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Procédé d'illumination des liquides et dispositifs appropriés à un tel procédé.
L'invention concerne des dispositifs destinés à produire et à utiliser la lumière chimiluminescente. L'invention concerne plus particulièrement les dispositifs contenant ou pouvant contenir les réactifs pour illuminer des boissons ou autres liquides se trouvant dans des récipients transparents ou translucides, tels que verres à boire, bouteilles ou vases.
Le principe et les techniques pour la production de lumière chimiluminescente sont amplement décrits dans de nombreux brevets et dans une littérature importante.
La chimiluminescence est produite par la réaction d'un activateur avec un agent fluorescent et un oxalate. Dans le cadre de cette invention, toutes les formules de production de lumière chimiluminescente sont acceptables pour autant que les dimensions, le volume et le poids du combiné des réactifs puissent s'adapter aux dispositifs permettant la réalisation de l'objet de la présente invention.
On connaît déjà l'utilisation de la lumière électrique pour l'illumination des liquides contenus dans des vases ou des bassins aux parois transparentes, tels que des aquariums, par exemple ; cette illumination procède d'une source lumineuse activée par l'électricité et positionnée en dessous du fond transparent de ces récipients.
Il semblerait difficile et certainement peu pratique de disposer une lampe électrique connectée au secteur ou alimentée par une pile en dessous d'un verre à boire ou d'une bouteille contenant de la limonade, de la bière ou tout autre liquide.
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La présente invention a pour but de remédier à ces inconvénients. L'invention, telle qu'elle est caractérisée dans les revendications, résout le problème par l'utilisation de la lumière chimiluminescente produite pendant un certain temps et dont la source se trouve soit dans le liquide même à illuminer, soit en dehors de celui-ci, dans un emplacement créé, de préférence, en-dessous du fond transparent ou translucide des verres, bouteilles ou vases dont on veut illuminer le contenu.
Les dispositifs qui sont imaginés à partir de ces conceptions constituent différents aspects de l'objet de cette invention. Ceux-ci deviendront apparents au fur et à mesure de l'avancement de leur description.
Il y a différentes possibilités d'amener la source de lumière chimiluminescente là où elle est nécessaire pour iluminer les liquides contenus dans les verres, bouteilles ou vases. Ces possibilités et les dispositifs qui sont créés pour les appliquer dépendent de la façon d'envisager l'utilisation du combiné des composés dont la réaction chimique produit la lumière chimiluminescente.
Ces systèmes d'utilisation de la lumière chimiluminescente sont au nombre de deux : SYSTEME 1 : En mettant le mélange ou combiné producteur de chimiluminescence DANS le liquide à illuminer SYSTEME II : En disposant le mélange ou combiné producteur de chimiluminescence HORS du liquide à illuminer 1 Il y a aussi DEUX moyens physiques de création et d'utilisation de la lumière chimiluminescente :
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Le premier moyen ou MOYEN A consiste en l'emploi de la lumière chimiluminescente par l'utilisation des composés actifs mélangés préalablement mais avec leur réaction productrice de lumière chimiluminescente bloquée par un froid assez intense pour ce faire.
En effet, il apparaît dans la littérature concernant la lumière chimiluminescente que la réaction qui la crée se situe entre les limites de-40C a +75C. On peut donc imaginer l'utilisation du mélange déjà exécuté des réactifs et sa conservation préalable à une température inférieure à -4OC dans la carbo-glace, par exemple.
Nous appelerons ce procédé : MOYEN A-SURGELE Le deuxième moyen ou MOYEN B consiste en l'utilisation de la lumière chimiluminescente par le mélange extemporané des réactifs auquel on ne procède qu'au moment où l'on a besoin de la lumière.
Nous appelerons ce procédé : MOYEN B - EXTEMPORANE Remarques préliminaires importantes : 1) Afin d'éviter une confusion entre les appellations "verre à boire"et le matériau "verre", les "verres à boire"serontappelésici"verreàboire"ou"verregobelet".
2) Pour la facilité de la rédaction du texte ultérieur, on appelera"faux glaçon", un petit conteneur dont la description des différents modèles est donnée plus avant ; ce petit conteneur est appelé "faux glaçon" car il se jette dans les verres à boire comme de vrais glaçons mais à la différence de ces derniers, ces"faux glaçons"sont absolument insolubles. Certains de ces"faux glaçons"qui sont présentés plus avant sont rendus hermétiques dès leur fabrication : ils seront appelés, selon le cas, ou "faux glaçon surgelé", ou"faux glaçon extemporané".
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Un autre "faux glaçon" est conçu de telle manière que, par dévissage partiel de sa partie bouchon, on provoque la réaction de chimiluminescence ; ce"faux glaçon"reste parfaitement hermétique, que son bouchon reste partiellement dévissé, ou qu'il soit complètement refermé. Ce faux glaçon"particulier sera appelé"faux glaçon extemporané dévissable".
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- 1.-SYSTEME 1 OU SOURCE LUMINEUSE D A N S LE LIQUIDE : -.
MOYEN A-SURGELE : "Faux Glaçons Surgelés" (insolubles et hermétiques) - ------------------------------ Pour ces systèmes du MOYEN A, c'est-à-dire ceux qui utilisent le mélange des réactifs réfrigéré en dessous de la température de blocage de la réaction, on doit considérer que ces systèmes devront créer des dispositifs à usage unique puisqu'une fois la réaction accomplie, pendant le temps désiré, ces dispositifs contenant les composés"éteints"dans un emplacement hermétiquement clos n'auront plus aucune utilité.
En ce qui concerne le MOYEN A : une formule de réalisation de cette application serait la création de petits conteneurs transparents ou translucides, sous l'aspect de"faux glaçons surgelés" (insolubles et hermétiques dès leur fabrication) que l'on jette dans les verres à boire (ou d'autres récipients transparents ou translucides) et qui pourraient se présenter sous n'importe quelle forme, que celle-ci soit cubique, cylindrique, sphérique, polyédrique, parallélipipédique de section triangulaire, carrée, rectangulaire ou polygonale, losangique ou pentagonale, en forme de berlingot ou de demi-lune ou encore en forme de sphère aplatie ou allongée,
cette énumération n'étant pas exhaustive et ces "faux glaçons" pouvant avoir n'importe quelle forme faisant appel à des modèles existants ou
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venant de l'imagination pure.
Ces"faux glaçons surgelés" qui contiendraient les réactifs déjà mélangés seraient donc stockés à une température inférieure à celle où commence la réaction.
