Instrument de dessin. L'objet de l'invention est un instrument de dessin.
Il est caractérisé par le fait qu'il com prend en combinaison, d'une part, une verge présentant une coulisse longitudinale, ainsi qu'une graduation et des repères, d'autre part, des curseurs pouvant être déplacés le long de la coulisse et être immobilisés aux points voulus de celle-ci, en vue de permettre notamment le tracé de cercles.
Le dessin annexé représente, à titre d'exemples, deux formes d'exécution- de l'ins trument de dessin selon l'invention.
Les fig. 1 et 2 montrent respectivement une première forme d'exécution, quand elle sert au tracé d'ellipses, d'une part, à celui de cercles ou d'angles, d'autre part; Les fig. 3, 4, 5 en sont des coupes par les lignes III-III, IV-IV, V-V des fig. 1 et 2; Les fig. 6 à 11 en sont des vues de dé tail; Les fig. 12 et 13 sont un plan et une vue en bout de la verge de la seconde forme d'exécution;
Les fig. 14 et 15 sont un plan et une vue en bout d'un accessoire de la seconde forme d'exécution.
La pièce servant au tracé des ellipses et présentant deux guides est constituée par une croix 1 (fig. 1 et 2) comportant quatre bran ches 2, 3 de longueurs égales; ses branches ont une section transversale en<B>U,</B> de façon à présenter des rainures longitudinales rec tilignes 4 se croisant et formant les guides; un trou 5 est ménagé en son centre.
Des al longes, telles que 6, servent à augmenter la longueur des branches 2, 3; elles ont exacte ment la même section transversale et sont munies à l'une de leurs extrémités de tenons horizontaux de raccord 7 se logeant dans des trous 8 ménagés, soit dans les branches 2, 3, soit dans d'autres allonges.
La croix 1 et les allonges peuvent être munies d'aiguilles destinées à être plantées dans le.support sur lequel les ellipses seront tracées, Une verge ou règle 9 coopère avec la croix 1 pour le tracé des ellipses. Elle se compose selon les fig. 1 et 2 de deux longues barres parallèles 10, 11 se trouvant à une certaine distance l'une de l'autre et de traverses ex trêmes 12. Les, barres 10, 11 ont une section transversale rectangulaire (voir encore les fig. 3 à 7) et présentent sur leurs faces en regard des battues inférieures 13.
Dans l'une des traverses est ménagée une décou pure 14 en demi-cercle augmentant la visi bilité sur le support sur lequel les ellipses seront tracées. Vers l'autre extrémité de la règle est ménagée une double encoche rectan gulaire 10a, 11a (fig. 1), intérieure, grâce à laquelle l'écartement entre les barres est le même en cet endroit du haut en bas de ces barres.
L'une des barres 10 porte une. gradua tion 15 (fig. 2) en cm et mm, sans chiffres, et peut être munie de distance en distance, par exemple de 5 cm en 5 cm, de repères bien visibles, de cercles et de croix par exemple: ceci permeù de choisir l'une quelconque des. divisions comme 0, sans être gêné par des chiffres.
Une ou plusieurs allonges 90 (fig. 8 et 9) permettent d'augmenter à volonté la longueur de la règle 9; elles ont une section transver sale identique à celle de cette dernière et une disposition générale semblâble. Elles sont re liées à la première partie de la règle ou entre elles par des éclisses 91.
Chacune- de celles-ci est formée d'une plaquette allongée présen tant deux trous 92 et deux rebords extrêmes 93. Dans les trous 92 passent les corps de vis 94 munies de têtes. rectangulaires 95 qui sont logées entre les battues 13 et prennent appui sur les parties supérieures des barres 10, 11; des écrous 96 ayant la forme de cha peaux circulaires moletés assurent le ser rage. Les rebords extrêmes 93 prennent exac tement position entre ces parties supérieures des barres 10, 11.
Les écrous 96 et les vis 94 maintiennent la plaquette 91 sur la pre mière partie de la règle et l'allonge ou sur deux allonges, tandis que les rebords 93 assu rent l'alignement de cette partie -et de ces allonges. La liaison entre la croix 1 et la règle 9 est réalisée au moyen de deux curseurs 16, 17 (fig. 1 et 5) comportant chacun deux par ties superposées 18, 21.
