BE580978A - - Google Patents

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BE580978A
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    • CCHEMISTRY; METALLURGY
    • C11ANIMAL OR VEGETABLE OILS, FATS, FATTY SUBSTANCES OR WAXES; FATTY ACIDS THEREFROM; DETERGENTS; CANDLES
    • C11BPRODUCING, e.g. BY PRESSING RAW MATERIALS OR BY EXTRACTION FROM WASTE MATERIALS, REFINING OR PRESERVING FATS, FATTY SUBSTANCES, e.g. LANOLIN, FATTY OILS OR WAXES; ESSENTIAL OILS; PERFUMES
    • C11B7/00Separation of mixtures of fats or fatty oils into their constituents, e.g. saturated oils from unsaturated oils
    • C11B7/0091Separation of mixtures of fats or fatty oils into their constituents, e.g. saturated oils from unsaturated oils non-solvents, e.g. water wherein the fat or oil is dispersed account a more washing out of fractions is not taken into

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Description


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  "Procédé de séparation de mélanges de composés orga-   niqnes à   poids moléculaire élevé". 



   La présente invention se rapporta à des perfec-   tionnements   nouveaux et utiles dans la séparation de mélanges de composés organiques à poids moléculaire éleve; elle est   taie   consolidation- et une   continuation   en partie des demandes américaimes de la demanderesse, N    293.246     dn   13 janvier 1952 N    379.289   du 9 septembre 1953   et 9*   401.092 du 29 décembre 1953, toutes ces demandes étant actuellement abandonnées. 



   Les composés organiques à poids moléculaire élevé comme les acides gras et esters d'origine naturelle ou synthétique sont ordinairement obtenus sous formes de   mélan-   ges dont les composants diffèrent les uns des autres par leurs points de   fusion   Ainsi, les acides gras et esters sont cha- 

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 cun obtenus sous la forme de mélanges contenant des consti- à tuants/différents points de fusion. Il est généralement nécessaire de séparer ces mélanges en composants à différents points de fusion pour l'utilisation ultérieure. Cette sépa- ration. offrait jusqu'ici certaines difficultés, certains inconvénients et   empêchements   nécessitant l'utilisation de solvants organiques, d'une filtration ou de presses hydrau- liques, etc.... 



   Un objet de la présente invention est un procé- dé   amélioré   pour la séparation de mélanges de composés orga- niques à poids moléculaire élevé, comme par exemple des mé- 3.anges diacides gras et des mélanges d'esters carboxyliques, en composants présentant des points de fusion différents. 



   Un autre objet de la présente invention compor- te une telle séparation sans faire usage de solvants organi- ques, de presses hydrauliques ou d'une filtration. 



   Les objets précédents et encore d'autres objets de l'invention ressortiront de la description suivante en corrélation avec les dessins d'accompagnement dans lesquels : 
La figure 1 est une coupe verticale schéma- tique d'une forme de réalisation   d'une   centrifugeuse du type imperforé que   l'on   utilise dans la mise en oeuvre de l'inven-   tion,   
La figure 2 et la figure 3 sont des vues en coupe verticale- schématiques d'autres types imperforés de paniers de centrifugeuse que l'on utilise dans la mise en oeuvre de l'invention- (les éléments de commande, de paliers et de collecteur d'enlèvement de liquide ayant été omis). 



     Conformément   à l'invention, une dispersion du mélange de la matière organique à poids moléculaire élevé est formée dans une   solution,   aqueuse contenant une matière tensio- active, à une température à laquelle le mélange contient des 

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 constituants solides et Liquides. La dispersion est ensuite séparés par une formation de couches en une phase spécifique- ment plus lourde, composée de la solution aqueuse de la ma-   tière   tensioactive contenant des particules en suspension du constituant solide, et en une phase   spécifiquement   plus légè- re composée des constituants liquides.

   La séparation de la dispersion en ces deux phases est effectuée par une action centrifuge, par exemple dans un   séparateur   centrifuge du type imperforé. Les constituants liquides du mélange de matière organique à poids moléculaire élevé sont   directe.::lent   récupérés et les constituants solides peuvent être récupérés en séparant la solution aqueuse d'avec les particules solides qui s'y trouvent en suspension. 



   Des .salières premières appropriées pour la mise en oeuvre de l'invention. sont les mélanges d'esters carboxyliques et les mélanges d'acides gras à la fois d'origine naturelle ou synthétique. naturels
Les esters carboxyliques /sont principalement des esters diacides gras, en particulier des glycérides comme ceux qui sont obtenus à partir de la matière grasse des végétaux, des   animaux   terrestres et marins. Des exemples des types divers de matières-grasses végétales sont l'huile de noix de coco, l'huile de   .palme,   l'huile d'olive, l'huile de soya, l'huile de lin,   l'huit  de bois et l'huile de colza.

   Des exemples des divers types de graisses obtenues à partir d'animaux terrestres sont la graisse de boeuf, la graisse de pore et la graisse   d' os.   Des exemples des divers types de graisses d'animaux marins sont l'huile de baleine, l'huile de menhaden l'huile de foie de morue et l'huile de hareng. 



   Parmi les asters carboxyliquesnaturels qui contiennent des alcools autres que la glycérine comme constituant alcoolique on pourra mentionner par   exemple   l'huile de sper- 

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 W..:1céti qui, en plus 2e glycérides, contient  ga2.a.-r¯4 :'3 strs wr.:.CIC.-¯. T33 7atcaols alinsties, ainsi que les 23r2 ::S   ^.r'¯^'n c ..¯. .us des ;lycrië2s on ?; ., a ilis:.r mijote combinaison: désirée d'esters, pc:r ;;X>3r.:p1.3 c=llcs 4#1 sont utilisas C3yti..C. 3ssu?1sst st que D-- ot1r i!4t :Gt iK113:.c?nt. 



  Lorsque les ni-langes d'asti=-s c34ti..nent des cznotituants solides et aussi liqnides à me terD,3ra.,.=e s doan4< , il Gst souvent important du point de vue industriel de séparer le lange en esnstitaants à différents points de ,js:lon3, cosme par exempta dans l'h1ber::ation des huiles comestibles, la séparation de graisses durcies, l'enlevgn.ent des constituants solides dans les assoupissants et 1a séparation de phtalates isomsres, etc... 



  Les mélanges d'acides gras d'origàne naturelle, sont ceux qui sont obtenus à partir des éla=.ges d' estsrs carboxyliques d'origine naturelle mzntioz-néa plus haut. Las ctcr peuvent atre scindés à l*.<;ide d'aau ou de vapeur d'eau, ou ils peuvent e*tr-3 saponifiés à l'aide d' lm alcali caustique, tandis qu5 les ::ic1é-::!s zras peuvent être libérés des sav s résultants à l'aida d'acide. Les mélanges d'acides gras d'o--i- 13 s;û h tiqac peuvent être eaux qui sont Jbtf-U3 par exarple par oxydation des paraffines naturelles 0'- synthétiques et l'isolation des acides gras à partir du ==1a-ige d'oxydation, ou on peut les obtenir par oxydation d'alcools comma cela est pratiqué par exermie dans l'hydrogénation de J.J'.3xyèe de carbone.

   On ? 3 ut en outre obtenir les mélanges synthétiques par o:r;,Tdî, tio ; de L4 VV qui sont obtenus par addition d'oxyde de carbone t d'hydrogène sur des ol.é:f1n:::s, ce qui conduit j. des .cr;l.3-"!çaa d'acides gras convenant bien à la sa?.¯-atior¯ par l'application Jeu procédé conforme à l.'1nvet1on. 

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   -diriges   
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 Les mélanges gras à traiter CJr:fXL:e:L.e..'1t à la présente invention pourront de préférence c-rten:L- coz-ae constituants principaux des acides gras avec 8 à 30 et de préférence 10 à 25 atomes de carbone dans leur   molécule.   
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 Si les mélanges d'esters contien;ent en tant que constituants carboxy1..1qnas des radicaux d'acides gras, ces radicaux peuvent provenir d'acides gras de la même dissension molécdaire. 



   Toutes les matières mentionnees ci-dessus sont généralement obtenues sons forme de mélanges contenant des 
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 constituants à points de foslon différents. Ces ratières présentent une importance indn8tr: u.e et il est généralement nécessaire de séparer les mélanges en composante à points de fusion différents gour   l'utilisation,     ultérieur* .   



   L'invention ne se limite toutefois pas aux mé- 
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 langea spécifiques énumérés plus bâtit, elle est applicable à tous mélanges xioàlaires, quelle que soit leur origine ou quel que soit leur procédé d'obtention, ceci étant évident 
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 pour l'hoomie de métier, étant donné que la séparation est de nature phy<que. Pour obtenir la dispersion il est possible de 
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 partir d'un Eté lange d'ans matière organique complètement òndue on. à'une masse plus ou moins solidifiée.

   Dans l'application du nouveau procédé Il est nêcdasaire que le mélange organj.ql1e à séparer soit présent dans une condition *.eUa que la solution aqueuse de la substance tensioactive soit en mesore de déplacer substantiellement le cnst1tuar1t organique liquida de la surface du constituant   solide..   Si la   matière   
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 première est un r.éîazrge plus ou moins solidifié, il est nécessaire de soumettre le mélange à un broyage relativement fin, par exemple par traitement zécar-iquap notam.412.l1 t en faisant passer le lange à travers des tamis, en ntilisant des dispo- sitifs agitateurs on des pressas à cylindres, des   émolsifica-   
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 tears, des broyeors à bouletsp à pointes, à marteaux, à dia- ,uea d* engrenage, à disques d,

  $Impact ou autres dispositifs 

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 Je broyage ou de décoapage ou appareils 2a pulvérisation. 



  Après cette ¯réduction de i..aio:: les zsnllituants solides du mélange se présentent sous la fouie ds particules substantiellement petites, distinctes, c'est-à-dire de particules Individaellas non reliées. 



   Quand on utilise des mélanges, substantiellement fondus de matière organique, on laisse celle-ci de préférence se Solidifier tout d'abord   partiellement.     IL   est 
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 avantageux de refroidir le mélange à rma tecnpératare à laquel- le la séparation doit être effectuée. On peut effectuer la solidification de ces mélanges tandis que ceux-ci sont au re- 
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 pos on tandis qU' à1B sont p1.aB O1I >3mS 8:I :"..BLtYe: 'elIt. En vue de la solidification tranqa*ille) le :n..:=J.an!;e f:ndl1 peut être versé dans des formes au moules à par tir desquels lis sont enlevés après leur solidification ou solidification par- 
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 tielle, ce mélange étant ensuite so=is à une réduction de dimension, de la manière décrite Plus haut.

   Il est également 
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 possible de faire passer les mélanges suhsta.^¯tielleent iiqnl- des;   c'est-à-dire   fondus, sur des cylindres de refroidisse- 
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 ment, ainsi ce  mélanges eoet sotmds à une solidification tandis qn'àls sont substantiellement au repos sur la surface du cylindra de refroidisserent. La conche du mélange substan-   tiellement   solidifia est détachée du cylindre de refroidisse- 
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 ment, puis elle est broyée comse décrit plus haut. Il. est en outre possible de laisser le mélange substpntiellesiant iiqnl- de se refroidir dans des récipients appropriés alors qu'il 
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 est soumis à un brassage ou agitation.

   A cet effet convient par exemple un tube refroidi de 1.' extéritu:::- <'"...2"15 lequel la couche de constituants eu mélange e : voie de solidification qui se dépose sur les parois du tube est cJntirns1leme-1t éimmée par un racloir ou grattoir. 
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 La solidification peut être effectuée 1.entem.ent, 

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 c'est-à-dire en l'espace de plusieurs heures, au bien on peut l'exécuter relativement rapidement, par exemple en moins d'une minute. On peut également l'effectuer en présence de composés organiques ajoutés substantiellement liquides, tels que des hydrocarbures, des alcools, des esters ou des acides carboxyliques.

