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Métier à Hier
La présente invention concerne les métiers à filer et plus particulièrement les métiers continus à filer à anneaux.
Dans un type usuel de métier continu à filer à anneaux, .la mèche sans torsion passe par une section d'étirage composée d'un certain nombre de paires de galets tournant à des vitesses augmentant progressivement et ensuite par un guide-fil placé au- 'dessus de la bobina à un curseur mobile autour dtun anneau entourant la base de la bobine.
Le mouvement du curseur file la mèche en for- mant un'fil et enroule le fil filé sur la bobine, Le mouvement 'de rotation à grande vitesse du curseur produit un ballonnement 'du fil entre le guide-fil et les galets étreurs, La machine usuelle 'utilise un anneau a. va-et-vient ayant un mouvement montant et descendant, la longueur constante des courses de descente étant plus courte d'une faible mesure que celle des courses montantes, .
de sorte qu'il, en résulte une montée progressive de l'anneau et une formation ou un grossissement progressif de la bobine, Lorsque l'anneau s'élève, le ballon devient plus court'et la force centri- fuge produit uns augmentation de tension dans le fil en augmentant par suite ses ruptures. Pour cette raison, il faut réduire la Vitesse du métier pour éviter l'augmentation de tension, On a constaté qu'il y a une distance optimum entre l'arbre d'étirage et le porte-anneau à laquelle le filage et l'enroulement du fil
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sont effectués dans les meilleures conditions.
Plusieurs essais ont été faits pour maintenir la distan- ce optimum sur une période aussi longue que possible de la levée.
Afin d'obtenir cet avantage, plusieurs fabricants de métiers continus à filer à anneaux utilisent un mécanisme pour abaisser les broches à bobines en combinaison aveo un porte-anneaux animé d'un mouvement de va-et-vient ou fixe. En ce faisant, il est nécessaire également d'abaisser les mécanismes d'entraînement des broches, pui fonctionnent usuellement à très grandes vitesses de rotation. Ce procédé tend à favoriser la vibration due au montage non rigide des pièces tournant à grande vitesse, ce qui produit des conditions non satisfaisantes.
Pour résoudre ce problème, la présente invention propose de maintenir les broches et leurs mécanismes d'entraînement dans un endroit fixe afin d'assurer l'avantage du montage rigide et dtêlever la section d'étirage qui est constituée par un certain nombre d'arbres tournant à faible vitesse, afin de maintenir la distance optimum entre l'arbre d'étirage et le porte-anneaux.
L'invention vise notamment à créer un dispositif pour commander le mouvement de montée de la section d'étirage) qui soit commandé par et en synchronisme avec le mécanisme imprimant un va-et-vient au porte-anneaux,
Un autre but est de créer un nouveau mécanisme dten traînement de la section d'étirage qui assure une commande constante et positive des galets d'étirage sur la totalité du mouvement de montée de la section d'étirage.
L'invention s'ztend aussi à un dispositif. servant à éle- ver le guide-fil et l'arrêteur de ballon en synchronisme avec le mouvement de montée progressif du porte-anneaux, afin, que toutes les distances relatives critiques entre le porte-anneaux, le guide-fil, l'arrêteur de ballon et l'arbre d'étirage soient maintenues.
Sur des métiers usuels, la section d'étirage est , constituée par cinq arbres. L'étirage maximum usuellement obtenu @ est approximativement 10 à 1, afin de produire un fil uniforme de
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haute qualité, Ces étirages supérieurs ne peuvent être obtenus qu'aux dépens de la qualité, du fait que la mèche est composée de fibres' de diverses longueurs.
Certains métiers ont été transfor- més en métiers à fort étirage en utilisant de petites courroies passant sur les trois arbres disposés immédiatement au-dessus de l'arbre d'étirage. Etant donné que ces courroies nécessitent un entretien considérable, ainsi que l'emploi de mécanismes tendeurs et de guides, on conçoit que ce procédé n'est pas une solution pratique des problèmes du fort étirage, même en supposant que ces courroies contrôlent de courtes fibres aveo un bon degré d'éffica- cité,
Le but de l'invention est de créer une section d'étirage ayant plus des cinq arbres d'étirage usuels pour assurer une meilleure commande des fibres, ce qui permet des étirages supérieurs sans sacrifier la qualité, tout en supprimant l'emploi de courroies,
dispositifs de tension, guides et autres accessoires,
L'invention s'étend aussi à une plaque nettoyeuse perfectionnée pour le galet d'étirage. Elle vise encore 4'% empêcher le bouclage, l'emmêlement nu le mélange de deux fils adjacents si l'un d'aux se casse, puis elle orée un dispositif pour renverser le sens de rotation des broches sans inverser la section d'étirage ou d'autres parties du métier et sans qu'il soit nécessaire d'ajou- ter pu de remplacer des engrenages lorsque le renversement' doit 'être' fait,
D'autres buts, caractéristiques et avantages de l'in- vention ressortent d'ailleurs,,
de la description détaillée qui suit d'une forme de réalisation pratique préférée de l'invention en' liaison avec les adessins annexée,
Dans ces dessins :
La fig, 1 est une élévation latérale partielle d'un métier à filer conforme à l'invention, dont certaines parties sont arrachées.