L'avantage de cette conception de l'invention est que, lors de leur utilisation pour l'illumination de boissons rafraîchissantes, le rôle de ces"faux glaçons surgelés" serait double puisque, non seulement, ils illumineraient les boissons contenues dans le verre-gobelet mais en même temps ils les rafraîchiraient fortement, tout en restant insolubles et sans fondre dans le liquide.
Une variante intéressante pourrait être celle qui est exposée ci-après. Avant de la décrire, il y a lieu de dire que, lors de la fabrication des"faux glaçons" décrits plus haut, le liquide de mélange doit être versé dans les "glaçons" conteneurs, non encore fermés, à une température basse pour éviter-autant que possible-la réaction mais pas assez basse cependant pour que le mélange devenant de plus en plus visqueux et même pâteux puisse encore cependant être versé dans les petits réservoirs"glaçons"avant leur fermeture ou scellement hermétique.
Il y aura cependant un début de réaction mais si, après remplissage, et éventuellement après leur fermeture et leur scellement, on refroidit brutalement les "faux glaçons"ainsi formés et fermés hermétiquement, ils deviennent de "faux glaçons" réellement surgelés ; la réaction est arrêtée et la chimiluminescence disparaît.
En conséquence, la variante proposée serait un modèle cloisonné partiellement de façon à constituer deux compartiments séparés par une paroi qui n'atteindrait pas le plafond du"faux glaçon". Les deux compartiments communiqueraient donc par le dessus. Cette ouverture ou fente qui subsisterait dans le"faux glaçon"ferait
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communiquer les deux compartiments. Cette séparation, avant la fermeture du"faux glaçon"par sa partie supérieure, permettrait un remplissage facile de chacun des compartiments par les réactifs encore en phase liquiderais qui, une fois fortement réfrigérés, après la fermeture, ne se mélangeraient pas puisqu'ils seraient devenus très visqueux et même pâteux.
(voir FIGURE 1) Une variante du modèle ci-dessus montrerait une paroi qui ne serait pas totalement hermétique mais montrerait un
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point de passage, trou ou fente, par lequel les liquides - t pourraient se mélanger au moment de leur réchauffement pour donner la réaction chimiluminescente. (voir FIGURE 2) Il est important de noter qu'il est souhaitable que ces "faux glaçons surgelés" (insolubles et hermétiques) aient un poids spécifique moyen plus lourd que celui du liquide dans lequel il est jeté de façon à ce qu'ils ne flottent pas et qu'ils descendent au fond du verre dont ils doivent illuminer les contenus.
Il est évident qu'un "faux glaçon" insoluble qui flotterait à la surface du liquide illuminerait plus ou moins celui-ci mais, à moins qu'il ne soit, en compagnie d'autres glaçons réels qui refléteraient la chimiluminescence du"faux glaçon surgelé", l'effet esthétique ne serait pas très heureux et, de plus, le"faux glaçon surgelé"se trouvant dans le fond du verre à boire sur un fond réfléchissant illumininerait beaucoup mieux le liquide.
En conséquence, une formule intéressante de réalisation serait la suivante : étant donné que les parois des"faux glaçons surgelés"sont constituées de polyéthylène ou de polypropylène léger ou de tout autre matière présentant les mêmes avantages, il faudrait ajouter, dans les"faux glaçons", des éléments qui alourdiraient l'ensemble de façon à obtenir un poids spécifique plus élevé que celui du liquide dans lequel ils sont plongés. Ces "faux glaçons surgelés" contiendraient donc, mélangés aux réactifs, des éléments alourdissants, tels que billes ou
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petites masses métalliques nickelées ou petites masses ou billes de verre de qualité (verre de laboratoire) ne réagissant pas aux composés dans lesquels ils se trouvent.
- t-.
Une variante serait que le"faux glaçon surgelé"soit lesté extérieurement par accolement, par exemple, sur l'une de ses faces, d'une plaque ou d'un lest quelconque alourdissant.
Le"faux glaçon surgelé"peut aussi être muni d'un petit anneau fermé ou ouvert qui pourrait être placé sur un de ses coins, ou en tout autre endroit de sa surface, de façon à ce qu'il puisse être relié facilement à un fil ou à une tige se fixant au bord du récipient et qui permettrait de le retirer facilement du liquide dans lequel il trempe.
La paroi des faux glaçons surgelés"peut être colorée soit dans la masse, soit superficiellement pour modifier la couleur provoquée par la chimiluminescence ; cette paroi peut aussi porter différents dessins de différentes couleurs.
Les faux glaçons surgelés" peuvent aussi porter des inscriptions, des marques publicitaires ou des logos, soit en relief, soit en creux, soit en impression.
Pour une utilisation commerciale valable, le modèle préférentiel serait celui où la vie lumineuse de ces "faux glaçons surgelés"ne dépasserait pas le temps de consommation normale d'une boisson, c'est-à-dire dont la vie lumineuse franche s'établirait aux environs de deux heures. Cette durée peut être réglée assez facilement par un dosage adéquat des réactifs.
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SYSTEME 1 OU SOURCE LUMINEUSE D A N S LE LIQUIDE
MOYEN B-EXTEMPORANE : 1)"Faux Glaçons Extemporanés" faux Glaçons Extemporanés Dévissables"
3) Dispositifs existants : bâtonnets lumineux ou lightsticks, tels"Cyalume"d'American Cyanamid, ou autres.
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- -------- L) "Faux Glaçons Extemporanés" - l Dans le cas où le mélange des réactifs est fait d'une manière extemporanée, c'est-à-dire au moment donc où l'on désire obtenir la production de lumière chimiluminescente, et donc où les réactifs, dans cette attente, sont séparés l'un de l'autre d'une manière parfaitement efficace, le dispositif doit contenir ces deux solutions dans des chambres séparées mais disposées et conçues de telle manière que l'on puisse facilement, au moment de l'emploi, provoquer le mélange des deux réactifs.
Comme il s'agit, dans ce cas présent, d'illuminer des liquides qui seront plus souvent contenus dans des verres à boire remplis de boisson que ceux contenus dans des bouteilles ou dans des vases, le concept de l'invention ici est la création de dispositifs en forme de"faux glaçons extemporanés" (insolubles et hermétiques), de forme sphérique, cubique ou polyédrique que l'on peut jeter dans les verres à boire en même temps, éventuellement, que de réels glaçons de vraie glace fondant dans le liquide illuminé.
