec la roue à rochet 53.  Ce     cliquet    63 est destiné     é,    retenir la     rbue    à  rochet 53 en     position    angulaire pendant la  course de retour du cliquet d'avance 55. Le  dégagement de ce cliquet de retenue est pro  voqué     en.        fin.    d'usinage par le     retour    de la       coulisse        transversale    en positon de repos.

   A  cet effet, la     coulisse    6 porte une rampe de    commande 76     coopérant    avec un doigt 77     so-          Maire    de l'axe 64. L'un 46 des verrous est  dégagé du nez 45 en     fin,    de chaque course  de retour,     en.        position    de     repos,    de la     coulisse     longitudinale, c'est-à-dire après chaque passe,  par     l'intermédiaire    d'un     poussoir    66.

       Ce    der  nier est relié     mécaniquement    à un doigt 67  guidé dans     un,    perçage pratiqué dans la cou  lisse     transversale    6 -et     coopérant,    sous l'action  d'un ressort 68, avec une rampe 69 solidaire  de la coulisse longitudinale 7.  



  Le second verrou 47 est dégagé du nez  45 en fin de course de la     coulisse        transversale     6, c'est-à-dire au cours de la dernière avance  en profondeur -de     cette    coulisse. A cet effet,  ce verrou est actionné par un poussoir 70       actionné    par une crémaillère 71     ,soumise    à  l'action d'un ressort de rappel 72. La cré  maillère est     actionnée,    contre l'action de son  ressort, par la roue dentée 54 qui est en prise       avec    un     pignon    73 en prise lui-même avec la  crémaillère 71.

   La position de repos ou de  départ de la crémaillère est fixée par une  butée 74 à     position    réglable au moyen de la  vis 75. La     crémaillère    étant reliée     desmodro-          miquement    à la came universelle 51, cette  butée 74     fixe    également la position angulaire  de départ de:     ladite        came.     



  Lorsque le galet 50 atteint le sommet de  la came 51, la crémaillère 71 provoque le  dégagement du levier 47 d'avec le nez 45 par  l'intermédiaire d'une chaîne d'organes de       transmission.     



  La coulisse     longitudinale    7 est prévue de  longueur     suffisante    pour     permettre    la fixa  tion sur sa face     supérieure    de plusieurs     porte-          outils    78. Chacun da ces derniers est prévu  pour recevoir un     outil    79     destiné    au     taillage     d'un filetage.  



  Le fonctionnement du tour à fileter auto  matique est, ainsi que l'on peut s'en rendre  compte de ce qui précède, semblable à celui  des tours connus de ce genre.  



  Lorsque le tour est au repos, le levier 106  est dégagé du doigt 107, l'accouplement 35  est en position dégagée,     les    coulisses trans  versales et     longitudinales    reposent sur leurs  butées     respectives    9 et 44. La crémaillère 71      est     également        sur    sa butée 74, le     verrou    46  est dégagé ainsi que le verrou 47, enfin,  l'extrémité 40 du poussoir 38 est logée dans un  évidement 80 de la     réglette    41.  



  Le moteur     M    étant sous     tension,    la mise  en marche du tour est obtenue par la ma  noeuvre -de l'organe manuel L, dans le sens  des     aiguilles    d'une montre, pour l'amener jus  que     dans    la     position        représentée    au .dessin.  



  Cette manouvre provoque:  10 l'engagement des parties menante et  menée de l'accouplement 35;  2o l'actionnement de la coulisse transver  sale 6 hors de sa     position    de repos, contre  l'action de son ressort de rappel, jusque dans  sa position avancée peur laquelle l'outil n'est  pas encore en prise avec la     pièce    4;  30 l'engagement du     levier    47 avec le nez  45 sous l'action d'un ressort.  



  Cette     position    de la coulisse transversale  est     fixée    par la position de la butée 74 qui  définit la position angulaire de départ de la  came universelle 51.  



  Au cours de ce déplacement de la     coulisse     6, la rampe 76 a, en effet, quitté le doigt 77,  de sorte que le     cliquet    de     retenue    vient en  prise avec la roue à rochet sous l'action du  ressort de rappel 65.  