   De préférence on utilise des matières additives organiques substantiellement liquides qui sont relativement aisément éliminables des constituants des composés organiques à obtenir, en raison de leurs propriétés physiques comme la solubilité ou le point d'ébullition, Les constituants substantiellement liquides du   eu:lange   obtenn dans la mise en oeuvre du procédé suivait l'invention sont spécialement Intéressants comme additifs conformément à cette forme de réalisation de l'invention et leur adjonction est particulièrement avantageuse dans les cas où le mélange qui doit être séparé contient relativement peu de constituants liquides. 1.'utilisation des derniers additifs mentionnés offre l'avantage supplémentaire qu'elle élimine substantiel-   lement-   la nécessité d'une récupération separée des additifs. 



   La dispersion du mélange dans la solution aqueuse de la matière tensioactive peut être effectuée en ajoutant le mélange broyé. à une solution aqueuse de la matière tensioactive ou encore en ajoutant la matière tensioactive au mélange avant,, pendant ou après le broyage. La matière tensioactive peut évidemment de la même manière être ajoutée en même temps que le mélange broyé est dispersé dans la solution aqueuse Dans tons les cas le résultat final sera une dispersion du   mélange   dans une solution aqueuse de la matière tensioactive. Sous ce rapport on notera spécialement   qu'il   en ré-   sulte   une émulsion huile-dans-l'eau et non une dispersion eaudans-l'huile.

   Dans la formation de cette dispersion   huile-   dans-l'eau, les constituants organiques   substantiellement     li-   quides du mélange sant déplacés de la surface des constituants organiques substantiellement solides du mélange en formant      une dispersion de particules   fines   dans laquelle les consti- 

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 tuants liquides et solides sont séparés les uns des autres dans la solution de la matière tensioactive. 



   La dispersion dans la solution aqueuse peut être effectuée en   secouant,   agitant on assurait de toute au- tre manière un contact intime entre le mélange organique et la solution aqueuse. 



   Dans de nombreux cas il convient d' utiliser à cet effet des   appareils   comme des homogénéiseurs ou émulsificateurs de construction   conventionnelle.   Il est fréquemment possible d'effectuer une réduction de dimension du mélange   organique)     ainsi   que, si on le désire, l'addition des   matiè-   res organiques substantiellement liquides, conjointement avec la dispersion de la solution aqueuse mentionnée ici de la matière tensioactive en   une   seule opération.

   Une autre modification du procédé suivant l'Invention comprend   l'Incorpora-   tion dune solution aqueuse de matières tensioactives dans le mélange substantiellement. fondu des matières organiques à séparer et le refroidissement du mélange tandis que   l'on   travail- 1e   mécan@quement   celui-ci. Ce travail mécanique peut par exemple être effectué de la même manière que décrit précédemment pour le refroidissement des mélanges   substantiellement   fondus   ou   pour la production de la dispersion. De cette manière il est possible d' obtenir le composant organique   substan-   tiellement solide du mélange dans un état de distribution spécialement fin. 



   Les agents tensioactifs sont destinés à. réduire la tension interfaciale entre la matière organique à poids moléculaire élevé et le   milieu   aqueux. Par conséquent on peut utiliser toute matière tensioactive connus ou   conventionnelle.   qui est chimiquement Inerte envers les autres constituants dans la dispersion. Les matières tensioactives sont des composés organiques qui   contiennent   des groupes hydrophobes et hydrophiles dans les molécules.

   Des groupes hydrophiles ou 

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 hydro-8olnbilisenté appropriés sont par exemple les groapes hydroxyle .Libres multiples, les chaînes polyétherf les groupes su!.:t'o.n1ques on semi-esters s111.f'nriqnes, etc. ** Des exemples de matières tensioactives appropriées sont Dm alcoylpbé.noJ.po.1.yg1.ycoléther, un alcoyienifonatey un sulfate d'alcon gras, un a2coylreazèe-salfonate. Des exeplesde salières tensioactives ayant des groupes hydrosolnh11.1sarrts acides sont les a1.cOy1.benzène-suJ.t'onates, les sulfates d'alcools, les aÎCOyl8UÉfOnateS, les monog1ycér1des d'acides gras sU1:t'atés et les savons, y caapris les savons en particulier cime base organique comme la mono-,di- ou tr1éthaPo1.a:dne. Les substances tensioactives ayant des groupes hydrosolabilisants basiques sont connus sous l'appellation de composés catîoac- tifs.

   Particulièrement importantes sont les   substances   de ce 
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 type qui contiennent des atomes d'azote quatermirep par exemple dalcoy2pyrid:bii=. Ri. tant qu'exemp1.es de matières tensioactives ayant des groupes hydrosoinbilisants ne formant pas de sala an pourra mentionner les produits d'addition d'oxydes d'alcoylènè de composés à poids moléculaire élevé possédant un atome d'hydrogène mobilqppar exemples les éthers polyglycoliques d'alcools alipmtiques ou deatcoylphénolsl, ainsi que les esters palyaycoiiqaes d'acides gras. Les agents tensio- actifs que l'on peut utiliser conformément à l'invention ne sont évidemment pas limités à ceux décrits ci-dessus; on peut 
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 utiliser l'un quelconque des agents connus au cenventionnels, comme par exemple ceux décrits dans les auvr-sosnrface Active Agents" de A.M, Schwartz et I.W.

   Perry, N"ew-York 2-9493, "Encyc1.opaCliA of Surface Active Agents" de J.P. Sisley et P.I. 



  Wood,, N"e.w-York, 1952, Surface Active Agents" de C.B.F. Youp,g-¯et K.x. Coons, Brooklyn, 1945, et de A. Chwala "Textilhüfsruittale Vienne 1939, ainsi que 1.'U.S.P. 2.fi.a?8. 



  Lorsque le mélange organique à séparer est m rayé- 

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 lange d'acides gras, on peut ajouter des quantités relative- ment faibles de   salières   à réaction   basique au     mélange   d'aci- des gras, ce qui fait que   l'on   obtient des quantités relati- vement petites de sels d'acides gras qui peuvent servir com- me matière tensioactive conformément à l'invention.. Les ma- tières tensioactives peuvent aussi être formées de cette manière pour ce qui concerne le traitement de mélanges d'es- ters, particulièrement des matières grasses naturelles qui peuvent contenir une certaine quantité d'acides gras libres. 



   Les quantités et la concentration de la matière tensioactive à employer dépendent dans chaque cas de ces propriétés tensioactives . En général des concentrations d'au moins 0,05 %, et de préférence d'environ 0,1 à   5 %   de matière tensioactive par rapport au poids du milieu aqueux donneront de bons résultats. 



   Les propriétés l'activité interfaciale   ) de   la solution aqueuse tensioactive peuvent être influencées par l'addition d'électrolytes qui sont inertes vis-à-visdes autres constituants de la dispersion.. Les électrolytes sont   fréquemment   présents sous la forme de sulfate de sodium ou de chlorure de sodium, dans les substances tensioactives tecbni- ques. En outre, d'autres sels comme les sels de magnésium-, les sels de calcium ou les sels d'aluminium conviennent comme additions.   L'action   de l'addition   d'électrolyte   à la solu- tion de la matière tensioactive n'est toutefois pas limitée à descations spécifiques comme les métaux alcalins et alcali- no-terreux , ni à des anions spécifiques tels que   chlorures,   sulfates ou nitrates.

   Peuvent également offrir de l'importan- ce les électrolytes qui préviennent la corrosion de la   matiè-   re métallique, par exemple les nitritas et sels d'acides du phosphore qui contiennent moins d'eau de   constitution,   que 1-'acide orthophosphorique, ainsi qu'un mélange désiré quelconque de ces électrolytes. Le fait que l'action de l'addition 

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 d'électrolyte n'est pas spécifique aux sels alcalins ou al- calino-terreux ressort par exemple du fait que les mêmes ef- fets sont obtenus notamment par l'addition de chlorure de nickel. 



   On comprendra toutefois que l'on   n'utilisera   pas de sels qui forment, des précipités substantiellement in- solubles avec la matière tensioactive. La quantité de solu- tion aqueuse de la .aatière tensioactive utilisée est de préférence maintenue dans la   gamme   d'environ 0,5 à 5 parties en poids d'eau par partie en poids du mélange de   salière     organi-   que à poids moléculaire élevé. 



   En plus de l'action mouillante de la solution aqueuse de la matière tensioactive qui mouille la surface des particules   Individuelles   de la matière organique et déplace les particules de liquide qui y adhèrent, la solution aqueuse possède un pouvoir émulsifiant. Le pouvoir émulsifiant de la solution aqueuse ne doit pas toutefois s'élever trop haut étant donné que, dans ce cas, l'effet émulsifiant serait trop fort au point de causer des difficultés dans la séparation ultérieure des particules de matières organiques liquides et solides en nécessitant   un:laps   de temps excessif.

   Ainsi, si par exemple les particules à séparer sont Introduites dans une centrifugeuse, alors   qu'il   existe un pouvoir excessivement grand dans la dispersion, la séparation centrifuge   deman-   de un temps   extrêmement   long et l'on obtiendra un débit petit en rapport dans la centrifugeuse.Dans une certaine masure le rapport du pouvoir mouillant relativement au pouvoir émulsifiant de la solution: aqueuse de la matière tensioactive est   contrôlé   par la nature et la quantité de la matière tensioactive particulière choisie; il peut aussi être réglé dans une certaine mesure par l'addition des électrolytes   et,/ou   de solvants organiques.

   Toutefois conformément à une forme de réalisation préférée de l'invention, on ajoute supplémentaire- 

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 ment des co11J±des protecteurs à 1a solution aqueuse de la =::atièrs tsnsioaetive. On a trouve Ci:.!;: ces colloïdes protecteurs sont particulierefaent efficaces en réglant favorablement le rapport pouvoir moolllant - pouvoir émulsifiant de la phase aqcense en permettant à la concentration Je la matière tensioactive d'être maintenue à un ui obtenant a:lnsi un effet émol-sifiant n'"'*mTmr. Par conséquent, avec 1-*addition du co1.1oIde protecî.eur, une réduction de la concentration de la matière tensioactive dans la so1nt1on aqueu- ae est possible   lotit   en permettant en même temps un effet 
 EMI12.2 
 mott1Uan.t suffisant$ en rédaiaant néanmoins substantiellement '8:f."fet émulsifiant. 



  Leexpressionnoolloldas protecteurs; est atm- sée ici et dans les revendications pour désigner des   substan-   
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 ces mà±ra1e8 et organiques qnelconques qui sont solubles,> 2nacittbles ou capables de gonfler dans t'eam, et qui sont en mesure d'angnenter la viscosité de la phasa aqueuse. Les colloïdes protecteurs minéraux consistait en un: grand noathra de précipités mnc1.lagineux ou flocts qui fréqzemmmt de- 
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 meurent en suspension sous forme colloïdale dans 1,*aau/qui 
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 ne se sedimentant que lentement. Des exemples de colloïdes protecteurs minéraux sont les arg:u'3S zonilants, la silice m:tcrocr1stalms et autres matières çsi restant en snspension 
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 -7 couo1dale dans 1'eaù ou ne se -ii4*seat que leatemmit.

   Les 
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 composés complètement solubles dans 1->eau> coma par exemple les sels diacides phosphoriques poères, contiennent éga- 1e#ant en vue de i' 3rnre:tioiz. Les cs2lodes protecteurs or- 9*anlqaes peu.vent être 'dor1g1ne naturelle au synthétique. 



  La colle, les gela textes ou autres protéines) la gozme adrac2mtet les pectines, les alginates, etc... sont des exaiaplas de colloides pro.t.?ctaurs darifb xmtnreug. Les colloïdes pratectesrs d"or1g1nê synthétique comprennent les éthers poly- 

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 glycoliquss Liquides au cireux à poL.± moléculaire élevé, les poyacry1aes, les glycolates de ceilulosi, Les .éthylcelluloses) etc... Les propriétés <es sabsta,,.cs colloïdales peuvent être réglées par le nos.brn Jà coupes hydrosolubilisants présents dans los molécules et. par les groupes   fonctionnels   non 'hydrophiles qui sont -galbent éventuelle- 
 EMI13.2 
 ment présents. tant qu'exemples de ::Dmposés contenus dans ces groupes on nantionnera les copo3.yras d'acide métacrylique et les métacrylates ainsi que les glyealates d'ethoxycellulose.

