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Procédé d'illumination des liquides et dispositifs appropriés à un tel procédé.
L'invention concerne des dispositifs destinés à produire et à utiliser la lumière chimiluminescente.
L'invention concerne plus particulièrement les dispositifs contenant ou pouvant contenir les réactifs pour illuminer des boissons ou autres liquides se trouvant dans des récipients transparents ou translucides, tels que verres à boire, bouteilles ou vases.
Le principe et les techniques pour la production de lumière chimiluminescente sont amplement décrits dans de nombreux brevets et dans une littérature importante.
La chimiluminescence est produite par la réaction d'un activateur avec un agent fluorescent et un oxalate.
Dans le cadre de cette invention, toutes les formules de production de lumière chimiluminescente sont acceptables pour autant que les dimensions, le volume et le poids du combiné des réactifs puissent s'adapter aux dispositifs permettant la réalisation de l'objet de la présente invention.
On connalt déjà l'utilisation de la lumière électrique pour l'illumination des liquides contenus dans des vases ou des bassins aux parois transparentes, tels que des aquariums, par exemple ; cette illumination procède d'une source lumineuse activée par l'électricité et positionnée en dessous du fond transparent de ces récipients.
Il semblerait difficile et certainement peu pratique de disposer une lampe électrique connectée au secteur ou alimentée par une pile en dessous d'un verre à boire ou
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d'une bouteille contenant de la limonade, de la bière ou tout autre liquide.
La présente invention a pour but de remédier. Åa ces inconvénients. L'invention, telle qu'elle est caractéri- sée dans les revendications, résout le problème par l'utilisation de la lumière chimiluminescente produite pendant un certain temps et dont la source se trouve soit dans le liquide même à illuminer, soit dans un emplacement créé en-dessous du fond transparent ou translucide des verres, bouteilles ou vases dont on veut illuminer le contenu.
Les dispositifs qui sont imaginés à partir de ces conceptions constituent les différents aspects de l'objet de cette invention. Ceux-ci deviendront apparents au fur et à mesure de l'avancement de leur description.
Il y a différentes possibilités d'amener la source de lumière chimiluminescente là où elle est nécessaire pour iluminer les liquides contenus dans les verres, bouteilles ou vases. Ces possibilités et les dispositifs qui sont créés pour les appliquer dépendent de la façon d'envisager l'utilisation du combiné des composés dont la réaction chimique produit la lumière chimiluminescente.
Ces systèmes d'utilisation de la lumière chimiluminescente sont au nombre de deux : SYSTEME I : En mettant le mélange ou combiné producteur de chimiluminescence DANS le liquide à illuminer
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SYSTEME II : En disposant le mélange ou combiné producteur de chimiluminescence HORS du liquide à illuminer Il y a aussi DEUX moyens physiques de création et d'utilisation de la lumière chimiluminescente : Le premier moyen ou MOYEN A consiste en l'emploi de la lumière chimiluminescente par l'utilisation des composés actifs mélangés préalablement mais avec leur réaction productrice de lumière chimiluminescente bloquée par un froid assez intense pour ce faire.
En effet, il apparaît dans la littérature concernant la lumière chimiluminescente que la réaction qui la crée se situe entre les limites de-40C à +75C. On peut donc imaginer l'utilisation du mélange déjà exécuté des réactifs et sa conservation préalable à une température inférieure à-40C, dans la carbo-glace, par exemple.
Nous appelerons ce procédé : MOYEN A-SURGELE Le deuxième moyen ou MOYEN B consiste en l'utilisation de la lumière chimiluminescente par le mélange extempo- rané des réactifs auquel on ne procède qu'au moment où l'on a besoin de la lumière.
Nous appelerons ce procédé : MOYEN B-EXTEMPORANE Remarque préliminaire : Afin d'éviter une confusion
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entre les appellations"verre à boire"et le matériau "verre", les"verres à boire"seront appelés ici"verre à boire"ou"verres-gobelets".
1 SYSTEME I OU SOURCE LUMINEUSE D A N S LE LIQUIDE :
MOYEN A-SURGELE
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Faux n Glaçons n Faux"Glaçons"
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Pour ces systèmes du MOYEN A, c'est-à-dire ceux qui utilisent le mélange des réactifs réfrigéré en dessous de la température de blocage de la réaction, on doit considérer que ces systèmes devront créer des dispositifs à usage unique et à jeter après emploi puisqu'une fois la réaction accomplie, pendant le temps désiré, ces dispositifs contenant les composés"éteints"dans un emplacement hermétiquement clos n'auront plus aucune utilité.
En ce qui concerne le MOYEN A : une formule de réalisation de cette application serait la création de petits conteneurs transparents ou translucides, sous l'aspect de faux"glaçons"que l'on jette dans les verres à boire (ou d'autres récipients transparents ou translucides) et qui pourraient se présenter sous n'importe quelle forme, que celle-ci soit cubique, cylindrique, sphérique, polyédrique, parallélipipédique de section triangulaire, carrée, rectangulaire ou polygonale, losangique ou pentagonale, en forme de berlingot ou de demi-lune ou encore en forme de sphère aplatie ou allongée, cette énumération n'étant pas exhaustive et ces faux"glaçons"pouvant avoir n'importe quelle forme faisant appel à des modèles existants ou venant de l'imagination pure.