La partie inférieure 18 est rectangulaire en plan, a la forme d'un <B>U,</B> se trouve sous les barres 10, 11 et présente une saillie intérieure<B>19;</B> ses ailes 20 em brassent les faces extérieures de 10 et 11, tan dis que sa saillie pénètre dans les battues 13 de 10, 11.
La partie supérieure 21., rectangu laire en plan, a une . section longitudinale faite de deux rectangles superposés de lon gueurs différentes; elle repose par le premier sur les faces supérieures des barres 10, 11; -le second est logé entre celles-ci. Ces deux parties sont reliées par une vis 2.2 et un écrou 23 affectant la forme d'un chapeau cylindri que moleté; la tête 24 de la vis porte un bloc pivotant 25 en forme générale de prisme droit à bases rectangulaires, se mouvant dans la rainure correspondante 4 de l'une des bran- elles 2, 3 de la croix 1.
Le long de la règle 9 peut se mouvoir un curseur 26 (fig. 1, 2, 3) servant au guidage d'un crayon. Il comporte deux parties super posées 27, 28. Sa partie inférieure 27 elle- même se divise en deux pièces superposées 30, 31; la pièce inférieure 30 a la forme d'une croix; les branches transversales à la règle 9 comportent chacune un logement 32 ren fermant une-bille 33 destinée à rouler sur le support sur lequel l'ellipse sera tracée;
dans les branches parallèles à la règle sont -ména gés deux trous, l'un circulaire 34, - de petit diamètre, devant donner passage avec peu de jeu à une mine de crayon fine, l'autre, 35, en forme de losange, servant au passage aisé et libre de mines plus grosses qui sont main tenues à la main dans l'un des angles aigus du losange.
La pièce 31 de la partie inférieure 27 est rectangulaire en plan, a une section transversale en forme d'U,. se trouve sous les barres 10, 11 et présente une saillie intérieure 36; ses ailes 37 embrassent les faces exté rieures verticales de 10, 11, tandis que sa saillie 36 pénètre entre les battues 13 de 10, 11: Les deux pièces 30, 31 sont réunies par des vis 38; elles emprisonnent les billes 33. La section de la partie supérieure 28 du cou lisseau- 26 transversale aux barres 10, 11, se compose de deux rectangles superposés de longueurs différentes; le premier repose sur les faces supérieures de ces barres 10, 11; le second est logé entre celles-ci.
Les deux parties 27, 28 sont réunies par une vis 39 et un écrou 40 ayant la forme d'un chapeau cylindrique moleté.
Le curseur 26 est réversible.
Lorsqu'on veut tracer une ellipse, on fixe les curseurs 16, 17, - 26 aux endroits voulus de la règle 9, on met la croix 1 en position sur le papier, de façon que son trou central 5 se trouve à l'intersection des deux' axes de l'ellipse à tracer, on loge les blocs 25 des curseurs 16, 17 dans les rainures 4, on intro duit un crayon dans l'un ou l'autre des deux trous 34, 35 et on le déplace, tandis que les blocs se meuvent dans les rainures 4: on ob tient de la sorte. une ellipse telle que 41.
Un quatrième curseur, 42 (fig. 2 et 4), est prévu pour le tracé de cercles. Il se com pose de deux parties superposées 43, 44. Sa partie inférieure 43 est rectangulaire en plan, a la. forme d'un<B>U,</B> se trouve sous les barres 10, 11 et présente une saillie intérieure 45; ses ailes 46 embrassent les faces extérieures verticales des barres 10, 11, tandis que<B>-</B>sa saillie pénètre dans les battues 13 de celles- ci; elle présente un bec 50, dans lequel est pratiquée une encoche 51 en arc de cercle. et on une pointe de centrage 52 est assujettie.
La partie supérieure 44, rectangulaire en plan, a une section longitudinale, perpendi culaire aux barres 10, 11, qui est faite de deux rectangles superposés de longueurs dif férentes; le premier repose sur les faces su périeures des barres 10, 11; le second est logé entre ces dernières. Ces deux parties sont re liées par une vis 47 et un écrou 48 ayant la forme d'un chapeau moleté.
Si l'on désire tracer un cercle au moyen de l'instrument représenté, on immobilise le curseur 42 sur la règle 9 par serrage de l'é crou 48 et on fixe la pointe de centrage 52 au centre du cercle. D'autre part, on immo bilise le curseur 26 le long de la règle, de manière que l'un ou l'autre des trous 34, 35 se trouve sur le futur cercle, puis on trace celui-ci en déplaçant la règle 9 autour de la pointe 52.
