CH113551A - Machine à imprimer par emboutissage. - Google Patents

Machine à imprimer par emboutissage.

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CH113551A
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Company The America Multigraph
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American Multigraph Co
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    • BPERFORMING OPERATIONS; TRANSPORTING
    • B41PRINTING; LINING MACHINES; TYPEWRITERS; STAMPS
    • B41JTYPEWRITERS; SELECTIVE PRINTING MECHANISMS, i.e. MECHANISMS PRINTING OTHERWISE THAN FROM A FORME; CORRECTION OF TYPOGRAPHICAL ERRORS
    • B41J3/00Typewriters or selective printing or marking mechanisms characterised by the purpose for which they are constructed
    • B41J3/407Typewriters or selective printing or marking mechanisms characterised by the purpose for which they are constructed for marking on special material
    • B41J3/413Typewriters or selective printing or marking mechanisms characterised by the purpose for which they are constructed for marking on special material for metal

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  • Bending Of Plates, Rods, And Pipes (AREA)

Description


  Machine à imprimer par emboutissage.    Cette invention a pour objet une machine  à imprimer par emboutissage, pouvant par  exemple servir à l'emboutissage de caractères  d'impression sur des plaques métalliques uti  lisables en imprimerie, et comportant des  matrices mâles et des matrices femelles et  un chariot     déplaçable    agencé pour placer la  matière à emboutir entre les matrices coopé  rantes, cette machine se distinguant par un  clavier muni de touches     correspondant    aux       différents    caractères et par un mécanisme  moteur qui agit de façon à amener le chariot  à une position déterminée par la touche ma  noeuvrée.  



       -Une    forme d'exécution de la machine selon  l'invention est représentée, à titre d'exemple,  au dessin annexé:  La     fig.    1 est un plan de la machine  complète ;  La     fig.    2 en est une vue de côté;  La     fig.    3 est une coupe centrale verticale  suivant 3-3,     fig.    1, en regardant dans le  même sens que pour la     fig.    2;  La     fig.    4 est une coupe transversale ver  ticale prise à l'avant des matrices suivant  4-4,     fig.   <B>1</B> ;

      La     fig.    5 -est une coupe horizontale prise  au-dessus des matrices et du chariot suivant  la ligne brisée 5-5,     fig.    2. et 4;  La     fig.    6 est une coupe transversale ver  ticale suivant 6-6,     fig.    2, en regardant vers  l'avant de la machine, cette figure montrant  le mécanisme servant à faire avancer pério  diquement le dispositif qui porte la plaque  ou feuille à emboutir;

    La     fig.    7 est une coupe transversale ver  ticale prise parallèlement et à l'avant de la       fig.    6 suivant 7-7,     fig.    3,     cette    figure mon  trant les pièces d'un mécanisme servant à  verrouiller le chariot dans sa position centrale;  La     fig.    8 montre un détail de ce méca  nisme de verrouillage en coupe verticale  suivant 8-8,     fig.    6;  La     fig.    9 est une vue perspective du  chariot;  La     fig.    10 montre un détail en plan d'un  mécanisme d'arrêt du chariot, en regardant  vers le bas à partir du plan représenté par  <B>10-10,</B>     fig.    6 ;

    La     fig.    11 est une coupe transversale  verticale suivant 11-11,     fig.    3, cette figure      montrant une butée de chariot et un méca  nisme déterminant l'action de l'embrayage;  La     fig.12    est une coupe verticale du  mécanisme d'embrayage suivant 12-12,       fig.    1 et 13 ;  La     fig.    13 montre un détail à plus grande  échelle de l'embrayage, cette figure étant une  coupe transversale suivant 13-13,     fig.    12;  La     fig.    14 montre un détail en coupe de  l'embrayage suivant 14-14,     fig.    12;

    La     fig.    15 montre un détail d'un méca  nisme     déverrouilleur    servant à déverrouiller  la touche après l'achèvement de l'opération  d'emboutissage;  La     fig.    16     montre    un détail de l'extrémité  arrière d'un levier à touche d'espacement,       cette    figure étant une coupe suivant 16-16,       fig.    5 ;  La     fig.    17 est une vue d'une plaque em  boutie du genre de celles qui peuvent être  obtenues à l'aide de cette machine, cette vue  montrant aussi en traits mixtes un organe  propre à supporter cette plaque.  



  Le bâti de la machine représentée com  prend principalement une plaque de base  horizontale 10 montée sur des pieds appro  priés 11. De nombreux montants ou consoles  sont montés sur cette plaque ainsi qu'il sera  décrit ci-après relativement aux mécanismes  particuliers que supportent ces organes.  



  On se     réfèrera    brièvement à la disposition  générale des mécanismes les plus importants  de la     machine.    Le clavier 20     (fig.    1) est situé  à l'avant de la machine au-dessus d'un pro  longement 13 de<B>là</B> plaque de base, ce cla  vier étant composé de touches convenables  et de leviers 21 s'étendant vers l'arrière et  pivotant sur une barre 253 comme il sera  décrit plus loin.

   A l'arrière des leviers à  touche est situé le chariot à plaque 30     monté.     pour se mouvoir latéralement dans l'un et  l'autre sens à partir d'une position centrale  et agencé pour supporter une plaque     d    qui  se meut entre une série de matrices mâles  et femelles montées sur un     porte-matrices     convenable 160. De part et d'autre des le  viers à touche sont disposés deux     électro-          aimants    80 qui actionnent     un    mécanisme    propre à déplacer le chariot de sa position  de repos centrale vers le côté     oii    est situé       l'électro-aimant    actionné.