   On :n.ant1onIlsra en oatn lis produits de condensatison f'orma1.dah;'diques de phénols, de WÍ1 aMiT1 ou d'srée, partic:J1.ièrS;:lent quand il s'agit de condensats non durcis qui contiennent des groupes hydrosolub:l1.1sants dans la J80J.Q.cule, par exemple des groupm-s sulfouiques. 



  En générale les colloïdes protecteurs qui contiennent des groupes f1bateJrB de sels dans les nolecnlea présentent une importance   particulière.   La concentration des colloïdes protecteurs dans la phase   aquause   peut varier dans 
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 de larges limites, des concentrations aussi basses que 01,1 % étant efficaces, tandis que des concentrations aussi enlevées   que 7 % en   poids sont   admissibles.   



   La quantité optima de matière tensioactive, 
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 des c=posée organiques liquides, des él2ctra 4es et des colloïdes protecteurs, ainsi que   la   finesse de la rédaction 
 EMI13.5 
 de dimension at la nature du traite.-,-.en'., avsc la solution aqueu- se des matières tensioactives, peuvent   tre     aisément   déter- 
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 minées par des essais pré3.iBCinairas.

   En faisant varier les cogitions opératoires 
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 Com:::.:! la nature et le mode de refroidisse .ent, la température de   séparation:,   la nature et la   quantité   des composés   organi-   
 EMI13.8 
 ques liquides ou de :leurs mélanges ajoutés, on pa'at 1='lt2erLeer à la fois la consistance du zéla;è à séparer et la composition des constituants solides ct liquidas. 

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  Dans certains cas il peut être nécessaire d'effectuer la séparation du mélange organique à des températures inférieures à onc, par ex nple pour 1-hibc-r-r-ation des huiles comestibles. Dans de tels cas, on doit ajouter 
 EMI14.2 
 des substances qui réduisent le point de Cûn5éa't3Tt la solutim aqueuse de la matière tensioactive. Les électro- lytes minéraux ne conviennent que dans une mesure limitée à cet effet, Il est préférable d'utiliser des composés anti- 
 EMI14.3 
 gel. convent.1omme1..s comme les alcools polyvalents ou les dérivés difficilement volatils comme l' éthylâ2e glycol, la g1.ycér1ne. la polyglycérme, les polyglycols on leurs esters part1a1.s.

   La séparation de la dispersion du mélange or- 
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 ganique dans. la soiction aqueuse peut être effectuée dans certains cas simplement en laissant la dispersion reposer; 
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 en lOCCtnnu1Ce la phase supérieure des portions liquides du mélange organique se forme conjointement avec une phase infé-   rieure   contenant la solution aqueuse avec les particules 
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 dispersées du constituant solide du mé2ange organique. par décantatioit des couches, on peut récupérer très simplement les produits. 



     Conformément,   à la forme de réalisation   préfé-   
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 rée de i'ivent3.x la dispersion toutefois est séparée en couches par une action centrifuge. A cet effet on utilisa 
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 des centrifugeuses du type Imperforé, à savoir celles dans lesquelles les parois extérieures du bol cen:tr.1.f'±tpDr'- oU- dtt panier centrifugeur sant pleins, contrairement aux contrifu- 8AnBea du type/perforé dans lesquelles les parois de la cen-tri- %0%P O< les parois du panier centrifugeur sont perforées oc autrement peaaéab2.es. Par conséquent,, dans la centrifugeuse du type Imperforé la phase solide n'est pas retenue au moye> d'tux tamis, écran ou filtre; les deux phases sont 

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 séparées 1-*=c de l'autre dans la centrifugeuse en raison de leur densité.

   Par l'emploi de la centrifugeuse, la sé- 
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 paration en couches de la dispersion qui p-nt5, dans certaines circonstances se faire très   lentement   on ne pas se faire   dn   tout, peut être considérablement accélérée. 



   Les dessins donnent des exemples de formes de réalisation   Illustrées   de centrifugeuse ou de bols ou paniers 
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 contrffugeurs utilisables dans la mise en oeuvre du procédé sulvant 2' invention pour la séparation centrifuge des mélangas de matières organiques conaae les mélanges d'acides gras on les mélanges d'esters carboxylîquei3; on ne désire toute- 
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 JL. fo1S!].ter].' app1.ica tion du !1VeaU procédé aux types par- 
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 tiediers de centrifugeuse ou panier centrifugeur qui y sont   représentée,  
Se rapportant à la représentation schématique de l'intérieur du panier centrifugeur comme celui représenté à la figure 1, le panier centrifugeur 1 est monté sur un 
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 arbre 2.

   Lors du fonctionnement de la centr1fugeus e, a'est- à-dire lors de la rotation dans la direction de la flèche 2, on ajoute tout d'abord de préférence par le conduit dJ-a:Umentat:1on une solution aqueuse., de la substance tenB1oactive, qui ne contient pas de mélange de matières organiques comme le mélange d'acides gras, d'esters ou da1.c()o1.s.

   IL est avantageux de laisser s'accuauler la couche 5 de l3qaida spécifiquement plus lourd jasqusà on niveau dépassant ):ôp6# annulaire aa ouverture définie entre 1-t bague :z. et la paroi extérieure 4 du panier centrifugeur 1 L'âl1mentat substantiellement contlnue de cette solution sans mélange organique est réglée à un débit d'addition qui 
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 est le me'me que celui auquel cette solution est déchargée   Continuellement   par le conduit de soutirage 8, ce qui assure l'immersion compléta dans le liquide de Il'espace annulaire 5a. 

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   On branche alors   l'alimentation   de la solution aqueuse   tersioactive   contenant le mélange de matière organique dispersée. Avec l'alimentation   continue   de la dispersion, 
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 la solution aqueuse contenant des particules solides, spéci- :t1quement p1.wr 1.ourde, s'amoncelle contre la paroi de panier extérieurg 1, tandis que les matières organiques substantiellement liquides, spécifiquement plus légères, forment une couche Intérieure superposée à la eoaehe spécifiquement pi-os lourde de liquide.

   Comme la couche Intérieure de matière organique substant1aemant liquide s' accWU11.e, il s'éta- blit   finalement   un   équilibre   avec la couche externe, qui peut finalement prendre par exemple la position des   couches ¯5   et 6 (figure 1), la couche interne s'étant accumulée jusqu'à atteindre l'entrée du conduit de soutirage 9, les acides 
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 gras schstantiett fmant liquides sont ensuite continuellement déchargés, hors du conduit de soutirage mentionné en dernier lieu, tandis que la dispersion aqueuse des particules   substan-   
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 tier3.ement solides est déchargée continuellement par le conduit de soutirage 8.

   L'organe annnlaire z empêche que la phase spécifiquement plus légère entre   dans   l'espace au dessus de l'organe   annulaire..   



   La   figure 3:   montre   le   corps de centrifugeuse 
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 12 qui est essentiellement de construction tubul.a1re et qui est pourvu du conduit d'alimentation Il potzr faire passer la dispersion à fintérieur de la centrifugeuse à partir de son fond. Après introduction de la dispersion: conformément à l'Invention à travers le conduit d' alimentation Ut celleci est séparée en la phase spécifiquement plus lourde et en la phase spécifiquement plus légère comme Indiqué précéoenoe4 Dans ce cas les deux phases peuvent par exemple constituer les deux conches indiquées en traits Interrompus et désignées par 
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 les nombres et la.

   Dans la portion supérieure de la 

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 centrifugeuse, les deux phases sont empêchées d'interférer entre elles dans leur décharge séparée de la centrifugeuse 
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 par le disque on orga a: nu3.aire ,4. Ce dernier est de préférence monté sur l'organe tubulaire 17 et définit avec son bord extérieur   l'espace   annulaire ou ouverture 12a pour le passagedn liquida spécifiquement plus lourd dans   l'espace   au dessus de   l'organe   disque 14.

   De même   dans   ce cas, il peut être   avantageas   de débuter les opérations en utilisant tout d'abord une solution aqueuse tensioactive qui   ne   contient pas de mélange de inaltéré organique, y compris 
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 une qui peut provenir d'nne séparation précédente et contenant seulement les particules solides tcbstantiellement dis- persées, Par une addition continue de la dispersion aqueuse tensioactive du mélange de matière organique dans la matière 
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 de le centr1.f'ttgeuse au troyen du conduit d'alimentation 1 la séparation en la phase spécifiquement plus lourde et en la phase spécifiquement plus légère se produit,

   ce qui con-   duit   à la séparation de couches   Indiquées   par les   nombres   12 
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 et la comme indiqué plus haut, la couche 1.2 passant contittuellement par l'espace annulaire l2a dans la portion au dessus du disque ou organe annulaire à et de là dans l'organe tubulaire 15 pour être déchargée par le conduit 1.9-Comme la couche Intérieure 13 de liquide spécifiquement plus léger eaccil=-t3e) celui-ci est finalement déchargé cont1nnetlement par l'Intérieur de l'organe tubulaire Il et par le conduit 18. 



   La figure 3 montre urne autre variante de cen- 
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 tr1:fugause utilisable dans la mise en oeuvre de l'invention. 



  Le corps de centrifugeuse porte en son extrémité supérieur- re une extension de diamètre plus petit 24 pourvue de l'ou-   verture   de décharge 25. Le corps de centrifugeuse de grand 
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 d1amàtre 1Jl est pourvu en son extrémité supérieure de 1.' OD- 

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 verture de décharge 2. Le fanctionnesent de cette centri- fugeuse est substantiellement le même que celui décrit dans la figure 2, la dispersion de matière organique étant 
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 alimentée à. 1.' intérieur de la centrifuge,-,se au moyen du conduit dl a1.:Imentat1on go, étant séparée ici en les couches spécifiquement plus lourde et plus légère t 23, qui sont alors déchargées séparément respectivement au =yen des otzvert.ures de décharge ,go et 25.

   Lorsqu'on utilise cette construction, on doit veiller contrairement aux constructions Illustrées dans les figures 1 ët 2 à ce que la quantité de dispersion qui passe dans la centrifugeuse au moyen du conduit d'alimentation 20 soit suffisamment grande pour assurer une distance   appréciable   de l'interface entra les couches 21 et 22 par rapport aux ouvertures respectives 
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 3# et 25. Il est également possible et dans de n=breux cas avantageux, part.1cu1.1.èrement pour une hante efficacité, d'ut11.1ser des jeux conventionnels de plaques on disques dans la centrifugeuse. 



   Dans certains cas   il.   convient de permettre à la dispersion de s'écouler dans la centrifugeuse de manière à 
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 éviter autant que possible une farte accélération et/otx une forte turbulence. Dans la   plupart   des situations ceci n'est   toutefois   pas nécessaire. 



   Pour le cas où la densité des constituants organiques   substantiellement   solides de la dispersion séparée 
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 conf'ormê'mmt à 1.1nvent1on se situe entre la densité de la solntiou aqueuse des substances tensioactives et la densité des constituants organiques   substantiellement   liquides, on devrait s'attendre à ce que, lorsqu'on centrifuge la dispersion, les constituants organiques substantiellement solides passent en partie dans la solution, aqueuse et en partie dans les con-   stituants   organiques substantiellement liquides.

   Dans cette 

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 éventualité on devrait s'attendre à ce que les densités des constituants Individuels du mélange soient la cause   d'une   couche intermédiaire composée d'un mélange de constituants organiques substantiellement solides et liquidas.   Une     sépa-   ration par l'action centrifuge d'un mélange organique dans une opération substantiellement continue deviendrait alors
Impossible parce   qn'une   telle couche intermédiaire deviendrait de pins en plus grande en continuant à alimenter de nouvelles quantités de la dispersion originale du mélange de matière organique, ce qui cause éventuellement la décharge   d'un:   mé- lange à travers les sorties individuelles au lieu des consti- tuants organiques séparés.

   Toutefois, chose surprenante, on ne rencontre pas une telle difficulté, si bien   qu'il   est possible contre toute attente de soumettre continuellement une dispersion d'un mélange de matières organiques à l'action centrifuge et d'obtenir continuellement une   séparation   centrifuge substantiellement totale de toute la dispersion en les constituants organiques individuels substantiellement solides et substantiellement liquides. De faibles quantités de solvants à point   d'ébullition   relativement bas qui peuvent être contenues dans les constituants organiques liquides après séparation peuvent être normalement éliminés aisément   par   chauffage.

