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" LAMELLE CREUSE."
L'invention se rapporte à une lamelle creu- se , spécialement en matière synthétique, destinée,au
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recouvrement de surfaces planes de préférence, par exemple, des portes de garage, des façades de maisons, des murs in- térieurs d'appartements ou similaires, lamelle qui peut être fixée par des moyens de fixation tels que des oloue, des vis ou similaires et qui peut être reliée à une lamel- le creuse voisine au moyen d'au moins une moulure interoa- laire.
On connaît des revêtements de ce genre pour surfaces planes qui ne sont pas uniquement utilisés dans un but esthétique. Ils ont l'avantage d'être bon marché, tant au point de vue fabrication que prix de vente; toutefois, leur fixation sur les châssis pose de nombreux problèmes: en outre, les éléments isolés, surtout s'ils sont réalisés en matière synthétique,sont sujets à des détériorations dues aux intempéries
On a, par exemple, cherché à compenser les tensions auxquelles le matériau était soumis par suite de l'humidité, en prévoyant des troua oblongs à l'endroit où sont plaoés les moyens de fixation, afin de permettre un mouvement relatif du revêtement par rapport au chêssis.
Dans ce genre de disposition, il est évident que l'humidi- té pénètre entre le revêtement et le châssis, de sorte que ce dernier aussi est soumis aux intempéries, ce qui a pour résultat que, si le châssis est en métal , il peut rouiller et si il est en bois, le bois peut pourrir.
Pour remédier aux inconvénients précités, on a mis au point un mode de construction dans lequel les moyens de fixation étaient choisis et disposée de manière à être soustraits aux intempéries. Ces réalisations présen- taient la plupart l'inconvénient que le revêtement pouvait
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facilement ce détacher du châseis, tandis que le disposi- tif à déclic prévu sur le chassa ne pouvait qu'opposer une faible résistance à l'effort provoquant le détache- ment du revêtement.
Le placement de tels revêtements sur des murs extérieurs, particulièrement exposés au vent, don- nait naturellement lieu à des difficultés, étant donné que, par vent fort, le revêtement se détachait du châssis.
On connaît également des réalisations dans lesquelles on fixe au châssis des rails dont les cô- tés sont repliés et forment saillies qui s'adaptent dans les replis prévus le long des côtés latéraux longitudinaux des profils creux de reve ement et fixent ainsi ledit re- vêtement. En outre dans chaque type de réalisation, à l'en- droit de fixation et de liaison de deux profils voisins, on disposait une moulure intercalaire qui avait pour but de reoouvrir les moyens de fixation inesthétiques.
Des réalisations de ce genre ne présentent pas à la fois tous les inconvénients signalés, mais ils ont toutefois le dé- savantage que les moyens de fixation sont réalisés de ma- nière très compliquée et que la pose du revêtement doit se faire de manière très soigneuse, car parfois les élé- ments posés ne correspondent plus entre eux.
Tout ceci a évidemment une répercussion sur les prix de fabrioation, de sorte que des réalisations de oe genre ont pratiquement une application assez restreinte.
Si des revêtements du genre précité sont fixés à des châssis mobiles par rapport à des éléments fixes de costruction comme c'est le cas, par exemple,
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pour les portes de garage ou similaires, l'aération de la pièce dépend surtout du revêtement. Chaque revêtement pré- vu à de telles fins doit donc avoir une forme et un mode de fixation capables de répondre à cette exigence.
L'invention S'est donné peur but d'amélio- rer les lamelles creusée avec moulures intercalairee, du genre précité,, de façon à éliminer les Inconvénients oi- tés oi-dessus afin de réaliser un revêtement assurant une aération parfaite de l'ensemble formé par le châssis sur lequel est posé ledit revêtement.