   La     manoeuvre    des  leviers à touche excite l'un ou l'autre des  électro-aimants de     faqon    à déplacer le chariot,  et l'extrémité arrière surélevée du levier à  touche sert de     butée    à ce chariot, ce     qui     l'oblige à venir placer la plaque entre les  matrices dans une position qui correspond à  la touche à caractère abaissée.  



  Au moment     oii    le chariot s'arrête, l'un  ou l'autre des poussoirs à face formant came  60     (fig.    3 et 11) est élevé par l'extrémité  arrière surélevée du levier à touche et ceci  produit l'élévation d'une barre universelle qui,  par l'entremise d'un mécanisme approprié,  déverrouille l'embrayage 70     (fig.    12), ce der  nier     effectuant    une     demi-rotation    et, dans  cette action, faisant aussi tourner d'un demi  tour la came 120     (fig.    2) qui actionne des  leviers 132 et 133 portant des     plaques    à  poussoir 135,

   lesquelles plaques agissent sur  des blocs de pression 140 et 141 situés entre  les plaques à poussoir et les matrices et  supportés latéralement par rapport au chariot  à plaque. Ceci a par conséquent pour effet  que les deux matrices correspondant à la  touche abaissée se meuvent l'une vers l'autre  pour emboutir la plaque.  



  Après l'opération     d'emboutissage,    un mé  canisme d'encliquetage approprié, désigné  généralement par 180     (fig.    6), fait mouvoir  le dispositif     porte-plaque    par rapport à la  base du chariot vers la gauche de l'opérateur  d'une distance correspondant à l'espace d'un  caractère, pendant que le chariot revient à  sa position de repos centrale, de sorte que  l'action d'emboutissage suivante a lieu à un  espace (le     caractt@re        it,    droite du caractère  embouti.  



  L e clavier est du type à touches de       changement    de caractères dans lequel chaque  touche correspond à une série de caractères.  Ceci est rendu possible, dans la présente       machine,    en     prévoyant    deux jeux de matrices       mâles    et deux jeux de matrices femelle  correspondantes, les     jeux    étant     montés        l'un         derrière l'autre dans le porte-matrices qui  est disposé pour pouvoir être déplacé dans  une direction avant-arrière pour amener l'un  ou l'autre des jeux à portée du mécanisme  à commande par poussoirs.

   Des mécanismes  appropriés sont prévus pour verrouiller une  touche - abaissée dans sa position abaissée  jusqu'à l'achèvement de l'opération d'embou  tissage et pour la déverrouiller à ce moment.  Un mécanisme est aussi prévu pour effectuer  le rappel du dispositif porte-plaque d'un espace  à la fois, ce qui permet     d'effectuer    des cor  rections dans le cas où des touches incor  rectes ont été frappées. -Ces détails et de  nombreux autres seront expliqués plus loin.  



  On se référera maintenant aux     fig.    1, 2,  3, 5 et 8. La plaque A est portée par deux  mâchoires 31 et 32 du dispositif porte-plaque.  La mâchoire 31 est une plaque horizontale  montée sur un coulisseau 33, taudis que  la mâchoire 32 pivote sur la mâchoire 31  en raison du fait qu'elle supporte un arbre  oscillant 34 passant à travers cette mâchoire  31. Des ressorts de torsion 35 tendent à  maintenir les mâchoires fermées l'une contre  l'autre pour serrer la plaque. Un rebord  approprié 36 prévu sur la mâchoire mobile  constitue un organe commode permettant de  l'élever manuellement pour dégager la plaque.  



  L'ensemble des mâchoires est mobile  d'avant en arrière, par rapport au     coulisseau     33 qui porte la mâchoire inférieure en vue  de placer la plaque en position convenable  pour effectuer l'emboutissage suivant des  lignes différentes. La mâchoire 31 porte rigi  dement deux barres 38 qui coulissent à tra  vers le coulisseau transversal 33. Cette mâ  choire porte aussi une crémaillère 40 avec  laquelle engrène un pignon 41 monté sur un  arbre court portant un bouton 43 à son extré  mité. Une bille 44     (fig.    3 et 6) soumise à la  pression d'un ressort se comporte à la façon  d'un organe de retenue empêchant le pignon  et la crémaillère d'être déplacés par inadver  tance.

   La plaque est amenée     manuellement     à la position désirée, ce (lui s'obtient en  faisant tourner le     bouton    43 de façon à amener  la zone     convenable.    de la plaque à la position    d'emboutissage. Lorsqu'une ligne est achevée,  on fait tourner le bouton d'une ou plusieurs  dents pour amener la plaque à la position  qui convient pour une nouvelle ligne.  



  Le coulisseau transversal 33 portant les  mâchoires avec lesquelles il constitue le     porte-          plaque    est monté pour coulisser sur ut) bloc  coulissant 50 qui est déplacé latéralement  par le solénoïde actionné et qui est arrêté  par le levier à touche susmentionné. Le       montage    du coulisseau transversal 33 sur le  bloc est tel qu'il peut se produire un mou  vement latéral entre eux pour permettre à  la plaque d'être mue vers la gauche pour  chaque espace de caractère, ainsi qu'il sera  décrit ci-après d'une façon détaillée, mais, pour  effectuer la mise en position de la plaque  d'une façon correspondant à la touche abaissée,  le coulisseau transversal 33 et le bloc 50  fonctionnent à la façon d'une pièce unique.  



  Le bloc 50 est monté pour coulisser sur  une barre fixe 53 et porte à l'avant des ga  lets 54 roulant sur une voie constituée par  une rainure prévue dans une barre fixe 64.  Deux ressorts à boudin 55     entourent    la     barre     53 entre les côtés opposés du bloc 50 et les  deux consoles 56 et<B>57</B> qui supportent la barre  53. Ces ressorts sont équilibrés l'un par  rapport à l'autre et ont pour rôle d'amener  le chariot à sa position centrale aussitôt qu'il  est mis et liberté après avoir été mît dans  l'un on l'autre sens.  