   Les constituants organiques substantiellement solides peuvent être récupérés de leur solution ou dispersion aqueuse par tout moyen: approprié comme par exemple par filtration au chauffage de la suspension à des températures su-   périeures   au point de fusion des constituants   substantielle-   ment solides. La solution aqueuse des matières   tensioacti-   ves peut être réutilisée pour la préparation de nouvelles quantités de dispersions de mélanges de matières organiques à séparer conformément à l' invention. 



   Les propriétés des constituants organiques ré-   sultants   substantiellement liquides ou substantiellement soli- 

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 des, et spécialement le point de solidificatial ou de tiarbidité du liquide et le point de fusion des constituants solides, sont fonction de la ter.rpérat:1re à laquelle le travail et la séparation du mélange se font.

   Après séparation: coi*pète des constituants du mélange Il est en outre possible de répéter les staoes du procédé de séparation suivant l'in- vention, les constituants solides   séparês   étant travaillés à une température pins élevés et les constituants liquides séparés à   urne   température plus   basse.   De cette manière   on   
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 obtient un fractionnement éteridn des pomtc da fusion et de solidification des produits, et il est possible de recycler les fractions intermédiaires à la matière de départ. 



   Les exemples   solvants   sont donnés pour   illus-   trer davantage l'  invention   et non pour la limiter. Dans 
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 certaine dat exemples, il Indice d' ioda est donné pour 1' iden-   tification   au lieu du point de solidification. On a adopta cette mesure parce que   d'une   part le point de solidification est fonction du degré de saturation et que, d'autre part, 
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 l'indice d' iode indique les différents effets de séparation de manière plus sensible que ne le font les points de solid1f'icat1on. 



  MM-UME 1 , 'On acide gras 'e suif (.indice 3'acide 205, ifdice de saponification 206, indice d* iode 59) est pressé à 22% à travers non broyeur iL chocs par disques à l'aide d'ur  vis sans fin d'alimentation, puis on le presse à. tra- vers un tamis de cria. L'acide est alors agité intensément 
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 à la nààe température avec une moitié en poids d'une solution aqueuse contenant O ,5 % en poids de sel de sod1n# d'en sulfate d'alcoal gras avec une tondeur de cnaine carbanee en -C Z4 exr poids de chlorure de sodium et 0 su en poids de rfaaS04,.

   La dispersion résultante d8 particules diacides 

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 gras substantiellement solides et liquides dans la solution aqueuse est ensuite séparée par centrifugation dans une cen- 
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 trifngeuse à opération coatinne du type 1mpêrf'oré pourvue de conduits de soutirage pour deux constituants spécifiquement différents, et ayant un diamètre d'environ 30 cm. La centrifugeuse fonctionna à on n#bre de taurs par minute d' en.viron 3000. La séparation centrifuge produit de l'acide oléique 
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 (Indice d' ioda 8d d'one part, et une suspens10n d'acide stéarique en sJ1utàom aqueuse d'antre part. Par chauffage à 80 C, la suspension d"ac1de stéarique donne one couche de sos.. et d'acide stéar1qne liquide (indice ('1'ioda 1O,) ine 1'on Soutîre. 



  un ntélange substat1eJ.J.ement liquide composé de 80   %   en poids d'acide gras de suif (point de solidification 
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 29,8OC) et de 2Kl % en. poids de matière oJ.é1qne obteni comme décrit à eexemple 1, est soumis à un refroidissement substantiellement cont:flm de 40*C à 10 C, obtenant ainsi une pulpe ou graisse relativement à. peine liquide.

   A cet effet on utilise un tube à refroidissement extérieur dans 1que1. des radoirff tournants détachent continuellement les constituants acides gm-e se solidifiant de la surface interne dn tube de refroidissement. en obtient une bonne dispersion quaed oefigite cette graisse avec la même quantité en poids d'une solution aqueuse à + 1o C qui contient 0,5 % en poids de se1 de BOd1tm d3'un s\l1:t'ate d'alcool gras avec une longueur de chaine carbonée en Cj-Cu   3 % en pcids de r,3.torura de socH:t!# et 0,5 % en poids de par ess2tr3itgëage de cette dispersion à la ma#a température dans une centrifugeuse du type t:nper:

  ror4, pourvue de conduits de sout1rage, came on en donne notamment on exemple dans la représentation schématique de la figure i, on obtient un. acide oléique avec un indice 6.' iode de 83,2 et 

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 un point de solidification de 8,2 C (l'acide oléique utilisé dans les exemples désigne un produit consistant de manière prépondérante en de   1-'acide   oléique, mais qui contient, suivant la cas, d'autres acides gras insaturés). La   centrifu-   gation conduit en outre à une suspension aqueuse d'acide stéarique qui, après sa séparation, est chauffée à environ 52 C et ensuite refroidie tout en agitant à 46 - 47 C en l'espace d'environ une heure.

   Cette dispersion est de nouveau soumise à la même température à une   centrifugation   dans une centrifugeuse du type imperforé à conduits de soutirage, obtenant ainsi un acide gras ayant un indice d'iode de 27,1 d'une part,, et une suspension aqueuse d'acide stéarique, d'autre part, à partir de laquelle par   (chauffage   à 80 C il se sépare un acide stéarique ayant un indice d'iode de 5,1 et un point de solidification de 53,1 C. 



   La matière acide oléique obtenue dans le procédé de séparation à 10 C est mélangée avec la même quantité   en:   poids de solution aqueuse de laquelle l'acide stéarique a été.   élimina   et le mélange est refroidi tout en agitant à une température de -3 C. Après cela la dispersion aqueuse résultante d'acide gras'est centrifugée dans une   centrifugeu-   se du type décrit plus haut ayant un panier imperforé, la centrifugeuse étant en fonctionnement à la même température que celle à laquelle le mélange a été refroidi. Par ce moyen la matière acide oléique pent être de nouveau séparée en deux constituants ayant respectivement des points de   solidifica-   tion de +20,8 C et de   -5,3*C.   



  EXEMPLE 3. - 
Un acide gras de suif substantiellement liquide (point de solidification 38,2 C) conjointement avec une quantité égale en poids d'une solution aqueuse contenant 0,1   %   en poids du sel sodique d'un sulfate   d'alcool   gras avec une 

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 longueur de chaîne de Cg-CU" o,3 % en poins de chlorure de sodium: et O,1 % en poids de sulfate de codiom, est refroidi tout en agitant d'une température de   40 C j  jusque 20 C.

   La dispersion résultante est soumise à une centrifugation dans 
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 une centrifugeuse du type laperforé- dont on a dnné un exemple plus haut, le panier de la centrifugeuse consistant en un 
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 cylindre allongé (diaétre z5 cm,. nombre de tours par minute 1000) : le centrifugeage conduit à un constituant rscbstantie2lement liquide comprenant. essentiellenient me matière aci- de oléique (indice d'iode   79);   les particules substantiellement solides en suspension dans la solution aqueuse sont séparées de la phase aqueuse par chauffage à environ 80 C (point de solidification 50,1 C). 
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  :E:XEMPt& 4.- 
Un acide gras d'huile de baleine substantiellement durci (indice d'acide 198), indice de saponification 203 indice d'ioda   42,   point de solidification 39,0 C) est broyé. entre des couteaux se déplaçant rapidement à une température 
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 d'environ 0 C jusqu'à ce que l'on obtisnna une consistance auhatantîe1lem-arLt pulpeuse ou graisseuse, le produit résul- tant étant ensuite agité vigoureusement avec la même quantité en poids de solution aqueuse ayant substantiellement la même   composition:   que celle indiquée à l'exemple 2.

   La dispersion résultante est ensuite soumise à une centrifugation dans le 
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 même type de centrifugeuse 1mperlorée renseignée précédet, celle-ci étant toutefois pourvue dans ce cas   d'un   jeu de dis- 
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 ques conventionnels (diamètre de centrifugeuse 11 cur., nombre de tours par minute IO.000). L'acide gras snbsta::rt1e11.ElnSnt. solide récupéré de la solution aqueuse après sa séparation centrifuge possède un indice   d'iode   de 16,2 et un point de 
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 so:l1d1f'lcat,ion de 4S,3 C. 

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  EXSrw#J:rE 5.Un acide gras d'huile de sperxacéti partiellenrent durci (indice d'acide z indice de saponification 211, indice d'iode 6t! point de so1dification. 45,;OC) est traité à +10 C avec une solution aqueuse ayant la composition décrite à   l'exemple     2,   le traitement étant effectué comme indiqué à l'exemple 2, après quoi la dispersion, résultante est séparée Par   centrifugation   à   l'aide   d'une centrifugeuse du type 
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 lmperford comme par exemple spécifié L l'exemple 1 et pour- vue de conduits de soutirage.

   Les constituants substantiellement liquides séparés possèdent un indice d'iode de 71 et 
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 on point de solidification de 14>50CI tandis que les const-f..- tuants substantiellement solides ont un Indice d'iode de 28 et un point de solidification de   44,2 C.   



  EXEMPLE 6. - 
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 th acide gras préparé synthétiquerce:t, obtenu par   oxydation,   conformément à   Fischer-Tropsch   -Catsch (Indice 
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 d'acide 2t?, indice de saponification. 226, indice d'iode 2l., point de solidification 39,6 C) est chauffé à environ. 50 C. 



  Après addition   d'environ:   5 % en poids de méthanol, le   mélange   d'acides gras chauffé est refroidi tout en agitant :Lentement   à une   température de +20 C, conjointement avec 5 fois la quantité en poids de l'acide gras d'une solution aqueuse contenant 
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 1 ive en poids de sel de soniss d'un a1.coy1.benz Ème-stJ1.f'ona te technique contenant 30 % de sel. La dispersion ainsi obtenue est ensuite soumise à une centrifugation dans une   centrifu-   geuse du type à plateau ou à disques du type à panier imper- 
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 foré (diamètre Il cm, nombre de tours par minute 1o,00p) après quoi on obtient un acide gras substantiellement liquide, d'une part, et une suspension d'acide gras substantiellement 
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 solide dans la solution aqueuse, d'antrepart.

   Après séparation du méthanol. résiduel l'acide gras substantiellement liquide 

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 possède les caractéristiques suivantes : indice d'acide 
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 2ei, indice de saponification -,38, indice d'iode 35 , point de solidification 26,3 OC. Les acides gras substantiellement â4ic- aoïït séparés de la salutlzn aqueuse par fJltraction et possèdent les caractéristiqnes suivantes : indice d'acide 198, indice de saponification   199,   indice 
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 d'iode 10,8, point de solidification 52 2 C. 



  EXEMPLE 7.-   d'huile  
Un acide gras/de   poisson   (Indice d'acide 196, 
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 indice de saponification:l96, indice d7 Iode 216 point de solidification 27,9  C) est chauffé à une température de 30 C puis il est refroidi à une tsnp4ratare de +6 C tout en agitant Coajo1ntOOlSIlt avec la quantité double en poids   d'mre   solution aqueuse contenant 5 % en poids   d'au   polygly- 
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 coléther tens1oactit' et 10 % en poids de sulfate de magné- sium.

   La dispersion obtenue de cette manière fournit après 
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 séparation dans une centrifugeuse du type 1m:per:foré (comme décrit à l'exemple 3) un acide gras substantiellement   liqui-   de   (indice   d'acide 191, indice de saponification 195, indice 
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 d'iode M3, point de solidification -0290C) et nue siispeusion d'acides gras snhstantieUe41e:::t solides dans la solution étant aqueuse, les acides gras/séparés de celle-ci par chauffage, 
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 (caractéristiques de l'acide gras snbstaat1en solide obtenu :s indice d'acide 201, indice de saponification 205, indice d'Iode   69,   point de   solidification   40,8 C). 