Pour atteindre ce but, il a été proposé, selon l'invention, de prévoir la lamelle creuse aveo un large coté pourvu de saillies ou de rebords munis de trous, ces saillies ou rebords dépassant le petit côté de la lamelle et de pourvoir chaque petit coté d'une rainure dans laquelle s'introduit partiellement la moulure intercalaire.,
Les moyens de fixation utilisés, clous, vis ou similaires, pour la lamelle oreuse, s'introduisent dans les trous prévus dans les rebords faisant saillie sur le petit côté. Suivant les exigences particulières, on dispose les lamelles creusee les unes à coté des autres en prévoyant ou non une distanoe entre elles,
la distance limite étant déterminée par la largeur de la moulure inter- calaire. Ces moulures intercalaires sont insérées dans le sens des rainures prévues sur chaque petit coté de la lamelle creuse, en vue de paraohever le revêtement et sui- vant le cas, la moulure sera bloquée vers le haut ou vers le bas pour empocher qu'elle ne tombe. Si la largeur de la surface plane à reoouvrir est exactement proportionnel- le aux dimensions des lamelles creuses, chaque rainure
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peut N'introduire exactement dans la gorge prévue dans la @ lamelle c@euse, de sorte que la moulure intercalaire est parfaitement préservée contre tout glissement latéral.
Si le rapport exaot précité n'existe pas, on veillera à ce que la gorge constitue dans la lamelle creuse une cavité telle que l'on puisse rattraper les variations de largeur de la surface à reoouvrir, ceci est possible puisque les moulures peuvent être déplacées latéralement. Il est indiqué de prévoir la largeur de chaque rainure égale ou plus petite que l'épaisseur de la paroi de la moulure intercalaire à l'endroit où elle pénètre dans la rainure.
On assure de ce fait une sécurité de fixation supplémentaire et, par le fait même, on s'assure qu'aucune humidi- té ne peut pénétrer à l'endroit des moulures intercalaires, humidité qui pourrait-provoquer des dommages au châssis .
La moulure intercalaire peut,selon l'invention, être profilée.
Le profil peut être choisi de manière telle que la section vue verticalement par rapport au sens longitudinal de la moulure intercalaire, ne soit pas la même à tous les endroits, la moulure intercalaire peut donc être conçue sous forme d'un profil creux ou en forme de double T ou bien elle peut être pourvue d'un renfort au moins sur son coté longitudinal.
Si on veut recouvrir des façades de maisons, on prévoit des moulures interca- laires pourvues d'un repli angulaire de type connu, si on vaut-.recouvrir des murs intérieurs, il est proposé,selon l'invention de prévoir un repli angulaire à au moins un des rebords dépassant le petit côté de la lamelle oreu- se, à son extrémité libre et sur au moins une partie de /
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sa longueur* Ces replis angulaires s'adaptent alors dans la rainure de la lamelle creuse voisine, de sorte que dans ce cas on peut renoncer à l'emploi de moulures interoalai- res spéciales.
Il est en outre proposé, selon l'invention, de pourvoir les larges côtés de chaque lamelle creuse de gorges longitudinales, qui ont pour but d'assurer une aération efficace d'une ohambre fermée. la réalisation de telles gorges ne donne pas lieu à des difficultés, no- tamment lorsque les lamelles creuses sont fabriquées en matière synthétique, étant donné qu'il suffit de fabriquer les moules correspondant à la fabrication des moulures.
Il est, en outre, essentiel que les lamelles creuses ainsi réalisées soient fixées de manière telle que l'orifice in- férieur des gorges ne soit pas reoouvert par le châssis au- quel elles sont fixées.
La section totale des gorges des lamelles creuses recouvrant un châssis détermine ainsi la section minimale d'aération, qui est augmentée, lorsque, par dé- placement des lamelles creuses, il se forme un espace in- termédiaire entre les cotés longitudinaux des rebords de lamelles creuses voisines.
Des caractéristiques essentielles de l'in- vention sont détaillées ci-après à l'appui des dessine schématiques qui représentent plusieurs exemples de réali- sation ; dans tous les dessins, les mêmes éléments sont repères par les mêmes chiffres de référence.
- La fig. 1 représente une vue partielle d'une partie inférieure d'un revêtement.
- La fig. 2 est une voupe horizontale selon la ligne /
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II-II de la tige 1.
- la fige 3 donne une vue partielle de la partie infé- rieure d'un autre revêtement - La fige 4 est une coupe selon la ligne IV- IV de la tige 3.
- la fig. 5 est une coupe horizontale à travers un re- vêtement sans représentation des éléments auxquelles il est fixé.
- Les fig. 6 à 11 représentent des variantes de l'exem- ' ple de réalisation selon la fig. 5. ' - La tige 12 est une coupe verticale à travers le chas- ' sis d'une porte de garage avec un revêtement réalisé selon l'invention.