,La fig. 2 est une coupe transversale verticale du mé-
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tierà filer représenté à la fig. 1.
La fige 3 est une vue à plus grande échelle d'une partie du métier représenté à la fige 2, l'un des vérins soulevant la section d'étirage étant repr ésenté en coupe.
La fige 4 est une élévation latérale partielle à plus grande échelle du métier, certaines parties étant arrachées pour montrer le mécanisme de formation de la bobine et les parties coopérantes de l'invention.
La fige 5 est une vue de.l'armature du bâti, du support d'étirage, des vérins et du méoanisme de commande des moteurs des vérins.
La fig. 6 est une vue du bâti d'extrémité du mêti montrant le train d'engrenages mobiles de oommande de la section d'étirage, la position des engrenages lorsque la section d'étirage est en position abaissée étant représentée en traits pleins et la position supérieure étant représentée en traits interrompus,
La fig. 7 est une coupe longitudinale verticale de l'extrémité de commande du métier.
La fig. 8 est une coupe horizontale de la transmission de commande montrant la commande des broches et la prise de force pour les autres parties mobiles du métier.
La fige 9 est une coupe suivant la ligne 9-9 de la fig. 4 montrant la commande à roues à chaîne allant du moteur aux vérins d'élévation de la section d'étirage'et le secteur commandant la position des arrteurs de ballon.
, La fige 10 est une vue de face du premier élément de bâti intermédiaire de droite représenté à la fig. 1, montrant le mécanisme de commande des guide-fils.
La fig. 11 est une coupe horizontale du premier bâti intermédiaire représenté à la fig, 10, le mécanisme de commande des guides-fils étant représenté en plan.
La fige 12 est une coupe verticale suivant la ligne 12- 12 de la fige 5, les interrupteurs de fin de course du mécanisme élévateur de la section d'étirage étant représentés en élévation. ¯
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La fig, 13 est un schéma du circuit électrique du moteur du mécanisme élévateur de la section d'étirage.
La fig. 14 est une coupe verticale suivant la ligne 14-14 de la fig. 7 montrant le mécanisme d'entraînement de la section d'étirage à six galets.
, La fig. 15 est une vue de face d'une partie du mécanis- me d'étirage montrant le dispositif d'étirage à six galets et le galet empêchant l'emmêlement.
La fig. 16 est une coupe horizontale de l'un des vérins élévateurs suivant la ligne 16-16 de la fig, 3.
'La fig. 17 est une coupe verticale de l'arbre d'étirage et des galets associés montrant en coupe la plaque nettoyeuse de l'arbre d'étirage.
La fig. 18 est une coupe suivant' la ligne 18-18 de la fig. 17.
La fig. 19 est une coupe horizontale du dispositif formant la bobine montrant l'agencement du mécanisme.
Sur les dessins annexés, l'invention est illustrée oom- me étant appliquée à un métier à filer usuel d'une façon générale.
Ces métiers ont ordinairement une très grande longueur et les bâtis verticaux 1 portent des barres longitudinales la, qui supportent des rangées de broches porte-bobines le long de chaque coté, chaque rangée étant constituée par un certain nombre de.broches 2. Une section d'étirage 3 est placée au-dessus de chaque rangée de broohea et des bobines à mèches 4 sont maintenues au-dessus du métier de la manière usuelle sur des consoles 5. Les mèches arrivant des bobines 4 sont enfilées sur des barres de guidage
6 traversant la section d'étirage 3 et des guides-fils 7 pour atteindre les broches.
Chaque broche 2 est entourée par un anneau 8 sur lequel un curseur 9 est monté de façon à pouvoir tourner libre- ment; Les anneaux 8 sont montés sur une barre porte-anneaux
10 'composée d'éléments avec plusieurs anneaux sur chaque élément et des éléments sont reliés par des consoles 11.
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Au cours de la formation de la bobine, après avoir passé par le guide-fil 7, la mèche est enfilée à travers le curseur 9 etelle est ensuite attachée au tube de papier usuel 12 qui. est placé sur la broche. La broche est mise en rotation très rapidement au moyen d'une courroie 13 depuis le tambour 14 d'entraînement des broches. La rotation de la broche est beau- coupe plus rapide que le passage de la mèche à travers la section d'étirage.
Le mouvement de rotation rapide de la broche fait tourner le curseur 9 autour de l'anneau 8 en imprimant une torsion à la mèche entre le curseur et l'arbre d'étirage, en filant le fil, le fil n'est enroulé sur la broche qu'aussi vite qu'il est fourni par la section d'étirage L'anneau 8 est du type à va-et-vient, il prend un mouvement alternatif vertical, la course mont-ante étant légèrement plus longue que la course descendante pour produire une montée progressive de l'anneau au cours de la formation de la bobine.
