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0 Ma,4hme il. moulae d0Gj :piè0E! en métal fonduc
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La présente înventlon a pour objet une maohîne à mouler clos pièees an mdtal fondu de 0ona'liru@QO tien tout-t-faît nouvelle, offiQ&@@ et pratîqae parti- eulièrement appropriée au moulm#G grilles et Crillageo pour aeoumulatours et batt0riG et remarqaable par une strueture perfe@t1onn des mobiles Gonfürmemt les gr111Q9 parunaîopositîf par.feot 1aXUlé pour ouvrir et fermer auto. matiquement le moules;
, D pa.rnd1Bpos it if pezfeokionn4 pour monter et refroidir les moules, parkndispositif perfeo- 'fi 1Grmê pour enfamey on traiter les moule@ avant leur remplissage, par!1sp@1t1f pour fondre et débiter systé. matlquement le plomb fondu en harges prédétermînées
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dans les moules, enfin par un dispositif perfectionné pour recevoir les grilles terminées des moules et les décharger en un point éloigné de ces moules.
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D'entrés oaraotéristiques de la machine à mouler, objet de l'invention, rassortiront de la descrip- tion détaillée qui suit et des dessins annexes, dans les-* quels :
Figure 1 est une élévation latérale de la
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machine, vue an o9t< droit, l'extrémité droite de cette vue étant considérée comme Itaysnt de la machine et oexa3.nea parties étant arrachées pour mieux montrer le mécanisme Figure 8 est un plan de la machine, eertai-' nos parties étant arrachées on retirées.
Figure 3 est une oonpe-éléiakion à plus grande échelle, suivant la ligne 6-6 de la figure 10 Figure 4 est une aoupe-élévation à plus gran- de échelle suivant la ligne 4-4 de la figure 1.
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Figure 5 est une élération de face de la machine, certaines parties étant arrachées.
Figure 5 est une élévation latérale de la partie inférieure de la machine, vue du coté gauche.
Figure 7 est un plan coupe, sensiblement suivant la ligne brisée 7-7 de la figure 6.
Figure 8 est une coupe-élévation de détail,
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approximativement suivant la ligne 8-8 de la fig.3. Figure 9 est une coape-éléiration à plus grande échelle,, suivant la ligne 9-9 de la figure 2.
Figure 10 est une élévation latérale du dispositif de fusion, montrant le mécanisme pompant le métal on mécanisme distributeur dans une position relevée.
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PÎùre 11 est un plan de détail an déversoir de distribution du métal et de la. chambre de la pompe. pîgare 12 est une ooupe &0 clétall suivant la ligne 12...12 de la figure 110 Figure 1% est une coupe de 4@ta.il de l'aju- tage distributeur\) q:.1 est monte sur le dfâverso1r repré...
$enté en bas de la figo-re 12o Figure 14 est une (SlëTaioa détail, par- tie en coupe, montrant le dispositif de pompe et le mé#nisme aetîo=ant le Platon.
9igare 15 est un plan de clétail à plus grande échelle an Mécanisme àe lovîoso représenté Uns la fîg*144 Figure 16 est une élévation latérale de àébail du dispositif wpwéµ@5l%à dans la figure 15,
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partie en coupe.
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FigurG Il? est une mo en bout du dispositif en regardant de la droite de 1& figure Me Figaro 18 est une elévatlon de rlétaîl, par- tie en coupe, suivant la ligne 1o16 da la figure 199 àe la soupape ào rrJgla.&;0 àu métal et du mécanisme comoen- daiit cette Boupapec Fîgaro 19 est une vue &0 détail, partie en coupe, suivant la 1igülS> 19-19 de la figure 160 Figure 20 est un plan de détail d'une des bielles aetîonnant là pomp@o Figura 21 est une dlévation de détail à la bielle représentée dans la figure 209 dont une partie est
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représentée en coupe suivant la ligne 21-21 de la figure
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200 Figur0 22 est uns coupe suivant la ligne 32-3S de la figure 210
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Figures 23 4 est 5 sont des vues analogues
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aux figures 20,
21 et 22 de la bielle actionnant la sou- pape.
Figure 26 est un plan du dispositif enfumeur certaines parties étant arrachées.
Figure 27 est une vue d'extrémité droite du dispositif enfumeur, partie en coupe, suivant la ligne 27-27 de la figure 26.