- La fig. 13 représente une vue de faoe de la porte de garage représentée en coupe sur la fig. 12. La porte est en position fermée.
- La fige 14 est une ooupe horizontale à travers un revêtement selon un autre exemple de réalisation.
- La fig. 15 est une coupe selon la ligne XV-XV de la fige 14.
- La fige 16 est une coupe horizontale à travers un revêtement réalisé en angle sur des pans de murs intérieure.
- La fige 17 est une coupe horizontale à travers un re- vêtement réalisé en angle sur des pans de murs extérieurs.
- Les fige 18 et 19 représentent des variantes de réa- lisations possibles de moulures intercalaires.
Les cavités des lamelles creuses toujours repérées par le chiffre 1, sont divisées,suivant un procé- dé connu,par des parois longitudinales 2 et des moyens de fixation 3, vis ou similaires assurent leur fixation.
Dans les exemples de réalisation représen- , tés on a supposé que les lamelles creuses 1 étaient
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fixées à un châssis en bois, on a donc prévu des vie à bois comme moyen de fixation. Les moulures intercalaires ont toujours le chiffre 4 comme repère dans les fig. 2, 4, 6 à 9 ,elles sont conçues en forme de profile creux unis, pou- vant être munie, sur leurs faces longitudinales, de renfor-, cements, dans les fige 5, 10, 14 à 17 elles dont une forme en double T.
Dans la description ultérieure des figures, on donnera plus en détails les formes particulières de réalisation de ces moulures.
Chaque lamelle creuse 1 est munie sur sa largeur 7 de rebords dépassant les petits cotés 5 ou 6.
Ces rebords sont conçus sous forme de brides 9 ou 10 pour- vues de trous oblongs 8 ou de saillies 11 ou 12 manies de quelques ouvertures au travers desquelles les lames oreu- ses peuvent être fixées à un châssis. La poutre horizonta- le inférieure du châssis d'une porte de garage est repérée en 13, la poutre horizontale médiane en 13' et la poutre horizontale supérieure en 13" dans la fig. 12, une poutre verticale est représentée en 13'" dans la figure 15.
Les lamelles creuses sont posées sur le châssis ou support similaire en laissant entre elles un petit espace 14 ou 15, elles sont fixées audit châssis au moyen de vis 3. Dans les petits catés S ou 6 des lamelles creuses 1 ,sont prévues des rainures 16 ou 17, qui dans l'exemple de réalisation représenté sur les fig. 2 et 5 à
7 forment des gorges et qui dans l'exemple de réalisation représenté sur les fige 8 à 11,16 et 17 constituent une ouverture dans ladite lamelle creuse.
Les moulures intercalées entre deux lamel- les creuses voisines sont pourvues , au moins sur leur
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cote longitudinal, de renforcements 19 ou 20, conçue, dans l le cas de l'exemple de réalisation représente sur la figu- re 2, de manière à correspordre à la section des gorges*
Dans l'exemple de réalisation selon la fige 4 ,les montants libres 19 ou 20 de la moulure inter- oalaire 4, s'adaptent dans les rainures 16 ou 17, dont la largeur est au moins égale à l'épaisseur de la paroi de la moulure intercalaire à l'endroit où elle s'adapte dans la rainure.
Comme représenté sur les fige 8 à 11, 16 et 17 les moulures intercalaires peuvent aussi être réali- sées sans renforcements sur leurs cotés longitudinaux et comme représenté sur les fige 11 et 19, on peut prévoir le long du coté longitudinal, deux saillies distancées l'une de l'autre. Il va de soi que de nombreuses variantes sont possibles et que les caractéristiques d'un exemple de réa- lisation peuvent être combinées aveo les caractéristiques d'un autre exemple de réalisation sans pour autant sortir du cadre de l'invention.
Examinons la fige 12. Les lamelles creuses 1, qui sont fixées au châssis 13, 13', 13", 21, et les mou- lures intercalaires 4, qui relient les lamelles creuses voisines sont reconvertes à leur partie supérieure par un listeau 22 fixé à la poutre horizontale supérieure 13' au moyen de la vis 23. le côté large 24 de la lamelle creuse parallèle au coté large 7, vue de l'extérieur du châcssis, est situé en avant par rapport à la face verti- cale extérieure d'une tôle de recouvrement inférieure 25, de sorte que les extrémités libres 19 et 20 de la moulu- re intercalaire 4 reposent sur la tôle de recouvrement 25
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dont la partie supérieure est placée en retrait dans l'é- videment de la poutre 13 servant à caser les lamelles creuses.
