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Brise-goutte pour bouteilles, flacons ou récipients analogues.
Un brise-goutte connu pour bouteilles, flacons ou récipients analogues comprend une partie cylindrique ou appro- ximativement cylindrique destinée à être introduite dans l'orifice du récipient et une collerette combinée avec cette partie cylin- drique. La collerette présente une partie inclinée, par exemple, une partie conique agencée de manière que le liquide, lorsqu'il , est versé hors de la bouteille ou du récipient analogue dans l'orifice duquel le brise-goutte & été installé, s'écoule par-dessus le bord de cette partie inclinée qui est faite d'une
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matière élastique présentant de bonnes propriétés hydrophobes et qui fait un angle avec la surface supérieure de la collerette inférieur à 90 .
Ce brise-goutte fonctionne en général convenablement mais, des essais poussés ont démontré que dans certains cas, une goutte peut néanmoins se former sur le brise-goutte à un endroit tel qu'elle puisse s'écouler vers le bas le long de la face exté-
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riesre de la bouteille équlp4e 6n ue-;g<t<<.
P . f!rs!:<m " ' ' tÀù ! ra3scnt.es 4 r , r/n ,;/ ..<j;-i . ¯ rc .
LTt.i p1àxY haut, flii entstxsµ4É%#1#o. qàé2.là brise-g*fie , en question doit de '':C tr . d'unê résinc syohàti- z que C.e..eet hydrofuge et pouvant, a%be 1Îaçonnée élastiQUe ment dans une mesure permettant de l'utiiiser .aux fins de l'invention. Un brise-goutte conforme à ces spécifications peut, bien entendu, être utilisé pour un grand nombre de liqui- des mais pas pour tous les liquides.
En fait, on a constaté au cours d'essais effectués avec un brise-goutte que la capacité des liquides à humidifier ou à mouiller la matière plastique diffère largement suivant le type de liquide. En ce qui concerne, par exemple, les vins et les alcools, il apparaît qu'un vin sec a un pouvoir mouillant inférieur à celui d'un vin doux et que les alcools forts ont un pouvoir mouillant pour la matière plastique supérieur à celui de la plupart des vins.
De plus, l'humidification ou le mouillage de la surface de la matière plastique s'effectue d'une manière que l'on n'a pas pu expliquer physiquement mais que l'on a simplement observée empiriquement. Ainsi, il est apparu que lorsqu'on verse d'une bouteille munie d'un brise-goutte du type spécifié, un liquide formant facilement des gouttes; c'est-à-dire un liquide ayant davantage tendance à mouiller ou humidifier la matière plastique, aucun mouillage ne se produit normalement.
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Si l'on verse de manière répétée de petites quantités de liquide de la même bouteille, une goutte se forme au bord de la collerette après un nombre donné de ces opérations, ce nombre étant propre à chaque liquide mais n'étant évidemment pas absolument constant, en particulier si ces opérations s'effectuent à une fréquence très rapprochée les unes à la suite des autres, ce qui est
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souvent l<)rsqe remplit des verres à vin sur une tabla , Ir 4"1 .;.. .¯ 3 dÀPr . 9 oHaas aî1aÎog'.res..
' f 1,j."-J"1 ' j; . . 4f #1 cours d'un essais on a versé un vin rouge .... + , z .,< .oN1.f!àÍre'"à,..1...m du brise-goutte en des quantités d'environ
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, C1:l3 chaque eol4 et à une fréquence de trois ou quatre secondes.
Initialement aucune goutte ne se iorne à l'extérieur de la surface interne de la partie cylindrique mais après cinq à huit opérations (variables) une goutte bien visible commence à se former d'elle-même sur la face supérieure de la collerette et si l'on continue de verser ces petites quantités de liquide, cette goutte grossit assez rapidement jusqu'à atteindre finalement, après le double d'eperations, un volume lui permettant de gagner le bord extérieur de la collerette et de descendre le long du goulot de la bouteille.
Si la bouteille est maintenue inclinée, cette goutte tombe sur le support, par exemple sur la table à dîner garnie fréquemment d'une nappe qui peut être tachée par cette goutte de vin.
Ce mouillage de la matière plastique qui s'accroît successivement est un phénomène qui n'a pas encore pu être expliqué mais qui a pour effet de faire perdre de temps à autre son efficacité à un brise-goutte du type spécifié.
