BE653615A - - Google Patents

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BE653615A
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    • DTEXTILES; PAPER
    • D01NATURAL OR MAN-MADE THREADS OR FIBRES; SPINNING
    • D01HSPINNING OR TWISTING
    • D01H1/00Spinning or twisting machines in which the product is wound-up continuously
    • D01H1/10Spinning or twisting machines in which the product is wound-up continuously for imparting multiple twist, e.g. two-for-one twisting
    • D01H1/101Spinning or twisting machines in which the product is wound-up continuously for imparting multiple twist, e.g. two-for-one twisting in which multiple twist is imparted at the take-up stations

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  • Engineering & Computer Science (AREA)
  • Mechanical Engineering (AREA)
  • Textile Engineering (AREA)
  • Spinning Or Twisting Of Yarns (AREA)

Description


   <Desc/Clms Page number 1> 
 



  Perfectionnements aux machines textiles. 



   Cette invention concerne des métiers à retordre ou à filer des fils. 



   Elle se rapporte plus particulièrement à des métiers à retordre pour fil retors dit 2/1, dans lesquels la matière traitée (fil ou   ruban)   est retordue par ballonnement à grande vitesse autour d'un enroulement au moyen d'une ailette rotative présentant un oeillet que traverse le fil. S'il s'agit d'une retor- deuse, la machine peut être du type dit   "outflow"   ou à parcours dirigé vers   1' ou   du type dit "inflow" ou à parcours dirigé vers l'intérieu c'est-à-dire que l'enroulement peut être soit un enroulement dévideur, soit un enroulement envideur.

   Le dispositif dévideur dispositif envideur, selon le cas, qui 

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 est monté sur   un.   support ou moyen analogue à   l'intérieur   du bal-   Ion,*   ne peut tourner avec l'ailette rotative,Pour   résoudre   ce Problème, on peut prévoir un aimant soit sur le support à l'in- térieur du ballon, soit sur le châssis de la machine, à l'exté- rieur du ballon, et un élément coopérant avec l'aimant, inverse-      ment prévu sur le châssis ou sur le support. L'élément coopérant avec l'aimant peut être un second aimant ou un induit de métal      ferreux, De toute manière, la matière formant le ballon passe librement entre le support et le châssis de la machine, dans le champ magnétique.

   La force de retenue fournie par le ou les ai- mants   n'est   toutefois pas positive   et,  en particulier dans le cas      d'une machine du type "inflow", dans laquelle le mécanisme envi- deur se trouvant dans le ballon peut se coincer, il peut arriver que la force magnétique d'attraction soit surpassée et que le support se mette à tourner, ce qui peut entraîner un risque de grave endommagement de la machine. 



   Une machine de ce type construite selon l'invention com- prend un dispositif de sécurité mobile porté par le châssis de      la machine, ou par le support, au côté du ballon opposé à un aimant et écarté de   l'élément   coopérant, et lors de la rotation du support dans   l'un   ou l'autre sens, l'aimant   amené   le disposi- tif de sécurité à prendre une position active dans laquelle il se trouve en travers du parcours du ballon, où il coupe le fil et vient en contact soit avec l'aimant soit avec une partie du sup- port ou du châssis de la   machine,   pour arrêter la rotation du support ; de plus, le dispositif de sécurité, des qu'il a été atti- ré par l'aimant, reste dans la position active même si l'attrac- tion a cessé.

   Ceci a pour effet que, même si le dispositif de sécurité   n'est   pas en contact avec l'aimant ou avec une partie du support ou du châssis de la machine, au moment où il est attiré dans sa position active - par exemple du fait qu'il "rebondit" contre l'aimant ou que la vitesse du support est trop élevée - il reste en place sur le parcours du ballon, de façon que le fil 

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 du ballon soit cassé et que le support soit   arrêté   lors de sa rotation suivante. 



   Le dispositif de sécurité peut être positivement main- tenu dans sa position active au moyen d'un verrouillage qui en- tre en action lorsque le dispositif est amené à cette position à   rencontre   d'une sollicitation tendant à l'écarter du support pour le fonctionnement normal de la machine. En variante ou en      plus il peut être conformé et/ou monté de telle façon que son poids tende à le maintenir en position active dès qu'il a atteint cette position, et tende également avantageusement à le maintenir dans sa position normale ou inactive, dès qu'il a atteint cette dernière position. 