  On décrira maintenant     1e_    mécanisme ser  vant à faire mouvoir le bloc 50. De part et  d'autre du clavier sont disposés deux cadres  81 supportés par la plaque de. bâti 10 et  portant les électro-aimants 80 qui agissent  sur un noyau constitué, par une     barre    trans  versale 82. Cette barre est reliée par une  bielle 83 à un levier 84 qui pivote par- son  extrémité avant 85 sur un montant conve  nable 86 du bâti et dont l'extrémité     arrière     est fourchue en 87     (fig.    5) et embrasse un  bloc 88 pivotant sur un axe 89 porté par un  prolongement avant 52 du bloc 50.

   On remar  quera que la moitié de droite de la série de  leviers     à-    touche 2:1 excite     l'électro-aimant    80      de droite et que la moitié de gauche excite       l'électro-aimant    80 de gauche.  



  La fermeture des circuits des électro  aimants, en vue de leur excitation, peut être       effectuée    de toute manière commode. Les       fig.    1, 2 et 3 montrent, au-dessous de chaque  groupe de leviers à touche, un étrier 90  agencé pour être abaissé par chacun des  leviers de ce groupe et situé au-dessus d'un  poussoir 91 qui est normalement élevé par un  ressort 92, mais qui, lorsqu'on l'abaisse, est  agencé pour produire le contact de deux  bornes 93 qui déterminent le passage du cou  rant au solénoïde correspondant.

   En même  temps que l'abaissement de l'extrémité avant  du levier à touche excite le solénoïde corres  pondant et produit le déplacement du bloc  50 dans cette direction,     l'extrémité    arrière  montante de ce levier- arrête ce bloc dans  une position latérale correspondant à la touche  abaissée, le bloc portant un mécanisme, que  l'on va décrire, qui est en prise avec cette  extrémité arrière élevée.  



  Dans les     11g.    5 et 11, on voit que le bloc  50 porte deux organes d'arrêt 100 qui sont  agencés pour entrer en prise avec tout levier  à touche élevé, comme représenté dans le  cas du levier     21@    des     fig.    11 et 15. Ces  arrêts 100 sont portés par des barres 101  qui sont montées pour coulisser dans le bloc  50 et sont normalement tirées à fond vers  l'extérieur par des ressorts de compression  103 entourant les barres et comprimés entre  les blocs et des écrous convenables 104  montés sur les barres.

   Ceci permet aux arrêts  d'avoir un mouvement limité vers l'intérieur  sous une action élastique, ce qui constitue un       amortisseur    de chocs absorbant. le choc qui  se produit lorsque la' plaque est arrêtée par  la rencontre de l'arrêt avec le levier à touche  élevé.  



  Après la     rencontre    de l'arrêt avec le le  vier à touche, le bloc est verrouillé dans  cette position en raison du fait que le pous  soir correspondant 60 s'élève     au-dessus    du  levier à touche (par suite de la surface infé  rieure biseautée du poussoir) et tombe derrière    ce levier. Le mouvement d'élévation du pous  soir 60 détermine l'action de l'embrayage  comme il va être expliqué ci-après.  



  Les deux poussoirs 60 susmentionnés  sont montés dans des glissières verticales     dui     bloc 50 entre ses parois extrêmes et deux  cloisons intermédiaires 51. Ces poussoirs sont  situés directement au-dessous d'une     barre     universelle 61 qui est disposée en     travers    de  la machine et pivote en 62     (fig.    12) sur deux  consoles 63 montées sur la barre transversale  fixe 64 supportant l'extrémité avant du bloc  50. La barre universelle est reliée à l'une de  ses extrémités par une bielle 66 à un levier  67 dont l'extrémité arrière est normalement  en prise avec l'embrayage 70 et le maintient  hors d'action.

   Par conséquent, chaque fois  que l'un ou     l'autre    des poussoirs 60 est élevé  en raison du fait que le chariot arrive à. la  position de fonctionnement, l'embrayage se  déclenche automatiquement.  



  Le dessin montre une poulie motrice prin  cipale 71 recevant sa commande par     l'entre-          mise    d'une     courroie    convenable. Cette poulie  est folle sur l'arbre principal 72 qui tourillonne  dans des     paliers    des montants 73 et 74, et  elle est reliée de     façon    à actionner les pous  soirs emboutisseurs comme il sera décrit plus  loin. La poulie peut être accouplée avec  l'arbre principal par le mécanisme d'em  brayage suivant:  Sur l'arbre     -j2        (fig.    12, 13 et 11) est  goupillé latéralement à la poulie un disque  d'embrayage 7 5 disposé à l'intérieur d'un  anneau 76 boulonné sur le côté de la poulie.

    Sur la périphérie du disque d'embrayage sont  prévues des entailles 77 dans lesquelles sont  montés des galets 78 qui, lorsqu'ils sont li  bérés, sont agencés pour établir un accouple  ment par coincement entre le disque     d'em-          brây        age    et l'anneau 76. Les galets sont       normalement    maintenus à l'écart de cette  position de coincement, à l'encontre de l'ac  tion de ressorts 79 tendant à les coincer,  par des goupilles 110 portées par un anneau  111 qui     est    muni de deux oreilles diamé  tralement opposées 112. Cet anneau 111 est      maintenu en place contre la face du     disque     d'embrayage par un disque 113 fixé au disque  d'embrayage. .  



