BE419202A - - Google Patents

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BE419202A
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    • DTEXTILES; PAPER
    • D01NATURAL OR MAN-MADE THREADS OR FIBRES; SPINNING
    • D01HSPINNING OR TWISTING
    • D01H3/00Spinning or twisting machines in which the product is wound-up intermittently, e.g. mules
    • D01H3/02Details
    • D01H3/04Carriages; Mechanisms effecting carriage movements
    • D01H3/08Drawing-out or taking-in motions
    • DTEXTILES; PAPER
    • D01NATURAL OR MAN-MADE THREADS OR FIBRES; SPINNING
    • D01HSPINNING OR TWISTING
    • D01H2700/00Spinning or twisting machines; Drafting devices
    • D01H2700/20Spinning mules; Transmissions
    • D01H2700/207Yarn delivery rollers; Drawing systems for spinning mules; Silver rollers

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  • Engineering & Computer Science (AREA)
  • Mechanical Engineering (AREA)
  • Textile Engineering (AREA)
  • Looms (AREA)

Description


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  " Métier renvideur à mécanisme de renversement du sens de rotation, de préférence pour   fil/peigne   et fil cardé " 
L'invention concerne les métiers renvideurs à mécanis- me de renversement du sens de rotation, de préférence pour fil peigné et fil cardé. 



   Dans les métiers renvideurs, on distingue les cylin- dres étireurs et le chariot, par lequel, dans un mouvement alternatif continu,le fil étiré, délivré par les cylindres étireurs est tendu et tordu lors de la sortie et est enrou- lé lors de la rentrée du chariot. 



   Dans les métiers renvideurs à mécanisme de renverse- ment du sens de rotation, ce mécanisme qui actionne les tambours et les broches et est lui-même actionné par un câble depuis la partie fixe du métier renvideur, se trouve dans le chariot. Dans la partie fixe du métier renvideur se trouve le moteur de commande, qui , par l'intermédiaire de l'accouplement de l'arbre moteur et d'un engrenage ,ac- 

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 tionne l'arbre de la roue de marche, qui, par une paire de pignons coniques, se trouve en prise avec l'accouplement des cylindres étireurs .

   Comme le moteur tourne constamment et que l'accouplement de l'arbre moteur, par lequel le mé- tier renvideur doit être arrêté par débrayage de l'accou- plement, est embrayé lors du filage, pendant ce dernier, que le chariot rentre ou sorte, la douille ou botte montée folle sur l'arbre des cylindres étireurs et portant l'ac- couplement des cylindres étireurs tourne constamment,sans que l'arbre des cylindres étireurs doivent tourner avec elle. Cette douille porte encore un engrenage pour la com- mande de l'accouplement de l'arbre de main-douce ou de sor- tie du chariot sur l'arbre de main-douce, sur lequel est montée aussi la poulie de main-douce, qui tire le chariot vers l'extérieur lors de sa sortie, la vitesse du chariot étant déterminée par le nombre de dents du pignon ou roue de main-douce .

   La commande du chariot se fait aussi par l'intermédiaire de l'arbre de la roue de marche. Celui-ci doit cependant commander aussi les cylindres étireurs par l'intermédiaire de l'accouplement des cylindres étireurs. 



  La douille ou boite tournant sur l'arbre des cylindres éti- reurs porte aussi, en plus du pignon conique actionné par l'arbre de la roue de marche, la partie extérieure de l'ac- couplement des cylindres étireurs. Jusqu'à présent, celui- ci dvait généralement la forme d'un accouplement par c8nes de friction. S'il est embrayé, le chariot sort, et il est immédiatement débrayé lors de la sortie du chariot. Da l'autre côté de l'accouplement des cylindres étireurs, le tambour à chaîne est connecté par des roues de commande;sur ce tambour la chaîne de traction ou de sortie, dont l'extré- mité libre est fixée au chariot s'enroule lors de la rentrée de celui-ci.

   L'accouplement des cylindres étireurs est commandé par un dispositif à cames, dont les parties 

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 en contact , qui jouent le rôle de cames, s'engagent les unes dans les autres de telle façon que la partie inté- rieure de l'accouplement à cônes de friction est déplacée vers la   douille/ Ou   boîte .A la fin de la course de sortie du chariot la traction de la chaîne cesse et l'accouple- ment des cylindres est débrayé par un ressort tendu anté- rieurement . 



   L'accouplement à cônes de friction permet un travail doux de la commande des cylindres étireurs, mais il provoque aussi, en cours de fonctionnement,des perturbations résultant du fait que souvent il ne se débraye pas mais patine ensuite de nouveau. Ceci provient de ce qu'on doit munir la partie intérieure de l'accouplement d'une garnitu- re en tissu ou analogue, jusqu'à laquelle de l'huile pénè- tre souvent. Tout ceci précisément conduit à des rapports de transmission totalement incontrôlables, étant donné qu'en général, la valeur de frottement de cet accouplement dépend de l'état des deux surfaces qui viennent en contact. 