Une conception intéressante de ces"faux glaçons extemporanés"qui s'applique, dans ce cas, à des conteneurs ayant des parois parallèles, c'est-à-dire en forme de cubes, parallélipipèdes droits ou parallélipipèdes obliques ou en forme de polyèdres réguliers ayant au moins deux faces parallèles, peut être
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celle-ci : les parois transparentes ou translucides du "faux glaçon extemporané" peuvent être de polyéthylène ou de polypropylène ou de tout autre matériau que ce soit insensible aux réactifs utilisés ; il faut que la matériau litflise-soit assez souple pour que les parois parallèles du polyèdre puissent être comprimées l'une vers l'autre et que celui-ci reprenne ensuite sa forme initiale.
La chambre interne du"faux glaçon extemporané" serait séparée en deux compartiments par une paroi, soit en verre, soit en matériau plastique suffisamment rigide et qui soit crevable par une ou plusieurs pointes ou éléments acérés qui se trouveraient fixés sur la face interne d'une des parois extérieure parallèle ou légèrement oblique par rapport à la paroi séparatrice interne.
Au moment où l'on désirerait provoquer la réaction de chimiluminescence, il suffirait de presser, l'une vers l'autre, les deux parois en question dont l'extérieure porte la ou les pointes ; le paroi centrale interne serait alors crevée par la ou les pointes et les deux réactifs se mélangeant, la réaction de chimiluminescence serait déclanchée. (voir FIGURE 3) Une autre conception intéressante est celle de"faux glaçons extemporanés"semblables aux précédents mais où la paroi interne serait faite d'un matériau cassable, telle qu'une lame de verre ou une lame de plastique de qualité telle qu'elle pourrait se fendre ou casser et s'ouvrir sous la pression exercée sur les parois.
Cette lame de séparation pourrait être disposée plus ou moins parallèlement entre deux parois parallèles du polyèdre régulier, mais elle pourrait aussi être placée obliquement entre deux bords opposés, par exemple, sur la diagonale interne du polyèdre lorsqu'il s'agit du cube. (voir FIGURE 4)
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En poussant l'une vers l'autre, dans le premier cas, les parois de l'hexaèdre régulier sur lesquelles s'appuie la paroi de séparation et en leur donnant un léger mouvement de glissements opposés ou de cisaillement, on provoquerait ainsi la cassure de la paroi et le mélange des réactifs.
Dans le cas d'une séparation oblique, le mouvement pour casser la paroi serait de presser les deux bords d'attache de la paroi interne, l'un vers l'autre et de les faire bouger légèrement, l'un par rapport à l'autre.
Dans le cas de"faux glaçons extemporanés" ne seraient pas de forme polyédrique régulière, le procédé de séparation des deux chambres par une cloison crevable au moyen d'une ou plusieurs pointes se trouvant sur une paroi externe plus ou moins parallèle ne peut pas s'imaginer pour toutes les formes de volumes ou de polyèdres, quoiqu'11 soit réalisable dans de nombreux cas ; par contre, le procédé de la paroi cassable en verre ou en matériau cassant ou de structure émiettable sous la pression peut s'appliquer à toutes les formes de"faux glaçons extemporanés".
2)"Faux Glaçons Extemporanés Dévissables" Une conception intéressante de"faux glaçon extemporané" serait la suivante : il s'agit ici d'un dispositif chimiluminescent extemporané consistant en un petit conteneur ayant une forme de courte colonne cylindrique ou de section carrée ou polygonale et de volume tel qu'il pourrait être jeté dans un verre à boire. L'ensemble est, en fait, un petit flacon, transparent ou translucide, fermé par un bouchon qui a la même section et le même diamètre extérieur que le flacon de base qu'il prolonge vers le haut. A l'intérieur du flacon, une cloison sépare complètement celui-ci en deux compartiments contenant les réactifs. En son milieu se trouve le goulot dans lequel
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se visse la partie filetée du bouchon.
Ce goulot est ouvert vers le bas et cette ouverture du bas du goulot est faite de deux orifices presque hémicirculaires séparés par le haut de l'arête supérieure de la cloison intérieure sur laquelle se pose la base du bouchon quand il est fermé. L'impossibilité de communiquer entre les deux compartiments et l'isolement des réactifs l'un par rapport à l'autre est réalisée par le contact intime et la pression de la base du bouchon sur le haut de la cloison séparatrice. Quand on dévisse le bouchon dont la partie filetée est assez-haute pour ne pas le sortir entièrement du goulot, on ménage de la sorte une chambre d'expansion où les réactifs, si on retourne le dispositif, peuvent venir se mélanger. En agitant le flacon, on accélère le mélange de ceux-ci et leur réaction de chimiluminescence.
Lorsque celle-ci est en cours et que les deux réactifs sont bien mélangés et répartis dans les deux compartiments, on peut revisser le bouchon et reformer ainsi un"faux glaçon extemporané dévissable" lumineux. (voir FIGURE 15) Une caractéristique de ce dispositif de"faux glaçon extemporané dévissable" est que l'on peut initialiser le mélange des réactifs, permettre un début de réaction, refermer le bouchon et si on le souhaite, prolonger la réaction en dévissant à nouveau le bouchon et en continuant de permettre le mélange des réactifs.
On peut également laisser le bouchon légèrement ouvert de façon à ce que les réactifs se mélangent progressivement en permettant ainsi d'obtenir une réaction prolongée et une intensité plus régulière et plus constante que lorsque les réactifs sont mélangés brutalement en une seule fois, ce qui donne une réaction initiale de luminescence très intense rapidement suivie d'une luminescence nettement moindre.
Dans le cas d'un"faux glaçon extemporané dévissables à section cylindrique, la partie bouchon peut avoir un
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diamètre un peu plus large que la partie flacon ; ce rebord peut se prolonger autour de la partie flacon pour former une petit jupe circulaire. Celle-ci continue à couvrir l'intervalle vide laissé entre le flacon et le bouchons'quand celui-ci est légèrement dévissé et gardé dans cette position pour permettre une réaction au ralenti.
Pour permettre une herméticité absolument totale du dispositif, vers l'extérieur, quand le bouchon est refermé sur le flacon, les bords de ces derniers peuvent être conçus de telle manière que, lorsque ceux-ci entrent en contact, l'intimité de ce contact soit parfaite : ceci, notamment en augmentant la surface de contact, soit par des bords en biseau, soit par des bords convexes s'opposant à des bords concaves ou par tout autre dessin de section correspondant à un dessin opposé.
Il est possible de renforcer encore l'herméticité de l'ensemble bouchon-flacon par l'installation d'un joint torique.
