BE461341A - - Google Patents

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BE461341A
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    • BPERFORMING OPERATIONS; TRANSPORTING
    • B23MACHINE TOOLS; METAL-WORKING NOT OTHERWISE PROVIDED FOR
    • B23GTHREAD CUTTING; WORKING OF SCREWS, BOLT HEADS, OR NUTS, IN CONJUNCTION THEREWITH
    • B23G1/00Thread cutting; Automatic machines specially designed therefor
    • B23G1/02Thread cutting; Automatic machines specially designed therefor on an external or internal cylindrical or conical surface, e.g. on recesses

Description


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  Tour automatique à fileter ------- 
Les tours à fileter automatiques les plus appréciés actuellement comportent un dispositif de commande des déplacements des coulisses croisées du porte-outils présentant une vis-mère entraînée en rota- tion coopérant avec un patin coulissant parallèlement à l'axe de la vis-mère et pouvant osciller dans un plan perpendiculaire à cet axe. Des cames provoquent en début et fin de course de travail l'engagement, respectivement le dégagement du patin avec la vis-mère. Les déplace- ments du patin, parallèlement à l'axe de la vis-mère, commandent les déplacements de la coulisse longitudinale du porte-outils.

   Ces tours présentent certains incon- vénients dûs au fait que le patin doit pouvoir exécuter      

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 des déplacements dans deux plans perpendiculaires l'un par rapport à l'autre d'une part, et d'autre part au fait que le dégagement du patin d'avec la vis-mère en fin de course de travail est provoqué par une came. En effet, pour permettre au patin d'exécuter des déplacements dans deux plans perpendiculaires l'un à l'autre, les con- structeurs ont en général rendu ce patin solidaire d'une douille montée sur une tige pouvant coulisser dans ses logements. Il est évident qu'un tel montage   est,dif-   ficilement réalisable lorsqu'une grande précision de filetage est demandée, les jeux devant être réduits au minimum.

   En outre, cette douille présente en général un collier   à   position longitudinale réglable. Ce collier porte un nez destiné à coopérer avec les cames au début et à la fin de la course de travail de l'outil. Or, il est clair que la portée que peut présenter le dit nez à la came qui l'attaque est au maximum égale au pas du filet de la vis-mère. Le nez et la came s'usent donc rapidement et la commande du dégagement du patin risque de s'effectuer un tour trop tard. En conséquence, l'outil risque de se planter dans la matière et d'être, ou cassé ou en tout cas échauffé à tel point que son réaffûtage soit obligatoire. Or, après chaque réaffûtage tout le réglage du tour doit être effectué à nouveau et contrôlé si on désire obtenir un filet de précision.

   En outre, selon le degré d'usure du nez coopérant avec la came, il 

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 se peut que le patin reste à demi-engagé avec la vis- mère. Dans ce cas il se produit une usure locale rapide de la vis-mère et du patin. 



   Enfin, le mouvement de dégagement du patin ne peut être brusque puisqu'il est commandé par une came qui doit nécessairement effectuer un certain angle de rotation pour effectuer cette commande. Or, cet angle de rotation   corespond   à un angle de rotation de la vis-mère. En conséquence, le patin use les filets de la vis-mère suivant une spirale, ou, si le..patin est en un métal tendre, c'est ce dernier qui s'use prématurément. Il est évident qu'une telle usure interdit tout usinage de précision. 



   De ce qui précède on peut se rendre compte que les vis-mères et les patins des tours à fileter auto- matiques connus s'usent relativement rapidement et sur- tout très irrégulièrement, de sorte qu'il est nécessaire de les vérifier fréquemment. 



   En vue d'éliminer certains des inconvénients cités, certains constructeurs ont articulé le porte-patin directement sur la coulisse longitudinale du chariot porte- outils. Une telle construction n'est toutefois pas dé- sirable car elle alourdit le chariot porte-outils d'une part et d'autre part cette construction n'élimirepas les inconvénients dûs à la commande du patin par deux cames, l'une pour la commande de son dégagement l'autre pour la commande de son engagement. 

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   Enfin cette commande de l'engagement et du dégagement du patin au moyen de deux cames ne permet pas de réaliser une commande sûre aux grandes vitesses de coupe que permettent les outils en acier spéciaux utili- sés actuellement . En effet, pour que la commande de 1' engagement du patin avec la   vis-mère   soit effectuée de manière irréprochable, il est nécessaire que la douille porte-patin et donc toute la coulisse longitudinale du porte-outils, effectue son déplacement de retour en position de départ en un temps en tout cas bien inférieur aux temps correspondant à une révolution complète des cames. Il est clair que plus la vitesse de coupe est grande, plus la vitesse de rotation des cames est grande et plus le laps de temps encore admissible pour le retour du chariot est petit.

   En effet, la vitesse de rotation des cames peut être inférieure à celle de la vis-mère. 