De cette façon les moulures intercalaires sont ouvertes par en-dessous, de sorte que, l'air peut pénétrer dans la direction de la flèche, par la cavité des moulures intercalaires et les espaças intercalaires 14 et 15 entre les lamelles creuses 1,
Le repère 27 indique, dans l'exemple de réalisation représenté, les panneaux en bois et le repère 28 indique le sol d'un garage ainsi fermé.
Examinons plus attentivement l'exemple de réalisation repris sur les fig. 14 et 15. Le côté lar-' ce 7 d'une lamelle creuse 1 pourvu de rebords 9 et 10 est muni de deux gorges 29 et 30 . Si la lamelle creuse compor- te trois cavités ou plus de trois cavités, on peut égale- ment prévoir plus de deux gorges, c'st-à-dire que le nombre de gorges prévues est déterminé au premier chef par la section d'aération requise.
Comme représenté sur la fig. 15, il est recommandé de fixer les lamelles creuses au châssis au moins de ma niàre telle qu'entre leurs bords inférieurs 31 et la surface 33 formée par une tale 32, il subsiste un espace intercalaire permettant aux gorges 29 de servir de canal d'aération, l'air pouvant,par exemple, pénétrer à l'intérieur du garage, en direction de la flèche 34.
Les moulures intercalaires 4 peuvent, comme on le voit sur la fig. 15 avoir leur bord inférieur dans le plan déterminé par les bords inférieurs 31 des lamelles creuses 1; elles peuvent toutefois reposer également sur la surface 33. mais dans ce cas il n'est plus possible d'aérer l'intérieur
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du garnge par la cavité formée par les rebords 9 et 10, lee éléments de petite cotés 5 et 6 et la moulure intercalaire 4; dans ce cas il y a lieu de prévoir entre les rebords 9 et 10 un espace intercalaire 14, lorsque les rebords ne présentent pas d'évidement sur leurs côtés longitudinaux.
Si les moulures de revêtement sont disposées comme repré- senté sur la fige 15, il se produit une aération par les espaces formés au-dessus, à l'endroit des listeaux de re- oouvrement, lorsque, entre les rebords 9 et 10 des lamelles 1 sont prévus odes espaces intercalaires 14, ou bien si les cotés longitudinaux juxtaposés présentent des évidements' En principe, des espaces intercalaires 14 sont prévus et dans ce cas la distance entre les lamelles voisines peut être augmentée jusqu'à, ce que les renforcements 19 et 20 affleurent aux parois latérales des lamelles oreuses, on peut ainsi économiser des lamelles. Cette disposition per- met aussi le revêtement avantageux par exemple, de surfa- ces trapézoïdales.
Les fige 16 et 17 représentent des réalisa- tions adaptées à des constructions en coin, des revêtements de murs intérieurs ou extérieurs.
Dans le cas de l'exemple de réalisation selon la fige 16, les extrémités libres des rebords 9 et 10 sont repliées en coin sur une partie au moins du côté longitudinal de la lamelle creuse, de sorte que le repli angulaire peut s'adapter dans la rainure pratiquée dans . les petits cotés 5 et 6. Comme représenté sur les fig. 10, 11, 16 et 17, ces replie en coin servent également de sup- port pour les moulures intercalaires 4. Dans l'exemple de réalisation selon la fige 17; la moulure intercalaire 4
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est pliée de aorte que la réalisation en coin d'un revête- ment de mur extérieur cet efficacement réalisée.
Dans les exemples de réalisation selon les fige 10 et 11, on a prévu des moyens de fixation 3 sur un seul rebord de la lamelle creuse 1 tandis qu'une rondelle
35 sert iL la fixation du rebord de la lamelle creuse voisine
L'invention ne se limite pas uniquement aux exemples de réalisation représentés sur les dessins, chaque homme de métier, après avoir appliqué le système selon l'in- vention, étant dans la possibilité de donner aux lamelles creuses et aux moulures intercalaires prises individuelle- ment, d'autres profils et de prévoir les moyens de fiction aux endroits appropriée. les caractéristiques d'un exemple de réa- lisation peuvent être combinées de manière adéquate avec les caractéristiques de l'autre exemple de réalisation.