Une sécurité supplémentaire peut être aménagée dans le système goulot-bouchon de façon à ce que le bouchon ne puisse être dévissé complètement quand on le dévisse pour provoquer le mélange des réactifs et la production de chimiluminescence Dans le cas où le système qui vient d'être décrit serait, en augmentant ses dimensions, utilisé comme socle pour l'illumination de liquides, sa surface supérieure sur laquelle se poserait le récipient à illuminer pourrait être la seule à être transparente ou translucide ; le dispositif, dans ce cas, pourrait être réutilisable par remplacement des réactifs usés, c'est-à-dire ayant déjà donné une réaction de chimiluminescence.
Comme pour les"faux glaçons surgelés, la paroi des faux glaçons extemporanés"et des"faux glaçons extemporanés
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dévissables"peut être colorée soit dans la masse, soit superficiellement, pour modifier la couleur créée par la chimiluminescence ; cette paroi peut aussi porter différents dessins de différentes couleurs. Elle peut aussi porter des inscriptions, des marques publicitaires ou des logos, soit en relief, soit en creux, soit en impression.
Comme pour les"faux glaçons surgelés", il est souhaitable, que la vie lumineuse franche des"faux glaçons extemporanés"ou"extemporanês dévissables" ne dépasse pas trop la durée normale de consommation d'une boisson dans un établissement public, durée qui peut être réglée par un dosage adéquat des réactifs.
De même, il peut être souhaitable que le poids spécifique moyen de ces mêmes"faux glaçons"soit supérieur à celui du liquide dans lequel ils sont plongés et qu'en conséquence, comme expliqué pour les "faux glaçons surgelés, ils puissent être lestés-si nécessaire-de la même manière, c'est-à-dire par des éléments alourdissants, tels que billes ou petites masses métalliques nickelées ou petites masses ou billes de verre de qualité ne réagissant pas aux composés chimiluminescents.
Une variante serait ici que ces mêmes "faux glaçons" soient lestés extérieurement, comme proposé pour les "faux glaçons surgelés".
De même que, pour les"faux glaçons surgelés", les"faux glaçons extemporanês"ou"extemporanês dêvissables" peuvent être pourvus d'un anneau fermé ou ouvert permettant plus facilement de les retirer du récipient dans lequel ils sont plongés. t
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3)-Dispositifs existants : bâtonnets de lumière ou lightsticks, tels"Cyalume"d'American Cyanamid, ou autres : rIl existe des dispositifs créés spécialement et déjà commercialisés qui sont des systèmes extemporanés constitués par un combiné de deux conteneurs dans lesquels sont contenus les réactifs destinés à réagir ensemble, au moment choisi par l'utilisateur ; on trouve, par exemple, dans le commerce des lightsticks ou bâtons de lumière appelés"Cyalume"de la société U. S.
American Cyanamid de diverses dimensions présentant les. caractéristiques exposées ci-dessus ; certains sont assez petits pour constituer ici la source de lumière chimiluminescente nécessaire. Il a été aussi mis dans le commerce, en Belgique et à partir de ce pays vers d'autres pays, dès 1989, un petit tube cylindrique formé de deux compartiments contenant les deux réactifs séparés par une pastille en matière plastique qui peut basculer sous la pression des doigts ; ce 11ghtstick appelé quelquefois"Cosmic light"est produit par la société belge Continental Photostructures.
Il est important de remarquer que tous les dispositifs ou gadgets chimiluminescents créés à ce jour ont des parois en matériau plastique léger, généralement polyéthylène ou polypropylène ; ils flottent sur les liquides et leur inventeurs insistent généralement sur cette caractéristique.
La réalisation optimale de l'objet de la présente invention souhaite d'éviter cette caractéristique qui est ici un désavantage car si le gadget lumineux peut illuminer le liquide, il reste en surface de celui-ci et
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l'effet esthétique est décevant et même déplaisant. s Un remède à ce désavantage est un emballage individuel de ces bâtonnets ou dispositifs chimiluminescents qui, pour les protéger de l'humidité pendant le stockage, pourrait être un conteneur de verre ou de matériau imperméable,
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transparent ou translucide, de forme diverse, cylindre ou cube, par exemple, mais de volume tel qu'il peut être jeté au fond d'un verre à boire.
Ce conteneur peutaprès qu'on l'ait ouvert pour en retirer et activer le
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bâtonnet ou lightstick chimiluminescent-être utilise pour former avec ce dernier qu'on y a réintroduit, un combiné de dispositif chimi1uminescent/conteneur, assez lourd, pour, en étant jeté dans le liquide à illuminer, descendre par son poids dans le fond de celui-ci. Afin de protéger d & la lumière le dispositif chimiluminoscent pendant son stockage, celui-ci peut être entouré d'une protection opaque, en papier ou en tout autre matériau, que l'on jette après avoir sorti de son étui le dispositif chimiluminescent. Afin de mieux protéger le dispositif chimiluminescent dans le conteneur pendant son stockage, l'atmosphère de celui-ci pourrait être saturée de gaz carbonique anhydre.
Une variante de ce système, pour l'utilisation des gagdgets chimiluminescents existants, est celle d'un lest que l'on agrippe au dispositif chimiluminescent de façon à l'alourdir et à lui permettre de descendre au fond du verre. Ce pourrait être un lest de forme telle qu'il agripperait le gadget lumineux ou qu'il le saisirait par des griffes ou des pinces afin de l'appesantir suffisamment et que l'ensemble tombe au fond du liquide.
- 3SYSTEME II OU SOURCE LUMINEUSE H 0 R S DU LIQUIDE
MOYEN A-SURGELE
1) Manchons (avec chambre contenant composés mélangés et surgelés) pour emmanchement de verres-gobelets, bouteilles et vases.
2) Manchons-gobelets (avec chambre contenant composés mélangés et surgelés).
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1) Manchons (avec chambre contenant composés mélangés et surgelés) pour emmanchement de verres-gobelets, bou-
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teilles et vases.
Dans les systèmes permettant d'utiliser le MOYEN A de création de la lumière chimiluminescente, c'est-à-dire lorsqu'on utilise la solution déjà mélangée mais surgelée, un dispositif adéquat pour obtenir l'effet d'illumination au moment où le produit revient à la température normale est un manchon dont la partie inférieure, fermée par la base du manchon, constitue une chambre contenant le mélange surgelé : cette chambre hermétique est séparée de la partie supérieure ouverte, destinée à recevoir le verre ou la bouteille ou le vase, par une plaque laissant passer la lumière, soit en verre ou en plastique ou en toute autre matière transparente ou translucide.
Comme cette poche de la partie inférieure du manchon contient du liquide chimiluminescent, celle-ci devra être scellée parfaitement afin d'éviter des fuites du liquide ; celui-ci, mélange des réactifs, y aura été introduit à une température assez basse pour que l'opération soit possible et que la réaction chimiliminescente ne progresse pas trop vite pendant l'opération de remplissage, avant son stockage au grand froid paralysant la réaction de chimiluminescence.
