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La présente invention est relative à des perfectionnements aux installations de projection cinématographiqueo
Jusqu'à présenta lorsqu'on désirait projeter sur un écran des ima- ges de dimensions supérieures aux dimensions normales, on était obligé de char- ger, sur un projecteur spécial, la bobine entière de film dont on voulait obtenir des images agrandies, procédé qui manquait de souplesse. Le dit pro- jecteur devait être muni d'un objectif et d'un dispositif d'éclairge parti- culiers, de sorte que, au lieu de n'avoir que deux projecteurs comme dans les installations de projection normales, on était obligé d'avoir, en outre, à sa disposition un troisième projecteur,organe fort coûteux, qui ne travail- lait qu'occasionnellement.
Le but principal de l'invention est de remédier à ces inconvé- nients et de réaliser une installation automatique relativement simple au moyen de laquelle on peut projeter facilement des vues de différentes dimen- sions.
En général, l'installation ou système dp projection cinématagraphique selon l'invention comporte des moyens propres à faire varier, en cours de projection du film, simultanément et en concordance, les dimensions utiles de l'écran ainsi que les dimensions des images projetées sur celui-ci, les dimensions des images étant modifiées, par exemple, en réglant la distance focale de l'objectif de l'appareil de projection, tout en maintenant le foyer sur l'écran. Le système comporte aussi, de préférence, des moyens conjugués aux précédents pour faire varier l'intensité lumineuse sur l'écran de telle sorte que la brillance des images apparaisse pratiquement constante quelles que soient les dimensions suivant lesquelles elles sont projetées, tous ces moyens variables étant de préférence dus au fonctionnement du projecteur cidessus.
En plus de la combinaison générale ci*-dessus des éléments, l'installation de projection perfectionnée comporte certaines autres dispositions qui s'utilisent de préférence en même temps, mais qui pourraient, le cas échéant, être utilisées isolément, et dont il sera plus explicitement parlé ciaprès.
Elle vise plus particulièrement un certain mode d'application, ainsi que certains modes de réalisation, des susdites dispositions; et elle vise plus particulièrement encore, et ce à titre de produits industriels nou- veaux, les installations du genre en question comportant application de ces mêmes dispositions , ainsi que les éléments spéciaux propres à leur établissement, notamment les objectifs à foyer variable et les écrans à surface variable.
On comprendra mieux l'invention à l'aide de la description plus détaillée ci-dessous faite en se référant aux dessins annexés, description et dessins qui, bien entendu ne sont donnés qu'à titre d'exemple.
Sur ces dessins,
La figure 1 représente schématiquement une installation de projection cinématographique établie conformément à l'invention.
La figure 2 représente schématiquement le système de commande et le câblage électrique de l'installation de la ,rigolo
Les figures 3 et 4 représentent un objectif à foyer variable établi conformément à l'invention, respectivement en vue schématique et en coupe longitudinale.
Les figures 5 et 6 représentent chacune un détail 'de la fig. 4, respectivement en développement plan et en coupe suivant 6-6.
La figure 7 représente, en élévation, l'écran variable de la fige 1, en position de dimension maximum et son dispositif d'actionnement dont cer- taines parties sont représentées schématiquement.
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La figure 8 est une vue schématique représentant l'écran de la fig. 7, dans la position de dimensions et de surface minima. -
Les figures 9 et 10 sont des vues de détail, à plus grande échelle, certaines parties étant supprimées, d'éléments représentés sur les figs.
1 et 2.
Selon l'invention, et plus spécialement selon celui de ses modes d'application, ainsi que selon ceux des modes de réalisation de ses diverses parties, auxquels il semble qu'il y ait 7,3.eu d'accorder la préféren- ce, se proposant d'établir une installation de projection cinématographique, on s'y prend comme suit ou de façon analogue.
En ce qui concerne tout d'abord l'installation dans son ensemble, on lui fait comporter au moins un groupe de projection'(mais de préférence deux tels groupes) constitué essentielement, comme représenté schématiquement fig.l, par une source lumineuse A, par exemple par une lampe à arc pourvue d'un miroir F, par un objectif B, par un ou des dispositifs C, propre à faire défiler le film D entre la source lumineuse A et l'objectif B, et par un écran de projection E situé à une distance pratiquement fixe de l'objec- tif B.
Selon l'invention, on ajoute, aux éléments ci-dessus, des moyens susceptibles de modifier continuellement pendant la projection du film D, simultanément et en concordance les dimensions utiles de l'écran ainsi que les dimensions des images projetées sur lui, par exemple il est prévu des moyens modifiant la distance focale de l'objectif B de manière à modifier son agrandissement tout en maintenant, naturellement, sa mise au point sur l'écran.