  Toutefois ces deux vitesse3doivent être synchronisées et de plus la vitesse des cames ne peut être très infé- rieure à celle de la vis-mère sinon l'engagement et le dégagement du patin s'effectuent sur une très grande course angulaire de la vis-mère, ce qui provoque une usure exagérée de cette dernière d'une part et d'autre part la nécessité de prévoir une course morte longitudi- nale insuffisante pour permettre l'entrée et la sortie du burin. Or, les aciers spéciaux utilisés actuellement permettent des vitesses de coupe telles qu'il n'est plus possible de garantir un retour suffisamment rapide du 

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 chariot et il s'ensuit que le porte-patin vient buter contre la face latérale de la came de commande de 1' engagement du patin avec la vis-mère. 



   Les tours comportant deux vis-mères, l'une pour la commande de la course de travail, l'autre pour la commande de la course de retour du chariot ne permettent pas d'éviter des pertes de temps. En effet, s'ils per- mettent l'usinage à toutes les vitesses de coupe dé- sirées, la commande du retour du chariot en position de repos est toujours la cause d'une grande perte de temps. 



   L'invention a pour objet un tour automatique à fileter comportant une broche porte-pièce et un porte- outils à coulisses croisées dont les déplacements   longi-   tudinaux sont commandés par une vis-mère coopérant avec un patin. Ce tour se distingue des tours connus à ce jour par le fait qu'il présente un relais à action brusque, mis en action à la fin de chaque course de travail et provoquant le dégagement du patin à une vitesse indépendante de la vitesse de rotation de la broche. 



   Il peut présenter un dispositif d'actionnement du patin mis en action par le déplacement de la coulisse longitudinale atteignant sa position de départ, et provoquant l'engagement du patin avec la vis-mère. 



   Il peut comporter un dispositif de trans- 

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 mission actionné par les déplacements de la coulisse longitudinale atteignant sa position de fin de course de travail et provoquant la mise en action du relais. 



   La coulisse transversale du chariot porte- outils peut être soumise à l'action d'un ressort tendant à la maintenir en prise avec au moins une butée mobile, actionnée, entre chaque course de travail contre l'action de ce ressort, par le dispositif d'actionnement du patin entraînant un organe de commande de la position de la dite butée mobile. 



   Le relais à action brusque peut être con- stitué par un ressort maintenu à l'état bandé par un verrou.   Apiès   ouverture de ce dernier une came reliée desmodromiquement à la broche peut provoquer le réarme- ment du dit relais ainsi que l'engagement du patin avec la vis-mère. 



   Il peut présenter un dispositif d'asservissement interdisant le réarmement du relais et l'engagement du patin aussi longtemps que la coulisse longitudinale est hors de sa position de départ. 



   L'une des parties du dit verrou peut être reliée mécaniquement à un organe d'actionnement dont les déplacements peuvent être commandés, contre l'action d'un ressort de rappel, par les déplacements de la coulisse longitudinale du porte-outils. Cette dernière pouvant être portée par la coulisse transversale et guidée 

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 dans des guides aménagés dans une partie du bâti du tour. 



   Il peut comporter une seule butée mobile s' opposant au déplacement de la coulisse transversale sous l'action de son ressort de rappel, un deuxième relais à action brusque provoquant après la dernière course de travail le dégagement brusque de la dite butée mobile d'avec la pièce avec laquelle elle coopère. 



   La mise en action du dit second relais peut être provoquée après la dernière course de travail par un dé- placement supplémentaire de la coulisse porte-outil com- mandé par l'organe de commande de l'avance en profondeur de l'outil. 



   Il peut comporter une seconde butée mobile mise, après chaque course de travail, hors de portée de la pièce avec laquelle elle doit coopérer, par un dispo- sitif d'actionnement commandé par le déplacement de la coulisse longitudinale atteignant sa position de départ. 



   La première butée mobile peut être mise, au cours de la dernière avance en profondeur de la coulisse transversale, hors de portée de la pièce avec laquelle elle coopère, par un organe d'actionnement entraîné, contre l'action d'un ressort de rappel, par l'organe de commande de l'avance en profondeur de l'outil. 



   Le dit organe de commande de la première butée mobile peut être constitué par une came universelle dont 

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 les déplacements angulaires sont commandés par le relais et par l'intermédiaire d'une roue à rochet, contre 1' action d'un ressort. 



   Il peut présenter un dispositif de remise auto- matique de la came universelle dans sa position angulaire de départ, définie par une butée réglable, ce dispositif pouvant être constitué par des organes de transmission actionnés par le déplacement de recul de la coulisse transversale jusque dans sa position de repos définie par une butée réglable, et provoquant la libération de la roue à rochet. 



   Les organes de commande des coulisses, néces- saires au taillage des filetages, sont portés par le bâti, c'est-à-dire par une partie fixe du tour. 



   La coulisse longitudinale peut être   aménagée   pour recevoir plusieurs outils de manière à permettre le taillage de plusieurs filetages simultanément sur une même pièce. 



   Le dessin annexé montre à titre d'exemple une vue perspective schématique d'une forme d'exécution d'un tour à fileter automatique. 



   Le tour représenté comporte une broche 1 tour- nant dans des paliers 2 aménagés dans un bâti 3 du tour. 