  Lorsque l'accouplement 35 est en posi  tion engagée, l'arbre 32     actionne    en rotation  la came 31 qui provoque     un        déplacement    an  gulaire du bras 30 dont l'extrémité repose  sur son profil.

   Ce     déplacement        angulaire    du  bras 30     provoque:     <B>10</B> l'oscillation du doigt 27 et l'engage  ment du peigne 25 avec les filets de la     vis-          mère    10;  20 par l'intermédiaire des     secteurs    dentés  111, 110, 104 et de la crémaillère 102, le dé  placement vers la droite du dessin de la tige  101 et la compression du ressort 100;

    30 le déplacement angulaire du bras 106  jusque dans la     position        représentée    au dessin,  pour laquelle le doigt 107 coopérant avec  l'extrémité dudit     bras        interdit    tout déplace  ment de la tige 101 sous l'action du res  sort 100;

    40 par l'intermédiaire du poussoir 103,    l'oscillation du doigt 61 et le déplacemént de  la réglette vers la, -gauche du dessin     jusque          dans    la position     représentée.    Pour cette posi  tion .de la réglette,     l'extrémité    40 de la cré  maillère 38 est sortie de l'évidement 80 et a  provoqué une avance transversale de la cou  lisse 6 amenant la     pointe    de l'outil à fleur  de la surface -de la     pièce    à usiner;

    <B>50</B> par     l'intermédiaire    .du poussoir 103,  la rotation     dans    le sens des     aiguilles    d'une       montre    du     maneton    de commande de l'avance  en profondeur.

   Ce déplacement angulaire du  maneton 60 provoque l'oscillation, en sens  inverse des aiguilles d'une montre, du levier  5     i    et     l'actionnement    dans ce même sens de  la roue à rochet 53 par l'intermédiaire du     cli-          quet    d'avance 55;

    60 le     déplacement        angulaire    de la came       universelle    51 solidaire -de la roue à rochet  53,     -déplacement    qui provoque, par     l'in@ermé-          diaixe    du galet 50,     des    leviers 47, 48, du nez  45, du secteur denté 37 en     prise    avec la cré  maillère 38,     un    déplacement de     -cette        dernière     qui     actionne    la coulisse     transversale    6,

       contre          l'action    de son ressort de rappel, et provoque  l'avance en profondeur de l'outil et     l'enga-          gement    de celui-ci avec la     pièce    en usinage.  



  La vis-mère étant en     rotation    et le     peigne     engagé,     celle-ci    subit un déplacement axial       vei^s    la droite du     dessin.    Elle entraîne dans  son déplacement la     coulisse    7, de sorte que  la     pièce    4 étant     entramée    en     rotation.    par le  moteur M, l'outil 79 taille un filet.  



  A la fin de la     course    de travail, une bu  tée 81 actionne un poussoir 82 -contre l'action  du ressort 109 et provoque le dégagement du  verrou 107, 106 qui maintient le relais en  position armée (position représentée).  



  Dès lors, le relais     constitué    par le ressort  100 est mis en action et provoque:  10 le recul brusque et rapide du peigne;  20 le déplacement vers la droite du dessin  de la réglette 41 jusqu'à     ce    que l'évidement ,  80 soit .en regard de     l'extrémité    40 de la cré  maillère 38.A     ce    moment. le     ressort    43 pro  voque le recul de la coulisse 6 ainsi que le  dégagement ,de l'outil d'avec la pièce en usi  nage;      30 l'actionnement dans le sens des aiguil  les d'une montre du     cliquet    55.  



  Le peigne étant dégagé de la vis-mère,  le     ressort    8 repoussa la     coulisse    longitudi  nale 7 jusqu'à sa position de repos; définie  par la butée 9. En fin de     course    de retour,  la rampe 69 actionne le doigt 67 contre l'ac  tion de son ressort 68 et provoque le dégage  ment du     levier    46 d'avec le nez. 45 (position  représentée au dessin).  