Comme on l'a mentionné ci-dessus, le mouvement rapide du curseur autour de l'anneau amène le fil à former un ballon vers l'extérieur, comme représenté à la fige 3, en produisant dans le fil- un effort de tension qui tend à le casser, Lorsque la distance diminue entre l'anneau et la section d'étirage, la ballon devient plus court et la tension augmente.
Pour conserver Davantage de la distance optimum entre la section d'étirage et l'anneau, la présente invention orée des moyens pour élever la section d'étirage, suivant des progressions sensiblement égales aux mouvements du porte-anneaux à'partir d'un point prédéterminé de la formation de la bobine jusqu'à ce que celle-ci soit sensiblement achevée.
Pour produire cet effet, la section d'étirage, qui est composée d'un certain nombre de galets s'étendant dans le sens de la longueur du métier et qui sont supportés par une barre d'étirage 15 est montée pour recevoir un mouvement vertical au moyen de paires de bielles parallèles articulées 16 ayant chacune une extrémité articulée au bâti 1 du métier et l'autre extrémité arti- culée au bâti de la section d'étirage. Les bielles parallèles.
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maintiennent un alignement vertical parfait de le section d'étirage sur toute la portée de mouvement vertical.
Une série de vérins à vis 17,'ayant leurs extrémités inférieures articulées au b$,ti du métier,' comme.indiqué en 18, et leurs extrémités supérieures arti- culées à la barre d'étirage, comme indiqué en 19, servent à élever la section d'étirage, Le mouvement des vérins à vis est amorcé et réglé par'" le mécanisme assurant le va-et-vient du porte-anneaux de la façon et à l'aide des moyens déorits plus loin.
Un type bien connu de mécanisme imprimant le va-et- vient,au porte-anneaux est représenté aux dessins dans lesquels les consoles ou supports de plaque 11 du porte-anneaux sont fixée des tiges 20 pouvant prendre un mouvement alternatif vertical, Une chaîne 22 est fixée en' 21 à l'extrémité intérieure de chacune Ides tiges 20 ; ces chaînes s'élèvent et passent sur les poulies 23 'pour être attachées à une barre horizontale 24 à 'mouvement alternatif. Une autre chaîne 25 est attachée à la barre ' 24, passe autour d'une poulie 26 et descend à un tambour à chaine 27 sur un dispositif 28 "do formation de bobine. Le tambour 27 est monté sur un arbre 29 s'étendant vers l'extérieur près d'une extrémité du dispositif formant la bobine. L'extrémité opposée de ce dispositif est articulée au bâti du métier en 30.
Un galet, 31 est monté.sur le dessus du bâti du bobinoir pour rouler sur la surface d'une came 32, fixée à l'arbre 33 relié au mécanisme d'entraînement du métier. Lorsque la came 32 tourne, le bobinoir 28 est amené 4 osciller autour de son pivot 30 en tirant la chaîne 25 de haut en bas et en faisant déplacer la barre
24 vers la droite suivant les fig..4 et 5. Le mouvement de la barre
24 déplace les chaînes 22 élevant le porte-anneaux 10. Lorsque la came 2 continue à tourner en amenant son point bas contre le galet 31, le poids du porte-anneaux amené les divers éléments à prendre leurs positions originelles. Ainsi, la rotation de la came fait prendre un mouvement de va-et-vient vertical au porte- anneaux.
Pour assurer une course montante légèrement plus longue
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que la course descendante du porte-anneau, afin de produire une montée progressive du porte-anneaux au fur et à mesure de la formation de la bobine, le tambour à chaîne 27 du bobinoir est tourné de fractions de tour à chaque course de descente du bobinoir en enroulant une partie de la chaîne 25 et en produisant un mouvement progressif de la barre 24 vers la droite et un mouve- ment de montée correspondante du porte-anneaux. Ceci est effectué' au moyen d'un crochet 34, monté sur l'arbre 35 tournant dans le bâti du bobinoir.
A l'intérieur du bti, l'arbre 35 porte une roue hélicoïdale 36, qui engrène -avec une vis sans fin 37 portée par l'arbre 29 du tambour à chaîne, de sorte que le mouvement du rochet 34 fait tourner la tambour 27. Le rochet 34 est tourné au moyen d'un cliquet 38, articulé sur une console 39, tournant sur l'extrémité de l'arbre 35. L'extrémité extérieure de la console 39 est suspendue au moyen d'une chaîne 40 à la barre la du bâti. Lorsque le bobinoir pivote de haut en bas sous l'action de la oame 32, la console 39 pivote autour de l'arbre 35 et le cliquet 38 fait tourner le rochet d'un nombre prédéterminé de dents en enroulant la chaîne 25.