Grâce au fait que, \pour le tracé des el lipses et des cercles on introduit dans l'un ou l'autre des trous 34, 35, un crayon tenu à la main, on peut exercer sur ce crayon une pression aussi grande que l'on veut, ce qui permet d'obtenir sur un calque un trait de crayon suffisamment noir et épais pour le ti rage d'héliographies.
Pour le tracé d'angles de grandeurs varia bles arbitraires, on fixe à.l'une des extrémités de la règle 9, sur celle-ci, un bras 60 au moyen de deux vis 61. Le bras 60 dépasse la téralement la règle 9 et porte une règle auxi liaire pivotante 63. La liaison du bras. 60 et de la règle 63 a lieu au moyen d'une vis 62 dont le corps passe dans des tous de ces deux parties, dont<B>là</B> tête se trouve sous la règle 63, ce qui porte un écrou 64 ayant la forme d'un cylindre moleté. En serrant ce dernier, on immobilise les deux règles 9, 63 à l'angle voulu.
Toutes les parties et pièces décrites ci- dessus sont en métal.
En amenant les curseurs à l'endroit de la double encoche 10a, 11a, on peut les sé parer de la règle 9 sans-avoir à les démonter.
Les curseurs 16, 17 ne permettent pas de tracer des ellipses dont les foyers sont très proches l'un de l'autre, autrement dit des ellipses très voisines d'un cercle, parce que leurs dimensions parallèlement à la règle 9 sont relativement grandes. Dans ce cas, on se sert du curseur 70 (fig. 6 et 7) comprenant trois parties superposées 71, 72, 73.
La partie inférieure 71 est rectangulaire en plan, a une section transversale en<B>U,</B> se trouve sous les barres 10, 11 de la règle 9 et présente une saillie intérieure 74; ses ailes 75 embrassent les faces extérieures des barres 10, 11, tandis que sa saillie 74 pénètre dans les"battues 13; elle est munie à l'une de ses extrémités d'un pivot 76 portant un bloc 77 destiné à coulisser dans l'une des rainures 4 de la croix 1 ou le long de la branche transversale d'une pièce 'en: forme de T.
La partie médiane, 72, rectan gulaire en plan, a une section longitudinale faite de deux rectangles superposés de lon gueurs différentes; le premier repose sur les faces supérieures des barres 10, 11; le second est logé entre celles-ci. Quant à la partie su périeure, elle est également rectangulaire en plan,
présente une coulisse 78 et porte à l'une de ses extrémités 80 une cheville cylindri que 79 devant coulisser dans l'autre rainure 4 de cette croix 1 ou dans la rainure de la branche longitudinale de la pièce en<B>T.</B> Une vis 81 sert à relier les trois parties, en com binaison avec un écrou 82 ayant la forme d'un chapeau moleté. En examinant les fig. 6 et 7, on se rend compte que le pivot 76 du bloc 77 et la cheville 79 peuvent être amenés sans difficulté à une très faible distance l'un de l'autre.
Dans ce cas l'on peut utiliser, au lieu de la croix 1, une pièce en forme de<B>T</B> présentant des rainures dans ses diverses branches. Le bloc 77 se déplace dans la rainure de la bran che médiane, tandis que la cheville 79 se meut soit dans la rainure de la branche transver sale, soit le long de la face extérieure longi tudinale de cette branche, qui constitue alors le guide.
On établit l'une des moitiés de l'el lipse au moyen de la pièce en<B>T</B> occupant une position donnée, puis on fait faire à cette pièce une rotation de 180 , de manière qu'elle prenne une. position symétrique à la première par rapport au grand axe de l'ellipse, puis on établit la seconde moitié de celle-ci.
S'il s'agit de tracer des ellipses de petites dimensions, on utilise une croix non repré sentée dont les branches ont des longueurs plus petites que celles de la croix 1.
On peut également se servir du dispositif que montrent les fig. 10 et 11 pour le tracé de cercles. Un curseur 100 peut se mouvoir le long de la verge 9 et y être immobilisé à une position quelconque au moyen d'une vis 101 et d'un écrou non représenté. Il porte en dessous un disque 103 et un bloc 102 pi votants. Le disque et le bloc sont destinés à être logés dans une cavité centrale 104 de même diamètre d'une rondelle de centrage 105 devant être fixée sur le support où les cercles seront tracés, par des aiguilles 106, dont elle est munie.