  L'arbre 32     continuant    sa rotation, 1a       came    31     actionne    à nouveau le     levier    30 et le  mémé cycle de mouvement est effectué une  seconde fois.  



  Toutefois, afin d'éviter que la came 31  puisse actionner le     levier    30 à l'instant de  l'ouverture du verrou 107, 106,     .ce    qui empê  cherait le retrait du patin, un dispositif d'as  servissement est prévu. Ce     dispositif        interdit     l'actionnement du levier 30 par la. came 31       aussi        longtemps    que le verrou 83-84 est  dans la     position    représentée au     dessin,        c'est-          à-dire    en     position    fermée.

       Ce    dispositif est  constitué par un verrou 83-84 maintenu  en position fermée (position représentée) par  un ressort non représenté. L'une 83 des par  ties de ce verrou, portée par un levier 88 et  pivotée en 85, est actionnée,     contre    l'action  du ressort de rappel, à la fin de     la,    course  de retour de la coulisse     .longitudinale.    A cet  effet, le poussoir 19 porte un doigt d'entraî  nement 86     destiné    à coopérer avec     un    ergot  87 solidaire du levier 88.

   La seconde partie  84 du verrou est constituée par un bras soli  daire d'une douille 90 montée folle sur l'ar  bre 29.     Cette    douille porte un second bras 91  portant un ergot 92 destiné à coopérer avec  une rampe 93 solidaire de la came 31. Cette  dernière coopérant avec le levier 30 provo  que le réarmement du verrou 83-84. Cette  came 31     coulisse    sur l'axe 32 et     un    ressort  89 tend à la     maintenir    hors de portée du le  vier 30, de sorte qu'elle ne peut provoquer  l'oscillation de ce dernier aussi longtemps que  le verrou 106-107     est    dans la position re  présentée.  



  Lorsque le verrou 83-84 est ouvert, le  bras 91 oscille et l'ergot 92 coopérant avec    la     rampe        92    déplace la     cane    81, contre l'ac  tion .de son     ressort    89,     d'une    quantité suffi  sante pour     qu'elle    coopère avec le     levier    30.

    Ainsi, ce n'est que lorsque la     coulisse    longi  tudinale est en     position    de début d'usinage  que la came 31 peut provoquer:  <B>10</B> l'engagement du patin avec la     vis-          mère;     20 le réarmement du relais constitué par  le ressort 100;  30 l'avance en profondeur de l'outil, par  l'actionnement de la roue à rochet 53;  40 la     mise    en position de travail de l'ou  til par l'actionnement de la réglette 41.       Ainsi,    la sécurité de fonctionnement est  complète et aucune erreur de commande ne  peut se produire, quelle que soit la vitesse de  rotation de la broche.  



  L'outil taille au     cours    de     chaqne    course  de travail toujours plus profondément le filet  dans la     pièce    4.     Enfin,    au cours de la der  nière avance en profondeur commandée par  la came universelle 51, la crémaillère 71     ac-          tionnée    par     l'arbre    52 agit, par l'intermé  diaire .de la chaîne d'organes de     transmis-          sion,    sur le levier 47, et provoque un dépla  cement suffisant .de ce dernier pour le porter  hors     d'engagement    d'avec le nez 45.

   Après  l'exécution de la dernière course de     travail,     lorsque la coulisse 7 recule jusqu'à sa posi  tion de départ, la rampe 69 actionne le pous  soir 67 qui provoque le dégagement .du levier  46 d'avec le bras 45, comme     décrit    plus haut.  Or, le levier 4 7 étant maintenant également       hors    de portée du nez 45, la coulisse trans  versale 6 est entièrement libérée et revient,       sous    l'action de son ressort     43,dans        laposition     de repos définie par la butée 44.

   Au cours de       ce    déplacement, la rampe 76     actionne    le     doigt     77 qui provoque le dégagement du     cliquet    de       retenue    63. Ce :dernier entraîne dans son dé  placement le cliquet d'avance 55 par l'inter  médiaire d'un nez 99. La roue à rochet 53  est alors     entièrement    libérée et revient, sous  l'action du     ressort    72, à sa     position    de repos  définie par la butée 74.