Ces faux "glaçons" qui contiendraient les réactifs déjà mélangés seraient donc stockés à une température infé- rieure à celle où commence la réaction.
L'avantage de cette conception de l'invention est que, lors de leur utilisation pour l'illumination de boissons rafraîchissantes, le rôle de ces faux "glaçons" serait double puisque, non seulement, ils illumineraient les boissons contenues dans le verre-gobelet mais en même temps ils les rafraîchiraient fortement.
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Une variante intéressante pourrait être celle qui est exposée ci-après. Avant de la décrire, il y a lieu de dire que, lors de la fabrication des"glaçons"décrits plus haut, le liquide de mélange doit être versé dans les"glaçons"conteneurs, non encore fermés, à une température basse pour éviter-autant que possible-la réaction mais pas assez basse cependant pour que le mélange devenant de plus en plus visqueux et même pâteux puisse encore cependant être versé dans les petits ré- servoirs"glaçons"avant leur fermeture ou scellement hermétique.
Il y aura cependant un début de réaction mais si, après remplissage, et éventuellement après leur fermeture et leur scellement, on refroidit brutalement les faux "glaçons"ainsi formés et fermés, la réaction sera arrêtée et la chimiluminescence disparaltra.
En conséquence, la variante proposée serait un modèle cloisonné partiellement de façon à constituer deux compartiments séparés par une paroi qui n'atteindrait pas le plafond du faux "glaçon". Les deux compartiments communiqueraient donc par le dessus. Cette ouverture ou fente qui subsisterait dans le faux"glaçon"ferait communiquer les deux compartiments. Cette séparation, avant la fermeture du faux"glaçon"par sa partie supérieure, permettrait un remplissage facile de chacun des compartiments par les réactifs encore en phase liquide mais qui, une fois fortement réfrigérés, après la fermeture, ne se mélangeraient pas puisqu'ils seraient devenus très visqueux et même pâteux.
(voir FIGURE 1) Une variante du modèle ci-dessus montrerait une paroi qui ne serait pas totalement hermétique mais montrerait un point de passage, trou ou fente, par lequel les liquides pourraient se mélanger au moment de leur ré-
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chauffement pour donner la réaction chimiluminescente. (voir FIGURE 2) Il est important de noter que ces faux"glaçons"doi- vent avoir un poids spécifique moyen plus lourd que celui du liquide dans lequel 11 est jeté de façon à ce qu'ils ne flottent pas et qu'ils descendent au fond du verre dont ils doivent illuminer les contenus. Il est évident qu'un faux"glaçon"qui flotterait à la surface du liquide illuminerait celui-ci mais l'effet esthétique serait déplorable.
En conséquence, une formule intéressante de réalisation serait la suivante : étant donné que les parois des faux "glaçons" sont constituées de polyéthylène ou de polypropylène léger ou de tout autre matière présentant les mêmes avantages, il faudrait ajouter dans les faux "glaçons" des éléments qui alourdiraient l'ensemble de façon à obtenir un poids spécifique plus élevé que celui du liquide dans lequel ils sont plongés. Ces faux "glaçons" contiendraient donc, mélangés aux réactifs, des éléments alourdissants, tels que billes ou petites masses métalliques nickelées ou petites masses ou billes de verre de qualité ne réagissant pas aux composés se trouvant dans les glaçons (verre de laboratoire).
Une variante serait que le faux "glaçon" soit lesté extérieurement par accolement, par exemple, sur l'une de ses faces, d'une plaque ou d'un lest quelconque alourdissant.
La paroi des faux "glaçns" peut être colorée soit dans la masse, par un colorant non fluorescent, soit superficiellement pour modifier la couleur provoquée
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par la chimiluminescence ; cette paroi peut aussi porter différents dessins de différentes couleurs.
Les faux"glaçons"peuvent aussi porter des inscriptions, des marques publicitaires ou des logos, soit en relief, soit en creux, soit en impression.
Pour une utilisation commerciale valable, le modèle préférentiel serait celui où la vie lumineuse de ces faux"glaçons"ne dépasserait pas le temps de consommation normale d'une boisson, c'est-à-dire dont la vie lumineuse franche s'établirait aux environs de deux heures.
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2 SYSTEME 1 OU SOURCE LUMINEUSE D A N S LE LIQUIDE
MOYEN B EXTEMPORANE
1) Faux.. Glaçons" à jeter
2) Dispositifs existants : bâtonnets lumineux ou lightsticks, tels"Cyalume"d'American Cyanamid,
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ou autres. ou autres.
1) Faux"Glaçons"à jeter : Dans le cas où le mélange des réactifs est fait d'une manière extemporanée, c'est-à-dire au moment donc où l'on désire obtenir la production de lumière chimiluminescente, et donc où les réactifs, dans cette attente, sont séparés l'un de l'autre d'une manière parfaitement efficace, le dispositif doit contenir ces deux solutions dans des chambres séparées mais disposées et conçues de telle manière que l'on puisse facilement, au moment de l'emploi, provoquer le mélange des deux réactifs.