  EXEMPLE 8. -
Un acide gras d'huile de coton (Indice d'iode 
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 87t point de solidification +334 C) est reaidî en l'aspace de 10 heures tout en agitant à'partir d'une température Initiale d'environ 40 C jusqu'à. une température de +3 C coljointement avec nue quantité égale en poids d'une solution aqueuse contenant 0,,S % en poids de se1 de m:a'?lé.s1tm: d" un 

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 sulfate d'alcool gras à   longueur   de chaîne en C9-C11 et 5 % en poids de MgSO4.

   La dispersion résultante de constituants acides gras substantiellement solides et substantiellement 
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 liquides .:passe ensuite. dans en émuisificateur conventionnel, la tespératore en 1.'occurence s'élevant à environ + 7 C, tem- pérature à laquelle la dispersion est soumise à une centrifu- 
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 g7st,pa,:as une centrifugeuse du type imperforé pourvue de c#du1ts de soutirage comme indiqué à l'exemple 1. Les consti- tuants substantiellement liquides séparés possèdent un Indice d'iode de   117   et   un:   point de solidification de -0,9 C.

   Les acides gras substantiellement solides en suspension dans la solution. aqueuse sont chauffés conjointement avec la   solution   aqueuse jusqu'à   taie   température   d'environ-   52 C, le mélange étant ensuite refroidi en   l'espace   d'environ 2 heures tout en agitant à environ 48 C, après quoi la dispersion résultante 
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 est soumise à une centrifugation à la dernière température mentionnée dans une centrifugeuse du type imperforé dotée de conduits de soutirage.

   En plus des constituants de cette der-   nière   dispersion qui étaient substantiellement liquides à la 
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 dernière température ment1orné.e (point de solidification 47,1 OC) on obtient une suspension d'acides gras substantlellenîent solides dans la solution aqueuse, dont on sépare Par chauffage à environ 80 C un acide gras ayant un indice d'iode de 28 et un point de solidification de   5l,6 C.   
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  EXE:KPLE 9.- Un acide gras d'halle de colza (point de solidefication 18,6oc) est dispersé de la nreme manière et en utile- sont la même solution aqueuse de matières tensioactives qu'indiqué à   l'exemple   8. La température après refroidissement dans ce cas est toutefois de 0 C, avec une élévation de   tempé-   
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 rature après passage dans 17 émul.s:if'icateur à -r4 C.

   La centrifugation de la dispersion est effectuée dans une centrif'tlget1S e 

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 du type à panier imperforé, pourvue de conduits de soutirage à la dernière température mentionnée, ce qui donne un constituant substantiellement liquide ayant un point de solidifica- tion de -1,5 C, et une dispersion: aqueuse d'acides gras   substan-   tiellement solides que l'on sépare du milieu aqueux par chauffage à environ 80 C sous la forme d'une couche liquide. Les acides gras solides qui constituent cette couche possèdent un point de solidification: de 32 C. 



    @   
Dans un acide gras de suif ayant un point de solidification de   39,8 C   et un Indice d'iode de 52,3, on disperse sous forte agitation:   1 %   en poids d'un agent mouillant technique consistant en une solution à 28 % du sel de sodium   d'un:   sulfate d'alcool gras avec une longueur de chaîne en C10 On refroidit ce mélange continuellement jusqu'à environ 18 C dans un tube de refroidissement pourvu de racloirs, jusqu'à ce que   l'on   obtienne une sasse de consistance   pulpeuse.   On agite ensuite la masse avec des part:

  .es égales en poids d'une solution aqueuse à 3 % de sulfate de   magnésium.   Le résultat en est une dispersion dans laquelle sont .présentes des particules tamisées d'acide gras liquide et solide, séparées les unes des autres. 



   La dispersion est ensuite séparée dans une cen-   trifugeuse   imperforée à deux chambres fonctionnant en   continu,   pourvue   d'un   disque de séparation. La phase plus légère qui est séparée consiste en acides gras liquides et la phase plus lourds de la solution: aqueuse contient en suspension dans celle-ci des particules d'acide gras solide. L'acide gras li-   quide   a   un:   indice d'iode de 84,6 et les acides gras solides obtenus après fusion ont un indice   d'iode   de 17,3.

   Le rapport acide gras liquide : acide gras solide est de 52 : 

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48.EXEMPLE 11.-
Un kg de   saindoux,   :indice d'iode 50, point de solidification 32,2 C, est brassé pendant quelques   utes   
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 à 20 C avec la n#me quantité d'âne solution d'agent mouillant contenant 0,5 p du saI de sodium deun sulfata d'alcool aliphatique à longueur de chaîne en CJ:.a-C14, bzz en poids dellta,>SO4 jusqu'à formation d'une dîapersion:, On fait passer cette dispersion à travers un tamis de   cr@   en   vne   de rete- 
 EMI28.2 
 nier les portims non dispersée.- de graisse qui sont éventuellement toujours présentes, puis on la centrifuge dans des tubes.

   Après le centrifngeage Il se sépare 4:#,2 kg de graisse liquide (Indice d'iode 6?: point de solidification +4,?OC) sous foraM de rauche légère. La couche inférieure lourde contient la so1.ut1on. d'age^t moun.1ant. dans laquelle se trouvent en suspension les acides gras, principalement dans la partie supérieure de cette couche. Par chauffage de la solution a- 
 EMI28.3 
 queuse 11.. se sépare 0,56 kg de graisses solides que 1.' on retire (indice d'iode 37, point de solidificathm 37 ,3 C). EXEMPLE 12. - 
 EMI28.4 
 On presse 20 kg du saindoux renseigné à l' axedp.. le il et, en même tempR, on agite v1gonrensecrent. 3. 2S C et le fait passer à travera un tamis dans 50 kg d'one solétim d'agent mouillaNt contenant 3 % d*une pâte tec1Jrlqt1s dsa2coylbenzene-su1.::tonate contenant 30 % de sel et 2 % de 2aC..

   La dispersion bomog e qui se forme,, orsql1) sUe est séparée dans ume centrifugeuse à écumage opérant en contmu, donne environ 10 kg d'une graisse liquida (indice d'iode 63), d'nne part et une   suspension   aqueuse de graisses solides (indice d'iode 34),d'autre part. Les substances solides fondues (environ   @   kg) qui se   déposent   par chauffage de la suspension aqueuse sont lavées plusieurs fois avec de   l'eau   à 500C en vue   d'éliminer   toutes traces retenues d'agent   souillant   ainsi que les substances liquides.

   Il reste dans la centrifugeuse   envi-   ron a kg de graisse sous forme de   dispersion,   

 <Desc/Clms Page number 29> 

 La centrifugeuse fonctionne de manière à ce 
 EMI29.1 
 qa' iI ne se produise ni un; farte accélération ni une turbulence de la dispersion de l'ester :Introduit. On realise ceci en lo-trûdaisant la dispersion dans le centre d'un corps creux de fortage conique tournant dans la centrifugeuse., s s la sur- face interne duquel la dispersion est conduite du centre de 
 EMI29.2 
 la centrifugeuse vers sa périphérie et est ainsi accélérée de manière continue à la vitesse périphérique.

   EXEMPLE 13. - 
 EMI29.3 
 08 kg du saindoox mentionné à l* exemple 11 et 0,2 kg des substances liquides   obtenues   à l'exemple la sont :fondus ensemble., refroidis à 20 C en l'espace de plusieurs heures, le mélange acquérant la   consistance   d'une pâte épaisse, on agite le tout pendant une   courte   période avec une 
 EMI29.4 
 quantité égale dune! solution d'agent oioolllant contenant Os,4 % de sel de magnésium. d'un sulfate d'alcool aliphatique à longneor de chaîne en %-%ainsi que 6 % de ligSO41, et on .1ntrodu1t dans des tl1beS' #ntrff'ugeurs.

   La séparation de la dispersion à. peine liquide dans une centrifugeuse opérant de manière   discontinue     donne   0,57 kg de substance   liquide   à indice d'iode de 62, et 0,42 kg de substancessolides avec on: indice d'iode de 41. 



  EXEMPLE 14. - 
 EMI29.5 
 10 kg de halle de spermacéti sans spermacéti (:indice d'Ioda ?De point de :fusion 3-?Or-) qui a été solidifiée après plusieurs heures d*agitatim à 0*'C en me pâte épaisse, encore coulante, et la issoie quantité d'une solution d'agent mou11.1an:t. consistant en 1CO g d'an sel de sodium techniqne à 50 % d'un. sulfate d'alcool aliphatique à lons,,-,:r da chaàns en -C:t.4t 500 g de 16g04 2000 g d'éthjlène glycol et 7400 g d-*eau sont agités pendant 1 minute à 0 C;

   la dispersion il paine liquida produite est ensuite centrifugée dans 

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   une   centrifugeuse à parois pleines opérant en contins, à la même température Il se produit une séparation en portions liquides (4,5 kg, indice d'iode 80, point de fusion   -3 C)   et en   une   suspension aqueuse contenant les portions solides de   l'huile   de spermacéti (environ   4,3   kg, indice   d'@ode   59, point de fusion 27 C). Une partie de la suspension aqueuse 
 EMI30.1 
 ast chauffée à 1OOr- tout en agitant en 1'espace d'une heure, puis de nouveau centrifugée. Les portions liquides qui se séparent maintenant ont un indice d'iode de 70 et un point de   feston   de 8,5 C.

   Lea portions solides qui restent encore dans la phase aqueuse et qui peuvent être séparées par chauf-   :Cage,   ont un indice d'iode de 35 et un point de fusion de 36 C. 
 EMI30.2 
 On introduit la dispersion dans la cen.tr1fugeu- se par un   tubulure   placée de manière à ce que la dispersion   émerge   dans le voisinage de la paroi centrifugeuse dans une direction approximativement, tangentielle par rapport à celleci et dans la direction de rotation de la centrifugeuse avec une vitesse approximativement égale à la vitesse périphérique 
 EMI30.3 
 de la centrifugerase. De cette manière on évite une accélération et une tnrbulence fortes.. 



  EXEMPLE 15. -   Un   mélange de 1 kg de l'huile de spermacéti 
 EMI30.4 
 mentionnés à 1'exeI:1p:le 14 et on 1/2 kg d'une solution d'agent mouillant qui contient 1 % de sel sodique d'us. sulfate d'alcool allphatiqse à longueur de chaîne en Sa4' ainsi que osez de N'aOD4et 5 % de N1C1.aast refroidi tout en agitant lentement pendant plusieurs heures de 20 C à +2 C. La dispersion obtenue est ensuite séparée dans une centrifugeuse tubulaire à 0 C en deux constituants.

   Un des constituants consis- te en l3S portions de   l'huile   de spermacéti liquides à 0 C (0,63   kg,   indice d'iode 77), tandis que   l'autre   contient, en suspension dans la solution d'agent mouillant, les portions 

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 de l'huile de spermacéti solides à 0 C, qu'il est possible de séparer par chauffage   (0,33   kg, indice de iode 57). 



  EXEMPLE 16. - 
De l'huile d'olive (indice d'iode 82, point de fusion +7 C) qui a été solidifiée par repos de plusieurs jours à 0 C, est broyée à 0 C par découpage rapide suivi d'un pressage à travers un tamis de crin pour obtenir une consis- tance pâteuse, On agite 500 g de celle-ci avec la   même   quan- tité   de une     solution   d'agent mouillant contenant 1,0% d'un sel sodique technique à 50 % d'un sulfate d'alcool   aliphati-   que à longueur de   chaîne   en C12-C14 à 0 C; on obtient ainsi une dispersion: coulante que   l'on   sépare par centrifugation dans une centrifugeuse tabulaire.

   Les portions liquides qui se séparent à l'état de couche supérieure (environ 260 g) ont un indice d'iode de 89 et un point de fusion de -14 C, tandis que les portions solides en suspension dans la solution d'a- gent   mouillant   (environ 320 g),   qui   peuvent être séparées par chauffage, ont un indice d'iode de 74 et un point de fusion de +10 C. 



  EXEMPLE 17. -   L'huile   d'olive mentionnée à l'exemple 16 est refroidie en   12   heures de +20 C à -5 C en mélange avec deux fois sa quantité d'une solution d'agent   mouillant     contenant   2 % d'un sel sodique technique à 50 %   d'un     surfais   d'alcool . aliphatique à longueur- de chaîne en C12-C14, 27, de MgSO4, 82 % d'eau et 14   %   de glycérine, puis elle est centrifugée dans une centrifugeuse   tubulaire.   En l'occurence la tempé- rature est portée à +5 C.