A cet effet, il est prévu un système de commande N comportant un système de relais électriques, commandant tous les moteurs synchrones de l'installation, et qui agit sur un servo-moteur, représenté schématiquement en M1, lequel agit, à son tour sur le système optique de l'objectif B et un ou plusieurs servomoteurs, schématisés en M2 et M3 propres à augmenter ou diminuer la hauteur et la largeur utiles de l'écran tout en maintenant ces dimensions dans un rapport pratiquement fixe, le système de commande N étant tel qu'à chaque instant l'image, projetée et maintenue au point sur l'écran, coïncide avec la zone utile de l'écran en position et dimensions.
De préférence, le centre de l'écran sera fixe, mais, selon l'invention, il n'est pas exclu de prévoir des servo-moteurs supplémentaires, soumis également au système de commande N, pour changer en concordance la plongée du projecteur et le centrage de la zone utile de l'écran.
On prévoit avantageusement, en outre, des moyens, conjugués aux précédents pour faire varier le flux lumineux ou l'intensité ou la brillance de la lumière envoyée sur l'écran de telle façon que l'éclairement de chaque image paraisse sensiblement constant quelles que soient les dimensions données à celle-ci. On a schématisé ces moyens, à titre d'exemple, par un servomoteur M4, également soumis au système de commande N et agissant sur un organe Q propre à diminuer l'Intensité lumineuse de la source A quand les dimensions de l'image diminuent et inversement.
Les variations de dimensions simultanées de l'écran et de l'image doivent se produire à des moments déterminés de la projection, certaines scènes demandait à être projetées en grandes dimensions, d'autres en petites dimensions, d'autres encore en dimensions intermédiaires, suivant un program- me établi à l'avance pour fournir le meilleur effet artistique possible.
Dans ce but,on peut laisser à l'opérateur le soin de manoeuvrer le système de commande N suivant ledit programme, mais il semble plus avan- tageux de faire actionner le système N automatiquement en synchronisme avec le déroulement du film. A cet effet, on peut faire porter, soit par le film D lui-même, soit, de préférence,par une bande auxiliaire ou pilote R entrainée en synchronisme avec le flm D par l'intermédiaire d'un réducteur de vitesse S, des marques ou signaux propres, qui, lorsqu'ils sont explorés par
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un système approprié T, déclenchent le système en vue d'actionner les diffé- rents moteurs dans le sens voulu.
Ces marques peuvent être constituées soit par une piste photographique comportant des zones successives d'opacités dif- férentes, cette piste étant alors explorée par un faisceau lumineux impres- sionnant une cellule photo-électrique, soit, de préférence, par des encoches différent ou bien par leur disposition mutuelle dans le sens longitudinal du film D ou de la bande R, ces encoches étant alors explorées par un fais- ceauu lumineux et la cellule photoélectrique ou par un ou plusieurs doigts palpeurs mobiles établissant des contacts électriques au moment où les en- coches passent devant eux. Les impulsions de courant ainsi créées agissent sur les servo-moteurs de commande représentés sur la fig. l, par l'intermé- diaire d'un système de relais faisant partie du système de commande N.
Dans le cas, le plus générale où l'installation de projection comporte deux (voire plus de deux) groupes de projection A-B-C travaillant alternativement, il suffit de prévoir un seul système de commande N agissant sur les servo-moteurs Ml (et éventuellement M4) associés à chaque objectif
B ainsi que sur les servo-moteurs M2 et M3 associés à l'écran E, ceux-ci restant les mêmes quel que soit le groupe de projection au travail. Le sys- tème de commande N est agencé, dans le cas de l'automaticité, de manière répondre de toute façon au dispositif, tel que T, qui est sensible aux mar-, ques ou signaux portés par le film D qui défile dans le groupe de projec- tion considéré ou par la bande pilote R associée au dispositif de commande du dit film D.
Bien que les dispositions venant d'être décrites puissent être réalisées de nombreuses manières, on aura avantageusement recours à un mode de réalisation tel que celui représenté sur les dessins et selon lequel on procède ainsi qu'il va être indiqué.
En ce qui concerne l'objectif à foyer variable,B, on le consti- tue par un groupe de lentilles fixes et par un groupe de lentilles mobiles à la fois par rapport aux lentilles fixes et entre elles, les mouvements de ces lentilles étant liés mécaniquement de manière à faire varier les di- mensions de l'image du film tout en maintenant ladite image au point sur l'é- cran.
On peut imaginer, à cet effet, un grand nombre de solutions, mais la plus avantageuse semble être d'associer à un objectif normal, de grandis- sement constant, un système afocal de grandissement variable. Ce système afo- cal ne modifie ni la mise au point, ni l'ouverture de l'objectif ordinaire y associé, à condition que ses lentilles soient de dimensions suffisantes du faisceau lumineux issu de l'objectif.