L'invention concerne un brise-goutte dans lequel l'inconvénient précité a été supprimé.
Suivant l'invention, le col du brise-goutte est prolongé au-dessus de la collerette en une courte partie cylindrique ou
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une partie légèrement conique de sorte qu'une feuillure angulaire est formée entra la face externe de la partis cylindrique et la
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face eupérieure de la collerette, eet%,'3 feuillure étant dlj1tée par deux côtés.
Au cours dressais semblables à ceux que l'on vient de mentionner.. il a été démontré que s'il existe une tendance à la formation d'une goutta lorsque l'on a verse
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de raniére répétée de petites quantités de liquida dyune 'bouteille ou d'un récipient analcsa équipé d'n r1se-6outte suivant l'invention.. cette io;;tfe jh8re la face supérieure de la collerette ot à Îa faco ext&"ie'm'a il;%. proloRgesi'3st cylindrique e ten<1 ii 'en±"o?;cez. 331 4le possible dans l'aa;le 1G6 antre e>35 dcn?: prieg.
Elle n,3 descend donc çzs et se àôtc-eh.J. p'; À?e;S.le-=éa,# à:=i> façon cueleoq'nQ. !.a sou&ts ne grossit sas n;a. ?lus nil-ee lor=-q;:'elle a atteint inx v.>Ji;mne doan4 =r;.;?;el elle encore à la face externe du prcicngc.est cylindrique et à la I6C supé- rieure de la collerette elle accuse une tendance marquée à ne plus accepter de liquide et elle conserve le volume qu'elle a
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acquis à ce =o=ent-là,u1 est 1nzufrist pour lui per=ettre de se détacher.
L'invention sera décrite ci-après avec référence au
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dessin annexe dans lequel la Fig. 1 rupzésente un brisf#goutte connu du type spécifié et la Fig. 2 'Un 'brise-goutte du type perfectionné suivant l'invention.
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Le dessin et en particulier la Fig. 1 montre un brise-goutte du type général auquel se rapporte l'invention mais d'une réalisation actuellement bien comme. La partie cylindrique 11 du brise-goutte est introduite dans le goulot de la bouteille 10 de manière à créer une étanchéité satis- faisante entre la partie cylindrique 11 et la face interne du goulot 10 de la bouteille. A cet effets le brise-goutte
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est fait d'J.U1e matière pouvant être façonnée élastiquement.
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de préférence une matière plastique. Des nervures annulaires 12 sont, en outre, prévues sur la face externe de la partie cylindri- ; que 11. Un alésage axial traverse la partie cylindrique 11 et le liquide contenu dans la bouteille peut être versé par cet alésage.
La collerette 13 est située à l'extrémité supérieure du brise-goutte. Cette collerette est de préférence délimitée, sur sa face supérieure, par un plan perpendiculaire à l'axe du brise-goutte, la face inférieuge de cette collerette 13, à l'exté- rieur de la partie cylindrique 11, étant toutefois légèrement conique, c'est-à-dire quelle présente un angle aigu à sa péri- phérie cmapris entre 6 et 10 . Cet angle n'est en aucune manière critique et il peut être sensiblement plus grand mais il doit de préférence rester inférieur à 90 .
Dans des circonstances normales., un tel brise-goutte foncticnne de la manière suivante: Lorsque la boisson contenue dans la 'bouteille est versée, elle s'écoule par la partie cylin- drique 11 sur la face supérieure de la collerette 13 mais elle est supposée ne pas franchir le bord effilé ou arête vive 14 pour passer sur la partie inclinée de manière conique 15 car celle-ci s'incline habituellement vers 1-'arrière et aussi en raison des propriétés hydrofuges supposées de la matière.
Lorsque la bouteille est à nouveau redressée verticalement, il peut arriver qu'une petite goutte se forme sur la face supérieure de la collerette 13 mais, dans les circonstances ordinaires, cette goutte ne peut pas franchir le bord 14 de la collerette et, par conséquent, on pourrait supposer que l'on a réussi à empêcher à coup sûr l'égouttement. Comme décrit plus haut, on a pu toutefois se rendre,; compte que cela n'est pas le cas en réalité.
En fait, les essais précités ont démontré que lorsqu'on verse de manière répétée de petites quantités de liquide, les unes à la suite des autres, une goutte se forme et se rassemble
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de la manière indiquée en 16 à la Fig. 1. Ceci ne se produit cependant que si l'on ne tourne pas la bouteille axialement pendant l'essai de telle sorte que la même partie de la colle- rette est toujours mouillée par la goutte ou le liquide chaque . fois que l'on verse une faible quantité.