Figure 28 est une coupe de détail, suivant la ligne 28-28 de la figure'36, mais montrant le porte- brûleur bloqué dans sa position inactive.
Figure 29 est une élévatich d'une des pai- res (le moules ou matrices, la partie gauche étant arra- chée.
]ligure 30 est une vue en plan du dispositif représenté dans la figure 29, mais avec les moitiés Eau- ches des deux dispositifs représentées en coupe.
Figure 31 est une coupe de détail à plus grande échelle,, suivant la ligne SI-SI de la figure 3.
Le fondeur du mécanisme de fusion de la machine est constitué par une pièce de base 34, montée sur quatre pieds 35 et comportant deux montants latéraux 36, entre lesquels est placée une boite à feu 37, à garniture intérieure en maçonnerie réfractaire 38.Le creuset à plomb 39 comporte un rebord annulaire 40, prenant appui sur la boîte 37, de façon à former l'espace compris en- tre ces deux pièces et qui est chauffé par les brûleurs à gaz 41 alimentés par une canalisation 42. la botte 37 comporte une porte 43 destinée au nettoyage et par laquelle la hauteur de la flamme peut être obserfée.
Les gaz et fanâtes peuvent s'échapper par des canaux laté- raux 44 reliés à des tuyaux à fumée 45. Le creuset à plomb 39 est muni de deux glissières latérales 46 sur
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lesquelles les lingots de plemb peuvent être placée et
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d'ott ils peuvent 0t1's poussés dans le oreuset lorsque le niveau du métal baissée Bas dispositifs d'alimentat ion ou pompes, dont deux sont utilises dans la.
présente machine, sont portés sur un chtagîs transversal fl artîeulë en 48 aux montants 3$9 qui peut $tre oulbut vers la haut de faqon à relever les pompes hors du métal au moyen d'une manivelle à main 49, d'un arbre 50, de pignons ooniques
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51 et d'arbres filetés vertioaux 33 travaîllant dans des mandrins 53 du chtsais 'o rsg,ta .1.
est dans sa position abaissée da travail, le ohgaaîs 4? est fixement maintenu abaissé par un boulon amovible 54, lia mécanisme dealimen- tation est représenta dans sa position relevée dans la figure 100
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la machine représentée utilise deux jeux de moules de ooulée des grilles et le plomb en fusion est dis- tribué dans ces moules par deux pompeso Chacune de ces
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pompes eomprond une ohambre 55 à l'extrémité inférieure d'un bras descendant 50, fixÓ au châssis z ot un piston de déplacement de plomb ou plongeur 57, destine à monter et descendre dans la chambre. La, course de déscente du
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piston refoule une quantité prdéte:
rmin6s de plomb hors de la chambre par un déversoir 58 et un ajutage 59 dans le moule. Pendant la course de montre du piston, une son-
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pape 60 etouvre, oo qui permet à la chambre 55 de se remplir de nouveau, le niveau du métal en fusion dans le creuset 39 étant toujours au-dessus des soupapes 60.
Il y a lieu de remarquer que le niveau normal du plomb
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dans le creuset i9 est également au-dessus du déversoir 58, d'où il résulte que le plomb se trouvant dans ce déversoir n'a pas tendance à se refroidis' jusque ce
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qu'il soit injecté dans les moules, comme ce serait le oas si le déversoir était exposé à l'atmosphère. Le niveau du plomb par rapport à la pompe 55-57 est indiqué dans les fibres 5. 8 et 14, et il est d'une importance considé- rable que ce niveau soit maintenu à cette hauteur pour des raisons qui apparaîtront plus loin. Le piston 57 travaille en passant par un manchon de presse-étoupe 61 fixé en 62, et par un plus petit manchon 63 risse dans le manohon 61.
Les alésages de ces manchons sont suffisam- ment grands pour recevoir librement le piston-plongeur 57 et, de préférence, des manchons ne viennent pas du tout en contact aveo le piston, leur seul rôle étant de maintenir une composition de joints 64, ainsi qu'un la- brifiant, tel que du graphite pulvérisé en 65. Un puis- sant support de guidage 66 forme le principal élément de support et de guidage du piston 57, La matière 64 est naturellement fortement bourrée autour du piston en faisant descendre par vissage le manchon 63; son seul 1'$le est d'empêcher l'air d'entrer dans la chambre et d'essuyer le plomb pour le faire retomber du piston guano. celui-ci s'élève.