Au cas où il s'agit de tracer, sur un chan tier par exemple, des ellipses ou des cercles de grandes dimensions, on peut prendre une barrette de bois de grande longueur à laquelle on fixe une pièce susceptible de recevoir le curseur 26 et deux pièces portant des blocs pivotants tels que 25 devant être logés dans les rainurés de la pièce en croix.
Les allonges de la pièce en croix pour raient être reliées à celle-ci et entre elles par un seul tenon 7, au lieu de deux. Elles pour raient être munies d'aiguilles destinées à les maintenir en place sur le support.
Le ou les organes de dessin, au lieu d'être constitués par des crayons, des porte-mines, pourraient être formés de tire-lignes, etc.
Les tire-lignes pourraient être montés de façon qu'on puisse séparer momentanément leur pointe du support, sur lequel les cercles, les ellipses doivent être tracés, sans modifier la position du curseur qui .les porte; ceci pourrait avoir lieu, par exemple; au moyen d'une vis.
Les pièces en forme de croix ou de T et leurs allonges peuvent être munies de repères permettant de les mette exactement en posi tion sur les axes voulus. Les pièces en<B>T</B> peuvent être combinées avec une pièce recti ligne amovible présentant une rainure-guide et servant à les transformer en croix; leurs branches. transversale et longitudinale peu vent d'ailleurs être également reliées l'une à l'autre de façon amovible.
Dans la forme d'exécution décrite, les or ganes de dessin, crayons, tire-lignes, se trou vent dans l'axe longitudinal de la verge 9. Ils pourraient tout aussi bien se trouver en porte-à-faux; sur l'un des côtés de la verge.
La verge 120 de la seconde forme d'exé- cution (fig. 12 et 13) se compose également de deux barres parallèles 121, laissant entre elles une coulisse longitudinale 124, et de deux traverses extrêmes 123. Elle est faite d'une seule -pièce en une matière transparente ou translucide, en, celluloïd par exemple.
A l'une de ses extrémités se trouve un trou d'ai guille 122, à l'autre un trou 125, d'un dia mètre plus grand, 2- mm par exemple: Elle présente sur sa face inférieure, qui sera en contact avec le support, du papier, par exem ple, une graduation millimétrique 126, sans chiffres, et des repères colorés 127: dans ces conditions il est facile de voir directement et exactement où sont les divisions, les repères sur le papier, quelle que soit la position de l'#il.
Les curseurs 128,<B>129</B> peuvent être dépla cés le long de la coulisse 124 et y être immo bilisés en des points quelconques. Ils sont partiellement faits en une matière transpa rente ou translucide de façon qu'on puisse voir le support au travers; l'un d'eux, 128, présente un trou circulaire 130 de petit dia mètre devant donner passage avec peu de jeu à une mine de crayon fixe et un trou<B>131</B> en forme de poire servant au passage aisé et libre de mines plus grosses; dans l'autre sont ménagés deux trous 132 de petit diamètre de vant donner passage à des aiguilles qui servi- ront de centres pour le tracé de cercles.
Lorsqu'il s'agit de tracer des cercles, on place la verge 120 sur le support, on amène les curseurs 128, 129 aux positions voulues dans la coulisse 124 et on les y immobilise; on introduit une aiguille dans l'un ou l'autre des deux trous 132, une mine ou un crayon dans le trou 130 ou 131; il ne reste plus alors qu'à tracer le cercle.
Les fig. 14 et 15 représentent un acces soire permettant de tracer des lignes paral lèles faisant un angle quelconque avec la verge 120. Il comprend une plaque métallique rectangulaire 135, portant près de l'un de ses bords une graduation 138 en degrés. Une règle 139 pivote sur elle en 140 et peut se déplacer par suite le long. de la graduation 138. La plaque 135 et la règle 139 présentent des trous 136, 137 servant à leur fixation à la verge. Pour cela, on enlève les écrous des vis des curseurs, amenés aux -positions vou- lues, on introduit les vis dans les trous, ôn re met les écrous en place et on les serre.
Pour tracer des lignes parallèles faisant un angle quelconque avec la verge 120, on fait courir soit la plaque 135, soit la verge le long d'un guide non représenté, un t & par exemple, après avoir amené la règle 139 et la plaque 135 à faire entre elles l'angle voulu.
Drawing instrument. The object of the invention is a drawing instrument.