  La broche 1 est entraînée en rotation par un moteur M et porte la pièce 4 à usiner. Une contre-pointe 5 maintient cette dernière en position à son extrémité libre. 



   Ce tour comporte un chariot porte-outils à 

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 coulisses croisées dont la coulisse transversale 6 est guidée par des guides aménagés dans le bâti 3 et porte la coulisse longitudinale 7 guidée par des guides aménagés dans la coulisse transversale 6. Cette coulisse longi- tudinale 7 est soumise à l'action d'un ressort de rappel 8 tendant à la maintenir en prise avec une butée de repos 9 à position réglable. 



   La coulisse longitudinale 7 est reliée par des organes de transmission à une vis-mère ou "patrone" 10. 



  Cette dernière est entraînée en rotation par le moteur M et par l'intermédiaire d'un train d'engrenages inter- changeables. Cette vis-mère est montée rigidement sur un arbre 11 dont une extrémité 12 est canelée, et coulisse à l'intérieur' d'une douille 13. Cette douille tourne dans un palier 14 aménagé dans le bâti du tour et porte deux engrenages 15,16 fixés chacun rigidement sur l'une de ses extrémités. L'engrenage 15 est en prise avec une roue dentée 17 solidaire de l'arbre de la broche 1. L' arbre 11 est donc entraîné en rotation par le moteur M; en outre il est relié par l'intermédiaire d'un accouple- ment 18, à un poussoir 19 coulissant dans un guide 20 pratiqué dans le bâti du tour. Un doigt 21, engagé dans une rainure 22, interdit tout déplacement angulaire du poussoir.

   A son extrémité libre ce poussoir porte un doigt 23 engagé dans une rainure transversale 24 de la coulisse 7. Le patin ou peigne 25 coulisse dans un loge- 

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 ment 26 aménagé dans le bâti. Un doigt de commande 27 engage dans un logement 28 commande les déplacements du peigne provoquant son engagement et son dégagement d' avec la vis-mère 10. Ce doigt 27 est monté rigidement sur un axe 29 tournant dans des paliers aménagés dans le bâti du tour. L'axe 29 porte encore un levier 30 dont l'extrémité libre coopère avec une came 31 provoquant les mouvements d'engagement du patin à chaque retour du chariot en position de repos. Cette came 31 est soli- daire d'un arbre 32 entraîné en rotation par le moteur M et par l'intermédiaire des engranages 17,15, 16, 33, 34 et d'un accouplement 35.

   Le dégagement du patin est, par contre, provoqué par un relais à action brusque mis en action à la fin de chaque course de travail de l' outil. Ce relais est constitué par un ressort 100 monté sur une tige 101 coulissant dans des logements aménagés dans le bâti et portant une crémaillère 102 et un poussoir 103. 



   La crémaillère 102 est en prise avec un secteur denté 104 monté rigidement sur un axe 105 et comportant un bras 106 dont l'extrémité coopère avec un doigt 107. 



  Ce dernier est monté sur un axe 108 dont les déplacements angulaires sont commandés, contre l'action d'un ressort de rappel 109, par les déplacements de la coulisse longi- tudinale 7. 



   Un second secteur denté 110 fixé sur l'axe 105 est en prise avec un secteur denté 111 fixé sur l'arbre 29, et relie donc mécaniquement la tige 101 au doigt 27 qui commande les déplacements du patin. 



   Le poussoir 103 est relié par des chaînes d' 

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 organes de transmission: 
1) à un maneton de commande 60 de l'avance de 1' outil en profondeur entre chaque passe, 
2) à un doigt oscillant 61 engagé dans une rainure 62 de la réglette 41 et commandant les déplacements de celle-ci et donc le retrait et l'engagement de l'outil avec la pièce en usinage à la fin et au début de chaque passe. 



   Les mouvements d'engagement et de dégagement des parties menante et menée de l'accouplement 35 sont com- mandés manuellement. A cet effet, l'une des parties de 1' accouplement 35 est reliée par l'intermédiaire d'organes de   transmission   un organe de manoeuvre L. Ce dernier est en outre relié, par une chaîne d'organes de trans- mission, à une douille 36 portant un secteur denté 37 en prise avec une crémaillère 38 coulissant dans un guide 39 aménagé dans la coulisse transversale 6. L'extrémité 40 de cette crémaillère coopère avec la face latérale d'une réglette 41 coulissant dans un guide 42 de la cou- lisse 6. Ce guide 42 est pratiqué dans un plan per- pendiculaire au plan du guide 39 et un ressort 43 tend à maintenir la face latérale de la réglette en contact avec l'extrémité 40 de la crémaillère.

   La manoeuvre de l'organe L provoque donc simultanément: 
1) l'engagement des parties menée et menante de l' accouplement 35, 
2) La mise en position transversale de début de travail 

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 du chariot porte-outils par le déplacement de la coulisse transversale 6 contre l'action de son ressort de rappel 43 qui tend à la maintenir en position de repos, c'est-à-dire en prise avec une butée d'arrêt 44 à positions réglables. 