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Comme il s'agit, dans ce cas, d'illuminer des liquides qui seront plus souvent contenus dans des verres à boire remplis de boisson que ceux contenus dans des bouteilles ou dans des vases, le concept de l'invention ici est la création de dispositifs en forme de faux "glaçons" sphériques, cubiques ou polyédriques que l'on peut jeter dans les verres à boire en même temps, éventuellement, que de réels glaçons de vraie glace.
Une conception intéressante de ces faux"glaçons"qui s'applique, dans ce cas à des faux"glaçons"ayant des parois parallèles, c'est-à-dire en forme de cubes, pa- rallélipipèdes droits ou parallélipipèdes obliques ou en forme de polyèdres réguliers ayant au moins deux faces parallèles, peut être celle-ci : les parois transparentes ou translucides du faux "glaçon" peuvent être de polyéthylène ou de polypropylène ou de tout autre matériau que ce soit insensible aux réactifs utilisés ; il faut que la matériau utilisé soit assez souple pour que les parois parallèles du polyèdre puissent être comprimées l'une vers l'autre et que celui-ci reprenne ensuite sa forme initiale.
La chambre interne du faux "glaçon" serait séparée en deux compartiments par une paroi, soit en verre, soit en matériau plastique suffisamment rigide et qui soit crevable par une pointe ou un élément acéré qui se trouverait fixé sur la face interne d'une des parois extérieure parallèle ou légèrement oblique par rapport à la paroi séparatrice interne.
Au moment où l'on désirerait provoquer la réaction de chimiluminescence, il suffirait de presser, l'une vers l'autre, les deux parois en question dont l'extérieure porte la pointe ; le paroi centrale interne serait alors crevée par la pointe et les deux réactifs se mélan-
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geant, la réaction de chimiluminescence serait déclanchée. (voir FIGURE 3) Une autre conception intéressante est celle de faux "glaçons"semblables aux précédents mais où la paroi interne serait faite d'un matériau cassable, telle qu'une lame de verre ou une lame de plastique de qualité telle qu'elle pourrait se fendre et s'ouvrir sous la pression exercée sur les parois.
Cette lame de séparation pourrait être disposée plus ou moins parallèlement entre deux parois parallèles du polyèdre régulier, mais elle pourrait aussi être placée obliquement entre deux bords opposés, par exemple, sur la diagonale interne du polyèdre lorsqu'il s'agit du cube. (voir FIGURE 4) En poussant l'une vers l'autre, dans le premier cas, les parois de l'hexaèdre régulier sur lesquelles s'appuie la paroi de séparation et en leur donnant un léger mouvement de glissements opposés ou de cisaillement, on provoquerait ainsi la cassure de la paroi et le mélange des réactifs.
Dans le cas d'une séparation oblique, le mouvement pour casser la paroi serait de presser les deux bords d'attache de la paroi interne, l'un vers l'autre.
Dans le cas de faux"glaçons"qui ne seraient pas de forme polyédrique régulière, le procédé de séparation des deux chambres par une cloison crevable au moyen d'une pointe se trouvant sur une paroi externe plus ou moins parallèle ne peut pas s'imaginer pour toutes les formes de volumes ou de polyèdres, quoiqu'il soit réalisable dans de nombreux cas ; par contre, le procédé de la paroi cassable en verre ou en matériau cassant ou de
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structure émiettable sous la pression peut s'appliquer à toutes les formes de faux"glaçons".
La paroi des faux"glaçons"peut être colorée par un colorant non-fluorescent, soit dans la masse, soit superficiellement, pour modifier la couleur créée par la chimiluminescence ; cette paroi peut aussi porter différents dessins de différentes couleurs.
Les faux"glaçons"peuvent aussi porter des inscriptions, des marques publicitaires ou des logos, soit en relief, soit en creux, soit en impression.
Comme pour les faux "glaçons" surgelés, il est souhaitable que la vie lumineuse franche des"glaçons"à mé- lange extemporané ne dépasse pas trop la durée normale de consommation d'une boisson dans un établissement public.
De même, il est important que le poids spécifique moyen de ces faux "glaçons" soit supérieur à celui du liquide dans lequel ils sont plongés et qu'en conséquence, comme expliqué pour les "glaçons" surgelés, ils soient lestés de la même manière, c'est-à-dire par des éléments alourdissants, tels que billes ou petites masses métalliques nickelées ou petites masses ou billes de verre de qualité ne réagissant pas aux composés chimiluminescents.
Une variante serait ici que le faux"glaçon"soit lesté extérieurement, comme proposé pour les faux"glaçons" surgelés.
2)-Dispositifs existants : bâtonnets de lumière ou lightsticks, tels"Cyalume"d'American Cyanamid, ou autres :
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Il existe des dispositifs créés spécialement et déjà commercialisés qui sont des systèmes extemporanés constitués par un combiné de deux conteneurs dans lesquels sont contenus les réactifs destinés à réagir ensemble, au moment choisi par l'utilisateur ; on trouve, par exemple, dans le commerce des lightsticks ou bâtons de lumière appelés"Cyalume"de la société U. S. American Cyanamid de diverses dimensions présentant les caractéristiques exposées ci-dessus ; certains sont assez petits pour constituer ici la source de lumière chimiluminescente nécessaire.
