BE361233A - - Google Patents

Description

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  " Machine à égrener le lin   ".   



   La présente invention concerne une machine à égrener le lin ou analogue c'est-à-dire à le débarrasser des capsulas que les tiges portent à leurs extrémités. 



   L'invention envisage de permettre le réglage exact du moment ou   l'engrenage   doit commencer. 



   L'invention prévoit notamment que des organes égreneurs disposés entre deux paires de cylindres entraînant le lin ou matière analogue à travailler, agissent d'une manière posi- tive sur le lin au moment ou ce dernier s'engage entre la pai- re de cylindres disposés à la sortie de la machine. 



   Suivant l'invention cette action positive des organes égreneurs tels que des rouleaux ou cylindres, est réalisée 

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 par la coopération   d'un   éément ou tenon prévu sur l'un des cylindres égreneurs avec une butée montée sur le bâti de la machine, le cylindre égreneur .étant ramené   à   sa position nor- male de repos par tout mécanisme approprié tel qu'un ressort à boudin ou analogue. 



   L'invention prévoit en outre que la position du tenon sur le roule au égreneur comportant des peignes   interchangea-   
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 01(')13 et de) lu hubéo Uluut60 sur la hûL1 est rt!:glb.IJ1. 



   D'ailleurs l'invention sera décrite en détails ci-après avec référence aux dessins annexés qui représentent à titre d'exemplatif et non limitatif une forme de réalisation de la , machine suivant l'invention. 



   La figure 1 est une vue en élévation d'un des côtés de la machine; la figure 2 est une vue en élévation schématique d'un côté de la   machine 1 le   cylindre égreneur étant dans sa position de repos ; la figure 3 est une vue de face du peigne utilisé pour effectuer l'égrenage du lin ; la figure 4 est une vue en coupe du peigne représenté à la figure3. 



   Sur le bâti 2 en bois ou toute autre matière analogue sont montés deux flasques 3 en fonte ou matière analogue des- tinées à supporter les cylindres égreneurs et entraîneurs de la machine à égrener le lin. Les cylindres inférieurs   entraf-   neurs 4-4' reposent sur des paliers fixes disposés sur les flasques 3 tandis que les cylindres supérieurs entraîneurs 5-5' sont montés de façon à pouvoir se déplacer verticalement lors de l'actionnement de la matière respectivement entre les cylindres 4,5 et 4',5'. 



   A cet effet les coussinets des arbres des cylindres 5-5' sont disposés à la partie supérieure de quatre flasques mé- talliques , telles que 6, placées verticalement, la partie 

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 inférieure de ces flasques 6 étant reliées au bâti par des   ressorts 7 qui sollicitent constamment vers le basanes les cylindres 5 et 5' dont les arbres traversent des rainures ver-   ticales 8' taillées dans les flasques 3 et destinées au dépla- cement vers le haut des cylindres 5 et 6'. Les cylindres 4' et 5' sont cannelés et le cylindre 4' entraîne le cylindre 5'. 



   Entre les deux paires de cylindres 4 et 5 et 4' et 5' se trouve: placée une troisième paire de cylindres 9-9' qui peut être d'un diamètre plus petit que le diamètre des cylin- dres précédents. 



   Le cylindre inférieur 9 qui tourne dans des paliers fixés aux flasques 3 est entraîné par les cylindres 4 et 4' au moyen de roues dentées 9a engrenant avec des roues dentées corres- pondantes des cylindres 4 et 4' actionnés suivant toute   manié-   re appropriée. Le cylindre égreneur supérieur 9' tourne fou sur son axe et est pourvu ,suivant sa génératrice, d'un peigne tel que   10   fixe sur la périphérie du cylindre égreneur 9' au moyen de boulons 11 fixés dans la massa du cylindre 9' ou au moyen de tout autre dispositif approprié. Ce peigne 10 est constitué par toute une série de pointes ou tenons effilés 16. 



  Afin de réaliser une action, positive sur le lin du cylindre égreneur 9'au moment oû le lin pénètre entre'les cylindres 4 et 5' disposés à la sortie de l'appareil, le cylindre 9' est muni d'un élément tel qu'un tenon 11' coopérant avec une butée 12 montée sur le bâti 3 et cela seulement au moment ou le lin a pénétré entre le cylindre 4' et 5'. 