On remarquera que cette construction supprime toute possibilité de formation de litharge sur le piston, car aucune partie du piston touchant le plomb ne vient en contact avec l'atmosphère, tout-au-moins jusqu'à, ce qu'elle ait été complètement essuyée,
Les pistons 57 sont reliés, à leurs extrémi- tés supérieures, par des bielles 67 aux extrémités anté- rieures de leviers coudés 68, pivotes en 69 au châssis 47;
les extrémités postérieures de ces leviers 68 sont reliées par des bielles 70 aux bras 71 d'un manchon 72, ayant un seul bras d'actionnement 73 (voir figures 15 à 17). ce manchon 72 tournant sur un arbre 74 porté par le chassie 47
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Les bielles 70 sont reliées aux bras 71 par des tourillons
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75, fixés de façon réglable sur des vis ou vis sans fin 76 solidaires des bras 71. Ainsi. en faisant tourner cas
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vis, les rayons do oond@ des bielles 70 peuvent ébro règles indépendamment par rapport à l'arbre 74;
par con- séquent, les courses des pistons 57 peuvent être réglées indépendamment l'une par rapport à l'autre et par rapport à la course des bras 71,73. les bras 68 sont tous deux munis de pattes 77 reliées aux tiges de soulèvement 78
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et aux ressorts comprimes 7Q (voir figures 4, , . qui ont pour but de 00ntreÓalan@r le poids àoB pistons 57 et d'absorber le jeu des divers joints et transmissions par bledies décrits eu-dessus Un palier 80 est monté de façon coulissante sur le bras 73 du manchon 73g la pitiontlo.itud3nrl.o de ee palier est ecamanMe par une brocha filetée si., qui tourne dans une partie 72a formant palier (fige.. 15,16) du manchon 72;
la brèche 81 ]porte une tête moletée ré- glable 82, ce qui permet, en faisant tourner cette broche de déplacer le palier 80 vers l'intérieur ou vers l'exté-
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rieur. Un bonhowne à rosso % 33 vient en prise par frio- tion avec des pièces solidaires de la tête 82 pour main-
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tenir la broche et 1Hmpohr de tourner accidentellement,, Le palier 80 est relié à lvexrdmîté supérieure avant d'une barre 84 qui prend un mouvement oscillant ou alter- natif uniforme-on voit quen tournant la broohe 81 le rayon est changé et qu'en conséquence une course plus courte ou plus longue peut être imprimée également et simultanément aux deux pistons 57.
lorsque la. barre 84
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se déplace en avants cU6s'Îlcàodiro vers la droite dans la figure 14, les pistons 57. montent dans les chambres 55 et, lors d'un mouvement en sens inverse de cette barre,
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les pistons descendent dans les chambres en déplaçant une certaine quantité de métal, qui est alors repoussée en arrière, puis dans les moules.
L'extrémité inférieure ou postérieure de la barre 84 est reliée à l'extrémité supérieure d'un levier 85, articulé en 86 dans un carter 87 et comportant un bras inférieur qui porte un galet 88, qui se déplace à son tour dans une coulisse courbe 89 d'un plateau-came tour- nant 90, On remarque, plus particulièrement en se repor- tant à la figure 14, que lorsque le plateau-came 90 tourne, suivant une rotation uniforme dans le sens des aiguilles d'une montre (indiqué par la flèche), le galet est poussé en avant pendant le trajet relativement court de la coulisse courbe du point A au point B, ce qui im- prime la course de descente ou course distributrice aux pistons 572 Dès que cette course de distribution est ter- minée,
la coulisse recule immédiatement d'une courte dis- tance, comme indiqué au point C, en provoquant ainsi un léger recul des pistons. Ce recul est produit avant que les soupapes 60 ne soient ouvertes, le but étant de tirer le plomb dans le léversoir 58 (fig.8) suffisamment en arrière pour empêcher que tout métal tombe par la buse 59.
Du point C au point D, uns action relativement légère est exercée sur le galet 88 et les pistons 57 sont sou- levés très lentement, mais, pendant ce mouvement, les soupapes 60 sont ouvertes, de sorte que de nouvelles char- gea de métal peuvent être aspirées ou peuvent couler dans les chambres 55 des pompes, Ces pompes sont essen- tiellement à l'arrêt pendant que le plateau-came 90 se déplace de à A, cet intervalle étant nécessaire pour mouler et décharger les plaques de grilles avant de com- menoer les suivantes.