  Chaque oreille 112 est agencée pour être  arrêtée par une goupille 68 prévue à l'extré  mité du levier 67 qui est relié à la barre  universelle 61 susmentionnée. Par conséquent,  le mécanisme maintient normalement les ga  lets 78 à l'écart de la position de coincement  entre le disque d'embrayage et la poulie.  Lorsqu'un des poussoirs 60 élève la barre  universelle 61, la bielle 66 fait pivoter vers  le bas l'extrémité arrière du levier 67 et  déverrouille l'anneau d'embrayage 111. Les  ressorts 79 obligent alors les galets à se  coincer, ce qui détermine aussitôt la rotation  de l'embrayage avec la poulie motrice.

   Peu  de temps après que l'oreille 112 de l'em  brayage s'est séparée de la goupille 68, le  poussoir 60 tombe en raison du fait qu'il  échappe l'extrémité arrière élevée du levier à  touche; le ressort 69, agissant alors sur la  bielle 66, tire vers le bas l'extrémité avant  du levier 67 et élève la goupille 68 sur le  trajet de l'autre . oreille d'embrayage 112.  Ceci arrête automatiquement la rotation de  l'embrayage et de l'arbre à la fin d'une       demi-révolution.     



  L'arbre principal 72 est agencé pour  actionner la came 120 qui actionne le pous  soir emboutisseur. II est commode de     placer-          cette    came 120 sur un arbre intermédiaire  121 parallèle à l'arbre 72 et accouplé avec  lui par des pignons 123 et 124. Cet arbre  intermédiaire est monté dans les consoles 73  et 125 du bâti et porte la came 120 entre  ces consoles. Ces consoles portent deux arbres  130 et 131 sur lesquels sont montés des  bras lourds 132 et 133 portant chacun à son  extrémité arrière plusieurs galets 134 montés  dans des évidements des bras et agencés  pour reposer sur la came 120.

   Les extré  mités avant de ces bras lourds portent des  barres réglables 135 bloquées contre l'extré  mité des bras et réglées exactement en posi  tion par des vis de blocage 136 montées  dans les bras. Ces barres 135 sont agencées  pour agir sur les blocs de pression 140 et    141 qui sont portés par le chariot et reposent  entre les barres et les matrices emboutis  seuses choisies.  



  Le bloc 140     (fig.    3) est porté par une  lame de ressort 142 fixée à une console 143  ayant la forme d'un<B>U</B> renversé, laquelle  console est montée sur le bloc 50. Le bloc  d'espacement 141 est porté par une lame de  ressort 145 également fixée au bloc 50. Ce  ressort est fixé au bloc dans le présent  exemple à l'aide de deux boulons 147 et 148  qui laissent directement à l'arrière du bloc  un espace suffisant pour monter le mécanisme  d'espacement de caractère individuel que l'on  va décrire.  



  Les matrices emboutisseuses sont dispo  sées en quatre séries comprenant une série  antérieure de matrices mâles 150, une série  postérieure de matrices mâles .151 placées  directement à l'arrière de la série antérieure,  une série inférieure antérieure de matrices  femelles 152 et une série postérieure de ma  trices femelles 153 placées directement     au-          dessous    des matrices mâles correspondantes.  Toutes ces matrices sont susceptibles de cou  lisser verticalement dans un support ou porte  matrices 160. Ce porte-matrices comprend  deux barres transversales 161 et 162 reliées  à leurs extrémités à des blocs de support  163, 164 avec lesquels elles constituent un  cadre rigide ouvert.  



  Les matrices sont normalement maintenues  dans la position de non fonctionnement dans  leur support à l'aide de ressorts 165 consti  tués par des dents de peigne logées dans les  entailles desdites matrices. La tête commune  de ces ressorts est fixée à une nervure 166  d'une barre transversale à l'aide d'une     bânde     168 boulonnée à ladite barre. La construc  tion est la même pour chacune des quatre séries  de matrices. Le mouvement des matrices vers  l'extérieur sous l'action de rappel des ressorts  est limité par des barres de recouvrement 169  constituées par un cadre rectangulaire     fixé     aux barres 161 et 162.

      La     fig.    3 montre les matrices antérieures  dans leur position de fonctionnement. en      regard des blocs     d'espacement    et des barres  à- poussoir susmentionnées.     Pour    amener les  matrices postérieures à la position de fonc  tionnement, il suffit de déplacer le     porte-          matrices    entier vers l'avant. Ceci est     effectué     par un mécanisme à touches de changement  de caractères et à     tringlerie    représenté     dans     les     fig.    1, 2 et 3.  



  Comme le montre la     fig.    1, il existe deux  touches de changement 170 qui sont montées  sur les. extrémités coudées vers l'avant 171  d'un étrier 172 pivotant eu 173 sur des  consoles appropriées 174 s'élevant de la plaque  de base. A la partie     inférieure    de     l'étrier    sont  reliées deux bielles 175 s'étendant jusqu'à  l'extrémité arrière et reliées respectivement  à leur extrémité arrière à deux leviers 176  pivotant en un point intermédiaire de leur  longueur sur les consoles 73 et 125 et pivo  tant par leurs extrémités supérieures sur les  blocs d'extrémités du     porte-matrices.    Un res  sort approprié 178 tend à maintenir les pièces  dans la position des     fig.    2 et 3 dans laquelle  

  les matrices antérieures occupent la position  de fonctionnement. Toutefois, lorsqu'on abaisse  l'une ou l'autre des touches de changement,  le porte-matrices se déplace vers l'avant pour  amener les séries de matrices postérieures à  la position de fonctionnement.  



  Ainsi qu'il a été mentionné     précédemment,     les mâchoires qui portent la plaque en cours  d'emboutissage sont, après l'emboutissage d'un  caractère quelconque,     entraînées    vers la gauche  par rapport au bloc portant la plaque d'une  distance correspondant à la largeur du carac  tère, de sorte que le caractère embouti sui  vant vient se placer à l'endroit convenable  immédiatement à droite du caractère précé  dent. Le mécanisme servant à réaliser cet  entraînement est désigné dans sort ensemble  par 180 et sera décrit ci-après en se référant  aux     fig.    3, 6 et 8.  



