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André GARDIN et René FLAHAUT
La présente invention a pour objet un perfection- nement aux appareils à sélectionner des fiches ou toutes pièces individuelles se distinguant les unes des autres par une ou plusieurs caractéristiques propres.
Ces appareils, tel celui visé par le brevet français n 479.575 déposé le 21 Août 1915, sont en général constitué* ainsi : Une boite contenant des cartes percées de trous dans lesquels s'engagent des tiges de guidage et une ou plusieurs tiges de sélection qui toutes passent éga- lement dans des trous percés dans les panneaux avant et
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servant au guidage de celles-ci sont en forme de rainure.
Les caractéristiques propres à chacune des cartes sont re- présentées physiquement sur chacune d'elles par l'allonge- ment en forme de rainure des trous servant au passage des tiges de sélection. Cet allongement se fait parallèlement aux rainures de guidage. bous l'action d'une pression quelaonque les cartes peuvent donc, lorsqu'une tige de sélection est intro- duite dans un de leurs trous allongés, glisser dans le sens des rainures de guidage et ceci à l'exclusion de toutes les autres ne possédant pas l'allongement du même trou. En géné- ral ces appareils sont caractérisés par une combinaison de cartes, de tiges de retenue et d'un moyen de pression. Les cartes retenues ou non par les tiges sont sollicitées à un déplacement par la pression agissant à la fois sur toutes et sur chacune séparément.
Cette pression n'est souvent autre chose que la propre pesanteur des cartes.
Avec ces appareils :
1 La manoeuvre de retenue des cartes non sélec- tionnées qui se fait par l'introduction de la tige convena- ble est longue et difficile.
2 La manoeuvre nécessaire pour sortir les cartes électionnees est pénible en raison du poids de l'appareil que l'on doit retourner et secouer à la main.
Les cartes libérées ne le sont pas entière- ment sans manoeuvre supplémentaire puisqu'elles sont mainte- nues par la ou les tiges de sélection et les tiges de guidage
4 Le nombre des cartes est très limité car il est difficile de dépasser une certaine longueur de boite ou d'en faire fonctionner plusieurs simultanément.
Les perfectionnements objets de l'invention
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évitent AQ flmnmmxrhm4>-+- -- ¯.t--¯ï3.Cto..9- 1 ,
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dant les possibilités de sélections.
Ils sont caractérisés dans les modes d'exécution représentés et choisis seulement à titre d'exemple, par de nouvelles combinaisons du système fondamental dans lequel les cartes sont sollicitées à un déplacement par un moyen de pression et maintenues en place ou non par un moyen de retenue. Ces combinaisons sont faites de telle sorte que lorsqu'on manoeuvre l'appareil pour obtenir la sélec- tion d'une ou plusieurs cartes, on fait s'effacer les lames de retenue convenables, ce qui permet aux cartes possédant les dents correspondantes de se déplacer sous l'action du moyen de déplacement, soit latéralement, soit obliquement, soit verticalement, soit par rotation, selon la combinaison envisagée.
L'invention concerne en outre des perfectionne- ments à la constitution des cartes pour concourir à l'obten- tion des avantages précités.
Dans les dessins annexés :
La fig.l est une vue de face de la carte posée sur deux supports.
La fig. estune coupe transversale de la figure 1, suivant VII-VII.
Les figs. 3 et sont des coupes transversales montrant certaines variantes dans la fabrication des cartes.
La fig.b montre sur une carte les emplacements respectifs réservés à chaque classe et à chaque division d'une même classe.
Les figs.6 et 7 montrent deux variantes grossies de la fig.5.
La fig.8 représente un ensemble de touches et un tableau de référence.
La fig.9 est le schéma d'un mécanisme permettant d'effectuer une double manoeuvre par la frappe d'une seule
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touche.
La montre l'application d'un mécanisme électrique permettant d'effectuer une double manoeuvre par la frappe d'une seule touche.
La fig.ll est une vue de face de l'appareil suivant une coupe VIII-VIII de la fig.12.
La fig.12 est une coupe longitudinale de la fig.ll suivant IX-IX.
Les figs.13 et 14 montrent respectivement en profil et en plan, les plaques de pression et le mécanisme des peignes,
La fig.15 montre les épaisseurs relatives des plaques de pression, des peignes et des cartes ainsi que le rapport existant entre ces épaisseurs et les jeux intermé- diaires pour obtenir simultanément une pression sur toutes les cartes à la fois et sur chacune d'elles séparément.
La fig.16 est une disposition permettant de rem- placer les plaques de pression par un électro-aimant.