Comme schématisé à la fig. 3, on peut constituer le système op- tique de l'objectif à foyer variable par un objectif ordinaire comportant, par exemple, deux lentilles convergentes 1 et 2 et par un système afocal com- portant une lentille convergente ± comprise entre deux lentilles divergentes 3 et 5. Les lentilles 3, 4, 5 du système afocal sont, de préférence, achromatis es séparément.
L'objectif ordinaire 1-2 donne du film D une image à l'infini.
La lentille divergente 1 en donne ensuite une image virtuelle à son foyer F13; la lentille convergente 4 en donne alors une image au point conjugué de F13; pour rendre le système 3-4-5 afocal, on place la lentille ± de telle sorte que son foyer F5 coincide avec l'image précédente c'est-à-dire qu'elle donne de celle-ci une image à l'infini. Un léger déplacement de la lentille 5 permet d'amener cette dernière image de l'infini sur l'écran E, qui est a grande distance.
Cela étant, on rend les lentilles 1, 2 et 1 fixes et on rend mo- biles les lentilles ¯4 et ±, de manière à faire varier le grandissement de l'ensemble constitué par l'objectif ordinaire 1-2 et par le système afocal 3-4-5 (ensemble formant un objectif à foyer variable) tout en liant mécani-
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quement les lentilles ¯4 et .2 de manière à maintenir l'image sur l'écran, com-
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me indiqué ci-dessus.
A cet effet, selon le mode de réalisation représenté fig. 4, on fixe dans une monture 6, d'une part, les lentilles 1 et 2, constituant l'ob-
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jectif ordinaire, et le lentilles, à la distance relative représentée, la monture 6 étant elle-même fixée sur un tube cylindrique 7. On fj,xe dans des
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montures 8 et .9 les lentilles ir et ,5, respectivement, et on dispose les di- tes montures de façon coulissante et à rotation dans le tube Les montures 8 et ¯9 sont agencées de telle sorte que la partie de la monture.2 portant la lentille ± peut s'emboiter dans la monture 8 et permet ainsi aux lentilles 4 et.,2 de venir au contact l'une de l'autre.
On munit les montures 8 et .9 d'ergots 10 et 11, respectivement, qui passent à travers une rainure longitudina- le 12 du tube ,7 et aboutissent respectivement dans des rainures hélicoïdales et ; .4 pratiquées dans un tube extérieur 15 coaxial au tube .7 et pouvant tourner sans se déplacer longitudinalement par rapport à celui-ci. Des butées à billes 16 peuvent être interposées entre les deux tubes .7 et 15. à leurs extrémités.
On fait tourner le tube 15 autour du tube 7, par exemple à l'aide d'un câble métallique ou fil métallique à va et vient 17 sous gaine 18 . s'en-
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roulant sur un tambour 12 solidaire du tube 15. le câble ou fil étant atta- ché en. un pqint 80 sur le tambour 19 pour éviter tout glissement (voir en
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particulier fig. 6, lorsque le câble 17 est actionné, comme représenté sur la fig. 2, par un des tambours 30a et 30b. De cette façon,on conçoit que l'on puisse imprimer aux lentilles 4 et,5, des déplacements répondant aux conditions indiquées ci-dessus, pour un tracé convenable des rainures 13 et 14.
Les caractéristiques desdites rainures peuvent être déterminées soit par le calcul, soit par mesures sur le banc d'optique.
P4r le calcul, on peut procéder de la manière suivante, en comptant les distances positivement dans le sens de propagation de la lumière et à partir des points repérés aux centres optiques (Or .... 05, fig.3) des le+
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tilles correspondantes. On appellera f3, f4' f5 les distances focales des lentilles 1, lz et.2 respectivement , dl la distance 0-s 0/ etd21a distance 04 05. On exprimera de deux façons différentes 3re'grandissement G du système par rapport à 1'àà%e donnée par l'objectif 1-2.
4 5 4 4 d - f - f (1)
De la relation (1), on peut déduire, en fonction de dl , la valeur à donner à dl + d2, c'est-à-dire, en fonction de la distance de l'ergot 10 à un plan transversal fixe, la distance de l'ergot 11 à ce même plan transversal On en déduit la forme à donner aux rainures. Si l'on donne à la rainure 13,
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par exemple, une forme en hélice, c'est-à-dire telle que, si on développe le tube 5 sur un plan comme représenté figo 5, ladite rainure]J ait une allure rectiligne, la rainure 14 affecte alors en développement plan l'allure d'un arc d'hyperbole.
On peut noter que le grandissement G qui, selon la formule (1), est proportionnel, à une constante près, à la valeur de d1, est également
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proportionnel, à une constante près, à l'angle c'orientatïon relative des tubes.12 et ± dans le cas où la rainure 13 est en hélice.