  Sur la goupille 147 qui fait corps avec le  bloc 50 est montée une roue d'encliquetage  181; latéralement à cette roue se trouve une  plaque 182 qui     petit    coulisser verticalement  et qui est guidée en raison du fait qu'elle  
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    pr'ésurrte' <SEP> une <SEP> fente <SEP> embrassant <SEP> les <SEP> goupille.
<tb>  147 <SEP> et <SEP> 148. <SEP> Sur <SEP> cette <SEP> plaque <SEP> pivote <SEP> mi <SEP> eli  quet <SEP> 184 <SEP> portant <SEP> (nie <SEP> dent <SEP> 185 <SEP> agencée <SEP> pour
<tb>  coopérer <SEP> avec <SEP> le <SEP> rochet <SEP> 181, <SEP> un <SEP> ressort <SEP> 186
<tb>  tirant <SEP> le <SEP> cliquet <SEP> vers <SEP> le <SEP> rochet.

   <SEP> Un <SEP> ressort
<tb>  187 <SEP> tend <SEP> à <SEP> tirer <SEP> la, <SEP> plaque <SEP> vers <SEP> sa <SEP> position
<tb>  la <SEP> plus <SEP> basse, <SEP> la <SEP> dent <SEP> glissant <SEP> sait> <SEP> effet <SEP> sur
<tb>  le <SEP> rochet <SEP> dans <SEP> cette <SEP> action. <SEP> Lorsque <SEP> le <SEP> cha  riot <SEP> à <SEP> plaque <SEP> revient <SEP> à <SEP> sa <SEP> position <SEP> centrale
<tb>  après <SEP> une <SEP> impression <SEP> quelconque, <SEP> l'extrémité
<tb>  inférieure <SEP> de <SEP> la <SEP> plaque <SEP> <B>189-</B> <SEP> s'élève <SEP> sur <SEP> l'une
<tb>  orr <SEP> l'autre <SEP> (le <SEP> deux <SEP> oreilles <SEP> formant <SEP> cames
<tb>  190 <SEP> sensiblement <SEP> fixes <SEP> (fig.

   <SEP> <B>(3</B>, <SEP> 8 <SEP> et <SEP> 10) <SEP> et
<tb>  ceci <SEP> a <SEP> pour <SEP> effet <SEP> d'obliger <SEP> la <SEP> dent <SEP> 185 <SEP> à
<tb>  faire <SEP> tourner <SEP> le <SEP> rochet <SEP> <B>181</B> <SEP> d'une <SEP> dent. <SEP> Art
<tb>  rochet <SEP> 181 <SEP> est <SEP> fixé <SEP> rigidement <SEP> un <SEP> pignon <SEP> 192
<tb>  qui <SEP> engrène <SEP> avec <SEP> une <SEP> crémaillère <SEP> 193 <SEP> formée
<tb>  sur <SEP> le <SEP> coulisseau <SEP> transversal <SEP> 33,

   <SEP> lequel <SEP> cou  lisseau <SEP> est <SEP> monté <SEP> pour <SEP> coulisser <SEP> sur <SEP> le <SEP> bloc
<tb>  50 <SEP> et <SEP> porte <SEP> les <SEP> goupilles <SEP> 38 <SEP> sur <SEP> lesquelles
<tb>  les <SEP> mâchoires <SEP> de <SEP> serrage <SEP> de <SEP> la <SEP> plaque <SEP> sont
<tb>  montées.
<tb>  Il <SEP> est <SEP> avantageux <SEP> d'avoir <SEP> un <SEP> mécanisme
<tb>  centrant <SEP> normalement <SEP> le <SEP> support <SEP> de <SEP> la <SEP> plaque
<tb>  dans <SEP> la <SEP> position <SEP> centrale, <SEP> et <SEP> il <SEP> est <SEP> désirable
<tb>  que <SEP> ce <SEP> mécanisme <SEP> soit <SEP> combiné <SEP> avec <SEP> mi <SEP> mé  canisme <SEP> amortisseur <SEP> de <SEP> chocs <SEP> pour <SEP> arrèter
<tb>  doucement <SEP> le <SEP> support.

   <SEP> U <SEP> rie <SEP> construction <SEP> assu  rant <SEP> ces <SEP> résultats <SEP> est <SEP> représentée <SEP> dans <SEP> les
<tb>  fig. <SEP> 6, <SEP> 7, <SEP> s <SEP> et <SEP> 10. <SEP> Sur <SEP> le <SEP> socle <SEP> 10 <SEP> est <SEP> montée
<tb>  une <SEP> console <SEP> convenable <SEP> ,'300 <SEP> munie <SEP> de <SEP> trois
<tb>  colonnes <SEP> alignées <SEP> 201, <SEP> @'202 <SEP> et <SEP> <B>203</B> <SEP> s'étendant
<tb>  vers <SEP> le <SEP> haut.

   <SEP> Dans <SEP> les <SEP> colonnes <SEP> 201 <SEP> et <SEP> 202
<tb>  sont <SEP> montées <SEP> pour <SEP> coulisser <SEP> des <SEP> tiges <SEP> 204 <SEP> à
<tb>  l'extrémité <SEP> interne <SEP> de <SEP> chacune <SEP> desquelles <SEP> est
<tb>  fixée <SEP> rigidement <SEP> la <SEP> tète <SEP> 205 <SEP> d'une <SEP> barre <SEP> ?OtI
<tb>  coulissant <SEP> dans <SEP> les <SEP> extrémités <SEP> supérieures <SEP> des
<tb>  colonnes <SEP> respectives <SEP> 201 <SEP> et <SEP> 203. <SEP> Au <SEP> bord
<tb>  inférieur <SEP> du <SEP> bloc <SEP> <B>50</B> <SEP> est <SEP> prévue <SEP> une <SEP> creusure
<tb>  20î <SEP> recouverte <SEP> à, <SEP> l'avant <SEP> par <SEP> une <SEP> plaque <SEP> ?09
<tb>  et <SEP> ouverte <SEP> en <SEP> bas.