   Le     recul    de la cou  lisse 6 provoque encore     l'actionnement    du  poussoir 82 contre l'action du ressort 109, de      manière à     maintenir    les     deux    parties du ver  rou 106-107 en     position    dégagée.  



  De ce     qui    précède, on peut se rendre  compte que la coulisse longitudinale doit  obligatoirement effectuer les mêmes déplace  ments que la vis-mère, ce qui assure la pré  cision du pas du filetage sur la pièce 4, les       jeux        pouvant    être     facilement    réduits à un  minimum et, d'autre part, les poussées agis  sant     toujours    .dans la même direction, ces  jeux sont pratiquement     éliminés.    En outre,

    le dégagement du peigne est commandé par  un     relais    à action     brusque        mis    en action par  les     .déplacements.    de la coulisse longitudinale,  de sorte que ce dégagement est toujours com  mandé avec     précision        aux    instants .désirés,       d'une    part, et s'effectue, d'autre part, par un  déplacement brusque et rapide du peigne 25  sous l'action du relais, ce qui évite dans toute  la mesure du possible une     usure    du patin et  une usure locale de la vis-mère.  



       Enfin,        grâce    au fait que le chariot     porte-          outils        comporte    une coulisse inférieure     trans-          versale    portant une     coulisse        supérieure        lon-          gitudinale,    .ce tour     présente    divers autres  avantages     techniques    importants.  



  En     premier    lieu, la .longueur de la cou  lisse     destinée    à recevoir les     porte-outils    n'est  plus limitée que par les dimensions .du tour,       c'est-à-dire    par la distance séparant la broche  de la contre-pointe. Il est dès lors possible  de     fixer    un nombre de porte-outils correspon  dant au     nombre    de filetages     présentant    le  même pas que comporte la pièce à usiner.  



  En outre, tout le     dispositif    de     commande     des mouvements des coulisses croisées du cha  riot     porte-outils        peut    être fixé sur le bâti du  tour, de sorte que le chariot est allégé de  tout le poids de ces derniers. Il s'ensuit une  plus grande     stabilité    de     cette    partie mobile  et donc     une        plus    grande précision d'usinage.  L'inertie des pièces en mouvement étant  moins grande, l'usure du tour s'en trouve  réduite d'autant.  



  La coulisse supérieure effectuant un dé  placement     longitudinal,    la construction du  porte-outils est     simplifiée,    puisque les dimen  sions de ce .dernier doivent être prévues seu-    lement pour permettre la fixation vies     porte-          outils    et non plus pour recevoir la. coulisse  transversale comme dans les tours connus.  Dans une construction telle -que     décrite,    les  outils sont donc beaucoup plus stables, le  guidage des pièces qui les portent pouvant  être     dimensionné    de manière à éviter toute  usure exagérée.  



  Un autre     avantage    du tour décrit con  siste dans le fait que la came d'avance en  profondeur 51 peut être constituée par une  came universelle, ce qui évite la confection  d'une came spéciale pour chaque pièce à file  ter.     Ces        cames    sont, en effet, très coûteuses,  l'usinage -de leur rampe devant être très pré  cis .et répondre à des conditions très strictes.

         Grâce    à la butée 74 à     position    réglable per  mettant de     fixer    la position de repos de la  crémaillère et donc la position     angulaire    de  départ de la came 51, d'une part, et à la vis  de réglage 75 permettant de     fixer    la position  de la     crémaillère    71 -et donc de fixer la posi  tion     @de    la came 51 pour laquelle le verrou       41-45    est dégagé en vue de la libération de  la crémaillère 38 et du retour à la position  de repos de la     coulisse    transversale 7, d'autre  part,

   il est possible de choisir le secteur du  profil de la came 51 à utiliser dans chaque  cas précis .de manière à obtenir l'avance dé  gressive désirée des outils.  



  Enfin, la coulisse     transvèrsale    revenant  en position de repos sur sa butée 44,- provo  que     automatiquement    le retour en position de  départ de la came 51 par dégagement simul  tané des     .cliquets    63 et 55 d'avec la roue à  rochet; dégagement provoqué par la rampe  76 agissant sur le doigt 77.  