   Les portions liquides qui se sé- parent sous forme   d'une   couche supérieure ont un indice d'io- 'de de 87 et un point de fusion de -4 C, tandis que les por- tions solides en suspension dans la solution d'agent mouil-   lant   ont un indice d'iode de 79 et un point de fusion de +9 C. 

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 EMI32.1 
 EXE1#'LE 18.- On agite 500 g da saindoux (indice   d'iode   47) 
 EMI32.2 
 pendant une demie heure à 23 C avec :La nàme quantité à' me solutiort aqueuse contenant 5 % d'un. émulsifiant n:tOitroglyc.6ridé tec1mique (eovirocE 14 % de savon, 4% d'acide gras libre., 6 p d'saD, le restant- étant des glycérides d'acides gras consistant pour les 2/3 en:

   monogLycérides et pour 1/3 en dig1.ycéri-   des).   La dispersion formée est ensuite traitée conformément 
 EMI32.3 
 à l* exemple 11, ce qui donne 165 g de substances liquidas (indice d'iode 61) et 330 g de substances   solides   (indice d' iode 43). 



  EXEMPLE   19.-   
 EMI32.4 
 500 g d' u2x produit d''est4rlfication d'acide noXYacat.iqu.9 et d'alcool d'hnile de spermacéti, produit qui peut être utilisé tta:m# assouplissant (.indice d-lode 44, point de solidificatio2z llt6OC) sont refroidis en une 1/2 heure tout en agitant à +2 Cavec la même quantité   d'une   solstion aqueuse contenant 0,75 % de chlorure de   dodécyl-benzyl-   
 EMI32.5 
 diétby1.-szmon 0,75 % d'alginate de sodiuus technique et   10 % de   MgSO4, la   dispersion,   obtenue étant ensuite   eentrifn-   gée dans des tubes.

   La séparation donne comme couche supérieurs 245 g d'esters liquides (indice d'iode 54, point de solidification +1,3 C) et, après chauffage de la couche aqueu- 
 EMI32.6 
 se qui contient- Iss'esters solides à 2'état de suspension, on   obtient   250 g d'esters solides à indice d'iode de 34 et à point de solidification de 18,1 C. 
 EMI32.7 
 EXEMPLE 3&..'. 



   On mélange intimement à une température de 20 C deux kg d'huile de noix de coco, ayant un   Indice   d'iode de 9,3, 
 EMI32.8 
 ..ai un point de fusion de P-5-C et un point de solidification de at.,1.OC, avec deux kg d'une solution aqueuse contenant â p en poids   d'en   sulfate sadique à 50 % technique d'alcool gras 

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 EMI33.1 
 ayant cne Longueur de chaîne entre C12 et 4' qui contient "1 en outre 5 % de KgSC. On effectue le mélange en agitant lan-   tentent.   On tamise deux fois le mélange à travers un tartis, ce qui donne une dispersion à peine liquide que   l'on   centri- 
 EMI33.2 
 fuge. Suite an centrifngoffl il se tonne nrae phase grasse liquide pics légère et une phase plus lourde consistant en la phase aqueuse contenant les constituants solides.

   Les deux 
 EMI33.3 
 constituante sont ohterms sons nne forme pure par chauffage et lavage. Les constituants liquidas ont un :indice d'Iode de Il .,5 et un poàrrt de solidification de 17 9 C tandis que les constituante solides out un indice d'iode' de 5,3, un point de solidification de 25,7 C, et un point de fusion de 
 EMI33.4 
 29 C. Le rapport const1tcants liquides : solides est de - sont un excellent   70  : 30. Les constituants gras   solides   séparés/substitut du   beurra   de coco. 



    EXEMPLE   21.- 
On traite   denx   kg d'huile de coco durcie, ayant 
 EMI33.5 
 tn Indice d'iode de 0 et un point de solidification de '2:l ,2OC avec Jne solution d'agent mouillant à 3O C de la 1.ère décrite à 1-'exempla 20 et arT centrifuge dans 1T.la centrifnganse dn type de laboratoire. En..v1ron 1,1 kg des constituants gras liquides se séparent, avec un point de solidification de 18 C. 



  Une partie de la dispersion restante des constituants gras solides (point de solidification 31,1 C) dans la solution a-   queuse   d'agent mouillant est chauffée tout en agitait à 30 C, 
 EMI33.6 
 ou l'agite pendant une 2./2 heure et on la centrîfuge de non- veau dans des verres préchauffés dans la centrifugeuse. Une nouvelle séparation a   lien,   avec 15 % de constituants gras li-   quides   qui se séparent (en se référant   aux   constituants gras solides séparés à 20 C). La solidification des constituants 
 EMI33.7 
 liquides dans la séparation à 30 C est à 28,3 C et celle des constituants solides àst à 32 ,9 à. 

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  EXEMPLE 22. -
De   l'huile de   palme non raffinée est continuel-   lement   refroidie dans un refroidisseur à racloirs de 45 à
25 C. Le refroidisseur à racloirs consiste en un tube de 16 litres de capacité refroidi axtérieurement et pourvu de racloirs rotatifs qui se déplacent au voisinage de la paroi. 



  L'huile de palme est pompée à travers ce tube avec un débit de 50 litres par heure et elle quitte le refroidisseur sous forme d'un mélange à peins liquide de constituants gras li-   quides   avec des cristaux de constituants gras solides qui y sont finement dispersés. La graisse partiellement solidifiée est ensuite dispersée dans une solution aqueuse d'agent   mouil-   lant dans six récipients- d'agitation raccordé s entre eux par des trop-Plein en série. Dans le premier récipient d'agitation la graisse est mélangée de manière continue pour former une dispersion avec la moitié de sa quantité en poids (25 litres par heure) d'une solution aqueuse ayant une température de 25 C qui contient 2 % d'un sel sodique technique d'un sulfate d'alcool gras en C10(0,3 % de substances actives) ainsi que 3 % de sulfate de magnésiun.

   Dans les trois récipients d'agitation qui   suivent.la   dispersion formée dans le premier récipient d'agitation est diluée par l'addition   d'une   solu-   tion   à 3 % de sulfate de magnésiun. La quantité ajoutée consiste en 12,5 litres par heure, qui est   distribuée   à peu près également dans les trois récipients d'agitation. La dispersion est ainsi diluée à un rapport de quantité graisse : sointion aqueuse de 1 :0,75. Les deux récipients d'agitation qui suivent servent   à   l'homogénéisation de la dispersion par agitation. La dispersion ainsi formée à une température de 25 C passe dans une centrifugeuse à enveloppe pleine et elle est ici continuellement séparée en une phase aqueuse contenant les constituants gras solides et une phase grasse liquide.

   Le rapport   quantitatif   constituants solides : fluides est d'environ 20 : 80. La matière première et les fractions ont   les   

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 caractéristiques suivantes : 
 EMI35.1 
 ind.acide ird.sagnn. înd.fade P.F.en 
 EMI35.2 
 
<tb> 
<tb>  C
<tb> 
 
 EMI35.3 
 matière première a, 0 199 50,6 3?, conatituant-a solides 1:8 198 3ex? 48,5 
 EMI35.4 
 
<tb> 
<tb> constituants <SEP> liquides <SEP> 2,1 <SEP> 203 <SEP> 53,6 <SEP> 20,0
<tb> 
 
La suspension des constituants gras solides dans la phase aqueuse est ensuite chauffée en   L'espace   d'une heure avec   agitation.   à 39 C. Les constituants gras solides sont partiellement liquéfiés à cette température et séparés dans une centrifugeuse à enveloppe pleine à   7:.'état   de phase plus légère.

   La phase lourde consiste en la solution aqueuse comprenant des particules de graisse solide en suspension dans celle-ci. Par fusion, les constituants solides sont séparés de la solution aqueuse et les fractions sont lavées à l'eau. Le rapport des quantités constituants solides liquides est d'environ 25 : 75. 



  Les matières ont les caractéristiques   suivantes :   
 EMI35.5 
 Ind. acide Ind.aap4m. lnd.lada .... en ¯¯¯¯¯¯¯ ¯¯¯¯¯¯ -- ilc matière première z,8 1s9 39,7 48,5 constituants solides i,6 les 33,5 49,5 constituants liquides 18 197 511,7 - 4l5,5 
 EMI35.6 
 EXEKILE23.- 
En vue d'éliminer de faibles quantités d'un constituant à point de fusion élevé d'une huile de palme, la première portion. de l'exemple 22 est répétée pour une huile de palma ayant un   indicé   d'iode de 47,6 et un point de fusion 
 EMI35.7 
 de 4 C. Dans le refroidisseur à racloirs on. refroidit l'hnile de palme de 4S*C à 3. C. La température de la dispersion dans le premier récipient d'agitation est de 3.

   C et s'élève à une température de 370C en entrant dans la centrifugeuse On obtient les produits suivants : Un constituant gras solide ayant un indice   d'iode   de 22,1 et un point de fusion de 56 C, et un constituant gras liquide 

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 EMI36.1 
 ayant un :Indice d'iode de 49,2 et un point de fusion de 9 .

   Le rapport quantitatif constituants solides : liquides est de 6,4 : 93,6.   EXEMPLE 24.-   
 EMI36.2 
 Un kg d'huile de palme as 3n t en indice d'ioda de z et un point de fusion de 410C est refroidi tant an agitant en l'espace d'une heure de 45 à 35 C, puis il est encore agité pendant une heure à 35 C.   On   agite   ensuite   
 EMI36.3 
 l'halle pendant 15 minutas à la m#me température avec 100 g d'ons solstian aqueusa contenant 3 % de sulfate de zag:::.8i:u ainsi que 5 % d'an sulfate sodique tec1m1qu d'alcool gras 50 % ayant uc longueur de chaîne en <;.-C.lB.

   La aoentrifugation de la dispersion résultante conduit à ooe phase supé-   rieure   contenant les constituants liquides de l'huile de palme qui, après lavage à   l'eau,   ont un indice   d'iode   de 50 et 
 EMI36.4 
 un point de fusion de 34,5"C) et à une phase aqueuse Inférieure dans laquelle sont dispersés les constituants haaenx solides. Après fusion et séparation d'avec l'eau, les consti- 
 EMI36.5 
 tuants- solides ont un indice d'iode de 305 et ai point de fusion de 53 C. Le rapport   constituants   liquides - solides est de- 88: 12. 



  EXEMPLE 25.-
De la graisse de noix de coco brute, ayant uns 
 EMI36.6 
 température de 3a C est refroidie à 2l*'C das l'appareilla- ge décrit à l'exemple 22 avec   un.   débit horaire de 30   kg.   Le mélange gras refroidi est agité: avec la moitié de sa quantité 
 EMI36.7 
 en poids d3'une solatfora aqueuse qui contient O6 $ en poids d'an sulfate sodique d'alcool gras en Cio et 4 % en poids de MgSO4 dans le premier des six récipients d'agitation disposés en série. La   dispersion     résultante   passe des récipients d"agi- 
 EMI36.8 
 tation dans une ctr1f'::tge::tse du type In.perfaré et elle se sépare corrtfnne1.1.e;;:t2nt en et en la dispersion da graisse 

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 EMI37.1 
 solide dans la phase aqueuse à une température de 2& c.

   La séparée 
 EMI37.2 
 phase aqueuse!est ensuite chauffée à fiO C, de manière à ce que les constitaanta gras solides soient complètement liquéfiés et ils sont séparés de la phase aqueuse dans me centrefugsase à disques. Le rapport quemtitatit des constituants à haut et bas point de fusion obtenus est de 28 : 72. La so1.ut1on: aqueuse à'agent mouillant est atilieée après 1"add1t1on dsna dixième de pourcentage en poids d'agent mouillant pour uae séparation future .