  Ceci suscite de l'inquiétude, principalement pendant la sor- tie du chariot. Du fonctionnement par à-coups ou travail intermittent, des cylindres étireurs résultent des fils dits " coupés " ,, c'est-à-dire que le fil présente fréquem- ment des parties minces , de sorte que sa qualité diminue fortement. Par conséquent, si l'on provoque un embrayage rapide des deux moitiés de l'accouplement et ce aux mânes vitesses périphériques, cet inconvénient est supprimé. 



   On a déjà proposé d'employer un accouplement à griffes au lieu de l'accouplement à cônes de friction, mais ces griffes ne s'engrènent pas dans toutes les   position,  angu- laires , mais seulement dans les positions déterminées par la répartition des griffes. 



   Il en résulte qu'une commande des cylindres étireurs sous la dépendance du chariot n'est pas possible, de sorte 

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 que cette proportion n'âas-piiJéutssir. 



   L'invention supprime les inconvénients décrits ci- dessus en disposant comme accouplement dans la commande,en- tre l'arbre de la roue de marche et l'arbre de la roue den- tée, un accouplement à lamelles ou à disques, c'est-à-dire un   accouplement ,   dans lequel la partie commandée et la partie motrice se trouvent en contact sur une grande surfa- ce par l'intermédiaire de lamelles de préférence en acier et sont influencées de la façon voulue dans ce contact par des organes de pression.

   Une construction adoptée de préfé- rence consiste en ce   que):pour   presser l'une contre l'autre les deux séries de lamelles montées, d'une part, sur un bloc porté par l'arbre des cylindres étireurs et, d'autre part, sur une cloche entourant ledit bloc , il est prévu un plateau de pression pénétrant dans l'espace libre entre le bloc et la cloche, ledit plateau étant incapable ce tour- ner par rapport au bloc et étant commandé par un dispositif à cames actionné par le chariot et déplaçable en antagonisme avec la pression d'un ressort. L'immobilisation du plateau de pression par rapport au bloc s'effectue , par exemple, par des chevilles pénétrant dans des trous.

   Le rapport de transmission des roues de commande du tambour chaîne au dispositif, à cames doit être choisi ici sous la dépen- dance de la roue de main-douce , dont le nombre de dents est déterminant peur la vitesse de déplacement du chariot lors- qu'il sort, de façon telle que la cloche ne puisse jamais avoir tendance à imprimer aux cylindres étireurs une mouvement plus rapide que celui qui est rendu possible par le nombre de tours du plateau de pression- La tendance à communiquer un mouvement plus rapide aux cylindres étireurs, doit plutôt se manifester dans le plateau de pression,pour éviter avec certitude que la pression du plateau sur les séries de lamelles soit supprimée et que les cylindres éti- 

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 reurs ne puissent pas fonctionner par à-coups .

   A cet égard, le fonctionnement par à-coups des cylindres d'éti- rage dans le métier renvideur à mécanisme de renversement du sens de rotation faisant emploi d'un accouplement à cônes de friction était provoqué jusqu'ici intentionnellement, par le fait que les rapports de transmission étaient choi- sis tels que la vitesse périphérique de la moitié   in térieu-   re de l'accouplement soit plus petite que celle de la moi- tié extérieure de celui-ci. Or, ceci doit être désigné, suivant la présente invention, comme un défaut prononcé. 



  L'accouplement à lamelles embraye beaucoup plus rapidement que l'accouplement à cônes. Par conséquent, on peut appli- quer les mâchoires de frein du mécanisme de renversement du sens de rotation tellement vite que la rotation des bro- ches est rapidement accélérée. En outre, le chariot, et par conséquent l'accouplement de l'arbre de main-douce, n'est pas soumis à des efforts aussi considérables . Il en résulte que le chariot soit plus rapidement et   quon   peut donc pour une vitesse plus faible des broches obtenir le même rendement qu'avec un métier renvideur à accouplement des cylindres par cônes de friction. Le rapport est égal à 475:500 . Dans ce cas, on économise de la puissance . Cela signifie, d'autre part, que pour la même dépense de puis- sance on obtient un plus haut rendement du métier renvideur dans l'unité de temps. 



   Il est extrêmement important aussi que grâce à l'accé- lération plus rapide de la rotation des cylindres étireurs par suite de   l'embrayage/plus   rapide de l'accouplement à lamelles, la réserve de fil peut être plus petite, ce qui, par voie de conséquence, réduit à un minimum la formation des boucles de réglage, que l'on appréhende toujours. En même temps il devient possible, de devoir à peine intervenir à la main dans le fonctionnement du régulateur, c'est-à-dire 

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 qu'il s'effectue réellement une formation irréprochable du corps de fil. Du fait que les cylindres étireurs , par sui- te d'un fonctionnement défectueux de l'accouplement conique des   cylindres,   est retardé par moments, on obtient les parties plus minces dans les fils dits " coupés " .

