BE623960A

BE623960A -

Info

Publication number: BE623960A
Application number: BE623960A
Authority: BE
Priority date: 1961-11-27
Filing date: 1962-10-23
Publication date: 1963-02-15
Also published as: DE1192550B; GB963169A; AT232890B; NL285837A; DK102949C; CH408692A; FR1334798A

Description


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  Assemblage à loquet pour fenètre en bois et métal   combiné .   



   La présente invention concerne un assemblage à loquet pour une fenêtre en bois et métal combinés tonnée de deux parties de châssis consistant en un profil métallique et une moulure en bois en contact par deux portées et comportant un loquet à deux bras, pivotant transversalement aux deux parties de châssis et dont une extrémité présente une encoche de manière à pouvoir venir en prise avec une saillie, par exemple une   nervure,   de la partie opposée   à   celle portant le loquet. 



   L'Idée de base de l'invention est de fournir pour une fenêtre à châssis métallique et châssis bois, un assemblage, qui, d'une part, relie les deux châssis l'un à l'autre de manière simple et, d'autre part, permet une certaine dilatation longitudi- 

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 nale d'un chinois par rapport à l'autre, pouvant, résulter des variations de la température ou de la différence des coefficients de dilatation linéaire. 



   L'assemblage à   loquet n'est   pas destiné à être défait plus ou )Mins souvent, mais doit   servir   au montage de fenêtre* à grandes surfaces en particulier à vitrage Isolant, qui nécessitent un assemblage donnant toute sécurité et ne doivent plus tire démontées par après. 



   Dans un assemblage à loquet pour fenêtre en bois et    étal   connu, il est prévu un loquet à deux bras, à encoche,, qui se trouve dans un plan de coupe longitudinal de la section de châssis et vient prendre derrière .un ergot rapporté à un moraillon du châssisen bois. Dans la position   serrée,   les deux parties de   châssis   s'appliquent l'une   à   l'autre suivant deux surfaces parallèles. 



   En raison de sa position dans un plan longitudinal, le loquet offre l'inconvénient d'empêcher une dilatation longitudinale des parties de châssis,   résultant   de la température par exemple, et de provoquer ainsi des tensions. 



   Suivent l'invention, on résout le problème complètement et on évite l'inconvénient signalé, en faisant pivoter le loquet dans un plan transversal au   châssis   et en choisissant l'ouverture de l'encoche du loquet de manière que, dans la position inclinée du loquet, le profil métallique porte par une de ses ailes sur le dessous de l'encoche faisant saillie par rapport à l'une des portées .du châssis en bois, après quoi, le dessus de   l'encoche,   par suite du pivotement du loquet dans la position d'assemblage, prend derrière l'aile et serre celle-ci sur le bois, une vis unique étant insérée dans une autre portée du châssis en bois, perpendicu- laire à la première, de manière à serrer l'un contre l'autre le châssis métallique s'appliquant sur les deux portées perpendiculai- res,

   le châssis en bois et le bras inférieur du loquet. Cet assem-   blage   à loquet ne comporte que quelques pièces, très simples à      

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 fabriquer, à peu de frais, par exemple à la presse ou par injec- tion, et qui peuvent être montées par une main d'oeuvre très réduite, même non qualifiée. 



   L'effet nouveau obtenu par l'assemblage à loquet de l'invention   réside   dans le fait qu'avec une unique vis, le châssis métallique est pressa simultanément contre deux portées du châssis en bois, perpendiculaires l'uno à l'autre, ce qui assure un assem- blage partait des deux parties de châssis. 



   Suivant les   dimensions   respectives du loquet et de son      logement, il est avantageux d'évaser dans le plan de pivotement du loquet et jusqu'aux deux extrémités, le trou taraudé du loquet recevant la vis de traction et ce dans une mesure correspondant à l'amplitude de pivotement du loquet. 



   Conformément à l'invention, il peut être   prdvu,   pour le passage de la vis dans le châssismétallique, une boutonnière . longitudinale qui s'étend suivant la longueur de   l'aile   et permet un glissement relatif des deux châssis. Cette disposition tint compte des tolérances admises entre le châssis métallique et le châssis en bois, ainsi que des déplacements relatifs desdeux châssis provoquée par la température. 



   Le logement du loquet et l'évidement du châssis en bois recevant ce logement peuvent se fabriquer facilement, quand la parti. , encastrer du logement du loquet est cylindrique. 



   Le montage du nouvel élément d'assemblage est facilité par le fait qu'une partie du logement du loquet fait saillie au-des- sur de l'évidement du châssis en bois et comporte une bride portait sur le bois et percée de trous pour le passage de vis de fixation*      
Le logement du loquet et le loquet lui-même peuvent être fabriqués facilement, en matière synthétique   injectée   ou moulée à la presse* 
Le dessin annexé   représente   une   tome   de réalisation de   l'invention,   donnée à titre d'exemple. 