   <SEP> Dans <SEP> cette <SEP> creusure <SEP> sont
<tb>  montés <SEP> pour <SEP> coulisser <SEP> deux <SEP> blocs <SEP> verrouilleurs
<tb>  210 <SEP> qui <SEP> sont <SEP> pressés <SEP> vers <SEP> le <SEP> bas <SEP> par <SEP> des
<tb>  ressorts <SEP> 211 <SEP> situés <SEP> au-dessus <SEP> d'eux.

   <SEP> Ces <SEP> blocs
<tb>  sont <SEP> normalement <SEP> situés <SEP> dans <SEP> une <SEP> position
<tb>  inactive <SEP> sur <SEP> l'une <SEP> orr <SEP> l'autre <SEP> des <SEP> barres <SEP> 206.
<tb>  Toutefois, <SEP> lorsque <SEP> le <SEP> chariot <SEP> est <SEP> sur <SEP> le <SEP> point
<tb>  d'arriver <SEP> ii <SEP> sa <SEP> position <SEP> centrale, <SEP> le <SEP> bloc <SEP> situ              1o    plus en avant tombe dans l'espace compris  entre les deux barres 206 et agit sur l'extré  mité de la barre vers laquelle le chariot se  meut, poussant cotte extrémité légèrement en  comprimant le ressort correspondant 208 qui  entoure la tige 204. Au moment où cette  action a lieu, l'autre bloc 210 tombe dans  l'espace situé derrière le bloc placé le plus  en avant.

   Les pièces ayant été mues d'une  courte distance au delà du centre, le ressort  comprimé réagit et ramène le chariot à sa  position centrale dans laquelle l'autre bloc  210 entre en contact avec l'autre tête 205.  Le mouvement de retour qui serait suscep  tible de se produire au delà     dit    centre est  ainsi contrecarré par l'autre ressort 208. Le  chariot est ainsi presque instantanément amené  au repos d'une façon douce et est maintenu  par les deux têtes 205 dans sa position  centrale.  



  Les oreilles formant cames     susmentionnées     190 qui actionnent la plaque 182 faisant  tourner le rochet sont portées par les deux  têtes 205, de sorte que si le chariot se meut  au delà du centre, l'oreille correspondante  190 est entraînée par lui et la plaque 182  ne peut pas tomber.  



  La     fig.    8 montre un bloc verrouilleur 210  dans la position qu'il occupe juste après qu'il  a été élevé hors de l'entaille centrale et avant  qu'il ait été     mîi    latéralement au-dessus d'une  des barres 206. Dans la position normale, le  bloc coulissant 215 décrit plus loin occupe  une position située plus en avant que celle  représentée à la     fig.    8 et laisse au-dessus de  lui un espace dans lequel les blocs 210  peuvent tomber.  



  Comme le montre la     fig.    8, il existe sur  l'extrémité arrière de chaque levier à touche  21 une patte 221 qui est agencée pour agir  sur l'extrémité repliée 222 d'une barre uni  verselle 223 pivotant en 224 sur un montant  du bâti. " Cette barre universelle est située  directement à l'avant du bloc coulissant 215,  ce bloc étant poussé vers elle par un ressort  216. Lorsque la machine s'arrête après l'em  boutissage d'un     caractère,    les blocs     verrouil-          leurs    210 occupent une .position abaissée au-    dessus de la partie rétrécie 217 des blocs  215, comme on le voit à la     fig.    3, et le  chariot est ainsi verrouillé dans sa position  centrale.

   Toutefois, lorsqu'on frappe la touche  suivante, une patte 221 portée par l'extrémité  arrière montante de son levier agit à la façon  d'une came sur l'extrémité de la barre uni  verselle 223 et pousse cette barre vers l'arrière  de façon qu'elle pousse elle-même vers l'arrière  le bloc coulissant 215      <  <     l'encontre de l'ac  tion du ressort 216. Il en résulte que la  surface formant came 218     (fig.    8) dudit bloc  s'élève en glissant sur l'angle inférieur avant  des blocs 210 et dégage ces blocs de l'espace  qu'ils occupent entre les têtes 205. Dans ce  mouvement,     tin    ergot 214 prévu au bord  inférieur de chaque bloc 210 s'engage dans  une entaille correspondante du bloc 215 di  rectement à l'avant de la surface 218.

   Cette  action est suffisante pour empêcher le bloc  215 de revenir à sa position avant normale  après que l'extrémité arrière du levier à touche  a été élevée suffisamment pour que la patte  221 se sépare de l'extrémité repliée 222 de  la barre universelle 223.  



  Aussitôt que la patte 221 du levier à  touche s'est séparée de-la barre universelle,  un ressort 226     (fig.    15) fait pivoter cette  barre vers l'avant, de sorte que son extrémité  supérieure 222 passe au-dessous de la patte  221, ce qui maintient le levier à touche dans  cette position. L'engagement des ergots 214  dans les entailles du bloc 215 empêche ce  bloc de suivre la barre universelle jusqu'au  moment où le chariot a été déplacé latérale  ment par le solénoïde d'une distance suffi  sante     pour    dégager les blocs 210 du bloc 215.  Le ressort 216 pousse alors le bloc 215 vers  l'avant jusqu'à sa position normale.  