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coma la montrent on part levier les figs
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20 tel 829 la.
bi911e 84 oe compose de clowêlémente béles- copqies, dont 1 un 91 est un, élément femelle fourchu
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qui est relié âîreetement au bloc 800 Cet élément 91 comporte un'loquet à fwiobion 92, maintsm en prise avec une encoeho prévue dans la barre 84 sons la pression d'un ressort 93, dont la tension peut être réglée par un bo@-
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ohon vissé 94.
La tgto de ce loquet 92 est solidaire d'une tige 95; un levier à main 96 à ename de commandée est ,rtil6 à la pareil aapérieure de cette tige 95 et per- met de dégager le loquet 93 de la barre 84 contre 1'ao- tien du ressort 93, quand on le désireo 0n B notamment ltoQAas3sn. de séparer ainsi les éléments de la bielle 84.- 91 lorsque le mécanisme clos pompes doit btre culbuté hors du creuser à métal!) somme le montre la figure 10.
Il faut cependant remarquer que la tête ou dent du lo- quet 92 présente clos faces inclinées dans les deux di- rections (fig.21), ce qui fait qu'un effort exagéré développé entre les éléments 84 et 91 produit la sépara- tion de ceux-ci. Ceci a été prévu pour empêcher la rup- ture de pièces qui se produirait par exemple si la force était appliquée après que le plomb se trouvant dans le creuset ou dans les ohambres des pompes s'est refroidi ou durci au-delà de la consistance appropriée pour permettre le travail.
Les soupapes 60 des ohambres des pompes à plomb sont ouvertes et fermées par le mouvement alter- natif vertical de deux tiges 97, guidées en 98 à leurs extrémités inférieures et dans des paliers 99 près de
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leurs extrémités supérieures (fig 18)o Des ressorts 100t dont les tensions sont réglées par des éorous 101, ten- dent à maintenir les tiges 97 abaissées avec les soupapes
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fermées. Tout à fait à leurs extrémités supérieures, les tiges 27 sont munies de colliers 102 sous lesquels s'en- gagent les extrémités fourchues ou formant des doigts du bras 103 d'un levier qui pivote en 104 et comporte un bras dirige vers l'arrière et vers le haut 105.
Ce bras 105 est relié par une bielle 106 au bras supérieur 107 d'un levier qui pivote en 108 et comporte un bras Inti. rieur 109 portant un galet 110, qui roule sur la péri- phérie d'une came 111. Un ressort 112, agissant sur le bras 103 pour le tirer vers le bas, tend à absorber tout jeu des joints et articulations et maintient le galet 110 continuellement en contact de travail avec le bord de la came 111. La bielle 106 se compose d'éléments té.. lésoopiques, essentiellement de la même manière et pour les mêmes raisons que celles précédemment décrites au sujet de la bielle 84.
Ainsi que le montrent les figures 23 à 25, la barre 106 est maintenue en prise, de façon dé- tachable, avec l'élément femelle 113, par un loquet 114 soumis à Inaction d'un ressort 115 et pouvant être dégagé à la main sous Inaction d'un lvier à came 116.
La came 111 est, de préférence, une. aile faisant oorps avec la partie 117 du moyen. du plateau came 90 (voir figures 3 et 18) qui est fixée sur un manchon 118 porté à rotation, par des coussinets 119 ses extré- mités, sur un arbre 120 monté dans le carter 87. Ce manohon 118, de même que les diverses pièces à cames portées par lui, sont mis en rotation par une roue à vis sans fin 121, portée par lui à l'intérieur d'un carter 122 et qui engrène avec une vis sans fin 123, montée sur un arbre 124 (voir fige* 2, 3, 7, 8) entraîné par une chaîne 125 renfermée dans un carter 126, venant d'une source de force ou moteur 127.