   La douille 36 porte encore un nez 45 coopérant avec deux leviers 46,47 en vue de maintenir la coulisse transversale en position de travail contre l'action du ressort de rappel 43. Ces leviers constituent.donc avec le nez 45 deux verrous dont l'ouverture de l'un est commandée à la fin de chaque passe, tandis que l'ouverture de l' autre est commandée en fin d'usinage du filet. 



   Les leviers 46, 47 sont pivotés sur l'un des bras d'un levier 48 pivoté lui-même sur un axe fixe 49. 



  L'autre bras de ce levier 48 porte un galet 50 coopérant avec une came universelle 51 montée sur un axe 52 tournant dans des paliers (non représentés) aménagés dans le bâti du tour. Cet axe 52 porte encore, fixées rigidement sur lui, une roue à rochet 53 et une roue dentée 54. Un cliquet d'avance 55 coopère avec la roue à rochet 53 en vue de provoquer, entre chaque passe un déplacement angu- laire de la came universelle 51, et par l'intermédiaire du levier 47 un déplacement , en direction de la pièce en usinage, de la coulisse transversale 6 du chariot porte- outils. Ce cliquet d'avance 55 est articulé sur un levier 57 pivoté fou sur l'axe 52 et est soumis à l'action d'un ressort 56 tendant à le maintenir en prise avec la denture 

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 de la roue 53.

   Le levier 57 est relié par une tringle 58 à la manivelle de commande de l'avance en profondeur de l'outil. Celle-ci est constituée par un disque 59 comportant un maneton 60 à position radiale réglable. 



  Comme indiqué plus haut le disque 59 est relié mécanique- ment par une chaîne d'organes de transmission à la tige 101 soumise à l'action du ressort 100. 



   Un cliquet de retenue 63 solidaire d'un axe 64 tournant dans des paliers aménagés dans le bâti du tour, coopère, sous l'influence d'un ressort de rappel 65 avec la roue à rochet 53. Ce cliquet   63   est destiné à retenir la roue à rochet 53 en position angulaire pen- dant la course de retour du cliquet d'avance 55. Le dé- gagement de ce cliquet de retenue est provoqué en fin d' usinage par le retour de la coulisse transversale en po- sition de repos. A cet effet la coulisse 6 porte une rampe de commande 76 coopérant avec un doigt 77 solidaire de l'axe 64. L'un 46 des verrous est dégagé du nez 45 en fin de chaque course de retour, en position de repos, de la coulisse longitudinale, c'est-à-dire après chaque passe, par l'intermédiaire d'un poussoir 66.

   Ce dernier est relié mécaniquement à un doigt 67 guidé dans un per- çage pratiqué dans la coulisse transversale 6 et coopérant, sous l'action d'un ressort 68, avec une rampe 69 soli- daire de la coulisse longitudinale 7. 



   Le second verrou 47 est dégagé du nez 45 en 

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 fin de course de la coulisse transversale 6, c'est-à-dire au cours de la dernière avance en profondeur de cette coulisse. A cet effet, ce verrou est actionné par un poussoir 70 actionné par une crémaillère 71 soumise à l'action d'un ressort de rappel 72. La crémaillère est actionnée, contre l'action de son ressort, par la roue dentée 54 qui est en prise avec un pignon 73 en prise lui-même avec la crémaillère 71. La position de repos ou de départ de la crémaillère est fixée par une butée 74 à position réglable au moyen de la vis 75. La crémail- lère étant reliée desmodromiquement à lacame universelle 51 cette butée 74 fixe également la position angulaire de départ de la dite came. 



   Lorsque le galet 50 atteint le sommet de la came 51 la crémaillère 71 provoque le dégagement du levier 47 d'avec le nez 45 par l'intermédiaire d'une chaîne d' organes de transmission. 



   La coulisse longitudinale 7 est prévue de lon- gueur suffisante pour permettre la fixation sur sa face supérieure de plusieurs porte-outils 78. Chacun de ces derniers est prévu pour recevoir un outil 79 destiné au taillage d'un filetage. 



   Le fonctionnement du tour à fileter automati- que est, ainsi que l'on peut s'en rendre compte de de qui précède, semblable   à   celui des tours connus de ce genre. 



   Lorsque le tour est au repos, le levier 106 

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 est   dégage   du doigt 107, l'accouplement 35 est en posi- tion dégagée, les coulisses transversales et longitudinales reposent sur leurs butées respectives 9 et 44 . La crémail- lère 71 est également sur sa butée 74, le verrou 46 est dégagé ainsi que le verrou 47, enfin l'extrémité 40 du poussoir 38 est logée dans un évidement 80 de la réglette 41. 



   Le moteur M étant sous tension, la mise en marche du tour est obtenue par la manoeuvre de l'organe manuel L, dans le sens des aiguilles d'une montre, pour l'amener jusque dans la position représentée au dessin. 