   Si le dispositif de sécurité est monté sur le support, il peut âtre agencé de façon qu'il quitte sa position active pour se placer en travers du parcours du ballon et venir en contact avec le châssis da la machine ou avec l'aimant se trouvant sur le châssis, du fait des forces centrifuges agissant sur lui lorsque le support commence à tourner. Par conséquent, si le support a atteint une vitesse telle que le dispositif de sécurité n'ait pas été déplacé par l'aimant du châssis, il sera déplacé par la force centrifuge et arrêtera donc la machine.      



   Normalement, le dispositif de sécurité est monté de façoni à pouvoir tourner sur un axe horizontal mais il pourrait également coulisser horizontalement en travers du parcours du ballon lorsqu' il est attiré par   l'aimant.   



   Un dispositif d'arrêt est normalement prévu ; il dé- terminera l'arrêt de la machine ou de la commande de la broche intéressée lorsque la matière du ballon aura été coupée. 



   On prévoit de préférence un aimant sur le support et un autre sur le châssis de la machine, auquel cas le dispositif de sécurité, par exemple un levier, peut être porté soit par le sup- port, soit par le châssis de la machine. S'il est monté sur le support, il se déplacera lors du mouvement de celui-ci, lorsqu'il 

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 se trouvera vis-à-vis de   l'aimant   fixe du châssis de la machine. 



    S'il   est monté sur   le   châssis, il prendra sa position active lorsque   l'aimant   du support se placera en face de lui. 



   Un exemple de retordeuse pour fil 2/1,du type   "inflow",   ,conforme à l'invention est décrit ci-après avec référence aux des. sine annexés, dans lesquels : la Fig. 1 représente schématiquement une seule broche de la machine; la Fig. 2 est une vue schématique en plan du support de la broche représentant l'une des dispositions des aimants et du dispositif de sécurité mobile pendant le fonctionnement normal ; la Fig. 3 est une vue à plus grande échelle, dans le sens de la flèche A de la Fig. 2 représentant le support "arrêté" après qu'il a commencé à tourner ; la Fig. 4 est une vue correspondant à celle de la Fig. représentant une variante du dispositif de sécurité. 



   Un certain nombre de fournisseurs, par exemple des   canet- '   tes 2, sont prévus pour chaque broche 4 de la machine (une seule broche est représentée au dessin), le fil des canettes, après avoir été dévié, étant enroulé sur la broche. Après être passé par un tendeur 6 et un oeillet de guidage fixe 8 prévu sur le châssis de la machine, le fil est amené des canettes à l'oeillet 10 de l'ai- lette rotative 12. De celle-ci, il remonte dans un tube 14, co- axial à l'axe de   l'ailette,   et atteint deux galets envideurs   en-   traînés 16, opérant un pinçage positif, de sorte qu'ils tirent le fil par l'oeillet de l'ailette.

   Le fil est posé sur un enroule- ment 18, porté par la broche 4, par un guide-fil à papillon 20, qui est animé d'un mouvement de va-et-vient par un accouplement transversal rotatif à spirale 22. 



   L'ailette, en forme de disque, a un arbre 28 qui peut tourner sur un axe vertical. La longueur de fil comprise entre l'oeillet 10 de l'ailette et l'oeillet fixe 8 se forme, du fait de la rotation de l'ailette en un ballon 30, et elle évolue   tuteur   de la broche 4, des galets envideurs 16 et du tube 14, entre les 

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 anneaux intérieur et extérieur 32 et 34 de guidage du ballon, 
Pour chaque révolution de l'ailette, deux tours de retor- dage sont donnés au fil, l'un de ces tours entre   l'oeillet   10 et le tendeur 6 et l'autre entre l'oeillet 10 et les galets envi- deurs 16. Par conséquent, si l'ailette tourne à une vitesse de 3000 tours/minute, le fil recevra 6000 tours de retodage par minute. 



  Le nombre de tours par pouce (2,5 cm) de fil dépend naturellement de la vitesse à laquelle le fil est envidé par les galets 16. ; 
L'ailette 12 et les galets envideurs 16 sont entraînés indépendamment par des courroies dentées intérieurement 36 et 38. 



  La courroie 36   entraîne   une poulie dentée   40   prévue sur l'arbre      28 de l'ailette et la courroie 38 entraîne une poulie dentée   42,   qui peut tourner sur l'arbre de l'ailette et qui est solidaire d'une poulie   44   appartenant à un jeu de deux poulies planétaires de même diamètre   44   et   46,   la poulie   46   étant portée par le tube 14 au côté opposé de l'ailette et à l'intérieur du ballon. Les poulies planétaires sont reliées entre elles par deux poulies satellites dentées coaxiales 48 et 50, de même diamètre, montées chacune à l'un des côtés de   l'allège,   sur un axe 52 traversant l'ailette      et porté par celle-ci.