Par mesures sur le banc d'optique, on fait occuper à la lentille 4 une position repérée et l'on cherche la position de la lentille.2 qui amène l'image sur l'écran E. Si l'on se donne, comme précédemment, la forme de la rainure 13, on obtient ainsi point par point celle de la rainure 14..
De toute façon, on peut établir aisément les caractéristiques du tube 15 en partant d'une plaque métallique mince et plane, en tragant les rainures à la fraise et à la lime comme représenté fige 5, suivant le profil déterminé soit par le calcul, soit par les mesures au banc d'optique, et en
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enroulant enfin ladite plaque en forme de tube cylindrique.
Un objet à foyer variable B, tel que décrit ci-dessus et repré-
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senté sur les figso 3e 4 et 5, permet de faire varier largement les dimensions de l'image sur l'écrano A titre d'exezple, on envisagera le cas où il est constitué par un objectif ordinaire 1-2 classique (distance focale de l'ordre de 100 mm par exemple) et par le système afocal dont les lentilles 3, 4 et 5 ont les distances focales respectives suivantes : f3 = + 150 mm,
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f4 = - 100 mm et f5 = + 150 mm.
La lent$ne ± peut se déplacer entre deux positions limites: - au contact de la lentille fixe 1 : dl = 0; en remplaçant les lettres par leurs valeurs dans la première partie de la relation (1), on voit que le grandissement G=1/2; - au contact de la lentille mobile : d2 = 0 ; en remplaçant les lettres par leurs valeur dans la seconde partie de la re-
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lation (1), on voit que G = 20
On peut ainsi faire varier les dimensions de l'image projetée dans le rapport de 1 à 4, ce qui est plus que suffisant pour les besoins de la pratique.
Dans le cas où il y a deux groupes de projection, ainsi qu'il est généralement procédé dans les salles d'exploitation, on monte sur chaque projecteur un objectif B analogue à celui représenté sur la fige 4 et décrit
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ci-dessus$ ces deux objectifs étant soumis à une même commande.
De cette.fagony au moment de l'enchaînement d'une bobine à la suivante,. il n'y a pas de discontinuité dans les dimensions de l'imagée Dans ce bute si les deux appareils de projection ont leurs objectifs B sensibles à la rotation de tam-
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bours à2a et 19b, respectivement (fig. 2), de la façon décrite pour le tambour 1 et un seul appareil de projection, rotation qui est obtenue à l'aide de câbles lia, 17b sous gaines l8ay,'L,Bbg il suffit de faire passer lesdits câbles sur des tambours de commande semblables 1Qa, 30b calés sur le même arbre ± entraîné par le moteur Ml ou ses moteurs équivalents 1iI: et 12. montés sur un arbre 1± (figa 2), par l'intermédiaire d'une vis sans fJnâ2, calée sur l'arbre ±, et d'une roue dentée...22 calée sur l'arbre 11.
En ce qui concerne ensuite l'écran de dimensions variables E, on peut constituer son cadre, selon une première solution, par des caches propres à être déplacés parallèlement à ses bords ou selon une seconde so- lution, par une projection lumineuse de couleur appropriée sur la partie de l'écran qui doit ne pas recevoir l'image.
Selon la première de ces solutions, on a recours à un écran blanc
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20 (fig.7) ordinaire ou:, de préférence, à grande luminosité, de dlimnsions au moins égales à celles de la plus grande image à projeter. On constitue le cadre de cet écran par des caches ou bandes de tissu (drap, velours etc. ou matière analogue) de préférence foncée gris ou noir, ou de toute autre couleur, propres à border l'image, horizontalement ou verticalement. Les
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bandes horizontales espacées 2a e'lf 21bg comme le montre la fige 7g peuvent se déplacer parallèlement les unes par rapport aux autres en sens inverses.
Il en est de même des bandes verticales 22a et 22bo On lie les déplacements relatifs de ces bandes de manière à maintenir constant le rapport entre la hauteur a et la largeur b utilesce rapport a/b étant, en générale sensiblement égal à 3/4.
A cet effety de préférence, on attache en va-et-vient les bandes horizontales et verticales aux brins appropriés de deux câbles sans fin 23
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et ±, respectivement, montés sur des jeux de poulies ' et ±+' et suscep- tibles de se déplacer à des vitesses proportionnelles aux dimensions verti-
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cales et horizontales de la surface de l'image9 ce pour quoi, par exemple, on fait passer les câbles,23 et 24 sur deux poulies et 26 (fige. 2 et 7) dont les diamètres sont dans le susdit rapport a/b, et que l'on fait tourner
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à vitesses égales.