   Cette manoeuvre provoque: 
1) l'engagement des parties menante et menée de 1' accouplement 35, 
2) l'actionnement de la coulisse transversale 6 hors de sa position de repos, contre l'action de son ressort de rappel, jusque dans sa position avancée pour laquelle l'outil n'est pas encore en prise avec la pièce 4, 
3) l'engagement du levier 47 avec le nez 45 sous l'action d'un ressort. 



   Cette position de la coulisse transversale est fixée par la position de la butée 74 qui définit la posi- tion angulaire de départ de la came universelle 51. 



   Au cours de ce déplacement de la coulisse 6, la rampe 76 a, en effet, quitté le doigt 77, de sorte que le cliquet de retenue vient en prise avec la roue à rochet 

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 sous l'action du ressort de rappel 65. 



   Lorsque l'accouplement 35 est en position engagée l'arbre 32 actionne en rotation la came 31 qui provoque un déplacement angulaire du bras 30 dont l' extrémité repose sur son profil. Ce déplacement angulaire du bras 30 provoque: 
1) l'oscillation du doigt 27 et l'engagement du peigne 
25 avec les filets de la vis-mère 10, 
2) par l'intermédiaire des secteurs dentés lll, 110 
104 et de la crémaillère 102, le déplacement vers la droite du dessin de la tige 101 et la compres- sion du ressort 100, 
3) le déplacement angulaire du bras 106 jusque dans la position représentée au dessin, pour laquelle le doigt 107   coopèrant   avec l'extrémité du dit bras interdit tout déplacement de la tige 101 sous l' action du ressort 100, 
4)

   par l'intermédiaire du poussoir 103 l'oscillation du doigt 61 et le déplacement de la réglette vers la gauche du dessin jusque dans la position re- présentée. Pour cette position de la réglette l' extrémité 40 de la crémaillère 38 est sortie de l'évidement 80 et a provoqué une avance transver- sale de la coulisse 6 amenant la pointe de l' outil à fleur de la surface de lapièce à usiner, 
5) par l'intermédiaire du poussoir 103, la rotation 

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 dans le sens des aiguilles d'un montre du maneton de commande de l'avance en profondeur.

   Ce dé- placement angulaire du maneton 60 provoque l' oscillation, en sens inverse des aiguilles d'une montre, du levier 57 et l'actionnement dans ce même sens de la roue à rochet 53 par l'intermé- diaire du cliquet d'avance 55, 
6) le déplacement angulaire de la came universelle 51 solidaire de la roue à rochet 53, déplacement qui provoque, par l'intermédiaire du galet 50, des leviers 47, 48 du nez 45, du secteur denté 37 en prise avec la crémaillère 38, un déplacement de cette dernière qui actionne la coulisse trans- versale 6, contre l'action de son ressort de rappel, et provoque l'avance en profondeur de l'outil et l'engagement de celui-ci avac la pièce en usinage. 



   La   vis-mre   étant en rotation, et le peigne engagé, celle-ci subit un déplacement axial vers la droite du dessin. Elle entraîne dans son déplacement la coulisse 7, de sorte que la pièce 4 étant entraînée en rotation par le moteur M, l'outil 79 taille un filet. 



   A la fin de la course de travail, une butée 81 actionne un poussoir 82 contre l'action du ressort 109 et provoque le dégagement du verrou 107, 106 qui maintient le relais en position armée (position représentée). 



   Dès lors le relais constitué par le ressort 100 

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 est mise en actionet provoque: 
1) le recul brusque et rapide du peigne ; 
2) le déplacement vers la droite du dessin de la réglette 41 jusqu'à ce que l'évidement 80 soit en regard de l'extrémité 40 de la crémaillère 38. 



   A ce moment le ressort 43 provoque le recul de la coulisse 6 ainsi que le dégagement de l'outil d' avec la pièce en usinage; 
3) l'actionnement dans le sens des aiguilles d'une montre du cliquet 55. 



   Le peigne étant dégagé de la vis-mère, le ressort 8 repousse la coulisse longitudinale 7 jusqu'à sa position de repos, définie par la butée 9. En fin de course de retour, la rampe 69 actionne le doigt 67 contre l'action de son ressort 68 et provoque le dégagement du levier 46 d'avec le nez 45 (position représentée au dessin). 



   L'arbre 32 continuant sa rotation, la came 31 actionne à nouveau le levier 30 et le même cycle de mouvement est effectué une seconde fois. 



   Toutefois afin d'éviter que la came 31 puisse actionner le levier 30 à l'instant de l'ouverture du verrou 107, 106 ce qui empêcherait le retrait du patin, un dispositif d'asservissement est prévu. Ce dispositif interdit l'actionnement du levier 30 par la came 31 aussi longtemps que le verrou 83-84 est dans la position repré- 

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 sentée au dessin, c'est-à-dire en position fermée. 



  Ce dispositif est constitué par un verrou 83-84 maintenu en position fermée (position représentée) par un ressort non représenté. L'une 83 des parties de ce verrou, portée par un levier 88 et pivoté en 85 est actionnée, contre l'action du ressort de rappel, à   la '   fin de la course de retour de la coulisse longitudinale. 