Il a été aussi mis dans le commerce, en Belgique et à partir de ce pays vers d'autres pays, dès le début de 1989, un petit tube cylindrique formé de deux compartiments contenant les deux réactifs séparés par une pastille en matière plastique qui peut basculer sous la pression des doigts ; ce lightstick appelé quelquefois"Cosmic light"est produit par la société belge Continental Photostructures.
Il est important de remarquer que tous les dispositifs ou gadgets chimiluminescents créés à ce jour ont des parois en matériau plastique léger, généralement poly- éthylène ou polypropylène ; ils flottent sur les liquides et leur inventeurs insistent généralement sur cette caractéristique. L'objet de la présente invention nécessite d'éviter cette caractéristique qui est ici un désavantage car si le gadget lumineux peut illuminer le liquide, il reste en surface de celui-ci et l'effet esthétique est décevant et même déplaisant.
Un remède à ce désavantage est un emballage individuel de ces bâtonnets ou dispositifs chimiluminescents qui, pour les protéger de l'humidité, pourrait être un conteneur de verre ou de matériau imperméable, transparent ou translucide, en forme de tube éventuellement ; ce conteneur peut-après qu'on l'ait ouvert pour en
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retirer et activer le bâtonnet ou lightstick chimiluminescent que l'on y réintroduira et réenfermera-être utilisé pour former un combiné de dispositif chimi1umi- nescent-conteneur, assez lourd, pour, en étant jeté dans le liquide à illuminer, descendre par son poids dans le fond de celui-ci.
Une variante de ce système est celle d'un lest que l'on agrippe au dispositif chimiluminescent de façon à l'alourdir et à lui permettre de descendre au fond du verre. Ce pourrait être un lest de forme telle qu'il agripperait le gadget lumineux ou qu'il le saisirait par des griffes ou des pinces afin de l'appesantir suf-
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fisamment et que l'ensemble tombe au fond du liquide.
3 SYSTEME II OU SOURCE LUMINEUSE H 0 R S DU LIQUIDE MOYEN A-SURGELE 1) Manchons (avec chambre contenant composés mélangés et surgelés) pour emmanchement de verres-gobelets, bouteilles et vases.
2) Manchons-gobelets (avec chambre contenant composés mélangés et surgelés).
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---------------------------------------------------- 1) Manchons (avec chambre contenant composés mélangés et surgelés) pour emmanchement de verres-gobelets, bouteilles et vases.
Dans les systèmes permettant d'utiliser le MOYEN A de création de la lumière chimiluminescente, c'est-à-dire lorsqu'on utilise la solution déjà mélangée mais surgelée, un dispositif adéquat pour obtenir l'effet d'illumination au moment où le produit revient à la température normale est un manchon dont la partie infé- rieure, fermée par la base du manchon, est une chambre contenant le mélange surgelé : cette chambre hermétique
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est séparée de la partie supérieure ouverte, destinée à recevoir le verre ou la bouteille ou le vase, par une plaque laissant passer la lumière, soit en verre ou en plastique ou en toute autre matière transparente ou translucide.
Comme cette poche de la partie inférieure du manchon contient du liquide chimiluminescent, celleci devra être scellée parfaitement afin d'éviter des fuites du liquide ; celui-ci, mélange des réactifs, y aura été introduit à une température assez basse pour que l'opération soit possible et que la réaction chimiliminescente ne progresse pas trop vite.
Le manchon devra également être fait de matériau insensible aux réactifs qu'il contient et pourrait être fabriqué de polyéthylène ou de polypropylène ou de toute autre matière plastique adéquate, pour autant cependant que celle-ci soit assez rigide pour soutenir le verregobelet, la bouteille ou le vase qui y serait emmanché.
Il est souhaitable que le revêtement de la surface interne du manchon soit de couleur claire ou le mieux réfléchissant possible de façon à ce que la lumière chimiluminescente créée soit propagée au maximum en direction du liquide que contient le récipient.
Pour une meilleure illumination encore, il est possible de concevoir que la partie inférieure de la chambre du manchon soit en forme hémisphérique ou de miroir parabolique qui renverrait le maximum de lumière vers le liquide à illuminer.
Ces manchons peuvent être de section ronde ou polygonale ou de tout autre dessin que ce soit pourvu qu'ils soient destinés à des récipients qui y correspondent.
Ils peuvent être de section constante sur leur hauteur, soit tronconiques ou en forme de tronc de pyramide pour
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un stockage plus facile puisqu'ils peuvent, avec cette dernière conception, s'empiler facilement l'un sur l'autre et constituer un volume moindre, lors de leur conservation-avant usage-à une température extrêmement basse bloquant leur réaction. Dans ce dernier cas, les récipients que l'on y enchâsse doivent avoir la même configuration tronconique ou de tronc de pyramide.
Ces manchons peuvent porter des rayures ou des arêtes pour maintenir fermement les récipients dans les manchons et éviter, par exemple, que les consommateurs en ce qui concerne les verres-gobelets ne démontent facilement l'ensemble pour récupérer la source lumineuse.
