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PERFECTIONNEMENTS AUX MACHINES SERVANT A GAUFRER ET .LISSER.LE CUIR
OU LES SUBSTANCES SIMILAIRES.
La présente invention concerne les machines utilisés pour le gaufrage ou le repoussage et le lissage du cuir ét des substances similaires et, plus particulièrement, les machines du genre comprenant en combinaison, un plateau fixe, un chariot à mouvement alternatif portant un outil, par exem- ple sous forme d'un rouleau à dessin gravé, destiné à coopérer avec ledit plateau et à effectuer un mouvement alternatif par rapport à lui et un ma- telas ou coussin flexible interposé entre le plateau et l'outil.
L'invention est principalement destinée à être appliquée à une machine à gaufrer et lisser du type de la machine dite "Gloria", dans laquel- le le plateau est ordinairement supporté au-dessous d'un ou plusieurs organes horizontaux situés au sommet de la machine, tandis que le chariot à mouve- ment alternatif est pourvu de roulettes ou galets destinés à rouler sur un ou plusieurs organes horizontaux situés à ou près de la base de la machine, lesdits organes supérieurs et inférieurs étant associés à des colonnes verti- cales prévues aux extrémités opposées de la machinée Jusqu'à ce jour dans une,machine du type Gloria susmentionné, on communiquait ordinairement un mouvement alternatif au chariot porte-outil au-dessous du coussin et du pla- teau relativement fixe,
à l'aide d'une vis actionnée mécaniquement ou d'une transmission à chaînée Lorsqu'on utilise une vis commandée, les moyens de commande du chariot porte-outil comprennent des courroies inverseuses, alors que des embrayages inverseurs sont d'ordinaire incorporés à une transmission à chaînée La poussée que l'outil doit exercer sur l'ouvrage inséré entre le coussin flexible et-le plateau pour le-gaufrer et le lisser est,habituellement obtenue à l'aide de ressorts puissants, et toute variation d'une telle poussée est effectuée à l'aide de dispositifs à vise De plus, dans une machine à gau- frer et lisser de ce type particulier, il était jusqu'ici nécessaire que l'ou- til effectue son mouvement alternatif sur une distance totale de beaucoup su- périeure à la longueur effective du plateau fixe,
afin de ménager l'interval- le nécessaire pour insérer l'ouvrage entre ce plateau et le coussin.
Il est évident que cete nécessité de déplacer l'outil au-delà des
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extrémités du plateau se traduit par un accroissement considérable de la longueur totale de la machine.
La présente invention vise à remédier à l'inconvénient mention- né en dernier lieu, en faisant en sorte que l'outil travaille à l'intérieur de l'étendue du plateau fixe, ce qui raccourcit et permet d'économiser l'es- pace qu'elle occupe.
Conformément à l'invention, l'outil d'une machineà lisser et .gaufrer du genre sus-indiqué est mobile dans une direction propre à permet- tre de séparer ledit outil de la face de travail du plateau, afin de permet- tre d'insérer l'ouvrage entre le coussin et le plateau, et le dit outil est destiné à être poussé vers et contre cette face pour travailler sur l'ou- vrage, de telle sorte que son mouvement alternatif peut être limité à la lon- gueur effective du plateauo
La disposition est telle que, à la fin de la course du chariot, ce dernier s'arrête et l'outil se sépare de l'ouvrage pour permettre le rem- placement ou une remise en position du dit ouvrage, après quoi l'outil se referme de nouveau contre l'ouvrage et le chariot est remis en ,
marche pour une course de sens inverse
D'autres caractéristiques de l'invention seront mises en éviden- ce au cours de la description donnée ci-après, faite en se référant aux des- sins schématiques annexés, illustrant l'application à une machine à gaufrer et lisser Gloria d'une forme de réalisation d'un mécanisme de commande hy- draulique permettant de réaliser les buta que se propose l'invention,, Sur ces dessins : @ Figure 1 est une représentation schématique, avec coupe partiel- le, des pièces de la machine auxquelles se rapporte la présente invention et du circuit hydraulique;
cette figure représentant une position neutre, dans laquelle le rouleau presseur est abaissé pour l'introduction d'une peau, préa- lablement à l'action du dit rouleau sur cette peau, et
Figure 2 est une vue schématique, semblable à la figure 1, mais dans laquelle le chariot portant le rouleau presseur est représenté pendant qu'il effectue une course de travail.
