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Armature intérieure constituant ressorts -amortisseurs pour parties portantes de sièges ou pour sommiers de matelas, coussins et analogues. les armatures intérieures connues pour la partie portante des sièges ou le sommier élastique des matelas, coussins et ana logues .consistent , en général,en des ressorts individuellement placés côte à cote; ceux-ci affectent le plus souvent la forme cylindrique et sont reliés au haut et au bas,c'est-à-dire à leurs deux extrémités,avec les bouts correspondants des ressorts voisins, au moyen d'un organe intermédiaire quelconque,soit par exemple, par des oeillards.
Ces modes de rattachement ont l'inconvénient d'a bord de percer graduellement,le revêtement en tissu,d'autre part, chaque fois qu'on y applique une charge ou qu'on en retire celle-ci,l'armature intérieure ou sommier fait entendre un grin- cement métallique car la liaison n'est que lâche. En outre,la confection de ces parties d'attache implique une dépende de ma- tière et un laps de temps considérable d'où résulte un accrois- sement essentiel des frais.
Tous ces inconvénients sont supprimés par la présente inven- tion,en ce sens que,ayant un long ressort en spirale,on lui donne une torsion de 180 degrés suivant deux,trois,quatre pas ou
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davantage en sorte que les pas qui suivent.constituent des ressorts voisins mais de direction opposée jusqu'à ce qu'avec ces ressorts voisins,on ait atteint la nageur nécessaire , moment auquel une nouvelle torsion du fil mtallique pour le tourner de 180 produit un nouveau ressort voisin.
De cette .La-on,lion arrive à former. d'une seule pièce .n'importe quel nombre de ressorts spiralés successifs de telle sorte que les parties de passage d'un ressort au voisin sont constitués par le fil même du ressort,sans l'intervention l'aucun lien d'attache mécanique c'està-dire qu'ils sont complètement unis et ne peu- vent faire subir aucun frottement au revêtement d'étoffe appli- qué par dessus.
Les armatures intérieures se prêtent.encore à une simpli- fication ainsi qu'à une réduction du prix coûtant par le procé- dé suivant lequel à chaque pas,le fil du ressort est tiré à travers le pas du ressort qui lui est voisin. Ue faisant.on obtient un tressage qui est d'une venue,offre de la cohésion et ne néeessite aucun organe de liaison.
L'invention a été représentée à titre d'exemple,par les dessins annexés,savoir: la fig. 1 est une vue latérale d'une partie de l'armature tandis que la fig. 2 en est une vue en plan correspondante; la fige 3 montre un autre.mode d'exécution conforme au texte du deraier paragraphe de la description ci-dessus et la fig. 4 en est une vue en plan correspondante. le fil métallique en spirale a qui, d'une seuls pièce doit sser par toous les éléments élastiques spirzlofdes, est en des points tels que b dont l'écartement est déterminé,tordu de 180 degrés, e qi fait obtenir les élémetns de reeost c,c,c,2 c3 etc situés parallèlement l'un à coté de l'autre.
Les pas qui, à la même hatueru font imédiater suite, sont de la manière connue.reliés aux précédents soit par des anneaux d soit par d'autre organes de ce genre(figure 1 et2)
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Dans le mode d'exécution conforme aux figure 3 at 4 chacun @ des éléments des ressorts est tressé en réunion avec son voisin, après formation de la première rangée de ces éléments, l'on forme de la même façon et sans discontinuer, la deuxième rangée (fig. 2: ±4),pais l'on continue de la sorte , jusqu'au parachèvement de toute l'armature.
Il va sans dire que l'on pourrait aussi, à volonté,interrompre le fil du ressort en spirale si,pour une raison ou une autre,cet te interruption était jugée nécessaire ou désirable.
Quant aux bouts g du ressort considéré en entier,ils peuvent, après par achève tuent de l'armature -sommier, être rattachés l'un à l'autre,ou bien être fixée cchn individu elle nient à un châssis placé à l'entour.
Les revêtements e étoffe ont été représentés aux dessins et désignés par les lettres f.
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