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"HOLLOW SLIP."
The invention relates to a hollow strip, especially of synthetic material, intended for
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covering preferably flat surfaces, for example, garage doors, house facades, interior apartment walls or the like, which slat can be fixed by fixing means such as bolts, screws or the like and which can be connected to a neighboring hollow strip by means of at least one inter-strip molding.
Coatings of this type are known for flat surfaces which are not only used for aesthetic purposes. They have the advantage of being inexpensive, both from the point of view of manufacture and sale price; however, their attachment to the frames poses many problems: in addition, the insulated elements, especially if they are made of synthetic material, are subject to deterioration due to bad weather
For example, attempts have been made to compensate for the tensions to which the material was subjected as a result of humidity, by providing oblong holes where the fixing means are placed, in order to allow relative movement of the coating with respect to to the chassis.
In this kind of arrangement, it is obvious that moisture penetrates between the covering and the frame, so that the latter too is subjected to the elements, which results in that, if the frame is made of metal, it can rust and if it is wood, the wood can rot.
To remedy the aforementioned drawbacks, a method of construction has been developed in which the fixing means were chosen and arranged so as to be protected from the elements. Most of these embodiments had the disadvantage that the coating could
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easily detach from the frame, while the click device provided on the chaser could only oppose a weak resistance to the force causing the detachment of the covering.
The placement of such coverings on exterior walls, which were particularly exposed to the wind, naturally gave rise to difficulties, since in strong winds the covering detached from the frame.
There are also known embodiments in which rails are fixed to the frame, the sides of which are folded back and form protrusions which fit into the folds provided along the longitudinal lateral sides of the hollow covering profiles and thus fix said covering. . In addition, in each type of embodiment, at the place of attachment and connection of two neighboring profiles, there was an intermediate molding which was intended to reopen the unsightly fixing means.
Achievements of this kind do not have all the drawbacks mentioned at the same time, but they nevertheless have the disadvantage that the fixing means are made in a very complicated manner and that the laying of the covering must be done very carefully. , because sometimes the elements placed no longer correspond to each other.
All this obviously has repercussions on the prices of manufacture, so that achievements of this kind have practically a rather limited application.
If coverings of the aforementioned type are fixed to movable frames with respect to fixed construction elements as is the case, for example,
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for garage doors or similar, the ventilation of the room depends mainly on the coating. Each coating intended for such purposes must therefore have a form and a method of attachment capable of meeting this requirement.
The invention has been given the aim of improving the slats hollowed out with intermediate moldings, of the aforementioned type, so as to eliminate the drawbacks mentioned above in order to achieve a coating ensuring perfect ventilation of the surface. assembly formed by the frame on which said coating is placed.
To achieve this goal, it has been proposed, according to the invention, to provide the hollow strip with a wide side provided with projections or rims provided with holes, these projections or rims exceeding the small side of the slat and to provide each small side of a groove in which the intermediate molding is partially inserted.,
The fixing means used, nails, screws or the like, for the oreuse strip, are introduced into the holes provided in the edges projecting on the short side. Depending on specific requirements, the hollow slats are placed next to each other, with or without providing a distance between them,
the limit distance being determined by the width of the intermediate molding. These intermediate moldings are inserted in the direction of the grooves provided on each small side of the hollow strip, with a view to completing the covering and, depending on the case, the molding will be blocked up or down to prevent it from being placed. falls. If the width of the flat surface to be reopened is exactly proportional to the dimensions of the hollow slats, each groove
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can not fit exactly into the groove provided in the heart sipe, so that the intermediate molding is perfectly preserved against any lateral sliding.
If the above-mentioned exaot ratio does not exist, it will be ensured that the groove constitutes in the hollow strip a cavity such that one can catch up the variations in width of the surface to be reopened, this is possible since the moldings can be moved. laterally. It is advisable to provide the width of each groove equal to or less than the wall thickness of the insert molding where it enters the groove.
This ensures an additional fixing security and, by the same token, it is ensured that no moisture can penetrate at the place of the intermediate moldings, moisture which could cause damage to the frame.