Un cliquet d'arrêt 41, muni d'un contrepoids, est monté sur un pivot supporté par le carter du bobinoir et maintient le rochet dans la position réglée en l'empêchant de tourner en arrière.
Les vérins à vis 17, qui élèvent la section d'étira- ge, sont commandés depuis un arbre 42, s'étendant sensiblement sur toute la longueur du métier. 1,'arbre 42 est mis en rotation, au moyen d'une commande à chaîne 42', depuis le moteur 43 qui est commandé par le mouvement de la barre horizontale 24. 'Chacun, des vérins 17 comporte un carter inférieur 44 renfermant une roue hélicoïdale 45 en prise avec une vis sans'fin 46, disposée sur l'arbre 42, Cet-arbre traverse le carter du vérin et est supporté pour tourner dans celui-ci.
'La roue hélicoïdale 45 est clavetée sur l'extrémité inférieure d'un arbre fileté 47 s'élevant verticalement au- dessus du carter inférieur 44 et qui est renfermé dans une
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enveloppa tubulaire 48 fixée au carter inférieur 44. Une pièce cylindrique 49, comportait une partie taraudée 50, destinée à. coopérer avec l'arbre fileté 47 pour monter lorsque l'arbre 42 est mis en rotation par le moteur 43 est disposée télescopiquement dans l'enveloppe tubulaire 48.
Le moteur est oommandé au moyen d'une barre 51 de la section d'étirage qui est placée horizontalement juste au- 'dessous de la barre horizontale 24 près de l'extrémité de commande du métier. Ainsi qu'on l'a précédemment expliqué, la barre horizontale 24 prend un mouvement oscillant longitudinal en progressant graduellement vers la droite suivant les fig. 4 et
5, Deux taquets réglables 52 et 53 sont disposés sur la barre
24 et coopèrent respectivement avec un micro-interrupteur normale- ment ouvert 54 et un micro -interrupteur normalement fermé 55, montés à un certain espacement sur la barre de commande 51.
Les micro-interrupteurs '54 et 55 sont compris dans un circuit -de commande du moteur 43.
Les positions respectives des taquets 52 et 53 et des micro-interrupteurs 54 et 55 sont telles que la barre 24 se déplace progressivement vers la droite jusque ce que la bobine soit formée dans une mesure prédéterminée avant que le taquet 52 frappe le premier l'interrupteur 54. L'oscillation plus générale de la barre 24 amène le taquet 52 à fermer le micro-interrup- tour 54 pour faire démarrer le moteur 43, de la façon qui , va tre décrite, le moteur actionnant les vérins à vis 17 et élevant la section d'étirage. Une cha2ne 56 est attachée à la section d'étirage. Elle descend et passe autour de la poulie
57, son extrémité opposée étant attachée à la barre de commande 51 pour la déplacer vers la droite lorsque la section d'étirage 's'élève.
La section d'étirage monte suivant des progressions sensiblement égales à l'élévation du porte-anneaux, mais chaqu e mouvement de la section d'étirage est produit plus rapidement que le mouvement analogue du porte-anneaux. Pour cette raison, lorsque le micro-interrupteur 54 a été actionne pour faire
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démarrer le moteur 43, la barre de commande 51 se déplace vers la droite à plus grande vitesse que la barre horizontale 24 en amenant le micro-interrupteur 55 à passer contre le taquet 53 qu'il actionne en coupant le circuit de commande et en arrêtant le moteur.
Le circuit de commande comporte deux relais pour mettre en marche, arrêter et inverser le moteur 43, ainsi que divers interrupteurs pour fermer et couper les circuits de ces relais. Comme le montre la fig. 13, le circuit comporte un conducteur 58 venant d'une source de courant de force, puis passe par l'interrupteur de sûreté manuel 59, le conducteur 60, le bobinage de relais 61, le conducteur 62, le micro-in- terrupteur 54, le conducteur 63, le micro-interrupteur 55, le conducteur 64, un interrupteur de fin de counse 65 pour com- mander la montée maximum de la section d'étirage et un conducteur 66 allant à l'autre pôle de la source de courant.
Lorsque le micro-interrupteur 54 est fermé par le mouvement de la barre horizontale 24 amenant le taquet 52 à frapper cet interrupteur, le circuit est fermé par le bobinage de relais 61 qui attire son armature et ferme les contacts 67,68, 69 pour fermer le circuit du moteur 43. L'excitation du relais 61 ferme aussi les contacts 70 qui établissent un pont shuntant l'interrupteur 54 et ferment un circuit de retenue pour main- tenir le courant passant par le bobinage 61 du relais après que l'on a relâché la pression momentanée fermant l'interrup- teur 54. Lorsque la barre de commande 51 se déplace, le micro-interrupteur 55 est entraîné et passe sous le taquet 53 qu'il actionne en coupant le circuit passant par le bobinage 61 du relais et en produisant la coupure du circuit du moteur.