   Les produits séparés ont mus caractéristiques suivantes: 
 EMI37.3 
 .aa1de f d.8a àn<,iode P. en ¯¯¯¯¯¯ ¯¯¯¯¯¯ -C 
 EMI37.4 
 
<tb> 
<tb> graisse <SEP> de <SEP> noix <SEP> 
<tb> 
 
 EMI37.5 
 de coco de départ il=9 260 95 23 const1t.aOL1des 5,3 256 2,9 a9 constat. l.1qn1des l't,3 2ëL 1à,  19 
 EMI37.6 
 KWZK 86.- De la graisse &huile da palmiste brute est eontincellemsnt séparée confcimémect à ilexauple as. La tenpérature de sortie du reiro laisse or à racloirs et'la température do'entrée de la dispersion dare ia centrifugeuse est de 35*C. Toutes les autres conditions daneurent les z%es que-" 1' enzùà+ 25. Le rapport quamtitatif constituants solides liquides est de 30 : z.

   Le produit avant et après séparation: mac-tre les caracteristiqaessaivaii-tes 
 EMI37.7 
 :!ad.ac1de Insapoin md.1ode P.F. en bd,aeide mEsapom ànd,iode OC graisse dehline de palmiste 10,& am 1425 26 eonstitoants solides 7fl 246 6,0 30 colistit. 1.1qu1c1es l2z3 252 18,2 ai 
 EMI37.8 
 Les constituants solides obtenus conformément aux exemples 25 et 26 sont lavés avec de .a1.Ca1..i pour ene- ver   toute.   acide libre et, de ce fait, les points de fusion sont 
 EMI37.9 
 portés à 30 et 3( C respectivement. Les produits ainsi pnri- 

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 fiés ont un intervalle de fusion de 1 C seulement et leurs courbes de dilatation, à la fusion montrent des maxima pro-   noncés   à 29-30 C et à 33-34 C respectivement.

   Les   caract-   ristiques par conséquent approchent de très près le beurre de noix de coco, et ils constituent par conséquent un substitut excellent de   celui-ci.   



    EXEMPLE 27.-  
De la graisse d'huile de palmiste brute complè-   tement     fondas   ayant un Indice d'acide de 18, un indice de saponification de 244 et un indice d'iode de 15,2, est re-   froidie   dans un refroidisseur à racloirs comme celui utilisé dans l'exemple 22, de 50 litres de capacité, avec un débit horaire de 55 kg. La première portion du refroidisseur est refroidie avec de l'eau à une température de   tandis   que la seconde moitié est   refroidie   avec de l'ean à une température de 25 C. La température de sortie de la graisse d'huile de palmiste est de 24,8 C.

   Le   mélange   gras refroidi est ensuite   travaillé   avec 25 kg par heure d'une solution aqueuse à 25 C qui contient 0,3   %   en poids de NaOH et 4 % en poids de Na4SO4dans le premier des six récipients d'agitation raccordés en série. L'acide gras libre présent dans la graisse de palmiste brute forme un savon, alcalin qui agit en tant qu'agent tensioactif et disperse la graisse dans la solution. aqueuse.

   Dans le deuxième des cinq récipients d'agitation le mélange est dilué par stades avec 5,5 kg par heure dans chaque stade d'une solution à 3 % da Na2SO4- Après passage par le sixème récipient d'agitation, la dispersion: formée   qui   a une température de 25 C passe par une centrifugeuse   imperfo-   rée dans laquelle se produit   une   séparation des constituants gras liquidas dans la suspension des constituants gras solides dans la phase aqueuse. Après chauffage à une température d'environ 60 C, 12   %,   par rapport à la graisse d'huile de palmiste brute initialement traitée, des constituants solides se séparent.

   Ces constituants solides après un raffinage al- 

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 câlin ont un point de fusion coulant de 33,5 C et un point de fusion limpide de   33,7 C.   



  EXEMPLE 28.-
De l'huile de graine de coton désacidifiée est   refroidie   avec une quantité égale d'une solution aqueuse qui contient 0,7 % en poids d'un   sulfate   sodique d'alcool gras technique à 30 % en poids, ayant   une   longueur de chaîne en C10,et 4 % en poids de sulfate de magnésium. Le mélange est agité et refroidi en une 1/2 heure de 20 à 5 C. La dis-   pers:ion   formée est laissée au repos pendant 20 heures à cette température sans agitation. Pendant ce temps les constituant s à point de fusion supérieur se séparent par   cristallisation   hors de   l'halle   de graine de coton dans la dispersion; ensuite le mélange est séparé après agitation pendant une courte période à une température de 6 C dans uns centrifugeuse imperfrée.

   La solution aqueuse avec ies glycérides solides à point de fusion supérieur en suspension dans celle-ci se séparent sous forme de phase lourde. La phase plus légère d'huile de graine de coton est obtenue avec un rendement   d'en-     v:tron   86 %   qui,,   après   enlèvement   des traces d'humidité,demeure complètement limpide après repos durant 5   le%   heures dans de l'eau glacée, ce qui indique une résistance extrêmement élevée au froid. 



  EXEMPLE 29.-
De l'acide gras d'huile de coton fondu, Indice d'Iode 95, est refroidi avec nrouvenent continu dans une pétrisseuse à +15 C. La pâte d'acide gras ainsi obtenue est agitée pendant 5 minutes avec une quantité Identique   d'une     solution   aqueuse à. la même température contenant   0,5 ;   d'un sulfate sodiqne technique à 50 % d'alcool aliphatique à longueur de chaîna en C12-C14, 5 % de MgSO4, et la dispersion obtenue est chargée dans des tubes centrifugeurs, puis elle 

 <Desc/Clms Page number 40> 

 est centrifugée. Après centrifugation pendant 5 minutes il se   forma   2 couches la couche inférieure consiste en. la phase aqueuse avec les portions d'acides gras solides en. suspension dans celle-ci, tandis que la couche supérieure consiste en acide gras liquide.

   On répète l'exemple avec diverses 
 EMI40.1 
 quantités dsalgiuate ajoutées à la solution aqueuse. La vo- lune de l'acide gras liquide sépare   constitue   une mesure de l'effet de   l'addition   d'alginate. On s'en rend compte par le tableau qui suit 
 EMI40.2 
 concentration d'aLflnate % en poids d'acides 
 EMI40.3 
 
<tb> 
<tb> dans <SEP> la <SEP> solution <SEP> aqueuse <SEP> gras <SEP> liquides <SEP> séparés
<tb> 
 
 EMI40.4 
 de substances tensioac- par rapport an poids 
 EMI40.5 
 
<tb> 
<tb> tives <SEP> en <SEP> % <SEP> en.

   <SEP> poids, <SEP> de <SEP> la <SEP> dispersion <SEP> totale
<tb> 0,0 <SEP> 1
<tb> 0,25 <SEP> 8
<tb> 0,5 <SEP> 12
<tb> 1,0 <SEP> 15
<tb> 
 EXEMPLE 30.- 
 EMI40.6 
 100 g d'an- acida gras de suif, Indice d'iode 55 qui a été broyé à 22C à Me consistance pâteuse dans un découpoir- à grande vitesse, sont agités pendant 10 m-înutes à,la même température avec la   marne   quantité d'une solution aqueuse d'un agent mouillant contenant 0,2 % de sel sodique   d'un   seul- 
 EMI40.7 
 ester sulfurique d'alcool aliphatique technique à 50 dont la longueur de cubaine est en Cig-f±<  z de JIgS04 et 0,5 % d'alginate ce sodium, après quoi la dispersion obtenue est vantroduite dan,,, des tubes centr1t.2geurs et elle est centrifugée. 



  Il se sépara 64 g d'acides gras liquides,, indice d'iode 79, sous forme de couche sopérieore, taudis que la couche aqueuse   Inférieure   contient 33 g d'acides gras solides qui sont séparés par fusion, indice d'iode 8,2. Un. essai   parallèle   exécuté avec la solution d'agent   mouillant   sans   l'addition   d'alginate, conduit à. des acides gras solides ayant un Indice d'iode de 20. 

 <Desc/Clms Page number 41> 

 



    EXEMPLE   31.-
On refroidit 500 g d'un mélange d'acides gras   d'animaux,   indice   d'iode   61, indice d'acide 204, conjointe- 
 EMI41.1 
 ment avec deux fois la quantité d'une solution d'agcnt mon 11lant contenant 0,2 % d7 un sel tachrique sodique à 50 % d'un semi-ester !3tIJ..!"urique d'a.cao1 aliphatique à longueur de chaîne en C12 -C is et 5 % de Kgso4l> en l'espace de 3 heures avec agitation, de 40 à 20 C, après quoi la dispersion produite est séparée dans une centrifugeuse de la manière décrite à l'exemple 30. 



   Les portions solides qui se séparent ont un indice d'iode de 25,8. Dans des essais parallèles pour lesquels   on   ajoute en outre 1 % de différents colloïdes protecteurs à chacune des solutions d'agent mouillant, les partions solides séparées ont les indices d'iode suivants 
 EMI41.2 
 
<tb> 
<tb> colloïde <SEP> protecteur <SEP> Indice <SEP> d' <SEP> iode <SEP> de
<tb> la <SEP> portion <SEP> solide
<tb> sans <SEP> addition <SEP> 25,8
<tb> 
 
 EMI41.3 
 alginate techaJ-qoe le,6 gamme adragante techniqne il po1,ymé tacry1.a te d' 8!IIIIlOII:1tmt zou 8 
 EMI41.4 
 
<tb> 
<tb> glycolate <SEP> de <SEP> cellulose <SEP> sodique <SEP> technique <SEP> 15,3
<tb> 
 
 EMI41.5 
 EXEKPLE 3ulh- 1 kg do mélange d'acides gras décrit à l'exemp- le 30 est refroidi tout en agitant de 40 à 20 C, en formant une pâte diacides gras, qui est toujours fluide;

   on l'agite ensuite avec la même quantité   d'nne   solution d'agent mouil-   lant     contenant     0,2     %   d'air sel sadique technique à 50   %     d'un   semi-ester   sulfurique   d'alcool gras à longueur de chaîne en 
 EMI41.6 
 -C1.4 du 1'fgSOi ainsi que 1 % der- glycolate de cellulose sodique technique. Os sépare la dispersion dans une centr1:fl1- geuse du type tabulaire.

   Les portions liquides d'acide gras se séparent, indice d'iode 85, on les sépare et la solution 

 <Desc/Clms Page number 42> 

 aqueuse inférieure est chauffée de manière à ce que les por- tions solides qui s'y trouvent en suspension, indice   d'iode     18,3,     puissent   être fondues et séparées. Ensuite on dis- sout   0,2 %   du sulfate d'alcool aliphatique sodique précité dans la phase aqueuse restante, qui est exempt d'acide gras, et on utilise la solution d'agent mouillant comme décrit plus haut pour   une   nouvelle séparation d'acide gras frais. 



  Les portions solides obtenues après séparation ont un Indice d'iode de 19,6. Un essai parallèle avec une solution fraîche d'agent mouillant de même concentration., mais sans l'addition de   glycolate   de cellulose, donne des portions solides ayant   un   indice d'iode de 24,2. 



  EXEMPLE 33. -
Le mélange d'acides gras décrit à   l'exemple   30 est fondu et refroidi continuellement à 20 C en formant une masse pâteuse fluide dans un refroidisseur à racloirs. On agite 100 kg de ce mélange dans 60 kg d'une solution d'agent   mouillant   qui contient 1   %   d'un alcoyl-benzène-sulfonate de sodium technique à environ 30 % ayant une longueur de chaîne de 10 à   16   atomes de   carbone, 2 %   de NaCl   et 2 %   de polyméta-   crylate   d'ammonium. Après cela la dispersion produite est encore   diluée   avec 140 kg   d'une   solution à 2% de chlorure de sodium, puis elle est agitée pendant 10 minutes.

   Le mélange à peine liquide ainsi obtenu peut être séparé continuellement dans une centrifugeuse imperforée du type à disques de séparation, 150 kg de dispersion donnant 28 kg d'acides gras li-   quides,   indice d'iode 84, d'une part, et une suspension des acides gras solides dans la phase aqueuse, d'autre part. En chauffant la phase aqueuse, il se sépare 20,5 kg d'acides gras solides sous forme de couche liquide supérieure, que l'on peut retirer-. Indice d'iode des acides gras solides : 14,9. 