   Ces parties lors de la torsion subissent naturellement plus de torsions que les parties de grosseur normale alternant avec ces parties plus minces. La sollicitation exagérée de ces dernières provoque des ruptures de fil. Dans le cas de   linvention,   le nombre des ruptures de fil est très consi- dérablement diminué; le rendement total est done augmenté et il en résulte aussi que le déchet est réduit. Par déchet on entend entre autres la matière constitutive du fil non tordue que;lors de la rupture du fil, les cylindres netto- yeurs tirent des cylindres d'étirage depuis la rupture du fil jusqu'à sa réparation. D'après des essais   effectués   avec soin, la rotation uniforme , et non plus intermittente des cylindres d'étirage, améliore très considérablement la qualité générale du fil.

   Ainsi, les valeurs de la longueur de rupture et de la torsion sont augmentées considérablement et la valeur de l'uniformité du fil est améliorée . La formation uniforme du fil, qui est la conséquence de   l'emplo@   d'un accouplement à lamelles entre l'arbre de la roue de marche et l'arbre des cylindres étireurs, suivant l'inven- tion, a aussi pour résultat qu'on peut tordre plus fortement le fil sur le métier renvideur, c'est-à-dire que le fil peut être sollicité plus fortement. 



   Le dessin représente un exemple de réalisation qui ne montre que l'accouplement des cylindres étireurs. 



   1 est l'arbre de la roue de marche, qui porte à son ex- trémité le pignon conique 2. Celui-ci actionne le pignon conique 3, qui est connecté par une cale 4 à la douille ou boite 5, qui est montée folle sur l'arbre 6 des cylindres 

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 étireurs, sans toutefois pouvoir se déplacer axialement sur celui-ci. Cet arbre 6 porte sur son extrémité opposée 5a une roue dentée 8, fixée par une cale 7, pour la commande de l'arbre de main-douce. La douille 5 s'élargit vers son extrémité opposée pour former une cloche 5b, qui porte une partie de la série de lamelles 9, Sur l'arbre 6 du cylindre un bloc 11 , qui porte l'autre partie de la série de lamel- les 9, est fixé par une cale 10.

   L'arbre 6 porte en outre un plateau de pression 13 pouvant être déplacé en antagonis- me avec un ressort à boudin 12, et dont le bord 13a pénètre dans l'espace annulaire entre le tambour 5b et le bloc 11 et presse ainsi les lamelles 9 les unes contre les   aut res.   



  Des chevilles 14 enfoncées dans le bloc 11 et pénétrant dans des trous 13b du plateau de pression 13 empêchent une rotation du plateau de pression par rapport au bloc. La compression des lamelles par pénétration du bord 13a du plateau est causée par la roue dentée 15, qui est fixée sur l'arbre 6 des cylindres par un palier de butée, et est commandée depuis le chariot. Entre cette roue dentée 15 fixe axialement et le plateau 13, 13a mobile axialement,se trouve un dispositif de commande dont les surfaces de con- tact actives 13c ont la forme de cames et opèrent le dépla- cement du plateau de pression 13, 13a jusque dans sa posi- tion de travail, le rappel de ce plateau étant chaque fois effectué par le ressort 12. 



   L'invention se rapporte aussi, avec les modifications aux convenables,   @   métiers renvideurs pour fil cardé. 



   REVENDICATIONS. 

**ATTENTION** fin du champ DESC peut contenir debut de CLMS **.

Claims (1)

  1. -------------- 1. Métier renvideur à mécanisme de renversement du sens de rotation, de préférence pour fil peigné et fil cardé,com- prenant un accouplement disposé dans la commande des cy- lindres étireurs ou de livraison entre l'arbre de la roue de marche et l'arbre des cylindres étireurs, caractérisé en ce <Desc/Clms Page number 8> que cet accouplement a la fourme d'un accouplement à lamel- les ou à disques..
    2. Métier renvideur suivant la revendication l,caracté- risé en ce que pour comprimer.les deux séries de lamelles (9) montées, d'une part, sur un bloc (11) et, d'autre part, sur une cloche (5b) s'engageant sur ledit bloc, el est pré- vu un plateau de pression (13, 13a) pénétrant dans l'espace libre entre le bloc (11) et la cloche (5b). , ledit plateau ne pouvant tourner par rapport au bloe et étant commande: par le dispositif (13c) à cames actionné par le chariet et susceptible d'être déplacé en antagonisme avec la pression d'un ressort (12).
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