Le manchon devra également être fait de matériau insensible aux réactifs qu'il contient et pourrait être fabriqué de polyéthylène ou de polypropylène ou de toute autre matière plastique adéquate, pour autant cependant que celle-ci soit assez rigide pour soutenir le verregobelet, la bouteille ou le vase qui y serait emmanché.
Il est souhaitable que le revêtement de la surface interne du manchon soit de couleur claire ou le plus réfléchissant possible de façon à ce que la lumière chimiluminescente créée soit propagée au maximum en direction du liquide que contient le récipient.
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Pour une meilleure illumination encore, il est possible de concevoir que la partie inférieure de la chambre du manchon soit en forme hémisphérique ou de miroir parabolique qui renverrait le maximum de lumière vers le liquide à. illuminer.
Ces manchons peuvent être de section ronde ou polygonale ou de tout autre dessin que ce soit pourvu qu'ils soient
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destinés à-des récipients qui y correspondent. rIls peuvent être de section constante sur leur hauteur, soit tronconiques ou en forme de tronc de pyramide pour un stockage plus facile puisqu'ils peuvent, avec cette dernière conception, s'empiler facilement l'un sur l'autre et constituer un volume moindre, lors de leur conservation-avant usage-à une température extrêmement basse bloquant leur réaction. Dans ce dernier cas, les récipients que l'on y enchâsse doivent avoir la même configuration tronconique ou de tronc de pyramide.
Ces manchons peuvent porter des rayures ou des arêtes pour maintenir fermement les récipients dans les manchons et éviter, par exemple, que les consommateurs en ce qui concerne les verres-gobelets ne démontent facilement l'ensemble pour récupérer la source lumineuse. Ils pourraient s'adapter à des récipients non originellement conçus pour les recevoir, pour autant que leur diamètre intérieur puisse s'adapter au diamètre extérieur du récipient qu'ils sont destinés à recevoir.
Ils pourraient être également conçus pour s'adapter à des récipients spéciaux ayant un fond particulier : par exemple, des récipients portant des rainures en creux ou en relief qui correspondraient à des manchons montrant des rainures d'une structure inverse pour si'y adapter ; des récipients portant un dessin de pas de vis, également en creux ou en relief, correspondant à des manchons ayant des structures en pas de vis inverse, en relief ou en creux, et pouvant se visser l'un dans l'autre ; des récipients ayant en fait
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n'importe qu'elle forme de fond pour autant que le manchon soit fait pour s'y adapter en l'enserrant le plus hermétiquement possible.
Ces manchons, comme il vient d'être exposé, peuvent s'appliquer aussi bien à des verres-gobelets qu'à des bouteilles ou des vases.
2) Manchons-Gobelets (avec chambre contenant composés mélangés et surgelés) : Les manchons peuvent être aussi des manchons-gobelets, c'est-à-dire les manchons tels qu'ils viennent d'être exposés ci-dessus mais qui se prolongent vers le haut par une partie transparente ou translucide suffisamment ferme pour constituer un gobelet ou verre à boire. Il s'agirait à ce moment de gobelets à jeter après usage ; ils auraient un fond accolé, faisant partie de la structure même de l'ensemble, dans lequel serait placé le mélange des réactifs, l'ensemble étant gardé à une température assez basse pour stopper la réaction de chimiluminescence.
Comme pour les manchons précédents, ces manchons-gobelets peuvent être conçus de telle manière qu'ils soient empilables les uns sur les autres pour occuper moins de volume lors de leur stockage à basse température. (voir FIGURE 6) La paroi de séparation entre le compartiment contenant le produit du mélange des réactifs, transparente ou translucide, peut porter des inscriptions ou des logos ou encore montrer une structure en relief ou/et éventuellement colorée, destinée à provoquer des effets lumineux dans les liquides supérieurs. Elle pourrait même porter des petites lentilles ou objectifs minuscules qui pourraient donner-avec une intensité suffisamment forte de la chimiluminescence-des effets de projecteur dans
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les liquides illuminés dont la consistance ou la composition le permettraient.
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4 SYSTEME II OU SOURCE LUMINEUSE H 0 R S DU LIQUIDE '" MOYEN B-EXTEMPORANE
AVEC DISPOSITIF CRIMILUMINESCENT INDEPENDANT
1) Manchons vides (avec chambre inférieure réceptrice) pour récipients à emmancher
2) Manchons-bouteilles (ensemble soudé)
3) Manchons-gobelets (ensemble soudé) 4) Récipients à fond épais creusé
5) Manchons a fond épais creusé
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- ----------------------------- 1'118.
1) Manchons (vides avec chambre inférieure réceptrice) pour récipients à emmancher : Les systèmes existants ou les dispositifs qui contiennent, eux-mêmes, les réactifs dans deux compartiments séparés mais conjoints et conçus de telle manière qu'une manoeuvre facile met en présence les deux composés, tels que les bâtonnets ou lightsticks mentionnés plus haut, constituent les dispositifs qui vont donner la lumière chimiluminescente à cette conception particulière de la présente invention.
Le système de base consiste en un manchon dont le fond est en forme de chambre pouvant contenir le dispositif ou gadget chimiluminescent à mélange extemporané.
Le manchon peut être cylindrique, carré ou avoir n'importe quelle section polygonale ainsi que n'importe quel diamètre pour autant qu'il soit adapté le mieux possible au récipient qu'on introduira dans sa partie supérieure.
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1 Lorsque l'on introduit le dispositif chimiluminescent par le haut du manchon, on peut poser le verre directement sur ce dispositif pour autant que le verre et le manchon fassent bien corps ensemble et s'épousent parfaitement.
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Une amélioration de ce manchon uniquement ouvert par le dessus serait un manchon montrant un épaississement de sa paroi inférieure ou portant un rebord continu ou des arêtes ou aspérités sur le pourtour interne de façon à supporter le récipient transparent ou translucide qui viendrait s'y poser. Ce rebord ou ces arêtes internes permettraient également de supporter des plaques transparentes ou translucides isolant le dispositif chimiluminescent du récipient même.
Ces plaques pourraient être colorées ou porter toutes sortes de
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mentions publicitaires ou autres. {voir FIGURE 7) t Un développement efficace de ce manchon, conçu. pour donner la meilleure illumination possible du liquide qui se trouve dans le récipient qui y est emmanché, est que sa partie inférieure interne ait une forme et un recouvrement les plus réfléchissants possible : une forme de miroir parabolique, par exemple, dirigerait le maximum de chimiluminescence vers le liquide à illuminer.