Les figs.17 et 18 sont respectivement lea vues jn elevation suivant coupe X-X et en plan d'un système d'accrochage du mécanisme des laes da retenue sur la trin- glerie commandée par les touches du clavier.
La fig.19 montre un système de signalisation électrique.
La fig.20 est une vue de face d'une carte po- chette pouvant contenir une fiche amovible.
La fig.21 est une coupe transversale de la fig.20 suivant III-III, la fiche amovible enlevée.
La fig.22 est une vue de face de la fiche amovi- ble.
La fig.23 est une vue de face d'une carte à
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La fig.24 est une vue de profil de la fig.23, les éléments de denture enlevés.
La-fig.25 est une coupe transversale de la fig.23 suivant IV-IV, les éléments de denture enlevés.
La fig.26 est une vue de face d'un élément de denture.
La fig.27 est une coupe transversale de la fig.26, suivant V-V.
La fig.28 montre la double utilisation d'un élé- ment de denture.
Les figs. 29 et 60 montrent respectivement de côté et de face le fonctionnement des lamas de retenue.
La fig.33 montre, vue an plan, une partie du peigne de la fig.32.
Les fig.31, 32, 34 et 35 sont des coupes de quatre tiroirs différents, elles montrent respectivement le fonctionnement des 2ème, 3ème, 4ème et Sème combinaisons.
La fig.36 est une variante de la figure 30.
La fig.37 montre un exemple d'application des cartes encochées,
La fig.38 montre une disposition dans laquelle les lanças de pression agissent par poussée, et un dispositif de remise en place des cartes.
Telle que représentée aux figures 1 et 2, la carte 10 se compose da deux feuilles a et b en matière sur laquelle l'écriture est possible (papier, carton, etc..) collées ou fixées sur une bande métallique ou de matière lourde .2. conformément à la fig.2.
La carte étant placée sur deux supports f et g la disposition adoptée donne les avantages suivants :
1 La carte tend toujours à revenir dans sa po-
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sition verticale parce que son centre de gravité est rejeté au-dessous de son axe de suspension.
2 Il est facile d'incliner la carte pour la consulter.
3 La partie h i de la carte étantbeaucoup plus grande que la partie h j le pourtour de la carte reste visible à la fois en haut et sur la presque totalité de ses côtes, ce qui donne une meilleure visibilité etpermet un emploi très étendu des cavaliers de signalisation.
Cependant cette carte peut avoir d'autres modes d'execution que celui décrit ci-dessus. Ainsi :
1 On pourra glisser une feuille à dans une ar- mature e en forme de U, lequel sera à volonté aplati (fig.3) ou non à sa partie inférieure comme indiqué (fig.4).
2 La carte pourra être composée telle que repré- sentée (figs.20 et 21) d'un U 68 en matière sur laquelle l'écriture est possible (papier, carton, etc..), collée ou fixée sur une bande métallique ou de matière lourde 69, eon- formément à la fig.21. L'intérieur de l'U est destiné à re- ¯avoir une fiche amovible 70 (figs.20 et 22). Cette fiche peut également être glissée à l'intérieur de la carte à dents amovibles représentée figs.23,24 et 25.
Cette dernière carte se compose d'un U 71, en matière sur laquelle l'écrite. re est possible (papier, carton, etc.) collée ou fixée sur une bande métallique ou de matière lourde 72. Cette bande possède des encoches 72' dans chacune desquelles s'engage un élément de denture 73.
Cet élément de denture comme re- présenté figs.26 et 27 est constitué de telle sorte que ses branches 73' et 73" se déforment élàstiquement pour en per- mettre l'entrée et la sortie dans les encoches 72' dont les crans 72" et 72111 le maintiennent en place. Dans cette posi
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ques ou de matière forte 74 et 75 fixées ou collées sur la bande 72,
Une carte fait partie soit d'une classe, soit de plusieurs classes. Ces classes peuvent recevoir des appella- tions quelconques. Par exemple : classe numérique, classe alphabétique, classe des régions, classe des dates, classe des processions, etc..
Chaque classe est partagée en divisions. Ainsi, si la classe numérique comprend trois chiffres, elle sera partagée en trois divisions : les centaines, les dizaines et les unités, Chaque division comporte un élément; chaque élément est représenté physiquement sur la carte par une denture et caractérisé par la disposition de celle-ci. Les classes et les divisions ont sur la carte un emplacement réservé aux dentures représentant leurs éléments. Pour re- prendre l'exemple précédent, l'emplacement p q (fig.5) est réservé à la denture représentant l'élément des centaines, l'emplacement q r à la denture représentant l'élément des dizaines et l'emplacement r s à la denture représentant l'élément des unités.