Un embrayage 128 relie l'arbre avec
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le moteur et comprend un étr1Q manoeuvre 129 artionio sur un arbre 130 et un levîer à main 131 servant à faire prendre à cet arbre un mouvement angniaira dans l'un ou l'autre sons pour embrayer et débrayer Il est passais Msirabio do commander la. m,-
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chine très lentement, spécialement lorsque des observa-
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bionx 9b réglages doivent M f&its3 dans ce but,, 1?ex- trdmîtd antérieure dG 1'arbre 134 ost nnmis) à'un pignon conique 133e Bn pignon @on1e @amplémantair@ 133 est porte de façon ooulîaaanto à 1?extrémîtd intérieure d'un arbre 134 qui est reliâo à son extrémité extérieure, par des pignons eon1ques à un arbre vertical 135 portant une manivelle mais. 136.
le pignon 133 est normalement main- tenu hors do prise avec la pignon 132 par un ressort 137 mais il peut gtre amano en pria@ 0,700 00 pignon 132 par une pédale 138 appuyant oontto une barre 139 de réglage de la position du p1gnOFlo On vo:1'î; qu?en débrayant leem- brayage 128, puis an appuyant sur la pédale 138, la roue motrioe 121 peut ttre tournée au moyen o 1s manivelle à main 136;
lorsque la pédale 188 est ralgohée,, les pis. gnons 138 ot 13Z sont séparoso On peut noter que le oar- ter 87 est muni à une porta 1Oo par laquelle, les divers mdcanîsmes renfermes dans le carter peuvent gtre nettoyés,,
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graissée, réparés régléso
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En ce) qui eonaormo le mécanisme à came ra- présenté en part i@ul1$:
ï&> par la fîguro 18, on peut indiquer que les pièees sont proportionnées et disposées de façon
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que la soupape 60 reste ouverte pendant que le galet 110
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rouie sur la. surface de came entre les points 3 et 12 la soupape se ferme àn point F a.'a. point 0, reste fermée jusqu'à ce que le galet atteigne le point E et s'ouvra lors de la eotirse de E à Eo ces mouvements sont tous
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réglés et synchronisés par rapport au mécanisme d'action- nement des pompes, de façon que les soupapes restent fer- mées pendant la course de descente des pistons de la pompe et pendant un moment après cette descente, pour empêcher le plomb de tomber, oomme il a étéindiqué ci-dessus, puis s'ouvrent et restent ouvertes pendant la principale partie de la Bourse de montée des pistons,
qui est la pé- riode de remplissage de la chambre; ce cycle est répété pour chaque Opération de moulage.
Pans les figures 1 et 2, 141 désigne un sup- port pour la barre 142 d'un indicateur de température du métal (non représente) et 143 désigne des oonsoles qui supportent une plaque formant cloison 144, qui descend dans le oreuset à plomb pour maintenir les lingots de plomb en arrière jusque ce qu'ils soient fondus* Il y a lieu d'observer que, dans les chambres de pompe 55, sont prévus des orifices 145 commandés par des soupapes, par lesquels ces chambres peuvent être vidées lorsque le mé- oanisme distributeur est relevé à la position de non fonc- tionnement représentée dans la figure 10.
Il y a lieu de remarquer (voir figures 9,10 et 13) que l'extrémité supé- rieurs des buses 59 est couverte par des chapeaux 146, main- tenus abaissés par des via 147 de consoles en U articu- lées 148, et qui permettent, lorsqu'ils sont relevés, de nettoyer facilement les buses 59 et les déversoirs 58.
Le mécanisme de commande des moules, le mécanisme de traitement des moules, les montures des mou- les, les moules proprement dits et le mécanisme trans- porteur des grilles sont décrits ci-après.
Entre le carter 87 et le socle 34-35 se trou- vent deux fortes pièces de bâti moulées 149, reliées par une barre transversale 150 et rigidement fixées au carter
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87 par des boulons 151 par exemple Une forte poutre transversale 152, sur laquelle sont montre les moules
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fixes 15t, est fixée par les p1àoes 149. Les moules ma- biles 154 sont portés par deux béliers 155, fixés de façon coulissante dans des voles 156 prévues sur le Car-
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ter 8Y.
Ses béliers sont atio. ,.mult,némnt et, com- me chaque paire de moules est établie pour mouler quatre grilles en une seule plaque, on voit que huit grilles sont moulées ou Conformées par chaque cycle de fonction- nement de la machine. Les moules sont représentés dans leurs positions de fermeture ou positions de réception
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de métal dans les figures 8, 9, 100 29 et 30, et les figures 1 et 2 montrent les moules ouverts ou séparés; à ce dernier moment, les grilles sont déchargées et les
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faces matriceumes des moules sont nettoyées et enfumées.