Cela semble indiquer que la matière plastique possède une propriété qui n'a pas été décelée et que les propriétés de la surface de la matière plas- tique changent pendant les opérations en question de sorte que, quoique la surface soit initialement fortement hydrofuge, elle perd, lorsque l'on verse du liquide à des intervalles de courte durée.et répétés à l'aide de la même partie de la collerette, ses propriétés hydrofuges et permet la formation d'une goutte, comme indiqué en 16 à la Fig. 1.
Suivant l'invention, une bague de prolongement 17,
Fig. 2, s'étend en substance concentriquement par rapport à la partie cylindrique 11, vers le haut au-dessus du niveau de la collerette 13 sur une courte distance, cette distance étant de préférence environ égale à la moitié de la largeur radiale de la collerette située à l'extérieur de la bague. Cette bague peut avoir la même épaisseur de paroi que la partie cylindrique 11. Elle doit de préférence présenter des arêtes vives aux extrémités supérieures de sa face interne et de sa face externe.
Des essais du même genre que ceux mentionnés plus haut ont fourni les renseignements suivants au sujet de l'opération qui consiste à verser un liquide d'une bouteille équipée d'un tel brise-goutte.
En premier lieu, il est à remarquer que dans des circonstances avantageuses, le liquide s'écoule par-dessus les deux arêtes 18 et 19, la première se trouvant sur la bague 17 et la @econde sur la collerette 13. La tendance à la formation de gouttes est déjà ainsi essentiellement réduite, ce qui
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est démontré par le doublement du nombre de petites quantités du liquide qu'il faut verser de la bouteille avant d'observer les premiers signes de formation d'une goutte. Déjà en raison de ceux-ci, on obtient une sécurité nettement améliorée contre la formation de gouttes.
Le moment le plus impor- tant est cependant celui où, lorsqu'on utilise systématiquement le brise-goutte dans des essais très rigoureux pour former une goutte, cette goutte adhère suffisamment à la surface externe de la bague 17 et à la face supérieure de la collerette
13 et en particulier elle se fixe dans l'angle étroit formé entre ces deux surfaces de sorte qu'elle ne s'écoule pas vers le bas le long de la collerette 13.
Pour assurer que cette fonction se produise réellement. on a exécuté des essais avec de l'eau additionnée d'un agent mouillant très actif de telle sorte que le liquide mouille convenablement la matière du brise-goutte qui est autrement hydrofuge. On pourrait s'attendre à ce qu'une goutte se forme dans ces conditions extrêmement favorables qui ne correspondent pas aux conditions de travail que l'on rencontre en pratique.
Il s'est avéré que des gouttes se forment mais ces gouttes sont si solidement attachées à la surface externe de la bague cylindrique et à la surface supérieure de la collerette que, mène dans les conditions défavorables citées plus haut, aucune goutte ne roule par-dessus le bord périphérique 14 de la collerette. On a également essayé de maintenir la bouteille inclinée, de manière qu'une majeure partie du poids de la goutte agisse dans un sens tel que la goutte franchisse le bord ou l'arête 14 pour descendre le long de la bouteille,et simultanément on a secoué fortement la bouteille mais on n'a néanmoins pas réussi à détacher la goutte.
On a également effectué des essais avec des angles d'inclinaison différents entre les lignes génératrices de la
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bague et de la collerette. Sur la Fig. 2, l'angle formé entre
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elles est de 50 .
Si l'on diaiue cet angle, les gouttes formées dans ces conditions particsiieresent dt1sava:ltaget:Ses ont clairesest teadasce à et-e aspirées par les forces capillaires qui s'exercent dans l'angle encore :pl.1lS 2.;. et Ze cro1ssa:l-:::e est sl=ultane=ent :r5te.. A l'aide d'ce : .s'v'..""''ï;4a...'.m.F'r: cn 8G:'s.hï du liquide d-s =%e Z,-7=e à la gz7a-,te ainsi forcée dmz 1 espace an.:1.a.ú'e ò#é 6ntre la cc1.:e:'et et 1.3. bagua ::1.:!.s il s'est a#éb4 qu'U exista 3'3." âv r'. 9 =el#ticn 14terai#è entre le volume de la. &v:.ltto et la. "ui"v-,i..Ci;r'..f: de celle-ci parce que la goutte ne grossit plus taudis que .1,LGt.I' de liquide semble strie refc,,4"àlé -dEm.ss le bcrd da la. baç=a 17 dans la. bouteille par s1.i'h::;n..-&a.
