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Perfectionnements apporta aux tablée annulaire. divine* pour bro- yeurs et analogues.
La présente invention trait aux broyeurs pour la prépa- ration de matières pulvérisées et elle vice plue particulièrement une table annulaire propre à coopérer avec des gaieté ou autres éléments en vue d'assurer l'action de broyage désirée* Pour tact- liter l'enlèvement ou le remplacement des tables du genre en quoi- tien l'on a proposé de les établir à partir d'un .certain nombre d'éléments ou segments en forme de coins tronquée,
chacun de ces éléments comportant deux face$ latérales planée propres à buter contre les faces latérales correspondantes des clients voisine.
Suivant la présente invention,, et au contraire de la tech- nique antérieure, chaque segment est établi sous la forme d'une pièce brute de fonderie, c'est-à-dire non usiné., avec deux faces latérales droites, une face périphérique intérieure et une face
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périphérique extérieure, ces deux faces périphériques étant dé- coupées d'une rainure qui attend d'une face latérale à loutre ' pour recevoir des dispositifs de retenue par l'intermédiaire des.
quels les segments sont fixés à une cuvette formant support* En supprimant l'usinage qu'on effectue d'ordinaire sur la pièce mou- lée, l'on peut établir les segments en un alliage métallique beaucoup plus dur qu'il n'omit été possible de le faire jus- qu'ici. Il en résulte que la durée utile des tables annulaires réalisées par le moyen de tels segments est beaucoup plus longue que celle des tables connues antérieurement à l'invention.
Comme les faces brutes de moulage présentent toujours de petites irrégularités, il convient de résoudre le problème du mode de fixation sûre des divers segments à la cuvette ou pla- teau. Si l'on utilise des dispositifs propres à fixer plusieurs segments à ce plateau les irrégularités précitées peuvent faire que certains d'entre eux seulement soient retenus en place de façon rigide, savoir ceux qui comportent des irrégularités en saillie, les autres segments ayant alors du jeu ou n'étant pas fixes de façon régulière.
Conformément à une autre caractéristi- que de l'invention le problème précité se trouve résolu par l'emploi de bagues de retenue dont l'une au moins est faite en un métal malléable susceptible.de se conformer eux irrégularités superficielles éventuelles des rainures des segments, ce qui aboutit à un blocage énergique de tous ceux-ci sur la cuvette ou plateau.
L'invention pourra, de toute façon, être bien comprise à l'aide de la description qui suit ainsi que de* dessins ci-annexés, lesquels description et dessins sont, bien entendu, donnés surtout à titre d'indication.
Fig. 1 est une coupe verticale simplifiée d'un broyeur cuve comportant application de l'invention.
Fig. 2 est une vue en plan à grande échelle de la table
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de broyait divisée.
Fig.3 en est une coupe suivant 3-3 (fig. $2).
Fig. 4 est une vue en plan à grande échclle de l'un des segmente constitutifs de la table, @
Fig. 5 en est une coupe suivant 5-5 (fig. 4).
En fig. 1 on a représenté un broyeur à cuvette pour char- bon ou autres matières* auquel on a affecté la référence générale
10. A l'intérieur du bâti de ce broyeur est disposée une cuvette ou plateau tournant 12 monté sur un arbre 14. L'arbre 14 et la cuvette 12 qui en est solidaire sont entraînes en rotation par 1* intermédiaire d'une roue hélicoïdale 18 en prise avec une vis sans fin 16 montre sur un arbre 20 commandé par un moteur appro- prié non représenté.
La Machine comprend encore un ou plusieurs éléments ou galets broyeurs 22 montés à rotation sur des arbres 24. On ressort réglable 26 sollicite chaque galet 22 contre la face intérieure de la table de broyage portée par la cuvette 12 et qu'on décrira ci-après.
Le charbon à pulvériser est introduit dans le broyeur par l'entrée 28. L'air s'écoule par l'espace annulaire 31 entourant la cuvette 12 pour entraîner la matière broyée qui déborde au- dessus de la lèvre de cette cuvette, cette matière traversant ainsi l'intérieur du broyeur pour aboutir au séparateur 34., L'air et le charbon pénètrent dans ce dernier par des ouver- tures 32. Les plus grosses particules de charbon, insuffisam- ment broyées, retombent sur la surface de broyage par l'ouverture inférieure 36 en vue de subir une nouvelle opération, tandis que les particules les plus fines sont entraînées et s'évacuent avec l'air par les sorties 38.
La surface qui coopère avec les galets 22 pour assurer l'opération de broyage est constituée par une table annulaire 40
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divisée en segmenta Le moyeu tubulure 42 pourvu 4-ai.ttt..,r... di.1.t zur rejette lontifl\l.i18." sur 14 surtaos 4...VI.' ?##* citée la barbon qui faute à trtvefs a.euer?< Jê 44 i*&ifc?t à lui faire subir une nouvelle opération de pulvérisation. 04 ao" yeu ou cône 42 est fixé à la cuvette 12 par de vis 46.
Le bâti du broyeur comporte une ouverture 48, norrza1..en fermée, en vue de permettre d'accéder à l'intérieur de la ma- chine pour la surveillance et l'entretien. On peut, notamment uti- liser cette ouverture pour remplacer les segments de la table de broyage 40 lorsque ceux-ci sont exagérément usés.