Sur ces dessins,.le plateau, désigné par 1, est situé au-dessous d'une ou plusieurs poutrelles de support horizontales (dont l'une est repré- sentée en 2) auxquelles il est fixé. La poutrelle 2 est fixée sur des colon- nes verticales 3 et 4 prévues aux extrémités opposées de la machine, et il est prévu à la base de la machine ou à sa proximité une ou pludieurs autres poutrelles horizontales 5 servant à la fixation et au support des colonnes extrêmes 3 et 4. L'aile supérieure 6 de la poutrelle 5 constitue un chemin de roulement pour les roulettes 7 d'un chariot porte-outil 8, animé d'un mou- vement alternatif.
L'outil est constitué par un rouleau 9 qui pénètre dans une ou- verture pratiquée dans une table 10 fixée entre les montants 3 et 4. Au- dessus de l'ouverture de la table 10, est tendu un cousin flexible 11 desti- né à supporter l'ouvrage, lequel est supposé être une peau 12 à la figure 20
Le coussin 11, de forme habituelle, est convenablement fixé-. à ses extrémi- tés, par des organes de tension réglables (non représentés)o
On n'a représenté sur les dessins et il ne sera fait allusion dans la description qui suit qu'à un seul rouleau, mais il va de soi qu'on pourrait utiliser deux rouleaux de ce genre,
convenablement disposés et re- liés entre eux pour travailler de concerto L'arbre 13 du rouleau 9 est mon- té dans des blocs de palier 14 destinés à coulisser verticalement dans un bâti 15 porté par le chariot 8, afin de rapprocher ou éloigner le rouleau 9 de la face inférieure du plateau 1. Les blocs 14 reçoivent leur mouvement vertical d'un piston 16 coulissant dans un cylindre 17 porté par le chariot
8.
Sur le chariot 8 est aussi monté et fixé un cylindre horizontal
18 dans lequel sont logés deux pistons fixés 19 et 20 qui sont placés très
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près l'un de l'autre et divisent l'espace de travail du cylindre 18 en deux parties 21 et 22. Les pistons 19 et 20 sont portés respectivement par des tiges 23 et 24 disposées suivant l'axe du cylindre 18 sur toute la longueur et au delà du dit cylindre, chacune des dites tiges étant fixée à la colonne correspondante, 3 ou 4, à l'intérieur d'un console 25.
On voit par conséquent que les tiges coaxiales 23 et 24 et leurs pistons 19 et 20 sont fixes et agissent comme des poutrelles de manière à raidir le cylindre 18 lors de son déplacement avec le chariot 8. On voit en ou- tre que cet ensemble de.pistons pourrait être remplacé par un seul pis- ton, qui serait pourvu de tiges s'étendant à partir des deux faces de ce piston et qu'en fait, les pistons 19 et 20 sont l'équivalent d'un piston unique à double effeto
Les tiges de pistons 23 et 24 présentent des trous axiaux 26 et 27, respectivement, qui communiquent près des pistons 19 et 20, avec les espaces 21 et 22 du cylindre par des conduits radiaux 28 de faible longueur. A leur extrémité extérieure, les trous 26 et 27 sont reliée-à des tuyaux 29, 30, respectivement, qui aboutissent à un réservoir d'ali- mentation 31 contenant de l'huile.
Sur une 'console 32 de ce réservoir 31 est monté un moteur élec- trique 33 à vitesse constante qui actionne une pompe 34 à débit constante Cette pompe élève l'huile du réservoir par un tuyau 35 et la refoule, par l'intermédiaire d'un robinet de commande à main 36 dont un branchement 37 communique avec le réservoir 31, dans un tuyau 38 aboutissant à une valve de commande principale du distributeur inverseur à quatre voies 39.
De ce tuyau 38 par un branchement aboutissant à un manomètre à huile 40, un autre branche- ment aboutit à une valve de purge 41 ramenant l'huile au réservoir 31 par un autre tuyau 420
Un quatrième tuyau 43 plongeant dans l'huile du réservoir est pour- @ vu d'un robinet de dosage à main 44, qui permet de faire varier le débit du courant d'huile passant dans ce tuyau, quelle,.que soit la pression de l'huile, et d'une soupape de retenue à ressort,45, dont le rôle sera expliqué plus loin.