On peut réduira 11cn:;la fersd entre 1a surface externe de la bague 17 et la f5.co ssp(3ricro de- ia ccilerette 13 on laissant la surface sCz1uro da la. collerctto 3':eâbt conique vers l'1nté;:1ôur 5=1 en utilisent -une yign.3 16èr(cnt évasée on forso d'cntor:olr ost G'Jesdnt vers 5. :rlé:".
Le Éii.i..r'6aiilsw cuiéast w"3i1'sS' n'3 doit ; ngcojs1re=ent 3tre cylindrique cesG ducrit plus ut 1s 11 peut être de n'Il--.porte 'l"4$'? section appropria rlon les c1rcnztar.a33. Si Io TiSt!,T.et doit Ctro introduit da..'13 dûs bulles métalliques que l'on a ù...--...,c.:: n y e:..'aaa un o'Utll do sscire 1! y forser une cuvert**ra tr1An1ro. la partie II. qui dans le dessin a éti roprésont6o cesse étant cylindrique. doit ml lieu de cela présenter une rome triangulaire correspondante.
Le brise-goutte na peut pas Otro utilisé exclu1vcent pour les bouteilles, boites 6talllques et récipients pour boissons, mais i3 peut étre utilisé avec un égal succès pour divers types de dispositifs d'ad=lnlstrat1on. par exemple dans
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des ajutages à tuyau flexible.
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Bien entendu, l'Invention n'est en aucune tanière limitée aux détails d'exécution décrits auxquels divers changements et modification peuvent être apportes sans sortir de son cadre.
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Drip-breaker for bottles, flasks or the like.
A known drip-breaker for bottles, flasks or the like comprises a cylindrical or approximately cylindrical part intended to be introduced into the orifice of the container and a flange combined with this cylindrical part. The flange has an inclined part, for example, a conical part arranged so that the liquid, when poured out of the bottle or the like container in the orifice in which the drip-breaker has been installed, flows. over the edge of this inclined part which is made of a
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elastic material having good hydrophobic properties and which forms an angle with the upper surface of the collar less than 90.
This drip-breaker generally works well, but extensive testing has shown that in some cases a drop may still form on the drip-breaker where it can flow downward along the face. outside
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riesre de la bottle equlp4e 6n ue-; g <t <<.
P. f! rs!: <m "'' tÀù! ra3scnt.es 4 r, r / n,; / .. <j; -i. ¯ rc.
LTt.i p1àxY high, flii entstxsµ4É% # 1 # o. qàé2.là breaking-g * fie, in question must of '': C tr. of a resin which is syohatic and water repellent and capable of being elastically shaped to an extent which enables it to be used for the purposes of the invention. A drip breaker conforming to these specifications can, of course, be used for a large number of liquids but not for all liquids.
In fact, it has been found in tests carried out with a drip-breaker that the ability of liquids to moisten or wet plastics differs widely depending on the type of liquid. As regards, for example, wines and alcohols, it appears that a dry wine has a lower wetting power than that of a sweet wine and that strong alcohols have a wetting power for the plastic material greater than that of most wines.
In addition, the wetting or wetting of the surface of the plastic material takes place in a way which could not be explained physically but which was simply observed empirically. Thus, it has been found that when pouring from a bottle provided with a drip-breaker of the specified type, a liquid easily forming drops; that is, since a liquid has a greater tendency to wet or moisten the plastic material, no wetting normally occurs.
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If we repeatedly pour small quantities of liquid from the same bottle, a drop forms at the edge of the collar after a given number of these operations, this number being specific to each liquid but not obviously being absolutely constant. , in particular if these operations are carried out at a very close frequency one after the other, which is
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often l <) rsqe fills wine glasses on a tabla, Ir 4 "1.; .. .¯ 3 dÀPr. 9 oHaas elder1aÎog'.res ..
'f 1, j. "- J" 1' j; . . 4f # 1 during a test we poured a red wine .... +, z., <.ON1.f! ÀÍre '"to, .. 1 ... m of the drip-breaker in quantities of about
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, C1: l3 each eol4 and at a frequency of three or four seconds.