The intermediate molding can, according to the invention, be profiled.
The profile can be chosen in such a way that the section viewed vertically with respect to the longitudinal direction of the intermediate molding is not the same in all places, the intermediate molding can therefore be designed as a hollow profile or in the form double T or it may be provided with a reinforcement at least on its longitudinal side.
If it is desired to cover the facades of houses, provision is made for intermediate moldings provided with an angular fold of known type, if it is worth covering interior walls, it is proposed, according to the invention to provide an angular fold at at least one of the edges protruding from the short side of the edge sipe, at its free end and over at least part of /
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its length * These angular folds then fit into the groove of the neighboring hollow strip, so that in this case the use of special inter-wall moldings can be dispensed with.
It is further proposed, according to the invention, to provide the wide sides of each hollow strip with longitudinal grooves, the purpose of which is to ensure effective ventilation of a closed chamber. the production of such grooves does not give rise to any difficulties, in particular when the hollow strips are made of synthetic material, given that it suffices to manufacture the molds corresponding to the manufacture of the moldings.
It is, moreover, essential that the hollow strips thus produced are fixed in such a way that the lower opening of the grooves is not reopened by the frame to which they are fixed.
The total section of the grooves of the hollow slats covering a frame thus determines the minimum ventilation section, which is increased when, by moving the hollow slats, an intermediate space is formed between the longitudinal sides of the slat edges. neighboring hollows.
Essential characteristics of the invention are detailed below in support of the schematic drawings which represent several embodiments; in all the drawings, the same elements are identified by the same reference numerals.
- Fig. 1 shows a partial view of a lower part of a coating.
- Fig. 2 is a horizontal voupe along the line /
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II-II of rod 1.
- Fig 3 gives a partial view of the lower part of another coating - Fig 4 is a section along line IV-IV of stem 3.
- fig. 5 is a horizontal section through a covering without showing the elements to which it is attached.
- Figs. 6 to 11 show variants of the exemplary embodiment according to FIG. 5. '- The rod 12 is a vertical section through the chas-' sis of a garage door with a coating made according to the invention.
- Fig. 13 shows a faoe view of the garage door shown in section in FIG. 12. The door is in the closed position.
- The rod 14 is a horizontal ooupe through a coating according to another exemplary embodiment.
- Fig. 15 is a section on line XV-XV of fig 14.
- The rod 16 is a horizontal section through a coating made at an angle on sections of interior walls.
- The rod 17 is a horizontal section through a coating made at an angle on sections of exterior walls.
- The rods 18 and 19 represent possible embodiments of the intermediate moldings.
The cavities of the hollow lamellae, still identified by the number 1, are divided, according to a known method, by longitudinal walls 2 and fixing means 3, screws or the like ensure their fixing.
In the embodiments shown, it was assumed that the hollow strips 1 were
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fixed to a wooden frame, we therefore provided wood life as a means of attachment. The intermediate moldings always have the number 4 as a reference in fig. 2, 4, 6 to 9, they are designed in the form of a united hollow profile, which can be provided, on their longitudinal faces, with reinforcements, in the pins 5, 10, 14 to 17, of which a shape in double T.
In the subsequent description of the figures, the particular embodiments of these moldings will be given in more detail.
Each hollow strip 1 is provided over its width 7 with edges extending beyond the small sides 5 or 6.
These flanges are designed in the form of flanges 9 or 10 provided with oblong holes 8 or as protrusions 11 or 12 with a few openings through which the bored blades can be fixed to a frame. The lower horizontal beam of the frame of a garage door is marked at 13, the middle horizontal beam at 13 'and the upper horizontal beam at 13 "in fig. 12, a vertical beam is represented at 13" in figure 15.
The hollow strips are placed on the frame or similar support leaving between them a small space 14 or 15, they are fixed to said frame by means of screws 3. In the small categories S or 6 of the hollow strips 1, grooves 16 are provided. or 17, which in the exemplary embodiment shown in FIGS. 2 and 5 to
7 form grooves and which in the embodiment shown in figs 8 to 11, 16 and 17 constitute an opening in said hollow strip.