  Dans la forme     d'exécution    représentée à  la     fig.    2, le tour à fileter présente un dispo  sitif -de commande des déplacements     des    cou  lisses du chariot porte-outils qui     correspond     en tout point à     celui    décrit en référence à la       fig.    1, sauf en ce qui     concerne    le dispositif  d'arrêt automatique.

       Dans.        cette        fig.    2, les or  ganes correspondant à     ceux    de la     fig.    1 sont  désignés par les     mêmes        chiffres    -de     référénce.     Le retour de la coulisse longitudinale après  chaque course     @de    .travail est commandé exac-      tement de la même façon que dans la forme  d'exécution selon la fig. 1;

   il en est de  même en ce qui concerne l'avance en .profon  deur de la coulisse     transversale    après chaque  passe.     On,    remarque, toutefois, que le     nez    45  coopère avec le seul levier 47. Le dégage  ment de ce levier d'avec le nez 45, au lieu  d'être effectué progressivement sous l'action  des déplacements successifs de la crémaillère  71, est provoqué par la     mise    sous     tension    d'un  relais     électromagnétique    115.

   Le circuit       d'alimentation    de l'enroulement<B>116</B> de ce  relais est commandé par un interrupteur à       fermeture        brusque    117 dont la fermeture est  provoquée par les     déplacements    de la cré  maillère 71. Ainsi, dans cette deuxième forme       d'exécution,    la fermeture de l'interrupteur  117 et donc le dégagement du levier 47 d'avec  la butée 45 est provoquée par une avance  supplémentaire de la crémaillère 71 comman  dée par le retour de la coulisse longitudinale  à sa position de     repos    après l'exécution de la       dernière    passe.  



  Cette seconde forme d'exécution présente  certains avantages par rapport à celle de la  fie. 1. En effet, au     cours    des dernières passes  l'avance de l'outil en profondeur doit être  très faible et même nulle si on désire obtenir  un filet propre.     Il        s'ensuit    que les déplace  ments de la crémaillère sont faibles, et dans  le cas de la fie. 1, le     levier    47 n'est. engagé  sous le nez 45 que très faiblement. Le nez  et     l'extrémité    du     levier    47 se déforment rapi  dement, de sorte qu'on est obligé de prévoir  une rampe sur l'extrémité du     levier    46 pour  permettre son engagement.

   Il est clair qu'une  telle rampe rend     tout5    précision     illusoire.     



       Ainsi    que l'on peut s'en rendre compte,  dans     l'exécution    selon la fie. 2, le levier 47  reste toujours entièrement -engagé avec le nez  45, le relais provoquant son dégagement brus  que après la dernière passe, au cours du der  nier retour de la coulisse     longitudinale    en  position de repos.

   On voit que même lorsque  la dernière     partie    du profil de la came 51  est     circulaire,    de     manière    à obtenir la préci  sion et propreté du filetage désirées, le dé  placement de la crémaillère étant indépendant         du        profil    de la came 51, la     fermeture        brusqué     de     l'interrupteur    117 et donc la     mise    sous       tension    du relais 115 sont toujours     assurées     avec     précision.     



  Il est évident que le relais 115 pourrait  être     constitué    dans une variante d'exécution  par tout autre relais à action brusque, tel  qu'un ressort     maintenu    en     position    bandée  par un verrou, relais pneumatique ou hydrau  lique.  



  Deux formes     d'exécution    du tour à fileter  automatique ont été décrites ici à titre d'exem  ple et en référence au dessin schématique  annexé, mais il est évident que tous les or  ganes et dispositifs décrits peuvent être rem  placés par leurs équivalents. Ainsi, le relais  100     pourrait    être     constitué    par un électro  aimant mis sous tension par un contact ac  tionné par la coulisse longitudinale par  exemple.

   De     même,    le dispositif de commande  de l'engagement du patin pourrait être cons  titué par un électro-aimant mis     sous        tension     par un contact     actionné    par les     déplacements     de la     coulisse    longitudinale.  