Ils pourraient s'adapter à des récipients non originellement conçus pour les recevoir, pour autant que leur diamètre intérieur puisse s'adapter au diamètre extérieur du récipient qu'ils sont destinés à recevoir. Ils pourraient être également conçus pour s'adapter à des récipients spéciaux ayant un fond particulier : par exemple, des récipients portant des rainures en creux ou en relief qui correspondraient à des manchons montrant des rainures d'une structure inverse pour s'y adapter ; des récipients portant un dessin de pas de vis, également en creux ou en relief, correspondant à des manchons ayant des structures en pas de vis inverse, en relief ou en creux, et pouvant se visser l'un dans l'autre ;
des récipients ayant en fait n'importe qu'elle forme de fond pour autant que le manchon soit fait pour s'y adapter en l'enserrant le plus hermétiquement possible.
Ces manchons, comme il vient d'être exposé, peuvent s'appliquer aussi bien à des verres-gobelets qu'à des bouteilles ou des vases.
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2) Manchons-Gobelets (avec chambre contenant composés mélangés et surgelés : Les manchons peuvent être aussi des manchons-gobelets, c'est-à-dire les manchons tels qu'ils viennent d'être exposés ci-dessus mais qui se prolongent vers le haut par une partie transparente ou translucide suffisamment ferme pour constituer un gobelet ou verre à boire. Il s'agirait à ce moment de gobelets à jeter après usage ; ils auraient un fond accolé, faisant partie de la structure même de l'ensemble, dans lequel serait placé le mélange des réactifs, l'ensemble étant gardé à une température assez basse pour stopper la réaction de chimiluminescence.
Comme pour les manchons précédents, ces manchons-gobelets peuvent être conçus de telle manière qu'ils soient empilables les uns sur les autres pour occuper moins de volume lors de leur stockage à basse température. (voir FIGURE 6) La paroi de séparation entre le compartiment contenant le produit du mélange des réactifs pourrait soit être transparente, translucide, porter des inscriptions ou des logos ou encore montrer une structure en relief ou/et éventuellement colorée, destinée à provoquer des effets lumineux dans les liquides supérieurs. Elle pourrait même porter des petites lentilles ou objectifs minuscules qui pourraient donner-avec une intensité suffisamment forte de la chimiluminescence-des effets de projecteur dans les liquides illuminés dont la consistance ou la composition le permettraient.
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-- 4-- SYSTEME II OU SOURCE LUMINEUSE H 0 R S DU LIQUIDE
MOYEN B-EXTEMPORANE
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AVEC DISPOSITIF CHIMILUMINESCENT INDEPENDANT
1) Manchons vides (avec chambre inférieure réceptrice) pour récipients à emmancher
2) Manchons-bouteilles (ensemble soudé)
3) Manchons-gobelets (ensemble soudé)
4) Récipients à fond épais creusé
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------------------------------------------------------ 1) Manchons (vides avec chambre inférieure réceptrice) pour récipients à emmancher :
Les systèmes existants ou les dispositifs qui contiennent, eux-mêmes, les réactifs dans deux compartiments séparés mais conjoints et conçus de telle manière qu'une manoeuvre facile met en présence les deux compo- sés, tels que les bâtonnets ou lightsticks mentionnés plus haut, constituent les dispositifs qui vont donner la lumière chimiluminescente à cette conception particulière de la présente invention.
Le système de base consiste en un manchon dont le fond est en forme de chambre pouvant contenir le dispositif ou gadget chimiluminescent à mélange extemporané.
Le manchon peut être cylindrique, carré ou avoir n'importe quelle section polygonale ainsi que n'importe quel diamètre pour autant qu'il soit adapté le mieux possible au récipient qu'on introduira dans sa partie supérieure.
Lorsque l'on introduit le dispositif chimiluminescent par le haut du manchon, on peut poser le verre directement sur ce dispositif pour autant que le verre et le manchon fassent bien corps ensemble et s'épousent parfaitement.
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Une amélioration de ce manchon uniquement ouvert par le dessus serait un manchon montrant un épaississement de sa paroi inférieure ou portant un rebord continu ou des arêtes ou aspérités sur le pourtour interne de façon à supporter le verre qui viendrait s'y poser. Ce rebord ou ces arêtes internes permettraient également de supporter des plaques transparentes ou translucides isolant le dispositif chimiluminescent du récipient même.
Ces plaques pourraient être colorées ou porter toutes sortes de mentions publicitaires ou autres. (voir FIGURE 7) Un développement efficace de ce manchon, conçu pour donner la meilleure illumination possible du liquide qui se trouve dans le récipient qui y est emmanché, est que sa partie inférieure interne ait une forme et un recouvrement les plus réfléchissants possible : une forme de miroir parabolique, par exemple, dirigerait le maximum de chimiluminescence vers le liquide à illuminer On peut aussi introduire le dispositif chimiluminescent par le bas. En conséquence, une variante serait que le manchon soit divisé en deux parties séparées par une paroi transparente ou translucide sur laquelle, lorsque le récipient s'enchâsse dans la partie supérieure ouverte du manchon, viendrait s'y placer le fond de celui-ci.
La partie inférieure du manchon en dessous de cette paroi séparatrice constituerait l'emplacement dans lequel viendrait se loger le dispositif chimiluminescent.
Il n'est pas nécessaire que cet emplacement soit fermé à condition que le dispositif chimiluminescent que l'on y place ait un diamètre tel qu'il puisse s'y coincer.