   La figure 1 montre le nouvel élément d'assemblage dans 

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 sa position active, entre un châssis en bois et un châssis métallique; 
La figure 2 montre le même ensemble, vu de face et partiellement découpe; 
La figure 3 montre les diverses pièces pendant le montage* 
Un châssis en bois 1 présente à sa face supérieure   2,   un trou cylindrique 3. Dans celui-ci est encastré un logement 4 ayant une partie cylindrique 5 de diamètre correspondant et s'appu- yant sur le bois par une aile ou patte 6. Celle-ci est percée de trous 7, pour le passage de vis de fixation, non représentées. 



   Dans le logement 4 est monté, de manière à pouvoir   pivo-   ter autour d'un axe 9, un loquet à deux bras 8. Son bras inférieur 
10 présente un trou taraudé   11   destiné à recevoir une vis de trac- tion 12 perpendiculairement au plan de l'axe de pivotement du loquet et s'évasant de part et d'autre dans une mesure correspondant à l'amplitude du pivotement du loquet.

   La vis 12 passe dans un trou 
13, percé dans une face d'appui 14 du châssis en bois 1 et dans une boutonnière longitudinale 15, ménagée dans une aile 16 du   châssis   métallique* 
Le châssis métallique repose sur la seconde face d'appui 
17 du châssie en bois 1, par une partie profilée en cornière 18 dont l'aile verticale comporte soit une ouverture 19 dans laquelle s'engage le   dessus   21 de   l'encoche   du loquet, soit une moulure intérieure ou languette non représentée, avec laquelle cette partie 
21 du loquet vient en prise. 



   Comme la montre la figure 3, lorsqu'on pose le   châssis   métallique   16-18   sur le châssis en bois 1, l'aile 13 heurte le dessous 20 de   l'encoche   du loquet 8 et fait   ainsi   pivoter celui-ci dans sa position active, représenté* aux figures 1 et 2. Dans cette position, le dessus 21 de l'encoche prend dans l'ouverture 19 (ou sur la languette non représentée) du   l'aile   18 du   châssis    
Si   l'on   serre alors la vis 12, la partie 21 du loquet serre l'aile métallique 18 sur la portée 17 du châssis en bois 1. 

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   L'unique vis de traction   12   permet d'obtenir de cette façon   un   assemblage durable et sûr entre le   châssis   métallique et le châssis en boit, tout en permettant néanmoins, dans les limites nécessaires, un   mouvement   relatif de glissement entre les deux   parties     REVENDICATIONS.   



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1.- Assemblage à loquet pour fenêtre en bois et    étal   combinés formésde deux parties de châssis  '/appliquant   l'une   contre l'autre par deux portées et comportant un profil métallique et une 
Moulure en bois ainsi qu'un loquet à deux bras   dispos 4     transversa-   lement et pouvant pivoter, dont une extrémité   présente   une encoche pour venir au prise avec une   saillie   par exemple une nervure ou l'équivalent, de la partie opposée à celle portant le loquet, caractérisé en ce que le loquet (8) pivote dans un plan transver- sal aux   châssis     (le     16   et   18),   en ce que l'ouverture de   l'encoche   (20,21)

   du loquet est choisie de manière telle que, dans la posi- tion inclinée du loquet, le profil métallique   (16,18)   porte par une de ses ailes (18) sur le dessous (20) de l'encoche faisant saillie par rapport à l'une dès portées (17) de la moulure en bois, en ce qu'après la pose, le dessous (21) de l'encoche, par suite fa pivotement du loquet (8) dans la position   d'assemblage,   vient en prise avec l'aile (18) et la serre sur le bois (1), et en ce qu'une unique vis (12), introduite dans une Mitre portée (14) de la moulure en bois, perpendiculaire à la première, serre l'un contre   l'autre   le profil métallique (16) appliqué sur les deux portées   (14,17)   perpendiculaires l'une   à     l'autre,   la moulure en boit (1) et le bras inférieur (10)

   du loquet (8).

Claims

2.- Dispositif suivant la revendication 1, caractérisé en ce que le trou taraudé (11) du loquet (8) qui reçoit la vis de traction (12) est évasé dans son plan de pivotement, vers ses deux extrémités dans une mesure correspondant à l'amplitude de pivote- ment du loquet.

3.-Dispositif suivant les revendications 1 et 2, caractéri- <Desc/Clms Page number 6> sé en ce qu'il est prévu, pour le passage de la vis de traction (12) dans une aile (16) du châssis métallique, un* boutonnière allongé (15) s'étendant suivant la longueur de l'aile.

4.- Dispositif suivant les revendications 1 à 3, carac- térisé en ce que la partie du logement (4) du loquet à encastrer dans le châssis en bois (1) et,, par conséquent, aussi l'évidement (3) correspondant du châssis an bois' (1) sont cylindriques* 5.- Dispositif suivant les revendications 1 à 4, caractérisé en ce que le logement (4) du loquet (t) présente une partie surplombant l'évidement (3) du châssis en bois (1) et com- portant une aile (6) portant sur-le bois (1) et percée pour le passage des vis de fixation.

6.- Dispositif suivant,les revendications 1 à 5, cazactérisé en ce que le logement (4) et/ou le loquet (8) sont en matière synthétique et obtenus par injection ou par pressage.