En calant les deux poulies .25 et 26 sur le même arbre 27, on peut ainsi entraîner les bandes horizontales et verticales avec un seul moteur M2 du type d'un moteur récepteur Selsyn37, par l'intermédiaire d'un réducteur à vis sans fin 28, calé sur l'arbre 28-' du moteur, et d'une roue dentée 29 (figs. 7 et 2) calée sur l'arbre 27, au lieu de deux moteurs M2 et M3, comme prévu dans le cas général de la fig. 1.
Selon la seconde de ces solutions, consistant à encadrer l'image par une projection lumineuse, on fait, de préférence, comporter à l'écran des bordures à double paroi (non représentées) : paroi opque, du côté de l'écran, et une paroi translucide et diffusante, par exemple en matière plastique, du côté des projecteurs. Entre lesdites parois, on dispose des sources de lumière, de couleurs variées, propres à former des bordures horizontales et verticales, en différentes positions analogues à celles prises par les bandes mobiles 21a, 21b, 22a et 22b, ci-dessus décrites, les sources de lumière étant commandées par des interrupteurs actionnés par le moteur 37.
En ce qui concerne maintenant les moyens permettant de faire varier le flux lumineux envoyé sur l'écran, ils ont pour but de remédier à l'inconvénient suivant. L'objectif B à foyer variable, tel que décrit ci-dessus, à, ainsi que dit plus haut, une ouverture qui est égale à celle de l'ob- jectif ordinaire muni de lentilles (1-2) associé au système afocal constitué par les lentilles (3-4-5). Le flux lumineux réparti sur l'image serait donc constant et les petites images seraient beaucoup plus éclairées que les grandes, ce qui risquerait de produire un effet assez désagréable, si l'on n'y remédiait.
A cet effet, on constitue lesdits moyens, de préférence, en munissant l'objectif d'un diaphragme qui est soit actionné par un moteur M4 (fig.l) soumis au système de commande N, soit, plus simplement, lié à la position angulaire du tube commandant les lentilles du système afocal. On peut, à cet effet, prévoir une troisième rainure sur ce tube 15 (non représentée) recevant un ergot actionnant ledit diaphragme par un renvoi approprié, de façon que le diaphragme soit actionné en synchronisme avec l'objectif par l'arbre 31.
Les moyens agissant sur l'intensité de la source de lumière A par exemple, peuvent être également constitués par un rhéostat lié dans une position angulaire au tube 15 et être actionnés en synchronisme avec lui.
De toute façon, la loi fonctionnelle du diaphragme ou du rhéostat doit être déterminée par l'expérience pour plaire au mieux à l'oeil du spectateur, qui demande, d'une manière générale, que les petites images soient éclairées d'une façon un peu plus intense que les grandes images.
Finalement, lorsque le système de commande N est mis en marche, il commande les moteurs M1 et M2 et éventuellement M3 ou leurs équivalents, à des vitesses strictement égales ou proportionnelles. Comme les déplacements angulaires du tambour 19 ou des tambours correspondants 19a et 19b auxquels les grandissements de G sont proportionnels sont alors proportionnels aux déplacements angulaires des poulies et 26 (auxquels les dimensions de l'écran sont proportionnelles), on obtient bien ainsi constamment la coïncidence de l'image et de la surface de l'écran, à condition bien entendu, de déterminer judicieusement les coefficients de proportionnalité., c'est-à-dire, notamment, les rapports de démultiplications entre vis 32 (ou 28) et roue dentée ± (ou29), le diamètre des poulies 25, 26 et le pas de la rainure en -hélice 13.
Pour ce qui est de la vitesse des moteurs Ml et M2.. ou leur équivalent, on a trouvé que l'augmentation des dimensions de l'image (et par conséquent de l'écran) devait se faire à une vitesse plus grande que leur diminution pour l'agrément du spectateuro
A cet effet, on agence les moteurs ou leurs équivalents de manière
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qu'ils tournent plus vite dans un sens que dans l'autre.
Selon un mode de réalisation particulièrement avantageux du système de commande N, on lui fait comporter,d'une part., un moteur principal disposé à proximité des projecteurs et propre à actionner les objectifs B et, d'autre part, un moteur asservi ..audit moteur principal, disposé à pro- ximité de l'écran et propre à actionner le cache de celui-4, ce qui permet de ne prévoir dans la commande N qu'un seul système de relais que l'on fait agir sur le moteur principal.
Ce moteur principal est, de préférence, incorporé à la boite des relais et au mécanisme de commande des objectifs et il est agencé de manière à tourner en avant à une certaine vitesse et en arrière à une vitesse environ deux fois plus petite dans le but indiqué ci-dessus.
On peut d'ailleurs utiliser, au lieu d'un moteur à deux vitesses,
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deux moteurs, .JiA. et ±µ (fig.2), tournant à des vitesses différentes et en sens inversés et calés sur l'arbre de commande 36 de la vis 32 ; l'ensemble des moteurs ± et 35 correspond au moteur N1 de la figo 1 et le remplace.