  A cet effet le poussoir 19 porte un doigt d'entraînement 86 destiné à coopérer avec un ergot 87 solidaire du levier 88. La seconde partie 84 du verrou est constituée par un bras solidaire d'une douille 90 montée folle sur l'arbre 29. Cette douille porte un second bras 91 portant un ergot 92 destiné à coopérer avec une rampe 93 soli- daire de la came 31. Cette dernière coopérant avec le levier 30 provoque le réarmement du verrou 83-84. Cette came 31 coulisse sur l'axe 32 et un ressort 89 tend à la maintenir hors de portée du levier 30, desorte qu'elle ne peut provoquer l'oscillation de ce dernier aussi long- temps que le verrou 106-107 est dans la position re- présentée. 



   Lorsque le verrou 83-84 est ouvert, le bras 91 oscille et l'ergot 92 coopérant avec la rampe 93 dé- place la came 31, contre l'action de son ressort 89, d' une quantité suffisante pour qu'elle coopère avec le levier 30. Ainsi ce n'est que lorsque la coulisse longitudinale est en position de début d'usinage que la came 31 peut provoquer: 

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1) l'engagement du patin avec la vis-mère; 
2) le réarmement du relais constiuté par le ressort 
100; 
3) l'avance en profondeur de l'autil, par l'action- nement de la roue à rochet 53; 
4) la mise en position de travail de l'outil par l' actionnement de la réglette 41. 



   Ainsi la sécurité de fonctionnement est complète et aucune erreur de commande ne peut se produire quelle que soit la vitesse de rotation de la broche. 



   L'outil taille au cours de chaque course de travail toujours plus profondément le filet dans la pièce 4. Enfin, au cours de la dernière avance en pro- fondeur commandée par la came universelle 51, la crémaillère 71 actionnée par l'arbre 52 agit, par l' intermédiaire de la chaîne d'organes de transmission, sur le levier 47, et provoque un déplacement suffisant de ce dernier pour le porter hors d'engagement d'avec le nez 45. Après l'exécution de la dernière course de travail, lorsque la coulisse 7 recule jusqu'à sa position de dé- part, la rampe 69 actionne le poussoir 67 qui provoque le dégagement du levier 47 étant maintenant également hors de portée du nez 45, la coulisse transversale 6 est entièrement libérée et revient, sous l'action de son ressort 43, dans la position de repos définie par la butée 44.

   Au cours de ce déplacement, la rampe 76 actionne le doigt 77 qui provoque le dégagement du cliquet de re- 

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 portant une coulisse supérieure longitudinale, ce tour présente divers autres avantages techniques importants. 



   En premieur lieu, la longueur de la coulisse destinée à recevoir les porte-outils n'est plus limitée que par les dimensions du tour, c'est-à-dire par la distance séparant la broche de la contre-pointe. Il est dès lors possible de fixer un nombre de porte- outils correspondant au nombre de filetages présentant le même pas que comporte la pièce à usiner. 



   En outre, tout le dispositif de commande des mouvements des coulisses croisées du chariot porte-outils peut être fixé sur le bâti du tour, de sorte que le chariot est allégé de tout le poids de ces derniers.Il s'ensuit une plus grande stabilité   démette   partie mobile et donc une plus grande précision d'usinage. L'inertie des pièces en mouvement étant moins grande, l'usure du tour s'en trouve réduite d'autant. 



   La coulisse supérieure effectuant un déplace- ment longitudinal , la construction du porte-outil est simplifiée puisque les dimensions de ce dernier doivent être prévues seulement pour permettre la fixation des porte-outils et non plus pour recevoir la coulisse trans- versale comme dans les tours connus. Dans une con- struction telle que décrite, les outils sont donc oeau- coup plus stables, le guidage des pièces qui les porte pouvant être dimensionné de manière à éviter toute usure exagérée. 

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 tenue 63. Ce dernier entraîne dans son déplacement le cliquet d'avance 55 par l'intermédiaire d'un nez 99. 



  La roue à rochet 53 est alors entièrement libérée et revient, sous l'action du ressort 72, à sa position de repos définie par la butée 74. 



   Le recul de la coulisse 6 provoque encore l' actionnement du poussoir 82 contre l'action du ressort 109 de manière à maintenir les deux parties du verrou   106-107   en position dégagée. 



   De ce qui précède, on peut se rendre compte que la coulisse longitudinale doit obligatoirement effectuer les mêmes déplacements que la vis-mère, ce qui assure la précision du pas du filetage sur la pièce 4, les jeux pouvant être facilement réduits à un minimum et d'autre part les poussées agissant toujours dans la même direction , ces jeux sont pratiquement éliminés. 



  En outre, le dégagement du peigne est commandés par un relais à action brusque mis en action par les déplace- ments de la coulisse longitudinale de sorte   que   ce dégagement est toujours commandé avec précision aux in- stants désirés d'une part, et s'efi'ectue d'autre part par un déplacement brusque et rapide du peigne 25 sous l'action du relais, ce qui évite dans toute la mesure du possible une usure du patin et une usure locale de la vis-mère. 