  Pour empêcher la barre universelle 223  de maintenir le levier à touche actionné dans  la position à laquelle il a été amené, on  prévoit un mécanisme, représenté dans les       fig.    2, 5 et 15, grâce auquel le mouvement  de retour d'un des leviers emboutisseurs dé  verrouille la barre universelle. A l'extrémité  avant du levier emboutisseur inférieur 133  est     fixé-    un bras 230 s'étendant vers l'avant      et portant à soir extrémité avant un cliquet       '?31    poussé vers l'avant par un ressort 232 et  muni d'une dent 233 agencée pour s'élever  au-dessus     d'rrrr    bras arrière 234 de la barre  universelle 223.

   Le     mouvement    emboutisseur  du bras 133 amène le cliquet à la position  (le la     fig.    15. Lorsque les bras emboutisseurs  se séparent alors sous l'action du ressort     139.,     au moment     oii    la came 120 permet cette  action, le bras 230 entraîne le cliquet 231  vers le bas et pousse le bras 234, ce qui a  pour     effet    de faire pivoter la barre universelle  223 vers l'arrière et de déverrouiller la touche.  Lorsque le cliquet arrive à sa position la plus  basse, une console fixe 236 agit sur lui à la  façon d'une came de manière à l'éloigner du  bras 234 de la barre universelle.  



  Pour permettre de placer le commence  ment de chaque ligne de caractère emboutis  à la position désirée, par exemple de     façon     que les lignes successives soient disposées d'une       manière    échelonnée, ont prévoit     sur    le cliquet  184 un prolongement 240     (fig.    1 et 6) por  tant une touche 241 à son extrémité.     L'abais-          sement    de cette touche débraie le rochet et  permet ainsi au dispositif     porte-plaque    d'être  déplacé manuellement dans l'un et l'autre  sens sur le bloc 50, suivant qu'on le désire.

    Ceci permet non seulement de choisir la po  sition du point     oii    commence la ligne, ruais,  en outre, permet le rappel du dispositif     porte-          plaque,    permettant à son tour de supprimer,  en l'aplatissant un caractère frappé     d'une          façon    incorrecte et de frapper un autre ca  ractère à sa place. Pour permettre cette sup  pression d'un caractère incorrect, ont peut  prévoir deux matrices à face plate actionnées  par une touche convenable du clavier quoique,  ordinairement, il suffira de frapper aussitôt  le caractère correct par     dessus    le caractère  incorrect.  



  Pour permettre à la machine de laisser  des espaces entre les caractères emboutis  sans prendre le temps requis pour la ma  noeuvre du mécanisme emboutisseur, qui fonc  tionnerait sans agir, on prévoit à l'extrémité  arrière du levier     à,    barre d'espacement une    construction spéciale que l'on va décrire en  se référant aux     fig.    1 et 16.  



  La barre d'espacement 250 est montée  sur deux leviers 271 et 252. Le levier<B>252</B>  est disposé à     l'arrière    de la barre de     pivote-          nient    commune 253     (fig.    16) et est muni à  sort extrémité arrière d'une patte 255 destinée  agir sur la barre universelle 223 et à la  faire pivoter vers     l'arrière    pour déverrouiller  le bloc 50. La patte     2;ï5    est telle qu'elle  maintient la barre 223 vers l'arrière jusqu'au  moment     oir    la barre d'espacement est déver  rouillée.

   Le levier     '.'.52    portant la barre d'es  pacement est découpé à son extrémité     arrière     supérieure comme on le voit en 256 (le     façon     que, lorsqu'elle occupe sa position la plus  haute, cette barre ne soit pas placée sur le  trajet des butées 100 et des poussoirs 60.  Toutefois la barre d'espacement actionne les       électro-airnant5,    de sorte que, aussitôt que  la touche a été     abaissée,    le chariot commence  à se mouvoir et que, aussitôt qu'il se meut,  la plaque 1.82 actionnant le rochet se sépare  des oreilles     formant    carmes 190     (fig.    6) et le  cliquet 185 descend et entre en prise avec  une nouvelle dent du rochet.

   Aussitôt que  l'opérateur retire le doigt de la barre d'es  pacement, le ressort     \?58    rappelle la barre et,       comme    le circuit des électro-aimants est  ouvert, le ressort correspondant     55    ramène  le chariot à. sa position centrale. En     nrêrrre     temps, le déverrouillage du levier à barre       d'espacement    déverrouille la barre universelle  223 qui pivote vers l'avant, et ceci permet  art bloc coulissant<B>2</B>15     (fig.    8) de revenir à  sa position avant. en permettant aux blocs  210 disposés dans le chariot de tomber dans  l'espace de retenue central, entre les barres 206.  



  La mécanique de la machine représentée  est relativement simple et est agencée     cri    vue  de son montage en urne machine très     conn-          pacte.    Il est très facile d'insérer un flan  métallique propre à être     embouti'    dans les  mâchoires et de régler la position de ce flan  suivant qu'on le désire pour mettre l'opération  en train et il suffit alors d'appuyer sur les  touches pour écrire une ligne de caractères  emboutis, l'opérateur<B>ayant les</B> deux mains      libres pour     manceuvrer    les touches.

   A l'aide  du bouton de commande, il peut alors amener  la plaque à la position qui convient pour une  nouvelle ligne et la déplacer latéralement,  s'il le désire, en abaissant la touche de dé  brayage du rochet; et ainsi de suite, jusqu'à  ce que la plaque soit achevée. A la fin de  l'opération, on sépare les mâchoires et l'on  enlève la plaque manuellement, cette plaque  pouvant alors facilement être introduite dans  un support approprié tel que celui représenté  en     B    à la     fig.    17.