Chaque élément étant caractérisé par la disposi- tion de la denture qui le représente physiquement, la carte se trouve distinguée par l'ensemble des dentures représentant tous les éléments d'une classe. Il existe diffirontes façons de disposer les dents sur une carte :
1 Denture simple :
Ces d'une classe numérique :
Une classe numérique de n chiffres comprend n divisions. Une division comprend dix éléments possibles qui sont représentés sur la carte cierge par dix dents.
Pour distinguer une carte dans une classe, on conserve seulement
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les dents correspondant à tous les éléments nécessaires pour former une distinction dans la classe, .exemple : en comptant les dents de gauche à droite (fig.6) la carte 35 conservera seulement, dans une classe numérique de 3 chif- fres donc de 3 divisions, la première dent qui représente l'élément 0 des centaines (emplacement réservé .± q), la quatrième dent qui représente l'élément 3 dans la division des dizaines (emplacement réservé q r) et la sixième dent qui représente l'élément 5 dans la division des unités
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(emplaoeinsnt réservé r s),
Cas d'une classe alphabétique :
Une classe alphabétique de n lettres comprend n divisions.
Une division comprend 27 éléments possibles dont 1 mort qui sont représentés sur la carte vierge par 27 dents.
Pour distinguer une carte dans une classe on conserve seulement les dents correspondant à tous les élé- ments nécessaires pour former une distinction dans la classe. exemple : En comptant les dents de gauche à
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droite (figs.5 et 7) la carte gi cons erver&:aeule ment dans une classe alphabétique de 3 lettres donc de 6 divisions, la vingt-sixième dent qui représente l'élément z dans le premier alphabet (remplacement réservé t u), la vingt- einquiè me dent qui représente l'élément 1: dans le deuxième alphabet (emplacement u y) et la vingt-septième dent qui représente l'élément absent dans le troisième alphabet (emplacement v w)
Cas de classes multiples :
Chaque carte est dentée comme si chaque classe était employée seule.
Les classes ont sur la carte un empla- cement réservé aux dentures représentant leurs éléments. ainsi l'emplacement k 1 (fig.5) est réservé aux dentures
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ment 1 m est réservé aux dentures représentent les éléments
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d'une classe quelconque et l'emplacement m n est réservé aux dentures représentant les éléments d'une classe alphabé- tique.
Le déplacement d'une carte sera seulement possible quand on effacera les lames de retenue correspon- dant aux dents qui distinguent la carte dans la classe em- ployée.
Chaque lame de retenue est commandée par une tringlerie au bout de laquelle se trouve une touche.
L' indication marquée sur chaque touche permet de repérer rapidement celles qu'il faut manoeuvrer.
2 Denture à deux dents :
Cas d'une classe numérique :
Une classe numérique de n chiffres comprend n divisions. Une division comprend 10 éléments possibles pour la représentation desquels la carte vierge porte 5 dents utilisables deux à deux. Chaque combinaison de deux dents représentant un élément,, on peut conserver entre autres : la première et la deuxième dent pour représenter l'élément 0
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Il lère Il " 4 ème Il Il Il Il Il 1ère"" Sème ' " Il.:5 Il Sème Il Il sème Il Il Il Il Il Il 2ème Il Il 4ème Il Il " Il Il 2ème Il " 5ème "il Il n 6 Il Sème Il " 4 ème "il " Il Il " Sème " 5ème Il Il 11 Il " 4ème Il Il 5ème Il Il Il Il
Cas d'une classe alphabétique :
Une classe alphabétique de n lettres comprend n divisions.