It is characterized by the fact that it comprises in combination, on the one hand, a rod having a longitudinal slide, as well as a graduation and marks, on the other hand, cursors that can be moved along the slide. and be immobilized at the desired points thereof, in order in particular to allow the drawing of circles.
The appended drawing represents, by way of examples, two embodiments of the drawing instrument according to the invention.
Figs. 1 and 2 respectively show a first embodiment, when it is used to draw ellipses, on the one hand, to that of circles or angles, on the other hand; Figs. 3, 4, 5 are sections through lines III-III, IV-IV, V-V of fig. 1 and 2; Figs. 6 to 11 are detailed views; Figs. 12 and 13 are a plan and an end view of the shank of the second embodiment;
Figs. 14 and 15 are a plan and an end view of an accessory of the second embodiment.
The part used for the tracing of the ellipses and having two guides is constituted by a cross 1 (fig. 1 and 2) comprising four branches 2, 3 of equal length; its branches have a <B> U, </B> cross section so as to present rec tilinear longitudinal grooves 4 intersecting and forming the guides; a hole 5 is made in its center.
Al longes, such as 6, are used to increase the length of branches 2, 3; they have exactly the same cross section and are provided at one of their ends with horizontal connecting tenons 7 accommodated in holes 8 made, either in the branches 2, 3 or in other extensions.
The cross 1 and the extensions may be provided with needles intended to be planted in le.support on which the ellipses will be traced, A rod or rule 9 cooperates with the cross 1 for the tracing of the ellipses. It is composed according to fig. 1 and 2 of two long parallel bars 10, 11 lying at a certain distance from each other and of end ties 12. The bars 10, 11 have a rectangular cross section (see again Figs. 3 to 7) and have on their opposite faces lower battues 13.
In one of the sleepers is formed a pure indentation 14 in a semi-circle increasing the visibility on the support on which the ellipses will be drawn. Towards the other end of the rule is formed a double rectangular notch 10a, 11a (Fig. 1), inside, thanks to which the spacing between the bars is the same at this location from top to bottom of these bars.
One of the bars 10 carries a. graduation 15 (fig. 2) in cm and mm, without numbers, and can be provided with distance in distance, for example 5 cm in 5 cm, with clearly visible markers, circles and crosses for example: this allows to choose any of the. divisions like 0, without being bothered by numbers.
One or more extensions 90 (fig. 8 and 9) make it possible to increase the length of the rule 9 at will; they have a cross section identical to that of the latter and a similar general arrangement. They are linked to the first part of the rule or to each other by ribs 91.
Each of these is formed of an elongated plate having two holes 92 and two end edges 93. Through the holes 92 pass the screw bodies 94 provided with heads. rectangular 95 which are housed between the battues 13 and are supported on the upper parts of the bars 10, 11; nuts 96 in the form of knurled circular caps ensure tightening. The end edges 93 take an exact position between these upper parts of the bars 10, 11.
The nuts 96 and the screws 94 hold the plate 91 on the first part of the rule and the extension or on two extensions, while the flanges 93 ensure the alignment of this part -and these extensions. The connection between cross 1 and rule 9 is made by means of two cursors 16, 17 (fig. 1 and 5) each comprising two superimposed parts 18, 21.
The lower part 18 is rectangular in plan, has the shape of a <B> U, </B> is located under the bars 10, 11 and has an interior projection <B> 19; </B> its wings 20 em mix the outer faces of 10 and 11, tan say that its projection penetrates into the battues 13 of 10, 11.
The upper part 21., rectangular in plan, has a. longitudinal section made of two superimposed rectangles of different lengths; it rests by the first on the upper faces of the bars 10, 11; -the second is housed between them. These two parts are connected by a screw 2.2 and a nut 23 having the shape of a cylindrical knurled cap; the head 24 of the screw carries a pivoting block 25 in the general shape of a right prism with rectangular bases, moving in the corresponding groove 4 of one of the arms 2, 3 of the cross 1.
Along the rule 9 can move a cursor 26 (fig. 1, 2, 3) for guiding a pencil. It has two superimposed parts 27, 28. Its lower part 27 itself is divided into two superimposed parts 30, 31; the lower part 30 has the shape of a cross; the branches transverse to the rule 9 each comprise a housing 32 ren closing a ball 33 intended to roll on the support on which the ellipse will be traced;
in the branches parallel to the rule are -mena gés two holes, one circular 34, - of small diameter, having to give passage with little play to a fine pencil lead, the other, 35, in the shape of a diamond, used for the easy and free passage of larger mines which are hand held in the hand in one of the acute angles of the rhombus.