Claims (1)

  1. REVENDICATION Machine à imprimer par emboutissage, comportant des matrices mâles et des matrices femelles et un chariot déplaqable agencé pour placer la matière à emboutir entre les ma trices coopérantes, cette machine étant carac térisée par un clavier muni de touches cor respondant aux différents caractères et par un mécanisme moteur qui agit de façon à amener le chariot à une position détèrminée par la touche manaeuvrée. SOUS-REVENDICATIONS 1 Machine suivant la revendication,
    carac térisée par le fait que le chariot possède une position de repos définie depuis la quelle il est amené à diverses positions de travail et à laquelle il revient auto matiquement. 2 Machine suivant la revendication et la sous-revendication 1, caractérisée . par le fait que la position de repos est située au centre et que le chariot est déplacé à volonté dans un sens et dans l'autre, sui vant qu'on manoeuvre une touche de l'un ou l'autre de deus groupes de touches. 3 Machine suivant la revendication et la sous-revendication 1, caractérisée par le fait que le charibt est déplacé par un dispositif électromagnétique dont le fonc tionnement est régi par le clavier.
    4 Machine suivant la revendication et les sous-revendications 1, ? et 3, caractérisée par le fait que le chariot est mû électro- magnétiquement dans un sens et ramené automatiquement par un ressort armé par le mouvement électromagnétique. 5 Machine suivant la revendication, carac térisée par le fait que le chariot comprend un dispositif porte-plaque mobile sur une pièce de base du chariot et qui reçoit après chaque aotionnement d'une touche, un dé placement par rapport à ladite pièce de base, déplacement correspondant à la largeur du caractère simple imprimé.
    6 Machine suivant la revendication et la sous-revendication 5, caractérisée par le fait que le chariot comprend un bloc cou lissant portant le dispositif porte-plaque, le tout se mouvant en bloc pour placer la matière à emboutir, et le dispositif porte-plaque se mouvant par rapport audit bloc pour l'emboutissage des caractères successifs.
    7 Machine suivant la revendication et les sous-revendications li et 6, caractérisée par un mécanisme d'encliquetage commandé à chaque déplacement du chariot par une touche, pour déplacer le dispositif porte- plaque par rapport au bloc coulissant qui le porte. 8 Machine suivant la revendication et les soUs-revendications 5 et 6, caractérisée par le fait que le mécanisme servant à faire mouvoir le dispositif porte-plaque est actionné par une came qui agit au moment où le chariot arrive à la position de. repos.
    c9 Machine suivant la revendication et la sous-revendication 5, caractérisée par le fait- que le dispositif porte-plaque reçoit son mouvement au moment où le chariot revient à la position normale et qu'un mécanisme empêche l'action inopportune qui serait susceptible de se produire si le chariot dépassait cette position. 10 Machine suivant la revendication et les sous-revendications 5 et 6, caractérisée par le fait qu'un organe â commande manuelle déclenche le mécanisme qui fait mouvoir le dispositif porte-plaque en permettant à ce dernier d'être déplacé librement sur le chariot.
    11 _Machine suivant la. revendication et les sous-revendications 5 et 6, caractérisée par le fait que le dispositif porte-plaque comprend uni coulisseau portant une pince qui se meut dans une direction transver sale par rapport au mouvement dudit coulisseau. 12 Machine suivant la revendication, carac térisée par un bloc de pression déplaçable commun à un jeu de matrices et se dé plaçant avec le chariot pour déterminer la matrice choisie.
    13 Machine suivant la revendication, carac térisée par un embrayage qui, lorsqu'il est déverrouillé, effectue un demi-tour et s'arrête, cet .embrayage actionnant les matrices, des moyens étant prévus pour déverrouiller l'embrayage lorsque le cha riot a été amené en position. 14 Machine suivant la revendication, carac térisée par le fait que la machine comporte des rangées adjacentes de matrices à ca ractères et, en addition au mécanisme servant à faire mouvoir le chariot pour sélec tionner les matrices, un mécanisme servant à changer la position des matrices dans une direction transversale par rapport au mouvement de mise eu position.
    15 Machine suivant la revendication, carac térisée par le fait que le chariot est muni d'une pince agencée pour serrer la plaque à emboutir sur son bord éloigné des ma trices, le bord opposé de la plaque faisant saillie entre les matrices et un mécanisme étant prévu pour modifier la relation de la plaque par rapport à la rangée de matrices.
    16 Machine suivant la revendication et la sous-revendication 12, caractérisée par le fait qu'elle comprend deux rangées de matrices miles et deux rangées de ma trices femelles montées dans mi porte- matrices et que les blocs de pression se meuvent avec le chariot à plaque, la série entière de matrices étant déplagable en bloc transversalement par rapport au mou vement de mise en position du chariot, ce qui change la rangée de matrices en regard de laquelle les blocs d'espacement sont situés.
    17 Machine suivant la revendication, carac térisée par deux organes servant<B>à</B> amortir les chocs et par des moyens prévus sur le chariot et agencés pour pénétrer dans l'espace compris entre ces organes et pour coopérer avec eux de façon à centrer doucement le chariot. <B>18</B> Machine suivant la revendication, carac térisée pas le fait que le chariot est muni d'un verrou central agencé pour maintenir normalement ledit chariot dans sa position centrale, mais pouvant être déverrouillé par la manoeuv re d'un levier à touche.
    Machine suivant la revendication, carac térisée par unie touche d'espacement qui, à chaque manoeuvre, agit de façon à dé placer la matière ii. emboutir d'une unité sans actionner le mécanisme emboutisseur. Machine suivant la revendication et la sous-revendication 12, caractérisée par le fait que les blocs de pression sont portés respectivement par deux laines de ressort qui sont supportées par le chariot à plaque et se meuvent avec lui.
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