Une division comprend 27 éléments possible
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(26 effectifs et 1 mort) pour la représentation desquels la
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carte vierge porte fez dents utilisables deux à deux. Chaque
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combinaison de deux dents représentant un élément, on peut conserver entre autres :
la première et la deuxième dent pour représenter l'élément A
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if lère if if .sème Il if il Il lère if Il 4ème Il Il if " 1ère 1111 Il sème Il Il Il " D Il 3.ècS Il Il 6ème Il Il Il n E Il lève Il Il 7 ème Il Il Il " F Il 2è Il Il Sème fui Il Il n G Il Sème Il if èm8 Il Il Il tr Il 411 Il 2ème Il Il 4ème Il if Il il XI if ème Il Il 5ème Il if Il n J if 2ème Il if 6ème Il Il Il Il K Il 2ème Il il 7ème Il Il Il L Il 2ème if Il Sème Il Il Il n M Il Sème Il Il 4ème if Il Il u Il poème Il Il sème if Il Il Il 0 if 3ème Il Il 6ème if Il Il n F Il aème Il Il 7ème il if if If Q' Il Sème Il Il 8éae Il If if if R if 4ème 11 Il 5 ème Il if il il s 11 ème 11 Il 6ème If if if Il T 11 ème 11 11 7ème Il Il Il Il u if 4ème if 11 Sème Il \1 \1 Il \1 sème u il 6ème if \1 Il 11.,
if 5ème if Il 7ème tt if Il i X n 5ème 11 Il Sème \1 Il " Il y if 6ème if Il Terne et Il Il Il z " ¯ . if 11 "'-- 1L Il If Il raniet
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Cas de classes,multiples :
Chaque carte est dentée comme si chaque classe était employée seule.
Le déplacement d'une carte sera seulement possi- ble quand on effacera les lames de retenue correspondant aux dents qui distinguent la carte dans la classe employée.
Chaque lame de retenue est commandée par une tringlerie au bout de laquelle se trouve une touche, L'ensem- ble des touches correspondant à une division est placée obli- quement conformément à la figure b.
Un tableau de référence permet de repérer rapi- dement les touches qu'il faut manoeuvrer (fig.b). Par exemple à la lettre G correspond la première et la dernière touche.
3 Denture quelconque :
D'une manière générale il peut y avoir n dents utilisables pour représenter tous les éléments possibles d'une division. Chaque élément pourra être représenté par la combinaison de m dents.
Exemple : Si dans une classe numérique comprenant une seule division (unités)la carte vierge porte sept dents on pourra utiliser celles-ci de la façon suivante pour ca- ractériser chacun des éléments (dents comptées de gauche à droite fig.9) : la deuxième et la troisième dent pour représenter l'élément 0
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Il 1ère rt Il Sème if Il if if 1
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lère if if 6ème Il Il if Il 7
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Nous indiquons ici cette autre disposition de dentures à deux dents, parce qu'elle permet par un mécanisme simple, d'obtenir l'effacement de deux lames de retenue par la manoeuvre d'une seule touche. La figure 9 montre schéma- tiquement comment on peut réaliser ce mécanisme :
Avec un type de denture quelconque (simple à deux dents ou à n dents) le même résultat peut être obtenu à l'aide d'un mécanisme électrique. La figure 10 montre une seule division dont les éléments possibles au nombre de 10 . sont représentés sur la carte vierge par cinq dents utilisée* deux à deux.
Chaque combinaison de deux dents représentant un élément, on a conservé : la première et la deuxième dent pour représenter l'élément 0
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4ème Il Il 5ème Il if Il 9
Gomme représenté chaque lame de retenue est ac- tionnee
par un électro-aimant qui agit lorsqu'une touche for- me son circuit. Si on désire les cartes portant le chiffre 7. on appuie sur la touche marquée de ce chiffre (touche 18 fig.lù); les lames de retenue 23 et 24 qui correspondent à la troisième et à la quatrième dent, s'effacent pour laisser glisser les cartes cherchées, remarque 1.- Comme chaque élément de denture possède des dents dont la position caractérise l'élément de
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autant d'encoches e' dans la carte à élément de denture amo- vible (figs.23,24 et 25) que de divisions dans toutes les classes réunies. Sur chaque élément de denture, la position des dents concorde avec le système de denture employé.
Ainsi dans le cas de denture à deux dents pour une classe numéri- que, l'élément 6 conserve seulement la 2ème et la 5ème dent (fig.26).
Remarque 2.- Le même élément de denture peut servir à représenter deux éléments de division différents, suivant le sens dans lequel on la place dans la carte. Placé comme indiqué fig28, il représente l'élément 2 (lère et 4ème dents conservées).
Remarque 3.- rar leur construction même, les car- tes ont leurs dents en retrait de leurs faces conformément aux fig.2,3, 21 et 23. On évite ainsi que, lors de son dé- placement, une carte s'accroche à ses voisines immobiles, les dentures pouvant se trouver déformées par l'usage.
Dans le mécanisme de la lère combinaison repré- sentée (fige.11,12,13 et 14) qui sert à effectuer les ma- noeuvres de sélection, il existe autant de lames de retenue 26 à 35 (fig.ll) qu'il y a de dents sur une carte vierge.