Le tuyau 43 communique aussi avec la valve à quatre voies 39.
La valve 39 renferme'un piston-valve qui peut'être amené à l'une quelconque de trois positions, dont la première est illustrée à la figure 2 et qui est la position de travail, dans laquelle un passage fait communiquer l'huile du tuyau 38 avec le tuyau 29, d'où cette huile passe par le trou axial 26 dans l'espace 21. Le chemin suivi par l'huile à travers la valve 39 dans cette position est indiqué en pointillé à la figure 2.
Ce courant d'huile sous pression, agissant sur l'extrémité gauche du cylindre 18, provoque le dé- placement de ce cylindre et, par suite, du chariot 8 vers la gaucheo L'huile que contient l'espace 22 en cours de contraction est chassée par le trou axial 24 et le tuyau 30 vers la valve 39, où elle est mise à même de suivre ,un che- min, également indiqué par des lignes pointillées, lui permettant de revenir dans le réservoir par le tuyau 43.
Dans la seconde position possible de la valve 39, le courant d'ui- le sous pression va du tuyau 38 au tuyau 30, de façon à déplacer le cylindre 18 dans le sens opposé. Dans ce cas, le courant de retour va du tuyau 29 au tuyau 43 en passant par la valve 39. La troisième position de cette valve est une position neutre dans laquelle les deux espaces 21 et 22 du cylindre communiquent librement avec le tuyau d'arrivée 38 et le tuyau d'évacuation 43 (voir figure 1).
La commande de la valve 39 est effectuée par l'intermé- diaire d'une tringlerie. A cet effet, le piston 46 de cette valve est relié à une biellette ou tringle de commande 47 sur laquelle pivotent par un de leurs bras deux leviers coudés 48 et 49 qui sont supportés pour pivoter autour d'un point fixe 50, 51, respectivement. Le bras libre de chacun de ces leviers coudés porte un galet 52 sur lequel sont destinées à agir les faces mutuelle- ment opposées 53 et 54 d'une came 55 montée sur la face inférieure du chariot 8.
La construction et la disposition sont telles que chaque fois que le chariot est sur le point d'attendre l'extrémité d'une course dans l'un ou l'autre sens, la came 55 heurte le galet 52 du levier coudé approprié 48 ou
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49, ce qui provoque le pivotement de ce levier, et, par l'intermédiaire de la biellette 47, le déplacement du piston 46 de la valve 39 et l'amenée de ce piston-valve à la position neutre.
Ainsi, par exemple, lorsque le chariot atteint l'extrémité droi- te de son mouvement, le galet 52 du levier coudé 49 descend sur la face de came 54 et arrive sur la face de dessous de la came 55, c'est-à-dire à la po- sition indiquée à la figure 1; la biellette 47 étant de ce fait déplacée vers la gauche.
Au bras 56 du levier coudé 48 est reliée une autre biellette 57 dont une extrémité est reliée de façon pivotante à une came 58 coulissant sur une partie fixe de la machine. Cette came coulissante 58 est semblable à la came 55 en ce sens qu'elle présente deux biseaux 59 et 60 et une face de dessous horizontale 61 Avec cette came coopère un galet 62 monté sur une tige 63 qui est fixée au piston-valve de la valve de purge 41 A son extrémité opposée, la biellette 57 est reliée de façon pivotante à l'un des bras d'un levier pivotant à trois bras 64, dont les autres bras sont reliés à des pédales suspendues 65 et 660
Lorsque le chariot atteint l'une de ses positions extrêmes, par exemple celle-de la figure 1, le mouvement qui en résulte de la biellette 47 provoque le mouvement de la biellette 57 et le déplacement de la came 58,
de sorte que le galet 62 descend sur la face de dessous 61 de cette came. Ceci provoque l'ouverture de la valve 41 pour permettre à l'huile du tuyau 38 de revenir dans le réservoir 31 par un conduit de by-pass lorsque la machine est à l'état neutre (figure 1). Pour remettre la machine en marche et commencer le mouvement du chariot de droite à gauche, l'opérateur abaisse la pédale ap- propriée, qui est dans ce cas la pédale 65. Ainsi qu'il ressort de la figure 2, il en résulte le pivotement du levier 64 et le déplacement de la came 58 vers la gauche, ce déplacement ayant à son tour pour effet de faire mouvoir de nouveau le piston 46 vers la gauche, par l'entremise du bras 56 et du levier 47,pour amener la valve 39 à une position de travail appropriée convenable.