Le mouvement subséquent des taquets 52 et 53 au-dessus du micro-interrupteur 55 n'a pas d'effet sur le circuit jusque après que l'interrupteur 54 ait été de nouveau actionné.
Lorsque la section d'étirage atteint sa limite supé- rieure de mouvement, un bras 71 attaché à la barre d'étirage
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15 frappe et actionne l'interrupteur de fin de course 65 qui est fixé au bâti du métier pour couper le circuit de commande afin d'empêcher une nouvelle montée de la section d'étirage.
L'interrupteur de fin de course 65 est placé de façon qu'il , soit actionné simultanément lorsque l'enroulement de la bobine est terminé ou à tout autre point prédéterminé.
Pour ramener la section d'étirage à sa position de départ, on utilise un second circuit. Celui-ci est monté en parallèle par rapport au premier mentionné et comprend le oon- ducteur 58, l'interrupteur 59, le conducteur 60, un bobinage de relais 72, un conducteur 73, un interrupteur à main normalement ouvert 74, un conducteur 75, un interrupteur de fin de course normalement fermé 76, des conducteurs 77 et 66 allant à l'autre côté de la ligne.
L'interrupteur de fermeture
74 excite le bobinage de relais 72, l'armature de ce relais est attirée et ferme les contacts 78, 79,80 en fermant le circuit du moteur, On voit par la fig. 13 que le courant allant au moteur est inversé, de sorte que lorsque ce circuit est excité, le moteur tourne en sens inverse pour abaisser les vérins 17 et faire descendre la section d'étirage. Simultané- ment à la fermeture des contacts 79, 80, 81 du moteur , des contacta, 78 sont fermés en shuntant l'interrupteur 74 pour établir un circuit de retenue maintenant le bobinage 72 du relais excité après que l'interrupteur 74 s'est ouvert.
Lorsque la section d'étirage atteint sa position la plus basse, le bras 71, placé sur la barre d'étirage frappe l'interrupteur de fin de course de descente 76 pour couper le circuit passant par le bo- binage 72 du relais en coupant ainsi le circuit du moteur. Lors- que la section d'étirage commence sa descente, le bras 71 quitte l'interrupteur de fin de course de montée 65 en rétablissant le circuit originel pour le faire fonctionner lorsque le taquet
52, placé sur la barre 24, frappe de nouveau l'interrupteur 54.
Bien que t'élévation de la section d'étirage maintienne le ballon optimum et réduise grandement la casse du fil, on a cons-
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taté que des résultats plus parfaits sont obtenue en prévoyant des guide-fils 7 et des arrêteurs de ballon 82, également mobiles pour assurer la mise en place convenable de la barre porte-anneaux, des arrêteurs de ballon, des guide-fils et de la section d'étirage à tous moments. Dans la présente réalisation de l'invention, les guide-fils restent fixes approximativement sur toute la première moitié de la formation de la bobine et ensuite, ou bien ils oscillent à l'unisson avec le porte-anneaux en s'élevant progressivement, ou bien ils sont élevés manuellement en avance sur l'élévation du porte-anneaux.
Les deux mouvements du guide-fil sont sous le contrôle de l'ouvrier conducteur et l'un ou l'autre peut tre utilisé à sa discrétion. Les arrêteurs de ballon se déplacent avec le porte-anneaux pendant toute la formation de la bobine..
Comme représenté, les arrêteurs de ballon sont constitués par des doigts 83, montés sur un arbre horizontal 84 s'étendant sur toute la longueur du métier. Les doigts sont écartés sur l'arbre et placés de façon à faire saillie vers l'extérieur dans chaque intervalle entre deux broches. L'arbre 84 tourillonne dans des consoles 85 qui sont fixées aux barres 20, prenant, un mouvement alternatif vertical, qui supportent le porte-anneaux.- Il est évident que lorsque le porte-anneaux exécute un mouvement alternatif et s'élève progressivement, les arrêteurs de ballon prennent aussi un mouvement alternatif et s'élèvent progressi- vement en maintenant une distance fixe entre le porte-anneaux et les arrêteurs de ballon.
Le mécanisme est conçu pour assurer un réglage des arrêteurs de ballon et pour leur permettre d'être tournés complètement hors du trajet pendant la levée., Pour effec- tuer cette opération, l'arbre 84 est muni d'un bras 86 pourvu d'un bonhomme à ressort 87 à son extrémité extérieure pour s'engager sélectivement dans l'un d'une série de trous 88 d'un secteur 89 porté par la barre porte-anneaux. Ceci assure un ré- glage angulaire des doigts 83 pour ménager des .distances relatives
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convenables entre la barre porte-anneaux et les arrêteurs de ballon.