L'ensemble de ces lames forme comme une grille dans les rai- nures de laquelle s'emboîtent les dents des cartes. Grâce à leur montage en parallélogramme les lames de retenue peuvent s'effacer pour laisser le passage aux dents devant lesquel- les elles se trouvent. Cet effacement est obtenu par le fonc. tionnement d'une tringlerie commandée par des touches 0 à 9 (fig.12). Le déplacement latéral des cartes s'obtient à l'aide de plaques de pression 36 (figs.11,13,14 et 15) qui agissent par pesanteur. Celles-ci sont disposées de telle sorte qu'elles appuient, lorsque cela est nécessaire, simul-
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tanément sur toutes les cartes à la fois et sur chacune d'elles séparément.
Ceci permet aux cartes dont les dents ne. sont plus arrêtées par les lames de fetenue, de glisser la- téralement à l'exclusion des autres. Les plaques de pression sont guidées dans des peignes 37 à 40 (fige.11,13,14 et 15) parallèles et axialement décalés, qui les maintiennent à distance convenable les unes des autres pour obtenir qu'il y en ait toujours au moins une en regard de chaque aarte.
Ces peignes reliés par un système articulé ser- vent également de butée aux plaques de pression qui, par leu poids, tendent constamment à se déplacer. L'ensemble des peignes est soumis dans un sens à l'effort d'un ressort 41 (fig.ll) qui n'agit que dans la petite pédale 42 (fige.11 et 12) est déclenchée, et dans le sens inverse, à l'effort de l'opérateur, lequel effort est transmis par une grande pédale 43 (figs.11,12 et 13). Lorsqu'on appuie sur aelle-ei on remonte les plaques de pression par l'intermédiaire des peignes et on enclenche la petite pédale 42. Au contraire en appuyant sur cette dernière, ce qui la déclenche, le ressort 41 ramène la grande pédale 43 à sa position haute et fait descendre les peignes.
Les plaques de pression entrainées par le frottement et leur poids, suivent leur butée (peigne) dans son déplacement et arrivent en contact avec le bec c' (figs.1,5 et 11) des cartes. Celles-ci se trouvent alors sollicitées à se déplacer latéralement; mais seules peuvent se déplacer celles qui ne sont pas maintenues par les lames de retenue.
Remarque : L'action des plaques de pression pour- ra être remplacée par l'attraction exercée par un électro- aimant sur la partie métallique des cartes. La figure 16 montre un moyen de réaliser ce mode de fonctionnement.
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même temps qu'elle soulève les plaques de pression, ramène aussi les lames de retenue dans leur position haute. On se trouve ainsi en mesure de pouvoir effectuer une nouvelle sélection.
Pour rendre les tiroirs indépendants du meuble qui les contient, il est prévu un système d'accrochage en fourche du mécanisme des lames de retenue sur la tringlerie commandée par les touches du clavier. Ce système d'accrocha- ge est représenté en élévation (coupe X-X fig,17) et en plan, respectivement par les figures 17 et 18.
Pour éviter les fausses manoeuvres un dispositif de sécurité empêche d'une part, l'ouverture d'un tiroir lorsque les plaques de pression entrent en action et, d'au- tre part, il empêche ces mêmes plaques de pression d'entrer en action quand un tiroir est ouvert. Ce résultat est obte- nu en fixant une pièce de sécurité 44 (figs.11,13 et 14) sur la tige avant 53 (figs.11,13 et 14) du parallélogramme qui supporte les peignes.
Un trou, placé à cheval sur la glis- sière 45 (figs,ll et 13) et le tiroir 46 (fig,ll) permet, seulement lorsque le tiroir est complètement, fermé, le pas- sgge de la pièce de sécurité 44 ; quand cette même pièce est engagée dans le trou il devient impossible d'ouvrir le tiroir qui se trouve bloqué sur sa glissière,
La sortie d'une ou plusieurs cartes est décelée dans un tiroir par le décalage latéral de la ou des cartes sélectionnées dont les bordures viennent se détacher sur la tranche des autres cartes restées en place, Si l'appareil comprend plusieurs tiroirs, ceux qui contiennent des cartes sélectionnées sont repérés par l'allumage de la lampe qui correspond à chacun d'eux. Cette lampe s'allume lorsqu'une carte vient, par son extrémité métallique c" (figs,
ll et 19), fermer le circuit de la source électrique qui l'alimente.