En même temps, la tige 63 de la valve 41 reçoit un mouvement d'élévation qui provoque la fermeture de cette valve.
On voit que lorsque le levier coudé 48 reçoit une oscillation de la came 55 à la fin de sa nouvelle course, le mouvement qui en résulte de la biellette 47 effectue le rappel du levier coudé 49, alors que le mou- vement de la biellette 57 a pour efet de ramener le levier 64 à son point de départ pour rappeler les pédales, et il en est de même à l'extrémité de la course du chariot 8 dans l'autre sens.
A l'extrémité inférieure du cylindre 17 est relié un tuyau 67 pourvu de deux branchements 68 et 69 qui communiquent avec des lumières pra- tiquées à un certain écartement l'une de l'autre dans un boîtier 70, fixé au cylindre 18, et dans lequel coulisse un piston-valve 71. Le boîtier 70 pré- sente à ses extrémités d'autres lumières, qui communiquent par des tuyaux 72 et 73 avec les espaces 21 et 22 du cylindre 18, respectivement. On voit par conséquent que lorsqu'un dé ces espaces reçoit de l'huile sous pression, comme c'est le cas de l'espace 21 à la figure 2, une portion de cette huile passe par les tuyaux 72, 68 et 67 dans le cylindre 17 pour agir sur la fa- ce inférieure du piston 16 et pousser l'outil 9 contre le coussin et l'ouvra- ge.
A ce moment, de l'huile est aspirée hors de l'espace 22, ce qui diminue la pression régnant dans le tuyau 73 et permet au piston-valve 71 de se dépla- cer vers la droite pour ouvrir la lumière permettant le passage du courant d'huile dans le branchement 68. Dans le mouvement du chariot de gauche à droi- te, c'est l'inverse qui a lieu, le piston-valve 71 étant déplacé vers la gau- che
Toutefois, la résistance offerte au courant de retour de l'huile peut être réglée par un réglage approprié de la soupape de retenue 45, qui agit alors de manière à développer dans le tuyau d'arrivée (29, dans le cas considéré) une pression suffisante pour soulever le rouleau 9 et exercer une légère poussée sur l'ouvrage avant que le chariot commence à se déplacer.
La poussée du rouleau 9 sur l'ouvrage reste alors constante, ou approximati-
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vement constante, selon les positions de réglage du robinet 36 et de la sou- pape de retenue 45, quelle que soit la vitesse du chariot, laquelle est maintenant commandée par le régulateur de vitesse ou valve de dosage 44
Dans la position neutre;
le piston 16 descend par l'effet de son poids propre, de telle sorte qu'il refoule l'huile hors du cylindre 17 par le tuyau 67 et le tuyau approprié 29 ou 30 pour ramener cette huile dans le réservoir par l'intermédiaire du piston-valve 390
Ainsi, la suite des opérations est normalement telle que, après que l'ouvrage a été convenablement placé sur le coussin flexible 11, la manoeuvre de la pédale appropriée 65 ou 66 provoque le mouvement du rou- leau 9 vers la face du plateau 1 de manière à maintenir l'ouvrage relevé contre ce plateau, par l'intermédiaire du coussin, après quoi le chariot 8 effectue une course dans un des sens. A l'extrémi de cette course, alors que le chariot est de,nouveau stationnaire, le rouleau est déplacé à l'écart de la face du plateau pour libérer l'ouvrage.
L'ouvrage libéré est alors soit déplacé sur le coussin de manière à présenter une autre portion du dit ouvrage au plateau, soit entièrement retiré de la.machine et remplacé par un autre ouvragée Dans l'un ou l'autre cas, l'abaissement de l'autre pédale pro- voque un nouveau relèvement du rouleau vers la face 'du plateau, en vue de maintenir l'ouvrage appliaué¯contre ce dernier, et une course du chariot dans le sens inverse du précédent, course à l'extrémité de laquelle le rouleau 9 est écarté de la face du plateau,et ainsi de suiteo
On se rend compte aussi que, en manoeuvrant les pédales au.moment voulu, l'opérateur peut, si cela est désirable, communiquer au chariot une sé- rie de courses avant qu'il n'atteigne la position de repos et que le rouleau 9 se sépare du plateau.