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Fige 2 et 3 montrent de façon plus détaillée la ôcn,t1tu.. , tien de la table de broyage divisée. Cette table, qui tourne par rapport aux galets broyeurs est constituée par un certain nombre d'éléments 70 en forme de coins tronqués fixés les uns contre les autres. La face périphérique intérieure de ces der-
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niers, c'est-à-dire la face en ara-de-oera.e la plus rapprochée du centre, est fixée à la cuvette 12 par le moyen d'une bague de retenue 52 sollicitée en direction du bas contre une rainure
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50 de ladite tacle. Cette bague de retenue 52 peut être divisée comme la table elle-même ou être faite en trois pièces ou davan- tage pour faciliter le montage.
Elle est énergiqueaent serrée contre la rainure 50 par le moyeu conique 42, lequel est lui- même bloqué sur la cuvette 12 par les vis 46, comme sus-exposé.
Les segments 70 sont bruts de fonderie, aucune de leurs , faces n'étant usinée. Ces faces peuvent par conséquent comporter de légères irrégularités. C'est pour cette raison qu'on utilise
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la bague de retenue $2. En l'absence de cette bague, s'il ex1.- . tait des points en saillie sur la face périphérique intérieure de certains des segments, ces derniers seraient les seule à ve- nir au contact du moyeu conique de la cuvette. Mais la bague de retenue 52 est faite en acier doux ou en une autre matière sus- ceptible d'être déformée par écrasement sous l'effet du moyeu
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conique lorsqu'on serre les vis 46.
Il en résulte que le bord ou face interne de tous les segments est ainsi bloqué sur 1$ cuvette de façon sûre.
La face périphérique extérieure des segments 70 est fixée à la cuvette 12 par une bague de retenue extérieure 56 appli* quée contre une rainure 54 de la' face en question par un Certain nombre de vis 58 qui traversent le bord de ladite cuvette 12. Ici encore la bague 56 est faite en trois pièces pour'faciliter le montre. La ouverte 12 porte un anneau périphérique dépassant
64 Monte contre la face intérieure de son bord latéral et qui tome organe de retenue du charbon en cours de broyage.
Comme 18 montrent bien fig. 4 ot 5, chaque segment 70 com- porte une dépression, 60 dans sa face inférieure, tandis que sa face supérieure porte de son côté une nervure en saillie62 On expliquera ci-après le rôle de ces éléments
Antérieurement à la présente invention les tables annulai* res de broyage étaient établies sous la forme de pièces forgées ou moulées.
On ne pouvait utiliser à cet effet qu'un nombre assez limite de matières étant donné qu'il y avait obligatoirement lieu de les travailler et de les usiner avant de le$ monter dans le broyeur. Les éléments 70 en forme de coins tronqués suivant la présente invention sont obtenus par moulage* maie n'ont pas du tout à être travaillés ou usinée* On peut donc le$ faire en une matière extrèmement dure présentant de très bonnes qualités de résistance à l'abrasion En fait le métal employé peut avoir une dureté Bockvell de
l'ordre de 75. A titre d'exemple de ma- tiares susceptibles d'être ainsi utilisées, on peut citer celles vendues sous les marques "NIHARD" ou DIAMITE".
La dépression 60 Intéresse une surface notablement supé- rieure à celle de la partie restant* de la face inférieure de chaque élément ou segment 70. Elle réduit le poids de l'élément et assure une économie de matière* En outre cette creusure fait que seuls les bords périphériques extrêmes de la face inférieure
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précitée de l'élément considéré viennent reposer sur la cuvette 12.
Par conséquent, si cette face comporta quelques légères ir-
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régularités, 1 élément et monte mieux"qu-*Il ne le ferait en l'absence de la dépression. Comme les élément. considères sont fait en une matière qu'on ne peut usiner avec un faible prix de revient, cette caractéristique présente une grande importance.
Les nervures 62 qui dépassent au-delà du plan de la face supérieure des éléments et qui entendent sur la longueur de
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1 'bn. de leurs tao.. latérale 66 entre la tact périphérique interne et la feet périphéries externe# ont été prdvvto pour remplir deux rbloo. 3Ch l be;
ae de due tervurta là tuttts ae l'anneau tend à devenir polie'et brillante c"qui' a peut ye- sultat que la matière traita, et par conséquent le* galets eux- menés, présentent une certaine tendance à glisser. les nervures, empêchent ce glissement dé la matière traitée et des gaieté* De plus, du fait qu'elles sont disposées au droit de l'une des faces latérales, elles s'opposent à une usure exagérée des seg- mente le long de leurs joints respectifs en empêchant les galets de venir au contact direct de ces derniers.
Coma il va de soi, et comme il ressort d'ailleurs déjà de ce qui précède, l'invention ne se limite aucunement à celui de ses sodés d'application, non plus qu'à ceux des modes de réali- sation de ses diverses parties, ayant été plus spécialement in- diqués; elle en embrasse au contraire toutes les variant...
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SYPÏCATÏOHS.
**ATTENTION** fin du champ DESC peut contenir debut de CLMS **.