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uand on désire retrouver une carte dans une classe on commence par faire effacer les lames de retenue de toutes les autres classes; puis on enfonce les touches du clavier 47 (fig.ll) qui correspondent aux caractéristi- ques de la carte en question; cette manoeuvre provoque l'effacement des lames de retenue convenable. Puis en ap- puyant sur la pédale 42 on libère les plaques de pression ; la carte cherchée glisse alors latéralement et fait allumer la lampe qui désigne le tiroir dans lequel se trouve la car- te.
Quand après avoir appuyé sur la grande pédale 43 pour libérer le tiroir et que l'on aura ouvert celui-ci, on dis- tinguera la carte sélectionnée par son dépassement latéral de l'ensemble des autres cartes restées en place.
Les figs.11,12,13 et 14 désignent schématiquement un classeur à deux tiroirs. Dans ces tiroirs se trouvent, dans un ordre quelconque, mais toutes les faces du même côté, des cartes désignées chacune par un numéro de 0 à 9 (il s'agit là, évidemment, d'un cas facile à représenter).
Ces cartes appartiennent donc à une classe uniqye ne compor- tant qu'une seule division dont l'élément a été représenté physiquement par une denture simple.
Si par exemple on désire la carte portant le N 5, on appuie sur la touche 5 (fig.12) qui commande une tige 48 (fig.12), laquelle attaque une équerre 49 (fig.12) tournant autour de l'axe fixe 50 (figs.ll et 12) cette équerre soulève la tringle verticale 51 (fig,12) et celle- ci entraine et fait effacer la lame de retenue 31 (figs.ll et 12) montée en parallélogramme comme indiqué (fig.12).
Puis on appuie sur la petite pédale 42, on libère ainsi un levier 52 (figs.ll,12 et 15) qui, toujours sollicité par un ressort 41,, attaque par son extrémité 521 (fig.11) on
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53 à 58 (figs.ll,13 et 14). Ces barres tournant autour des axes fixes 59 et 60 (figa.ll et 13) abaissent les peignes 37 et 38 qui soutiennent les plaques de pression. Celles-ci, entraînées à la fois par le léger frottement des peignes et par leur propre poids, s'abaissent en tournant autour des axes fixes 59 et 60. Elles appuient alors sur les cartes qui butées sur les lames de retenue 26,27,28,29,30,32,33,34 et 35 résistent à leur pression.
Seule a n'être pas butée la carte portant le N 5 se déplace latéralement et son extré- mité métallique c" (figs.ll et 19) prend contact avec une barre 61 (figs.ll et 19) isolée de la masse du tiroir par une gouttière isolante 62 (figs,ll et 19). Ce contaot en fermant la circuit d'une source électrique allume la lampe 63 (fig.19) qui correspond au tiroir 46 dans lequel se trou- ve la carte qui porte le N 5, Mais ce tiroir a été bloqué sur sa glissière 45 par la pièce de sécurité 44, lors de la descente de la tige 53. Pour le débloquer on appuie sur la grande pédale 43 qui s'est trouvée remontée par le levier 52, lors du mouvement de ce dernier.
Sous l'effort de l'opé- rateur, la grande pédale tourne autour de l'axe fixe 64 (figs.ll et 12) et exécute les deux opérations suivantes : d'une part, elle fait basculer le levier 65 (fig.12) autour de l'axe fixe 66 (fies,11 et 12), ce levier entraine la tige 51 qui fait ressortir la touche 5 et relever la lame de retenue 31, d'autre part, elle pousse le levier 52 qui provoque, par l'intermédiaire des barres 56 et 54, le retour des peignes 37 et 38 à leur position haute. Les plaques de pression relevées par les peignes cessent alors d'appuyer sur les cartes. En même temps les pièces de sécurité, soli- daires de la barre 53, débloquent les tiroirs d'avec leur glissière.
On peut alors ouvrir les tiroirs et trouver faci- lement, dans celui dont la lampe de signalisation est allu-
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mée, la carte portant le N 5, laquelle se distingue des autres par son déplacement latéral.
Durant sa course descendante la grande pédale a fait enclencher sur le levier 52 la petite pédale 42 toujours poussée vers sa position haute par le ressort 67 (fig.12). j'appareil se retrouve alors dans les conditions initiales et, une fois tous les tiroirs refermés, on sera en mesure d'opérer une nouvelle sélection..
Four la commodité de l'exposé, les dessins des 2ème, dème, 4ème et Sème combinaisons sont établis schémati- quement pour des cas simples; mais il reste entendu qu'on n'a pas voulu envisager que ces cas particuliers ou que les seules particularités de construction ou de disposition exposées, En outre, pour mieux comprendre le fonctionnement de ces quatre combinaisons, on a représenté dans les figures s'y rapportant, le cas d'une classe numérique à un seul chiffre et on a utilisé le système de denture simple (une dent réservée pour chaque chiffre).