L'intérieur du pourtour pourrait, d'ailleurs, porter
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soit un rebord circulaire au niveau du bord du fond, soit dans la hauteur de sa paroi ou encore des arêtes qui pourraient mieux fixer le dispositif lumineux.
Un développement plus efficace du précédent modèle et qui permet d'éviter la dispersion de la lumière par le fond-ce qui n'est pas très esthétique-est celui qui prévoit un fond amovible à placer à cette partie inférieure de ce modèle de manchon afin d'empêcher le dispositif lumineux de tomber. Ce fond peut être fixé par vissage ou pression ou par tout autre moyen ; il peut être basculant et attaché au fond du manchon par une charnière. Cette formule pourrait empêcher-dans une certaine mesure-le démontage de l'ensemble manchon + verre-gobelet par un consommateur de boisson trop curieux.
(voir FIGURE 8) Une version améliorée de ce manchon a ses parois intérieures blanches ou ayant un recouvrement métallique brillant, peinture ou feuille de métal afin d'obtenir le meilleur résultat de réflexion de la lumière vers le haut où se trouve le récipient avec son liquide à éclairer.
Il est souhaitable mais non nécessaire que ce manchon soit opaque ou translucide de façon à ce que l'on ne distingue pas dans l'emplacement réservé les détails du dispositif lumineux activé.
2) Manchons-bouteilles (ensemble soudé) : La partie supérieure des manchons précédents peut être allongée vers le haut pour former un réservoir constituant une bouteille fermée par un bouchon.
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Dans cette conception de manchon-bouteille, une adaptation intéressante de l'invention s'applique plus particulièrement à certaines bouteilles en plastique de limonade ou d'eau minérale vendues dans le commerce et dont le fond arrondi est muni d'un manchon cylindrique collé en son centre et qui permet aux bouteilles d'être maintenues en position verticale. Comme, entre le fond arrondi de la bouteille et la paroi du manchon, il existe un espace vide, il est possible de ménager un ou plusieurs trous dans cette paroi et d'y glisser un ou plusieurs bâtonnets ou sticks lumineux activés qui illumineraient le contenu de la bouteille.
(voir FIGURE 9) Pour boucher le ou les trous, il est possible de prévoir une ou des pastilles auto-collantes, lesquelles bouchant le ou les trous, après avoir été enlevées pour laisser y passer le ou les sticks lumineux activés, pourraient y être replacées ensuite et empêcher des fuites de lumière.
Une autre forme d'entrées des trous du manchon pourrait être faite d'une ou de plusieurs incisions en étoile ou de tout autre dessin qui laisseraient passer le ou les sticks lumineux et se refermeraient sur celui-ci ou ceux-ci après leur introduction.
Cette conception de l'invention, d'une bouteille avec un fond qui ne remplit pas entièrement le manchon qui l'entoure, peut s'appliquer à des bouteilles ayant des fonds de formes diverses pour autant que ceux-ci laissent entre eux et le manchon un espace où peuvent se glisser des bâtonnets lumineux destinés à illuminer le liquide.
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Il est souhaitable, pour une meilleure illumination du liquide que le revêtement de la paroi interne du manchon soit bien réfléchissante.
3) Manchons-gobelets (ensemble soudé) : Comme pour les manchons-bouteilles décrits plus haut, 1-on peut créer des manchons-gobelets qui seraient des développements vers le haut de la partie supérieure du manchon de façon à constituer un verre-gobelet, 2-il est évident aussi que la conception du manchon plastique accolé sur un fond de bouteille arrondi peut également s'appliquer aux manchons-gobelets qui auraient la même base que les bouteilles décrites ci-dessus mais dont le haut formerait un verre-gobelet au lieu d'être une bouteille fermée par un bouchon ; ils pourraient ainsi être produits en grande quantité à des prix de revient très bas.
(voir FIGURE 10) Ici aussi, les modifications apportées au manchon de la bouteille à fond arrondi sont d'application : entr'autres, trous dans la paroi et meilleure réflecta- bilité.
Une variante de ces manchons-gobelets est celle où l'on fermerait la chambre arrondie inférieure par une plaque laissant passer la lumière de telle manière que l'on aurait un gobelet dont la fond supportant le liquide serait plat.
4) Récipients à fond épais creusé : Une autre conception intéressante est celle d'un récipient transparent ou translucide dont le fond épais
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comporte un emplacement pour que l'on puisse y glisser le dispositif chimiluminescent. Ce pourrait être un trou creusé ou un tunnel percé dans lequel pourrait se glisser le stick lumineux dont l'épaisseur, correspondante à la dimension du diamètre du trou, pourrait s'y coincer grâce à l'élasticité de l'enveloppe du stick lumineux. Le ou les orifices de ce trou ou de ces tunnels pourraient être fermés par des bouchons adéquats.
(voir FIGURES 11 etl2) - 5-- SYSTEME II OU SOURCE LUMINEUSE H 0 R S DU LIQUIDE
MOYEN B-EXTEMPORANE
AVEC DISPOSITIF CHIMILUMINESCENT INTEGRE
1) Manchons (pour récipients à emmancher) avec deux chambres inférieures closes contenant chacune un des réactifs
2) Manchons-gobelets et manchons-bouteilles avec deux chambres inférieures closes contenant chacune un des réactifs
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------------------------------------------------------- 1) Manchons pour récipients avec deux chambres infé rieures closes contenant chacune un des réactifs :
Les manchons de cette conception sont constitués d'un espace supérieur ouvert représentant la partie du manchon dans laquelle vient s'emmancher le récipient dont il faut illuminer le liquide, et d'une chambre infé- rieure comprenant deux compartiments séparés par une paroi et dont chacun contient un des réactifs.