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On utilise de préférence le moteur Selsyn 37 comme moteur M2 pour asservir le moteur M2, qui actionne le dispositif de cache de l'écran, au mo-
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teur principal 12, le moteur 11 étant agencé sour la forme d'un récepteur et étant alimenté par un générateur selsyn 1ê calé sur l'arbre ± (figes. 2 et 7). On voit en..22 le circuit d'alimentation alternatif du système et en 40 les fils formant Te circuit de synchronisation selsyn.
On aura soin d'agencer les moteurs ±$ 35 de manière qu'ils tour-
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nent à une vitesse inférieure à la vitesse pour laquelle le moteur .:,tse1syn 11 pourrait fonctionner en moteur synchroneo A titre d'exemple, la vitesse synchrone d'un moteur selsyn bipolaire est égale à 3oPOO ou 3.600 tours/minute pour un circuit d'alimentation alternatif de fréquence égale respectivement à 50 ou 60 périodes à la seconde. On choisira alors des moteurs
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, 12 ayant des vitesses de rotation nettement inférieures auxdites valeurs, et par exemple de l'ordre de l.ll.o ou 1.700 tours/minute sur 50 ou 60 pério- des respectivement pour la marche avant (augmentation des dimensions) et 720 ou 850 tours sur 50 ou 60 périodes respectivement pour la marche arrière (diminution).
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Pour commander les moteurs etâ, on prévoit trois circuits correspondant respectivement à l'augmentation de l'image, à sa diminution et à l'arrêt des moteurs (ceci en vue de réaliser la projection selon des dimensions intermédiaires)) les deux premiers circuits comportant chacun des interrupteurs de fin de course propres à arrêter les moteurs aux deux positions limites correspondant respectivement aux dimensions maximum et minimum de l'image., Les,trois susdits circuits peuvent être fermés à l'aide respec-
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tivement de trois contacts actionnés soit manuellement à l'a14é de boutons à la disposition de l'opérat,eur, soit automatiquement à l'aide de la bandepilote R ou du film D.
Dans ce dernier cas, on constitue avantageusement la bandepilote R pour chaque film ou projecteur par un morceau de film standard 35 mm (fgs.
9 et 10) que l'on fait entraîner à une vitesse proportionnelle à celle du film D, le mécanisme d'entraînement étant, par exemple, constitué par une roue à
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picots ¯Up du projecteur (fig. 9) sur laquelle passe le film D. par un réducteur S et par une roue à plootsL2 sur laquelle passe la bande-pilote Ro La roue à picots¯4,1 est accouplée au réducteur S et l'actionne au moyen d'un
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arbre d'entrée !1', tandis que la roue à picots 2 est actionnée par un arbre de sortie 1.2' Si l'on veut, par exemple, faire défiler la bande-pilote R à rai-
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son d'une perforation .3 (fig.10) à la seconde, on aura recours à deux roues
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à picots¯41 et¯2 identiques et à un réducteur S de rapport 1/96 (les films standard de 35 mm défilant à raison de 96 perforations à la seconde).
On pré- voit.,- bien entendu, des marques sur le film D et sur la bande R pour permettre d'assurer leur concordance.
Les trois contacts de commande, pour chaque projecteur, servant à commander les trois circuits de commande de moteur, sont actionnés, respec-
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tivement par trois doigts palpeurs analogues .7. et 9 représentés en plan sur la fig. 10, et poussés contre la bande pilote R par des ressorts,
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tels que des ressorts de tension2Q. On pratique dans cette bande des trous ou encoches venant se présenter au fur et à mesure du défilement sous ces
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doigts palpeurs. Lesdits trous,tels que 51 < 52, 3 (fig.10) sont répartis sur la longueur de la bande-pilote selon trois rangées marquées 1, n, m, correspondant respectivement à l'augmentation de l'image, à sa diminution et à l'arrêt'de l'augmentation ou de la diminution de l'image.
Lorsqu'un trou se présente sous un doigt, celui-ci s'enfonce et ferme le contact de commande électrique correspondant. La fig. 9 est une vue de côté du système de doigt et d'interrupteur de commande les doigts 47, 48 et 49 pivotant sur une tibe 72 disposée transversalement à la bande R et portée à l'aide de moyens non représentés. Chaque doigt porte un taquet arrondi 73 circulant sur la bande R et permet au doigt de tourner en sens inverse des aiguilles d'une montre lorsqu'il pénètre dans un trou tel que 52. comme on le voit par la ligne en
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trait mixte de la fig. 9.
Les doigts .7. et 49, respectivement, actionnent des contacts jàa, 45a et l..6 (fig.2) d'interrupteurs électriques de la manière-re>résentee pour le doigt ¯42 sur la fig. 9y dont le contact¯46a ferme un circuit par l'intermédiaire de fils 76 et 77.