Dans cet exemple, la machine est pourvue d'un dispositif de suie- té consistant en une pièce de garde 74 qui est suspendue à des leviers coudés 75 et 76 et qui couvre le jour ou ouverture existant dans la machine entre le plateau 1 et le rouleau 9 et par lequel s'effectue la mise en place d'une peau 120 Les leviers coudés 75 et 76 sont supportés pour pivoter autour d'axes fixes de la-machine et sont articulés à une biellette commune 77, et le levier coudé 76 porte un contrepoids 78. La biellette 77, est reliée, par l'intermédiaire d'un autre levier coudé 79 et d'une tringle 80, à un poids cylindrique suspendu 81 qui coulisse verticalement dans un guide fixe 82.
D ans ce guide se déplace horizontalement, en travers du chemin du poids 81, un cou- lisseau 83 percé d'une ouverture centrale 85 et qui est relié par une tringle 84 au piston-valve 46 de la valve 390
La disposition est telle que lorsque le piston 46 a été amené à la position neutre (figure 1), l'ouverture 85 du coulisseau 83 est située en regard du poids 81, qui peut ainsi tomber à travers la dite ouverture en provoquant de ce fait le relèvement de la pièce de garde 74 de façon à per- mettre à l'ouvrier desservant la.machine d'avoir accès à l'ouverture de la machine.
Gomme le coulisseau 83 est commandé par le piston 46, chaque fois que le rouleau 9 est soulevé et que le chariot 8 est en mouvement, il faut que le poids 81 soit soulevé, de sorte que la pièce de garde 74 est abaisséeo De plus, il est clair que le piston valve 39 ne peut être- déplacé à l'écart de sa position neutre pour commencer ces opérations tant que le levier 78 à contrepoids n'a pas été manoeuvré par l'ouvrier en vue d'abaisser la pièce de garde et de relever le poids 81.
Lorsque le rouleau 9 exerce une poussée sur l'ouvrage, les pou- trelles supérieures et inférieures ont tendance à fléchir;, Pour permettre cette flexion sans modifier la poussée exercée par le rouleau 9 sur l'ouvra- ge et permettre aux roulettes 7 du chariot de se déplacer sur leur chemin de roulement, on peut avantageusement faire usage d'un mécanisme compensateur à levier.
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IMPROVEMENTS TO MACHINES USED TO EMBOSS AND .SLAP.LEATHER
OR SIMILAR SUBSTANCES.
The present invention relates to machines used for embossing or embossing and smoothing leather and similar substances and, more particularly, machines of the kind comprising in combination, a fixed plate, a reciprocating carriage carrying a tool, for example. - ple in the form of an engraved pattern roller, intended to cooperate with said plate and to perform a reciprocating movement with respect to it and a flexible mat or cushion interposed between the plate and the tool.
The invention is mainly intended to be applied to an embossing and smoothing machine of the so-called "Gloria" machine type, in which the plate is ordinarily supported below one or more horizontal members located at the top of the plate. machine, while the reciprocating carriage is provided with rollers or rollers intended to roll on one or more horizontal members located at or near the base of the machine, said upper and lower members being associated with vertical columns provided at opposite ends of the machine Up to this day in a machine of the aforementioned Gloria type, a reciprocating motion has usually been imparted to the tool carriage below the cushion and the relatively fixed plate,
Using a mechanically operated screw or chain drive When using a controlled screw, the control means of the tool carriage comprises reversing belts, while reversing clutches are usually incorporated into the tool carriage. a chain transmission The thrust that the tool must exert on the work inserted between the flexible cushion and the plate to emboss and smooth it is, usually obtained by means of powerful springs, and any variation of a such thrust is effected with the aid of aiming devices. In addition, in an embossing and smoothing machine of this particular type, it was heretofore necessary for the tool to perform its reciprocating movement over a total distance of much greater than the effective length of the fixed plate,
in order to leave the space necessary to insert the item between this plate and the cushion.