Chaque bdl:10-z,oot &o%1nnS et refait des mouvements de va'-et-vient par l'aetion oscillante d'un levier 157, dont lvextrdmîtê supérieure fait saillie dans le 'biller (figs<. 3 et @! tandis que son extrémité infé- rieure est bonrillonnée sur un arbre fixe 158 monté dans le fond du carter 87<.
L"extrëmite supérieure du le* vier est munie d'un bloo articulé 159 qui travaille en- tre une butée fixe 160, fixée par un boulon 161, et la
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tête 1$8 d'un boulon coulissant zozo Un puissant ressort 164 est disposé entre 1 orou 165 et une partie du blé- lier et tend à maintenir la tgte 16S fermement en oontazt aveo le bloc 159.
la tension du ressort 164 peut être réglée en tournant l'écrou 165, après retrait préalable
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d'une plaque-couvercle 1660 lorsque les balanciers 157 oscillent en arrière et en avant, ils font prendre aux béliers portant les moules des mouvements de va-et-vient
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correspondants, les bloos 159 ayant une liberté suffis
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sante pour prendre un mouvement coulissant vertical entre les pièces 160 et 162 occasionné par l'arc de mou- Tement que le bloc 159 doit suivre.
Les ressorts 164 tendent à amortir le contact entre les moules opposés, mais leur rôle prinoipal est de permettre aux moules de s'arrêter dans leur course en avant si les grilles pré- cédemment conformées ne sont pas encore complètement re- tirées ou si tout autre objet n'interpose et empêche une fermeture complète des moules, cas dans lequel les sur- faces matriceuses relativement délicates seraient aérien sement endommagées.
Les leviers 157 travaillent chacun entre deux cames 167 et ont des galets 168 destinés à se déplacer sur la périphérie de ces cames. Les cames sont fixées sur un manchon 118 et tournent avec ce manchon dans le sens des aiguilles d'une montre, comme on le voit dans la figure 8.
Les majeures parties des surfaces de ces cames sont circulaires et lorsque les galets 168 roulent sur ces parties allant de J à E, ils ne se déplacent pas et, dans cette position, ils maintiennent les leviers
157 poussés en avant et les moules fermés* La surface de K à J venant en prise avec le galet est courbée vers l'intérieur (fig.8) et elle est oomplétée par une pièce extérieure 169, à bord formant came, qui, lorsque le point K approche du galet, attaque le galet et tire le levier 157 en arrière, ce qui ouvre les moules.
On voit ainsi que les huit pièces formant cames' 167, 169, 111 et 90 sont toutes montées sur le manchon 118 et sont mi- ' ses simultanément en rotation par le moteur 127.
Les moules fixes 153 sont fixés à la poutre 152 par des boulons 170, ayant des ressorts 171, qui maintiennent les moules fermement en arrière contre des
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vis de réglage 172 (fig.8) au moyen desquelles les moules fixes peuvent être réglés avec précision pour recevoir convenablement les moules mobiles.
Les moules mobiles 154 sont fixés à des pro- longements formant brides des béliers 155 (voir figs. 3 et
31) par des goujons 173 fixés aux moules et libres de prendre un mouvement coulissant limité dans les pièces 155, l'étendue de ce mouvement coulissant limité étant déterminée par des écrous de réglage 174. Les moules sont chacun maintenue en avantc'est-à-dire avec les éorous 174 en contact avec le bélier 155 par quatre ressorts 175, dont un est représenté dans la figure 31, qui sont comprimés entre de courtes pattes 176 des moules et des bouchons réglables 177 disposés dans le bélier.
Les ressorts 175 amortissent ainsi de nouveau les moules mo- biles, mais leur principal ?$le est d'assurer ou de per- mettre un contact parfaitement uniforme entre les moules quand ils arrivent les uns contre les autreso
Les moules mobiles 154 sont munis d'une série de doigts démouleurs 178 convenablement répartis (fig.30) ayant des actions coulissantes limitées à travers les moules et qui sont maintenus en saillie à l'extérieur par des ressorts 179, position dans laquelle leurs extrémités Intérieures sont à niveau avec les surfaces matriceuses.