  Le patin     pourrait    aussi     être    monté sur  un arbre et exécuter un mouvement oscillant  dans un plan perpendiculaire à l'axe de la  broche.  



  Enfin, la     vis-mère    pourrait, comme dans  les tours     connus,    être montée sur un axe rota  tif et le     patin    être monté sur une douille  oscillante et coulissante.

Claims (1)

  1. REVENDICATION Tour à fileter automatique Comportant une broche porte-pièce et un porte-outils à coulisses croisées dont les déplacements lon gitudinaux sont commandés par un patin co opérant avec une vis-mère, caractérisé par le fait qu'il comporte un relais à action brusque mis en action à la fin -de chaque course de travail et provoquant le dégagement du patin à une vitesse indépendante de la vitesse de rotation -de la vis-mère. SOUS-REVENDICATIONS 1.
    Tour selon la revendication, caractérisé par le fait qu'il présente un dispositif d'ac- tionnement du patin mis en action par le dé placement de la coulisse longitudinale at- teignant sa position de départ, et provoquant l'engagement du patin, avec la vis-mère. 2. Tour selon la revendication et la sous revendication 1, caractérisé par le fait qu'il comporte un dispositif de transmission ac tionné par les déplacements de la coulisse longitudinale atteignant sa position de fin de course de travail et provoquant la mise en action du relais. 3.
    Tour selon la revendication et les sous- revendications 1 et 2, caractérisé par le fait que la coulisse transversale du chariot porte- outils est soumise à l'action d'un ressort ten dant à la maintenir en prise avec au moins une butée mobile, actionnée, entre chaque , course de travail contre l'action de ce ressort, par le dispositif d'actionnement du patin en traînant un organe de commande de la posi tion de ladite butée mobile. 4.
    Tour selon la revendication et les sous revendications 1 à 3, caractérisé par le fait que le relais. est constitué par un ressort main tenu à l'état bandé par un verrou. 5. Tour selon la revendication et les sous- revendications 1 à 4, caractérisé par le fait qu'il présente une came reliée desmo- dromiquement à la broche et destinée à provoquer le réarmement du relais ainsi que l'engagement du patin avec la vis-mère. 6.
    Tour selon la revendication et les sous- revendications 1 à 4, caractérisé par le fait qu'il présente un dispositif. d'asservissement interdisant le réarmement du relais et l'enga gement du patin aussi longtemps que la cou lisse longitudinale est hors de sa position de départ. 7. Tour selon la revendication et les sous revendications 1 à 4, caractérisé par le fait que l'une des parties' dudit verrou est reliée mécaniquement à un organe d'actionnement dont les déplacements sont commandés, con tre l'action d'un ressort de rappel, par les déplacements de la coulisse longitudinale du porte-outils. 8.
    Tour selon la revendication et les sous- revendications 1 à 7, caractérisé par le fait que ladite coulisse longitudinale est portée par la coulisse transversale .guidée dans des guides aménagés dans une partie du bâti du tour. 9.
    Tour selon la revendication et les sous- revendications 1 à 4; caractérisé par le fait qu'il comporte une seule butée mobile s'oppo sant au déplacement de la coulisse transver sale sous l'action de son ressort de rappel, un relais à action brusque provoquant après la- dernière course de travail le dégagement brus- que de ladite butée mobile d'avec la pièce avec laquelle elle coopère. 10.
    Tour selon là revendication et les sous-revendications 1 à 4 et 9, caractérisé par le fait que la mise en action dudit relais est provoquée après la dernière course de travail par un déplacement supplémentaire com mandé par l'organe de commande de l'avance en profondeur de l'outil. 11.
    Tour selon la revendication et les sous-revendications 1 à 4, caractérisé par le fait qu'il comporte une seconde butée mobile mise, après chaque course de travail, hors de portée de la pièce avec laquelle elle doit coopérer, par un dispositif d'actionnement commandé par le déplacement de la coulisse longitudinale atteignant sa position de dé part. 12.
    Tour selon la revendication et les sous-revendications 1 à 4 et 11, caractérisé par le fait que la première butée mobile est mise, au cours de la dernière avance en profondeur de la coulisse transversale, hors de portée de la pièce avec laquelle elle coopère, par un organe d'actionnement entraîné, contre l'action d'un ressort de rappel, par l'organe de commande de l'avance en profondeur de l'outil. 13.
    Tour selon la revendication et les sous-revendications 1 à 4, caractérisé par le fait que ledit organe de commande est cons titué par une came universelle dont les dé placements angulaires sont commandés par le relais et par l'intermédiaire -d'une roue à ro chet, contre l'action d'un ressort. 14.
    Tour selon la revendication et les sous-revendications 1 à 4, caractérisé par le fait qu'il présente un dispositif de remise au- tomatique de la, cane universelle ,dans sa po sition angulaire de départ, définie par une butée réglable. 15.
    Tour selon la revendication et les sous-revendications 1 à 4 et 14, caractérisé par le fait que le dispositif de remise automa tique de la came universelle en position an- gulaire de départ est constitué par des orga nes de transmission actionnés par le déplace ment de recul de la coulisse transversale jus que dans sa position de repos définie par une butée réglable, et provoquant la libéra- tion de la roue à rochet. 16.
    Tour selon la revendication .et les sous-revendications 1 à 4, caractérisé par le fait que les organes de commande des, coulis ses, nécessaires au taillage- des filetages, sont portés par le bâti, c'est-à-dire par une partie fige du tour. 17. Tour selon la revendication et les sous-revendications 1 à 4, caractérisé par le fait que la coulisse longitudinale est aména gée pour recevoir plusieurs outils de manière à permettre le taillage de plusieurs filetages simultanément sur une même pièce.
CH251185D 1945-06-06 1945-06-06 Tour automatique à fileter. CH251185A (fr)