It is obvious that this need to move the tool beyond
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ends of the table results in a considerable increase in the total length of the machine.
The present invention aims to overcome the last mentioned drawback by causing the tool to work within the extent of the fixed platen, which shortens and saves time. space it occupies.
In accordance with the invention, the tool of a smoothing and embossing machine of the aforementioned type is movable in a direction suitable for allowing said tool to be separated from the working face of the plate, in order to allow 'insert the work between the cushion and the tray, and said tool is intended to be pushed towards and against this face to work on the work, so that its reciprocating movement can be limited to the length effective plateau
The arrangement is such that, at the end of the travel of the carriage, the latter stops and the tool separates from the work to allow the replacement or a return to position of the said work, after which the tool closes again against the structure and the carriage is put back in,
walking for a reverse run
Other characteristics of the invention will become apparent in the course of the description given below, made with reference to the appended schematic drawings, illustrating the application to a Gloria embossing and smoothing machine of a. embodiment of a hydraulic control mechanism making it possible to achieve the buta which the invention proposes, In these drawings: @ Figure 1 is a schematic representation, with partial section, of the parts of the machine to which they are connected. relates to the present invention and to the hydraulic circuit;
this figure showing a neutral position, in which the pressure roller is lowered for the introduction of a skin, prior to the action of said roller on this skin, and
Figure 2 is a schematic view, similar to Figure 1, but in which the carriage carrying the pressure roller is shown while performing a working stroke.
In these drawings, the platform, designated by 1, is located below one or more horizontal support beams (one of which is shown at 2) to which it is attached. The beam 2 is fixed on vertical columns 3 and 4 provided at the opposite ends of the machine, and there is provided at the base of the machine or near it one or more other horizontal beams 5 for fixing and support. end columns 3 and 4. The upper flange 6 of the beam 5 constitutes a rolling track for the rollers 7 of a tool-holder carriage 8, driven by a reciprocating movement.
The tool consists of a roller 9 which penetrates into an opening made in a table 10 fixed between the uprights 3 and 4. Above the opening of the table 10 is stretched a flexible cushion 11 intended for to support the work, which is assumed to be a skin 12 in Figure 20
The cushion 11, of usual shape, is suitably fixed. at its ends, by adjustable tension members (not shown) o
It has not been shown in the drawings and it will only be alluded in the following description to a single roll, but it goes without saying that two such rolls could be used,
suitably arranged and interconnected to work in concert The shaft 13 of the roller 9 is mounted in bearing blocks 14 intended to slide vertically in a frame 15 carried by the carriage 8, in order to bring the roller closer or further away 9 of the underside of the plate 1. The blocks 14 receive their vertical movement from a piston 16 sliding in a cylinder 17 carried by the carriage
8.
On the carriage 8 is also mounted and fixed a horizontal cylinder
18 in which are housed two fixed pistons 19 and 20 which are placed very
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close to each other and divide the working space of cylinder 18 into two parts 21 and 22. Pistons 19 and 20 are carried respectively by rods 23 and 24 arranged along the axis of cylinder 18 over the entire length. length and beyond said cylinder, each of said rods being fixed to the corresponding column, 3 or 4, inside a bracket 25.
It can therefore be seen that the coaxial rods 23 and 24 and their pistons 19 and 20 are fixed and act as beams so as to stiffen the cylinder 18 during its movement with the carriage 8. It can also be seen that this set of .pistons could be replaced by a single piston, which would be provided with rods extending from both faces of that piston and that in fact the pistons 19 and 20 are the equivalent of a single double piston. effecto
The piston rods 23 and 24 have axial holes 26 and 27, respectively, which communicate near the pistons 19 and 20, with the spaces 21 and 22 of the cylinder by radial ducts 28 of short length. At their outer end, the holes 26 and 27 are connected to pipes 29, 30, respectively, which terminate in a supply tank 31 containing oil.
On a console 32 of this reservoir 31 is mounted an electric motor 33 at constant speed which actuates a pump 34 at constant flow. This pump lifts the oil from the reservoir through a pipe 35 and delivers it through the intermediary of a hand control valve 36, a connection 37 of which communicates with the reservoir 31, in a pipe 38 leading to a main control valve of the four-way reversing distributor 39.
