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"Perfeotionnements apportés aux procèdes et dispo- sitifs pour l'impression de la musqiue'.
L'invention a pour objet un procéda et un dis- positif pour l'impression photo-mécanique de la musique, par lesquels toutes les notes, signes,let- tres, traits, etc nécessaires à l'écriture musica- le, sont transportes sur des supports ou feuilles sensibles à la lumière et, depuis ceux-ci, sur la plaque litho- ou typographique.
On connaît déjà plusieurs brevets ponr l'éeritu- re à la machine de la musique, toutefois ils concer- nent uniquement des machines qni remplacent l'écr- ture à la main de la musique, ou des dispositifs qui, à cet effet, sont Montés sur des machines à écrire ordinaires, pour effectuer l'écriture de la musique. On peut citer, à titre d'exenple, le bre- vet anglais N 190 552 concernant une machine à écrire la musique, avec des caractères correspondant aux
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notes et mrec un dispositif re connando du rouleau (1 papier pour anener la feuille, portant les notes, à la position voulue à tout Moment. Les brevets billard (France nOjèÍ9 39, Allermgne 11 j jô 009 et B. U .11.
Il 1 811?? 4bl) dispositif pour l'écriture de notes à l'aida d'une nachine à écrire ordinaire, etc.", ainsi que les brevets Pflsqualini (Italie N 2b4 à,5? et Allonagne lJo55) 4 7) concernant une ''r1a-- chine à écrire des notes. "
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!,'objet de la présente invention est corpl.éto- nent différent, en principe, des dispositifs indi- qués plus haut ainsi que (le tous les dispositifs a-
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naloguas, du fait qu'il eu en vue, non pas confie jusqu'ici rie rOf1TJl'mer l'écriture ranuolle par l'é- criture à 1'1, nachine, nais bien le renpiacerient dn travail manuel de l'original lithographique par des noyons m'3cano-chiraiques.
Les caractéristiques de la présente intention sont les suivantes: a)Tous les signes, notes, lettres, traits, pa- renthèses, etc. ainsi que .les cinq lignes des por-
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t4es sont marqués sur une ilitrice, en celluloid ou autre matière transparente et de tome quelconque et cela de manière que, seule les indications nar-
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qU8es Remettent le passade de la im!1ière.
b) La matrice est déplace ne !'13nière telle, par une commande de leviers et touches, que l'indication voulue, correspondant à la touche abaissée, vienne
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se placer devant la fente du couvercle coulissant de la boîte contenant. une lampe qui, en même tenps, est abaissée et allumée de façon que l'indication correspondante soit sur un support sensible à la lumière. c) Le couvercle de la boite, contenant la Lampe, comporte un dispositif qui permet, selon le besoin, le réglage de l'ouverture nécessaire de la fente sons la commande d'un tanbour mesureur,.
d) La f euilla, sensible à la lumière, est por- tée par un chariot qui peut être déplace suivant deux directions perpendiculaires entre elles et qui peut tourner autour d'un axe vertical. Sur un sup- port, solidaire ou mouvement du chariot, est posée la feuille originale, un repère fixe indique, à tout moment, sur celle-ci, l'endroit qui est reproduit. e) Après qne la feuille, sensible à la lumière, a été complètement impressionnée, l'écriture musicale qu'elle porte est reproduite, par les noyons méca- no-chimiuqes connus, sur la plaque litho- ou typo- graphique .
Les dessins ci-annexés nontrent, à titre d'exen- ple, un mods de réalisation de l' invention.
Le bâti 1 (fig.l), fixé sur une table ou une planche, comporte trois montants fixes 2,3 et 4 et un axe central' 5 autour duquel la plaque de hase 6 peut tourner tout en pouvant être immobilisée par le levier d'arrêt 7' Sur les rails 8 et 9 de la
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plaque 6 roulent les roues 11,12,13 et 14 du chariot inférieur 10. Celui-ci peut être déplace par l'inter- médiaire du bouton 15, de l'arbre lb (fig.2, des roues coniques 17 et 18, de l'arbre 19 et ou pignon 18',le long de la crémaillère 18".
A l'autre extrémité, l'arbre 19 porte une roue à rochets 20 coopérant avec un cliquet 21 (fig.l), ladite roue assurant un mouvement n'avancement con- stant.
Sur les rails 27a et 27 d du chariot inférieur, roulent les roues 27b, 27c, 27e 27f dn chariot su- périeur 10a dont le plateau 10b, porte la feuillesen- sible à la lumière et dont la plaque supérieur 10d, Montée sur des Montants 10c, porte la feuille ori-, ginale à reproduire. Un repère fixe 74, porté par le bras 73 Monté par les supports 72 sur le bâti, indique sur la feuille originale l'endroit de la feuille sensible à la lumière qui se trouve,à ce moment, sous la lanpe.
L'original, au lieu de se trouver au-dessus du chariot supérieur, peut éga- lement se trouver latéralement par rapport à ce- lui-ci et il peut, notamment, être porté par un rouleau rotatif qui se déplace en correspondance avec le déplacement de la feuille sensible à la lumière. Dans ce cas les montants 10c, la plaque 10d, les supports 72 et le bras 73 sont supprimes.