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CH251185A (fr) Tour automatique à fileter.
BE461341A (fr)
CH251455A (fr) Dispositif de commande des déplacements de la coulisse longitudinale d&#39;un chariot porte-outil d&#39;un tour à fileter.
CH403442A (fr) Dispositif de ravitaillement pour tour automatique à poupée mobile
CH713076B1 (fr) Presse de précision par exemple pour la pose de composants, et jeu de plusieurs sous-ensembles amovibles interchangeables entre eux pour une telle presse de précision.
CH210244A (fr) Tour à fileter.
EP0326501B1 (fr) Dispositif pour le réglage de la position d&#39;une tête porte-outil le long d&#39;un axe et procédé pour sa mise en oeuvre
BE525834A (fr)
CH240007A (fr) Dispositif de commande du quill dans une machine-outil.
CH303207A (fr) Machine pour l&#39;usinage de pierres fines, notamment de pierres pour l&#39;horlogerie.
CH216603A (fr) Tour à fileter.
CH235621A (fr) Dispositif de verrouillage d&#39;un revolver porte-outils de tour automatique.
CH318918A (fr) Dispositif automatique pour le taraudage ou le filetage
CH309262A (fr) Machine permettant l&#39;usinage simultané de pièces semblables occupant pour cela plusieurs stations.
CH353642A (fr) Procédé et machine pour affûter des forets hélicoïdaux
CH307050A (fr) Machine pour le travail des pierres utilisées notamment en horlogerie.
CH364675A (fr) Dispositif pour provoquer l&#39;arrêt, en au moins un point précis de sa course, d&#39;un organe mobile de machine entraîné par une broche filetée
FR2568503A3 (fr) Machine-outil comprenant une tete d&#39;usinage avec un dispositif de changement rapide des outils.
FR2765820A1 (fr) Broche de machine d&#39;usinage
CH345784A (fr) Tour automatique
CH353237A (fr) Machine à fileter à pas commandé
CH459703A (fr) Dispositif pour alimenter un tour en barres à usiner
CH349140A (fr) Procédé d&#39;usinage sur un tour automatique à coulisses croisées et tour automatique pour la mise en oeuvre du procédé
CH88412A (fr) Filière.