Initially no drop appears on the outside of the internal surface of the cylindrical part, but after five to eight operations (variable) a clearly visible drop begins to form on its own on the upper face of the collar and if the 'we continue to pour these small quantities of liquid, this drop grows fairly quickly until finally reaching, after double the spurations, a volume allowing it to gain the outer edge of the collar and to descend along the neck of the bottle.
If the bottle is kept tilted, this drop falls on the support, for example on the dinner table frequently lined with a tablecloth which can be stained by this drop of wine.
This wetting of the plastic material which increases successively is a phenomenon which has not yet been able to be explained but which has the effect of causing a drip breaker of the specified type to lose its effectiveness from time to time.
The invention relates to a drip breaker in which the aforementioned drawback has been eliminated.
According to the invention, the neck of the drip-breaker is extended above the collar in a short cylindrical part or
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a slightly conical part so that an angular rebate is formed between the outer face of the cylindrical part and the
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eupérieur face of the collar, eet%, '3 rebate being dlj1tée by two sides.
In lessons similar to those just mentioned .. it has been shown that if there is a tendency to form a goutta when pouring
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repeated operation of small quantities of liquida in a bottle or an analcsa container equipped with a dropper according to the invention. this io ;; tfe jh8re the upper face of the collar ot to the outside faco. me il;%. proloRgesi'3st cylindrical e ten <1 ii 'in ± "o?; cez. 331 4le possible in aa; 1G6 antre e> 35 dcn ?: prieg.
She n, 3 thus descends çzs and is atôtc-eh.J. p '; À? E; S.le- = éa, # à: = i> cueleoq'nQ way. ! .a sou & ts does not get bigger without n; a. ? lus nil-ee lor = -q;: 'it has reached inx v.> Ji; mne doan4 = r;.;?; it still on the external face of the prcicngc. is cylindrical and at the upper I6C of the collar shows a marked tendency to no longer accept liquid and it retains the volume it has
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acquired at this = o = ent-there, u1 is 1nzufrist to allow it to be detached.
The invention will be described below with reference to
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appended drawing in which FIG. 1 rupz shows a known drop breaker of the type specified and FIG. 2 'A' drip-breaker of the improved type according to the invention.
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The drawing and in particular FIG. 1 shows a drip-breaker of the general type to which the invention relates but of an embodiment currently well as. The cylindrical part 11 of the drip-breaker is introduced into the neck of the bottle 10 so as to create a satisfactory seal between the cylindrical part 11 and the internal face of the neck 10 of the bottle. For this purpose the drip breaker
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is made from a material which can be elastically shaped.
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preferably a plastic material. Annular ribs 12 are furthermore provided on the outer face of the cylindri- part; that 11. An axial bore passes through the cylindrical part 11 and the liquid contained in the bottle can be poured through this bore.
The collar 13 is located at the upper end of the drip breaker. This flange is preferably delimited, on its upper face, by a plane perpendicular to the axis of the drip-breaker, the lower face of this flange 13, on the outside of the cylindrical part 11, being however slightly conical, that is, it presents an acute angle at its periphery cmapris between 6 and 10. This angle is by no means critical and it can be significantly larger, but it should preferably be kept below 90.
Under normal circumstances, such a drip-breaker works as follows: When the beverage contained in the bottle is poured, it flows through the cylindrical part 11 onto the upper face of the collar 13 but is assumed not to cross the tapered edge or sharp edge 14 to pass over the conically inclined portion 15 as this usually tilts rearward and also due to the assumed water repellency properties of the material.
When the bottle is again upright vertically, it may happen that a small drop forms on the upper face of the flange 13 but, under ordinary circumstances, this drop cannot cross the edge 14 of the flange and therefore , one might assume that one succeeded in preventing drip for sure. As described above, however, we were able to get; realize that this is not the case in reality.
In fact, the above tests have shown that when repeatedly pouring small amounts of liquid, one after the other, a drop forms and collects
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in the manner indicated at 16 in FIG. 1. This, however, only happens if the bottle is not rotated axially during the test so that the same part of the collar is always wetted by the drop or liquid each. once a small amount is poured.
This seems to indicate that the plastic has a property which has not been detected and that the properties of the surface of the plastic change during the operations in question so that, although the surface is initially highly water repellent, it loses. , when liquid is poured at short intervals and repeated using the same part of the collar, its water-repellent properties and allows the formation of a drop, as indicated at 16 in Fig. 1.