   Enfin, grâce au fait que le chariot porte- outils comporte une coulisse inférieure transversale 

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Un autre avantage du tour décrit consiste dans le fait que la came d'avance en profondeur 51 peut être constituée par une carne universelle, ce qui évite la confection d'une came spéciale pour chaque pièce à fileter. Ces cames sont en effet, très coûteuses, 1' usinage de leur rampe devant être très précis et répondre à des conditions très strictes.

   Grâce à la butée 74 à position réglable permettant de fixer la position de repos de la crémaillère et donc la position angulaire de départ de la came 51 d'une part, et à la vis de ré- glage 75 permettant de fixer la position de la   crémail-   lère 71 et donc de fixer la position angulaire de la came 51 pour laquelle le verrou 47-45 est dégagé en vue de la libération de la crémaillère 38 et du retour à la position de repos de la coulisse transversale 7 d' autre part, il est possible de choisir le secteur du profil de la came 51 à utiliser dans chaque cas précis de manière à obtenir l'avance dégressive désirée des outils. 



   Enfin, la coulisse transversale revenant en position de repos sur sa outée 44, provoque automatique- ment le retour en position de départ de la came 51 par dégagement simultané des cliquets 63 et 55 d'avec la   roue à rochet ; dégagementprovoqué par la rampe 76   agissant sur le doigt 77. 



   Dans la forme d'exécution représentée à la 

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 fig. 2 le tour à fileter présente un dispositif de commande des déplacements des coulisses du chariot porte- outils qui correspond en tout point à celui décrit en référence à la fig. 1 sauf en ce qui concerne le dispo- sitif d'arrêt automatique. Dans cette fig. 2-les organes correspondant à ceux de la fig. 1, sont désignés par les mêmes chiffres de référence. Le retour de la coulisse longitudinale après chaque course de travail est commandé exactement de la même façon que dans la forme d'exé- cution selon la fig. 1; il en est de même en ce qui con- cerne l'avance en profondeur de la¯coulisse transversale après chaque passe. On remarque toutefois que le nez 45 coopère avec le seul levier 47.

   Le dégagement de ce levier d'avec le nez 45 au lieu d'être effectué progressivement sous l'action des déplacements successifs de la crémail- lère   71   est   provoqué   par la mise sous tension d'un relais électro-magnétique 115. Le circuit d'alimentation de 1' enroulement 116 dece relais est commandé par un inter- rupteur à fermeture brusque 117 dont la fermeture est provoquéepar les déplacements de la crémaillère   71.   



   Cette seconde forme d'exécution présente certains avantages par rapport à celle de la fig. 1. En effet, au cours des dernières passes l'avance de l'outil en profon- deur doit être très faible et même nulle si on désire obtenir un filet propre. Il s'ensuit que les déplacements 

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 de la crémaillère sont faibles, et dans le cas de la   f ig.   l, le levier 47 n'est engagé sous le nez 45 que très faiblement. Le nez et l'extrémité du levier 47 se déforment rapidement, de sorte qu'on est obligé de prévoir une rampe sur l'extrémité du levier 46 pour per- mettre son engagement. Il est clair qu'une telle rampe rend toute précision illusoire. 



   Ainsi que l'on peut s'en rendre compte, dans l'exécution selon la fig. 2, le levier 47 reste toujours entièrement engagé avec le nez 45, le relais provoquant son dégagement brusque après la dernière passe, au cours du dernier retour de la coulisse longitudinale en position de repos. On voit que même lorsque la dernière partie du profil de la came 51 est circulaire, de manière à obtenir la précision et propreté du filetage désirées, le dé- placement de la crémaillère étant indépendant du profil de la came 51, la fermeture brusque de l'interrupteur   117   et donc la mise sous tension du relais 115 sont toujours assurées avec précision. 



   Il est évident que le relais 115 pourrait être constitué dans une variante d'exécution   part -tout   autre relais à action brusque, tel qu'un ressort maintenu en position bandée par un verrou, relais pneumatique ou hydraulique. 



   Deux formes d'exécution du tour à fileter automatique ont été décrites ici à titre d'exemple et en référence au dessin schématique annexé, mais il est 

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 évident que tous les organes et dispositifs décrits peuvent être remplacés par leurs équivalents. Ainsi le relais 100 pourrait être constitué par un électro-aimant mis sous tension par un contact actionné par la coulisse longitudinale par exemple. De même le dispositif de   commande   de l'engagement du patin pourrait être con- stitué par un électro-aimant mis sous tension par un contact actionné par les déplacements de la coulisse longitudinale. 



   Le patin pourrait aussi être monté sur un arbre et exécuter un mouvement oscillant dans un plan per- pendiculaire à l'axe de la broche. 



   Enfin la vis-mère pourrait, comme dans les tours connus, être montée sur un axe rotatif et le patin être monté sur une douille oscillante et coulissante.