On peut aussi introduire le dispositif chimiluminescent par le bas. En conséquence, une variante serait que le manchon soit divisé en deux parties séparées par une paroi transparente ou translucide sur laquelle, lorsque le récipient s'enchâsse dans la partie supérieure ouverte du manchon, viendrait s'y placer le fond de celui-ci. La partie inférieure du manchon en dessous de cette paroi séparatrice constituerait l'emplacement dans lequel viendrait se loger le dispositif chimiluminescent.
Il n'est pas absolument nécessaire que cet emplacement soit fermé à condition que le dispositif chimiluminescent que l'on y place ait un diamètre tel qu'il puisse s'y coincer. L'intérieur du pourtour pourrait, d'ailleurs, porter soit un rebord circulaire au niveau du bord du fond, soit dans la hauteur de sa paroi ou encore des arêtes qui pourraient mieux fixer le dispositif lumineux.
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Un développement plus efficace du précédent modèle et qui permet d'éviter la dispersion de la lumière par le fondce qui n'est pas très esthétique-est celui qui prévoit un-fond-amovible à placer à cette partie inférieure de ce modèle de manchon afin d'empêcher le dispositif lumineux de tomber. Ce fond peut être fixé par vissage ou pression ou par tout autre moyen ; il peut être basculant et attaché au fond du manchon par une charnière.
Cette formule pourrait empêcher-dans une certaine mesure-le démontage de l'ensemble manchon + verre-gobelet par un consommateur de boisson trop curieux. (voir FIGURE 8) Une version améliorée de ce manchon a ses parois intérieures blanches ou ayant un recouvrement métallique brillant, peinture ou feuille de métal afin d'obtenir le meilleur résultat de réflexion de la lumière vers le haut où se trouve le récipient avec son liquide à éclairer.
Il est souhaitable mais non nécessaire que ce manchon soit opaque ou translucide de façon à ce que l'on ne distingue pas dans l'emplacement réservé les détails du dispositif lumineux activé.
2) Manchons-bouteilles (ensemble soudé) : La partie supérieure des manchons précédents peut être allongée vers le haut pour former un réservoir constituant une bouteille fermée par un bouchon.
Dans cette conception de manchon-bouteille, une adaptation intéressante de l'invention s'applique plus particulièrement à certaines bouteilles en plastique de limonade ou d'eau minérale vendues dans le commerce et dont le fond arrondi est muni d'un manchon cylindrique collé en son centre et qui permet aux bouteilles d'être maintenues en position verticale. Comme, entre le fond arrondi de la bouteille et la paroi du manchon, il existe
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un espace vide, il est possible de ménager un ou plusieurs trous dans cette paroi et d'y glisser un ou
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plusieurs bâtonnets ou sticks lumineux activés qui illumineraient le contenu de la bouteille. (voir FIGURE 9) - -.
Pour boucher le ou les trous, il est possible de prévoir une on des pastilles de fermeture, lesquelles bouchant le ou les trous, après avoir été enlevées pour laisser y passer le ou les sticks lumineux activés, pourraient y
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être replacées ensuite et empêcher des fuites de lumière.
-..
Une autre forme d'entrées des trous du manchon pourrait être faite d'une ou de plusieurs incisions en étoile ou de tout autre dessin qui laisseraient passer le ou les sticks lumineux et se refermeraient sur celui-ci ou ceuxci après leur introduction.
Cette conception de l'invention, d'une bouteille avec un fond qui ne remplit pas entièrement le manchon qui l'entoure, peut s'appliquer à des bouteilles ayant des fonds de formes diverses pour autant que ceux-ci laissent, entre eux et le manchon, un espace où peuvent se glisser des bâtonnets lumineux destinés à illuminer le liquide.
Il est souhaitable, pour une meilleure illumination du liquide, que la paroi interne du manchon soit la plus réfléchissante possible.
3) Manchons-gobelets (ensemble soudé) : Comme pour les manchons-bouteilles décrits plus haut, 1-on peut créer des manchons-gobelets qui seraient des développements vers le haut de la partie supérieure du manchon avec chambre inférieure réceptrice de façon à constituer un verre-gobelet avec chambre inférieure
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réceptrice présentant les mêmes configurations que les manchons seuls.
2-il est évident aussi que la conception du manchon plastique accolé sur un fond de bouteille arrondi peut également s'appliquer aux manchons-gobelets qui auraient la même base que les bouteilles décrites ci-dessus mais dont le haut formerait un verre-gobelet au lieu d'être une bouteille fermée par un bouchon.
Ici aussi, les modifications'apportées au manchon de la bouteille à fond arrondi sont d'application : entr'autres, trous dans la paroi et meilleure réflectabilité.
Une variante de ces manchons-gobelets est celle où l'on fermerait la chambre arrondie inférieure par une plaque laissant passer la lumière de telle manière que l'on aurait un gobelet dont le fond intérieur supportant le liquide serait plat. (voir FIGURE 10) 4) Récipients à fond épais creusé : Une autre conception intéressante est celle d'un récipient transparent ou translucide dont le fond épais comporte un emplacement pour que l'on puisse y glisser le dispositif chimiluminescent. Ce pourrait être un trou creusé ou un tunnel percé dans lequel pourrait se glisser le stick lumineux dont l'épaisseur, correspondante à la dimension du diamètre du trou, pourrait s'y coincer grâce à l'élasticité de l'enveloppe du stick lumineux. Le ou les orifices de ce trou ou de ces tunnels pourraient être
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fermés par des bouchons adéquats.
(voir FIGURE 12) 1 5) Manchons à fond épais creusé : Cette dernière conception peut également s'appliquer à des manchons ayant un fond épais, transparent et
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translucide, creusé d'un trou ou percé d'un tunnel, manchon dans lequel pourrait s'emmancher le récipient contenant le liquide à illuminer. (voir FIGURE 11) - ; m - - 5- SYSTEME II OU SOURCE LUMINEUSE H 0 R S DU LIQUIDE
MOYEN B-EXTEMPORANE
AVEC DISPOSITIF CRIMILUMINESCF.
NT INTEGRE
1) Manchons (pour récipients à emmancher) avec deux compartiments inférieurs clos contenant chacun un des réactifs
2) Manchons-gobelets et manchons-bouteilles avec deux compartiments inférieurs clos contenant chacun un des réactifs
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---------- 1) Manchons pour récipients avec deux compartiments infé- rieurs clos contenant chacune un des réactifs : Les manchons de cette conception sont constitués d'un espace supérieur ouvert représentant la partie du manchon dans laquelle vient s'emmancher le récipient dont il faut illuminer le liquide, et d'une chambre inférieure comprenant deux compartiments séparés par une paroi et dont chacun contient un des réactifs.