La base de ces manchons doit être constituée de poly- éthylène ou de polypropylène ou de tout autre matière plastique présentant les mêmes avantages et qui soit assez souple pour être poussée légèrement vers
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l'intérieur ou pour pouvoir subir un mouvement horizontal latéral.
Une conception de ce système serait celle qui est exlicitée ci-après : les deux compartiments inférieurs du manchon sont superposés. Ils sont séparés par une paroi soit horizontale, soit légèrement oblique (inclinée) en matière imperméable mais suffisamment rigide ; le plancher de la chambre inférieure qui constitue le fond du manchon est muni sur sa surface interne d'une aspérité en forme de pointe qui fait que, lorsqu'on la pousse vers le haut, cette paroi étant assez souple pour ce faire, la pointe vient crever la paroi séparatrice, ce qui permet le mélange des deux réactifs. (voir FIGURE 13) La paroi transparente ou translucide qui sépare la première chambre supérieure de l'espace vide supérieur peut être soit en matière plastique, soit en verre.
Comme pour les manchons surgelés décrits plus haut, cette paroi séparatrice peut montrer les mêmes modifications et adaptations de surface et de structure.
Une variante de ce système est celle où les deux compartiments sont séparés par une paroi verticale ou oblique. Cette paroi est cassable. Le fait de pousser sur le fond souple ou de lui donner un mouvement de cisaillement casse cette paroi et permet le mélange des réactifs. (voir FIGURE 14) 2) Manchons-gobelets et Manchons-bouteilles avec deux chambres inférieures closes contenant chacune un des réactifs : Ces manchons-verres ou manchons-gobelets constituent une variante des manchons précédents, étant donné que
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leur partie supérieure se prolonge en forme de verre transparent ou translucide. La matière choisie pour la fabrication de ces manchons-gobelets doit être assez rigide pour constituer des verres-gobelets à boire.
En dehors des différences dues à leur utilisation en réaction extemporanée et des différences mêmes dans leur constitution pour cet usage, les mêmes caractéristiques et revendications en ce qui concerne leur forme, leurs couleurs, leurs avantages publicitaires et autres sont les mêmes que ceux qui sont exposés pour les manchons-gobelets surgelés et ceux à dispositif chimiluminescent extérieur décrits plus haut.
Cette conception explicitée ci-dessus peut s'appliquer à des manchons-gobelets à jeter. Elle peut de la même manière s'appliquer à des manchons-bouteilles.
Remarque générale concernant l'invention : Les dispositifs qui ont été exposés dans la description ci-dessus de même que les autres qui suivraient les revendications mentionnées plus loin atteindront l'objet même de cette invention, à savoir l'illumination de liquides contenus dans des récipients transparents ou translucides.
Il est évident que la qualité de cette illumination va dépendre d'un certain nombre de facteurs qui sont étrangers aux conditions essentielles de l'invention et qui sont modulables au moment de la mise en oeuvre de celle-ci, selon les choix et les décisions de son exécuteur.
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Ceux-ci sont entr'autres-et d'une manière non exhaustive et non préférentielle-l'intensité de la chimiluminescence, le volume du récipient et du liquide à illuminer, la réflectabilité de la paroi interne de la chambre contenant le dispositif chimiluminescent, la nature des parois du récipient contenant le liquide, la nature physique et chimique de celui-ci, sa couleur et la compatibilité de celle-ci avec celle émise par le dispositif lumineux.
Ainsi, par exemple, illuminer un verre-gobelet demandera moins d'intensité lumineuse que celle que requiert une grande bouteille ; de la même manière, un dispositif chimiluminescent qui illumine d'une manière satisfaisante un verre-gobelet n'éclairera que pauvrement une bouteille beaucoup plus importante. La qualité de l'illumination d'un liquide dépendra aussi de sa composition : une solution simplement colorée s'éclairera mieux qu'une limonade contenant de la pulpe de fruit en suspension. De même certaines couleurs créées par la chimiluminescence s'accorderont mal avec celles de solutions qui, en quelque sorte, les neutraliseront : une chimiluminescence verte, par exemple, sur une boisson rouge. Par contre, une boisson contenant des paillettes réfléchissantes, comme en ont certaines liqueurs, donnera un effet lumineux très plaisant.
Egalement, un éclairage point trop important de l'endroit où se trouve la solution illuminée est, bien sûr évidemment, un facteur primordial de réussite de l'effet agréable de l'invention.
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FIGURES : Les moyens explicités plus haut s'appliquent à des appareils ou dispositifs particuliers permettant la mise en oeuvre de la présente invention ; à titre d'exemples non limitatifs, ils sont repris dans les figures accompagnant certaines des descriptions de cette invention La figure 1 est une vue en trois dimensions d'un faux "glaçon" qui aurait ici une forme cubique. Ce"glaçon" est destiné à contenir, dans deux compartiments séparés Cl et C2, chacun des réactifs surgelés. La paroi intérieure P sépare ceux-ci afin d'éviter leur contact et leur réaction à une température où ils pourraient encore réagir et provoquer un début de chimiluminescence.