Par les figs.29 et 30 nous rappelons le fonction- nement des lames de retenue décrit plus haut, En appuyant sur une touche, par exemple la touche 76, on enfonce la. tige 77, ce qui fait basculer l'équerre 78 autour de l'axe fixe 79. Cette équerre entraine une tringle 80 qui, par sa four- che 80', fait pivoter l'équerre 81 autour de l'axe 82 soli- daire du tiroir 83.
L'équerre 81 abaisse alors la lame de retenue 84 qui prend la position représentée en traits mixtes
La 2ème combinaison comporte avec la 1ère combi- naison les différences suivantes :
1 Le déplacement de la carte dans son plan s'et- fectue obliquement par rapport aux axes de symétrie de son dents, au lieu de s'effectuer perpendiculairement à ces
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2 Le moyen de déplacement des cartes estaidé par la propre pesanteur de celles-ci.
La 3ème combinaison comporte avec la 1ère combi- naison les différences suivantes :
1 Le déplacement de la carte dans son plan s'ef- feotue parallèlement aux axes de symétrie de ses dents.
2 La lame de retenue est placée au-dessous de la dent qu'elle doit arrêter au lieu d'être sur le côté de celle..ci,
3 Le moyen de déplacement des cartes peut être uniquement la propre pesanteur de celles-ci.
La 4ème combinaison comporte avec la 1ère combi- naison les différences suivantes :
1 La carte tourne dans son plan autour d'un point et dans son déplacement, les axes de symétrie de ses dents changent leur orientation par rapport au plan d'une lame de retenue.
2 La lame de retenue est placée au-dessous de la dent qu'elle doit arrêter.
3 Le moyen de déplacement des cartes peut être uniquement la propre pesanteur de celles-ci.
La 5ème combinaison comporte avec la lère combi- naison les différences suivantes :
1 Le déplacement de la carte dans son plan s'ef- fectue obliquement par rapport aux axes de symétrie de ses dents.
2 La lame de retenue est placée au-dessous de la dent qu'elle doit arrêter.
3 Le moyen de déplacement des cartes peut être uniquement la propre pesanteur de celles-ci.
La fig.l illustrant la deuxième combinaison
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est une coupe du tiroir tel qu'il pourrait être placé dans l'appareil sélectionneur à la place du tiroir 83 (fig.30).
Dans cette deuxième combinaison on obtient le déplacement oblique de la carte par des pentes 85' et 85" faites sur les bords du tiroir 85. La carte grâce à ces pentes se dépla.' ce latéralement sous l'action des plaques de pression et en même temps descend sous l'action de son propre poids ; celui-ci aide en outre au déplacement latéral. exemple de fonctionnement :
Possédant seulement la dent correspondant à la lame de retenue 86, la carte 87 qui, primitivement se trouvait dans la position représentée en traits mixtes (fig.51) vient, quand on abaisse la lame de retenue 86, dans la position représentée en traits pleins Comme la fig.31 le montre, cette carte ainsi séleetionnée se trouve décalée latéralement de l'intervalle compris entre les axes de deux lames de retenue consécutives; elles se distingue alors aisément des autres cartes.
Telle que représentée fig.32 la carte, dans la troisième combinaison ne possède plus d'or illes de suspen- sion ; elle s'appuie par sa dent sur une lame de retenue et est guidée par les rebords 88' et 88" du tiroir 88; de plus, elle est maintenue dans un plan perpendiculaire aux lames de retenue par un peigne 89 (figs.32 et 33) formé de plaque ttes disposées convenablement,
Lorsqu'on effectue la sélection d'une carte, 90 par exemple, on abaisse la lame de retenue 91 qui corres- pond à la caractéristique de cette carte; celle-ei, portant seulement la dent qui s'appuie sur la lame de retenue 91, descend sous l'action de la pesanteur. Cette carte, ainsi sélectionnée, se distingue aisément des autres par le démaf- fleurement de sa partie 90' réservée à cet usage.
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Telle que représentée fig.54 la carte, dans la quatrième combinaison, s'appuie par sa dent sur une lame de retenue. Elle est d'autre part maintenue dans un plan verti- cal par un axe 92 solidaire du tiroir 93. La carte peut être mise en place ou ôtée grâce à une ouverture 94' qui lui est pratiquée à cet effet.