Le plancher de la base de ces manchons doit être constitué de polyéthylène ou de polypropylène ou de tout autre matière plastique présentant les mêmes avantages et qui soit assez souple pour être poussée légèrement vers l'intérieur ou pour pouvoir subir un mouvement horizontal latéral.
Une conception de ce système serait celle qui est explicitée ci-après : les deux compartiments inférieurs du manchon sont superposés. Ils sont séparés par une cloison soit horizontale, soit légèrement oblique (inclinée) en matière imperméable mais suffisamment rigide ; le plancher
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de la chambre inférieure qui constitue le fond du manchon est muni sur sa surface interne d'une ou plusieurs aspérités en forme de pointes qui font que, lorsqu'on pousse vers le haut le plancher assez souple pour ce faire, rl-a ou les pointes de sa face interne viennent crever la cloison séparatrice, ce qui permet le mélange des deux réactifs.
(voir FIGURE 13) La paroi transparente ou translucide qui sépare le premier compartiment supérieur de l'espace vide supérieur peut-être soit en matière plastique, soit en verre. Comme pour les manchons surgelés décrits plus haut, cette paroi séparatrice peut montrer les mêmes modifications et adaptations de surface et de structure.
Une variante de ce système est celle où les deux compartiments sont séparés par une cloison verticale ou oblique. Cette cloison est cassable. Le fait de pousser sur le fond souple ou de lui donner un mouvement de cisaillement casse cette cloisonparoi et permet le mélange des réactifs. (voir FIGURE 14) 2) Manchons-gobelets et Manchons-bouteilles avec deux compartiments inférieurs clos contenant chacune un des réactifs : Ces manchons-verres ou manchons-gobelets constituent une variante des manchons précédents, étant donné que leur partie supérieure se prolonge en forme de verre transparent ou translucide. La matière choisie pour la fabrication de ces manchons-gobelets doit être assez rigide pour constituer des verres-gobelets à boire.
En dehors des différences dues à leur utilisation en réaction extemporanée et des différences mêmes dans leur constitution pour cet usage, les caractéristiques et revendications en ce qui concerne leur forme, leurs couleurs, leurs avantages publicitaires et autres sont
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les mêmes que celles qui sont exposées pour les manchonsgobelets surgelés et ceux à dispositif chimiluminescent extérieur décrits plus haut.
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Cette conception explicitée ci-dessus peut s'appliquer à pdes manchons-gobelets à jeter. Elle peut de la même manière s'appliquer à des manchons-bouteilles.
Si l'on considère que l'on peut réduire au maximum la hauteur de la partie supérieure du manchon ou, autrement dit, réduire sa profondeur interne au maximum, on arrive ainsi'à obtenir, à partir des différentes sortes de manchons qui ont été exposées plus haut, des dispositifs constituant, en fait-si on le désire-des supports à surface lumineuse permettant d'illuminer des récipients divers, tels que des bouteilles de parfums dans des étalages, par exemple.
Remarque générale concernant l'invention : Les dispositifs qui ont été exposés dans la description ci-dessus de même que les autres auxquels s'appliqueraient l'une ou l'autre des revendications mentionnées plus loin atteindront l'objet même de cette invention, à savoir l'illumination de liquides contenus dans des récipients transparents ou translucides.
Il est évident que la qualité de cette illumination va dépendre d'un certain nombre de facteurs qui sont étrangers aux conditions essentielles de l'invention et qui sont modulables au moment de la mise en oeuvre de celle-ci, selon les choix et les décisions de son exécuteur, t Ceux-ci sont entr'autres-et d'une manière non exhaustive et non préférentielle-l'intensité de la chimiluminescence, le volume du récipient et du liquide à
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illuminer, la reriectabil. Lte a. e la paroi interne ae la chambre contenant le dispositif chimiluminescent, la nature des parois du récipient contenant le liquide, la nature physique et chimique de celui-ci, sa couleur et la compatibilité de celle-ci avec celle émise par le dispositif lumineux.
Ainsi, par exemple, illuminer un verre-gobelet demandera moins d'intensité lumineuse que celle que requiert une grande bouteille ; de la même manière, un dispositif
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chimiluminescent qui illumine d'une manière satisfaisante - t un verre-gobelet n'éclairera que pauvrement une bouteille beaucoup plus importante.
La qualité de l'illumination d'un liquide dépendra aussi de sa composition : une solution simplement colorée s'éclairera mieux qu'une limonade contenant de la pulpe de fruit en suspension. De même certaines couleurs créées par la chimiluminescence s'accorderont mal avec celles de solutions qui, en quelque sorte, les neutraliseront : une chimiluminescence verte, par exemple, sur une boisson rouge. Par contre, une boisson contenant des paillettes réfléchissantes, comme en ont certaines liqueurs, donnera un effet lumineux très plaisant. Egalement, un éclairage ambiant point trop important de l'endroit où se trouve la solution illuminée est, évidemment, un facteur primordial de réussite de l'effet agréable de l'invention.
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FIGURES : Les moyens explicités plus haut s'appliquent à des appareils ou dispositifs particuliers permettant la mise en oeuvre de la présente invention ; à titre d'exemples non limitatifs, ils sont repris dans les figures accompagnant certaines des descriptions de cette invention La FIGURE r est une vue en trois dimensions d'un petit conteneur constituant un "faux glaçon" hermétique qui aurait ici une forme cubique. Ce "faux glaçon" est destiné à contenir, dans deux compartiments séparés Cl et C2, chacun des réactifs surgelés. La paroi intérieure P sépare ceux-ci afin d'éviter leur contact et leur réaction à une température où ils pourraient encore réagir et provoquer un début de chimiluminescence. La paroi P laisse un passage libre 1 vers le sommet du cube au moment de sa fermeture.
Le conteneur étant surgelé, c'est au moment de son réchauffement que les liquides peuvent entrer en contact et se mélanger par la fente permettant la communication entre les 2 compartiments Cl et C2.
La FIGURE 2 est une vue en trois dimensions d'un petit conteneur en forme de "faux glaçon" hermétique semblable à celui de la figure 1 mais où la paroi intérieure P est percée d'un trou T.
La FIGURE 3 est une vue en trois dimensions d'un petit conteneur représentant un "faux glaçon" hermétique, ici en forme de cube, où les réactifs à mélanger extemporanément sont conservés dans deux compartiments Cl et C2 séparés par une paroi rigide P perçable par une pointe S qui se trouve sur l'intérieur du fond souple F du cube.