   Les planétaires sont reliés aux satellites voisins par les courroies dentées intérieurement respectives   54        et 56. Par conséquent, la rotation du planétaire   44   entraîné par      la poulie 42 détermine une rotation équivalente de l'autre plané- taire 46 à l'intérieur du ballon, indépendamment de la vitesse de rotation de l'ailette. 



   Le planétaire 46 est solidaire d'une roue d'engrenage 58, qui entraîne un arbre de commande de broche 60 décalé par rap- port à l'axe de rotation de l'ailette. L'arbre 60 porte, entre ses extrémités, une roue hélicoïdale 62 attaquant une roue semblable coopérant avec l'un des galets envideurs 16. L'autre galet envi- deur est chargé, si bien que les deux galets donnent lieu à un pin- çage positif sans glissement. La vitesse de rotation des galets envideurs détermine la vitesse à laquelle le fil est enroulé sur 

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   1>enroulement   18 et, par suite, pour une vitesse donnée de l'ai- lette, la torsion par pouce (2,5 cm) donnée au fil. La torsion par pouce (2,5 cm) dépend en fait du rapport de la vitesse de l'ai- lette à la vitesse des galets envideurs.

   Pour une vitesse d'ai- lette de   3000   tours/minute par exemples la vitesse des galets envideurs peut être réglée de façon que le fil reçoive une torsion convenable, par exemple une torsion comprise entre 2 et 8 tours par pouce (2,5 cm) peut être obtenue dans un cas d'utilisation particulier. 



   L'ailette et le dispositif envideur peuvent avoir des commandes indépendantes par les courroies partant de l'extérieur du ballon, si bien que la vitesse du dispositif envideur de toutes les broches ou d'une partie de celles-ci, peut être modifiée par une seule opération. En d'autres termes, le dispositif envideur   n'est   pas entraîné en série avec l'ailette correspondante mais plutôt en parallèle. La torsion par pouce (2,5 cm) donnée au fil enroulé sur lesbroches peut être modifiée pour tout ou partie des broches par un réglage unique, au lieu de l'être par un réglage   séparé de   chaque commande de broche. 



   L'extrémité supérieure de l'arbre 60 entraînant la   bro-   che est également pourvue d'une roue hélicoïdale 64, attaquant une roue correspondante 66 de l'accouplement transversal à spirale 22, si bien que ce dernier est entraîné directement par l'arbre de com- mande de la broche. La rotation de l'accouplement transversal à spirale   entraine   le guide-fil à papillon 20, qui s'engage dans la rainure 68 de l'accouplement 22, à effectuer un mouvement de va- et-vient parallèlement à l'axe de la broche), si bien que le fil est posé uniformément sur   l'enroulement   18 porté par la broche. 



  La broche est commandée par l'arbre 60, par l'intermédiaire de l'accouplement à spirale 22 auquel elle est reliée, par lintermé- diaire d'un accouplement à glissement 72, par une commande par chaîne 70. 



   Le système d'engrenage entre la broche et les galets 

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 envideurs est prévu de telle façon que la vitesse d'envidage de l'enroulement, sans serrage de l'accouplement, excède toujours la vitesse de dévidage des galets. C'est pourquoi, pendant le   .   fonctionnement, l'accouplement glisse de façon continue, de sorte que la broche n'est entraînée qu'à la vitesse correcte   pourl'en-   vidage du fil fourni par les galets 16. La pression de l'accou- plement détermine la tension du fil entre les galets 16 et l'enrou lement et cette pression peut être réglée de façon que l'on ob- tienne une tension correcte du fil, quel que soit le type de fil utilisé. 



   La broche 4, l'accouplement transversal à spirale 22, les galets envideurs 16 et le tube   14,   de même que la com-      mande des galets envideurs et de la broche sont portés par un support commun représenté schématiquement en   74,   qui se trouve à l'intérieur du ballon. Le support est monté sur le tube 14 qui, à son tour, est monté dans des paliers prévus sur une saillie 75 partant du côté supérieur de l'ailette. 



   Il faut éviter que le support 74 portant les galets envideurs 16 et l'enroulement 18 ne tourne avec l'ailette. A cet effet, on fixe un aimant permanent 76 en U au support, à   l'inté-   rieur du ballon, et un aimant permanent coopérant 78, également . en U, au châssis de la machine, à l'extérieur du parcours du bal- lon. Les deux aimants sont légèrement espacés de sorte que, pen- dant le fonctionnement normal, le fil du ballon passe librement entre eux, la force d'attraction exercée étant suffisante pour empêcher le support de tourner avec l'ailette. 