Lorsqu'on effectue la sélection d'une carte, 94 par exemple, on abaisse la lame de retenue 95 qui correspond à la caractéristique de cette carte; celle-ci portant seule- ment la dent qui s'appuie sur la lame de retenue 95 peut alors, sous l'action de la pesanteur, tourner autour de l'axe 92. Cette carte ainsi .sélectionnée se distingue aisé- ment des autres cartes par le désaffleurement de sa partie 94" réservée à cet usage.
Telle que représentée fig.35 la carte, dans la cinquième combinaison, affecte la forme d'un parallélogramme, elle s'appuie par sa dent sur une lame de retenue et est guidée par les rebords 96' et 96" du tiroir 96. L'inclinai- son de ces rebords empêche la carte de tourner autour de sa base. Lorsqu'on effectue la sélection d'une carte, 97 par exemple, on abaisse la lame de retenue 98 qui correspond à la caractéristique de cette carte; celle-ci, portant seule- ment la dent qui s'appuie sur la lame de retenue 98, descend sous l'action de la pesanteur; l'inclinaison des rebords du tiroir l'oblige en même temps à un déplacement latéral.
Cette carte ainsi sélectionnée se distingue aisément des autres cartes par le désaffleurement de sa partie 97' réser- vée à cet usage.
L'action des plaques de pression peut être rem- placée, comme on le voit fig.26, par la propre pesanteur des cartes dont on provoque le glissement en roulant l'appareil.
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sur sa base arrondie en conséquence. Le même résultat peut être obtenu en montant l'appareil sur un axe passant sensi- blement par le centra de gravité de l'ensemble appareils et cartes et perpendiculaire au plan de ces dernières. Dans ce dernier cas, en faisant tourner l'appareil autour de sen axe, les cartes tendent toutes à se déplacer, dans le sans voulu, par leur propre poids.
Dans les 5 combinaisons - cartes, moyens de re- tenue et moyens de pression - décrites plus haut, la carte possède des dents qui sont destinées à servir de butées.
Dans chacune de ces combinaisons, il est possible de rempla- cer les dents par des creux, le fonctionnement devenant légèrement différent tel qu'on le voit fig.37; alors que dans les combinaisons décrites plus haut on doit, pour sélectionner une carte, abaisser les lames de retenue qui sont devant les dents qui la caractérisent, il faut si l'en emploie des creux au lieu de dents, élever les lames de rete- nue dans les creux qui caractérisent la carte recherchée.
Bien entendu le remplacement des dents par des encoches n'est pas seulement applicable à la combinaison représentée fig.37, mais aussi à toutes les autres combinaisons décrites dans le présent brevet. Telles que représentées fig.38, les plaques de pression peuvent, au lieu de les rxtirer, pous- ser les cartes.
Quand on fait fonctionner l'appareil, les cartes sont toutes soumises à un effort qui tend à les déplacer.
Elles exercent donc, sauf celles recherchées, une pression sur les lames de retenue. Aussi, avant de manoeuvrer à nou- veau eelles-ci, est-il nécessaire de les dégager du frotte- ment provoqué par leur contact avec les cartes. Pour sela on peut employer un ensemble de plaquettes semblables aux
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dispositif de dégagement des lames de retenue peut être encore une pièce 99, tel que représenté schématiquement (fig.38).
EMI23.1
- R4VEhDICATIOXS -
1- Appareil pouvant sélectionner des fiches et en général toutes pièces individuelles se distinguant les unes des autres par une ou plusieurs caractéristiques pro- pres, sans qu'il y ait obligation d'effectuer leur classe- ment préalable, caractérisé par une combinaison de cartes dentées, de lames de retenue et soit de plaques de pression agissant par pesanteur, soit d'un électro-aimante cette combinaison étant faite de telle sorte que lorsqu'on manoeu- vre l'appareil pour obtenir la sélection d'une ou plusieurs cartes.,, on fait effacer les lames de retenue convenables, ce qui permet aux cartes ne possédant que des dents butées sur ces lames de retenue, de se déplacer sous l'action, soit, des plaques de pression, soit de l'électro-aimant, soit de leur propre pesanteur.
2- Appareil suivant la revendication 1, caracté- risé en ce que le déplacement de la carte dans son plan s'effectue perpendiculairement aux axes de symétrie de ses dents et que la lame de retenue est placée sur le côté de la dent qu'elle doit arrêter.
3- Appareil suivant la revendication 1, caracté- -risé en ce que le déplacement de la carte dans son plan s'effectue obliquement par rapport aux axes de symétrie de ses dents et que la lame de retenue est placée sur le côté de la dent qu'elle doit arrêter.