La paroi P laisse un passage libre 1 vers le sommet du cube au moment de sa fermeture. Le conteneur étant surgelé, c'est au moment de son réchauffement que les liquides peuvent entrer en contact et se mélanger par la fente permettant la communication entre les 2 compartiments Cl et C2.
La figure 2 est une vue en trois dimensions d'un faux "glaçon" semblable à celui de la figure 1 mais où la paroi intérieure P est percée d'un trou T.
La figure 3 est une vue en trois dimensions d'un faux "glaçon", ici en forme de cube, où les réactifs à mélanger extemporanément sont conservés dans deux compartiments Cl et C2 séparés par une paroi rigide P per- çable par une pointe S qui se trouve sur l'intérieur du fond souple F du cube.
La figure 4 est une vue en trois dimensions d'un faux "glaçon", ici en forme de cube, où les réactifs à mélanger extemporanément sont gardés dans deux
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compartiments Cl et C2 séparés par une paroi oblique P cassable par mouvement de cisaillement des parois relativement souples du cube.
La figure 5 représente la coupe en trois dimensions d'un manchon dont l'emplacement supérieur Ml ouvert est destiné à recevoir le fond du verre-gobelet ou de la bouteille à illuminer et dont la chambre inférieure M2 contient le liquide luminescent surgelé, les deux parties Ml et M2 étant séparées par une paroi P laissant passer la lumière.
La figure 6 représente une vue schématique d'un manchon-gobelet conique consistant en un emplacement supérieur ouvert Ml faisant gobelet et une chambre intérieure M2 close contenant le liquide chimiluminescent mélangé et surgelé, les deux parties Ml et M2 étant séparées par une paroi P laissant passer la lumière. En pointillé, un manchon-gobelet similaire est embolté dans le premier pour montrer qu'il est possible ainsi de les empiler et de les stocker sous un relativement faible volume.
La figure 7 représente en trois dimensions un manchon ouvert M portant un rebord intérieur R sur lequel vient se poser le fond du verre-gobelet ou de la bouteille, avec la possibilité de poser préalablement une plaque P laissant passer la lumière, créant ainsi une chambre inférieure MI dans laquelle on place le dispositif chimiluminescent activé.
La figure 8 représente une coupe en trois dimensions d'un manchon double fait de deux compartiments Ml et M2, l'un Ml destiné à recevoir le fond du verre-gobelet ou de la bouteille et l'autre M2 destiné à recevoir le dispositif chimiluminescent ; Ml et M2 sont séparés par
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une paroi P laissant passer la lumière ; la chambre inférieure M2 est fermée par un fond F fixé par des arêtes A s'implantant dans la paroi du manchon.
La figure 9 représente en vue schématique une bouteille B en plastique du commerce à fond F arrondi soudé au point S à un manchon M qui l'enserre intimement de fa- çon, par son fond plat P, à la tenir verticale, ce manchon étant ici percé d'un trou T par lequel on peut introduire le lightstick chimiluminescent L dans la chambre C laissée vide entre le fond arrondi F de la bouteille 8 et la paroi cylindrique du manchon.
La figure 10 représente une coupe schématique d'un verre-gobelet identique à la figure 9 sauf pour la partie supérieure (B dans la figure 9) qui est remplacée ici par une chambre ouverte faisant verre-gobelet V ; celui-ci peut-être séparé du fond arrondi par une paroi P laissant passer la lumière.
La figure 11 représente une coupe en trois dimensions d'un manchon contenant une chambre supérieure ouverte C destinée à recevoir le fond du verre-gobelet ou de la bouteille et dont la base B épaisse et laissant passer la lumière est creusée ici d'un tunnel T dans lequel on peut glisser le stick chimiluminescent S.
La figure 12 représente schématiquement en trois dimensions un verre-gobelet dont la base B est identique à celle de la figure 11 mais dont la partie supérieure V constitue un verre à boire.
La figure 13 représente une coupe en trois dimensions d'un manchon dont la partie ouverte supérieure Ml est destinée à recevoir le fond du récipient à illuminer et est séparée par une paroi F laissant passer la lumière
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venant de la partie Inférieure M2 constituée de deux compartiments Cl et C2 contenant les réactifs et séparés l'un de l'autre par une paroi P crevable ou cassable par une pointe A se trouvant sur la base souple Imperméable B du manchon.
La figure 14 représente une coupe en trois dimensions d'un manchon dont la partie ouverte supérieure Ml est destinée à recevoir le fond du récipient illuminer et est séparée par une paroi F laissant passer la lumière venant de la partie inférieure M2 constituée de deux compartiments Cl et C2 contenant les réactifs et sépa- rés l'un de l'autre par une paroi P, oblique par rapport à la verticale, cassable par un mouvement latéral ou de cisaillement de la base souple B.
Il est bien entendu que la présente Invention n'est pas limitée aux formes de réalisation décrites et que bien des variantes peuvent être envisagées sans sortir du cadre du présent brevet.