   Si la commande des galets envideurs 16 et de l'enroule- ment 18 à l'intérieur du support se   coince   ou si, pour toute autre raison, la force magnétique d'attraction entre l'aimant du sup- port et l'aimant du châssis est surpassée, le support tournant ainsi dans l'un ou l'autre sens, l'aimant du support vient en re- gard du dispositif de sécurité mobile se présentant sous la forme d'un   levier,80   (voir Figs. 2, 3 et   4)   pouvant pivoter en 82 sur 

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 le châssis de la machine, à l'extérieur du ballon.

   Ce levier est      conformé de façon que, dans sa position normale,   c'est-à-dire   sa position d'inaction, représentée à la Fig. 2 et en pointillé aux 
Figs. 3 et 4, il soit dégagé du parcours du ballon et en contact' avec une butée 86 prévue sur une plaque 88, sous l'effet de son       propre poids, . 



   Lorsque l'aimant 76 du support, lors de la rotation de celui-ci, se place en regard du levier, ce dernier, qui est to- talement ou partiellement en matière ferreuse, est attiré de telle façon que son extrémité externe 90 se place en travers du parcours du ballon et en contact avec l'aimant du support, comme montré aux 
Figs. 3 et 4. Dans cette position, la rotation du support est arrêtée et le fil du ballon frappe le levier et est instantanément coupé. Pour certains fils, qui ne se rompent pas facilement, il est nécessaire que le levier 80 soit pourvu d'une arête tranchante, qui coupera le fil lorsque le levier se trouvera sur le parcours du ballon.

   Dès que le fil a été coupé, un dispositif d'arrêt de type'courant, indiqué dans l'ensemble par 92 à la Fig. 1, arrête le moteur commandant la machine ou la broche particulière intéres-      sée. 



   Ce dispositif d'arrêt peut être de tout type usuel.   Celui .   qui est représenté est constitué par un levier inter-appui fixé au châssis de la machine. L'un des bras, 94, du levier est prévu pour se trouver normalement en. contact avec le fil à retordre entre le tendeur 6 et 1'oeillet de guidage 8. Son autre bras 96, peut frapper le bouton d'actionnement 98 d'un interrupteur désigné par 100. Le levier prend une légère inclinaison lorsque son bras 
96 pousse le bouton 98 pour ouvrir l'interrupteur mais il est maintenu hors de cette inclinaison dans la position   représentée   à la   Fig.   1, pour laquelle   2'interrupteur   est fermé, du fait du con- tact de son bras 94 avec le fil.

   Lorsque le fil se rompt ou qu'il est coupé par le levier 80, le bras 96 du levier   n'est   plus main- tenu à l'écart de l'interrupteur et il pivote pour ouvrir les 

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 contacts de celui-ci de façon à arrêter le moteur commandant la machine. Si la machine est une machine à broches multiples, lorsque le fil de l'un quelconque des broches est rompu, toutes les broches peuvent être arrêtées ou simplement celle portant le fil rompu. 



   La conformation du levier et son axe de pivotement sont tels que, lorsqu'il se trouve dans sa position d'attraction, c'est- à-dire qu'il se trouve en travers du parcours du ballon, comme on peut le voir à la Fig. 3, son poids tend à le maintenir dans cette position. Toutefois, afin qu'il ne soit pas renvoyé à sa position d'inaction, la plaque 88 porte un dispositif de verrouillage se présentant sous la forme   d'un   élément 102 dont"l'extrémité externe pivote sur un axe horizontal vers la plaque 88. Son extrémité interne repose sur le dos du levier 80, lorsque celui-ci se trouve dans sa position d'inaction.

   Lorsque le levier se trouve dans sa position d'attraction ou position d'action, comme on peut le voir à la Fig. 3, l'élément de verrouillage 102 retombe derrière le dos du levier 80 pour s'appuyer sur l'arrêt 86,   s   bien que le levier est maintenu positivement dans sa position d'action, représentée à la Fig. 3, jusqu'à ce que l'élément de verrouillage soit soulevé. 



   Dans la variante représentée à la Fig. 4, l'élément de verrouillage 102 n'existe pas. Cependant, la forme du levier 80 est telle que son poids seul suffise à le maintenir dans sa posi- tion d'action, en travers du parcours du ballon, prêt pour venir en contact avec l'aimant 76 dès qu'il a été attiré hors de sa po- sition d'inaction. Lorsque le levier est écarté dans sa position   d'inaction,   comme représenté en pointillé à la Fig.   4,   son pro- pre poids tend à le maintenir.dans cette position, de sorte que la machine ne peut pas être arrêtée accidentellement. 