Pour la levée, le bras de commande 86 peut être tourné de haut en bas jusque ce que le bonhomme à ressort 87 s'engage dans le trou @0, ce qui place aies doigts 83 dans une position sensiblement verticale, complètement écartés des bobines,
Les guide-fils 7 sont du type bien connu en "queue de cochon".et sont montés sur une barre 91. Cette dernière est sup- portée dans des consoles montées de façon à pouvoir coulisser sur des montants de guidage 93 qui servent aussi à guider la barre porte- anneaux.
Des bras équilibrés 94, fixés à un arbre 95, sont articulés à des consoles 92 pour supporter les guide-fils de façon mobile, L'extrémité de l'arbre 95 est munie d'un court bras 96, fixé à cet arbre pour tourner avec lui, "L'extrémité du bras 96 est coudée, comme indiqué en 97n pour se placer par dessus un levier de commande 98, monté librement sur l'arbre 95. Un levier 98 porte un cliquet 99, poussé par un ressort, pour venir en prise avec une crémaillère à dents de rochet 100, formée le long d'un bord d'une plaque 101 fixée au bâti du métier.
Lorsque la barre porte-anneaux s'élève progressivement au cours de son mouvement-de va-et-vient, les supports 11 de cette barre coulissent sur les montants de guidage 93, Lorsque la bobine est à peu près à moitié formée, les supports de la barre porte- anneaux atteignent le dessous des consoles 92 portant les guide- fils,. qui sont également montés sur les montants de guidage 93 et élèvent tout l'ensemble dugguide-fil. Ensuite, les consoles porte-guide-fils glissent sur les dessus des supports de la barre porte-anneaux en imprimant aux guides-fils un mouvement analogue à .celui du porte-anneaux.
L'opérateur peut faire varier le point auquel les supports du porte-anneaux tiennent en premier lieu en contact avec l'ensemble du guide-fil en modifiant le réglage du ' levier 98 par rapport la crémaillère 100. Il y a lieu de remarquer que le mouvement de l'ensemble des guide-fils à l'unis- son avec la barre porte-anneaux peut 'être effectué sans mouvement du levier 98 en raison du libre montage de ce levier sur l'ar- bre 95. Si le conducteur le désire, il peut élever le levier
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d'une encoche ou deux en avant du mouvement de la barre porte- anneaux pour empêcher le mouvement oscillant de l'ensemble des guide-fils.
Il est évident que le mouvement de montée du levier de commande 98 élève le bras 96 et imprime ainsi une rotation à l'arbre 95, ainsi que le mouvement d'élévation aux guide-fils,
Comme cela est bien connu en filature, les galets de la section d'étirage doivent 'âtre en mouvement continu pendant le filage. L'élévation de la section d'étirage pendant la dernière moitié de la formation de la bobine nécessite un nouveau mécanisme de la commande principale du métier à la section d'étirage se déplaçant de bas en haut.
La commande à partir d'une source convenable de force motrice passe dans une transmission 103 par l'arbre 104 et est prise à partir de l'arbre 105. Une oommande à chaîne 106 passe sur la roue à chaîne 107, montée sur l'arbre 105,. et une roue à chaîne 108 fixée à un arbre 109. Ce dernier porte égale- ment un pignon 110 en prise avec un pignon 111. Un plus petit pignon 112 est disposé concentriquement au pignon 111 et fixé pour tourner avec lui, puis est en prise aveo un pignon 113, monté sur un arbre 114, qui est porté par la bâti du métier'.
Le pignon 113, entratne, par l'intermédiaire d'un pignon 115, un pignon 116 qui est porté par la section d'étirage et assure sa commande. -Deux @ paires de bielles 117 et 118 sont prévues pour supporter le pignon 115 et commander son mouvement. Les bielles 117 ont une extrémité tournant sur l'arbre 114 et leurs extrémités opposées tournent sur l'arbre 119 qui porte le pignon mobile 115.
Les bielles 118 ont une extrémité tournant sur l'arbre 120 qui porte le pignon 116 et leurs,extrémités opposées tournant aussi sur l'ar- bre 119. Cette disposition permet au pignon 116 de s'écarter et des'approcher du pignon 113, le pignon 115,sous la commande des bielles 117 et 118 se déplaçant vers l'intérieur et vers l'extérieur entre des pignons 113 et 116 tout en restant oonstam- ment en prise avec ces deux pignons.
Le mécanisme décrit ci- dessus assure une commande constante de la section d'étirage et , permet à celle-ci d'être élevée et abaissée pendant les diverses opérations de filage et de levéeo
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L'arbre 120 est l'arbre de commande principal de la section d'étirage et est relié par l'embrayage 121 au galet d'étirage, ou galet à vitesse maximum 122. Les cinq autres galets
124, 125, 126, 127, 128 de l'ensemble d'étirage à six galets représenté 101 sont entratnés à partir du pignon 123 fixé à l'arbre d'étirage 122 au moyen d'un train d'engrenages 129.