The part 31 of the lower part 27 is rectangular in plan, has a U-shaped cross section ,. is located under the bars 10, 11 and has an interior projection 36; its wings 37 embrace the vertical exterior faces of 10, 11, while its projection 36 penetrates between the battues 13 of 10, 11: The two parts 30, 31 are joined by screws 38; they trap the balls 33. The section of the upper part 28 of the neck 26 transverse to the bars 10, 11, consists of two superimposed rectangles of different lengths; the first rests on the upper faces of these bars 10, 11; the second is housed between them.
The two parts 27, 28 are joined by a screw 39 and a nut 40 having the shape of a knurled cylindrical cap.
The cursor 26 is reversible.
When we want to draw an ellipse, we fix the cursors 16, 17, - 26 at the desired places of the rule 9, we put the cross 1 in position on the paper, so that its central hole 5 is at the intersection of the two axes of the ellipse to be traced, the blocks 25 of the cursors 16, 17 are housed in the grooves 4, a pencil is introduced into one or the other of the two holes 34, 35 and it is moved, while the blocks move in the grooves 4: we get this way. an ellipse such as 41.
A fourth cursor, 42 (fig. 2 and 4), is provided for drawing circles. It consists of two superimposed parts 43, 44. Its lower part 43 is rectangular in plan, a la. shape of a <B> U, </B> is located under the bars 10, 11 and has an inner projection 45; its wings 46 embrace the vertical outer faces of the bars 10, 11, while <B> - </B> its projection penetrates into the battues 13 thereof; it has a spout 50, in which a notch 51 in an arc of a circle is formed. and a centering tip 52 is secured.
The upper part 44, rectangular in plan, has a longitudinal section, perpendicular to the bars 10, 11, which is made of two superimposed rectangles of different lengths; the first rests on the upper faces of the bars 10, 11; the second is housed between them. These two parts are re linked by a screw 47 and a nut 48 having the shape of a knurled cap.
If one wishes to draw a circle by means of the instrument shown, the cursor 42 is immobilized on the rule 9 by tightening the nut 48 and the centering point 52 is fixed at the center of the circle. On the other hand, the cursor 26 is immobilized along the ruler, so that one or the other of the holes 34, 35 is on the future circle, then this is drawn by moving the ruler 9 around tip 52.
Thanks to the fact that a pencil held in the hand is introduced into one or other of the holes 34, 35 for the drawing of the lipses and circles, one can exert on this pencil a pressure as great as l 'we want, which makes it possible to obtain on a layer a pencil line sufficiently black and thick for the drawing of heliographies.
For the plotting of angles of arbitrary variable magnitudes, an arm 60 is fixed at one end of the rule 9, thereon, by means of two screws 61. The arm 60 exceeds the rule 9. and carries a pivoting auxiliary rule 63. The linkage of the arm. 60 and rule 63 takes place by means of a screw 62, the body of which passes through all of these two parts, <B> there </B> head of which is under rule 63, which carries a nut 64 having the shape of a knurled cylinder. By tightening the latter, the two rules 9, 63 are immobilized at the desired angle.
All parts and parts described above are made of metal.
By bringing the sliders to the location of the double notch 10a, 11a, they can be separated from rule 9 without having to remove them.
The cursors 16, 17 do not make it possible to draw ellipses whose foci are very close to each other, in other words ellipses very close to a circle, because their dimensions parallel to rule 9 are relatively large. In this case, we use the cursor 70 (fig. 6 and 7) comprising three superimposed parts 71, 72, 73.
The lower part 71 is rectangular in plan, has a <B> U, </B> cross section, lies under the bars 10, 11 of rule 9 and has an interior projection 74; its wings 75 embrace the outer faces of the bars 10, 11, while its projection 74 penetrates the battues 13; it is provided at one of its ends with a pivot 76 carrying a block 77 intended to slide in the one of the grooves 4 of the cross 1 or along the transverse branch of a T-shaped piece.
The middle part, 72, rectangular in plan, has a longitudinal section made of two superimposed rectangles of different lengths; the first rests on the upper faces of the bars 10, 11; the second is housed between them. As for the upper part, it is also rectangular in plan,
has a slide 78 and carries at one of its ends 80 a cylindrical pin that 79 has to slide in the other groove 4 of this cross 1 or in the groove of the longitudinal branch of the part in <B> T. </ B> A screw 81 is used to connect the three parts, in combination with a nut 82 having the shape of a knurled cap. Looking at figs. 6 and 7, it is realized that the pivot 76 of the block 77 and the ankle 79 can be brought without difficulty a very short distance from each other.