Les plaquée de grilles terminées et refroidies adhèrent aux moules 154, lorsque ces derniers sont retirés des moules fixes et lorsque les béliers approchent de la fin de leurs courses vers l'arrière. les doigts démouleurs 178 rencontrant les extrémités de tête d'une séria de vis 180, fixées de façon réglable dans un châssis rectangu- laire 181,porté par le carter 87o @ Quand les plaques de grilles sont ainsi
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libérées des moules ouverts, elles tombant sur un couloir incliné courbe 182, par lequel elles sont déchargées sur un transporteur à nappe sans fin 183 porté par un châssis 184 fixé aux pieds 35.
Le galet supérieur du transporteur est muni d'un pignon 185 (fige* 2, 5, 6 et 7), entraine au moyen d'une chaîne 187 par un pignon 186. Ce pignon porte une roue à vis sans fin 188, engrenant avec la vis sans fin 189 d'un arbre 190, entraîné par le moteur 127.
Toute partie lâche de la courroie 183 peut être absorbée par réglage des vis 191 et on obtient la tension convena- ble de la chaîne 187, en déplaçant la bloc 192 de support de la roue dentée sur un rail 193, l'arbre 190 étant com- posé d'éléments télescopiques, comme indiqué en 194, pour permettre ce réglage.
Les plaques déchargées par le couloir incliné 182 sont portées sur la nappe 183 jus- qu'à ce qu'elles se déposent elles-mêmes, par dessus le galet supérieur, qur un plateau 1915. Lorsque ce plateau a reçu un certain nombre de plaques, celles-ci peuvent être provisoirement empilées sur un grand plateau 196, jusqu'à ce qu'elles soient emportées ou amenées à la ma- chine coupeuse ou pareuse.
Les faces des moules 153 et 154 sont manies de surfaces taillées ou matriceuses complémentaires qui forment les grilles et, comme le montrent les figures 29 et 30, chaque paire de moules est capable de former une plaque de quatre grilles, qui est durcie dans le moule et sortie de ce moule, après ,quoi elle est découpée et parée.
Le réseau de rainures horizontales et verticales 197 et 198 représenté dans la partie gauche de la fig.29 forme les fils et nervures des grilles terminées, les canaux 199 qui entourent ces plaques forment les cadres extérieurs des grilles et les poches 200 forment les
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montants des bornes. Près des canaux extérieurs 199, les moules sont pourvus de canaux relativement grands 201,, qui forment de fortes barres aux extrémités clos plaques de grilles et qui se terminent à leurs extrémités supé- rieures par des orifices d'aération convenables 202.
Les faoes centrales des moules sont munies de garnitures creuses 202a par lesquelles de l'eau est mise en circulation à partie des tubes ou tuyaux souples 203 pour maintenir les moules froids et accélérer le dur- cissement du métal fondu. Ses garnitures comportent des parties complémentaires 204 en forme de coins qui sépa- rent le courant de métal fondu entrante les extrémités supérieures des garnitures sont basées pour former des entonnoirs destinés à recevoir le métal fondu clos buses 59. Lorsque le plomb est -versé dans les moules fermés, il remplit rapidement tous les espaces libres de oes mou- les, l'air étant évacué des moules par les orifices d'é- ohappement d'air 202.
Après que chaque jeu de plaques de grilles a été moulé et déchargé des moules, il est nécessaire que les moules soient enfumés, ou traités, avant qu'ils soient de nouveau fermes pour recevoir une autre charge de métal fondu. Ceci est effectué par le mécanisme repré- santé en particulier dans les figures 1, 26 à 28 et qui peut être décrit comme suit : Sur les barres verticales d'extémité du châssis 181, on monte deux bras de console 205 qui supportent une barre de guidage transversale 206.
Un chariot ou pièce moulée 207 est monté de façon coulissante sur cette barrer un tube brûleur 208 comportant deux rangées opposées de bées brûleurs 209 part et descend de ce charioteLe tuyau ou tube 208 comporte une soupape 210 et est relié avec un tube
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flexible 211 qui fournit du gaz au brûleur 208 lorsque la soupape 210 est ouverte* Un tube pilote ou oonduit de veilleuse 212 est relié avec la distribution de gaz, en avant de la soupape 210 et il oomporte un bes brûleur ou veilleuse 213, près de l'extrémité inférieure du tube à brûleurs 208, qui, une fois allumé, allume les brûleurs du tube 208 chaque fois que la soupape 210 est ouverte.