Claims (1)

  1. REVENDICATIONS 1 Tour à fileter automatique comportant une broche porte-pièce at un porte-outils à coulisses croisées dont les déplacements longitudinaux sont com- mandés par un patin coopérant avec une vis-mère, caracté- risé par le fait qu'il comporte un relais à action brusque mis en action à la fin de chaque course de travail et provoquant le dégagement du patin à une vitesse indé- pendante de la vitesse de rotation de la vis-mère.
    2 Tour selon la revendication 1, caractérisé par le fait qu'il présente un dispositif d'actionnement du patin mis en action par le déplacement de la coulisse longitudinale atteignant sa position de départ, et pro- voquant l'engagement du patin avec la vis-mère.
    3 Tour selon les revendications 1 et 2, caracté- risé par le fait qu'il comporte un dispositif de trans- mission actionné par les déplacements de la coulisse longitudinale atteignant sa position de fin de course de travail et provoquant la mise en action du relais.
    4 Tour selon les revendications 1 à 3, caracté- risé par le fait que la coulisse transversale du chariot porte-outils est soumise à l'action d'un ressort tendant à la maintenir en prise avec au moins une butée mobile, actionnée, entre chaque course de travail contre 1' <Desc/Clms Page number 28> action de ce ressort, par le dispositif d'actionnement du patin entraînant un organe de commande de la position de la dite butée mobile.
    5 Tour selon les revendications 1 à 4, caracté- risé par le fait que le relais est constitué par un ressort maintenu à l'état bandé par un verrou.
    6 Tour selon les revendications 1 à 5, caracté- risé par le fait qu'il présente une came reliée desmo- dromiquement à la broche et destinée à provoquer le réarmement du relais ainsi que l'engagement du patin avec la vis-mère.
    7 Tour selon les revendications 1 à 6, caracté- risé par le fait qu'il présente un dispositif d'asser- vissement interdisant le réarmement du relais et 1' engagement du patin aussi longtemps que la coulisse longitudinale est hors de sa position de départ.
    8 Tour selon les revendications 1 à 7, caracté- risé par le fait que l'une des parties du dit verrou est reliée mécaniquement à un organe d'actionnement dont les déplacements sont commandés, contre l'action d'un ressort de rappel, par les déplacements de la coulisse longitudinale du porte-outils.
    9 Tour selon les revendications 1 à 8, caracté- risé par le fait que la dite coulisse longitudinale est portée par la coulisse transversale guidée dans des <Desc/Clms Page number 29> guides aménagés dans une partie du bâti du tour.
    10 Tour selon les revendications 1 à 5, caracté- risé par le fait qu'il comporte une seule butée mobile s'opposant au déplacement de la coulisse transversale sous l'action de son ressort de rappel, un relais à action brusque provoquant après la dernière course de travail le dégagement brusque de la dite butée mobile d'avec la pièce avec laquelle elle coopère.
    11 Tour selon les revendications 1 à 5 et 10, caractérisé par le fait que la mise en action du dit relais est provoquéeaprès la dernière course de travail par un déplacement supplémentaire commandé par l'organe de commande de l'avance en profondeur de l'outil.
    12 Tour selon les revendications 1 à 5, caracté- risé par le fait qu'il comporte une seconde butée mobile mise, après chaque course de travail, hors de portée de la pièce avec laquelle elle doit coopérer, par un dispositif d'actionnement commandé par le déplacement de la coulisse longitudinale atteignant sa position de départ.
    13 Tour selon les revendications 1 à 5 et 12, caractérisé par le fait que la première butée mobile est mise, au cours de la dernière avance en profondeur de la coulisse transversale, hors de portée de la pièce avec laquelle elle coopère, par un organe d'actionnement <Desc/Clms Page number 30> entraîné, contre l'action d'un ressort de rappel, par l'organe de commande de l'avance en profondeur de 1' outil.
    14 Tour selon les revendications 1 à 5, caracté- risé par le fait que le dit organe de commande est con- stitué par une came universelle dont les déplacements angulaires sont commandés par le relais et par l'inter- médiaire d'une roue à rochet, contre l'action d'un ressort.
    15 Tour selon les revendications 1 à 5, caracté- risé par le fait qu'il présente un dispositif de remise automatique de la came universelle dans sa position angulaire de départ, définie par une butée réglable.
    16 Tour selon les revendications 1 à 5 et 15, caractérisé par le fait que le dispositif de remise automatique de la came universelle en position angulaire de départ est constitué par des organes de transmission actionnés par le déplacement de recul de la coulisse transversale jusque dans sa position de repos définie par une butée réglable, et provoquant la libération de la roue à rochet.
    17 Tour selon les revendications 1 à 5, caracté- risé par le fait que les organes de commande des cou- lisses, nécessaires au taillage des filetages, sont portés par le bâti, c'est-à-dire par une partie fixe du tour. <Desc/Clms Page number 31> 18 Tour selon les revendications 1 à 5, caracté- risé par le fait que la coulisse longitudinale est aménagés pour recevoir plusieurs outils de manière à permettre le taillage de plusieurs filetages simultané- ment sur une même pièce.
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