Si l'on désire obtenir la plus grande image à un moment ou une partie du film D déterminé, on perce un trou 21 à l'endroit correspondant de la bande-pilote R passant sous le doigt-augmentation 47 (rangée].). Lorsque la plus grande dimension est atteinte, le système s'arrête de lui-même.
Il en est de même pour la diminution (trou dans la rangée n). Si l'on désire que le système s'arrête à une position intermédiaire, on perce un trou 53 passant sous le doigt-arrêt 48 (rangée m), à une distance plus ou moins grande de celui 51 ou 52 qui aura déclenché le mouvement, en tenant compte du fait que, à la totalité de la course correspondent six perforations, par exemple, dans le sens de l'augmentation, mais douze perforations dans le sens de la'diminution. En effet, pour l'agrément de l'oeil, la vitesse d'ouverture de l'écran, c'est-à-dire le temps nécessaire pour passer de la petite image à la grande, doit être d'environ six secondes et le temps de fermeture d'environ douze secondes.
Dans le cas général où il y a deux projecteurs ou groupes de projection comportant chacun un défileur de bande-pilote, on branche en parallèle le circuit d'excitation des relais qui commandent les moteurs pour fonctionner, respectivement, sous la commande de la bande agissant en synchronisme pour chaque projecteur et à main, trois interrupteurs étant prévus pour
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chacun, avec des contacts fonctionnant comme suit : contacts 1 a., ?.a et 46a pour le premier projecteur, contacts l.l b, .5b et ±µb pour le deuxième et contacts 1 àce 1 àc et ¯46e pour la commande à main, le tout représenté sur la fig. 2. Les contact< ±à, !t2. et ±µ correspondent respectivement à l'opération d'auntation d'image, à l'opération d'arrêt et à l'opération de diminution d'image.
La fig. 2 représente à titre d'exemple un mode possible de réali-
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sation des relais de commande 5 et 57 des moteurs lit et 35o Les contacts .a, Mb et ¯4c d'augmentation d'image sont reliés, par des fils jflg et Il, au cir- cuit d'alimentation et de fonctionnement du relais 54, par une source de courant à basse tension, telle qu'une batterie 22, ce relais ± étant capable de fermer les contacts 56 du circuit 91 d'excitation du moteur 34 pour fournir du courant venant des fils 39 en passant par des fils 92 branchés dans qua-
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tre interrupteurs des relais 54 et 57.
Les contacts Zba, ..42b et c sont reliés, par des fils 76 et 77 , au circuit de commande du relais 57 par la
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source de courant ±, ce relais pouvant fermer les contacts 58 du circuit d'excitation.22 du moteur 35 pour fournir du courant venant des fils 92.
Lorsque l'un des contacts 44 est fermé, il s'établit un circuit: source,2,2, fils 78 et 79 interrupteur normalement fermé du relais 70 qui s'y trouve, fil IL contact 44 fermé, fil 74,bobine du relais 54, fil 82, contact fermé 65, fil 83, autre côté de la source 55. De même, la fermeture de l'un des contacts 46 établit un circuit : source.2,2; fils 78, ± et 77, contact 46 fermé, fil 76, bobine du relais 57, fil 84, contact 64, fil 85 et autre côté de la source 55.
Les relais 54 et.21 comportant des contacts de maintien 59 et
60, respectivement, parallèles aux contacts de commande 44 et 46 et en série, respectivement, avec dès interrupteurs de limite de course correspondante nor- malement fermée 61, et 62,, amenés en position ouverte, par exemple, par un doigt 63 en saillie sur un tambour 63' calé sur l'arbre 31. Par exemple, le contact de l'interrupteur 61, qui correspond à la plus grande dimension, est en série avec le contact 59de l'armature du relais 54 commandant l'augmenta- tion de l'image et de l'écran et le contact de l'interrupteur 62 est en série avec le contact 60 de l'armature du relais !il qui commande la diminution de l'image et de l'écran.
Lorsque le relais 54 est actionné, il est maintenu par un courant venant de la source,22, passant par les fils 78, 79 et Il, les contacts fermés .59, un fil 86, l'interrupteur ±, le fil 74, la bobine du relais 54,le fil 82, le contacta et le fil 83. Le relais 21, lorsqu'il est actionné, est maintenu de la mêmeManière par du courant passant dans le circuit fil 77. contact fermé 60, fil 87, interrupteur 62, fil 76, bobine du relais ±, fil 84, con- tact 64, fil¯85 et source de courant 22.