Lorsque les becs inférieurs 209 du brûleur sont ainsi allumés, la flamme s'élève immédiatement le long du tuyau en allumant les autres becs. La soupape 210 est ouverte et fermée en tournant une barre à main 214 montée à pivot sur une 'tige 215 formant prolongement de la soupape. Cette tige 215 comporte, en outre, un doigt 216 destiné à tomber ou pivoter dans une encoche 217 de la barre 206, lorsque le chariot 207 est dans la position gauche indiquée dans la figure 26 en traits poin- tillés. Lorsque le doigt 216 est dans l'encoche 217, la soupape 210 est fermée et il ne passe pas de gaz allant au brûleur 208. Dans toute autre position du doigt 216, la distribution de gaz au brûleur est ouverte et ce der- nier est allumé.
Le :fonctionnement de la machine peut être brièvement décrit comme suit : le moteur 127 n'est pas mis en fonctionnement avant qu'une quantitésuffisante de métal ait tout d'abord été fondue à la température convenable dans le creuset 39. Lorsque ceci est fait, le mécanisme distributeur est abaissé dans le creuset, les bielles 84 et 106 de commande sont assemblées, un courant d'eau est mis en circulation dans les tuyaux 203 et les moules,.et du courant est envoyé au moteur 127. ]toutes ces choses étant prêtes, le levier d'embrayage 131 est tiré en arrière, en imprimant ainsi un mouvement de ro-
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talion continu au manohon 118 et aux diverses cames por- fées par oe manchon.
les moules étant en positions fer- mées, les pistons 57 descendent en déplaqant une certai- ne quantité de métal qui monte alors dans les déversoirs 58 et est distribuée en tombant par les buses 59 dans les moules. Cette opération de distribution ne nécessite qu'un temps très oourt et, lorsqu'elle est terminée, un court rappel en arrière des pistons,, provoqué par le passage des galets 88 entre les points B et 0 de la coulissa courbe, aspire légèrement le plomb se trouvant dans le déversoir 58 pour le ramener en arrière et l'empêcher de tomber, avant que le mécanisme de soupape représenté dans la figure 18 fonctionne pour ouvrir les soupapes 60.
Ce- pendante dès que ces soupapes sont ouvert es, le plomb coule dans les chambres des pompes aussi rapidement que le piston s'élève, après quoi le mécanisme distributeur est prit pour l'opération suivante de remplissage des moules. Les moules restent fermes pendant que les surfa- ces de J à K cle la came 167 restent en contact avec les galets 168, temps pendant lequel les plaques de grilles durcissent sous l'action refroidissante du système à eau.
Lorsque les moules s'ouvrent, les plaques de grilles sont chassées hors des moules et tombent sur le couloir incliné le! d'où. elles sont transportées par le transporteur 183 et déposées sur le plateau ou support 195, Pendant le laps de temps durant lequel les moules sont ouverts, un ouvrier placé sur le cpeté droit de la machine saisit, tourne et tire la barre à main 214 ce qui ouvre la soupape 210.
allume le brûleur 208, déga- ge le doigt 216 du support et tire le brûleur 208 entiè- rement à travers les deux jeux de moules, ce qui fait que les flammes des bées 209 du brûleur traitent ou en-
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fument complètement et uniformément toutes les surfaces matrioeuses. Il recommence ce traitement en tirant le support en arrière à sa position originelle.
Il ya lieu de remarquer, que comme le gaz ne peut pas être coupé jusqu'à ce que le support soit entièrement ramené, l'ou- vrier est averti par la lumière du brûleur s'il n'a pas complètement ramené le support et en conséquence il y a peu de danger que le brûleur soit coince entre les moules qui se ferment, ce qui aurait pour effet d'endom- mager ou de briser à la fois le brûleur et les moules.
Si la machine ne fonctionne pas convenablement, on peut assurer le fonctionnement normal en procédant aux dif- férents réglages qui ont été décrits précédemment REVENDICATIONS
1.- Une machine à mouler du type comportant un réoipient de métal fondu combiné avec un mécanisme servant à distribuer du métal fondu à des moules qui peuvent être commandés pour être ouverts et fermés, oomprenant un dispositif de transmission de force pour le mécanisme de commande du moule et le mécanisme de distribution du métal, et une transmission pouvant être séparée rapidement qui relie à commande ces doux méca- nismes.
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