Le chariot supérieur 10a est commande par le bouton 22, copiai au bouton 15, par l'intermédiai-
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re des roues coniques 23 et 24, de l'arbre 24', du pignon 24" et de la crémaillère 24"', L'avancement est déterminé par la roue à rochets 29a ou 29b, sui- vant que l'un ou l'autre des cliquets 25 ou 26, com- mandés respectivement par les boutons 28a, 28b, est abaisse. Les cliquets 25 e 26 sont reliés mécani- quement entre eux de façon que seul l'un ou l'autre puisse être engagé.
L'arbre 24' peut, le cas échéant, être déplacé é- galement par une manivelle.
Une transmission par une mince corde 30, reporte le mouvement de l'arbre 24 à une note métallique 31', qui se déplace au-dessus d'un demi-cylindre 31 sur lequel est marquée une portée agrandie en conséquen- ce, de sorte qu'on puisse contrôler ainsi, à, grande échelle (dans le rapport du bras de levier de la no- te 31' au rayon du tambour 31) le déplacement qui est nécessaire à l'emplacement de la note. Une ban- de papier 32. qui peut être déplacée à la main sur le tambour 31, indique exactement la note qui doit être abaissée.
En résumé, on peut dire que les organes, décrits jusqu'ici, c'est-à-dire la plaque de base, le cha- riot inférieur, le chariot supérieur etc., ont pour fonction de déplacer à volonté, de faire tourner et d'immobiliser la feuille sensible à la lumière et la feuille originale qui en est solidaire en mouve- ment.
Le montant 2 porte deux secteurs 35 et 36 munis
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de saillies 37,38 et 39,40 ffig.2). Sur ces sec- teurs sont fixés les claviers 80 et 81 avec deux seg- ments 80' et 81' portant des lettres, ainsi que le support 82-84 de la matrice. Une pièce de liai- son 36''maintient les deux secteurs ensemble.
Au-dessus de cet ensemble sont prévus deux rele- veurs 44 et 45, montés sur pivots 42 et 43,autour desquels oscille le levier principal 46, de forme courbe (fig.4) et maintenu relevé par le ressort à boudin 52.
Quand le levier principal 46 est abaisse par la nression de la nain ou du bras, on obtient le dé- placement par la bielle 53 et l'articulation 54, du levier coudé 47, 49 oscillant autour de 48, du levier rectiligne 57 oscillant autour de 59 et du levier coudé 62 oscillant autour de 63 et on obtient l'abaissenent de l'articulation 64 avec la bielle 65, du bras 66 (fig.2) et (le la lanpe 100-102 oscil- lant autour de 69,70. Au nonont où la lampe arrive exactement au-dessus de la matrice 33, l'ergot 75 ferme le contact 76 entre les fils 77,
78 reliés à la lampe
Le levier principal 46, commandé par la nain ou le bras, peut également être remplacé par une péda- le. Sur les dessins une telle variante n'a même pas été indiquée.
Comme indiqué an début, l'idée principal de l'in- vention réside dans la reproduction photographi- que du signe musical porté, en transparence, par la
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matrice. Cette matrice peut avoir toute fome et dimensions voulues et être, par exemple, circulai- re, ovale, rectangulaire, etc. Pour 1'exemple mon- tre sur le dessin, la matrice 33 a une forme circu- laire (fig. 4). Elle peut être constituée en toute matière transparente voulue, en celluloïd.etc.Tous les signes, nécessaires à l'écriture de la musique, sont disposée en cercle (comme visible sur la fig.
4 seulement) de façon qu'ils laissent séparément passer la lumière, alors que la partie restante de la matrice est rendue obscure de toute manière ap- propriée.
Cette matrice 33 se trouve directement au-dessus de la feuille lOb sensible à la lumière (fig.l).
Lors de l'abaissement de la lampe, tel que déjà décrit, la fente, dont question ci-après, de la pla- que obturatrice 106 de la lampe, vient se placer di- rectenent au-dessus de la matrice, de sorte que la lu- mière émanant de la lampe reproduit le signe transpa- rent de la matrice 33 sur la feuille sensible à la lumière.
Ponr pouvoir amener le signe de la matrice,qu'on désire reproduire, dans la position d'éclairage, la matrice 33 est portée par un dispositif de commande 82 (fig.l en élévation et fig.3 en coupe). La Matrice est vissée sur un anneau métallique 89, lequel peut âtre engagé par deux glissières 87-8 (fig.6) dans des chanfreins 86 (fig.31 du support 84 (fig.l et 31 et immobilisé par la vis de blocage 85.
Au-dessus
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da la matrice est Monté un disque métallique 34 (fig.21 dans lequel sont ménagées quatre ouvertu- res numérotées et qui peuvent être éclairées par une lanpo rouge (placée en dessous et non Montrée) et qui indique le secteur de la matrice qui se trou- ve dans la position d'utilisation.