Il y a lieu d'observer que :Les rapports de transmission des engrenages sont agences de façon que les galets individuels à partir de 124 en haut àt 128 en bas tournent à des vitesses augmentant progressi- vement... 'Cependant, le différentiel de vitesse entre ces galets n'est pas aussi grand qu'entre le galet 128 et le galet d'étirage
122. La majeure partie de l'action d'étirage se produit entre les galets 122 et 128.
La section d'étirage est constituée par six galets, comme décrit, contrairement aux systèmes usuels à cinq galets. En utilisant six galets, l'étirage maximum possible est élevé de 9 - 1 du système usuel à cinq galets à 15 - 1 ou plus.
Pendant l'étirage, de courtes fibres, c'est-à-dire des di fibres de longueur moindre que la distance entre les points de oon- trôle sur des galets adjacents, ne sont pas soumises au contrôle des galets et ont tendance à former des flocons ou bouchons, Plus l'étirage est grand et plus grande est la tendance à former flocons et à constituer un fil inégal. Cette tendance est maximum lorsque la mèche approche du galet d'étirage, mais elle peut se produire en tous points du système de galets de contrôle.
La présente invention résout le problème du contrôle des courtes, fibres en mettant deux galets dans l'espace occupé usuel- lement par le troisième galet du sytème ordinaire à cinq galets.
En d'autres termes, les galets 126 et 127 remplacent le galet unique qui occupe usuellement l'espace ménagé entre les galets 125 et 128. Il est évident que le remplacement d'un seul galet antérieurement utilisé par deux galets diminue la distande entre les points de contrôle dans cette région à une fraction de sa longueur antérieure.
Etant donné que cette zone est la plus
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critique après la région entre le premier galet de contrôle et le galet d'étirage, on bbtient un bien meilleur contrôle des fibres et des étirages bien supérieurs peuvent 'être utilisés sans nuire à la qualité du fil '
La disposition du sytème d'étirage à six galets résout le problème d'étirage supérieur d'une manière simple, le mécanisme ne nécessitant que peu ou pas d'entretien et étant facilement - accessible pour le nettoyage et les réparations. Des étirages supérieurs permettent une grande réduction du nombre de poids de mèches nécessaires pour produire divers poids de fils et simpli- fier ainsi l'opération de filage.
L'étirage du galet 122 est effectué seulement avec une friction considérable entre la mèche et le galet; ce qui fait adhérer les fibres et la filasse provenant de la mèche au galet d'étirage. Si le galet n'est pas nettoyé en enlevant ces fibres, elles s'accumulent en gênant l'action du galet et parfois elle s'attachent à la mèche pour produire une grosseur ou un élargissement du fil. De nombreux essais ont été faits pour nettoyer le rouleau avec divers degrés de succès.
La présente invention prévoit un galet revêtu de peluche 130 assurant le nettoyage en dessous, qui tourne contre la faoe du galet étireur 122 et deux bandes 131, 132 d'essuyage de feutre,. la bande 132 agissant sur le galet 128 et la bande 131 sur le galet d'étirage 122.
Le galet 130 et les bandes 131, 132 sont montés dans une gouttière ou enveloppe métallique allongée 133, qui est reliée à des leviers 134 pivotant sur le bâti de la section d'étirage en 135 et comportant des bras à contrepoids en porte-à-faux 136.' L'enveloppe 133 comporte des fentes 137 dans ses parois d'extrémité pour recevoir les tourillons du galet 130 et ses parois latérales sont tournées en arrière pour @ former de's évidements 138 sensiblement en U destinés à rece- voir des bandes de feutre 131 et 132.
Le poids des bras en porte-,' à-faux 136 fait pivoter le levier 134 autour de sonpivot 135 en basoulant l'enveloppe 133 vers les galets d'étirage, puis en amenant leur galet 130 et les bandes 131'et 132 en ferme
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contact avec le galet d'étirage 122 et le galet 128.gour enlever efficacement les fibres et la filasse des galets. Le bras 136 peut être soulevé de temps en temps en écartant l'enveloppe .des galets d'étirage, de façon que le galet 130 puisse 'être retiré pour le nettoyage et que les bandes de feutre puissent 'être brossées.
Au-dessous de l'arbre d'étirage 122 sont montés deux galets 139 et 140, le galet 140 ayant un diamètre relativement grnd et comportant plusieurs rainures périphériques 141 espacées le long de sa longueur. Les rainures 141 sont espacées de fa- con qu'il y ait une rainure au-dessus de chacun des guides-fils 7.
.Les rainures 141 sont relativement étroites et constituent des canaux d'emprisonnement de la mèche quand elle quitte les galets d'étirage. L'emprisonnement de la mèche dans lesrainures
141 élimine essentiellement le faux ballonnement entre l'arbre d'étirage et le guide-fil, puis sert à empêcher la jonction ou réunion de deux fils adjacents en cas de rupture de l'un des fils. On a constaté qu'il est avantageux de couvrir les sections de galets 140 entre les rainures avec de la peluche.