   Du fait de l'inertie du support, la vitesse qu'il atteint au-moment où son aimant 76 se trouve en regard du levier 80 est assez lente et le levier viendra normalement   =en   contact avec l'ai- 

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 mant ou avec une partie du support pendant sa première révolution, de sorte qu'il ne pourra se produire aucun endommagement sérieux de la machine. 



   Le levier peut être facilement monté sur le support ou sur un élément relié à celui-ci et il peut grâce à l'aimant 78 traverser le parcours du ballon pour venir en contact avec le châssis ou avec l'aimant 78 du châssis pendant la rotation du support.. 



   Si l'on désire n'utiliser qu'un seul aimant, celui-ci peut   être   fixé soit au support soit au châssis de la machine et un induit en métal ferreux peut être prévu à la place de l'autre aimant, sur le châssis ou sur le support. Le levier se trouvera sur le châssis si l'aimant est sur le support et vice versa. 



   Il est à noter que, bien que   l'aimant   soit normalement un aimant permanent, on peut employer un électro-aimant si on'le désire. 



   REVENDICATIONS. 
 EMI10.1 
 



  ¯.,--.-------------..--.---- 

**ATTENTION** fin du champ DESC peut contenir debut de CLMS **.

Claims (1)

1.- Métier à retordre ou à filer pour fil dit 2/1 com- prenant un enroulement dévideur ou envideur porté sur un support autour duquel le fil est ballonné par une ailette, toute rotation du support avec l'ailette étant normalement empêchée par la force d'attraction s'exerçant entre un.aimant porté soit par le support soit par le châssis de la machine, à l'extérieur du ballon, et un élément coopérant porté par le châssis ou le support respective- ment, caractérisé en ce qu'un dispositif de sécurité mobile est , porté par le châssis de la machine ou par le support, au côté du ballon opposé à l'aimant et écarté de l'élément coopérant, l'agen- cement étant tel que lors de la rotation du support dans l'un ou l'autre sens,
l'aimant amène le dispositif à prendre une position d'action dans laquelle il se trouve en travers du parcours du ballon, le dispositif coupant le fil du ballon et venant en con- <Desc/Clms Page number 11> tact soit avec l'aimant soit avec une partie du support ou du châssis de la machine, pour arrêter la rotation du support, le dispositif de sécurité, après avoir été attiré par l'aimant, restant dans sa position d'action, même si l'attraction a cessé..
2. - Machine suivant la revendication 1, caractérisée en ce que le dispositif de sécurité est monté de façon à pouvoir tour- ner sur un axe en substance horizontal.
3.-Machine suivant la revendication 1, caractérisée en ce que le dispositif de sécurité est prévu pour glisser horizonta- lement en travers du parcours du ballon lorsqu'il est attiré par l'aimant.
4.- Machine suivant laune quelconque des revendications précédentes, caractérisée en ce qu'il est prévu un verrouillage pour maintenir le dispositif de sécurité mobile dans sa position d'action, une fois qu'il a atteint cette position, et s'opposer au retour de ce dispositif vers une position d'inaction en dehors du parcours du ballon.
5. - Machine suivant l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisée en ce que le dispositif de sécurité mobile est conformé et/ou monté de façon que son poids tende à le mainte- nir dans sa position d'action, une fois qu'il a atteiut cette position.
. 6. - Machine suivant la revendication 5, caractérisée en ce que le dispositif de sécurité est conformé et/ou monté de telle façon que son poids tende à le maintenir dans la position d'inac- tion ou position normale, une fois qu'il a atteint cette position.
7.- Machine suivant l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisée en ce que le dispositif de sécurité mobile est porté par le support et est conçu pour quitter sa position d'action et se placer en travers du parcours du ballon et venir en contact avec le châssis de la machine ou l'aimant porté par ce châssis du fait des forces centrifuges agissant sur lui lorsque le support commence à tourner.
8. - Machine suivant l'une quelconque des revendications <Desc/Clms Page number 12> précédentes, caractérisée en ce que l'élément coopérant est soit un second simant, soit un induit en métal ferreux.
9.- Machina suivant l'une quelconque des revendications précédentes, comprenant un mécanisme d'arrêt qui, lorsque le fil du ballon est coupé, fonctionne pour arrêter la machine ou la com- mande de la broche particulière intéressée.
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