Le dispositif de commande est constitue par un axe cylindrique 37, élargi à sa partie supérieure (ig.l et 3) et portant un bouton 82 et auquel le disque Métallique 34 et le support 84 sont fixés.
La liaison a lieu par l'intermédiaire d'une tige centrale et de doux goupilles. Cet axe est monté dans un manchon 40 et il peut âtre engage dans ce- luici, suivant le secteur de matrice qu'on désire utiliser, suivant quatre positions. A cet effet on munit l'ate de quatre saillies 90,92 (fig.3) éta- blies suivant deux diagonales perpendiculaires en- tre elles, ces saillies pouvant être engagées dans des rainures en queue d'aronde. Pour la mise en pla- ce d'un autre secteur il est suffisant de soulever un peu le bonton 82 et l'abaisser ensuite après Il-%- voir déplacé angulairement. L'indication des sec- teurs est visible sur le disque supérieur 34.
Le manchon 40 est constat'11,lent sollicité par un ressort 95, dans le sens de la flèche 96 (fig.3), nais il est retenu par un ergot 97 butant sur le levier 37. Sur le manchon 40 est fixé un bras 40' qui se prolonge jusqu'en dessous du clavier (fig.1)
Quand le levier principal 46 s'abaisse, la tige
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56 déplace l'articulation 58 vers la droite (fig.l) et fait osciller le levier 57 autour de 59.
L'abaissement du levier 57 et par conséquent l'o- scillation des leviers 47,49,57 et 62 a lieu libre- la ment jusqu'à la fin de/course et par conséquent jusqu'à l'abaissement complet de la lampe sur la ma- @ trice.
Par le déplacement du levier 57, l'ergot 97 est libéré et le manchon 40 peut, sous la poussée du ressort, se déplacer de 90 , toutefois son dépla- cement est limité par la butée du bras 40' contre la touche qui a été abaissée auparavant de sorte que la matrice veste immobile à la position correspondante à cette touche.
Quand le levier principal 46 est libéré, les dif- férent organes reviennent à l'état de repos (montré sur la fig.l) sous l'action du ressort 52.
La lampe, montrée sur la fig.l en vue de côté, sur la fig.2 en élévation (partie en coupe) et sur la fig. 6 en plan, est logée dans une boîte métallique 100 avec un couvercle amovible 101 et elle commor- te un long filament longitudinal 102. La partie in- férieure de la boîte est fermée par deux minces pla- ques superposées 105 et 106. La plaque inférieure 106 -est transparente sur la moitié de sa longueur et l'autre moitié est opaque. La plaque supérieure 105 ne sert quà assurer l'opacité de la deuxième moitié et elle peut, en réalité, être supprimée au cas où la moitié de la plaque transparente 106 peut être
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rendue effectivement opaque.
Les deux claques peu- vent coulisser de Manière telle, par un dispositif vu en plan sur la fig.b, qu'on puisse constituer une fente aussi longue que nécessaire. Ce disposi- tif est constitué par un coulisseau 112-123-121,qui peut se déplacer le long de doux tiges 109 et l10 et qui, en étant sollicité par un ressort 115, peut être déplacé par un bouton 118, sur le quel on agit à la nain et qui peut être immobilisé à l'aide du cliquet 117 coopérant avec la crémaillère 116. Sur le bras 121 sont fixées les plaques obturatrices.
Le repère 122 indique, sur l'échelle 123, la gran- deur de l'ouverture. Sur la fig.b on a montré la botte de la lampe complètement fermée, le repère étant en regard du zéro.
Quand on veut reproduire une note ou un petit signe (fig.4 vers le haut), l'ouverture pour la lampe est limitée à la première graduation.Si, par contre, on veut reproduire des barres transversales pour les notes (fig.4 à droite) l'ouverture est a- grandie selon la longueur de la barre.
Il est évident que, pendant le travail, la cham- bre doit être éclairée à la lumière rouge.
'Le fonctionnenent dit dispositif est le suivant;
On pose la feuille sensible à la lumière snr la plaque lOb et l'original sur la plaque 10d, Par le support 6 et les boutons 15 et 22 on déplace de ma- nière telle l'orgnaire que le premier signe à repro- duire se trouve sous le repère 74. On appuie ensuite
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sur la touche correspondante du clavier et immédia- tement après sur le levier principal 46.
Ainsi .le signe de la matrice, qui correspond à celui de la touche ou de l'original, est amené dans sa position d'éclairage et la lampe est allumée et abaissée.Im- médiatement après le retour à la position normale, les deux feuilles sont déplacées de manière telle que le signe suivant peut venir dans la position d'éclairage etc.
A la place du levier principal 4b, déplacé à la nain ou au pied, on peut utiliser une commande é- lectrique. Dans ce cas, quand on veut reproduire un signe, il n'est plus nécessaire, après l'abais- sement de la touche correspondent,, au signe voulu, d'agir encore sur le levier, car chaque abaisse- ment de la touche enclenche automatiquement la com- mande électrique, de façon que le disque soit dé- place angulairement et la lampe abaissée. Ceci peut être obtenu par n'importe quel dispositif con- nu approprie et qui ne doit donc pas être décrit e détail..
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