In this case it is possible to use, instead of the cross 1, a <B> T </B> shaped part having grooves in its various branches. The block 77 moves in the groove of the median branch, while the ankle 79 moves either in the groove of the dirty transverse branch, or along the longitudinal outer face of this branch, which then constitutes the guide.
One of the halves of the lipse is established by means of the <B> T </B> piece occupying a given position, then this piece is rotated 180, so that it takes a . position symmetrical to the first relative to the major axis of the ellipse, then the second half of it is established.
If it is a question of drawing small ellipses, we use a cross, not shown, whose branches have lengths shorter than those of cross 1.
It is also possible to use the device shown in FIGS. 10 and 11 for drawing circles. A cursor 100 can move along the rod 9 and be immobilized therein at any position by means of a screw 101 and a nut, not shown. It carries below a disc 103 and a block 102 pi voting. The disc and the block are intended to be housed in a central cavity 104 of the same diameter with a centering washer 105 to be fixed on the support where the circles will be traced, by needles 106, with which it is provided.
In the case where it is a question of tracing, on a site for example, ellipses or circles of large dimensions, one can take a wooden bar of great length to which one fixes a part capable of receiving the cursor 26 and two pieces carrying pivoting blocks such as 25 to be housed in the grooves of the cross piece.
The extensions of the cross piece could be connected to it and to each other by a single tenon 7, instead of two. They could be fitted with needles intended to hold them in place on the support.
The drawing member (s), instead of being constituted by pencils, mechanical pencils, could be formed by pencil pullers, etc.
The drawers could be mounted so that their point can be temporarily separated from the support, on which the circles, the ellipses are to be traced, without modifying the position of the cursor which carries them; this could take place, for example; by means of a screw.
Cross- or T-shaped parts and their extensions can be provided with markings allowing them to be positioned exactly on the desired axes. The <B> T </B> pieces can be combined with a removable recti line piece with a guide groove and used to transform them into a cross; their branches. transverse and longitudinal can also be removably connected to one another.
In the embodiment described, the drawing organs, pencils, drawing lines, are located in the longitudinal axis of the shank 9. They could just as easily be cantilevered; on one side of the penis.
The rod 120 of the second embodiment (fig. 12 and 13) also consists of two parallel bars 121, leaving between them a longitudinal slide 124, and two end cross members 123. It is made of a single -part in a transparent or translucent material, celluloid for example.
At one of its ends is a needle hole 122, at the other a hole 125, with a larger diameter, 2- mm for example: It has on its underside, which will be in contact with the support, paper, for example, a millimeter graduation 126, without numbers, and colored marks 127: under these conditions it is easy to see directly and exactly where the divisions are, the marks on the paper, whatever the the position of the # he.
The cursors 128, <B> 129 </B> can be moved along the slide 124 and be immobilized there at any point. They are partially made of a transparent or translucent material so that the support can be seen through; one of them, 128, has a circular hole 130 of small diameter to give passage with little play to a fixed pencil lead and a pear-shaped hole <B> 131 </B> for easy passage and free of larger mines; in the other are formed two holes 132 of small diameter to give passage to needles which will serve as centers for the drawing of circles.
When it comes to drawing circles, the rod 120 is placed on the support, the cursors 128, 129 are brought to the desired positions in the slide 124 and they are immobilized there; a needle is introduced into one or the other of the two holes 132, a lead or a pencil in the hole 130 or 131; all that remains is to draw the circle.
Figs. 14 and 15 represent an accessory making it possible to draw parallel lines making any angle with the rod 120. It comprises a rectangular metal plate 135, carrying near one of its edges a graduation 138 in degrees. A ruler 139 pivots on it at 140 and can move along as a result. of the graduation 138. The plate 135 and the ruler 139 have holes 136, 137 for their attachment to the rod. To do this, remove the nuts from the slider screws, brought to the desired positions, introduce the screws into the holes, put the nuts back in place and tighten them.
To draw parallel lines making any angle with the rod 120, either the plate 135 or the rod is made to run along a guide not shown, a t & for example, after having brought the rule 139 and the plate 135 to make the desired angle between them.