From this pipe 38 by a connection leading to an oil pressure gauge 40, another connection leads to a purge valve 41 returning the oil to the reservoir 31 via another pipe 420
A fourth pipe 43 immersed in the oil of the reservoir is provided with a hand metering valve 44, which makes it possible to vary the flow rate of the oil stream passing through this pipe, whatever the pressure. oil, and a spring-loaded check valve, 45, the role of which will be explained later.
The pipe 43 also communicates with the four-way valve 39.
The valve 39 contains a piston-valve which can be moved to any of three positions, the first of which is illustrated in FIG. 2 and which is the working position, in which a passage communicates the oil from the valve. pipe 38 with pipe 29, from where this oil passes through the axial hole 26 in the space 21. The path followed by the oil through the valve 39 in this position is shown in dotted lines in Figure 2.
This stream of pressurized oil, acting on the left end of cylinder 18, causes this cylinder and, consequently, of the carriage 8 to move to the left o The oil contained in the space 22 during contraction is driven through the axial hole 24 and the pipe 30 towards the valve 39, where it is able to follow a path, also indicated by dotted lines, allowing it to return to the reservoir through the pipe 43.
In the second possible position of the valve 39, the flow of pressurized oil goes from the pipe 38 to the pipe 30, so as to move the cylinder 18 in the opposite direction. In this case, the return current goes from pipe 29 to pipe 43 passing through valve 39. The third position of this valve is a neutral position in which the two spaces 21 and 22 of the cylinder communicate freely with the inlet pipe. 38 and the drain pipe 43 (see figure 1).
The valve 39 is controlled by the intermediary of a linkage. To this end, the piston 46 of this valve is connected to a control rod or rod 47 on which pivot by one of their arms two bent levers 48 and 49 which are supported to pivot around a fixed point 50, 51, respectively . The free arm of each of these angled levers carries a roller 52 on which the mutually opposite faces 53 and 54 of a cam 55 mounted on the underside of the carriage 8 are intended to act.
The construction and arrangement are such that whenever the carriage is about to wait for the end of a stroke in either direction, the cam 55 hits the roller 52 of the appropriate elbow lever 48 or
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49, which causes the pivoting of this lever, and, by means of the rod 47, the displacement of the piston 46 of the valve 39 and the bringing of this piston-valve to the neutral position.
Thus, for example, when the carriage reaches the right end of its movement, the roller 52 of the elbow lever 49 descends on the cam face 54 and arrives on the underside of the cam 55, that is to say. - say in the position indicated in figure 1; the link 47 being thereby moved to the left.
To the arm 56 of the bent lever 48 is connected another link 57, one end of which is pivotally connected to a cam 58 sliding on a fixed part of the machine. This sliding cam 58 is similar to the cam 55 in that it has two bevels 59 and 60 and a horizontal underside 61 With this cam cooperates a roller 62 mounted on a rod 63 which is fixed to the piston-valve of the purge valve 41 At its opposite end, the connecting rod 57 is pivotally connected to one of the arms of a three-arm pivot lever 64, the other arms of which are connected to suspended pedals 65 and 660
When the carriage reaches one of its extreme positions, for example that of FIG. 1, the resulting movement of the link 47 causes the movement of the link 57 and the movement of the cam 58,
so that the roller 62 descends on the underside 61 of this cam. This causes the opening of the valve 41 to allow the oil from the pipe 38 to return to the reservoir 31 via a bypass duct when the machine is in the neutral state (FIG. 1). To restart the machine and start the movement of the carriage from right to left, the operator lowers the appropriate pedal, which in this case is pedal 65. As can be seen from FIG. 2, the result is the pivoting of the lever 64 and the displacement of the cam 58 to the left, this displacement having in turn the effect of again causing the piston 46 to move to the left, through the intervention of the arm 56 and the lever 47, to bring the valve 39 at a suitable suitable working position.
At the same time, the rod 63 of the valve 41 receives an upward movement which causes this valve to close.
It can be seen that when the bent lever 48 receives an oscillation from the cam 55 at the end of its new stroke, the resulting movement of the rod 47 returns the bent lever 49, while the movement of the rod 57 has the effect of returning the lever 64 to its starting point to recall the pedals, and it is the same at the end of the travel of the carriage 8 in the other direction.