   Ainsi que visible à la figure 1 le lin amené suivant la flèche x pénètre par les racines entre les cylindres 5 et 5' et est entraîné par ces derniers, le cylindre 5 se soulevant lors de l'introduction du lin. Les racines du lin arrivent devant les cylindres 9 et 9' et viennent buter contre les pointes 11 du rouleau égreneur 9' tournant fou sur son axe. 

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  Sous l'effet de l'avancement du lin, ce rouleau 9' est entraîné par l'intermédiaire des pointes 11 jusqu'au moment ou le tenon 11' disposé sur ce cylindre vient buter contre la butée 12 montée sur le corps du bâti 3. La disposition du tenon 11' sur le cylindre 9' est calculée de telle manière que l'arrêt du cylindre 9' se produise au moment où le lin est engagé sous les cylindres cannelés 4' et 5', les graines se présentant devant   la   peigna 10 qui, à cet instant, se trouve et est bloqua dans la position inférieure, en regard du cylindre 9.

   Lorsque le lin, après   avair   été égrené, est sorti de l'appareil, le cylindre 9' est ramené automatiquement dans sa position nor- male de repos au moyen d'un ressort à boudin 14, fixé d'une part sur le bâti 2 et d'autre part sur le cylindre 9' et qui s'est tendu lors du déplacement du cylindre 9', qui a pivoté d'environ un demi ou de 3/4 de tour. 



   Il est facile de comprendre que le déplacement du tenon 11' et de la butée 12 respectivement sur le cylindre 9' et sur le bâti permet de régler le moment de l'action positive du cylindre égreneur sur le lin en produisant l'arrêt du cy- lindre 9' plus tôt ou plus tard suivant la position de ces éléments. 
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 ep:l"OnOl1l" sidi quel rappel oyllndr'9' Il va de s oi qu mnaxOatntx le rappel du cYlind91 peut être effectué par tout mécanisme ou dispositif approprié.

Claims (1)

1. R E V E N D I C A T I O N S.

   1./ Machine à égrener le lin, caractérisée en ce que un ou des organes égreneurs, disposés entre des paires de cylin- dres destinés à entraîner le lin ou matière analogue, agissent d'une manière positive sur le lin au moment ou ce dernier s'en- gage entre la paire de cylindres disposée à la sortie de la machine susdite.

   2./ Machine à égrener le lin ou analogue, suivant reven- dication 1, caractérisée en ce que cette action positive du <Desc/Clms Page number 5> ou des organes égreneurs tels que des rouleaux ou cylindres égreneurs est réalisée par la coopération d'un élément ou te- non prévu sur l'un des cylindres égreneurs avec une butée mon- tée sur le bâti de la machine et en ce que le cylindre égre- neur est ramené en sa position normale de repos. par tout mé- oanisme approprié tel qu'un ressort à boudin ou analogue.

   3./ Machine à égrener le lin, suivant revendication 2, caractérisée en ce que la position du tenon sur le cylindre égreneur et de la butée sur le bâti de la machine est réglable de manière à produire l'arrêt du cylindre égreneur plus tôt ou plus tard suivant la position du cylindre.

   4./ Machine à égrener le lin ou analogues, suivant les revendications précédentes, caractérisée en ce que le cylin- dre égreneur, tournant fou sur son axe, est pourvu de pointes effilées destinées à produire l'entraînement du cylindre par le lin et d'un peigne interchangeable, disposé suivant une génératrice du cylindre égreneur et comportant une série de pointes effilées qui agissent positivement sur le lin lors de l'arrêt du cylindre susdit, ce cylindre égreneur étant placé entre deux paires de cylindres entraînés par des moyens ap- propriés, le cylindre égreneur laissant entre chacun des cyl- lindres supérieurs un espace suffisant pour laisser passer la rangée de dents placée sur celui-ci,

   les cylindres supé- EMI5.1 rieurs pouvant se déplacer verticalement vers le hant/4àoeP malgré la tension de ressorts appropriés tendant à les ramener vers le bas.