En se référant de nouveau au mécanisme de transmission
103, 11 a été indiqué--que ce mécanisme comporte un arbre d'entrée
104 et un arbre de sortie 105 qui fournit la force pour comman- der la section d'étirage, comme représentéaux fig, 7 et 8..En fait, toutes les parties mobiles du métier, à l'exception des broches, reçoivent leur force de l'arbre 105, 'Le mécanisme de ,. transmission 103 comporte un second arbre de sortie 142 auquel le tambour 14 d'entraînement des broches est directement relié, Cet arbre fournit la force seulement aux broches, La courroie 13 d'entraînement des broches- est de préférence du type bien connu, une courroie unique entraînant plusieurs broches.
Un réducteur de vitesse 103 oomporte un pignon d'inversion 143 qui peut tre déplacé pour inverser le sens de rotation de l'arbre du tambour à broches etpour inverser ainsi le sens de rotation des broches. De cette façon, l'enroulement des bobines et la torsion du fil peuvent être inversés par simple déplacement
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d'un pignon, sans qu'il soit nécessaire de remplacer des pignons par d'autres ou d'ajouter des pignons supplémentaires au mécanis- me d'entraînement. C'est à un facteur de sécurité important parce que des casses sérieuses peuvent se produire si des 'arbres d'étirage sont misen rotation en arrière du fait que les joints établis entre les sections d'arbres se dévissent.
Bien que le fonctionnement du métier ait été indiqué en liaison avec la description de la construction, un résumé du fonctionnement dans son ensemble aidera à la compréhension de l'invention. Lorsque le filage est commencé, le porte-anneaux 10, le guide-fil 7, l'arrê- teur de ballon 82 et la section d'étirage 3 sont tous à leurs positions inférieures. Lorsque le filage commence, le porte- anneaux commence son mouvement de va-et-vient, l'arréteur de ballon se déplaçant avec le porte-anneaux. Comme on l'a précédemment indiqué, la barre horizontale 24 prend un mouvement alternatif et se déplace progressivement vers la droite suivant les fig.
4 et 5 lorsque le porte-anneaux prend un mouvement de va-et-vient.
Quand la bobine est formée jusqu'à un point prédéterminé, le taquet 52, disposé sur la barre horizontale 51,frappe le micro-interrupteur 54 en faisant démarrer le moteur 43 pour élever la section d'étirage.3. Lorsque la section d'étirage s'élè- ve, la barre de commande 51 est déplacée vers la gauche en ' faisant passer le micro-interrupteur 55 sous le taquet 53 disposé sur la barre horizontale 24 et en coupant le circuit du moteur. Ce cycle d'opérations est répété pendant le reste de la formation de la bobine. Approximativement au même moment que celui où la section d'étirage commence à s'élever, les supports 11 du porte-anneaux ont atteint les consoles 92 dû guide-fil et l'ensemble du guide-fil commence à se déplacer à, l'unisson avec le porte-anneaux.
Lorsque la barre d'étirage at- teint sa hauteur maximum, le bras 71 actionne l'interrupteur de fin de course 65 pour couper le circuit commandant la moteur 43. Le porte-anneaux revient à sa position inférieure de la manière usuelle et ramène aussi le guide-fil et l'arrêteur de ballon à leunspositions de départ respectives- En,appuyant
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sur l'interrupteur 74 le moteur 43 est excité, ce qui le fait tourner en sens contraire, en faisant descendre les vérins 17 pour abaisser la section d'étirage. Lorsque la section d'é- tirage atteint sa position inférieure, le bras 71 actionne l'interrupteur de fin de course 76 en arrêtant le moteur.
On remarque que la montée ou la descente de la section d'étirage a pour effet que le bras 71 quitte les interrupteurs respectifs
76 et 65 en rétablissant immédiatement les circuits de commande respectifs pour l'utilisation subséquente.
REVENDICATIONS
1 - Dans un métier à filer, un bâti, un mécanisme de formation de bobine, une section d'étirage reliée au bâti pour prendre un mouvement vertical et un dispositif pour déplacer cette section d'étirage verticalement pendant la formation de la bobine.
2 - Dans un métier à filer, un bâti, un mécanisme de formation de bobine, une section d'étirage reliée au bâti pour prendre un mouvement vertical et un dispositif pour déplacer cette section) d'étirage verticalement pendant une partie prédéterminée .de.la formation de la bobine.
3 - Dans un métier 4 filer un bâti, des broches .sur ce bâti, un anneau à va-et-vient pour chaque broche, un dispositif pour imprimer un mouvement de va-et-vient auxdits anneaux, une section d'étirage reliée au bâti pour prendre un mouvement vertical et un dispositif pour déplacer cette section d'étirage verticale- ment pendant une partie prédéterminée du mouvement de va-et-vient des anneaux.
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