According to the invention, an extension ring 17,
Fig. 2, extends substantially concentrically with respect to the cylindrical part 11, upwards above the level of the collar 13 for a short distance, this distance preferably being approximately equal to half the radial width of the collar located on the outside of the ring. This ring may have the same wall thickness as the cylindrical part 11. It should preferably have sharp edges at the upper ends of its internal face and of its external face.
Tests of the same type as those mentioned above have provided the following information about the operation of pouring liquid from a bottle equipped with such a drip breaker.
First, it should be noted that under advantageous circumstances, the liquid flows over the two ridges 18 and 19, the first being on the ring 17 and the second on the flange 13. The tendency to sag. drop formation is thus already substantially reduced, which
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is evidenced by doubling the number of small amounts of liquid that must be poured from the bottle before the first signs of a droplet are seen. As a result of these, a significantly improved safety against the formation of drops is achieved.
The most important moment, however, is when, when the drip breaker is systematically used in very rigorous tests to form a drop, this drop adheres sufficiently to the outer surface of the ring 17 and to the upper face of the ring. collar
13 and in particular it is fixed in the narrow angle formed between these two surfaces so that it does not flow downward along the collar 13.
To ensure that this function actually happens. Tests were carried out with water supplemented with a very active wetting agent so that the liquid adequately wets the drip-breaker material which is otherwise water-repellent. One might expect that a drop would form under these extremely favorable conditions which do not correspond to the working conditions encountered in practice.
It has been found that drops do form, but these drops are so firmly attached to the outer surface of the cylindrical ring and to the upper surface of the flange that, under the adverse conditions mentioned above, no drop rolls around. above the peripheral edge 14 of the collar. We have also tried to keep the bottle tilted, so that a major part of the weight of the drop acts in a direction such that the drop crosses the edge or the ridge 14 to descend along the bottle, and simultaneously we have The bottle was shaken strongly, but the drop was still not released.
Tests were also carried out with different angles of inclination between the generating lines of the
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ring and collar. In Fig. 2, the angle formed between
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they are 50.
If one diaiue this angle, the drops formed under these particular conditions dt1siieresent: ltaget: Ses a clairest teadasce to et-e sucked by the capillary forces exerted in the angle again: pl.1lS 2.;. and Ze cro1ssa: l - ::: e is sl = ultane = ent: r5te .. Using ce: .s'v '.. ""' 'ï; 4a ...'. m.F 'r: cn 8G:' s.hï liquid ds =% e Z, -7 = e to gz7a-, you thus forced dmz 1 space an.:1.a.ú'e ò # e 6 between cc1. : e: 'and and 1.3. bagua :: 1.:!. if it has # eb4 that U existed 3'3. "âv r '. 9 = el # ticn 14terai # è between the volume of the. & v: .ltto and the. "ui" v-, i..Ci; r '.. f: of it because the drop does not grow bigger slums than .1, LGt.I' of liquid seems streak refc ,, 4 "atle -dEm. ss le bcrd da la. baç = a 17 in the. bottle by s1.i'h ::; n ..- & a.
We can reduce 11cn:; the iron between the outer surface of the ring 17 and the f5.co ssp (3ricro de- ia ccilerette 13 we leave the sCz1uro surface of the. Collarctto 3 ': eâbt conical towards the 1nté;: 1ôur 5 = 1 using -a yign.3 16th (cnt flared on forso d'cntor: olr ost G'Jesdnt to 5.: rlé: ".
The Eii.i..r'6aiilsw cuiéast w "3i1'sS 'n'3 must; ngcojs1re = ent 3tre cylindrical cesG described more ut 1s 11 can be of n'Il -. Carries' l" $ 4'? section appropriate to c1rcnztar.a33. If Io TiSt!, T. and must Ctro introduced into .. '13 due to the metallic bubbles that we have ù ... - ..., c. :: nye: ..' aaa an o'Utll do sscire 1! forcing a cuvert ** ra tr1An1ro. part II. which in the drawing has been eti roprésont6o ceases being cylindrical. must instead present a corresponding triangular rome.
The drip breaker cannot be used exclusively for bottles, tins, and beverage containers, but it can be used with equal success for various types of dispensing devices. for example in
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flexible hose nozzles.
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Of course, the invention is in no way limited to the details of execution described to which various changes and modifications can be made without departing from its scope.