The moldings interposed between two neighboring hollow lamellas are provided, at least on their
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longitudinal dimension, of reinforcements 19 or 20, designed, in the case of the exemplary embodiment shown in FIG. 2, so as to correspond to the section of the grooves *
In the embodiment according to fig 4, the free uprights 19 or 20 of the intercoal molding 4 fit into the grooves 16 or 17, the width of which is at least equal to the thickness of the wall of the midsole where it fits into the groove.
As shown in figs 8 to 11, 16 and 17, the intermediate moldings can also be produced without reinforcements on their longitudinal sides and as shown in figs 11 and 19, two protrusions spaced apart l 'from each other. It goes without saying that numerous variants are possible and that the characteristics of an exemplary embodiment can be combined with the characteristics of another exemplary embodiment without thereby departing from the scope of the invention.
Let us examine the pin 12. The hollow slats 1, which are fixed to the frame 13, 13 ', 13 ", 21, and the intermediate moldings 4, which connect the neighboring hollow slats are reconverted at their upper part by a strip 22 fixed. to the upper horizontal beam 13 'by means of the screw 23. the wide side 24 of the hollow strip parallel to the wide side 7, seen from the outside of the frame, is located forward with respect to the external vertical face d a lower cover plate 25, so that the free ends 19 and 20 of the intermediate mold 4 rest on the cover plate 25
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the upper part of which is set back in the recess of the beam 13 serving to accommodate the hollow strips.
In this way the intermediate moldings are opened from below, so that the air can penetrate in the direction of the arrow, through the cavity of the intermediate moldings and the intermediate spaces 14 and 15 between the hollow strips 1,
Reference 27 indicates, in the exemplary embodiment shown, the wooden panels and reference 28 indicates the floor of a garage thus closed.
Let us examine more carefully the embodiment shown in FIGS. 14 and 15. The wide side 7 of a hollow strip 1 provided with flanges 9 and 10 is provided with two grooves 29 and 30. If the hollow lamella has three cavities or more than three cavities, it is also possible to provide more than two grooves, that is to say that the number of grooves provided is primarily determined by the aeration section. required.
As shown in fig. 15, it is recommended to fix the hollow strips to the frame at least of my size such that between their lower edges 31 and the surface 33 formed by a plate 32, there remains an intermediate space allowing the grooves 29 to serve as a channel for ventilation, air being able, for example, to penetrate inside the garage, in the direction of arrow 34.
The intermediate moldings 4 can, as can be seen in FIG. 15 have their lower edge in the plane determined by the lower edges 31 of the hollow strips 1; however, they can also rest on the surface 33. but in this case it is no longer possible to ventilate the interior
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of the packing by the cavity formed by the edges 9 and 10, the small-sided elements 5 and 6 and the intermediate molding 4; in this case it is necessary to provide between the edges 9 and 10 an intermediate space 14, when the edges do not have a recess on their longitudinal sides.
If the covering moldings are arranged as shown in fig 15, there is aeration through the spaces formed above, at the location of the cover strips, when, between the edges 9 and 10 of the strips 1 are provided for intermediate spaces 14, or if the juxtaposed longitudinal sides have recesses. and 20 are flush with the side walls of the oreuse lamellae, thus saving lamellae. This arrangement also allows the advantageous coating, for example, of trapezoidal surfaces.
Figures 16 and 17 represent embodiments suitable for corner constructions, interior or exterior wall coverings.
In the case of the exemplary embodiment according to fig 16, the free ends of the flanges 9 and 10 are folded into a corner on at least part of the longitudinal side of the hollow strip, so that the angular fold can fit into the groove made in. the small sides 5 and 6. As shown in FIGS. 10, 11, 16 and 17, these corner folds also serve as support for the intermediate moldings 4. In the example of embodiment according to fig 17; the intermediate molding 4
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is aorta bent that corner design of an exterior wall cladding is effectively achieved.
In the embodiments according to figs 10 and 11, fixing means 3 are provided on a single rim of the hollow strip 1 while a washer
35 serves to fix the edge of the neighboring hollow lamella
The invention is not limited only to the embodiments shown in the drawings, each person skilled in the art, after having applied the system according to the invention, being in the possibility of giving the hollow lamellae and the intermediate moldings taken individually. ment, other profiles and to provide the means of fiction in the appropriate places. the characteristics of one exemplary embodiment can be suitably combined with the characteristics of the other exemplary embodiment.