La FIGURE 4 est une vue en trois dimensions d'un petit conteneur représentant ici un "faux glaçon" hermétique,
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ici en rorme ae cuoe, ou les reactors a mélanger extemporanément sont gardés dans deux compartiments Cl et C2 séparés par une paroi oblique P cassable par mouvement de cisaillement des parois relativement souples du cube.
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-,....
La FIGURE 5 représente la coupe en trois dimensions d'un manchon dont l'emplacement supérieur Ml ouvert est destiné à recevoir le fond du verre-gobelet ou de la bouteille Åa illuminer et dont la chambre inférieure M2 contient le liquide luminescent surgelé, les deux parties Ml et M2 étant séparées par une paroi P laissant passer la lumière.
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1 La FIGURE 6 représente une vue schématique d'un manchon- gobelet conique consistant en un emplacement supérieur ouvert Ml faisant gobelet et une chambre intérieure M2 close contenant le liquide chimiluminescent mélangé et surgelé, les deux parties Ml et M2 étant séparées par une paroi P laissant passer la lumière. En pointillé, un manchon-gobelet similaire est emboîté dans le premier pour montrer qu'il est possible ainsi de les empiler et de les stocker sous un relativement faible volume.
La FIGURE 7 représente en trois dimensions un manchon ouvert M portant un rebord intérieur R sur lequel vient se poser le fond du verre-gobelet ou de la bouteille, avec la possibilité de poser préalablement une plaque P laissant passer la lumière, créant ainsi une chambre inférieure MI dans laquelle on place le dispositif chimiluminescent activé.
La FIGURE 8 représente une coupe en trois dimensions d'un manchon double fait de deux compartiments Ml et M2, l'un Ml destiné à recevoir le fond du verre-gobelet, de la bouteille ou du vase et l'autre M2 destiné à recevoir le dispositif chimiluminescent ; Ml et M2 sont séparés par une paroi P laissant passer la lumière ;
la chambre inférieure M2 est fermée par un fond F fixé par des arêtes A s'implantant dans la paroi du manchon.
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La FIGURE 9 représente en vue schématique une bouteille B en plastique du commerce à fond F arrondi soudé au point S à un manchon M qui l'enserre intimement de façon, par
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son fond plat P, à la tenir verticale, ce manchon étant - r ici percé d'un trou T par lequel on peut introduire le lightstick chimiluminescent L dans la chambre C laissée vide entre le fond arrondi F de la bouteille B et la paroi cylindrique du manchon.
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1 La FIGURE 10 représente une coupe schématique d'un verregobelet identique à la figure 9 sauf pour la partie supérieure (B dans la figure 9) qui est remplacée ici par une chambre ouverte faisant verre-gobelet V ;
celui-ci peut-être séparé du fond arrondi par une paroi P laissant passer la lumière.
La FIGURE 11 représente une coupe en trois dimensions d'un manchon contenant une chambre supérieure ouverte C destinée à recevoir le fond du verre-gobelet ou de la bouteille et dont la base B épaisse et laissant passer la lumière est creusée ici d'un tunnel T dans lequel on peut glisser le stick chimiluminescent S.
La FIGURE 12 représente schématiquement en trois dimensions un verre-gobelet dont la base B est identique à celle de la figure 11 mais dont la partie supérieure V constitue un verre à boire.
La FIGURE 13 représente une coupe en trois dimensions d'un manchon dont la partie ouverte supérieure Ml est destinée à recevoir le fond du récipient à illuminer et est séparée par une paroi F laissant passer la lumière venant de la partie inférieure M2 constituée de deux compartiments Cl et C2 contenant les réactifs et séparés l'un de l'autre par une paroi P crevable ou cassable par une pointe A se trouvant sur la base souple imperméable B du manchon.
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La FIGURE 14 représente une coupe en trois dimensions d'un manchon dont la partie ouverte supérieure Ml est destinée à recevoir le fond du récipient à illuminer et est séparée par une paroi F laissant passer la lumière venant, de la partie inférieure M2 constituée de deux compartiments Cl et C2 contenant les réactifs et séparés l'un de l'autre par une paroi P, oblique par rapport à la verticale, cassable par un mouvement latéral ou de cisaillement de la base souple B.
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1 La FIGURE 15 représentant un petit conteneur cubique constituant un"faux glaçon extemporané dévissable, est une vue de face de la coupe, selon le plan XY de la figure annexe ISA, laquelle représente la coupe du dispositif vu du haut au niveau du plan ST de la même figure 15.
Dans ces deux figures 15 et 15A, le bouchon A se prolonge par la partie filetée B dans le goulot C pénétrant dans la partie flacon D divisée en deux compartiments El et E2 séparés par la paroi F. La figure 15 montre le "faux glaçon" avec son bouchon fermé : la partie filetée B du bouchon A pousse sur la partie centrale de la paroi F et de ce fait sépare hermétiquement les deux compartiments El et E2 de la partie flacon empêchant ainsi le mélange des réactifs contenus dans les compartiments.
Les FIGURES 16 et 16A représentent un petit conteneur cylindrique constituant un"faux glaçon extemporané dévissablen dont le bouchon a été partiellement dévissé.
La figure 16 est une vue en trois dimensions d'une coupe, selon le plan XY de la figure annexe 16A, elle-même représentant une coupe schématique vue du haut selon le plan ST du même n faux glaçon". Dans ces deux figures, le bouchon A se prolonge par la partie filetée B dans le goulot C pénétrant dans la partie flacon D divisée en deux compartiments 21 et E2 séparés par la paroi F. La base G de la partie filetée B du bouchon A, maintenant séparée de la surface K de l'arête supérieure de la paroi F par le dévissement du bouchon A, laisse ici passer dans
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la chambre L ainsi ouverte les réactifs venant des compartiments El et E2.
Le diamètre extérieur du bouchon A est un peu plus large que celui de la partie flacon B et son bord extérieur descend en une jupe circulaire M autour du flacon D qu'il continue à couvrir même quand le bouchon A est partiellement dévissé. Cette jupe M couvre et empêche de voir la partie ouverte N qui s'est formée entre le flacon et le bouchon A par le dévissage de celui-ci. Des reliefs R du haut du flacon D correspondant à des creux U du bouchon A permettent une meilleure herméticité quand le bouchon est refermé.
Il est bien entendu que la présente invention n'est pas limitée aux formes de réalisation décrites et que bien des variantes peuvent être envisagées sans sortir du cadre du présent brevet.