   Bien. que l'invention: ait été décrite en détail 

 <Desc/Clms Page number 43> 

 en se rapportant à   certaines   formes de réalisation spécifi- ques,divers changements et modifications apparaîtront à   l'home   de métier qui sant dans l'esprit de l' invention et sont à la portée des revendications ci-jointes. 



   Quand on utilise le procédé de l'invention pour la production de graisses du type beurra de coco, les grais- ses de départ doivent contenir une teneur relativement élevée d'acides gras en C12. La teneur en radicaux d'acides gras en C12 doit an   moins   être de 30 et de préférence de 40 à   55   % en poids par rapport aux radicaux d'acides gras totaux présehts dans les glycérides de départ. Des graisses qui ont une telle composition sont les graisses de semences de pal-   miers.   Par conséquent la graisse de cacao, l'huile de pal-   miste   et l'halle de   babassu     offrent   une Importance spéciale comme matières premières.

   Ces graisses sont traitées de telle manière que les graisses à point de fusion inférieur soient séparées et que la teneur en radicaux d'acide gras en C12 soit enrichie. Le constituant à point de fusion supériéur convient comme substitut du beurre de cacao. Les graisses de départ sont de préférence traitées à l'état brut et les constituants solides sont raffinés. 



   Dans l'hibernation d'huiles comestibles   on   utilise comme matières premières des huiles qui se troublent quand on les refroidit à 0 C pendant plus de 3 heures, de préférence pendant 5 à 20 heures. Conformément à l'invention les constituants à point de fusion supérieur sont éliminés de ces huiles dans une mesure telle que les huiles ne   deviennent   pas troubles quand on les essaie de la manière décrite. Les huiles hibernées   doivent   se canformer à l'essai à froid suivant la méthode officielle Coll-53 de l'American Oil Chemiste Society.

Claims (1)

  1. EMI44.1
    E V E DIe A T l 0 s.- --------------------------- 1.- Procédé de séparation de mélanges organitues choisis dans le groupe consistant en des 1.3.:!-;es d'acides gras et des naïades d'esters carboxyliques des consuiù,jants ayant des points de fusion différents, caractérisé en. ce que l'on forme une dispersion d'un te-1';
    lange dar- une quantité suffisante d'une solution aqueuse d'âne matière tensioactive substantiellement inerte vis-à-vis des EMI44.2 constituants de ce mélange ponr ma1nte:rir cite phase aqueuse continue à unetempérature à laquelle le nE-lange contient à la fois des constituants solides et liquides, en ce que l'on soumet ensuite la dispersion à une action centrifuge dans une zone Imperméable aux liquides, confinée extérieurement,, séparant la dispersion, aqueuse en une phase spécifique- EMI44.3 ment plus 2.ééra de coenstituants substantiellement liquides du mélange et en une phase spécifiquement plus lourde de ni- lieu aqueux avec les constituants substantiellement solides EMI44.4 du mélange en suspension dans ce JXd1.ielI,
    et en ce que l'on enlève , séparément au moins une portion d'au moins une de ces phases.
    2.- Procédé, suivant la revendication 1, carac- EMI44.5 térisé ou ce que la matière tensioactive possède au moins un radical hydrophobe organique et on groupe byc1roBOJ.l1:U1sa.."'1t dans sa molécule.
    3.- Procédé suivant la revendication 2, caractérisé en ce que la matière tensioactive est présente en une quantité d'au moins 0,05 % en poids de sa solution aqueuse) et en ce que la solution aqueuse est présente dans cette dispers ion en une quantité de 0,5 à 5 parties en poids par partie EMI44.6 en poids #.#-#######' ....-r du mélange organique.
    4.- Procédé suivant la revendication 1, caractérisé en ce qua la dispersion contient en outre un solvant <Desc/Clms Page number 45> organique liquide à bas point d'ébullition.
    5.- Procédé suivant la revendication 1, carac- térisé en ce que la cispersion est forcée en mettant en con- tact intima la solution aqueuse d'une matière tensioactive avec ce mélange dans une condition de fusion substantiellement complète, et en ce qu'ensuite on refroidit le mélange intime résultant à la température de séparation, 6.- Procédé solvant la revendication 1, carac- térisé en ce que la dispersion aqueuse contient en. outre un électrolyte.
    7.- Procédé suivant la revendication 1, carac- térisé en ce que la dispersion aqueuse contient en outre un colloïde protecteur..
    8.- Procédé suivant la revendication 7, caractérisé. en ce que :la colloïde protecteur est présent en une quantité allant jusqu'à 7 % en poids.
    9.- Procédé suivant la revendication 1, caractérisé en ce que la solution aqueuse de la matière tensioac- tive contenant les constituants solides séparés, du mélange organique, est séparée de ce dernier et en ce que la sointion aqueuse est réutilisée pour la préparation d'une nouvelle dispersion, 10.- Procédé suivant la revendication 1, caractérisé en ce que au moins une des phases séparées est de nouveau soumise à Inaction centrifuge sous la forme de cette dispersion, à une température qui pour le constituant liquide de ce mélange est inférieure et qui, pour le constituant solide dispersa de ce mélange , est supérieure à la température à laquelle la séparation centrifuge est effectuée dans le traitement de centrifugation précédent.
    Il*- Procédé suivant la revendication 1, caractérisé en ce que la solution aqueuse séparée contenant le constituant dispersé substantiellement solide du mélange orga- <Desc/Clms Page number 46> à nique est soumise/au moins une séparation de phases addition- nelle à une température pour la dispersion st pour la sépa- ration supérieure à la température de la séparation précédente 12.- Procédé suivant la revendication 1, carac- térisé en ce que la dispersion aqueuse contient un agent abaissant le point de congélation du milieu aqueux.
    13.- Procédé suivant la revendication 1, carac- térisé en. ce que le mélange est broyé préalablement à la for- mation de la dispersion.
    14.- Procédé. suivant la revendication 1, carac- térisé en- ce que la mélange contient de l'acide gras libre et en ce que la matière tensioactive est formée in site par l'addition: d'une matière à réaction: alcaline.
    15.- Procédé suivant la revendication 1, carac- térisé en ce que la matière tensioactive est un membre choi- si dans le groupe consistant en des alcoylphénol-polyglycol- éthers, alcoylsulfonates, alcoylsulfates gras et alcoylben- zène-sulfonates.
    16.- Procédé suivant la revendication 1, carac- térisé en ce que la matière tensioactive est initialement ajoutée au mélange organique préalablement à la formation de cette dispersion.
    17.- Procédé de séparation d'acides gras à partir d'un. mélange de ceux-ci, caractérisé en ce que l'on soumet ce mélange, alors qu'il est substantiellement disper- sé dans une solution aqueuse à phase continue de matière ten- sioactive substantiellement inerte vis-à-vis des acides gras, à une action centrifuge confinée extérieurement à une tempé- rature pour la dispersion à laquelle une portion des acides gras est dans une condition substantiellement solide et le restant dans une condition, substantiellement liquide,,en ce que l'on continue cette action centrifuge substantiellement <Desc/Clms Page number 47> à cette température,
    formant ainsi unepremière couche comprenant la solution, aqueuse et, à l'état dispersé dans celleci, les acides gras substantiellement solides, et seconde couche comprenant substantiellement lesacides gras liquides, et en ce que l'on retire séparé=-en, au moins une portion d'au moins une de ces couches.
    18.- Procédé de séparation d'acides gras à partir d'un mélange de ceux-ci, caractérisé en ce que l'on alimente substantiellement de manièrecontinue une dispersion de ce mélange dans une solution aqueuse à phase continue d'une matière tensioactive substantiellementinerte envers les acides gras, à une température pour la dispersion à la- quelle une portion de ces acides gras est dans une condition substantiellement solide et le restant dans une condition substantiellement, liquide, dans une zone centrifuge confinée extérieurement en ,,:
    ne section da celle-ci, en ce que l'on soumet de manière substantiellement continue cette dispersion tout en étant substantiellement à cette température, à Paction centrifuge dans cette zone, formant ainsi:\ci dans celleci une première couche comprenant la solution aqueuse et, en dispersion dans celle-ci, les acides gras substantiellement solides,, et une seconde couche comprenant les acides substan- tiellement liquides, et en ce qu'on enlevé de manière substan- tiellement continue la matière de chacune de ces couches en des sections de couche éloignées- de la section;
    de zone d'ali- mentation de dispersion, 1/alimentation de la dispersion et l'enlèvement de la matière de couche étant ajustés pour que ces couches soient maintenues de manière substantiellement con- tinue dans- cette zona.
    19.- Procédé de séparation de mélanges d'esters carboxyliques, caractérisé en ce que 1' on forme une dispersion de ce mélange dans une quantité suffisante d'une solution <Desc/Clms Page number 48> aqueuse contenant une matière tensioactive pour maintenir une phase aqueuse continue à une température à laquelle le mélange contient des esters solides et liquides,at en ce que 2' on récupère séparément 1-'ester solide et l'ester li- quide.
    20.- Procédé de séparation d'esters carboxyliques à partir d'un mélange de ceux-ci, caractérisé en ce que l'on soumet ce mélange, tandis qu'il est substantiellement dispersé dans une solution- aqueuse à phase continue de matière tensioactive substantiellement inerte envers ces esters carboxyliques, à une action centrifuge confinée extérieurement à une température pour la dispersion à laquelle une portion de ces esters carboxyliques est dans une condition substantiellement solide et le restant dans one condition substantiellement liquide! en ce que l'on continue cette action centrifuge substantiellement à cette température en formant ainsi une première coucha comprenant la solution aqueuse et en dispersion dans celle-ci les esters carboxyliques substantiellement solides,
    et une seconda couche comprenant les esters carboxyliques substantiellement liquides, et en ce que l'on retire séparément une portion d'au moins une de ces couches.
    21.- Procédé de séparation d'esters carboxyli- ques à partir d'un mélange de ceux-ci caractérisé en ce que 1-'on alimente de manière. substantiellement continue une dispersion de ce mélange dans une solution aqueuse à phase continue d'une matière tensioactive, substantiellement inerte envers ces esters carboxyliques, à une température pour la dispersion à laquelle une portion au-8 esters carboxyliques est dans une condition substantiellement solide et le restant dans une condition substantiellement :
    Liquide, dans une zone centrifuge confinée extérieurement en une section de celle-ci, <Desc/Clms Page number 49> en ce que l'on soumet de manière substantiellement continue cette dispersion,, alors qu'elle est substantiellement à cette température, à l'action centrifuge dans cette zone,, formant ainsi dans cella-ci une première couche comprenant la sols- tion aqueuse et en dispersion dans celle-ci les esters carboxyliques substantiellement solides, et une seconde couche comprenant les esters carboxyliques substantiellement liquides, et en ce que l'on retire de manière substantiellement continue de la matière de chacune de ces couches en des sections de couche éloignées de la section de la zone d'alimen- tation de dispersion,
    cette alimentation de dispersion et l'enlèvement de la matière de couche étant réglée de manière à ce que ces couches soient maintenues de manière substan- tiellement continue dans cette zone.
    22,- Procédé de préparation de substituts de beurre. de cacao, caractérisé en ce que t'on forme une dispersion d'une graisse ayant une teneur relativement élevée en quantité. suffisante de radicaux d'acide gras en Ci,?. dans une solution aqueuse contenant une matière tensioactive pour maintenir une phase aqueuse continue à une température à laquelle la graisse contient- des constituants solides et liquides, en ce que l'on sépare la dispersion, par formation de couches, en.
    une phase spécifiquement plus légère de consti- tuants substantiellement liquides du mélange et en une phase spécifiquement plus lourde de constituants substantiellement solides de milieu aqueux avec en suspension dans celui-ci les constituants substantiellement solides du mélange , en ce que l'on retire séparément au moins une portion de la phase plus lourde et en ce que l'on récupère les constituante solides distincts de celle-ci sous forme d'un substitut de beurre de cacao.
    23.- Procédé suivant la revendication 1, caractérisé en ce que la matière tensioactive possède au moins un radical hydrophobe organique et un groupe hydrosolubilisant, dans sa molécule, et en ce qu'elle est présente en une <Desc/Clms Page number 50> quantité d'environ 0,1 - 5 % en poids de sa solution aqueuse.
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