At the lower end of cylinder 17 is connected a pipe 67 provided with two connections 68 and 69 which communicate with openings made at a certain distance from each other in a housing 70, fixed to cylinder 18, and in which slides a piston-valve 71. The housing 70 has at its ends other openings, which communicate by pipes 72 and 73 with the spaces 21 and 22 of the cylinder 18, respectively. It can therefore be seen that when one of these spaces receives pressurized oil, as is the case with space 21 in FIG. 2, a portion of this oil passes through pipes 72, 68 and 67 in the cylinder 17 to act on the lower face of the piston 16 and push the tool 9 against the cushion and the opening.
At this time, oil is sucked out of the space 22, which decreases the pressure in the pipe 73 and allows the piston-valve 71 to move to the right to open the lumen allowing the passage of the gas. oil flow in connection 68. In the movement of the carriage from left to right, the reverse takes place, the piston-valve 71 being moved to the left
However, the resistance offered to the return flow of the oil can be regulated by an appropriate adjustment of the check valve 45, which then acts so as to develop a pressure in the inlet pipe (29, in this case). sufficient to lift the roller 9 and exert a slight push on the work before the carriage begins to move.
The thrust of the roller 9 on the work then remains constant, or approximately
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ever constant, depending on the adjustment positions of the tap 36 and the check valve 45, whatever the speed of the carriage, which is now controlled by the speed regulator or metering valve 44
In the neutral position;
the piston 16 descends by the effect of its own weight, so that it forces the oil out of the cylinder 17 through the pipe 67 and the appropriate pipe 29 or 30 to bring this oil back into the reservoir via the piston-valve 390
Thus, the sequence of operations is normally such that, after the work has been properly placed on the flexible cushion 11, the operation of the appropriate pedal 65 or 66 causes the movement of the roller 9 towards the face of the plate 1 of. so as to keep the work raised against this plate, by means of the cushion, after which the carriage 8 performs a race in one of the directions. At the end of this stroke, when the carriage is stationary again, the roller is moved away from the face of the table to release the work.
The freed work is then either moved on the cushion so as to present another portion of said work to the platform, or entirely removed from the machine and replaced by another worked In either case, the lowering the other pedal causes the roller to rise again towards the face of the plate, in order to keep the work pressed against the latter, and a stroke of the carriage in the opposite direction to the previous one, stroke at the end from which the roller 9 is moved away from the face of the plate, and so on.
It will also be appreciated that, by operating the pedals at the desired time, the operator can, if desired, communicate to the carriage a series of strokes before it reaches the rest position and the roller. 9 separates from the board.
In this example, the machine is provided with a soot device consisting of a guard piece 74 which is suspended from angled levers 75 and 76 and which covers the opening or opening existing in the machine between the plate 1 and the table. roller 9 and by which the placement of a skin 120 takes place.The angled levers 75 and 76 are supported to pivot about fixed axes of the machine and are articulated to a common rod 77, and the angled lever 76 carries a counterweight 78. The connecting rod 77 is connected, by means of another bent lever 79 and a rod 80, to a suspended cylindrical weight 81 which slides vertically in a fixed guide 82.
In this guide moves horizontally, across the path of the weight 81, a slide 83 pierced with a central opening 85 and which is connected by a rod 84 to the piston-valve 46 of the valve 390
The arrangement is such that when the piston 46 has been brought to the neutral position (Figure 1), the opening 85 of the slide 83 is located opposite the weight 81, which can thus fall through said opening thereby causing raising the guard piece 74 so as to allow the worker servicing the machine to have access to the opening of the machine.
As the slide 83 is controlled by the piston 46, each time the roller 9 is lifted and the carriage 8 is in motion, the weight 81 must be lifted, so that the guard piece 74 is lowered. it is clear that the valve piston 39 cannot be moved away from its neutral position to begin these operations until the counterweight lever 78 has been operated by the worker to lower the workpiece. guard and lift the weight 81.
When the roller 9 exerts a thrust on the work, the upper and lower bins tend to flex ;, To allow this flexing without modifying the thrust exerted by the roller 9 on the work and to allow the rollers 7 of the cart to move on their track, one can advantageously make use of a compensating lever mechanism.