Les relais 54 et 57 comportent des contacts de coupure 64, 65 respectivement en série avec la bobine de l'autre relais si bien que lorsqu'un relais est en travail, l'autre est paralyséo Chacun des relais ±, et 57 porte un contact 66, 67 propre à alimenter, à partir des fils 92, par les fils 88 et 89, respectivement la bobine 68 d'un sabot de frein électrique 69, agissant sur un tambour de freina cale sur l'arbre 36, pour desserrer de frein dès que l'un des moteurs ± ou 12 reçoit du courant. Lorsque le moteur 34 ou 35 ne reçoit plus de courant, il en est de même de la bobine 68 et le frein énergiquement serré arrête l'arbre 36 et t out le système actionné par lui.
Les contacts d'arrêt 45a, 45b et 45c agissent sur le relais 70 qui commande le contact de l'interrupteur normalement fermé du fil 12, intercalé en série dans le circuit d'excitation des relais ± et.27 de manière à couper le courant d'alimentation de ces relais dès que l'un des contacts 45a, 45b, 45c est fermé, un circuit s'établissant: source 55, fil 78, contact 45 fermé, fil .75, bobine du relais 70, fil 90, et autre côté de la spurce 55.
En suite de quoi, quel que soit le mode de réalisation adopté, automatique'ou à main, on obtient une installation de projection cinémato- graphique dont le fonctionnement est le suivant.
Si l'on suppose, par exemple, avec le projecteur en service:, qu'un trou ± (fig.10) appartenant à la rangée 1 d'une bande pilote R est parvenu sous le doigt palpeur 47 du système explorateur correspondant. Le contact 44a ou44b se ferme pendant un court laps de temps et excite le relais ± corres- pondant à l'augmentation des dimensions de l'image, lequel relais reste excité par le contact de maintien 59.
Le moteur 34 se met à tourner en actionnant l'objectif et le moteur 37 tourne en synchronisme en actionnant l'écran, Comme le trou ± n'est pas suivi, dans la période correspondant aux six perforations 43 qui suivent, d'un trou se présentant sous le doigt de contact 48, le système s'arrêter de lui-même sous l'effet du doigt µ± qui :ouvre le contact 61 et interrompt l'alimentation du contact de maintien 59 de la bobine du relais ±, dans la position correspondant aux dimensions maxima de l'i-
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mage et de l'écrano
On supposera, maintenant., qu'un trou 52 appartenant à la rangée n parvienne sous le doigt palppur 49.
Le contact 46a ou46b correspondant à la diminution des dimensions de l'image se forme pendant un court laps de temps en excitant le relais ±, ce qui a pour effet de faire tourner le mo- teur 35 et, avec lui, le moteur 37 actionnant respectivement l'objectif et l'écran dans le sens de la diminution de leurs dimensions., Si le trou n'est pas suivi, durant les douze secondes consécutives, d'un trou se présentant sous le doigt palpeur 48, le système s'ar- rête de lui-même, du fait de l'ouverture du contact 62 par le doigt ±, à la position correspondant aux dimensions minima de l'image et de l'écran.ù
Si, au contraire, le trou ±%est suivie au bout de six secondes par exemple, c'est-à-dire après le passage de six perforations 43,
d'un trou 53 se présentant sous le doigt palpeur 48, le contact d'arrêt 45a ou45b se ferme, ce qui actionne le relais 70 dans le sens de l'interruption du courant passant dans le circuit de retenue du relais 57 qui contient le contact 60 de retenue de l'armature. Le système s'arrête alors à la position médiane correspondant aux dimensions moyennes de l'image et de l'écran puisque la durée de la diminution complète des dimensions de l'image est égale à douze secondes.A partir de cette position, le système peut être ultérieurement actionné dans le sens de l'augmentation ou de la diminution, comme indiqué plsu haut.
Il doit être entendu que lorsque les moyens faisant varier l'in- tensité de la lumière en fonction des variations des dimensions de l'image et de l'écran sont actionnés par l'objectif, comme on l'a décrit dans une forme de réalisation, on fait varier l'illumination des images sur l'écran pendant les opérations ci-dessus en vue d'obtenir l'effet d'éclairage opti- mum. On obtient le même résultat lorsque le moteur M4 est actionné par l'arbre de commande 36. par exemple, en utilisant un générateur Selsyn et un sys- tème de moteur récepteur semblable à celui qu'on utilise pour actionner les moyens de masquage de l'écran.
Comme il va de soi et comme il résulte d'ailleurs déjà de ce qui précède, l'invention ne se limite nullement à celui de ses modes d'appli- cation, non plus qu'à ceux des modes de réalisations de ses diverses parties; ayant été plus particulièrement envisagée, elle en embrasse, au contraire, toutes les variantes, notamment celle. le système serait soumis uniquement à une commande manuelle par boutons actionnant des contacts tels que 44c, 45c,46c, sans l'intervention de bandes-pilotes ou systèmes de commande auto- matique analogues.